Les faux changements ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Les faux changements ?

Faire passer des réformes inadmissibles comme « le » seul changement possible est une perversion sophistique de la Raison. Nous voulons,  de toutes nos forces, de « grands » changements mais surtout pas ceux-là. Alors lesquels ? Ceux auxquels ces prétendus dirigeants sont réfractaires justement. Et ils ont fortement tort ! A eux de vraiment changer donc, pas à nous !

 

Être et rester contre les faux changements paraît une preuve de bonne santé mentale. Par exemple, réformer n’est pas un changement. Mais un faux. Faut pas tout confondre ; dans ce cas précis ce sont aux prétendus réformateurs de…changer. Pas à celles/ ceux qui se ne laissent pas prendre à ces leurres. Parce que ? Qui ne veut que rien ne change brandit sans cesse des réformes – ce qui termine le syllogisme ; parce que les soi-disant réformes ne sont surtout pas du changement. Que sont-elles alors ?

 

« En quoi une réforme consistant surtout à appauvrir un peu plus les français à chaque fois serait-elle forcément souhaitable ? En quoi une baisse de salaires déjà peu conséquents est-elle un progrès  [[ donc restent «progressistes» qui refusent ce net recul collectif ! Pas qui s’y adonnent…]]? Et qu'on m'explique la raison pour laquelle les personnes handicapées devraient accepter sans rechigner la baisse de leur AAH (il faut dire que ce n'est pas un électorat intéressant pour les adeptes de la fake « start up nation ») (voir ma source à ce lien). Entre l’éditorialiste qui souligne que certains retraités on s'en fiche qu'ils soient mécontents puisque de toutes façons certains seront morts en 2022 lors de la prochaine présidentielle [[ le cynisme est un comportement toujours perdant puisque, lui, ne tient pas la route. Reposant sur une grave naïveté qui survalorise trop sa propre « valeur », il ne fait que se prendre les pieds lamentablement dans ses propres contradictions. La preuve ? Vanter un prétendu cynique c’est voir à quel point il/elle devient crédule et ingénu. Donc si immature ! Tel n’est pas compris qui croyait prendre ?]].

La-France-tout-entière-est-devenue-une-bulle-sociale-et-réglementaire

 

En France tout est interdit jusqu'à preuve du contraire : Quand dans un pays l’État régit chaque aspect de la vie sociale, économique, personnelle de chaque citoyen le chaos est inévitable : chaos due à l'incompréhension, la méconnaissance, la complexité, la mauvaise coordination de ces ensembles hétéroclites et indigestes de milliers de page de codes (2000 pages pour le code des impôts, plus de 3000 pages pour le Code du travail, de la construction, pénal, des élections...) [[ Et ? Le carcan abusif n’est surtout pas celui contre les entreprises CAC 40, il n’y en a aucun, mais bien celui posé CONTRE ces 8 citoyens sur 10 qui n’ont PAS VOTÉ pour Macron (sans compter les non-inscrits, ce qui porte ce chiffre à l’écrasante majorité des adultes !)…qui sont clairement empêchés de vivre !]]. »

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La certitude est que, afin de changer les choses à la racine, il faille commencer par changer radicalement le point de vue de départ. Que la révolution des mentalités précède les changements de comportements. Et que les fomentateurs de réformes toujours unilatérales se trompent absolument de postures : c’est par elles/eux-mêmes qu’ils doivent commencer non par harceler et maltraiter les autres. En clair, ce sont les réformateurs qu’il faut…réformer. Ou, vu sous d’autres facettes : si nous ne voulons pas de changement réel multiplions les réformes chaotiques. Enfin, les réformes effondrées n’importe comment  EMPÊCHENT les vrais changements. C’est ainsi. Dire l’inverse n’est possible qu’en le démontrant avec des arguments solides et solidaires ! Ce pourquoi  actuellement, nous supportons les pires des réformateurs, ceux/ celles qui ne veulent jamais commencer par eux-mêmes. En tout premier. En cordée cordiale ! Par exemple, comme ceci…

 

Peter-Singer-nous-explique-l'altruisme-efficace-sa-méthode-pour-éradiquer-la-misère

 

« Il n'est pas exclu que nos enfants et petits-enfants regardent comme des évidences les théories radicales de «l'Altruisme efficace». Peter Singer s'y penche sur notre manière de donner aux plus pauvres et formule des pistes pour la changer afin de «changer le monde». Ils sont nombreux (sans doute un peu trop), les penseurs habités par cette ambition, mais le philosophe australien, 72 ans, n'est pas n'importe qui. Il compte même parmi les rares intellectuels qui peuvent se targuer d'avoir fait évoluer la pensée de toute une civilisation, et il en a conscience : « Je ne suis pas le seul dans ce cas-là, mais oui, j'en suis fier. Quand les gens me disent qu'ils ont arrêté de manger de la viande après m'avoir lu, ou qu'ils n'ont jamais commencé à en manger parce que leur mère m'a lu, c'est gratifiant. Savoir que la philosophie a ce pouvoir, c'est extraordinaire.»

Si le nom de ce grand bonhomme à la voix de baryton, vous connaissez forcément son héritage intellectuel. C'est en effet, en partie, grâce à son essai culte, «la Libération animale» (1975), qu'une frange croissante de la population occidentale s'est convertie au végétarisme, puis au véganisme (végétarisme qui, en plus de la chair animale, refuse de consommer œufs et lait). Et grâce à lui que la société commence à songer que le bien-être animal puisse exister. » 

Le philosophe fait, ici, basculer les priorités : ce n’est pas des trop riches que les gouvernements doivent s’occuper en tout premier mais bien des pauvres : viser la fin des inégalités financières c’est un grand changement. Augmenter les inégalités s’est s’obstiner au non changement. S’y montrer trop réfractaire ! Ici, nous vivons la vérification que la politique s’est enclavée elle-même, oui égarée, enfermée, rendue folle par une configuration toute irrationnelle. Qui est celle-ci : cette politique aurait un droit absolu à réformer sans cesse les autres. Mais à ne pas à se réformer jamais elle-même. A se croire politique de droit divin qui ne doit s’expliquer sur rien, rendre des comptes sur encore moins. Or ? Et c’est de la faute des lobbies (il y a des consanguinités qu’il vaut mieux refuser) si le politique est complètement désacralisée – elle est tombée d’elle-même dans le ruisseau où tout n’est qu’intérêts inavouables qui ne sèment que des conflits – elle ne peut plus, en surplomb, semer des réformes. Sans déminer tous les terrains qu’elle a elle-même miné ! Un telle politique doit être mise à la réforme. Ce sont ces politiques qui se sont mis dans des impasses insolubles. A force de se croire intouchables, en effet ils le deviennent. L’idée du tout serait mieux sans eux fait du chemin.

 

élus-:-qui-vole-un-oeuf-vole-tout

 

« Voler 150.000 euros à des enfants handicapés, et n’en rendre que... 30.000. Nous sommes en France pays des droits de (quelques) hommes. Ces « hommes/femmes » sont des élus, pas tous bien sûr pourris, mais même s’il n’y en avait qu’un/qu’une...

Cette racaille, alors qu’il était adjoint au maire de Pontoise, chargé du développement social pendant 3 ans à détourné, que dis-je, volé cet énorme pactole. Il a volé à l’association l’ANAIS qui intervient dans les domaines de l’éducation spécialisée, le travail protégé, l’hébergement et la vie sociale ainsi que le polyhandicape. Cela me rappelle Crozat président de l’association contre le cancer, qui dans les années 90 avait détourné lui aussi des sommes conséquentes. Ce qui me vient à l’esprit c’est pourquoi n’y a-t-il pas de vrais contrôles très stricts (il a fallu 3 ans pour coincer cet élu ripoux), et surtout regarder de près la moralité des « présidents », car pour un qui est attrapé, combien passent aux travers des mailles du filet percé ?

Ce Yannick Berthemat, du haut de son enflure, lorsqu’on lui a demandé ce qu’il avait fait des 150.000 euros, il a répondu sans se démonter : « qu’il ne s’est pas rendu compte d’avoir détourné autant d’argent, estimant le montant total à 30.000 ou 40.000 €, avant d’ajouter « Je ne sais pas ce que j’ai fait de cet argent. Je ne m’en suis pas rendu compte. » Il ne s’est même pas présenté devant la cour qui le jugeait, et personne n’a eu l’idée d’aller le chercher à coups de pompe dans l’arrière train. Franchement, un tel cynisme ça donne envie de réinstaller les buchers en place public non ? Berthemat gagnait à l’époque 4.200 euros par mois, soit plus de deux fois que ce gagne un professeur. Il a déclaré avoir fait quelques prêts aux salariés dans le besoin, mais il en aurait surtout fait bénéficier ses enfants en leur payant des voyages ou bien encore des appareils électroménagers. Si le prévenu assure avoir remboursé 30.000 euros sur les 150.000 euros détournés, l’association n’a constaté aucune entrée d’argent à ce jour [[tant que les crimes économiques ne seront pas…pénalisés mais juste euphémiser dans le circuit administratif (pas de prison que des amendes) ils continueront à rester autour de 90 % de toute la délinquance en…valeur. Le montant en argent de tout ce que les cols blancs volent à la société c’est 90 % du total de toutes les délinquances. Et, en général, les médias déshonorés ne parlent que des 10 % …Là - nous avons bien une possibilité de vrais changements. Cependant, la gent politique y demeure trop réfractaire : dépénalisant ce qui devrait être plus pénalisé que le reste – aucune circonstance atténuante à voler lorsque l’on déjà très riche !]].

Et ce cas est du menu fretin, notre pays est corrompu jusqu’à la moelle [[ corrompu par le haut ]], plus on monte dans l’échelle, plus la corruption coule de source et est même admise sous le label « tradition-on a toujours fait comme ça » [[ ce qui sonne complètement faux – et ressemble à des excuses d’enfants attardés…]]. L’argent en liquide touché par Claude Guéant l’ex ministre de l’intérieur qui était une habitude tenue depuis de Gaule, et bien pour 210.000 reçus, le Claude a été condamné à 75.000 d’amende...Cherchez l’erreur [[ il aurait aller direct en prison comme les « bons » citoyens…]]. Comme député, Dominique Tian dénonçait les fraudeurs aux allocations, mais cachait trois comptes en Suisse. A son procès pour blanchiment de fraude fiscale, 300 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité pour 2,5 millions de détournés [[c’est une forte incitation à détourner avec plus de 8 fois de… bénéfices (coût (sic) du détournement : moins du 1/8 ème du montant) – le minimum du « vrai changement » eût été la restitution de la somme complète PLUS cette amende, oui ou non ? Qui reste trop allergique à la Justice ?]] ! Je pourrais en citer des pages des comme ça, par Cahuzac et tous les saints ! Ce qui est étonnant de la part de la justice c’est que les pénalités sont toujours nettement inférieures à la somme du délit, donc, oui, le crime paie puisque encouragé par la cour. Logiquement dans toutes vraies démocraties, pour une somme détournée, c’est au moins trois fois cette somme qui doit être remboursée, d’où le nom amende, et non pas bonus, non ? Mais chez nous, nenni, tu voles, et si tu es à un certain niveau social et bien tu auras droit à la mansuétude des juges qui t’octroieront un ti chouia pour que tu te prennes des vacances. Il faut se tenir les coudes pour que la merdasse se perpétue [[ nous ne sommes surtout pas récalcitrants à la fin des grandes délinquances financières dans les classes faussement dites supérieures !]].

Oui là, faudrait nous expliquer est le changement véridique ? C’est « la même chose » en encore pire ! Ceci est-il le changement ou bien ce qui empêche le changement ? Pourquoi rester réfractaire à ces corruptions…si évitables serait un mal et y sombrer, en parasites flagrants, un bien ? Ce monde à l’envers qui se biffe sans cesse de toutes ses propres réalités afin d’inventer des fictions négatives sur les autres – n’est plus supportable. En clair, NOUS VOULONS DU CHANGEMENT et ce sont eux qui n’en veulent pas du tout…en prétendant que nous n’en voudrions surtout pas…Sauf que chaque jour leur marge de manœuvres se rétrécit. Il va devenir possible de tout dire en peu de mots ! La conscience collective s’amplifie…Le chiffre essentiel en 2018 c’est que les 10 % les plus riches de l’Humanité produisent 50 % de toutes les pollutions. Et les 50 % les plus pauvres seulement 13 %. Et que ces 50 % se voient tout le temps houspillés (par les grands délinquants cradingues premiers) à réduire ces… 13 %.  De combien ? Bingo de 400 % ! Et ce afin de résorber (magiquement) les grands abus des trop riches qui souillent tout…Et ce sans qu’un média complètement fou ne s’avise que de réduire ces 50%  (des 10 % de déréalisés au point de ne plus reconnaitre ce qu’ils font !) serait utile à tout le monde. Ce qui, en données corrigées (10 % c’est 5 fois que 50 % et donc ces trop riches commettent 250 % plus de pollutions par rapport à ces 50 % - afin de faire image qui les décoiffe à vie ! Ces 50 % de plus pauvres devraient d’urgence recevoir les médailles de grands Modèles écologiques : si nous voulons de « vraies » transformations, il en pleut de partout…Les « faux changements » : soit supporter leurs désastreuses réformes sans dire qu’elles ne font que tout empirer mais ne…changent surtout rien – par contre devraient être…à l’amende ! Soit obligation de changer chaque mot de ces désastreuses anti-réformes !

 

Comment-les-changements-?

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« Les gens commencent à réaliser qu’il existe un pouvoir de négociation, et qu’il est sous-utilisé ». La révolte des salariés s’accompagnerait donc désormais de celle d'une partie des ingénieurs, data scientists et autres développeurs convoités par l’entreprise. « Beaucoup de gens se réveillent un peu plus aujourd’hui, assure Matt Meshulam à BuzzFeed, et réalisent que nous n’avons pas vraiment notre mot à dire dans ce que nous fabriquons (...) Les gens commencent à réaliser qu’il existe un pouvoir de négociation, et qu’il est sous-utilisé. »

Il est légitime de s’interroger sur la réalité de ce pouvoir de négociation… Anna Geiduschek, ingénieure chez Dropbox, et dont le tweet (au sujet de son refus adressé à Amazon) a inspiré Matt Meshulam, est optimiste : « Si ce n’est que moi, cela ne change rien. Mais si 10% des employés menaçaient de quitter l’entreprise, ou si les entreprises avaient le sentiment que 10 % de leurs sources de recrutement se détournaient alors qu’ils auraient normalement accepté le job, alors cela passerait sous les radars de beaucoup de dirigeants [[ ces métaphores qui avouent que l’ampleur de compréhension de ces dirigeants est très faible, qu’ils sont incapables de discriminer les microchangements et qu’il faut du gras massif afin qu’ils se réveillent de leur long sommeil dogmatique signe bien notre vérification de cette conclusion « C’est le haut de la société qui est réfractaire aux changements nécessaires. Ces dirigeants ne savent absolument pas diriger !]]

Des-ingénieurs-publient-leurs-mails-de-refus-aux-offres-d-embauche-de-la-Silicon-Valley

Si on ne peut pas parler, évidemment, de boycott massif, ce même professeur assure entendre de plus en plus ses étudiants dire qu’ils refuseraient catégoriquement de travailler pour les grands noms de la tech, en particulier Amazon. Il ne se fait pour autant aucune illusion quant aux intentions des dirigeants, « pour lesquels business is business [[ cette phrase sordide est bien un refus borné des changements ! Un cache-misère qu’il faut absolument arracher…]] » et qui «ne comptent pas arrêter là - pour la reconnaissance faciale, chez Amazon, ils se disent "Ça pourrait être le futur!", et ils ne savent pas comment réagir face à des employés qui disent "Non, je ne supporterai pas ça".»… Les vrais et grands changements sont de notre côté …alors les conservateurs figés, rétrogrades, psychorigides, anti-progressistes, et régressifs qui « tentent de nous singer » cela ressemble à quoi ?

La-nature-des-changements

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Ce-qu'apportent-les-vrais-changements-?

« Les barrages internes au changement sont souvent ignorés de nous - parce que notre inconscient use de ruse pour nous les cacher.

 

Changer-pourquoi-changer-pas-pour-ces-fausses-réformes-en-tout-cas

 

L. Janin-Devillars distingue le « besoin de changer » de « l'envie de changer ». Le « besoin de changer » répond à une motivation négative : se soustraire à une situation qu'on ne supporte plus... Le besoin de se changer, lui, apparaît souvent dans un second temps : lorsque celui qui souffre de sa situation se rend compte que c'est sa propre personnalité qui l'y a conduit et/ou l'y tient enfermé. Il en est ainsi dans les « scénarios de vie » dont J. Cottraux dresse une liste : conflits à répétition avec les autres, choix répétés de partenaires insatisfaisants, incapacité de prendre une décision, accidents à répétition...

 

Ces barrages internes, L. Janin-Devillars les appelle « résistances »; J. Cottraux, « schémas cognitifs »; W. Pasini, « prisons internes » - appellations différentes pour des réalités très voisines. Ils se sont mis en place dès l'enfance, en général, à cause de la façon dont nous avons été traités, des modèles sociétaux et parentaux dont nous nous sommes imprégnés, des valeurs d’entourages que nous avons intériorisées. Ils se sont transformés en croyances qui égarent nos actes sans que nous nous en rendions compte, tant ils nous paraissent évidents [[ le vrai changement intervient lorsqu’ils ne sont plus évidents du tout !]] : « une femme ne doit pas chercher à dépasser les hommes », « un homme ne doit pas se montrer faible », « je ne mérite pas d'être aimé(e) », « je suis « nul(le) »...

Les barrages internes au changement sont souvent ignorés de nous - parce que notre inconscient use de ruse pour nous les cacher. Le camouflage le plus fréquent est la rationalisation : on se donne des explications rationnelles [[ pour les fausses réformes qui ne veulent inclure aucun « vrai » changement, cela ne fonctionne plus du tout !]]. Dans ces agences, vraiment il n'y a que des escrocs... Ainsi parvient-elle à se dissimuler sa peur des hommes. La rationalisation marche d'autant mieux qu'elle s'auto-entretient, notamment grâce à l'attention sélective : une personne qui justifie sa méfiance perpétuelle en clamant qu'il y a des voleurs partout ne verra pas les gens honnêtes, mais seulement les autres, dont chacun, en s'ajoutant à sa liste noire, la renforcera dans sa conviction qu'elle a raison de se méfier !

Vouloir vraiment changer est donc nécessaire, mais est-ce suffisant ? Non, dans les cas où un barrage intérieur fait obstacle, répondent à la fois J. Cottraux et W. Pasini : le recours à une thérapie sera souvent nécessaire pour comprendre d'où vient l'obstacle, et pour le franchir [[ chez les classes qui s’autoproclament supérieures alors que tout dans leurs comportements affirme le contraire, ces « barrages intérieurs » semblent bien les plus grands de toute la société. Personne qui ne résiste plusdéraisonnablement – aux changements qu’eux/elles !]]. Changer ne suffit pas ; encore faut-il « accepter le changement », comme l'écrit L. Janin-Devillars. Cela ne va pas de soi. Changer, c'est faire le deuil de ce que l'on quitte : son enfance, des camarades de travail... C'est aussi prendre le risque d'un pari sur l'avenir. D'où un trait de personnalité important à prendre en compte si l'on envisage de bouleverser sa vie : l'aptitude à rebondir après un échec. Ceux que le moindre revers abat et prive de confiance en eux-mêmes feraient bien d'y regarder à deux fois avant d'agir - ou alors, de commencer par changer…leur réaction à l'échec ! »…Ainsi sommes-nous dans la situation d’un monde à l’envers : où les plus réfractaires aux changements généraux et très massifs accusent (faussement) les autres de de pas vouloir de leurs désastreuses réformes (que 80 % de la population ne semble pas désirer)…mais se la jouent à la gonflette, aux dopages illicites en la faisant passer pour des refus inintelligents des changements. Des leurs oui car ILS N’EN SONT PAS. Mais des IMMENSES transformations, oui et tout suite. Boumbadaboum…c’est eux/elles qui s’entêtent à rester réfractaires aux immenses transformations !

Ce qui fait que la politique soit devenue « hétérotélique » (du grec hétéros, différent, et télos, le but). Soit que différent les conséquences initialement prévues des résultats réels des actions mises en branle.

 

………Que cela ne peut que se passer différemment de ce qui est…

 

……………………………….si mal envisagé au départ !

 

 

 

les-sachants-en-sachets

 

……………………(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que le vaste sentiment collectif nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

voici l’exemple d’un changement bénéfique en cours

voici l’exemple d’un changement bénéfique en cours

Les faux changements ?
C’est ce que Radcliffe-Brown avait pleinement compris : « L’unité fonctionnelle de la société traditionnelle est avant tout, écrit-il, un état dans lequel toutes les composantes du système social travaillent de concert, avec un degré d’harmonie ou de cohérence interne suffisant, c’est-à-dire sans engendrer de conflits durables impossibles à résoudre ou à endiguer. »..Le bourgeois cupide c’est celui qui vient tout casser, l’antisocial qui tire toutes les couvertures à lui ! A cause de ses corruptions qui deviennent invasives, il n’y a plus aucun projet sérieux pour la société !

C’est ce que Radcliffe-Brown avait pleinement compris : « L’unité fonctionnelle de la société traditionnelle est avant tout, écrit-il, un état dans lequel toutes les composantes du système social travaillent de concert, avec un degré d’harmonie ou de cohérence interne suffisant, c’est-à-dire sans engendrer de conflits durables impossibles à résoudre ou à endiguer. »..Le bourgeois cupide c’est celui qui vient tout casser, l’antisocial qui tire toutes les couvertures à lui ! A cause de ses corruptions qui deviennent invasives, il n’y a plus aucun projet sérieux pour la société !

ceci serait l’extase technologique – à fortement s’en méfier !

ceci serait l’extase technologique – à fortement s’en méfier !

Nous n’avons besoin ni du libéralisme ni du capitalisme : les 2 sont l’exact contraire du changement. Toujours la même rengaine simplificatrice ! Et qui exclut les gigantesques majorités de…tout !

Nous n’avons besoin ni du libéralisme ni du capitalisme : les 2 sont l’exact contraire du changement. Toujours la même rengaine simplificatrice ! Et qui exclut les gigantesques majorités de…tout !

le faux changement sous plastique ?

le faux changement sous plastique ?

jamais de changements artificiels – ce ne sont pas des changements mais des prolongations du même, habillé autrement ….

jamais de changements artificiels – ce ne sont pas des changements mais des prolongations du même, habillé autrement ….

ÉLUS VOLEURS - IMPUNITÉ PARLEMENTAIRE ?

La France le pays le plus corrompu d’Europe ? C’est une possibilité d’énormes changements. Qu’est-il fait en fait ? Rien ou quasiment, la résistance au sain changement ne va-t-elle pas, là, trop loin ?

Edward Goldsmith - Corporate Organized Crime (1992)…la délinquance c’est le corporate – c’est le trop de commerce qui souille les lois…

…comment peut-il y avoir un changement réel lorsque pour ces effondrés dominants tout n’est que …jeu ? Oui jeu, mumuse, pas sérieux, on s’en fout, jouer mais pas du vrai ? Par exemple ; « Dépasser l'illusion des pertes et gains »…oui devenir parfaitement inhumains. Et se prétendre « équanimes », soit (dans cette optique si altérée) indifférents à tout et à tout le monde.

Tant que les étiquettes seront plus importantes que les humains – il n’y aura pas assez de place pour de grands changements !

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