Les Humains ne sont plus fréquentables ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Les Humains ne sont plus fréquentables ?

La mauvaise réputation bien taillée. Ce qui est fortement injuste puisqu’une partie seulement des humains ternit la notoriété de tous. Les animaux sauvages changent de vie afin d'éviter les humains, puisque ce sont eux la sauvagerie dans les faits. Consumérisme irresponsable et obsolence-vite-aux-poubelles, seuls de grands voyous peuvent vivre ainsi. Qu’ils/elles se «déguisent» n’y change rien. Les humains représentent  0,010 % de la vie et ils empêchent  99,99 % des vivants de vivre normalement. Plus têtes à claques c’est possible ? Oui aider les animaux c’est, d’abord, arracher les racines corrompues (plus jamais consommer irresponsable et bannir toutes les obsolescences programmatrices). En plus, voir la réalité telle qu’elle est, soit qui polluent, qui font continuer les gaspillages devenus suicidaires, qui corrompt la société ? Les solutions existent mais nous venons de voir qu’un ministère de l’Écologie est assailli, sans cesse (et illégalement), par tous les lobbies (ils ne sont pas « représentatifs » selon la Constitution et aucune  législation ne leur permet de venir dévaliser les votes « représentatifs », tels des bandits de grands et petits chemins !). Seule évidence : sans biomasse plus de survie humaine. Donc plus de lobbies aussi. Ils accélèrent les destructions de la vie diversité (les végétaux c’est 76 % de toute la vie, son obligatoire variété) – leurs paroles ne valent donc plus rien. Et ? Les mamans plantent s’occupent de leurs bébés d’une manière très humaine pendant que les humains « laissent tomber » ces générations futures qui sont…déjà là (à force, elles devaient arriver ces générations…futures…), ces ados qui vivent auprés de nous, déjà tout aussi sacrifiés que les futurs ! L’urgence étant bien la transition économique – quitter le capitalisme – dès aujourd’hui !

Les compromis ont aggravés de 90 % toutes les situations ? Tous les gouvernements sont démentiellement anti-écologiques : pour des chimères de lunatiques, ils tuent « toute » la vie…nous devons stopper net ces barbares ! Oui, ces 10 % de trop riches qui cumulent 50 % des pollutions et qui assénant leurs grandes délinquances partout… Faut envoyer le message contraire aux animaux – que ces brutes, sans les médias qui se vendent aux plus offrants, se verraient bien plus contrecarrés en très direct. Nous ne sommes pas du tout d’accord avec eux. Chasser sans nécessité alimentaire est monstrueux. Animaux, faut pas nous fuir, la majorité reste fréquentable. Nous ne sommes pas comme ces casseurs au pouvoir. Mais vous dites, aussi, que cette majorité ne réagit jamais ? Laisse faire les voyous des sommets ? Ne tente pas de ramener à la raison les barbares avec de gros moyens qui vous menacent tant ?…Nous allons donc élargir la réponse « Tout a commencé en Tanzanie, il y a quelques années, où des caméras détectrices de mouvement ont observé que les antilopes, qui d’ordinaire se déplaçaient plutôt pendant la journée, favorisaient maintenant la nuit pour le faire. Les scientifiques se sont alors aperçus que le même phénomène se produisait chez les éléphants du Mozambique, les tigres du Népal et les sangliers en Pologne.

Les humains, principale cause de l’évolution : Kaitlyn Gaynor, une chercheuse de cette équipe, raconte: «Une fois que ce phénomène nocturne est arrivé sur notre radar, nous avons commencé à le voir partout.» Des dizaines d’espèces, sur tous les continents (sauf l’Antarctique), préfèrent vivre la nuit pour éviter les êtres humains. En 2001, dans un article pour le journal Science, Stephen R. Palumbi écrit que l’humanité pourrait être «la source d’évolution dominante dans le monde». Cette influence sur notre environnement ne se limite pas aux manipulations voulues, pour favoriser telle ou telle caractéristique sur un animal ou une plante. Nous transformons aussi le vivant involontairement. Par exemple, les filets de pêche attrapent les gros saumons et laissent passer les plus petits entre leurs mailles, réduisant ainsi la taille globale de l’espèce. Le bouleversement climatique n'est évidemment pas en reste.

 

Les-animaux-changent-de-mode-de-vie-afin-d'éviter-les-humains

Notre simple présence est perçue par la faune sauvage comme une menace. Et comme nous vivons le jour, ils préfèrent changer de rythme de vie plutôt que d'avoir à nous côtoyer. Pour Gaynor, cela pourrait amener certaines espèces à développer des nouvelles caractéristiques. La cornée des mammifères habituellement diurnes pourrait s’agrandir, leurs oreilles devenir plus sensibles, de même que leur odorat. Vraisemblablement, les évolutions de certaines espèces conduiront à des évolutions chez d’autres. L’étude montre par exemple que les coyotes californiens ont investi la nuit et commencent à chasser des rongeurs qu’ils délaissaient auparavant. Ces derniers vont donc probablement à leur tour changer leurs habitudes et sortir pendant la journée. La vie est un éternel recommencement. Il y a des millions d’années les petits mammifères vivaient la nuit pour éviter les dinosaures qui dominaient la planète. Ce n’est qu’après leur extinction qu’ils ont pu progressivement sortir de leur vie nocturne. »…et y retournent afin d’échapper à des fous inconscients qui ne connaissent rien des vivants et saccagent tout en ne voulant pas savoir qu’ils font partie de cette vie qu’ils piétinent sans même savoir….pourquoi !

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Les-villes-ont-accéléré-l'évolution-des-espèces:-en-200-ans-et-non-des-milliers-d'années

L’hostilité des villes accélère l’évolution des espèces. Oiseaux, rongeurs et plantes s’adaptent à la ville, qui en chantant plus fort et plus haut, qui en s’armant contre les métaux lourds qui en modifiant les caractéristiques de ses graines. Beaucoup plus vite qu'on ne le pensait [[ si nous pouvons appeler cela “penser”, ne se soucier de rien ni de personne, ne se préoccuper d’aucune des conséquences de ses actes désordonnés et se comporter un robot violent ignorant tout de la réalité du monde vivant ?]]. Comme le faucon pèlerin ou la buse à queue rousse, le merle a envahi les villes. Il n’est pas rare de le voir squatter balcons et jardins. Mais le merle de bitume est différent de son homologue d’il y a 200 ans. Il a un bec plus long, une voix plus haut perchée, et migre moins. Beaucoup de ces différences sont des traits d’adaptation au milieu urbain, comme le fait de chanter plus haut pour pouvoir se faire entendre au milieu des klaxons. Elles sont le résultat d’une évolution génétique de l’oiseau, depuis 200 ans. Pendant longtemps, les biologistes ont pensé qu’il fallait des milliers d’années pour qu’une espèce évolue. Mais ils sont en train de se rendre compte que cette évolution peut aller beaucoup plus vite, et particulièrement dans les milieux hostiles, difficiles, où la sélection naturelle est plus rude, comme en ville.

 

Des graines de plus en plus lourdes : Le phénomène ne touche pas que les merles, constate Menno Schilthuizen, biologiste spécialiste de l’évolution, dans le New York Times. La souris à pattes blanches, qui peuple les parcs de New-York, est plus résistante aux métaux lourds, probablement parce que les sols de la mégapole américaine sont plein de plomb et de chrome. Certaines souris ont développé un système immunitaire plus performant, peut-être parce que les maladies se développent plus dans les endroits à forte densité humaine, postule un autre biologiste, Jason Munshi-South. En France, des chercheurs de l’université de Montpellier ont réalisé que le crepis, une plante vivace à fleurs jaunes que l’on trouve au bord des trottoirs et au pied des arbres qui scandent les avenues, et qui d’habitude produit deux types de graines - des légères et des plus lourdes - produisait de moins en moins de graines légères. Pas étonnant, selon Menno Schilthuizen, puisque les graines légères ont plus de chances d’être emportées au loin, sur le bitume, où elles n’ont aucune chance de pousser…«Nous, les biologistes de l’évolution, sommes en train de troquer notre matériel de camping sauvage pour des tickets de métro, et étudions désormais l’herbe des villes et les moustiques qui envahissent les appartements plutôt que les orchidées des forêts et les oiseaux des montagnes», conclut le scientifique dans le New York Times. Mais que les évolutions de l’évolution fassent évoluer les biologistes de l’évolution, quoi de plus naturel, après tout?

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Comment les mamans plantes parlent à leurs embryons ? Oui les plantes maternent : plus des humains s’égarent dans l’insensibilité et la destruction aveugle de tout (pour des buts carrément inavouables) plus la Nature nous dévoile sa…toute splendeur…oui les plantes « parlent » à leurs bébés. Cela les grosses brutes en costards-cravates, les cerveaux complètement lobbyifiés, pire que lobotomisés c’est dire, feraient bien de l’apprendre. Ainsi que les sous-titres ; ILS FONT tellement HONTE, oui honte à l’Humanité. C’est l’échec de vie que ces mécaniques cupides, de ces arriérés de brutalités et sans plus un gramme de sensibilité. La honte complète : ce sont les voyous 2018, ces marginaux dont la société réelle ne veut plus !… « Le mystère vient tout juste d'être percé, mais pose de nouvelles questions sur la reproduction végétale.

Si la grossesse humaine et la reproduction végétale semblent a priori très différentes, il existe cependant certains parallèles, notamment dans la manière dont l'embryon se développe en lien étroit avec la mère. Chez les animaux, on sait que des signaux maternels jouent sur ce développement, une régulation là aussi présente chez les végétaux, sans que la nature précise de ce signal ait été connue. Une étude vient enfin de combler cette lacune. Menée par des scientifiques affiliés notamment à l'Institut autrichien des sciences et des technologies, elle montre comment une hormone végétale, l'auxine, est l'un des signaux permettant à la maman plante de communiquer avec son embryon et d'en réguler le développement : «Les botanistes ont essayé de décrypter la nature du signal entre une mère et son embryon depuis des décennies», explique Jiri Friml, l'un des auteurs de l'étude. «Nous montrons que la mère est la source de l'auxine qui régule les premiers stades de développement embryonnaire». En analysant entre autres la biosynthèse de l'hormone, les scientifiques ont été capables de démontrer que le tissu maternel englobant l'embryon dans une graine commence à produire davantage d'auxine après la fertilisation, comme si la mère «disait» à son embryon de se mettre à se développer.

En outre, cette production d'auxine régulée par les tissus maternels est cruciale pour l'embryon: lorsque cette production est stoppée, l'embryon ne se développe plus correctement, même si l'embryon produit lui-même l'hormone. Un phénomène laissant cependant entendre que l'auxine n'est pas la seule responsable du développement embryonnaire. «Lorsque nous avons stoppé la production maternelle d'auxine, précise Friml, l'embryon s'est développé anormalement, mais a quand même réussi à se développer.» Un autre mystère à éclaircir... ». L’UNITE de la vie est telle que les voyous destructeurs de la vie n’ont aucune excuse puisqu’ils détruisent « toute » la vie. Dont la notre alors qu’ils braillent sécurité, que leur système est le seul qui protège…en eux, tout est fake, faussé et faux…ce sont eux l’insécurité dont nous devons nous protéger…en abolissant leurs système de fous pour des fous !

>>>> -- *** Là où le bât blesse ? Là où sont les blocus contre les grands changements nécessaires ? Chez ces politiciens justement…Les chercheurs en biologie de conservation alertent depuis 40 ans sur l’effondrement de la biodiversité, nous sommes entrés dans la 6e extinction massive de l’histoire de la Terre, et pourtant, les choses ne font qu’empirer. Est-ce à cause d’un manque de connaissances ? D’un manque de solutions ? Deux chercheurs du CNRS se sont penchés sur la question en analysant plus de 13 000 articles, soit l’ensemble des publications de la discipline parues dans les 9 plus grandes revues de biologie de conservation entre 2000 et 2015. L’analyse du travail de ces plus de 100 000 chercheurs à travers le monde entier est sans appel : la lacune ne vient pas d’une méconnaissance du phénomène mais d’un manque d’ambition politique [[faire de la politique un métier rend bien incapables de diriger la société – trop de narcissismes et pas assez de réalités das leurs têtes - Abolir les politiques de métier n’a plus que des avantages !]]. Des solutions existent, sont connues et ont déjà prouvé leur efficacité, mais pour les mettre en place, il faut reconnaître qu’entre préservation de la vie et développement économique, il n'y a parfois pas de conciliation possible. C’est ce que nous explique Laurent Godet, chercheur au CNRS et l’un des deux auteurs de l’étude publiée le 10 septembre dans Trends in Ecology and Evolution.

Usbek & Rica : Que vous a appris la compilation des travaux de recherches de ces quinze dernières années ? Laurent Godet : Le premier résultat fort, c’est qu’on ne s’attendait pas à ce que le constat de la crise de biodiversité soit si net [[normal avec les médias menteurs qui mélangent tout et noient tous les poissons. Ils outrepassent largement l’espace qui leur conviendrait et ne sèment que confusions – des études récentes prouvent que les citoyens se plaignent nombreux « d’être trompés massivement par ces médias braillards et non…par internet]]. La crise est documentée de façon incontestable : elle est planétaire, très rapide et touche tous les groupes taxonomiques : mammifères, invertébrés marins, insectes…On confirme de manière très robuste les 4 causes de cet effondrement. La fragmentation de l’habitat est vraiment la première cause. Puis viennent les espèces invasives, la surexploitation des ressources et les extinctions en chaîne. [Plus d’explication sur ces « 4 cavaliers de l’apocalypse » dans notre interview de Philippe Bouchet, du Muséum national d’histoire naturelle]].

La-survie-du-monde-vivant-doit-passer-AVANT-le-prétendu-développement-économique

À ces causes historiques s’ajoutent deux choses : le changement climatique et les changements d’occupation et d’usage des sols à très grande échelle [[ lorsque « la » propriété fanatique tue « les » propriétés de la vie…une fois de plus, le bourgeois c’est le casseur, l’émeutier fou !]]. On ne parle plus seulement aujourd’hui que des forêts tropicales ou des léopards, toute la biodiversité est affectée. Des espèces communes, autrefois abondantes, ne disparaissent pas forcément mais s’effondrent en nombre d’individus. Et on prédit que la situation ne fasse qu’empirer. Vous dites pourtant aussi que des solutions existent…Oui, on relève deux types de bonnes nouvelles : des retours spontanés de la nature et l’efficacité des mesures de protection [[ ce pourquoi les gouvernements « capitalistes » ne les généralisent pas…et suivent les ordres fous des lobbies incultes !]].

>>> -- *** Il y a d’abord un retour spontané de certaines espèces, de grands prédateurs en Europe par exemple. En France, le loup est revenu depuis le début des années 1990 via l’Italie, par le parc du Mercantour. Ce « réensauvagement » de milieux opère là où il y a disparition de l’activité agro-pastorale, où l’étau humain se desserre. En France, il y a notamment un retour de friches dans le Massif central ou en moyenne montage alpine ou pyrénéenne. On a un retour progressif de couverts forestiers, ce qui est le milieu naturel à l’échelle de l’holocène, soit la période interglaciaire actuelle comprenant les 10 000 dernières années. C’est encourageant pour la biodiversité.

>>> ** --- L’autre bonne nouvelle, c’est que des mesures de protection fonctionnent très bien. Toujours en France, la loi sur la protection de la nature de 1976 et ses décrets d’application ultérieurs ont permis des retours spectaculaires. Les rapaces et les hérons étaient devenus très rares dans les années 1970 et sont plutôt communs aujourd’hui. La protection des espaces est aussi efficace : la mise en place de réserves ou de parcs naturels marins permet des retours et la redynamisation de populations.

Les chercheurs sont-ils coupables de ne pas assez valoriser ou plaider pour ces solutions ? Dans la communauté scientifique, on est en général très prudent quand on produit des résultats et encore plus quand il s’agit de faire des recommandations. On a tendance à proposer des choses très consensuelles, à faire des compromis [[ seule manière de se faire « écouter » par les financiers devenus pires que des fanatiques !]] en oubliant que nos propositions seront ensuite à nouveau discutées, débattues et amoindriesDonc la biodiversité s’effondre parce qu’une certaine culture du compromis empêche de mettre en place les solutions ? [[ une fois de pire, le trop religieux bourgeois s’octroie toutes les excuses et, dans un entêtement maladif, refuse de modifier ce qu’il fait si mal et, en bour de course, empire tout. Tout en délirant que c’est parce qu’il est constaté que ses impacts sont très dommageables qu’ils le sont : pour ce détraqué pas de constats objectifs de ses dommages et pas de dommages---des compromis avec ce bloc d’absurdités c’est PIRE QUE LE CONFLIT ! Ce blog l’a assez prouvé…]]

Il faut sortir de cette idée que tout est toujours conciliable, que l’économique et l’environnemental sont toujours compatibles. Il faut arrêter avec cette utopie infantilisante du développement durable. Oui : protéger la biodiversité implique parfois de stopper des projets de développement économique. La fake conciliation privilégie toujours l’économie aux intérêts environnementaux. [[ ce qui est une puissante déraison ! Un déni inacceptable du réel…]]. La protection des espèces et des espaces souffre de ces compromis : les zones protégées ne le sont pas vraiment lorsque le tourisme et les activités agro-pastorales y sont présentes. Les sols vraiment protégés dans des réserves biologiques intégrales ne concernent que 0,02 % du territoire métropolitain français  [[ les compromis à la con nuisent donc à 99,98 % des territoires…les faux dialogues antisociaux des gouvernements non représentatifs doivent être toujours refusés ! C’est à eux de changer, pas à nous…]].

« Il faut simplement admettre qu’on ne peut pas faire du “en même temps” partout »…Le même esprit de conciliation nuit aux espèces protégées. Des espèces menacées sont juridiquement protégées mais on autorise pourtant leur chasse sur le territoire national, c’est complètement paradoxal. Le loup, par exemple, bénéficie d’un statut de protection fort au niveau national et par la convention de Berne. Mais sur une population de 430 individus, on autorise d’en tuer 40, soit 10 % de la population. Il y a plein d’exemples : sur la soixantaine d’espèces d’oiseaux autorisés à la chasse, [[ chasseurs qui se prétendent écologistes : où cela donc, sur Jupiter et ses satellites ?)…20 sont sur la liste des espèces menacées de l’UICN.

En outre, le compromis ne satisfait personne. Prenons l’exemple du râle des genêts. Cette espèce d’oiseaux niche dans les prairies humides. Il faudrait que les agriculteurs ne fauchent les prairies qu’à la mi-juin pour ne pas écraser les femelles et leurs œufs avec. Mais la négociation a imposé un compromis de fauchage début juin. Résultat, les râles sont écrasés et l’agriculteur n’est pas non plus satisfait parce qu’il perd en rendement. Il faut simplement admettre qu’on ne peut pas faire du « en même temps » partout.

Vous semblez rejoindre Hulot qui affirmait en démissionnant de son poste de ministre d’état de la Transition écologique et solidaire que notre modèle économique était incompatible avec la lutte contre les périls écologiques [[ pas une découverte un constat qui datait de bien avant lui…mais qui s’est toujours vu si censuré par les indignes médias d’argent…Résultats ? Pas de transition et pas d’écologie…oui mais vous savez, nous vivons avec l’argent de la publicité…Conneries. Bullshit : ne transigez plus jamais et vivez avec l’argent des solidarités actives…]]… Complètement. La biodiversité est au bord du gouffre. L’enjeu est la survie de la communauté du vivant, à laquelle nous appartenons [[ si nous tuons la vie, la nôtre non plus ne sera pas possible ! Et les enfantillages hystériques, pubs, profits, propagandes…non plus !]]. Ça doit passer avant le développement économique. Un autre message fort de Nicolas Hulot était le refus de se contenter des « petits pas »[[ genre 3 pas en avant et 2 pas en arrière…]]. Ces petits progrès sont toujours bons à prendre, mais cette politique des petits pas n’est pas suffisante étant donnée l’urgence de la situation. « C’est pour sa valeur intrinsèque qu’il faut préserver la nature, pas au nom d'une vision utilitariste ou anthropocentrée qui ne repose sur rien d’un point de vue conceptuel [[ l’esprit marchand n’a jamais Rien compris aux « contenus » ce pourquoi il est plus que mal placé pour les…censurer. C’est sa propre connerie « structurelle » qu’il doit censurer !]]»

Un tel changement de cap impliquerait un changement radical des mentalités. [[ déjà fait…]] Notre vision du monde ne constitue-t-elle pas un blocage profond au sauvetage de la biodiversité ? La biodiversité n’est pas qu’un catalogue d’espèce, c’est un ensemble d’écosystèmes remplissant un certain nombre de fonctions. On a tendance à regarder ces écosystèmes en fonction de ce qu’ils nous rapportent [[ quelle vulgarité d’extrêmes voyous…]] : une espèce fournit tant de dollars par an de services écosystèmiques, une forêt est un espace récréatif, une rivière rend tel ou tel service. C’est une vision prédatrice qui nous donne l’illusion qu’on peut quantifier la nature par rapport à ce qu’elle nous apporte. Mais c’est pour sa valeur intrinsèque qu’il faut préserver la nature. Protéger la nature pour ce qu’elle nous apporte implique que le vivant soit là pour nous, c’est au fond une vision créationniste du monde. »…ce pourquoi le capitalisme est non une raison, une rationalité mais une idéalisme métaphysique qui est toujours en complet délite : tout ce qui est irrationnel y pullule et il n’a jamais fourni une RAISON valable, même pas une, à sa continuation…Alors, pour les animaux, limiter sa folie ?

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La-consommation-durable-un-levier-pour-l'Europe

« Les problématiques liées à l’obsolescence programmée dépassent les enjeux socio-économiques, pour toucher également à la santé publique et à l’éthique professionnelle (déchets envoyés dans les pays en développement, par exemple). Cette situation pourrait toutefois constituer un avantage pour les entreprises qui fabriqueraient des produits durables. Celles-ci pourraient espérer tirer parti de la désaffection des citoyens européens devant les produits « jetables ». Pour y parvenir, les solutions ne manquent pas. La première consisterait à mettre en place un dispositif d’affichage de la durée de vie des produits. Ce dispositif présenterait l’avantage d’être peu onéreux, et surtout de redonner le pouvoir au consommateur. Testée en 2015 sur plus de 3 000 consommateurs européens répartis dans quatre grandes zones géographiques, cette solution a fait ses preuves. Les consommateurs qui repèrent l’information sur la durée de vie des produits sont prêts à acheter plus cher des produits plus durables. La boucle est donc vertueuse puisqu’elle profite aussi bien au consommateur qu’à l’entreprise. Extension du système de garantie, réorientation des dépenses publiques… Des solutions complémentaires existent, sur lesquelles pourraient s’appuyer les futures politiques européennes. Un groupe de travail rassemblant des représentants d’entreprises, des consommateurs, des environnementalistes et des syndicats a permis d’en identifier une vingtaine, listées dans notre dernier ouvrage, Déprogrammer l’obsolescence.

Quasi-unanimité contre l’obsolescence programmée : Aujourd’hui, toutes les composantes de la société civile et l’ensemble des formations politiques, à l’exception des mouvements populistes, s’accordent à considérer que l’obsolescence programmée est un sujet majeur que la Commission européenne doit désormais prendre en compte. Pour preuve, l’avis que nous avions proposé en octobre 2013 au Comité économique et social européen avait été voté à la quasi-unanimité. Il en a été de même en juillet 2017 lors du vote d’une résolution du Parlement européen sur le sujet. La récente reconnaissance par Apple de ses pratiques de vieillissement anticipé, la recevabilité d’une plainte contre le groupe Epson, tout ceci prouve, s’il en était encore besoin, la réalité des pratiques non conformes. Celles-ci sont en conflit avec l’idéal d’une Europe initiant une transition économique plus juste et plus responsable. »…

 

Une fois de mieux, il saute aux cœurs et aux esprits que tout peut...

………recommencer : en commençant par CHANGER D’ÉLITE !

Ceux aux pouvoirs sont devenus ennemis de…tout – leurs absurdes amertumes ne doivent pas tout rouiller ! Dérouillons-nous d’elles / d’eux !

 

……………......……. (à suivre)

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>   -   ANNEXE   -- <<<<<<<<<<<<<<<<<

Pour-la-sauvegarde-de-la-planète-marcher-ne suffit-pas      il faut faire marcher le front d'opposition !

Ainsi, afin puisque de protéger c’est animaux c’est de comprendre vraiment ce qui les menace qui marche le mieux…« Les données confidentielles fournies par les initiés de l’industrie maritime en fonction de la taille du moteur et de la qualité du carburant généralement utilisé par les navires et les voitures montrent que seulement 15 des plus grands navires du monde peuvent émettre autant de pollution que tous les 760 millions de voitures du monde. Le carburant de soute de navire de faible teneur (ou le mazout) a jusqu’à 2 000 fois la teneur en soufre du carburant diesel utilisé dans les automobiles européennes, asiatiques et américaines. La pollution des 90 000 navires de charge mondiaux entraîne 60 000 décès par an et coûte jusqu’à 330 milliards de dollars par année dans les coûts de santé liés aux maladies pulmonaires et cardiaques !

La pollution par les navires reste l’une des parties les moins réglementées de notre système mondial de transport. Aujourd’hui, les entreprises maritimes ne réalisent pas moins de 450 milliards de dollars de bénéfices. Entre les mains d’une poignée de personnes, ces entreprises contrôlent notre système de consommation. De plus, chaque année, on comptabilise 122 naufrages, soit un naufrage tous les trois jours pour des navires de plus de 300 conteneurs. Tous les ans, 1,8 million de tonnes de produits toxiques contaminent nos mers, soit 5 000 tonnes par jour. C’est ce qu’on appelle les « marées blanches ». Bonjour les immenses dégâts ! Une seule organisation a les moyens de prendre des mesures restrictives pour faire cesser ce scandale et cette tragédie, c’est l’OMI (Organisation Maritime Internationale) qui siège au sein même de l’ONU. En revanche, celle-ci est dirigée par les pays possédant les plus grandes flottes de cargos. Et qui sont-ils ? Le Panama, le Liberia et les Îles Marshall… Des pays qui permettent à ces navires de complaisances de passer inaperçus dans les hautes mers. L’OMI est donc aux mains des pays qui vendent leur nationalité aux armateurs les moins consciencieux [[ capitalisme = système du grand banditisme organisé ?]].

Les transports aériens, en augmentation constante avec l’avènement de compagnies à bas coût, sont une cause majeure de saccage de la planète. Et là encore, comme pour le transport maritime, le kérosène est détaxé ! Dès lors, au-delà du baratin des lobbies, [[…les gouvernements tous anti-écologiques (Hulot les a fait avouer) doivent changer à 100 % de politique…]], il serait primordial et même indispensable de taxer fortement les carburants du transport maritime et du transport aérien. Ou encore les tracteurs monstrueux de l’agriculture. Sans oublier les poids lourds qui s’arrangent toujours pour échapper aux taxes qui retombent sur les malheureux automobilistes. Et au passage remettre en route la fameuse Taxe carbone que les gouvernements précédents ont  lâchement abandonnée devant les exactions et les vociférations de quelques égoïstes irresponsables.

Tout le monde y gagnerait, les activités locales fusillées par ces transports tricheurs pourraient se développer, et la Terre respirer un peu mieux. »

                                      ….et donc bien mieux survivre les animaux !

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste indignation nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est bien pire

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Les Humains ne sont plus fréquentables ?
Dans le monde entier, les animaux de toutes races adoptent un mode de vie nocturne | Nacho Ronchon via Unsplash CC

Dans le monde entier, les animaux de toutes races adoptent un mode de vie nocturne | Nacho Ronchon via Unsplash CC

Qui sont donc les véridiques voyous ? C’est une incitation à vivre comme des casseurs, comme des destructeurs des biens communs, de la vie terrestre qui appartient à toutes et à tous.

Qui sont donc les véridiques voyous ? C’est une incitation à vivre comme des casseurs, comme des destructeurs des biens communs, de la vie terrestre qui appartient à toutes et à tous.

très euphémiste (source : un journal conservateur)

très euphémiste (source : un journal conservateur)

Car ? Obsolescence programmée = tellement plus de déchets. Donc claire non rationalité…

Car ? Obsolescence programmée = tellement plus de déchets. Donc claire non rationalité…

Les Humains ne sont plus fréquentables ?
Agir contre ceux qui rendent la vie invivable sur Terre est un grand service à rendre aux animaux…faut enlever les racines du mal…le consumérisme tue plus que tout autre manière de vivre…

Agir contre ceux qui rendent la vie invivable sur Terre est un grand service à rendre aux animaux…faut enlever les racines du mal…le consumérisme tue plus que tout autre manière de vivre…

les animaux dits sauvages ont des parents

les animaux dits sauvages ont des parents

la flore dite sauvage aussi…

la flore dite sauvage aussi…

Les Humains ne sont plus fréquentables ?
ce sont les animaux ou les profits – pas les 2 en même temps…

ce sont les animaux ou les profits – pas les 2 en même temps…

La biomasse qui était la principale source d’énergie avant…l’ère du pétrole, est encore la première source d’énergie renouvelable au monde. Oui à condition d’abandonner à la seconde toutes les énergies fossiles qui…détruisent la biomasse (dont les ¾ vient des végétaux).

Comment la mort de la vie, les villes irrationnelles, ont distordues les espèces vivantes ?

Le modèle publicitaire est-il inadapté à la transition écologique? L’urgence étant la transition économique – quitter le capitalisme –la réponse est oui, la publicité est une pollution affective nuisible. Et si l’obsolescence est…programmée il faut …Déprogrammer l’obsolescence solutionne Thierry Libaert

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