Les nouvelles autogestions ?
Bon, les médias sont chouravés par l’argent, et cela ne leur réussit pas. Il achète aussi la politique et elle n’est plus elle-même. Pourquoi le dire ? C’est que Tout est fait pour retirer le piment de la moindre info, nous allons l’y remettre ! Si tout est sur-trié afin que ce triste flot nous décourage, démotive, nous fasse perdre l’immense joie de vivre. C’est raté. Elle est plus bigre qu’avant ! Pourquoi ? Leur espace de manœuvre c’est, en réalité, plutôt de 20 % de ce réel intégral. Ils y sont stupidement coincés. Nous pas – mais quoi donc ? Qu’est-ce que vous dites ? Simple, si tu veux avoir une vie « sociale » (antisociale en fait !) réussie (carrément le désastre de la vie intérieure que cette fake réussite !)…oui la vie minable élogiée par les médias mercenaires, ben ouais, les apparences laissent penser que tes espaces sont plus restreints que cela. Faux, très faux. Mais nous parlons, ici, de la conscience augmentée naturellement. De l’existentiel hyper excitant, de l’aventure au coin de la rue qui s’offre toutes les gratuités de l’univers. De quoi tu ne croirais pas ? Tiens, si tu contemples, t’es les temples c’est écrit dedans. Tu te fous du temple, il te contemple quand même. Bon, cette introduction-verve c’est afin de bien se distancier de « leurs » corruptions puisque nous n’avons rien à voir avec ces cochonneries. Nos vies valent tellement plus que leurs faux profits – faux puisque ce sont des coûts comme les autres - seulement reportés sur les voisins. C’est que, sauf en métaphysique gâteuse, le profit-génération spontanée, qui se fait des petits tout seul, hé bien cela n’existe pas…l’argent matérialiste n’est surtout pas hermaphrodite ! Les lunatiques idéalistes capitalistes sont fous dès le départ. Rien de sérieux, rien de rationnel, rien d’essentiel en eux : qu’ils ne soient plus là cela n’ira que mieux. Disparus à la seconde des mémoires. Ils/elles n’auront été que des parasites qui se la jouent prédateurs. L’immense tâche c’est de déjouer ce qu’ils se la jouent. A l’horizon assez proche nous les voyons perdre, tomber et s’aplatir sur la réalité rugueuse qui aura tout retourné contre eux. Boudaboum !
D’entrée, entrons (et participons) au circuit mental qui peut aboutir à L’INVERSE de cette désorganisation sociale…« Ainsi, l’association créée pour répondre aux contraintes institutionnelles extérieures (assurances, bail, compte en banque) ne devait avoir aucune activité dans le collectif (il n’y a pas de bureau et jamais d’assemblée générale) [[ déjà la certitude que pour vivre du nouveau faut se casser de tous les cadres actuels, parait bien plus forte que toutes les jacasseries genres c’est pas possible, on va se faire gauler, cela va être source de conflits internes et ça ne fonctionnera évidemment pas… Et n’a même pas besoin de l’incidente « mais qu’en savez-vous, vous qui pailliez ainsi ? »…l’évidence est que ce système est le plus mauvais possible, le plus nuisible pour les grandes majorités et que nos essais impertinents ne pourront qu’améliorer nos vies dans ces enclavages ennemies !]]. La responsabilité individuelle des membres de l’Amap devait être le maître mot de notre fonctionnement (si personne ne sent le besoin spontané de préparer les paniers de légumes, c’est que l’Amap n’a pas de sens et alors il vaut mieux la fermer). Ces pratiques simples entraînent un sentiment fort d’être membre d’un collectif porteur de confiance et d’entraide : clés du local en libre service, absence de contrôle dans la prise des paniers, espace de produits à la vente avec paiement direct dans une boîte et sans aucun contrôle [[et toc en plein dedans : ils ont quitté l’idéologie de la sécurité et savent, désormais, à quel point l’insécurité c’est de subir les irresponsables capitalistes. La moindre « instrumentalisation » qui vient de leurs corruptions mentales ne peut que s’avérer liberticide pour les autonomies individuelles. Ici, le flicage des autres n’entre pas : tu veux la clé, prends, je vais pas te demander pourquoi : si tu œuvres notre autogestion, c’est que tu t’autogères toi-même déjà. Pourquoi contrôler ce que tu prends ou paies puisque le fonctionnement global nous tient à cœur hé bé pour que cela continue. Avoir confiance ouvre tout. Et ces politiciens déshonorés ou ce capitalisme de parasites (accro à ses volé.e.s) va bientôt ressentir à quel point la défiance à 100 % à leur égard empêche leurs membres de vivre la liberté de mouvement. Oui c’est possible parce que les cœurs le veulent. Dans cet autogéré, il n’y a rien de l’indigne société qui pourrit les rapports interindividuels comme les rapports sociaux. En brisant le fonctionnement actuel à ne servir que les cupidités insensées de quelques marginaux du libéralisme – nous accédons à la vraie vie. Le succès radical est dans ce qui ne se voit pas : ces ensembles de décisions – ne rien faire et ne rien ressentir comme la société, rendue délinquante par les sommets, voudrait nous y contraindre. Avec nous elle a perdu. Et cette certitude que nous pouvons toutes et tous gagner contre elle va se répandre. Il suffit de s’organiser autour de rien qui lui ressemble !]].
Manifeste-des-Dionys-Coop en fait ceci est de l’autogestion libertaire…mais s’il est préférable, pour démarrer de ne point y insister, cet emballage est, alors, très bon…
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Tout membre des Diony-Coop peut, de sa propre initiative, passer une commande à un producteur. Pas de contrôle ni d’informatique de contrôle [[ on fait tout à la main même les tu veux un coup de main !]].
Revue-ballast.fr/Benoit-Borrits
À Diony-Coop, chaque coopérateur et chaque coopératrice est responsable de ses achats et doit lui- ou elle-même en calculer le montant [[ personne ne le fera à sa place, cela le concerne directo, et pourquoi penser à mal – puisque de parvenir à ressentir ceci c’est bien parce que nous vomissons ce système le pire possible – et que EN RIEN nous allons reproduire le plus petit détail de celui-ci. En cela, il a déjà perdu, il est obsolète, c’est du passé – plus personne qui a goûté autre chose ne veut revoir sa gueule en porte de prison. Ses faux dirigeants ne sont que des matons, c’est bien connu !]]. Autre point fort, la commission a décidé d’abandonner l’outil informatique pour revenir à une gestion manuelle, sur papier, des données financières [[ ne participant surtout à la compulsion maniaque des profits qui ne peuvent exister puisque c’est toujours aux détriments des autres : aucun profit auto-produit ne peut exister, il ne s’augmente pas par magie non il s’augmente en diminuant la part respective des autres. En prenant ailleurs. La folie de croire que l’argent fait des petits en dormant ne fonctionne plus : tous les tenants du capitalisme ne peuvent que se discréditer toujours plus : clair qu’ils ne savent pas du tout ce qu’ils/elles disent !]].
Pendant trois ans, les 250 familles amapiennes avaient eu la possibilité d’acheter des produits bio et du commerce équitable via trois armoires mises à leur disposition dans le local de Court-Circuit [[ court-circuiter la grave maladie mentale capitaliste !]]. Le paiement des produits était assuré directement par les amapien·nes, sans contrôle. Dans la foulée de cette expérience, les membres de la commission ont décidé de rompre définitivement [[ pas trop tôt ! sans marchands rien ne peut nous transformer en marchand-ises ! ]] avec le système commercial classique en abandonnant le principe de la caisse par laquelle devrait passer chaque coopérat·rice, afin d’établir la valeur de ses achats [[ donc un capitalo détraqué ne pourra pas partir avec la caisse centralisée puisqu’il n’y en pas]]. Cette commission a bien entendu mis en place des procédures amplifiant toutes les responsabilités individuelles. »…Clair : si le capitalisme et ses faux dirigeants se délirent irresponsables, nous ne devons surtout pas les imiter. Mais bien nous admettre responsables de tout et de tout le monde. Combien de millénaires avaient d’avance sur nous ces amérindiens clarifiant que, socialement, tous les enfants sont les enfants de la tribu ? Chaque adulte proche s’occupe de lui si ses parents sont ailleurs, parents qui aussi parents qu’en occident mais épaulés et aidés tout différemment (tout le monde est oncle ou tante de tous les enfants). Le bien-être de chaque enfant est le bien-être de tous, tout le monde se préoccupe de tout le monde mais non en envahisseur, seulement en bienveillant associé-té (la société vient de s’y associer librement !) : pouvons-nous trouver plus simple et plus efficace ? Il n’y a jamais aucune interruption des socialités – interruptions que les pervers libéralistes saisissent pour inventer, de toutes pièces, des faux problèmes sans fin et qu’ils feront tout (ensuite) afin de ne rien résoudre). »
Ou comment préférer l’autogéré au coopératif qui, par son capital [[obligatoire de départ – imposé par l’illégalité capitaliste ]], reste tout de même attaché au capitalisme…un poil « d‘instrumentalisation» peut pourrir tout le fruit ! Ce qui ne veut pas dire qu’il faille larguer, d’un coup, tout ce qui est coopératif – mais plutôt l’améliorer par la révolution des mentalités de l’autogéré…Qui commence par Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous ! (plus rien d’eux, même pas une virgule en nous ]]. Ensuite, Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs (la révolution mentale se fait dans la vie de tous les jours où nous devons ne plus leur permettre de marcher même une fois sur nos cœurs). Enfin, Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter ! Nous, pour notre part, nous savons que nous avons déjà gagné. Nous avons réintégré toute la vraie culture en nous, nos jours sont ardents et tout ce qu’il y a de merveilleux dans la vie nous reste accessible par toutes les gratuités (pour être infiniment heureux il vaut mieux être pauvre – ça augmente les libertés de mouvements…). Et donc ? Nous savons que les vies des prétendus dominants sont absolument RATÉES, rien d’enviable surtout pas, ils se trainent dans leur misère de vie intérieure sans cesse, jamais de joies pleines, de rires de bon cœur (parce qu’il faut un cœur pour cela !). Bref, sans eux, surtout sans eux, nos vies sont pleinement des succès. Cela ne se voit pas socialement ? Qu’est-ce qu’on en a rien à cirer. Puisque tout est faux chez eux. Tous leurs prix et récompenses sont truqués : et comment supporter qu’un de ces déchus osent venir te l’offrir. Non mais dès fois…tout le soi-disant luxe c’est de la merde d’illusions (le réConfort est supérieur au confort !) – ils n’ont vraiment rien à proposer, rien qui t’attire chez eux, mais tout qui repousse. Trop de pub tue la pub : chacune des pubs, désormais, détruit donc ce capitalisme devenu si pitoyable…
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Vers-une-république-des-biens-communs
« Des jardins partagés aux logiciels libres, des encyclopédies en ligne aux recycleries installées dans les quartiers des villes ou dans les campagnes, les «communs» semblent essaimer partout. Mais pourquoi ce succès ? Et comment expliquer cet essor ? Cet ouvrage montre comment nous sommes entrés dans une phase nouvelle, celle de l’enracinement des communs dans la société [[ allié à l’arrache de toutes les perversités de l’arriération capitaliste ]] de leur extension à des domaines sans cesse élargis de la vie sociale et de leur pérennisation dans le temps [[ tout ce qu’ils font tout pour que nous n’en prenions pas conscience. Puisque, dès que nous faisons le bilan exhaustif de tout ce qui se passe de bien sur Terre (ce que nous nommons ces 80 % d’informations que les médias d’argent sale font tout pour n’en jamais parler),…oui ce bilan nous démontre que la nouvelle civilisation, celle de l’après- capitalisme, a déjà…commencé. Se met vraiment en place. Et que plus rien ne pourra l’arrêter !]]. »
A-Dijon-le-succès-d-un-quartier-autogéré-et-agricole avec un portfolio de 52 photos.
« L’occupation a commencé en mars 2010, à la suite d’une manifestation organisée par des étudiants, des membres de squats et des personnes engagées dans la défense de l’agriculture bio, raconte Madeleine. Nous voulions reprendre ces terres à la ville et les préserver de la bétonisation en les cultivant. » Car ce terrain, en bordure orientale de Dijon, attise depuis longtemps les convoitises [[ les convoitises doivent être plus empêchées qu’encouragées – c’est bien inscrit dans la lutte antidrogue des pouvoirs, non ?]] des aménageurs. « On entendait parler d’une gare TGV, d’une clinique, explique la chercheuse Yannick Sencébé, sociologue à l’Inra (Institut national de la recherche agronomique) et militante de la première heure. Mais pour nous, l’important, c’était de conserver ces terres d’excellente qualité agronomique, cultivées pendant des décennies par des maraîchers, pour la production de légumes locaux. » Et ce, alors que les néopaysans peinent à trouver des terres agricoles où s’installer et que les listes d’attente des Amap locales ne cessent de s’allonger [[l’excellence agricole est rejetée, la valeur future des terres fertiles des sols est piétinée pour filer le tout au rabais à des indignes profiteurs (mot parfait pour pointer ces répugnants parasites de l’argent et du labeur des autres]].
Le 28 mars 2010, sous une pluie battante, quelque deux cents personnes ont donc défriché une parcelle et planté les premiers pieds de tomates : le Pot’co’le, ou « Potager collectif des Lentilllères », était né. « Il y a eu une appropriation commune de cette friche, nous cultivions tous ensemble, se rappelle Yannick Sencébé. Beaucoup d’entre nous n’avaient jamais jardiné, mais nous avions envie d’apprendre et de progresser dans l’autonomie alimentaire. » Très vite, l’occupation jardinière a pris la forme d’une lutte locale. Car sur ce terrain désormais ensemencé, ainsi que sur la friche industrielle de 10 ha adjacente, la municipalité entend construire « l’Écocité jardin des maraîchers » : 1.500 logements, 15.000 m² de bureaux et commerces, des jardins familiaux. Le tout se voulant « un aménagement exemplaire », « inscrit dans une politique de développement durable » volontariste, d’après la présentation de la mairie en 2011. « Le projet d’écoquartier [[ ce système sait qu’il perd puisqu’il est CONTRAINT de toujours se déguiser dans les mots de ses opposant.e.s ! Et que s’il se présentait donc dans sa vérité il serait balayé…aidons-le à toujours se maintenir dans « sa » vérité…]] aurait pu paraître cohérent s’il n’avait pas ignoré l’existant : les terres maraîchères et un quartier qui renaît autour d’une dynamique collective, potagère et citoyenne », écrit Yannick Sencébé dans l’article qu’elle a consacré aux Lentillères.
La mairie a tenté de briser la dynamique à plusieurs reprises. En 2012, elle a ainsi envoyé une pelleteuse retourner sans [[a]]ménagement les cultures. Mais rien n’y fait, au contraire. « Chaque répression a généré une résistance et un élargissement du collectif », souligne la chercheuse. Trois futurs paysans se sont installés cette année-là sur la friche, créant une ferme maraîchère. Puis, peu à peu, d’autres sont venus poser leur caravane et édifier des cabanes. « Cultiver la terre ne suffisait pas, explique Jean, établi sur les lieux depuis 2014. Pour renforcer la lutte, il fallait vivre sur place. » L’an dernier, Madeleine a participé à l’édification d’une bâtisse collective en terre crue au cœur de la friche. Au gré des constructions, le campement s’est mué en quartier. D’où « la possibilité d’un autre urbanisme intégrant la nature » [[ c’est la ville qui doit s’adapter à la nature et non sa barbarie qui doit tout écraser !]] : « L’autogestion m’impressionne, note Yannick Sencébé. Comment un quartier est né d’une friche, sans qu’on ait recours à une forme administrative ou institutionnelle venue de l’extérieur. » Dans son article, la sociologue voit dans cette aventure « la possibilité d’un autre urbanisme intégrant la nature et l’agriculture, fonctionnant sur une économie non marchande, et d’une ville faite par ses habitants [[ ce que la logique trouve absolument cohérent – le rasoir d’Ochkam de l’économie du réel, puisqu’il va toujours au plus simple, est d’accord à 100 % ]]», à l’inverse de l’aménagement technicien prôné par les élus et les experts [[ qui gaspille donc le réel…]]: « En somme, conclut-elle, un urbanisme autogéré et collectif s’appuyant sur l’histoire maraîchère du lieu et articulant nature et culture ».
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Pour sa part, la mairie de Dijon défend son écoquartier, « un projet représentatif (sic) de l’urbanisme durable mis en œuvre par la ville de Dijon ». Accessibilité, mixité, « ville compacte », « mail arboré et accessible à tous », « voies pacifiées où la voiture et le piéton se partagent l’espace » et « maitrise énergétique » [[ ils se paient de mots puisqu’ils ne peuvent plus nous faire partager le réel des ressentis !]]. L’écoquartier « correspond aux priorités d’une municipalité soucieuse à la fois de l’habitat et de l’environnement [[ mais pas des humains concrets qui y habitent et y vient ?]] approuvé en conseil municipal par toutes les composantes de la majorité et notamment les élus écologistes dans leur diversité », écrit le service communication de la municipalité à Reporterre, arguant le caractère « exemplaire » de la commune en matière d’écologie. »…Exemplaire à la condition que de meilleurs exemples qu’eux ne soient jamais juxtaposés. C’est l’exemple unique qui ne peut se prétendre exemplaire puisque le mot exemplaire appelle à un certain nombre d’autres exemples où le premier d’entre eux devient le plus exemplaire (oui de tous les exemples)…
.......Désormais, le langage est complètement contre les faux pouvoirs…
La diction du dictionnaire appelle à l’autogéré.et la lourdeur embarrassée de qui ne laisse pas le langage dire ce qu’il y a à dire…
…ne parvient plus qu’à les couvrir toujours plus de ridicules. Jusqu’à ce que…
…………..Chaque mot qu’ils diront témoignera contre eux !
….….………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
LE QUARTIER LIBRE DES LENTILLÈRES À DIJON
Quartier libre des Lentillères à Dijon - AlterJT #81
Tout au prix coûtant c’est content….C'est au rez de chaussé d'un immeuble de la rue de la ferme à saint Denis que c'est ouvert Diony coop une épicerie coopérative.
Qui se cache derrière les lobbys ? Comment les démasquer ?
Déjà démasqués par les faits et les comportements – si autant d’infos était donnée pour les résistant.e.s que pour cette honte des lobbies, clair que leurs impostures lobbyifiée serait déjà disqualifiées …Le potager collectif des lentillères et l'espace autogéré des Tanneries sont deux lieux occupés et offensifs. Ils se trouvent sur le chantier du futur écoquartier de Dijon. Pour nous, ne relayer que les infos sélectionnées par l’argent et pas les 80 % de la vraie vie ce n’est pas vraiment pas être du bon côté. Mais bien celui des réseaux antisociaux ! Relayons et soyons…
l’Amap Court-Circuit par les circuits courts, tiens donc !
Histoire de l'économie sociale et solidaire
Franck Georgi : Comment réincarner l'autogestion, genre N.R.V. ?