Lorsque l’emploi ploie ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Lorsque l’emploi ploie ?

Demain, le travail sans l’emploi. Aujourd’hui, 50 % des emplois qui existent ne servent à rien. Qu’à nuire à la Terre ? En tout cas, «le» travail sur lequel les dirigeants continuent à vouloir baser «toute» la société n’existe plus…ils restent les derniers lunatiques à ne pas le savoir. Le RUA dans les rues d’un « revenu de chantage d’activité » est, pour cela, hors d’époque (faire n’importe quel dégâts antisocial pour recevoir, cadeau empoisonné,  une « aide universelle » cela dépasse le droit à la déraison). Ils se croient au 19 ème lorsque le 21 ème ne fait plus que courir. C’est qu’il faut s’habituer et vite (puisque toujours plus aliénés sont les classes autoproclamées supérieures) à faire émerger une société plus du tout structurée par le travail…Mais par tout autre chose ? Quelque chose de pas tout à fait formulé mais que nous pouvoir entrevoir à l’angle de tous les raisonnements qui en cherchent la forme. Donc la formulation.

 

50 %-de-nos-emplois-ne-servent-peut-être-à-rien

« En 1930, Keynes prédisait que d’ici la fin du XXème siècle, le progrès technologique nous permettrait d’instaurer une semaine de travail de quinze heures [[ puisque les faux dirigeants demeurent si réfractaires au vrai progrès social, ce n’est toujours fait concrétisé !]]. Pourtant, pour David Graeber, nous pourrions en être parfaitement capables. Pourquoi n’y sommes-nous pas alors parvenus ? Pas parce que nous nous y sommes mal pris, ni par manque d'efficacité ou de productivité, mais - et c’est le message clé de l'anthropologue - parce que cela « arrangeait » tout le monde [[ de forcer les autres à vivre dans les mensonges – afin de n’avoir jamais à entamer les débats de fond sur pourquoi, pour qui, jusqu’où travailler. Et s’enfuir, à chaque fois, avec un « pas le temps. Je travaille » de faux jetons…]] . Au risque de créer, pour toute une partie de la population, des emplois qui ne sont rien d’autre que des bullshit jobs. [[ des métiers de merde !]]. Nous avons rencontré David Graeber à l’occasion de la sortie en français de son essai.

Nous sommes sa neuvième interview de la journée, mais pour défendre son livre, il ne semble pas perdre de son énergie. Sans doute parce que l'anthropologue est un homme en mission. Les bullshit jobs, qu’il définit comme des tâches dont des populations entières pensent secrètement qu’elle n’ont pas vraiment lieu d’être, «provoquent des dégâts moraux et spirituels profonds », écrit-il en introduction de son essai. « C’est une cicatrice qui balafre notre âme collective. Et pourtant, presque personne n’en parle». « Personne » ? Plus tout à fait. Car David Graeber a propulsé le sujet dès 2013, en suscitant un émoi international qu’il n’avait pas anticipé. Lui avait été commandé, par un magazine radical, «un truc provocateur que personne d’autre ne prendrait le risque de publier [[ ça c’est le futur salubre]] ». Il aboutit au «Phénomène des jobs à la con», qu’il appuie alors sur des intuitions plutôt que sur une réelle recherche. Les centaines de commentaires qu’il reçoit dès la publication de l’article viennent « valider » son hypothèse : il venait bien de mettre le doigt sur une réalité savamment dissimulée. [[ tout comme la BUREAUCRATIE c’est le privé et pas les services publics. D’ailleurs la capitalisme s’enrichit, en tout premier lieu, « avec » ces paperasses de dingues !]]. Cinq ans plus tard, son essai poursuit et approfondit l’analyse, grâce à la collection - scientifique, cette fois - de témoignages tous plus ahurissants les uns que les autres, mais aussi via l’ouverture de la réflexion vers les solutions à envisager [[ pas trop tôt ]]. Il n’est ainsi pas surprenant que Graeber rejoigne les partisans du revenu universel [[mais uniquement ceux/celles du tout le monde à 2000 € par mois ET la Fête sociale mondiale permanente ! Pas les autres évidemment…]], et démonte un à un les arguments de ses détracteurs. »…Disons que nous avons encore de l’avance étant de ceux des racines dont il dit qu’il faut s’allier avec si « nous » voulons nous en sirtir. Pas mal, nos taux de réussites mondiaux, non ?

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Alors que la raison demande d’abord, travail pourquoi ? Jusqu’où ? Travail comment ?   Puisque les limites de la Nature sont, qu’au minimum, le 1/3 (tiers) de sa surface doive être sans présence humaine afin qu’elle répare tous les dégâts. Donc il faut travailler TOUJOURS MOINS…et surtout pas toujours plus (sauf à vivre hors toute réalité poignante). Le futur de la survie c’est bien ce travail qui doit impérativement diminuer. Donc remercier qui a la bonne idée de ne plus vouloir harceler la Terre pour une hargneuse idéologie patronale complètement obsolète. Ils ne sont plus dans le coup : la colonne a changé de direction, donc les prétendus premiers se retrouvent les derniers de la nouvelle orientation la plus raisonnable. Bien trop loin de comprendre que la société chiourme du travail forcé n’importe comment ne peut plus exister. Et qu’elle doit être remplacée par penser à partager, répartir, partir de toutes les plus-values collectives avec tout le monde. Donc refonder toutes les relations sociales et humaines et …quitter, quitter oui définitivement, l’obsession d’exploiter le travail des autres (cette inacceptable arriération affective plus qu’évidente !). C’est donc se tromper de siècle que les cris de galères de travailler plus…Et le patrimoine des trop riches dépassant l’imaginable d’en saisir, jusqu’à 80 % pour certains (qui ne s’en rendront même pas compte dans le concret), c’est permettre la transition sociétale qui va avec la transition énergétique. Dégoiser de « rentrée sociale » c’est se tromper stupidement d’humanité. Rien de plus retardataires que ces médias prétendus dominants !

Demain-le-travail-sans-l'emploi

« Réinventer le travail sans l’emploi [[ qu’est-ce que nous disions…]]. Pourquoi le numérique nous contraint à changer notre conception du travail ». Tel est le titre de la note écrite pour l'Institut Diderot par l'essayiste Ariel Kyrou. L'auteur a souhaité partager ce texte, dans une version légèrement augmentée. Au cours des prochains jours, nous allons donc publier ce texte, chapitre par chapitre, en commençant - en toute logique - par une introduction savoureuse, dans laquelle Ariel Kyrou expose les enjeux du travail de demain à l'aune d'une fable de l'auteur de science-fiction Philip K. Dick. »…Puisque la créativité a disparu, et entièrement, des autoproclamés supérieurs (pour les plus ouverts, ils stagnent dans les années 1980 du libéralisme fou) – à nous de faire galoper cette splendeur… 

S'emmerder-au-travail-pas-réservé-aux-bobos-en-quête-de-sens-

« TWENTY :  C’est un sursaut transgressif, dans nos sociétés qui finalement ne laissent que très peu de place à la transgression ?  JLCassely : C’est en effet la transgression d’un monde dans lequel la réalisation passe plus que jamais par le travail. Quelque part, les gens qui sont peu attachés à leur travail et acceptent cet état de fait avec philosophie et détachement sont peut-être les plus transgressifs, ou les plus originaux, de notre époque [[ Big bigre !]]. 

Twenty : Le travail manuel permet-il de recloisonner sa vie et de séparer professionnel et privé, dans la mesure où un fromager n’a pas besoin de répondre à ses mails à 3h du matin ?  JLC : Au contraire, c’est une aspiration à ce que sa vie, son travail et son «œuvre» fassent corps [[L’idéologie malsaine des pouvoirs, devenus irréalistes qu’ils en ressassent que du passé, nous travaille au corps – c’est par le corps que nous nous émancipons de ces vieilleries, tant martelées par les médias vendus !]]. C’est je pense au contraire un surinvestissement dans le travail. Être soi-même est en quelque sorte devenu une activité à temps plein…qui ne laisse pas de place au fake travail ! 

Twenty : Serions-nous en train d’esthéticiser, de marketter et donc d’aliéner des notions d’authenticité et de pureté ?  JLC : C’est une piste que j’aimerais explorer à l’avenir. Les nouvelles formes de déconsommation sont de plus en plus sensibles à cette dimension morale : la consommation rationnelle doit véhiculer des valeurs, du sens, coller à des préoccupations sociales, refléter l’individualité de l’acheteur mais aussi du producteur [[lorsque les moyens de production sont tous…socialisés – donc plus séparés !]]… Sans remonter forcément jusqu’à La société du spectacle, c’est tout le paradoxe qu’avaient bien identifié des auteurs comme Gilles Lipovetski, en montrant que la crise spirituelle du consommateur contemporain se réglerait par de nouveaux actes de consommation, y compris une consommation anti- ou post-consumériste critique et distanciée, dans laquelle on euphémise ou on nie le caractère mercantile (il suffit de penser aux tendances de consommation qui prônent le rejet du matérialisme, mais restent consuméristes par leur sensibilité à l’air du temps et leur fonction de démarcation du commun des mortels). 

Twenty :  Aujourd’hui la «fake créativité » est devenu la valeur clé du travail… est-on plus créatif quand on est caviste ? Existe-t-il une désillusion ?  JLC : On est plus autonome car on peut rapprocher les phases de conception des phases d’exécution, ce qui est le propre de l’artisanat. Mais on peut être créatif en étant informaticien, et être un caviste sans passion ou prisonnier d’un mode d’organisation du travail normé et bureaucratisé à l’extrême. La créativité est, par ailleurs, une notion assez floue, un de ces trucs «bullshit» un peu new age qu’on a vendu aux entreprises pour remotiver les troupes et qui souvent, ne correspond à rien de concret. »…c’est bien ce que nous disions, la créativité les a entièrement quitté pour qu’ils en parlent aussi mal, tout en glissant, sournoisement, les aliénations consuméristes à foutre à la poubelle comme le sur-travail qui tue le Vie ! 

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Alors qui ploie et emploie ? Le texte «Lorsque travail ne vient pas du tout de tripalium»** ne peut produire tous ses effets effectifs  en une seconde. D’autant plus que le mot travail aura été torturé (au point qu’il en reste issu d’entraver comme « entravail »…pour retenir prisonnier…) afin de l’éloigner au maximum de notre existentiel. C’est avec un peu de souffrances, de douleurs, de difficultés que nous arrachons, sans hésiter,  ces pourritures mentales…pour nous permettre de vivre dans une civilisation saine, propre car…honnête. Honnête le mot qui terrifie tant tous les faux pouvoirs actuels. Derrière leur plexiglas de froideur, il n’y a plus que poussière…facile de vérifier, en fait !

**                      Lorsque-travail-ne-vient-pas-du-tout-de-tripalium

La malhonnêteté intellectuelle, la pire des nuisances des déloyautés (déloyauté ce qui insulte la loi, la loi loiiale, la plus insultée lorsqu’on fait semblant de la servir !), fait évidement et avidement rage dans la grave perversion capitaliste. Donc ses concepts sont pervers et pervertissants, immoraux et anti-humains au possible, déviants et déviateurs. Un autre exemple qui va creuser le retour de la vraie culture  (celle, entre tant d’autres, de la fin du parisianisme de toutes les barbaries régressives ?) ? L’emploi nous…emploie : le monde à l’envers de la perversité. Tout comme nous étions occupés à faire entrer l’occupation parasitaire en nous…nous sommes employés …par l‘emploi. En personne. Ployés sous sa non-loi, sous son arbitraire le plus in-Soutenable…. Les ployés employés (puisque l’emploi les emploie…) sous le vampirisme plus que répugnant des concepts. Après, le pervers…inverse les versions, en perversion c’est même ce qui s’éloigne le plus (per) de toute version… …Nous sommes là pour remettre à l’endroit les émeutes des prétendus dirigeants. Eux seuls sèment le grand désordre. Et ils doivent cesser immédiatement, les  forces du vrai ordre leur en donne l’ordre…en plus de l’abjection absolue du consumérisme qui déresponsabilise ce qu’il y a de plus vulgaire et insensible dans l’humain – nous voici avec les hideux concepts métaphysiques de la plus que scandaleuse Religion capitaliste. Celle qui scande le scandale jusqu’au tréfonds de leur malhonnêreté constitutive. Leur droit exorbitant à la parole illimitée (au point qu’ils en censurent illégalement elles des autres) ne doit-il pas se voir régulé, limité dès lors qu’ils ne l’utilisent Que pour nuire, diffamer intensément, semer le venin antisocial et tout détruire en se déguisant de tous les mots positifs, mis à jour et mis au jour par les vrais penseurs actuels ? Positivités qu’évidemment ils/elles ne ressentent jamais, vu qu’ils vivent intérieurement le très exact inverse : la haine âcre et âpre pour quasiment toute l’Humanité.

working-dead-Extravaillance

extravaillance pour ex- travaillance…Alain Damasio : « Il faut faire le deuil d'une conception totalement absurde du travail ». Surtout les faux dirigeants qui n’ont que cela (le faux travail) pour torturer chaque jour, en complète illégitimité, les humains…

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Le parrain de toutes les censures rampantes a donc le nez dans la panade. Censures de toutes les paroles radicales ( la nouvelle rengaine du « personne n’en a parlé » alors, qu’à l’évidence c’est faux – nous relayons ceux qui en parlent en précurseurs et ne sommes pas en reste afin de foutre les pieds dans tous les plats plats et d’ouvrir les ardents débats !), de toutes les fondations révolutionnaires, de tous les souffles émancipateurs, de tous nos frères et sœurs de la liberté de tous, etc. est dans …l’impasse (celle que nous voyons à la perfection et lui pas). Il croyait, bébé à vie, que le mal radical était de son côté, oui ce mal qui fait tout mal et qui l’aura (logiquement puisqu’il finit toujours…mal !) bien égaré à dégoiser des délires qui seront retenus contre lui. Oh uniquement s’il persistait à diffamer hors de son petit milieu toujours plus étroit et resserré. Qu’il en devient très irrespirable ! C’est ainsi que les choses se passent (mais « se » passent collectives aussi – t’es pile face aux points de relais, tu captes tout !) ; certains ( les pervers narcissiques) gaspillent toute l’énergie collective pour parler pour ne Rien dire et (en coulisses qui, désormais, coulissent – merci des messages nourrissants…) calomnier les véridiques créateurs/ trices actuels. Et elles /eux se démènent dans des difficultés matérielles, ontologiques et d’entravail gigantesques – mais afin de tout dénouer, résoudre, terminer, réparer. Comme par des coups de baguettes magiques…ce qui n’est possible que parce que les imposteurs…tombent. Par effets actions-réactions eux/elles montent (démontent, remontent, surmontent et démontrent…), oui moooontent…

……..le récit-monde change vraiment…d’écrivains et de penseurs. Clic clac !

« Le nugget est devenu un fantastique symbole la façon dont le capitalisme évite de payer ses factures » – C’est exactement cela, l’effondrement existentiel du minable capitalisme c’est de TOUT FAIRE PAYER PAR LES AUTRES…et de persister (en plus) dans la déchéance répugnante de récupérer des…fakes bénéfices. Sur leur dos encore…Tout reste gratuit pour lui et…surpayé par les autres…Le travail pour ce fou doit être gratuit (nous l’offrons ou il ne nous paie rien !) pour que son dérèglement mental…

…… récupère Tout sans nous laisser une seule miette. Pas question qu’il ruisselle…

…………….d’où son implosion conceptuelle actuelle !

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Et-si-on-responsabilisait-plutôt-les-riches-!    Et si nous responsabilisions plutôt les riches ? Et surtout pas les pauvres, surtout pas…

 

……………De juste le faire – tous les trop riches sont perdus !

 

…….……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la compréhension collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

marcher sur ses mensonges à rallonges

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Lorsque l’emploi ploie ?
toutes les vulgarités viennent des bourgeois qui ne savent pas du tout vivre. Et ? Ils devraient s’arrêter de travailler pour…apprendre à vivre. Cela nous ferait des vacances et à la planète aussi…

toutes les vulgarités viennent des bourgeois qui ne savent pas du tout vivre. Et ? Ils devraient s’arrêter de travailler pour…apprendre à vivre. Cela nous ferait des vacances et à la planète aussi…

Lorsque l’emploi ploie ?
« Pendant la durée des travaux le futur reste ouvert » : archéologues et sociologues questionnent ces objets d'un lointain passé... en l'an 2018.

« Pendant la durée des travaux le futur reste ouvert » : archéologues et sociologues questionnent ces objets d'un lointain passé... en l'an 2018.

Découvertes ? On the Phenomenon of Bullshit Jobs: A Work Rant by David Graeber

Découvertes ? On the Phenomenon of Bullshit Jobs: A Work Rant by David Graeber

Lorsque l’emploi ploie ?
Remarquons que dans tous ces graphiques les derniers de corvée ne sont jmais valorisés !

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Comme les derniers de corvée sont aussi en révolte, c’est toute la classe qui ne veut plus de leurs rôles de merde…Et alors ?

Comme les derniers de corvée sont aussi en révolte, c’est toute la classe qui ne veut plus de leurs rôles de merde…Et alors ?

état du contrat social

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pyramide des trop riches : plus que 6 déjà transformés en 3 puis donc zéro…le tout dans l’ILLUSION des autres alors ?

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débordements…

débordements…

Lorsque l’emploi ploie ?
emplois plis...Certes, nous dira-ton, mais ne s’agit-il pas du prix indispensable à payer pour maintenir nos entreprises en bonne santé financière, leur permettre de créer (ou plutôt de ne pas trop supprimer) des emplois ? En moyenne 300 millions d’euros de coûts annuels pour la collectivité.

emplois plis...Certes, nous dira-ton, mais ne s’agit-il pas du prix indispensable à payer pour maintenir nos entreprises en bonne santé financière, leur permettre de créer (ou plutôt de ne pas trop supprimer) des emplois ? En moyenne 300 millions d’euros de coûts annuels pour la collectivité.

« Le nugget est devenu un fantastique symbole la façon dont le capitalisme évite de payer ses factures » / CC Wikimédia Commons – C’est exactement cela, l’effondrement existentiel du minable capitalisme c’est de TOUT FAIRE PAYER PAR LES AUTRES…et de persister (en plus) dans la déchéance répugnante de récupèrer des…fakes bénéfices. Tout est gratuit pour lui et…surpayé par les autres…Le travail pour ce fou doit être gratuit (nous l’offrons ou il ne nous paie rien !). Là nous sommes bien au centre facile à décrire de sa trop grave maladie mentale !

« Le nugget est devenu un fantastique symbole la façon dont le capitalisme évite de payer ses factures » / CC Wikimédia Commons – C’est exactement cela, l’effondrement existentiel du minable capitalisme c’est de TOUT FAIRE PAYER PAR LES AUTRES…et de persister (en plus) dans la déchéance répugnante de récupèrer des…fakes bénéfices. Tout est gratuit pour lui et…surpayé par les autres…Le travail pour ce fou doit être gratuit (nous l’offrons ou il ne nous paie rien !). Là nous sommes bien au centre facile à décrire de sa trop grave maladie mentale !

Lorsque l’emploi ploie ?

Turfu Express - Episode 2 : La révolte des premiers de la classe

Bullshit jobs : notre boulot est-il inutile ?

La bureaucratie c’est le privé (pas les services publics) car la fortune du capitalisme vient surtout de la PAPERASSE…D’où David Graeber : "Jamais la société humaine n'a passé autant de temps à remplir des formulaires"

BULLSHIT JOBS, BROWN-OUT : pourquoi c'est normal d'aller mal | Pensée Arborescente 118

Le pouvoir illégal des fausses élites - Thierry Brugvin - Il s’agit du pouvoir illégal et adémocratique exercé par les élites concernant: - Le pouvoir financier : banques, dette et paradis fiscaux - Le pouvoir des organisations internationales publiques - Le pouvoir de la production et du commerce - La concurrence des pouvoirs nationalistes et le pouvoir adémocratique de l’Etat - Le pouvoir répressif illégal - Le pouvoir relationnel et idéologique - Le pouvoir par la communication et la dimension psychosociologique du pouvoir

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