Lorsque le Nous D’abord perd à tous les coups ?
Le protectionnisme sera toujours contre le reste du monde. Et ce reste ne sera pas en reste en sur-réagissant au protectionnisme des planqué.e.s qui ont tout à cacher. Vraiment, comment savez-vous tout cela ? Et surtout « où » le savez-vous ? Oui, devant tant de réalités qui nous tombent dessus, comment sont les méthodes pour en sortir ?... «Sur le terrain de l’économie, une fois encore, le conflit a été parfaitement désigné entre le multilatéralisme et… le reste, parfois nommé bilatéralisme, unilatéralisme, patriotisme, nationalisme (sans oublier les récurrents « autarcisme » et « repli sur soi »). Le fait que le conflit idéologique (devenu très brutal sur le terrain) soit clairement désigné ne signifie pas pour autant qu’il a été bien exposé et bien débattu. [[ c’est même l’inverse : ne pas oublier que le capitalisme, cette escroquerie qui vit sur le dos des pauvres, ne survit qu’en empêchant au maximum les débats de fond -- aidé dans cette barbarie par les absurdes conformistes qui n’arrêtent pas de nous radoter ses phrases corrompues !]]. La sempiternelle reductio ad Hitlerum qui accompagne tout discours contre le protectionnisme ne suffira jamais à remplacer un vrai débat sur l’idée de protection d’un système national économique et social. De ce point de vue on ne peut être que frustré de la prestation de Macron.
Trump-pose-les-bonnes-questions-Macron-préfére-les-mauvaises-réponses.
Le fait que tant d’orateurs perdent leurs nerfs sur ce sujet révèle une impuissance intellectuelle qui devrait susciter le recours aux analyses et débats de vrais intellectuels [[ toujours interdits par le gang des journalistes télés qui ont imposé leur loi aux radios et journaux ! Or ces journalistes télés…n’ont jamais su penser, et le savent encore moins ! Nous voyons le désastre absolu d’une telle dictature mise à jour par le livre « Je ne parle plus à qui a raison » -- c’est exactement ce que ces égarés font !]]. La fameuse phrase : «La philosophie du protectionnisme, c’est la philosophie de la guerre» doit être restituée à son auteur, Ludwig von Mises, et dans le sens qu’il lui avait donné entre les deux guerres. Tout ceci, en définitive, doit conduire irrésistiblement à revenir à la définition de l’économie par sa fonction [[ donc au retour de la vraie Raison et son si perspicace intérêt général ! Voir le livre sus-cité…]]
Le-Nous-matrice le modèle matriciel du nous
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« L’école ’’moi d’abord’’ se compose d’une majorité (sic) à une seule voix, à savoir les États-Unis d’Amérique. Le président Donald Trump résume le principe de cette école simplement par l’Amérique d’abord. Dans le monde du ’’moi d’abord’’, les États-Unis établissent les règles et les autres suivent [[ comme des ex-adultes sans têtes ]]. S’il y a des exceptions aux règles, seuls les États-Unis peuvent se les appliquer et les décider. Tous les disciples (sic) doivent se contenter de jouer les seconds rôles. Un exemple sans équivoque, face auquel on reste sidéré, est la déclaration de Trump : « Nous allons construire le mur et vous, (le Mexique) vous allez le payer. »…[[ oui les débats biaisés sont en plus faussés par des déraisons qui affirment et affirment le plus culotté sans jamais le démontrer – et pour cause, les raisonnements rationnels et reproductibles démolissent ces impostures…qui font tant souffrir cependant, les humains ! Les faux dirigeants ne peuvent pas s’engager dans cette voie des clartés…Puisque le bât blesse lorsque leurs corruptions contaminent…comme dans les paragraphes suivants…]]
De nombreuses nations trouvent que ’’Nous d’abord’’ est une option raisonnable. La Chine s’est fait entendre en faisant la promotion de l’école de relations internationales ’’Nous les premiers’’, mais elle n’est pas la seule voix. Les dirigeants de nombreux autres pays trouvent que l’idée du ’’nous d’abord’’ [[ ce qui, logiquement, est une impasse en béton : si tout le monde dit nous d’abord, personne ne peut le mettre en pratique- par exemple, de visu, tentons d’établir une colonne lorsque tout le monde bouscule et écrase les pieds des premiers, va-t-elle s’établir un jour…la solution est simple : les U.S.A. sont un pays de pervers narcissiques sans respect pour personne (même eux-mêmes), la situation du $ imprimable à volonté par la Fed et imposée, par cette facilité, au monde entier (avec le cynique « le dollar c’est notre solution et votre problème ») par la simple position en apex, apex qui avoue qu’il ne faut aucune intelligence particulière pour être au sommet de la pyramide mais que ce n’est qu’un « effet de système » imputable à aucun être humain. Ces personnages se démasquent lorsqu’ils ricanent le conseil d’être comme eux, ce qui est impossible et ils le savent – ils se monopolisent la place du pays qui fout le plus de désordres mondiaux et qui cause le plus de tort à chacun en particulier. Faire comme lui…c’est prendre sa place, et donc le mettre K.O. Or comme « le reste du monde » veut la paix, ce qui ne les arrangent pas ces USA, il n’y pas de montée aux extrêmes…Et comme ces dirigeants sont des monstres d’insensibilités, et pas vraiment intelligents, seul un monde multipolaire en actes qui se dédollarise peut balayer cette si destructrice « divinité » étasunienne imposant son triste venin sur le monde. D’où foutre du protectionnisme à sens unique dans un monde « globalisé » ( « globalisation » qui n’a rien à voir avec la mondialisation puisque c’est une anti-mondialisation SANS les peuples. Et que globalisation c’est juste un terme bancaire pour centralisation et hiérarchisation de la finance. Mais la propagande « vole » le mot pour faire tout l’inverse, soit voler le mot mondialisation afin d’empêcher l’Humanité de s’unir semble convenir à ces fouteurs de merde et graves fauteurs de troubles !) après avoir imposé ses traités…de libre échange (en fait des échanges forcés, c’est savoir que ceci va créer du chaos « entre » les pays…disons, pour conclure que, dans cette déloyauté récurrente envers les autres des étasuniens, ce concept « protectionnisme » est ici sacrément pourri !]]…est sensée [[ hé non !]] et ils se sont joints à l’appui de ses principes. ’’Nous d’abord’’ signifie que nous bâtissons des ponts, nous construisons des autoroutes et nous installons des trains à grande vitesse ensemble parce que nous savons que les améliorations de l’infrastructure seront bénéfiques pour les économies des personnes concernées.[[ c’est ceci la perversité et la corruption intellectuelle : avoir forcé à utiliser les expressions qui formulent l’inverse de ce que vous voulez vraiment dire…et qui est que si pas de capitaine ni de seconds rôles, personne ne peut dire « nous d’abord » !]] Personne n’a à jouer les seconds rôles et il n’y a pas de capitaine qui mène la barque. Chaque pays membre appartient à la communauté de pays ’’nous en premier’’. Le principe d’équité (sic) qui sous-tend le concept de ’’nous d’abord’’ est la raison pour laquelle la plupart des pays ont signé [[ aveuglés par des mots qui flattent leurs cupidités et leurs égoïsmes, ils ne se rendent pas compte que ce charabia d’illogisme (tout le monde ne peut être en premier en même temps – et le nous d’abord n’a qu’une apparence d’équité puisque d’accepter cette régression pré-civilisée c’est permettre au pays le plus «nous d’abord» que les autres de pouvoir rester le seul !). D’ailleurs la guerre commerciale tiens unilatérale étasunienne, vous direz « comme d’habitude »…,grippe lorsque des pays vraiment impatientés de ces conneries…se mettre à lui renvoyer ses concepts pourris tels quels, à agir avec le même cynisme à son égard et à ne plus lui « parler que 1984 », soit poser des mots sur le sens inverse de ces mots ! Et que donc le crétins du nous d’abord déchoie brutalement en NOUS TOUT SEULS ! Pas très habile que ceci…c’est que d’enrayer l’apex où il trône suffit à abattre le piédestal de ce pays trop souvent indigne !]].
Les-deux-écoles-de-relations-internationales-moi-contre-nous-!
Le chemin de fer au Kenya construit avec l’aide chinoise est un exemple pratique de ’’nous d’abord’’. Les Kenyans ont posé les rails avec l’aide de conseillers techniques chinois et ont été formés à l’entretien des voies. Le nouveau chemin de fer a remplacé l’ancienne ligne entre Mombasa et Nairobi construite à l’époque coloniale. Les Chinois ont assuré la formation de conducteurs et d’ingénieurs locaux. Les Chinois ont également aidé à sélectionner et à concevoir les gares le long de l’artère principale de l’économie kenyane afin de maximiser les avantages du nouveau chemin de fer [[ selon des préceptes de Mao, il semble, ceux de ne pas donner de poissons mais d’apprendre (à la place) à pêcher…Cet exemple démontre que le concept « nous d’abord » est conservé mais que son contenu n’a plus rien à voir avec le suprématisme, le in God we trust où les autres perversions étasuniennes…cela sonne comme un « pensons à nous aussi » - ce qui se lie à pensons par nous, par nous-mêmes ! Plus la même chose !]]. La Chine a inclus le projet du Kenya dans son ambitieuse initiative Belt and Road (BRI). Pour faciliter et élargir la portée de ces projets BRI à travers le monde, la Chine a créé la banque Asia Infrastructure Investment pour financer les projets sélectionnés. Au cours des 18 premiers mois, l’AIIB a fourni plus de 4,6 milliards de dollars répartis entre une douzaine de pays et d’entités. Fait intéressant, l’Inde en a été le plus grand bénéficiaire, avec près de 20 % de tous les financements AIIB [[ La méthode BRICS semble plus adapté à un monde non conflictuel que la brutalité inculte des USA qui ne survivent que par les conflits !]].
Les pays de ’’ Nous en premier ’’ ignorent les avertissements de Washington.
Mais la banque ne convenait pas à la politique étasunienne du «Moi d’abord» et l’administration Obama a conseillé activement [[ euphémisme pour signifier s’occuper des affaires des autres, s’immiscer partout sans droit et sans accord des pays, bref agresser tout le monde en langage non politiquement correct qui est, lui « socialement correct »!]] aux pays de second rôle de rester à l’écart.[[ à l’écart de quoi au fait ? De leur propre vie, de leurs ressources personnelles que les USA se permettent, au lieu de «rester à l’écart», de dévaliser unilatéralement !]]. Dans cette affaire, presque toutes les grandes nations ont ignoré Washington et se sont dépêchées de devenir membre. Le Royaume-Uni était à la tête de l’AIIB avec David Cameron, alors premier ministre. C’était avant le Brexit [[ la punition par les perversités ]]. Depuis le Brexit, Cameron, en tant que simple citoyen, a négocié un fonds de placement privé pour investir dans des projets de Belt and Road. Compte tenu de l’isolement économique probable de la Grande-Bretagne après l’entrée en vigueur du Brexit, l’actuelle Première ministre, Theresa May, est naturellement disposée à conclure un pacte de libre-échange avec la Chine. Pourtant, au cours d’une visite de trois jours à Pékin cette semaine, elle fut réticente à approuver le BRI. Certains disent que May subit des pressions de Trump pour ne pas approuver le BRI. Un pays ’’Moi d’abord’’ n’a tout simplement pas de place pour une communauté de nations ’’Nous en premier’’[[ sa logique est le simplisme : soit Tout pour moi et donc rien pour les autres. Moi d’abord c’est bien et Vous jamais….]]. Ce n’est pas comme si Trump ne comprenait pas l’importance d’une infrastructure de premier ordre. Il a demandé 1 500 milliards de dollars au Congrès des États-Unis pour moderniser l’infrastructure défaillante du pays. D’où viendront les fonds ? Facile. De l’imprimerie de la Réserve fédérale. Qu’en est-il des pays qui suivent le pays ’’Moi d’abord’’ si elles ont besoin d’aide ? Désolé, vous les seconds rôles, vous n’avez pas de chance [[ vous êtes pour le décor, cette fausseté qui ne reçoit jamais rien ]].
L’incohérence dans la prise de décision représente un coût caché considérable pour nombre d’entreprises. Voici comment surmonter ce que nous appelons le bruit (soit, ici, le parasitisme mondial des États-Unis).
La menace du ’’ gros bâton ’’des États-Unis contre les pays qui les défient. Comment les États-Unis gardent-ils leurs partisans si ce n’est en leur donnant un coup de main économique ? Avec le plus grand arsenal d’armes et de puissance militaire du monde, voilà comment. Dernièrement, la Maison Blanche de Trump a laissé entendre que même une frappe nucléaire préventive est une option. Évidemment, les deux écoles de relations internationales ne sont pas en conflit et peuvent coexister. Les pays peuvent appartenir aux deux écoles. Un bon exemple est l’Inde qui considère les États-Unis comme un contrepoids, mais travaille également avec la Chine pour sa participation aux dépenses d’infrastructure. Mais il y aura un jour où les pays ’’Nous, les premiers’’ auront beaucoup de membres qui s’entremêleront dans des investissements croisés et des intérêts qui se chevauchent. [[ ce qui scande la supériorité absolue de l’intérêt général lorsque le privé s’engloutit dans des conflits d’intérêts insolubles, dans de doublons qui épuisent l’économie ou dans un incompréhension de la réalité…globale, celle qui pense à tout le monde et n’oublie personne…]]. Ils n’auront peut-être plus l’impression que leur sécurité est liée à la fortune du pays ’’Moi d’abord’’[[ ce jour là, proche sans doute, les pervers narcissiques qui « veulent » le pouvoir pour eux seuls dans leur bulle mordront la poussière…]]. (George Koo). » En aurions-nous fini avec l’antipolitique actuelle ? La politique ne peut reposer que sur l’intérêt général. Et l’acte qui le prouve est qu’elle et doive foutre les lobbies dehors à coups de pieds au cul. Comme ennemis déraisonnables de l’intérêt général et aux comportements inadmissibles contre lui…
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Quand Macron parle de la France à l’ONU : « Je viens d’un pays qui a fait beaucoup d’erreurs, beaucoup de mauvaises choses »…là il est vraiment un judicieux Anti-Macron – alors pourquoi pas toujours ? Ceci dure une microseconde, en fait (se rappeler toutes les possibilités victorieuses d’unions nationales qu’il a saccagées par, à chaque fois, une petite phrase perfide ?) ! Comment cela peut-il «se» faire ? Simplement, puisque ces erreurs et mauvaises choses ne sont « que » de ne pas accepter le libéralisme fou des U.S.A., de faire de l’état bradé une start-up. Tout au contraire, c’est une preuve de bonne santé mentale et d’ouverture à l’esprit critique (les U.S.A. ces pervers narcissiques incapables d’aimer restent un anti-modèle particulièrement toxique). Donc faut pas les imiter, mais leur…obsession maniaque les empêchent (ce gouvernement) de réfléchir rationnellement et de vivre la vérification par les faits (le fact-checking utilitariste est aussi obsolète que le pragmatisme qui ouvre toutes les trahisons ! Pragmatisme, oui môôôsieur, c’est du populisme du haut :!)…Car go ?
Quand-Macron-parle-de-la-France
Macron, dans les autres pays, parait un sage empêtré de son peuple si attardé…c’est un anti-macron déterminé. Sauf, qu’en France (seulement un un idéologue), c’est tout l’inverse : nous avons la sagesse et nous nous voyons harnachés du fardeau de personnages qui ne veulent absolument rien comprendre. Là c’est du macron forcené. Comment s’obstiner à greffer de l’anglo-saxon dans un pays qui a compris que « leur » libéralisme c’est la peste qui empeste ? C’est une aberration de chercher à lier France et libéralisme capitaliste. Pourquoi ? Il faut et il suffit de lire « Comment devenir un(e) athée du capitalisme » (qu’y pouvons-nous si le marigot éditorial s’entête à ne…pas publier les ouvrages cruciaux afin de vraiment comprendre l’époque ? Ils ont plus que tort et nous surtout pas !). En effet, le capitalisme est – SURTOUT – une Religion extrêmement déraisonnable et les français, ayant plutôt bien compris la Raison, et possédant une langue qui aide à réfléchir avec…justice mentale – ne peuvent entrer dans ces FOUTAISES ! État actuel de ces foutaises ?
Trump : « Nous allons construire le mur et vous, (le Mexique) vous allez le payer. ». Je veux un muuuur qui nous sépare et vous pouvez choiiisir uniquement de fiancer mes caaapriiice. C’est bien tout le contraire du sérieux ! Plus caprice de diva évaporé ? Non foutez ces foutaises, et leurs autres à la poubelle. Un philosophe étasunien résumait même, en substance : les étasuniens dans le monde sont des gamins inattentifs, qui surgissent sans rien savoir, cassent tout et laissent les autres peuples réparer «leurs» dégâts. Jamais un regard en arrière, jamais ils/elles n’apprennent. Et pourquoi cet effort de civilisés puisqu’ils sont « le peuple élu de dieu » (labellisé par le god trust us parce que in God we trust (et quoi encore ? Nous n’allons pas dire « excusez-nous d’avoir glissé nos pieds sous les vôtres », lorsque qu’ils nous marchent dessus ? Non mais où se croient ces extraterrestres lunatiques ?)). Qui ne font que brailler des insensés « nous défendons le monde libre » surtout en l’attaquant sans cesse (leur « seul » pays ouais, à « le droit d’être libre » ! Abusivement…), ou bien nous sommes « les garants de la paix mondiale » (paix tellement plus sûre lorsque ces paumés graves n’en sont plus les garants !), etc.
Actuellement, ils sont dans le « faux » protectionnisme car comment et pourquoi font-ils tout pour se monopoliser toute L’ÉPARGNE MONDIALE afin d’alimenter (illégalement) la bulle de délires des mêmes qu’en 2007-2008 ? « L’épargne mondiale finance une bulle sur les actions américaines ».
L'épargne-mondiale-finance-une-bulle-sur-les-actions-étasuniennes à lire si le titre ne suffit pas…
Les nous autres d’abord cela ne passent plus, surtout par rapport aux plus diplomatiques « les autres d’abord, sans nous oublier complètement ». Si garant pondéré de la paix équitable mondiale. Le déséquilibre étasunien (tout pour moi et surtout rien pour les autres) n’est plus acceptable. Pourquoi ? Parce que, chaque jour de chaque jour, nous vérifions que nous vivons bien mieux SANS leurs élucubrations (aux faux dirigeants européens ET étasuniens).
Le trop niais « America first » ou ses divers « nous d’abord, les autres jamais » (oui lorsqu’ils ne sont pas là – puisque, dès leurs présences, tant de discours changent…)…oui tout cela, pourtant, clairement balayés par…
…le réalisme des réalismes :
……………………….ecology first. L’essentiel c’est l’écologie en tout premier !
……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
une personne d’abord et d’abords - genre que l’on aborde. Qui a tout plein des abords où aborder. Bref, une civilisée qui ne peut que refuser la barbarie arriérée du capitalisme…
…vous n’avez fait tout le temps qu’être vous-même– tranquille car n’ayant rien à prouver – ils auront fait tous seuls toutes les gesticulations. Et vous « gagnez » sans guerre sans conflit de votre part, parce qu’ils sont fatigués d’eux-mêmes. La vérité ne cherche pas à convaincre, elle y parvient…
nation first protectionnisme
Sur l'Internet de Trump, les LGBT n'existent pas
Le gouvernement américain supprime discrètement de ses sites web des informations les concernant. L'affaire avait fait grand bruit. Le 21 janvier 2016, Donald Trump tout juste investi président des
http://www.slate.fr/story/167762/internet-trump-lgbt-invisibiliser
…un Nous qui a si peur des autres qu’il les censure plus que sournoisement, en rampant dans les dénis et reniements, ce n’est pas un «vrai» nous…seulement une maladie de nerfs !
L’état du monde 2018 : géostratégies…15 points chauds, 15 confrontations en 38 mn…
Le protectionnisme est une philosophie de guerre
Le protectionnisme est une philosophie de guerre. Les guerres de notre époque ne sont pas en contradiction avec les doctrines populaires en fait d'économie ; elles sont, au contraire, le résulta...
https://www.contrepoints.org/2013/09/24/140011-protectionnisme-philosophie-guerre
Le revue libérale française....
La vérité sur le protectionnisme en délire ?
Trump plie sur Nordstream 2. Parce que... Logique
" Détail important : ce gaz sera payé en euros, pas en dollars. Et c'est quelque chose qui compromet davantage encore l'efficacité des sanctions US. " par Tom Loungo Depuis qu'il en a été ques...
https://reseauinternational.net/trump-plie-sur-nordstream-2-parce-que-logique/
Et ses dénis des réalités qui le dérangent tant : dont mondialement la Russie se comporte tellement mieux que les aigres et maniaques USA…
« Le protectionnisme est une branche de la pensée libérale. » : Les protectionnistes sont des gens qui croient à l'activité d'entreprise, au marché, à l'individu mais qui disent simplement que l'individu n'existent pas dans un vide métaphysique [...] mais dans une collectivité [...] impliquant une régulation étatique d'un certain type : politique industrielle, protection des frontières dans certaines circonstances mais pas toujours. » …Puisque, au-delà de toute critique, le protectionnisme aurait le premier des torts de s'opposer à la valeur suprême : la liberté ! Le second étant de démentie avec éclat les paroles, apparemment démentes, de Margaret Thatcher « la société n’existe pas »…Ah bon ! Comme cela chaque humain peut être dépouillé et maltraité…à part ? Essayons, alors sur le même « les banques spéculatrices n’existent pas »…Tiens, elles n’existent déjà plus !