Qu’est-ce que l’écofuite ?
Aucune des mesures sérieuses n’est jamais prise. En très résumé, l’écofuite ce sont les prétendus dirigeants qui nous sabotent toute la société. En effet, on ne lit ni n’entend jamais de suggestions incitant, puissamment, les riches à cesser d’acheter des yachts ou des jets privés et de les utiliser. Et pire, eux, ils augmentent toutes ces inacceptables pollutions. Il n’est demandé, par contre, à contretemps, à contre-emploi, dans un illogisme impitoyable, de non décisifs efforts qu’aux 50 % les plus pauvres de l’humanité qui (avec leur 10 % de pollutions) ne peuvent rien changer sur le fond. Le MAXIMUM des efforts doivent se concentrer sur ces 10 % de trop riches qui se cumulent oui, oui 50 % de toutes les pollutions. Ceci seul est décisif, a un impact évident : et n’est…jamais fait. Qui sont donc discrédités à 1 000 % ? Puisque, dans les familles, de tels comportements d’imprévoyances radicales, de refus d’accepter la réalité telle qu’elle est, conduisent à des mises sous tutelles. Et, dans la société globale ?
Reprenons – le fondement des privilèges des riches restait leur expertise incontestable et irremplaçable ou bien la meilleure allocation des ressources collectives pour le bien de tous qu’ils faisaient avec rigueur. Le sommet du rationnel. Or, ceci ne se produit plus du tout : ces prétendus dirigeants ne sont plus dans les réalités essentielles mais dans les imprévoyances radicales. Ils fuient toutes leurs responsabilités comme tous leurs devoirs…Leur système de production et d’auto-attribution illégale d’une trop grande part du PIB détruit la société : il faut donc changer de système de production tellement néfaste ; ce sont eux qu’il faut réformer d’urgence et rien d’autre. Les urgences écologiques, aussi, ne les trouvent qu’aux abonnés absents : ne se conduisent-ils pas en anti-dirigeants ? En saboteurs ennemis de la société ? Leurs erreurs d’attributions amplifient toutes les confusions – pire, ils/elles défigurent toutes les valeurs, augmentent les délinquances illégales des lobbies qui – en rien – ne sont aptes à prendre des décisions pour toutes et tous. Surtout pas ! Pour nous, qui utilise un lobby discrédite sa pensée qui, sans cette malhonnêteté purulente, ne se ferait pas reconnaitre pour ses vertus (donc inexistantes !)… « Tandis qu’on incite le citoyen moyen à faire preuve d’une certaine vertu écologique, les riches du monde, qui sont de plus en plus nombreux, consomment toujours plus. Pas non plus de recommandations impératives concernant l’achat ou l’utilisation de smartphones, de téléviseurs et d’appareils électroniques en général, dont les ventes sont mondialement croissantes, dont les productions épuisent les ressources non-renouvelables tout en émettant des quantités astronomiques de gaz à effet de serre (le KTH Royal Institute of Technology de Stockholm estimait en 2010 que les secteurs des technologies de l’information, de la télécommunication, des médias et du divertissement émettaient presque autant de CO2 que le secteur de l’aviation). La plupart des suggestions grand public consistent en des changements dérisoires des modes de vie individuels - elles ne visent jamais à s’opposer frontalement aux logiques de croissance et de consommation qui dirigent la décivilisation industrielle et son biocide planétaire [[ ce qui n’est plus admissible : si les dirigeants ne sont plus jamais sérieux, ils perdent toute légitimité – et ces saccages leur restent imputables à 100 %. Coupables ET responsables !]]
De-l'impossibilité-de-l'éco-fuite-et-de-l'inefficacité-de-la-consomaction
(…) afin d’y écouler smartphones, téléviseurs et appareils électroniques en tous genres, avec ce que cela implique d’ethnocides et de désastres écologiques ? Et comment ? A l’aide de milliards d’euros d’argent public, les entreprises de vente de smartphones, téléviseurs et d’appareils électroniques en général ne cessent d’augmenter leurs ventes,[[ alors qu’il faut drastiquement les…diminuer. Se recentrer sur l’essentiel, chasser les monstrueux gaspillages et les plus 70 % de déchets « en plus » dans les prochaines années si la politique continue à nier l’écologie centrale ]], des ultra-riches [[ devenus vraiment insensés !]] s’associent dans l’optique de construire des nations flottantes en commençant leurs expérimentations inadaptées, financièrement et matériellement ultra-coûteuses (gâchis colossal de « ressources naturelles » et fardeau supplémentaire pour ces 50 % des pauvres mondiaux qui ne polluent pas !) en Polynésie française, le réseau routier mondial qui fragmente ce qu’il reste d’écosystèmes relativement préservés ne cesse de s’étendre, ainsi que les zones urbaines du monde dont il est prévu qu’elles triplent en surface au cours des quelques décennies à venir [[ à part cumuler conneries sur conneries que savent faire ces dangereux déphasés trop riches ?]] , etc., c’est-à-dire qu’en gros, pendant ce temps-là, tout se passe selon les souhaits du PDG d’Amazon, Jeff Bezos qui est de « profiter à fond de toutes les énergies fossiles en se foutant de tout [[ offrant l’image déplorable de non humains immatures se soûlant sans cesse à l’argent des autres…]] :
Au lieu de quoi les médias supposément alternatifs/libres/indépendants (parfois les trois à la fois, marketing oblige) prennent les illusions de l’écocapitalisme pour l’« antithèse » du capitalisme, pour une solution aux problèmes de notre temps. Tout cela pour dire, en paraphrasant Thoreau, qu’il existe un millier de manières d’avoir l’impression de s’attaquer aux branches du mal (qui ne font parfois que stimuler leur croissance), contre une seule manière de s’attaquer à ses racines. Que pour l’instant, le mouvement de résistance organisé capable de s’attaquer à ces racines, de frapper où ça fait mal pour paralyser ou mettre hors d’état de nuire la machine industrielle [[ c’est cela le fond il faut empêcher des voyous immatures et incultes de continuer leurs prédations – partout ils se la pètent en se disant les meilleurs alors que, partout, ils ne font que le contraire de ce qu’il faut faire …la liste des doléances à leurs exactions représente un document qui fait plusieurs fois le tour du monde en longueur ! A quand des manifestations de hurlements contre eux, d’engueulements martelés contre ces fous à placer en institutions ?]] à consumer des combustibles fossiles, à émettre du CO2, à réchauffer l’atmosphère, à la saturer de particules toxiques, à vider les océans, à les remplir de plastiques et à les acidifier, à raser les forêts, à les remplacer par des villes, des monocultures et des routes, à perforer les sols pour en extraire des « ressources minières », etc., n’est pas en vue [[ y a-t-il une seule chose saine que ces détraqués font comme si leurs anormalités monstrueuses étaient…normales ?]]. Et qu’il incombe, à ceux qui le comprennent, de faire ce qu’ils peuvent pour participer à la création d’une telle résistance. » (Nicolas Casaux)…Déjà bien commencé, TOUT est à exiger de ces graves troubleurs de l’ordre public que sont les dérégulés (pour déréglés) trop riches…oui «trop» riches mot plus résistantiel que «très» riches, qui ne symbolise rien du tout !
Carbone-et-consommation Comment nos consommations tuent et comment nous choisissons de regarder ailleurs…
Exemples tirés de l’étude 2018 de l’Ademe « Modélisation et évaluation du poids carbone de produits de consommation et biens d’équipement ». Ademe, CC …………………………**************************************************
« Le biomimétisme ou la bio-inspiration : Notre développement et nos principes économiques plus que déplorables se fondent sur un processus d’aspiration parasitaire, qui épuise sans relâche notre hôte, la nature, alors qu’il nous faudrait un système harmonieux, dans lequel l’hôte et le symbiote s’enrichissent mutuellement, se développent conjointement. Il est évident, quoi qu’en pensent certaines de nos fausses élites, que notre croissance ne peut que s’effondrer à terme si nous continuons sur cette voie mortifère [[ pouvons-nous nommer élites qui ne sèment que la mort et se conduisent en pires que voyous envers les savoirs objectifs ?]]. C’est pourquoi, avec l’adoption d’une approche qui s’inspire du vivant, considérant que l’évolution de ce dernier repose sur une expérience de plusieurs milliards d’années, nous serions en mesure de faire naître un cercle économico-social vertueux [[ donc très fermement anticapitaliste et qui commence par son abolition et la soumission immédiate des multinationales aux règles d’intérêt général – ce sont à ces bandits costards-cravates de plier et ils plieront…]], durable voire infini : « La nature, c’est 3,8 milliards d’années de recherche et développement et d’optimisation continue… une source d’inspiration inépuisable et renouvelable. Une source de solutions à nos enjeux contemporains, de développement pérenne, et de survie économique et écologique. »( Patricia Ricard, 2015, p. 36). Un modèle économique bio-inspiré ne peut s’envisager en laissant au bord du chemin l’immense majorité des individus [[ comme l’affreux scandale libéral se le permet et que nous ne lui permettons pas !]]. Il ne peut s’agir que d’un modèle inclusif. Dans la nature, lors d’une crise écologique, la plante flétrie, l’animal qui s’en nourrit dépérit et, en fin de chaîne, le lion s’éteint ; mais lorsque les conditions naturelles sont favorables, la plante fleurit, l’animal grossit et le lion étincelle de sa magnificence. À sa mort, ses restes viennent alimenter la plante et ainsi de suite. Ainsi, un modèle bio-inspiré doit s’assurer de l’enrichissement de la base de la pyramide pour que le haut prospère. En fait pour être parfaitement juste, dans un modèle économique bio-inspiré ou bio-libéral, il n’y a plus de haut ni de bas, il n’y a plus de pyramide mais une sphère sociale [[ ce qui dessine la beauté esthétique des partages et du faire ensembles : l’horreur capitaliste braille juste « tout pour moi et rien pour les autres »…ce qui reste à la portée de tous les minables mais pas des élites. Conclusion ? Le capitalisme n’a aucune véritable élite. Il n’a que la lie de l’humanité !]].
Biomimétisme : passer d’un modèle économique « bio-aspiré » à un modèle « bio-inspiré »
De la même manière, le modèle actuel s’envisage au travers du prisme de l’exploitation infinie des ressources. Le problème c’est que nous sommes sur une planète effectivement riche de ressources (naturelle, minière…), mais en aucune sorte infinies. Enfin, si ! Ces richesses sont sans limites car renouvelables, mais pas à la vitesse à laquelle nous les consommons. [[ et ceci tout dirigeant responsable devrait le pratiquer…rendre au pénal les abus consuméristes…qui nuisent au droit des autres de ne pas subir ces démences de démesures…ce sont les sources qu’il faut soigner non les endommagés et spoliés de ces monstres !]] De façon similaire, la capacité à polluer du modèle actuel dépasse très largement les capacités de la nature à se « détoxiquer » [[ si le capitalisme est le dealer des pollutions droguées il faut le mettre en prison…durablement – toutes les pollutions abusives doivent être traitées comme des drogues prohibées !]]. Ainsi, notre antimodèle s’est construit sur une conception linéaire des richesses, du berceau au tombeau. À l’inverse, un modèle bio-inspiré conçoit la richesse de manière cyclique, du berceau au berceau. Telle une forêt, chaque organisme produit des biens et services, mais aussi des déchets, utiles pour les autres organismes de cet écosystème. Lorsque cette conception trouve une application économique, on appelle cela généralement la symbiose industrielle. »…Le trop riche est donc un violent anti-social qui refuse les symbioses et les harmonies : c’est lui l’ennemi de la société globale- les dossiers qui l’accusent sont pleins à craquer !
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Face-à-la-plus-que-crise-écologique-remettons-des-expériences-de-nature-dans-notre-quotidien
« À nous de trouver des moyens personnels de dépasser les étapes émotionnelles du déni, de la tristesse ou même de la colère, qui ne permettent pas d’imaginer de futur. Cyril Dion, à qui l’on doit le film Demain, appelle à inventer de nouveaux récits collectifs [[ déjà fait…]] qui nous permettront permettent de changer de vision du monde. Une première étape dans l’invention de ces nouveaux récits consiste sans aucun doute à nous ré-ancrer dans le fonctionnement de la nature et du vivant, de retrouver le sens des expériences de nature [[ voir, pour l’intense, le livre l’ardeur soiale ]]. Ces expériences constituent autant de processus de transformation individuelle, où chacun peut intégrer des rencontres avec des éléments de nature à son histoire personnelle et son contexte social. Loin de tout exotisme [[ qui sépare et éloigne ]], ces possibilités de rencontres existent pour la plupart d’entre nous, au coin de la rue avec une fleur qui sent bon, un bourdonnement d’insectes qui intrigue ou qui inquiète, un animal furtif qui surgit dans un chemin de campagne, dans un jardin avec des proches [[ alors, pourquoi de si bons départs n’amènent pas à une conscience globale et unifiée ? Sauf chez les intenses anti-conformistes la conscience commune n’est pas vraiment au point – faute d’exigences envers soi-même !]].
C’est que, d’après la théorie de la dissonance cognitive, introduite par le psychosociologue américain Léon Festinger en 1957, ces informations bouleverseraient complètement notre système cognitif, le rendant dissonant, jusqu’à parfois nous mettre en danger. Nier la validité de l’information qui a entraîné une telle dissonance est une protection inconsciente de notre cohérence mentale. L’hypothèse de l’« amnésie environnementale générationnelle », développée en 2002 par le psychologue Peter Kahn Jr., constitue une autre manière d’expliquer cette indifférence [[ criminelle et inacceptable]] face à cette crise socio-écologique : « Nous considérons tous l’environnement naturel que nous côtoyons pendant l’enfance comme une référence à partir de laquelle nous mesurons la dégradation de l’environnement plus tard dans nos vies. À chaque génération, l’environnement se dégrade, mais chaque génération prend le niveau dégradé qu’elle côtoie dans sa jeunesse comme une référence d’un état non dégradé, comme une expérience normale [[ il faut donc en passer par les vrais écrivains pour parvenir aux expériences qui libèrent – et le capitalisme sommaire et inacceptable censure, dans la pire des illégalités tous les écrits intelligents ET sensibles (car les censures sont CONTRE les populations, contre leurs libres accès à ces écrits et non pas contre leurs auteurs…réfléchissons, c’est écrit donc il/elle sait déjà…et nous pas, ce sont donc nous les censurés, du mot « cens », soit le fric des trop riches…tout est limpide avec les mots !]].» Tout se tient et nous tenons à tout…
La terre est en grand danger en raison de la corporatisation de l'agriculture, la crise du réchauffement climatique, l’accroissement de la pauvreté [[ Plus d’1 million en France depuis 10 ans, pendant qu’il est menti que la pauvreté diminue…pas le nombre de vrais pauvres en tout cas !]], la famine et la désertification à grande échelle. Après la sortie de son best-seller La Révolution d’un seul brin de paille, Fukuoka a parcouru le monde entier pour répandre ses enseignements et a travaillé avec un public fidèle d’agriculteurs et d’organisations en Afrique, Inde, Asie du Sud-Est, Europe et États-Unis, pour montrer comment produire de la nourriture et régénérer les forêts, même avec très peu d'irrigation. Semer dans le désert [[comme la parole, oui identique – qui cherche à décourager n’est jamais clair : pour roule-t-il/elle au fait ? Ce sont donc ceux qui sèment et parlent dans le désert qui ont raison…c’est cela basculer la vision !]], compilation de ses années de voyage et de recherches, est le dernier grand travail et peut-être le plus important de Fukuoka. Semer dans le désert présente le plan révolutionnaire de Fukuoka pour réhabiliter les déserts du monde et parvenir à la sécurité alimentaire mondiale à l'aide de l'agriculture naturelle[[en parallèle à parler aux cœurs secs et aux têtes éteintes ]], ainsi que des solutions pratiques pour nourrir une population humaine croissante. Il apporte une nouvelle compréhension de la relation entre les êtres humains et la nature. Le message de Fukuoka arrive à un moment où les gens du monde entier semblent avoir perdu leur cadre de référence, et nous offre un moyen d'avancer. »…A condition de ne plus jamais reculer devant les minables propagandes et les si piteux capitalistes, et les prendre pour ce qu’ils sont, des monstres de lâchetés qui reculent toujours dès que les humains sont vraiment déterminés. Ceci se nomme une colère froide qui ne nuit pas aux corps qui en sont les volcans tranquilles !]].
Ce qui se joint avec remettre en question (donc en réponses) nos faiblesses ou nos mauvaises compréhensions : comme ici, où le non respect des faits historiques est une intrusion mal avisée contre ces autochtones (qui est du coin, dans l’étymologie du mot) que nous continuons trop…à voir de trop haut, bien trop paternalistes !
Dénis du réel pris sur le terrain de leurs grands méfaits ? Lorsque nos surévaluations de nos bien-êtres (oh les tout petits chous à saaaa maman !) surpassent l’instinct de conservation et la raison ? Les 2 courbes ne veulent surtout pas…se connaitre et reconnaitre !
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Ne rien rejeter de nos qualités personnelles (qu’il est souhaité faire passer pour des…défauts. Tout ce que disent les médias d’argent sale c’est mensonges – et ce sont de vraies qualités !) puisque tout ce qui nous rend divers nous aide à protéger toutes les diversités !...« Le rêve est à la source de toute création. L’analyser avec le langage du quotidien capitaliste c’est le réduire à un produit marchand [[ tellement « insignifiant » ce qui se laisse mettre dans une boîte !]]. Nous vivons dans une société où le « terrorisme du réel » normalise l’imaginaire (Annie Le Brun, Les châteaux de la subversion). Toute émotion, toute sensation devrait être localisable, mesurable, réduite au langage du bilan scientifique dont l’ambition sera toujours de veiller à réduire « les états dits inadaptés, y compris les troubles mentaux [[ le grand dérèglement capitaliste cumulant tout ceci ]] ». Mais qui définit les troubles et les inadaptations, sinon les tenants de cette science, une élite économique et intellectuelle, rendue malade par une civilisation qui est incapable de comprendre la communication que des corps de chair, d’os et de sang, entretiennent continuellement avec le monde qui les compose [[ ce sont eux les malades et pas nous !]] ? Et pourquoi laisserions-nous des « experts » nous déposséder de notre liberté de choisir ce que nous ressentons comme bon ou mauvais pour nous-mêmes ? Notre individualité est une richesse durable, nos handicaps émotionnels, notre colère, notre trop grande sensibilité ne sont pas des troubles mentaux [[ mais des résistances sensées à « leur » maladie ]]. La fausse santé qu’ils nous vendent est celle d’une mécanique bien huilée. Ils déterminent type, caractère, milieu, quadrillent et maîtrisent toute la réalité et souhaiteraient que nous nous soumettions à ce règne de la classification, ce règne de la police. Le sensible est asservi à la répétition mortifère de lois établies par des statistiques [[ or, un arbre se con,nait à ses fruits, ce soit disant contrôle rationnel ce sont quoi ses résultats qu’ils cherchent tant à nous…cacher ?]].
Le-rêve-est-une-langue-sauvage
« Mais l’imagination est une faculté humaine absolument nécessaire. Si l’imagination est rejetée ou méprisée elle se transforme au mieux en rêverie égocentrique, au pire elle prend ses rêves pour des réalités [[ ceci se nomme la folie consumériste – gober qu’un simple objet, qui change sans cesse afin de «faire marcher» le commerce, nous transforme…en dieux anti-citoyens, non mais t’as vu ces niais du tout nier ?]], ce qui est extrêmement dangereux. Le mauvais réalisme est le moyen qu’a inventé notre époque pour ne pas affronter la réalité : pornographie, polars ultra-violents, feuilletons sportifs, les cours de la bourse. » Ursula K. Le Guin, Le langage de la nuit [[ le capitalisme ou bien la maniaquerie compulsive qui fuit sans cesse le réel ?.
Le langage de la société capitaliste réduit et avilit notre intériorité [[ bref, c’est notre pire ennemi intérieur, c’est lui le migrant parasite ]] ne véhicule que stéréotypes et clichés. Il est urgent de refuser la réduction [[ déjà fait pour nous –arrêtons de tout dire au futur, expérimentons en direct, offrons-en des preuves qui accrochent les désirs, englobons le « déjà fait » dans encore plus de collectifs !]] que l’on nous impose et de résister à la passivité-inertie qui en découle. Revendiquer la luxuriance et la fertilité de l’émotion et de l’imagination est un acte de résistance qui résiste à tous les conformismes hébétés. La création imaginaire doit engager l’homme dans le monde, accroître notre attention à la vie, aux autres, et par la richesse de ses métaphores lier ce qui semblait irrémédiablement opposé [[penser avec tout son corps fait, en général, gagner beaucoup de temps !]]. Certains reprochent aux rêves leur hermétisme, mais c’est oublier qu’ils sont, comme la poésie ou la peinture, une langue secrète qui exprime les multiples relations liant les êtres et la matière. Ils nous extraient de la pure nécessité et ne sauraient être économes sans se perdre. (Ana Minski). » Les somptueuses richesses de la vie intérieure restent inépuisables et durables..
Et l’or des mots résiste à tout ce qui veut rabaisser l’humain…C’est ainsi.
…Nous avons les meilleures armes même si elles paraissent désarmées.
………..A charge d’apprendre à bien les utiliser. Nous, déjà fait !
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Le saltus : un concept historique pour mieux penser aujourd’hui les relations
entre agriculture et biodiversité - Xavier Poux, Jean-Baptiste Narcy et Blandine Ramain.
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…toujours dans la rubrique : " Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que les grands éclaircissements nous grandissent et nous nourrissent !
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est encore pire
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
…dialogue des 2 images…1)- Ne pouvant faire mieux que la nature, la copier et l’imiter reste très inspiré…2)- L’écouter et l’accepter comme interlocutrice fondée aussi - Andrea Dworkin dit : « ceux qui détiennent le pouvoir cannibalisent aussi bien les gens que le langage. »…ils sont des monstres et nous n’avons plus à leur obéir !
« Reconnaitre cela peut nous aider à éviter de perdre notre temps en de naïfs efforts. Par exemple, dans des efforts pour apprendre aux gens à économiser l’énergie et les ressources. De tels efforts n’accomplissent rien. Cela semble incroyable que ceux qui prônent les économies d’énergie n’aient pas remarqué ce qui se passe : dès que de l’énergie est libérée par des économies, le système-monde technologique l’engloutit puis en redemande. » - Theodore Kaczynski, Anti-Tech Revolution: Why and How
Impact carbone biens d'équipement - Ademe
Feuille 2 Catégorie, Objet, ECV1_MatièresPremières( kg eq CO2/ FU), ECV2_Approvisionnement( kg eq CO2/ FU), ECV3_MiseEnForme( kg eq CO2/ FU), ECV4_Assemblage( kg eq CO2/ FU), ECV4_Distribution( ...
https://docs.google.com/spreadsheets/d/1sxQTpXB0Xn2rjnlDhHYz_Jp49GioTfWg03Yqnj1iMbs/edit
impact carbone-biens d’équipement
« La performance du vivant repose sur la symbiose et non sur la compétition ! » @chekchakTarik Les arbres des forêts s’entraident par l’intermédiaire du mycélium des champignons ! #biomimétisme #cooperation #organisation
Et que cela ajoute toutes les pollutions aux pollutions…Ce qu’on peut remarquer c’est qu’on ne lit que très rarement voire jamais de suggestion incitant les riches à cesser d’acheter des yachts ou des jets privés et de les utiliser. Etc. Aberrations qui se doivent d’être corrigées….
Il s’agit de deux approches complémentaires. Le biomimétisme apporte une méthodologie à l’économie circulaire en amenant des solutions à des problématiques spécifiques. Par exemple, transformer des déchets en ressources en s’inspirant d’une espèce qui se nourrit des déchets d’une autre espèce. Quant à l’économie circulaire, elle apporte un contexte économique au biomimétisme.
Face au réchauffement, l'humanité réagit comme cette famille face à une fuite d'eau. (VIDÉO)
Face au réchauffement climatique, l'immobilisme de l'humanité est un mystère : tout le monde ou presque fait comme si de rien n'était alors que les pires désastres sont annoncés dans un aveni...
https://positivr.fr/thermostat-6-court-metrage-rechauffement-fuite/
Vidéo - Face au réchauffement climatique, l’immobilisme de l’humanité est un mystère : tout le monde ou presque fait comme si de rien n’était alors que les pires désastres sont annoncés dans un avenir de plus en plus proche. Pour illustrer ce phénomène incompréhensible, voyez ce court-métrage terrifiant de clarté.
"Semer dans le desert" de Masanobu Fukuoka
Quand le "Bio" tourne mal... - Geoff Lawton
Derrière leurs beaux discours publics sur le climat, les multinationales continuent à s'opposer à tout objectif ambitieux de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Nouvelle illustra...
Multinationales qui sabotent ? Et viennent s’ajouter aux écofuites, les voyous planétaires multinationales qui font TOUT pour nuire à l’humanité (d’abord dénis du réel – puis, une fois que ce n’est plus possible, sabotages illégaux de toutes les actions collectives) – les gouvernements devraient s’opposer à ces trop vases parasites, ils préfèrent imposer l’austérité à leurs pays et leur filer tous les bénéfices obtenus. L’image des « migrants prédateurs » ce sont donc ces multinationales voyoues sans plus de déontologie !
Ecologie industrielle : exemples cogénération de Kalundborg
Ecologie industrielle : exemples cogénération de la Ville de Kalundborg
Ecologie industrielle : exemples de Kalundborg - Interview de Jorgen Christensen, , écologie industrielle, Consultant pour l'Institut de la symbiose Kalundborg Danemark depuis 1990, réalisé par Jean-François Vallès Synopter
13 essential first experiences in nature
THE BLUNT TRUTH is that most people are clueless in nature. Stop by any campground and you'll see it: People sitting around coughing, literally smoking themselves out with improperly made fires, or
https://matadornetwork.com/notebook/13-essential-first-experiences-in-nature/
13 premières expériences de nature
Nature Kids Clip: Peter Kahn
Activité Montessori dans la nature
L'intelligence dans la nature - Enquêtes Extraordinaires (sixième sens animal)