Révoltes qui se généralisent ? (1)
D’abord savoir trouver tous les points de ruptures actuels. Puis les analyser à fond afin de ne point se leurrer. Élèves et enseignants, infirmières et médecins, ingénieurs et ouvriers, lecteurs et écrivains, écologistes, etc. - oui nouvelles résistances. Depuis 3 mois se dessinent que ce sont les domaines de la santé et de l’éducation qui se mettent en pointe. En effet, les technocrates insensibles du capitalisme n’y peuvent pas garder le visage du double jeu…Le recul net du respect envers les enfants, devenant de la chair à profits, des pions à manipuler, sans égards, pour servir des intérêts peu recommandables (et effaçant, par la même occasion, nombres d’expériences réussies où l’enfant se voit vraiment au centre de tous les projets éducatifs !) reçoivent le net retour du négatif. Pareil pour la santé où il est clairement perçu que les intérêts si illégaux des lobbies se voient préférés à la santé concrète des humains, et que le double jeu du « mais ce n’est qu’un incident non voulu, nous sommes avec vous afin d’améliorer la santé publique » ne peut vraiment plus s’y faufiler. Oui 2 pans vitaux de la vie sociale rencontrent en direct la brutalité des irresponsables technocrates, la froideur inadmissible des financiers qui n’ont plus la moindre réponse rationnelle à des demandes si justifiées. Ruptures et divorces s’annoncent clairement. Là, en effet, le capitalisme libéral est démasqué comme une barbarie à visage inhumain. Comme un véritable ennemi des humains. Un parasite si inutile et dont l’abolition nous rendra la vie tellement meilleure. Vivre sans lui devient un très net Progrès !
Les-vrais-points-de-rupture-? Lorsque les appréhensions, parfois l’anxiété, règnent et pourraient se transformer en refus carrément nets et en vives protestations. De même, que le départ de Nicolas Hulot a mis en cause la non volonté et l’incapacité du gouvernement de saisir à bout de bras les enjeux que porte l’écologie politique – partout les masques sont en train de tomber…
>>>> *** Alors le tissu divers qui constitue des éducateurs, tutrices institutrices et tuteurs instituteurs, professeurs. Dont certains disent qu’ils/elles sont restés dans cette profession afin d’aider les enfants et les adolescents à ne pas se faire maltraiter par le scandale capitaliste. Leur conscientisation est forte et les formulations des concepts peuvent entraîner la société à désirer puissamment à changer tout de suite de système. Pour la santé, la mobilisation est permanente (nous parlons du monde entier, d’autres pays et pas seulement de la France). Le découragement qui pourrait gagner, devant le cynisme odieux des faux dirigeants, n’augmente plus jamais. La conscience forte des enjeux collectifs est telle qu’elle pourrait entraîner la société complète dans des déterminations de transformations complètes. [[ soit le très exact contraire des…réformes !). Les étudiants, plus aléatoires, demeurent un potentiel vibrant mais aucune information structurelle ne peut prédire une sorte de locomotivation de tous les mouvements. Permettant un démarrage commun au quart de tour.
Aux-Etats-Unis-la-révolte-des-enseignants « Il y a un énorme consensus sur le fait que l’éducation publique est dans un état d’abandon volontaire avancé, rapporte Jarvis. Comme 95 % des enfants de l’Oklahoma sont dans des écoles publiques, la question affecte tout le monde [[ et demeure le ferment actif du pays tout entier…]]. »
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« Ils se sont rebellés contre « le choix de réduire encore et encore les impôts des riches au lieu d’investir dans l’éducation publique ». Confrontés à l’abandon des pouvoirs publics, des milliers d’enseignants se sont mis en grève ces derniers mois dans plusieurs villes et États des États-Unis. Leurs actions ont été menées avec le soutien de l’opinion, des élèves et des parents. Ce mouvement de base, qui surprend même les syndicats, pourrait reprendre et s’étendre dès la rentrée.
Pour Randi Weingarten, présidente de l’American Federation of Teachers (AFT), l’une des deux principales organisations de l’éducation, qui compte 1,7 million d’adhérents, ce mouvement est l’aboutissement logique d’une « politique de la terre brulée » [[ celle des razzieurs-barbares de l’ancien temps ]] menée depuis des années par la droite. Les grèves l’ont démontré. Elles sont survenues dans des États où règne la doctrine du « droit au travail » et où les enseignants n’ont même pas de droits de négociation formelle [[ donc le travail n’y est pas un droit mais le langage 1984 qui nomme comme existant ce dont il prive perd toujours plus de son effet hypnotique. Il ne peut plus créer que des divorces en masse d’avec une « telle » société !]]. En l’absence d’un cadre classique pour résoudre le conflit, la contestation a gonflé. « Les dirigeants du syndicat ont certes soutenu le mouvement, mais ce n’est pas eux qui l’ont lancé, affirme Tega Toney. C’est un mouvement de base ». Qui pourrait bien reprendre, et s’étendre, dès la rentrée. »
Les enseignants américains voient rouge : « Donald Trump aime se prévaloir de sa défense des « Américains oubliés » qui vivent très loin des grandes métropoles, en particulier dans les États pauvres et ruraux ayant souvent voté pour lui. Or c’est précisément là qu’un mouvement social met en cause la politique républicaine d’abandon voulu des services publics. Dans cet affrontement, les enseignants jouent un rôle-clé. « Tenez bon ! », « Ne reculez pas ! ». Ce moment de solidarité vient conclure un atelier de la conférence bisannuelle organisée par la revue militante Labor Notes. À la tribune, six professeurs, un homme et cinq femmes, arborent un vêtement rouge, couleur emblématique du mouvement Red for Ed (« les rouges pour l’éducation »), une appellation qui joue sur l’ambiguïté autour de la couleur rouge : celle-ci est en effet associée à la fois à la tradition socialiste et au Parti républicain, qui gouverne les États dans lesquels la vague de grèves continuent de se développer. »
Fiasco-de-la-privatisation-de-l'éducation
Privatisation de l’école, le fiasco suédois : échec en hausse. Au cours de la campagne pour les élections générales qui se sont tenues en Suède le 9 septembre, la poussée attendue de la droite xénophobe a occulté le débat sur l’avenir des services publics. À la tête d’un gouvernement minoritaire depuis quatre ans, les sociaux-démocrates n’ont même pas réussi à plafonner les profits des entreprises privées qui ont investi la santé ou l’éducation, au détriment de la qualité des services et de la réussite des élèves (...) Ainsi, AcadeMedia, l’« entreprise éducative » cotée en Bourse qui l’emploie à temps (très) partiel : 28,7 %. Situé au sud de Stockholm, son lycée, un établissement privé sous contrat, dit friskola (friskolor au pluriel), partage ses locaux avec un autre du même groupe. Rentabilité oblige, Mme Heuyer doit gérer deux niveaux dans la même classe : « En pratique, je suis obligée de diviser le temps de cours par deux. » [[ et ces 2 niveaux sont perdant…la qualité baisse et les résultats aussi. Le « rendement » étant strictement impossible – seulement les apparences d’un rendement !]].
Exerçant, eux, à temps plein, ses collègues professeurs d’espagnol, Sandra Nylen et Adrian Reyes, enseignent également une autre matière — un fait commun en Suède. Ils assurent en outre un tutorat pour une quinzaine d’élèves chacun, jouant le rôle de ce qu’on appelle en suédois un mentor. Par courriel ou par téléphone, ils doivent maintenir un contact permanent avec les parents pour le suivi des absences et de la scolarité, toutes matières confondues. « Lorsqu’un élève rencontre des difficultés, c’est de la faute du mentor », soupire M. Reyes. Il n’est ainsi pas rare de voir un professeur aider un élève à faire remonter ses notes dans une autre matière que celles qu’il enseigne. « Je m’assure sans cesse auprès de mes élèves que tout va bien, car je sais que mon directeur va me demander des comptes, raconte Mme Nylen avec nervosité. Mais que faire lorsqu’ils échouent dans plusieurs matières ?[[ ces mentors ne faisant donc que réparer toutes les carences dues à la claire désorganisation du système par le privé. En éducation, il reste absolument impossible de faire des bénéfices (sic) sans que ce soit à l’irrespectueux détriment des élèves. C’est un peu comme faire entrer des voyous dans la bergerie]]. »
Le directeur du lycée Drottning Blanka « demande des comptes » parce qu’il lui faut de bons résultats pour conserver ses élèves ou en attirer davantage. Après le retour au pouvoir des « partis bourgeois », en 1991, le premier ministre du Parti modéré, M. Carl Bildt, instaura le système des « chèques éducation ». Depuis, il n’y a plus de carte scolaire, et chaque famille peut inscrire gratuitement ses enfants dans l’école publique ou privée de son choix. Sauf que le choix du public…défavorise systématiquement qui le fait ! »…. Ce qui démotive absolument qui serait tenté par le grand fiasco des privatisations !
Et nous entrons dans l’illogisme pervers des discours absurdes contre la gratuité des transports « qui nuirait à la marche à pied et au vélo (sic) »…alors que ces 3 modes nettement plus écologiques peuvent S’UNIR (prendre les transports gratuits avec son vélo pour couvrir plus de distances – augmenter les liens sociaux grâces à la gratuité - alterner marches et transports, etc.). Et qu’il faut donc être complètement insensible et/ou ne rien de rien connaître de ces moyens de locomotions pour perdre tout honneur à mentir ainsi. Ces triplés font un bien immense à la Nature et à la santé collective…Dire l’inverse devient provocations aux révoltes. D’autant plus que le corrompus qui osent se nommer « élites » (alors que leurs comportements prouvent qu’ils ne le sont surtout pas) sèment partout les maladroites perversions d’avec le …Au nom de la « liberté de choix »…Ils nous enlèvent tout choix pour conserver la liberté du choix…formelle ! (que en blabla !)… « Si les privatisations dans le secteur de la santé et de l’éducation se sont produites en Suède avec l’arrivée au pouvoir des « partis bourgeois », en 1991, après soixante ans de domination du Parti social-démocrate suédois des travailleurs, la fausse gauche avait préparé le terrain. Dès la fin des années 1980, le gouvernement avait commencé à s’inspirer des théories sur la « nouvelle gestion publique » en important dans l’administration des outils et des pratiques issus du…privé [[ en France la RGPP – et désastre mondial garanti partout…le privé c’est…la bureaucratie…et la source principale de l’enrichissement capitaliste c’est la…paperasse - le service public, par contre, c’est le minimum de bureaucratie !]]. Tout gérer comme une entreprise donc tout faire dévier pour l’absurdité que tout soit drainé vers les…profits du très petit nombre. Ce pourquoi l’argumentation de la Commission européenne n’est pas JURIDIQUE. Devant le Droit, les privatisations sont…illégales : puisque les services publics à but non lucratifs ne sont monopoles de rien. Ils sont juste au service du public. On les fait, alors, chuter dans le domaine du « non intérêt général » du commerce en prétendant qu’ils font obstacle aux cupidités antisociales de celui-ci – est juste psychiatrisable. Puisque y faire obstacle reste un net bien : mais non ces vrais truands non élus affirment qu’il ne faut plus être au service des humains mais que de les dévaliser sans cesse rend le privé supérieur au public…ce qui, chaque jour, se prouve que non.
« En parallèle, dès les années 1980, le faux débat sur la « liberté de choix » s’impose dans les médias vendus. Membre actif du Parti modéré (conservateur) et proche de son président Carl Bildt, M. Per Magnus « Peje » Emilsson dirige la principale agence de relations publiques, Kreab, qui multiplie les sondages sur la question et fait campagne en faveur des friskolor, les établissements dits « indépendants » [[ alors qu’ils sont clairement…intéressés – donc financièrement pas…indépendant !s]]. » D’où, en 1992, la réforme de la préséance des écoles privées dont nous voyons le clair désastre aujourd’hui : ce n’est pas en faisant des bénéfices qu’on enseigne objectivement aux élèves (du verbe élever – donc placer au-dessus de soi et surtout pas…rabaisser !)
Vers-la-fin-du-numerus-clausus-en-médecine
La néième réforme si régressive du système de santé, le 18 septembre 2018 ? « Plus personne ne défend en l’état ce dispositif qui visait, lors de son instauration, à limiter le nombre de médecins formés et les dépenses d’assurance-maladie. D’autant que cette première année est unanimement pointée comme un gâchis, dans la mesure où plus des trois quarts des quelque 60 000 inscrits en Paces échouent à l’issue de ce concours (médecine, pharmacie, odontologie et maïeutique…) reposant largement sur les seules capacités de mémorisation des candidats. « A l’heure où près d’un quart des médecins qui s’installent en France ont un diplôme étranger, et où des étudiants français vont se former en Espagne ou en Roumanie, le numerus clausus ne sert plus à rien », assure Olivier Véran, député (LRM) de l’Isère et spécialiste des questions de santé. »…les lignes de ruptures se profilent peu à peu. Toutes les réformes diligentées dans la précipitation irrationnelle ne concernent jamais l’intérêt général et, d’après la hiérarchie du Droit, elles n’auraient donc jamais due se voir lancées, pour se voir ainsi bâclées. Se mettent à pulluler les points de divorces d’avec ce système qui se prétend antisystème mais pour tout faire en pire. Voyons, en un tout premier temps, où se situent ces lignes de ruptures !
nouvelles-masses-=-nouveaux-mouvements
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« Les individus qui composent la société et qui jusque-là étaient dans l’expectative, voire professaient un vague assentiment vis-à-vis de l’action gouvernementale semblent de plus en plus prendre leurs distances, mais peu désireux ou capables de véritablement se cabrer collectivement – jusqu’au jour où certains pourraient s’abandonner aux forces de la démagogie, et de la haine [[ le faux remède bien pire que le mal !]]. »
La-crise-en-haut-la-démoralisation-en-bas
Il y a là un immense péril que seul peut sauver « le besoin d’un nouvel élan : L’ex- dynamique incarnée par Macron conjuguait deux logiques, l’une défensive, l’autre offensive : elle tend à n’en plus représenter que la première, ce qui l’affaiblit considérablement. Pour se relancer, il ne lui suffira pas de veiller à ne pas laisser la gauche ou la droite classiques se relancer. Il lui faudra prendre un nouvel élan, retrouver un souffle mobilisateur qui ne pourra se réduire à la mise en exergue de réformes qui, aussi nécessaires qu’il puisse paraître, passent de plus en plus mal. Conduire un tel élan, l’insuffler ne pourra pas être confié au parti LREM, dont l’image est presque aussi détériorée que celle des partis classiques.
Le principal chantier à venir, n’est plus celui de la « fausse » modernisation du pays [[ puisque c’est une visible régression !]], non, le principal enjeu tient à sa capacité de proposer une relance intellectuelle audible, une vision pour l’avenir autre que gestionnaire et rationnelle, lui redonnant crédit au-delà de sa capacité à endiguer politiquement les forces du mal [[ nous en sommes capables – nos si nourrissantes archives le prouvent – nous conservons d’immenses doutes sur leur charisme en ce domaine où l’amour social prédomine !]]. Quand un personnage public connaît des difficultés dans son action, il est tentant pour lui de se durcir, de vouloir maintenir le cap qu’il s’est fixé sans coup férir, et s’il dispose d’un quelconque pouvoir de passer à l’autoritarisme. »…Or d’en passer par là va donc anéantir, dans l’œuf, la seule possible élévation hors de l’embourbement définitif : la relance intellectuelle ET affective !
Faire-bien-mieux-que-les-dirigeants-s'aider-à-réparer-2/2
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La-révolte-des-maires-de-France c’est l’échec complet de la décentralisation trompée, spoliée, maltraitée par la sur-centralisation. Sauf que celle-ci n’a aucun argument rationnel, aucun projet commun, aucun horizon à partager avec le pays. Mais n’est qu’un fardeau que le pays ne va supporter ! Fardeau dont il veut clairement divorcer…
Ces démissions s’expliquent par une accumulation de contraintes nouvelles sans aucune aide pratique : la baisse inexplicable des dotations de l’État, la suppression de la taxe d’habitation, la réduction drastique du nombre d’emplois aidés, qui permettaient aux associations de fonctionner, ont rendu la mission des maires de banlieues comme celle des maires de communes rurales particulièrement difficile [[ alors QU’UN seul geste permet « aisément » d’inverser les tendances. Augmenter les RECETTES fiscales : soir récupérer l’argent connu des fraudes, des enfers fiscaux et autres exonérations clairement illégitimes. Total = zéro impôt !]] Le maire reste en effet le dernier maillon de la démocratie représentative, il incarne la politique au quotidien dans une relation étroite et souvent personnalisée avec ses administrés. Si les services d’urgence hospitalière ferment, si les travaux de voirie sont annulés ou retardés, si la délinquance ne régresse pas, il en est le seul responsable avec son équipe d’adjoints. »…Et cela n’est pas de sa faute : les coupables sont centralisés !
Quelles-solidarités-économiques-entre-les-régions-européennes
Dans ce domaine Paris et sa sur-centralisation illogique se présente comme un ennemi du pays. Il refuse d’obéir à l’intérêt général et se réfugie dans un clair passéisme du XIX ème siècle. Aussi, ses ivresses de réformes au-delà de la dose raisonnable se prétendant viser la « modernisation » de la structure sociale offre uniquement son arriération, sa ringardisation et son…inefficacité face aux «vrais » enjeux du monde (qui n’est surtout pas de sur-enrichir une poignée de parasites ). Nous développerons toutes ces assertions en (2 ).
Fausse-idée-reçue-ce-sont-les-entreprises-qui-créent-l'emploi
Si cette idée est fausse –toute les aides massives reçues par ces entreprises sont illégitimes et doivent être …remboursées. Point clair de rupture
« Ce pouvoir omnipotent des banques doit être repris en main. Ce n’est pas possible de laisser des pouvoirs aussi importants soumis à la logique de maximisation du profit de quelques actionnaires, de laisser seules les banques décider dans quels domaines investir et accorder des prêts. Bref, de les laisser décider du visage de nos sociétés. »
L'enseignement-des-finances-cause-sous-jacente-de-la-crise-financière-globale
Même si la formulation paraît un paradoxe elle ne les pas : comme il a été appris aux fausses élites une économie qui n’existe pas, ils prennent ensuite…les plus mauvaises décisions possibles ! A nettement développer en pensant à Steve Keen.
Les-chiffres-qu'ils-nous-cachent Écologie, construction, subventions : les chiffres que l’industrie du bois nous cache. Car ? Ils empilent les subventions publiques dans le non respect de la symétrie du « service à rendre » en échange - soit de protéger le futur de la forêt et de respecter les générations futures DONC TOUT DE SUITE les présentes. Les points de ruptures augmentent fortement ici
Ce qui veut dire que si l’intérêt général ne peut plus exister la « reconnaissance » des intérêts privés NE PEUT PLUS EXISTER du tout. Par qui alors ? Un match sans arbitre ressemble à un pugilat dont nul ne contera les points. La main invisible c’est des coups partout et tous plus aveugles les uns que les autres…Ce pourquoi l’intérêt général est le fondement de toutes les constitutions (L'intérêt général, instrument efficace de protection des droits fondamentaux). Moins dans les pays anglo-saxons - et nous voyons les désastres mondiaux qui s’ensuivent. Quoi qu’il en soit, l’Europe n’est pas anglo-saxonne. Et la France encore moins. La preuve ? Sa Constitution contient tout ce qui met hors la loi tous les lobbies. En effet, si " la loi est l’expression de la volonté générale " (art. 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 26 août 1789), il ne peut être admis que des groupes d’intérêts puissent tenter d’influencer ses auteurs, à savoir les parlementaires Partout, nous pouvons (même juridiquement) rétablir la prépondérance de l’intérêt général. L’intérêt général commence par la reconnaissance mondiale des limites restreignantes du privé : en aucun cas, il ne peut s’occuper de ce qui est commun, urgent et immédiat. En cas de grave danger, d’urgence planétaire le privé ne peut absolument pas remplir une fonction d’union. Il est trop dispersé, trop « ailleurs », trop loin des problèmes communs, trop lent de réaction ou, si assez rapide, il ne prend en considération que les aspects qui l’intéressent. Ce qui n’est pas le sérieux « complet » dont nous avons besoin. Ce texte nous montre les voies possibles, hors de lui, en cliquant sur le lien de son titre.
L'intérêt-général-n'est-pas-celui-du-privé
Économie énorme de moyens. C’est le propre même de la résistance. Quelques humains pour vaincre toute une armée. Clair, que tout commence par la tête, la réflexion et l’exigence intellectuelle. Qui refuse de lire, de penser, de relier toutes les infos entre elles, qui refuse de déduire, etc. ne sera jamais un-e résistant-e. Se contenter d’images sans suites et de slogans non vécus – non, tout cela reste indigne. Qui voudrait vous faire croire que ce sont là comportements de vraies résistances – risque de s’avérer, sur la distance, un ennemi. La résistance de demain ne passe pas son temps à radoter celle d’hier. Il y a les écrits de « formation » (pour soi seul, pour se recharger, pour se rebaigner dans ses amours) et les écrits de combats d’aujourd’hui (pas aussi chargés affectivement que les premiers mais les seuls efficaces dans le temps présent). Aussi, ne proposer aux autres que « ses écrits de formation – sans les métisser aux écrits de luttes actuelles – c’est, pour le moins, un grave manque de tact. Voici tracé le portrait qui dénonce les faux résistants. Ceux qui ne supportent pas un texte de « plus de 2 lignes ». Pour qui tout est si utilitariste (comme s’ils étaient généraux de la piétaille comme nous) et nous balance des et donc ?... incultes.
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Voir la suite en (2)….« La Constitution nous apprend donc que comme nous ne pouvons pas tous passer nos journées à l’Élysée et à l’Assemblée nationale ou au Sénat, ceux qui y siègent devraient nous « représenter ». En gros, ces assemblées devraient avoir les mêmes opinions que le peuple. Si par exemple, 50 % des Français sont plutôt à gauche et 50 % plutôt à droite on imagine bien qu’une assemblée représentative reflèterait les mêmes chiffres et il en va de même avec les grands mouvements politiques. Chacun devrait avoir les mêmes proportions : Si 10% des Français soutiennent les idées d’un parti, on devrait retrouver 10% des députés de ce même parti à l’Assemblée nationale. Or … Il n’en est rien, et il faut le niveau CM2 en mathématiques pour s’en rendre compte.
- 67 Millions d’habitants. - 47 Millions d’électeurs inscrits. - Sur les 22 Millions dont les votes ont été comptabilisés, 7 Millions ont voté pour les candidats du Président actuel et de ses alliés du mouvement démocrate au premier tour.
Pour finir, le groupe de la majorité présidentielle obtient 350 députés pour 7 millions d’électeurs au premier tour. Les autres obtiennent donc 577 – 350 = 227 députés pour 15 Millions d’électeurs au premier tour. [[ plus du double, non ?]]
Donc 1 Français sur 9 a déterminé l’identité des représentants qui « font la loi » au sens propre et au sens figuré à l’Assemblée Nationale. Pour reprendre une démonstration sans bavure et en excluant les Français n’ayant pas de carte d’électeur [[ plus de 5 millions – source le Journal des Maires]], 7 323 496 électeurs sur 47 570 988 ont voté pour la République en Marche ou le MoDem, soit 15,4% soit un électeur sur 6 ou 7. Et au second tour, 8 926 901 électeurs. Donc avec seulement les abstentions et bulletins blancs seulement…1 sur 9. La REPRÉSENTATIVITÉ est clairement bafouée. Le point de rupture est complet…c’est au françaises et français de…
………….. refaire la Constitution et non à ces clairs…
……………………………….. minoritaires de se permettre de la manipuler.
…………. ……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste détermination collective nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
« Le choix de réduire les impôts des riches au lieu d’investir dans l’éducation publique » crée la rupture...
Qui veut " vraiment " faire la révolution ? ....
C'est l'histoire du mot Révolution, pas mal récupéré un peu partout, ce qui en dénature le sens profond, selon celui qui l'emploie. Alors tous se disent révolutionnaires, mais pas pour révol...
https://lesmoutonsenrages.fr/2017/01/29/qui-veut-vraiment-faire-la-revolution/
révoltes dans l'éducation aux U.S.A.: - Rassemblement des enseignants et des personnels scolaires en grève, ainsi que leurs soutiens, à Charleston, capitale de Virginie Occidentale, le 17 février 2018. CC Rich McGervey.
Aux États-Unis, la révolte des enseignants et des élèves face à une école publique laissée volontairement à l’abandon
« Il y a un énorme consensus sur le fait que l’éducation publique est dans un état d’abandon avancé, rapporte Jarvis. Comme 95 % des enfants de l’Oklahoma sont dans des écoles publiques, la question affecte tout le monde. »
Noir Rouge Vert : N.R.V. (mouvement unitaire et mondial) - Le blog de imagiter.over-blog.com
Pourquoi ? Alors tout serait vraiment sans issue ? Pas du tout. Nous sommes du mouvement N.R.V. (Noir Rouge Vert). Mouvement déjà remarquable puisque sans créateurs. Donc pas de guerres de chefs...
car je ne vis pas dans la crainte du lendemain. J'ai même gagné de l'argent par les économies que j'ai pu faire par ma NON CONSOMMATION.
Le Holdup Français - 4 personnes sur 5 n’ont pas désigné Macron comme président ! voir en 2....
"Dubaï Papers" : les millions du "baron noir" d'Areva et ses opérations financières opaques
Sébastien de Montessus apparaît dans un réseau international de fraude fiscale et de blanchiment de capitaux basé aux Emirats arabes unis. "L’Obs" a mis la main sur
Le nucléaire rapporte donc à une…poignée de marginaux, pour lesquels toute la population d’un pays est sacrifiée ?
FLASH - 10 bonnes raisons de faire à nouveau la révolution
Les causes de la Révolution de 1789 sont à nouveau réunies : injustices criantes et accaparement du pouvoir par une caste de privilégiés. Voici donc 10 bonnes raisons de faire à nouveau la ...
https://generation-clash.blogspot.com/2016/12/flash-10-bonnes-raisons-de-faire.html
Quelles solidarités économiques entre les régions européennes ?
Cet article est republié dans le cadre de l'initiative " Quelle est votre Europe ? " dont The Conversation France est partenaire. Retrouvez toutes les informations, débats et les événements de ...
http://theconversation.com/quelles-solidarites-economiques-entre-les-regions-europeennes-76636
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