Contenu continue conte ?

Raconte le conte ? Sauf que ce n’est plus un conte s’il contient tous les contenus. Et que sans lui plus rien qui ne puisse continuer ! Il y a, ainsi, des mots croisements, des mots rébus du complexe, des mots réfléchissants (qui nous ramènent aux pensées primordiales) ou tant d’autres pistes à copistes ? C’est que le mot - sens conduit par le son - aura été trop peu exploré. Par préJugé, qui juge sans rien savoir en prétendant tout savoir. Tout comme ce cardinal à qui Galilée proposait, en toute honnêteté, de regarder dans son télescope et qui reçut, en substance, cette réponse : « afin de mieux vérifier, je ne vérifierai pas, et j’aurai conservé, ainsi, purs tous les moyens de vérifier ». Bref, dans ce fatras de fat c’est non, carrément non - la chute arrive, la chute arrive par ce je ne veux pas savoir pour prétendre tout savoir. Ce qui, ajouté à tant d’autres reniements et dénis du réel, font une zone d’ignorances qui emplit quasiment toute la personne. Allons-nous agir ainsi ? Nous entendons déjà tout l’unisson noooon – et, bien que ne cédant pas ordinairement aux pressions, nous nous unissons à ce son, et c’est son son, qui devient (dès lors) l’uni son ! Unissons-nous ‘(pour le ressenti tellurique) autour de cet uni son…Démonstration !

Oui, il faut entrer «dans» le son si nous voulons Vivre le sens. Tout entier sans n’en rien omettre…Sens qui se rappelle à nous comme sens sensible, sens sensitif, sens sensationnel, sens sensuel ET sens sensé (inSensé donc qui refuse ses propres sens parce que des linguistes pisses-vinaigre auraient décrété qu’il n’y aurait « aucun » sens dans les sons. Le sens est ailleurs ! chuintent-ils. Que dans les signifiants et signifiés (avec le « référent » en troisième mais cet intermédiaire biface reste toujours omis). Le sens n’est alors qu’une abs-traction retirée d’elle-même, le sens toujours en retrait de son trait, abs-trait du trait qui le trace dans tout le réel…le Sens ne sera que dans le charabia abstrait de qui va nous le pondre (moi expert-toi maboule). Invérifiable sens (dès lors) qui pontifie sa ponte…Oui la trajectoire de la déduction nous transporte ainsi : que, donc, le langage appartiendrait tout entier à une espace insonorisé où le son ne serait plus sondé. Ni des sons, plus de sonde de son.  Plus de vérifiable, trop pratique pour les escrocs du savoir…Puisque le Sens - si noble et donc séparé de la valetaille sonore - se trouverait non ici et maintenant nous le maintenant ici…mais carrément dans un infini extraterrestre. Infini insonore où des spécialistes (ou experts) viendraient nous «traduire» le son (ben tiens, puisqu’il « ne peut pas » se situer dans le son, le son qui concrétise le sens …mais que le sens restera entre les sons pas « dedans ».  Ni tout à fait ici ni pas encore un autre maintenu pas dans le maintenant, chacun ayant la maintenance qu’il peut…Tu y entres entre ? Et plouf, plooouuuuf, nous venons de prendre en flagrant délit….1)  les faussaires de la non-politique pour tous, bref la plouctocratie si inculte…et 2) les trafiquants du savoir, savoir qui doit rester inaccessible au plus grand nombre (et les archi crétins conformistes les aident dans ce grave kidnapping !).

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Et que donc, dans ces conditions alors sans conditions, nul qui n’a rencontré le triptyque énigmatique « Contenu continue conte » - mais c’est qu’il y en a des dizaines de milliers d’autres de retrouvailles des trouvailles, juré, mais nous ne crachons pas comme à cause du…crachin. Donc que juré !  Ce «peu de mot» en contient à rabord, une mirabelle ou une ritournelle, des ribambelles aussi, bon un sacré tas. Tas qui tassé (le destin ontologique du tas que d’être tassé !) le permet encore plus ? A retrouvailles de vues puisque pertes de vues parait vraiment très peu amical. C’est que contenu vient de contenir, le verbe oui. Conte c’est déjà moins direct l’appartenance. Mais continue continuel plus du tout ? C’est qu’esktudiskois ? Bon conte serait prétendu proche de compter, la cuenta, ne se singularisant que par une divergence graphique. Et que contenir se voue au seul graphique ce qui placerait contenu dans la désagréable position d’être un con tenu ? D’être tenu à ? Tenace à tenir, c’est cela ? Et continuer du latin continuus, de même radical que continere – soit contenir…Dans le c’est contenu s’il n’est pas interrompu et que donc il se contient tout entier. Il se retient tel une mémoire qui ne s’arrête pas et se contrôle comme un évènement qui ne déborde sur rien d’autre que lui-même. Dans le sens de renfermer tout en soi, le contenant comme un contenu, son autre face active (un coup l’un et à un autre l’autre)….Que de choses à raconter dans conter. Donc dans continue et contenu, extensions du domaine du conte…Et cela peut continuer et contenir dans tous les infinis de mesures !  Le langage reste inépuisable comme un puits sans fond. Du vrai durable et du carrément renouvelable : une ressource source ! C’est le meilleur guide que toutes les imaginations réunies puissent dénicher ! Mieux ? L’usage sensible, sensuel et sensé d’une langue rend PLUS INTELLIGENT. Ce pourquoi les pouvoirs ennemis veulent nous priver de langage «commun», celui qui communique (la première Commune cela a toujours été dans les mots et le fait que trop ne fassent pas l’Effort de le ressentir, nous maintient – au-delà du temps normal - en esclavage mental et affectif !)…

Voyons : depuis le temps que nous vivons à fond la…diction du dictionnaire, nos vies en sont fortement «augmentées»…naturellement et sans effets secondaires. Nous vivons une vision très élargie du monde et des compréhensions, nos sensibilités participent de notre être-là en toute conscience, vraiment nos aides à nos propres éducations sont réussies (la société va en sens inverse ? C’est qu’elle a tort. Cela se nomme la preuve par les résultats, or nous avions tout contre, et ce malgré des obstacles permanents, les censures censitaires, nous avons tout surmonté et nos existences sont une extase de vivre…cela se dit mais Comment, comment l’avoir fait ? Des méthodes juxtaposées et non conflictuelles (qui s’ajoutent et ne se retranchent pas) dont…la diction du dictionnaire  - eh oui ! humour cosmique ! : pendant qu’ils/ elles bavaient leurs crapauds, nous vivons en toute simplicité la merveille gigantesque des sons sensés (qui ont du sens ET de la raison)…et depuis le temps, la synthèse nous conduit au-delà de nos limites…Parce que ? La diction du dictionnaire c’est la …réalité et que tout ce qui épouse les formes et forces du réel, éprouve un bien-être (que n’aura jamais le mal-avoir !) spontané…donc c’est parce que nous sommes les plus…réalistes du monde que nous sommes aussi heureux/ses malgré tout. Et que ? Les pouvoirs archi crétins ayant perdu la langue ont perdu tous les trésors qui vont avec (et qui demandent du temps et de la patience afin de devenir récepteurs !)…ce pourquoi ce qu’ils/elles disent n’a plus…de sens. Ils ont vraiment égaré les sons qui conduisent aux…sens. Sensé sens. Et nous pas ! Vérifier les différences de tailles : c’est dans la nature et tout nus que nous « savons » qui a du pouvoir dans sa propre vie. Et le pouvoir des mots ce n’est pas pour faire chier les autres mais pour réussir sa propre vie (et que donc l’équation plus ils font chier les autres = plus leurs vies personnelles sont ratées, semblent bien leur rire à la gueule !). Parce que ? La chimère complète du capitalisme – la plus stupide des non- pensées – perd bien, rapetisse, vide de sens, tous les drogués de faux pouvoirs qui s’y adonnent…c’est bien simple le libéralisme c’est que de la fausse monnaie. Il ne leur reste que de l’amertume. Or, Le français est une des langues qui efface au mieux toutes les amertumes (venant de ne pas savoir digérer le réel, tout connement !)…

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Maintenant, voyons le pourquoi de tant de résistances irrationnelles au sens qui se rend accessible par le chemin des sons ? Son présent même dans ce que tout présent le présent, son omniprésent mais pas obligatoirement omniscient. Son qui se partage le ressenti du sens en se le vivant de tout le corps ( ceci se nomme Se Prononcer soi-même pour dire ses opinions essentielles oui mais en articulant de toutes ses articulations corporelles à l’unisson !). Le pré-sent oui sent à fond les manettes, le présent multifaces, qui permet à tous les potentiels de pouvoir se réaliser car un pré-sent, c’est avant l’évènement. C’est l’esplanade en avant qui le surplombe mais ne l’empêche en rien…En entrant le son jusqu’au fond des corps, en ne perdant pas le fil des sons, en pouvant ainsi ou rembobiner ou débobiner la bande, en les repassant par où nous étions passé…en parcourant la gigantesque métaphore que représentent tous les mots à la fois…spatial dans le sens d’espaces sans cesse espacés que rien ne comprime et ne cache à nos regards. Temporel dans le sens de tempo musical, de rythme de déplacement ou de vécu corporel de nos organes organistes ! Un total qui ne compte pas, ne se masque pas de l’ombre portée de lui-même, ne se compte pas mais se conte…ce qui dure toute la durée de raconter…C’est que l’oral est une orée qui commence et que nous demeurons toutes et tous à l’orée de l’oral ! Le plus grand progrès que nous puissions vivre est de devenir aussi une civilisation Orale (où tout le monde se parle et se parle à égalité - eh oui, ducon, c’est pour enrichir la langue, et les langophobes vont être plus sanctionnés que les homophobes !), ou bien la stupidité centraliste se sera faite supplantée par tellement mieux…déjà par le fait que les corps se parlent entre eux, dans l’émancipation des idéologies et autres scories qui ont persisté, au-delà du temps imparti, à pourrir l’ambiance sociale ). Un total qui ne se résume surtout par un total, ligne finale qui volerait tout le chemin parcouru depuis son départ ! Bref, une diction qui s’articule bien en nous, qui articule tout le corps (participant, en pleins sons de tout le sens toujours aussi sensé – donc pas abstrait de notre présence)…une diction qui tient sa perfection dans l’acte plus ambitieux de formuler tout le dictionnaire. Idéal : savoir que chaque mot mis «avec» tous les autres en interconnexions d’une rare complexité, nous offriront une sur-compréhension (déjà fait !), une sur-conscience, une spontanée empathie con-sensuelle, sensuelle puisque sensée. Le tout naturel avec le minimum sain de technologie, le tout naturel et sans pollution (plutôt l’inverse), qui se renouvelle et se purifie par lui-même par régulations aussi permanentes que celles de la nature unifiée.

Un idéal donc, une perfection, un total que nul-le ne songerait à se le disputer, une qualité qui contient tous les parfums et tous les goûts, tous les tactiles et toutes les tactiques, toutes les saveurs des savoirs, toutes les verbérations des verbes comme toutes les réVerbérations de l’infini qui se regarde dans nos œuvres qui ouvrent. Tels tous les ouvrages ouvrants réussis ! Oui tout ceci et tant d’autres : le langage est complet et nous complète sans aucun heur autre que le bon heur ! Que demander de plus ?

…………………Tout conte se termine lorsque nous sommes…contents 

…Le conte était déjà content, c’est écrit dedans…

……..………..et il nous rend infiniment contents de ne plus avoir à compter !

..........……………(à suivre)

Citations-de-l'impossible

Le mot « impossible » mis dans toutes les situations - c’est percutant et cela bouscule à point…pour qui reste tenté ! : « Nous croyons tous à l’impossible, sans quoi nous n’arriverions jamais à l’accomplir. » - Andrée Maillet (1921 – 1995), poétesse et romancière québécoise…Nulle n’est parfaite !

 Lorant-Deutsch-nous-défend-la-langue

Le français est tellement mieux que ses dirigeants. Ce pourquoi ils cherchent tant à lui nuire… Le français demeure à part puisqu’il ouvre tous les chemins de la liberté, mais comme la liberté ce n’est pas pour les frivoles cette assiduité n’est pas assez connue ni reconnue. On s’en fout…goûter à la liberté c’est mieux que de la critiquer, la critiquer sans même la connaitre c’est quéquette zéro argument…Résultats ? Ces critiques perdent tout et nous sommes encore…plus libres !

« Aujourd’hui, l’abus hic hic des termes anglais blurp, les mots issus de la culture urbaine et les raccourcis de nos Smartphones inquiètent les puristes… Ils ont tort : le temps fera le tri. Et de ce bouillonnement créatif continuera d’émerger une langue vivante, ouverte à tous [[ sauf que c’est commencé depuis belle lurette – le tic niais du centralisme et tu te le repères dans tant de textes oui de contestataires, réinformés, faux libéré.e.s et autres donneuses de leçons…c’est de dire il Faut Faire, il va falloir faire, c’est comme ça qu’il faudra faire – mais pour le moment on ne le fait pas, on censure tout en vrai…toujours repousser dans le futur , ne créer que e l’inertie, à maintenir inerte – nous sommes dans les rares à dire et redire tout commence aujourd’hui même, c’est aujourd’hui le jour 1 de la fin de leur règne et le jour 1 de la nouvelle civilisation, aller à la soupe.]] : la langue française est une langue d’accueil.[[ et pas les faux dirigeants ]] »…D’hospitalités et de générosités – auxquelles le parisianisme si coincé peut nuire. Et donc ne plus parler ENTRE NOUS c’est appauvrir la langue, appauvrir nos vies...et ? Parité (étymologie vraie de Paris) que ce paris laisse donc parler les autres…Au nom du langage et de nos responsabilités envers le français, que paris sache…Écouter et ne plus parler pour les autres…nous nous débrouillons mieux que lui ! Et donc

……lorsque le centralisme fou saura fermer sa gueule, plus souvent qu’à son tour, tout ira mieux pour le pays entier…

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

            Que le vaste éblouissement nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu