En avoir le cœur net et inter net ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

En avoir le cœur net et inter net ?

L’actualité dense nous offre ce cadeau : pouvoir aisément prouver qu’avec internet les pouvoirs nagent dans les illusions les plus nébuleuses Que leurs efforts inexpérimentés afin de se démêler de leurs propres leurres envers l’informatique, nous fournit nombres d’informations sur eux (et rien sur nous !) : derrière ces gesticulations se dévoile qu’il n’y a aucune pensée fondamentale. Ils se laissent manipuler par qui ils croient censurer. Tombant dans les pièges qu’ils auraient pu éviter – tout de même ! Ils se dévoilent vraiment comme des puceaux de la pensée ne savant jamais de quoi ils parlent, où cela entraîne de penser ainsi, et s’engouffrant, sans précautions, dans toutes les loufoqueries genre un clic=un vote (chez les lunatiques seulement…) ou bien avec les «traces attentionnelles» nous pourrions savoir ce que l’opinion ( !) pense vraiment (niveau de maturité 10 ans ou moins ?). etc. Ce florilège, de sinistre dans les apparences, va se dévoiler d’un grand comique vraiment réparateur…Plus ils/elles sont arrogant.e.s (du verbe s’arroger, donc voler les autres) plus ils sont ridicules, c’est bien cela ? Rien de plus sain que d’aller vérifier ensemble , non ?

Quand-les-résultats-des-simulations-nuisent-tant-à-la-médecine-?

« Crédulité ou corruption ? Prévision ou réalité ? Par leur conception, les simulations de résultats médicaux espérés sont toujours à risques de biais. Il faut tout particulièrement se méfier de leurs conclusions[[ trop rapides…]] lorsqu’elles font la promotion d’un médicament rentable, que leurs auteurs sont liés aux firmes ou que l’ensemble des médias du monde entier claironne ensemble « la bonne nouvelle » [[ pour qui ? Certaines pour les malades qui méritent bien plus de respect que les actionnaires antisociaux !]], alors qu’il ne s’agit en aucun cas de faits établis, mais seulement d’espoirs résultant d’hypothèses incertaines [[ le privé trop brouillon à cause de ses cupidités voit décidément son image se ternir à grande vitesse. En Angleterre, vu ses gestions désastreuses, le gouvernement est obligé de…renationaliser. Ce qui avoue qu’ils n’auraient jamais dû privatiser au départ ! D’autant plus que ¾ des britanniques sont favorables à tout remettre en service public : quelle claque pour les arrogants et inefficaces néolibéraux…En France, pareil, la minorité en train de fondre qui les soutient ne permet plus aucune légale privatisation…]]. Toujours bien vérifier quand vous lisez un article de presse s'il s'agit de simulation par ordinateur [[ qui répond à qui simule…]] ou de résultats sur des populations bien vivantes. Des calculs statistiques honnêtes, mais souvent trompeurs dans la vraie vie, aux manipulations marchandes  LA MARCHANDISATION de la médecine utilise les données virtuelles qui lui sont favorables en les présentant au grand public comme réalité bien concrète, sans insister sur le caractère purement VIRTUEL de cette «réalité» [[ virtualisons alors leurs faux bénéfices, trop souvent extorqués !]]. La boule de cristal fondée sur les ordinateurs n’est pas toujours plus juste que les prévisions des cartomanciennes qui foisonnent sur internet. Les voyantes ont d’ailleurs la cote, jusqu’au Parlement français, sans que cela ne semble poser de problème éthique, ni même théorique. De plus en plus de mages ou d’avaleurs de feu entrent dans les maisons de santé (vides de médecins) sans guère susciter d’indignation, en dehors de notre profession [[ faux, les indignations sont tellement plus vastes mais non soulignées par les médias fous qui ne font que fuir les conséquences de leurs soutiens ! Faut s’informer ailleurs que chez ces voyous antirépublicains…]].

Le XXIème siècle sera mystique ou ne sera pas avait dit Malraux, il est devenu effectivement scientiste, si ce n’est religieux, la médecine étant facilement intériorisée comme une religion à dérives sectaires. Dans le secteur public tout comme dans le secteur privé, on constate de plus en plus une fascination à l’égard des prédictions censément scientifiques (marché agricole et coaching des agriculteurs, enseignement, par exemple). La médecine n’y échappe pas. Complexée depuis longtemps de n’être qu’un « art fondamentalement humain, aidé par la science » et non une science dure, elle tente sa revanche en devenant de plus en plus « scientifique » [[ en se masquant le nécessaire esprit du doute, elle démarre d’ailleurs du très mauvais pied !]], en tous cas l’espère-t-elle. N’oublions pas l’amertume de tant d’étudiants qui faisaient médecine car incapables d’intégrer les grandes écoles et même les classes préparatoires. Est-ce encore vrai ? Et le mépris des médecins par les énarques, ou les X Mines des ministères a perduré… Au lieu de résister à cette dérive jalouse (qui tient la vie humaine entre ses mains ?), les décideurs médicaux universitaires et politiques ont dévié la médecine de son objet réel, l’homme, multipliant les formations « scientifiques » pour les docteurs qui ne seraient nommés professeurs qu’après l’accumulation de diplômes universitaires de plus en plus éloignés du malade. »…Lorsque nous voyons (comme pour les services publics) une pensée saine se voir corrompue par les foutaises néolibérales, aux résultats si désastreux…voir l’article d’hier, nous comprenons que nous avons désormais les constats impeccables et toutes les aires d’interventions afin de stopper ces trop minoritaires qui foutent le bordel partout. Et comment ! Voyons comment !

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Tout le fond de l’histoire ce sont donc ces «traces» ( tellement survalorisées par les puceaux de la pensée …après tout ce ne sont que des traces , non les évènements plus essentiels qui les ont produites ) ? Là, nous allons chercher fort. Et allons ramener du gros…En plusieurs étapes, oui ! :

Big-data-ce-sont-désormais-nos-traces-attentionnelles-qui-font-l'objet-du-commerce_

« Ce sont désormais nos “traces attentionnelles” qui font l’objet du commerce »… Les implications sociales, politiques et anthropologiques de l’économie de l’attention sont devant nous, explique Yves Citton, son meilleur spécialiste en France. « On parle beaucoup d’« économie de l’attention » depuis 1995, date à laquelle Michael Goldhaber, professeur à Berkeley, suggérait (scandaleusement) que l’attention aurait désormais davantage de valeur que l’argent lui-même. Cette date correspond à une crise de conscience large de ce qu’Internet allait bouleverser dans nos usages culturels. Des quantités absolument inédites de contenus (textes, enregistrements audiovisuels) sont devenues disponibles d’un simple clic. Cela a mis littéralement les récepteurs dans «l’embarras du choix», et cela a contraint les émetteurs à une quête de plus en plus désespérée d’une ressource devenue la plus rare et la plus précieuse de toutes : l’attention (aussi baptisée « temps de cerveau disponible ») [[ vision partiellement erronée qui survalorise bien trop les pouvoirs et l’argent, qui « seraient » donc les seuls…notables…En fait, cela ne s’est pas passé ainsi…pendant un certain nombre d’années, et nous n’allons pas préciser plus l’histoire, tout a échappé à leur contrôle trop intéressé…et, tentant de reprendre les prétendus rênes, ils se montrent vraiment trop grossiers, balourds et empotés de rester inexpérimentés…Nous avons appris et eux rien !]].

 

En termes économiques : le «coût d’opportunité» [[ charabia maladroit ]] d’accorder son attention à ceci plutôt qu’à cela a explosé en quelques années [[ à côté des mots justes : ce sont juste les constats qui ont augmenté…l’attention est demeurée un continent, fort heureusement, mystérieux. Puisque alliée à la « mémoire du corps », elle nous aura permis d’accéder à des facultés sous-utilisées, dont nous ne parlerons jamais aux voyous des cupidités qui se croient au pouvoir ]]. Nous commençons à peine à en percevoir les implications sociales, politiques et anthropologiques. Une première définition (trop) large de l’économie de l’attention reflète ce bouleversement. Alors que l’économie traditionnelle se concevait comme l’utilisation optimisée de ressources rares [[ au regard des scandaleux gaspillages qui omettent, frivolement, les recyclages, c’est même raté…l’optimisation – ce mot pour escrocs !]] afin de produire autant et aussi bien que possible, l’économie de l’attention se pose des problèmes de réception : comment parvenir à attirer [[ mot de vautours non fréquentables]] sur les « faux » biens culturels produits l’attention nécessaire à leur valorisation [[ les autoproclamés cyniques sont tellement niais et béats d’hébétudes qu’ils ne captent pas qu’un clic ne valorise rien du tout…vérifier c’est surtout ne pas être …pour . Au cours, ils ont 0 sur 20 pour…inattention et hors sujets perpétuels…En plus, une amende sérieuse pour tentative d’écouler de la fausse monnaie, genre faire gober un clic = un bravo d’adhésion !]]  ? Au-delà des nouvelles lois et équations économiques proposées pour formaliser une telle économie, au-delà de la gestion du temps d’attention des employés d’une entreprise, c’est bien une nouvelle logique sociale qu’ont tenté de comprendre [[ d’après nous, pas terribles, leurs résultats]]les premiers théoriciens comme Michael Goldhaber, Jonathan Crary ou, en France, Dominique Boullier.

Formuler le problème [[ mauvais usage du mot, où est le problème ? L’attention si attentionnée et respectueuse des autres est même une solution, à condition que nous obligions l’argent sale à tirer ses pattes sales des humains tellement plus respectables que lui !]] en ces termes montre toutefois que l’économie de l’attention n’est pas née en 1995. » …Petite face émergée de l’iceberg. Son apparence sans grand intérêt : pour nous ces « retours » soit que nous soyons aspergé.e.s de pubs autour de nos « centres d’intérêts » sont si dérisoires et avec, pour nous, 100 % d’échecs, nous ne répondons jamais à leurs grotesques sollicitations – nous fait dire que cet aspect ne sert qu’à faire perdre tant de temps. En effet, pour nous, les recherches balayant large (tous les points de vues ou un maximum sur un thématique mêlés à nos goûts personnels ne permettent évidemment pas de tracer qui nous sommes…Donc autres traces ? Oui, celles qui ne commettent que des erreurs de méthodes ? Ou bien les limites burlesques du tout artificiel, l’ordinateur qui sait mieux que nous ce que nous aimons, allons allons à d’autres : rien ne vaut une caboche (avec caractère) humaine !

Autour-de-l'informatique-science-du-Qubit-science-des-données-?

« Un problème particulier assez classique que nous rencontrons est celui du «sur-apprentissage» (overfitting en anglais). Avec suffisamment de paramètres, je peux ajuster les paramètres du modèle de façon à correspondre exactement aux données disponibles. Seulement, le modèle peut être trop exactement ajusté aux exemples et ne pas s’adapter aux données futures [[ comme le logiciel du succès des livres et du repérage des auteurs à succès et son minable flop si bien démonté par Deleuze ! Il a tout faux…]]. On est un peu comme les astrophysiciens : ils ont une seule donnée, l’univers tel qu’il existe, et nous n’avons que les données financières sur une seule réalisation du monde financier tel qu’on l’observe. Comme les astrophysiciens, il faut faire avec. Et si on a fait du sur-apprentissage, on va juste rater une évolution du marché qui ne s’est pas passée exactement comme dans le passé… C’est si facile de se tromper [[ surtout en suspension artificielle…comme tous ces hors sol ! Qui ne se rendent même pas compte qu’ils/elles sont devenus fous..]]. Le temps de demi-vie d’un fonds d’investissement est de 18 mois en moyenne, parce que des erreurs sont faites, souvent à cause de sur-apprentissage [[où le charabia de l’excellence, de la sur-technique et autres enfantillages, aveugle tellement qu’il fait Tout rater !]], soit ce qui est «artificialisé» et rendu répétitif dans les sains (au départ) raisonnements humains. »…Ces arrogants.e.s se trompent même sur les valeurs du savoir, assez de leurs mascarades…Sur la bonne piste cette fois ? Les fainéants de la tête et du cœur se trouvent bien en haut de la société ! Haro sur leurs inexcusables paresses : c’est qu’ils décident de nos vies qu’ils foutent sur le feu sans plus de vigilances…Débuts de solutions : s’ils perdaient moins de temps à insulter des moulins à vents, ils/elles pourraient sacrément s’améliorer. C’est ce que nous attendons de pieds fermes…Sinon démissions si plus de missions crédibles !

Mon-projet-pour-la-planète-un-like-n'est-pas-un-vote-!

 

Sur le vif, comment ils dysfonctionnent gravement ?... « Candidat à « Mon projet pour la planète », un appel à projets du ministère de la Transition écologique, l’auteur de cette tribune a eu la mauvaise surprise de découvrir un processus de sélection des plus opaques, porté par de surcroît par une start-up à la con vantant la « démocratie numérique » selon laquelle un clic vaut un vote. Et nous avons eu tort, car ce qui nous a surpris et choqués par la suite, c’est moins son contenu que la manière dont sont sélectionnés [[ sans aucun critère de la raison et de l’objectivité…uniquement du racolage clientéliste…]] les projets. Cette fake sélection n’est pas réalisée par des fonctionnaires du ministère de l’Écologie (alors qu’il s’agit d’argent public), mais confiée à une « start-up » nommée Cap collectif (une société par actions simplifiée [SAS]) sans que les termes d’une délégation de service public soient clairs et transparents [[ nouveau fiasco du privé qui ne peut décidément pas remplacer en mieux les services publics !]].

La sélection se fait sur la notoriété de l’organisation dans les réseaux sociaux, où des internautes sont invités à « voter  ». Une fois déposés sur une plateforme, certains projets retenus bénéficient dans un premier temps d’un « coup de cœur » sans que l’on sache quelle instance l’attribue. Après quoi, le nombre de clics fait foi. [[ quelle vulgarité dans l’ingénuité qui dépasse les bornes…seuls des esprits qui insistent pour demeurer puérils peuvent…faire ainsi tout le contraire de penser !]]. Se constituer un fichier «politique» grâce à un appel à projets de l’État [[ valeur « réelle » de ce fichier : RIEN, néant !]], Pendant une semaine, notre projet a été mentionné comme « non retenu ». Quand nous avons finalement demandé une explication sur les critères de rejet, impossible d’avoir un interlocuteur, puis finalement notre projet est apparu « éligible » [[ ou la versatilité amorale du clientélisme sans jamais d’honnêteté à la base…]], de sorte qu’il pouvait être relayé auprès de notre réseau pour que nos adhérents et sympathisants le soutiennent par leur « vote » ; une manière de permettre à cette société de se constituer un fichier « politique » grâce à un appel à projets de l’État [[ mais avec une telle naïveté de puceaux, ou comment imiter le privé en tout rend vraiment cons, vu que l’administration française était une des meilleures avant le libéralisme benêt, et comment ses qualités ont été systématiquement saccagées…]]

Abusivement appelée «démocratie numérique» [[ qui n’a aucune pensée véridique ne sait que droguer les mots !]], cette méthode participe d’une mise en place d’une « souveraineté cybernétique » [[carrément : que de ridicules personnages envahissants !]]»…Bref, que de l’enfumage, de grands plantages de narcissiques, face à des nous vous glissons sans cesse entre les mailles. Oui pas de traces…rationnelles. Et qui n’apprennent que de l’auto-admiration juste utilisable pour égarer ces cupides sans excuses. Oui mais encore ? Toujours à vouloir nous voler mais tout de tout : notre attention, nos clics, nos goûts, nos amours, nos décisions, etc. Quel ramassis de ramassés (toujours garder les insultes sur son clavier, ce qui permet d’ailleurs d’affuter ses phrases – rien ne se perd, tout se recrée - puisque ces effets de vidanges et autres dégueulasseries ne vont sauter que sur l’insulte (la forme sans le fond) et te l’isoler et te la ressertir dans une manipulation putride qui n’a plus rien à voir avec le contexte de départ…et affaibli.e.s par ces vilénies ils/elles ne vont plus essayer que de devenir toujours plus hypocrites…beuâââârk…non, la meilleure insulte est le meilleur des détournements qui existe : te détourner d’eux. Et quitter, à la seconde, leur système mental (donc Tout le système) décidément invivable…ces infréquentables sont en train de… se condamner eux mêmes : donc pas d’insultes mais que du ce qui en résulte (même souche de sens)…Donc consulte nos textes sans insulte…

Quel-point-commun-entre-les-algorithmes-et-les-mouches-?

Enfin nous les tenons ? Ce sont bien des égarés. Et des niais grotesques : oui, comme tous les cyniques, ils sont d’une ingénuité déplorable…oui ces puceaux de la pensée se précipitent toujours sur l’accessoire - nous fignolons donc peinards l’essentiel. Que dis–tu donc ? Qu’être cynique est un aveuglement qui ne nique que le cy-niqué par…lui-même.Qu’ils ne sont jamais là où il faut. Et qu’à force de délirer dans leur semoule sans moule, dégoisant des foutaises telles « il ne faut jamais aller au bout des raisonnements. Cela, en effet, aboutit à de l’inacceptable » - ils se « sur-plantent » tous seuls…Inacceptable pour qui ? Pour eux seulement. Pas pour nous qui, au bout des raisonnements,…ne trouvons que de la salubrité publique retrouvée…Un exemple ? A la seconde qui te seconde : SCREEENSHOT #2. Réponse dans “la Voix du web - Nouveaux régimes de l’opinion sur Internet”, de Baptiste Kotras….

 

« La fabrique de l’opinion, c’est passionnant. On connaît évidemment les sondages - qui sont apparus au début du XXème siècle - mais son histoire remonte à beaucoup plus loin et elle connaît aujourd’hui des prolongements avec les outils de mesure mis en place pour évaluer ce que pensent [[ quelle boursouflure impossible…ils ne sauront jamais…]] les internautes. Dans «la Voix du web», le sociologue Baptiste Kotras enquête sur ces nouveaux moyens. Comment les entreprises fabriquent des logiciels pour mesurer (sic) l’opinion [[ ils n’en auront qu’un reflet fantasmé…pas un questionnaire où les humains répondent en totale sincérité. Ils ne répondent que «ce qu’ils croient qu’il faut répondre »…Ceci sont les véridiques notations des êtres de terrains qu’ils te jettent puisqu’ils leur sont tellement supérieurs, genre pas besoin de savoir puisqu’ils savent déjà tout : il faut bien que le surplomb hiérarchique se noie dans sa connerie ! Oui, le prétendu haut de la société ne vit que dans ses illusions, ses leurres qui ne mesurent que que dalle !] des internautes sur une marque, sur un sujet politique, etc. Il y a déjà une histoire des ces logiciels. Ça n’était pas la même chose au temps des seuls blogs, qu’aujourd’hui où des milliards de gens s’expriment constamment dans les réseaux sociaux. On s’est d’abord intéressé aux «influenceurs» (des personnes dont le blog était particulièrement suivi…mais pas toujours bien compris…donc dans ce cas « suivi »n’a pas de sens vraiment rationnel !), puis aux «communautés» (les gens qui partagent un intérêt), mais le web a changé et de nouveaux outils sont apparus.

Parmi ces outils, les plateformes de «social media analysis» tentent de saisir, à partir des traces laissées par les gens qui interviennent dans les réseaux sociaux, ce qu’ils pensent par exemple d’une marque. C’est une possibilité permise par ce qu’on appelle le «big data»: avec des millions de traces, on peut fabriquer des algorithmes qui analysent les mots employés, font émerger des tendances et donc donnent à lire une opinion et son évolution. Ça paraît le comble de la modernité. Et pourtant, voici ce qu’écrit Baptiste Kotras [[ voir les 2 extraits ]] :  le discours tech nous pousse à penser que nous sommes dans l’innovation permanente, alors que parfois, il s’agit seulement de recycler les vieilles idées dans un emballage neuf (et sans forcément le savoir d’ailleurs) [[ tiens quelqu’un qui parle en adulte – cela change de tous les frénétiques néolibéraux qui, pas une seule fois, ne savent de quoi ils parlent. Et se soûlent aux corruptions ainsi qu’aux mots frauduleux…oui mais sans nous, les immenses majorités, leurs utopies sans issue ne valent pas une goutte de vin éventé….]]. »

 L’idée justement : c’est celle que l’opinion peut se mesurer avec des traces, peu importe qui les laisse. Parce que ces «mouches» de Louis XV s’en fichaient de qui parlait. Leurs rapports au Lieutenant général ne donnaient pas de noms, il ne s’agissait pas d’identifier des fauteurs de trouble, mais de saisir une «opinion» sans corps. C’est exactement ce que font les logiciels de «social media analysis», avec la même croyance loufoque qu’il y a une opinion sans corps [[ toujours à nager dans leur métaphysique sans issue de cinglés capitalistes (ce grave idéalisme…) !]]…et tous ces pouvoirs omniscients, qui nous observent comme des perdants (seuls des perdants vont espionner connement les autres – au lieu de convaincre par la hauteur des argumentaires…). Ces pouvoirs que nul ne peut battre : foutaises, de commencer par évincer la moindre « trace » de leur mentalité en toi, te permet bien d’avoir une vision «propre» et englobante du vrai monde où nous vivons…Après tout internet c’est pour mettre tout au net. Pour surpasser Descartes avec ses pensées claires et distinctes… c’est Fait et avec un…en avoir le cœur net et inter net ?

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La-transparence-en-communication-utopie-diktat-ou-opportunité-?

« La semaine dernière, dans mon article consacré à la génération K ou (K)Z, nous évoquions avec Georges Lewi une des nouvelles attentes poussées avec virulence par ces nouveaux millenials : l’exigence de transparence absolue… et ses «illusions». Pourtant, contrairement à ce qu’on pourrait penser, la transparence ne coule pas de source. Et sa mise en application en entreprise, tout autant que son exploitation en termes de communication, continuent de faire débat. Pour y voir plus clair, je vous propose aujourd’hui de revenir sur les circonstances de l’apparition de cette notion de transparence et d’en étudier de manière critique les enjeux, en analysant en particulier les réserves qu’elle suscite et les espoirs de changement qu’elle autorise. La transparence, valeur refuge [[ où nous voyons qui a son puéril inefficace dans la tête !]] de nos sociétés contemporaines ? Terme issu des sciences physiques à l’origine (du latin trans-parere = « laisser passer à travers» [[ à travers les fêlures ]], utilisé pour la première fois en 1361), la notion de transparence s’est étendue progressivement à la plupart des volets de l’activité humaine, au point d’être devenue omniprésente aujourd’hui [[ pas chez nous, en tout cas, nous lui préférons tant le translucide tellement plus…transparent !]]. La raison de ce succès ? Dans son acception éthique, la transparence semble être devenue l’ultime recours des citoyens et des individus contre les dysfonctionnements économiques, sociaux, politiques ou individuels [[ a priori, vaut mieux lutter contre ces dysfonctionnements, les remplacer par une nouvelle civilisation que de s’égarer avec de totems inadéquats !]].

Quelques limites à « cet obscur besoin de clarté » : Dans cette surenchère communicationnelle, Thierry Libaert a néanmoins relevé une contradiction majeure en analysant les rapports d’activité d’une cinquantaine d’entreprises : les sociétés qui ont tendance à suremployer la sémantique de la transparence sont souvent celles dont l’opacité est la plus forte. [[ plus elles t’agitent transparence, plus elles ont beaucoup a cacher…comme nous disons toujours, toutes les impostures sont en train de tomber…leurs farces vont leur revenir en pleine face !]]. Ainsi, avant leurs déboires, Vivendi et Enron figuraient-elles parmi les entreprises les plus « transparentes », à lire leurs publications et les discours de leurs P-DG en tout cas. La surpromesse ou la mise en scène d’une transparence factice constituent un piège dans lequel tombent souvent les organisations [[ ne penser qu’aux sur-profits semble, en effet, faire perdre toute clairvoyance : pour une organisation transparente la claire voyance est, en effet, la qualité qui va avec ! Les vitres de leurs idées n’ayant plus la moindre taches…]].

Les attentes exprimées [[et alors, cela ne prédit par leur…faisabilité…à force d’être infantilisés ils réagissent infantilement, oui ou non ?]] par les différents publics sont en effet connues et claires [[ vous croyez ?]] : 1) obligation de moyen et non de résultat : les consommateurs-citoyens veulent avoir le sentiment qu’on a réellement pris en compte leurs attentes [[ ils appellent donc à la flatterie et à l’hypocrisie ?]] et qu’on a voulu être transparent avec eux (perception individuelle) ; 2) respect des 4 fondamentaux de l’information vertueuse : fiabilité / clarté / indication claire des comportements attendus à l’issue de la réception des messages / adéquation de la réactivité de l’émetteur aux normes sociales (réponse aux questions sous 3/4 d’heures à une heure idéalement et non 24 à 48 heures comme la plupart des entreprises la pratiquent aujourd’hui en moyenne) sont également attendues [[ avec ou sans mal entendus attendus ?]] ; 3) respect d’un agenda de communication précis stipulant « qui sera informé et à quel moment » [[ sauf que la politique actuelle, si souillée par les idées néfastes, des financiers fous et de leurs médias détraqués, sont les plus OPAQUES depuis les années 1980 ]], car comme le montre Jean-Baptiste Favatier, être transparent, c’est nécessairement « choisir qui informer avant qui, à partir d’une cartographie transparence capable de créer un effet boule de neige jusqu’au dernier informé, en limitant le risque relationnel » …Voici le dernier mot qui prouve à quel point avec de pareils idéologues falsificateur il n’y aura jamais de démocratie numérique…Avec nous oui !

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Oui, derrière ces loufoqueries, qu’y a-t-il au niveau d’une vraie pensée ? … « Steven Shiffrin est sans doute l’auteur qui a discuté de la façon la plus approfondie et intéressante qui soit la question du recours à la métaphore du marché…dans l’interprétation du premier amendement. Dans de nombreux articles et livres, ainsi que dans son recueil de jurisprudence, il coupe avec résolution les liens prétendus entre un marché imaginaire des idées et… la vérité, l’équité, le dissensus, la délibération ou même le choix véritable [[ le marché, tout issu de la nocive métaphysique capitaliste c’est le mensonge et l’inéquité à la base…Et ? Depuis des décennies que nous attendons ses métamorphoses, il ne devient que toujours pire…Au nom de in god we trust, la Bourse, et ses fantaisies chimériques de marchés omniscients, doit donc être…abolie !]]. Voir par exemple The First Amendment, Democracy, and Romance (Princeton, Princeton University Press, 1990), dans lequel il affirme : « L’engagement à soutenir le dissensus ne requiert pas de croire que ce qui émerge du “marché” est généralement juste ou que le “marché” est la meilleure des épreuves de vérité. Au contraire, l’engagement à soutenir le dissensus présuppose que les pressions sociétales qui vont dans le sens du conformisme sont fortes et que les incitations au silence sont souvent grandes [[le débat silencieux ne doit pas être un «vrai» débat !]]. Si la métaphore du marché encourage le point de vue selon lequel une main invisible [[ quelle grossière foutaise métaphysique : de quoi il n’y a que la main d’invisible ? Et rien du reste du corps ? Et laquelle, la droite ou la gauche ? Et est-ce la main dans la poche ou la main des gains ? etc…Foutaise foutue, donc !]] ou des arrangements volontaristes nous ont guidés avec patience, mais lentement, jusqu’à l’harmonie burkéenne, l’engagement à soutenir le dissensus nous encourage à croire que les confortables arrangements de l’état de choses existant ont été établi [[ genre l’ordre «établi» mais par qui établi ? Par ses parents ? Il n’a pu s’auto-établir, il « a été » établi, par la métaphysique alors ? …C’est nous ne sommes pas à la barre fixe mais dans les fondations de la société ! Mais alors où est l’établi de charpente où tout l’édifice fut fondé ? etc. ]] sur une base en deçà du vrai ou du juste [[ soit, concrètement, ces balbutiements incultes du capitalisme ne connaissent rien au vrai et au juste. ll ne peut donc trouver de justification dans l’un ou l’autre…En fait, c’est surtout du grand banditisme !]].

Si la métaphore du marché encourage le point de vue selon lequel les conventions, les habitudes et les traditions ont émergé comme notre meilleure approximation de la vérité à partir de l’épreuve de vérité rigoureuse du marché des idées, l’engagement à soutenir le dissensus encourage le point de vue selon lequel les conventions, les habitudes et les traditions sont des compromis flous susceptibles d’être contestés. Si la métaphore du marché nous invite à penser que la vérité selon le marché est plus digne de confiance que n’importe quelle vérité que le gouvernement pourrait dicter, un engagement à soutenir le dissensus nous invite à nous méfier du marché comme du gouvernement. [[ vu que leurs plus grands avantages, alors, c’est de mentir surtout sur tout, de semer la confusion, de falsifier, de tricher et de manipuler – bref, absolument rien qui inspire de la…confiance !]]. Si la métaphore du marché favorise une forme molle de relativisme laxiste et immoral (tout ce qui émerge du marché convient jusqu’à nouvel ordre – oui, mais à maximum 10 % de la population et pas à 90 %...si ces 90 % ont toutes les informations afin de pouvoir vraiment juger !]]), l’engagement à soutenir le dissensus insiste sur le fait que les sondages ne décident pas de la vérité » (Cité dans Steven Shiffrin et Jesse Choper, First Amendment : Cases, Comments, Questions, 2001, p. 15-16). Voir aussi Steven Shiffrin, « The First Amendment and Economic Regulation : Away From a General Theory of the First Amendment », Northwestern University Law Review, vol. 78, no 5, 1983).”…ainsi que la vidéo jointe !

Le fond du débat ? « Le premier amendement n’a certainement pas été conçu [par les rédacteurs de la Constitution] pour valider la répression de discours politiques dans le média le plus en vue de la société. Il était conçu comme une réponse à la censure. Lorsque l’État [[ ou les multinationales ou la finance mondiale ]] fait usage de tout son pouvoir, y compris de la loi pénale, pour dicter où une personne peut obtenir des informations, ou bien quelle source jugée indigne de confiance elle ne peut pas entendre, elle utilise la censure pour contrôler la pensée. Ce que le Droit lui empêche formellement […] Le premier amendement confirme la liberté que nous avons de penser par nous-mêmes (…). Cette interprétation du premier amendement et de la finalité du discours politique [[ qui ne peut donc pas entrer dans sa propre annulation par…délinquance de voies de faits !]] conduit  le juge Kennedy [[ voir le lien pour situer : disons que ce juge interprète, comme tout juge peut le faire, la loi (sinon il n’y aurait pas de …jurisprudence !), mais là c’est un discours sur ses actions… ]] à présenter l’État et le discours comme deux forces ennemies, symétriques de celles que sont l’État et le capital dans l’économie néolibérale [[ soit des aspects du néolibéralisme se démontrent extrêmement ennemis du Premier amendement ! Premier amendement qui…

se montre plus fort que la capitalisme libéral et peut donc exiger son abolition immédiate pour le « bien public » !]]. » 

Les censeurs PERDENT TOUJOURS, censitaires censures ou pas ; en effet, pendant qu’ils perdent leur temps si futilement…

…la vraie pensée suit son cours inéluctable et le réel, qu’elle montre, se transforme bien…et qui n’en a pas l’intelligence et le ressenti fondateurs...

…………............................…. Est bien dépassé par les vrais évènements !

 

 ….…..……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

            Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs.Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

En avoir le cœur net et inter net ?
En avoir le cœur net et inter net ?
En avoir le cœur net et inter net ?
La monnaie ne peut que suivre où ton regard va…tu t’en détournerais qu’elle se fausserait toute !

La monnaie ne peut que suivre où ton regard va…tu t’en détournerais qu’elle se fausserait toute !

Baptiste Kotras  la Voix du web - Nouveaux régimes de l’opinion sur Internet

Baptiste Kotras la Voix du web - Nouveaux régimes de l’opinion sur Internet

Le premier amendement de la Constitution des États-Unis d'Amérique fait partie des dix amendements ratifiés en 1791 et connus collectivement comme la Déclaration des Droits (Bill of Rights). Il interdit au Congrès des États-Unis d'adopter des lois limitant la liberté de religion et d'expression, la liberté de la presse ou le droit à « s'assembler pacifiquement ».  La portée exacte du texte a été interprétée de différentes manières. Alors que l'amendement ne fait référence qu'au Congrès fédéral, on a considéré qu'il devait s'appliquer également aux législations des différents États. D'autre part, le texte ne fait mention que du Congrès qui est seul investi du pouvoir législatif dans la Constitution, cependant, les principes de l'amendement ont pu être appliqués aux décisions des pouvoirs exécutifs et judiciaires. (Wikipédia).

Le premier amendement de la Constitution des États-Unis d'Amérique fait partie des dix amendements ratifiés en 1791 et connus collectivement comme la Déclaration des Droits (Bill of Rights). Il interdit au Congrès des États-Unis d'adopter des lois limitant la liberté de religion et d'expression, la liberté de la presse ou le droit à « s'assembler pacifiquement ». La portée exacte du texte a été interprétée de différentes manières. Alors que l'amendement ne fait référence qu'au Congrès fédéral, on a considéré qu'il devait s'appliquer également aux législations des différents États. D'autre part, le texte ne fait mention que du Congrès qui est seul investi du pouvoir législatif dans la Constitution, cependant, les principes de l'amendement ont pu être appliqués aux décisions des pouvoirs exécutifs et judiciaires. (Wikipédia).

En avoir le cœur net et inter net ?
ce sont les grands qui sont muets devant les petites choses ?

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En avoir le cœur net et inter net ?
En avoir le cœur net et inter net ?
En avoir le cœur net et inter net ?
En avoir le cœur net et inter net ?
En avoir le cœur net et inter net ?
Le retour de l’obscurantisme ? Ne vous fiez donc plus au…darketing ! Le marketing des confusions...

Le retour de l’obscurantisme ? Ne vous fiez donc plus au…darketing ! Le marketing des confusions...

même en Europe ? oui même en Europe !

même en Europe ? oui même en Europe !

Dans «la Voix du web», le sociologue Baptiste Kotras enquête sur ces nouveaux moyens. Ici p. 100.

Dans «la Voix du web», le sociologue Baptiste Kotras enquête sur ces nouveaux moyens. Ici p. 100.

Extrait de “La voix du web - Nouveaux régimes de l’opinion sur Internet”, de Baptiste Kotras, Le Seuil) : ce qu’on vend comme l’ultra modernité c’est, au fond, assez analogue à ce que faisaient les «mouches» de Louis XV.

Extrait de “La voix du web - Nouveaux régimes de l’opinion sur Internet”, de Baptiste Kotras, Le Seuil) : ce qu’on vend comme l’ultra modernité c’est, au fond, assez analogue à ce que faisaient les «mouches» de Louis XV.

La sur-interprétation (overfitting) | Intelligence Artificielle 11 (ft. Hygiène Mentale) : dans ce cas de figure, laisser les ordinateurs décider pour nous (sans même de vérification) est un vrai crime contre l’esprit !

Michael Goldhaber, professeur à Berkeley, suggére (scandaleusement) que l’attention aurait désormais davantage de valeur que l’argent lui-même. Et comment nous glissons aisément entre les doigts aveugles de ces mentalités de régressifs ?

What's Wrong with the First Amendment? de Steven H. Shiffrin

Les Ordinateurs Quantiques - Une blague pour les mécaniciens du quantique : "Un jour, Heisenberg se fait arrêter en voiture par la police. Une fois la voiture stoppée, le policier lui demande : Vous saviez à quelle vitesse vous alliez ? Heinsenberg lui répond : Aucune idée, par contre je sais exactement où je suis"

Comment les imposteurs des profits fous sont en train de tomber ?

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