Faire passer les distributeurs pour des créateurs ?
Sauf que ces distributeurs de contenus vrais sont tombés dans le piège : ils sont en train de perdre toute crédibilité même face à des humains distraits…leurs lobbies sont leurs pires ennemis. Ainsi, au Parlement européen est passée la directive européenne faussement nommée protection des droits d’auteurs ("directive copyright")…alors qu’elle aurait dû s’appeler « protection uniquement des droits des distributeurs aux détriments des auteurs »…La vidéo jointe démontre avec une grande habilité, qui unit un esprit pratique à la faculté d’aller à l’essentiel, que ces cupides foutent le bordel partout, désorganisent toute la société, ne font que des conneries et ne les arrêtent pas, comme promis…puisque leurs gesticulations insensées vont assécher la création, la créativité, l’imagination en actes, bref, tout le futur de la société. Puisque ces créatifs incroyablement généreux (face aux faces revêches, renfrognées et sans attraits de ces busyNess men) ne sont pas d’accord avec cette directive pourtant prise…en leurs noms. C’est quoi l’embrouille ? Ces créatifs, ils/elles, ne vivent pas que de l’étoffe des nuages…Pourtant, les niaiseries de ces distributeurs (qui spolient les créatifs à fond ]], ridiculisent ceux-ci, à fond en étalant leur méconnaissance crasse de ce qu’est la vie d’une autrice ou d’un auteur. S’ôtant le droit de les dépouiller plus encore en prétendant (hypocritement) protéger leurs droits (en fait, bourgeois enlaidis, ils ne font que détruire la créativité sous les pieds). Puisque la moindre utilisation (et tout livre reprend le passé, les traditions, pour les surpasser – comme tout post peut opter pour un panachage judicieux entre documents, vidéos, iconographies et sons – l’ensemble créant des contenus à très forte nouveauté…les ajouts extérieurs servant uniquement à prouver les divers raisonnements et à nous mener ensembles vers les solutions pour tous (donc plus des illustrations que des emprunts forts !)…
Il y a vraiment,là, une incompréhension frontale des circuits corporels et souterrains (l’inconscient, l’holisme indescriptible de toutes les facultés unies, les hyper sensualités, etc.) de la création vraie. Ce serait donc des hyper incultes, des barbares de la connerie triomphante, qui oseraient diriger la culture (la diriger uniquement vers leurs si désastreuses cupidités – ce qui est tout l’inverse de diriger, oui ou non ?)…Puisque ce dispositif, au bout de l’analyse, ne peut que DESSERVIR les authentiques créatifs, ces originaux qui n’entrent dans aucun logiciel tous tournés vers le passé qui rend passif, mais inventant du vrai nouveau, de l’informulé, du non encore entré dans aucun circuit, du grand aléatoire, de l’imprévu complet, du faut faire une partie du chemin soi-même pour capter, etc. Son vivier le meilleur c’est donc un monde de logiciels libres, de gratuités «augmentées», de surfings libérés, d’explorations non limitées…afin de procurer du quantifiable (aussi). Mais quantifiable à accrocher aux locomotives sensées et raisonnables. Et non au… « le profit est un coût trop caché et qui dépasse souvent (en coûts cachés) son montant affiché » – il faut donc bannir de telles stupidités. Oui ? Un emprunt à ses œuvres est un hommage (le copyleft c’est de citer immanquablement ses sources – et déjà de placer les liens c’est ouvrir toute…possibilité à qui veut unir toutes les infos de pouvoir le faire…Pour les photos, il suffit, par exemple, d’entrer à «propriétés» et vous avez toute la carte de visite) et un….service rendu. De là tout casser à vouloir placer un flic derrière chaque clic (ce qui est le clair aveu que les flics NE SERVENT PLUS qu’à protéger et augmenter l’argent si illégal et si immérité de ces trop riches ? Le grand scandale non ?) c’est déjà rendre impraticable en très grand…mais c’est pourrir stupidement l’ambiance. Ce pourquoi nous savons qu’aucun créatif vrai n’a participé à la lourdeur bureaucratique de cette directive (se rappeler que la bureaucratie c’est le…privé, et pas le public !) ? C’est qu’il y manque la grâce – cette légèreté inimitable du grand respect qui use de l’économie des moyens et de la « beauté des solutions » afin de toujours convaincre à fond…avec le minimum d’ingrédients. Cela c’est la trace des authentiques penseurs et créateurs. Aucune trace, ici, que des bouffissures de lourdeurs stupides. Et ? Ce dispositif ne peut être (aussi) que contre les créatifs…les référencements actuels (une fois libéré des censures censitaires – qui sont donc la marque de la monétarisation illégale d’internet…et ouais !) servent, ou peuvent servir en mieux, les créatifs. Les référencements imposés ne fonctionnent pas, personne n’y obéit….non internet, cette grâce surhumaine née du gratuit, reste rétif à l’argent surtout lorsque celui-ci N’EST QUE bête, coincé, serré, étroit, ne comprenant jamais rien, sourdingue et dingue ! Cette directive ne doit donc jamais se voir appliquée sir le terrain...
Oui des créatifs, qui font sortir du néant des contenus qui nous chamboulent la tête, des sons qui nous soulèvent ou des anticonformismes insolents qui nous rendent la vraie santé mentale – ceux-ci sont les créatifs…de les distribuer ne rend pas créatifs pour si peu…De vouloir profiter (jusqu’à l’obsession maniaque) de ces talents c’est aller contre le futur des talents…Ainsi des propriétaires de presse voulaient faire payer aux recherches individuelles chaque citation d’un article de presse – eh bien, plus de référencements de ces organismes de presse et plus personne pour…les lire sur internet (la proportion des internautes qui vont fouiller, dénicher, voir sur place étant minime :). Donc en voulant trop gagner aujourd’hui, ces abrutis complets perdent immensément demain et tous les jours suivants. C’est qu’internet est une économie plus que mixte : respecter les gratuités c’est pouvoir obtenir des dédommagements collatéraux. Tandis qu’imposer le capitalisme des abus d’oligopoles et de la force fait rapidement tout y perdre, s’y enliser du moins : n’étant pas encerclé par la violence proche, les internautes s’en vont et vont voir ailleurs où plus de bon sens rend l’air plus respirable. Et elles/ils ne reviennent plus. Voilà tout…Tout ce que nous annoncions mais sans terminer les raisonnements (mais suffisamment afin que, par déductions, intuitions, perspicacités, sensibilités ouvertes, il soit possible de finir la démonstration !) comme quoi, sans les toucher, sans les bousculer (que par l’usage affolant des concepts), nous pouvons – grâce à tous les arts sont martiaux – les faire Agir contre leurs vrais intérêts à moyen terme, les engouffrer dans des impasses, les forcer à brûler leurs vaisseaux, les faire tomber dans les pièges creusés par leurs seules cupidités. Bref , de les niquer en très grand standing. Nouvelle démonstration donc que nous enfilons leurs conneries jusqu’aux trognons…ils tombent parce qu’ils doivent tomber – jamais l’Humanité, historique s’entend, n’a eu de fausses élites si nuisibles, de faux dirigeants si destructeurs, et de faux maitres de ce monde si crétins et incultes…Le grand art c’est de protéger le maximum d’humains de leurs prédations insensées et de les amener par le bout du nez là où leurs chutes deviendront inéluctables ! Ce temps est mûr …puisqu’ils/elles sont la honte de l’humanité, ils déshonorent toutes les valeurs…leurs abolitions seront un des plus grands soulagements collectifs de l’Histoire. Pas touche aux vrais créatifs – ils sont plus rusés que l’inFox, ce qui appartient tout au renard Fox, et, grâce à leur grâce de légèreté, ils t’embrouillent tous ces lourdauds puceaux de la vraie vie (le business c’est rester cloîtrés dans un placard…à ne ressasser que de la poussière…taux d’apprentissage de l’essentiel : 0,01 % environ…c’est le pire gâchis existentiel que de courir après l’argent sale, celui qui rend complètement dingue ! Que dites-vous ?
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« On pourrait encore se poser la question. C’est une totale connerie cette loi. Tatiana Ventôse, nous explique pourquoi. Ce n’est pas anodin et, ça pourrait être la fin de l’internet, tel que nous avons tous contribué à le construire. La presse mainstream déjà en difficulté, risque d’être très impactée s’il n’y a plus personne pour relayer leurs titres. Publier une photo libre d’accès sur le net sans autorisation est maintenant interdit. On s’enfonce dans une censure matérialiste qui obligera à payer, pour avoir accès à l’information. Ont-ils vraiment compris ce qu’ils ont voté les députés européens? »…Manques d’imaginations complets, aucun vécus à partager avec leurs concitoyens…Afin de mieux capter, offrons, ensuite, des coupes géologiques d’informations – dont la synthèse nous produira comme un « révélateur » de la photo pleinement inattendue :
** 1) - Les-milliardaires-ont-gagné-plus-dargent-en-2017-qu'en-n'importe-quelle-autre-année-de-l'histoire
Pris la main dans le sac le sac de leurs saccages pleinement illégaux… « Au cours des 30 dernières années, la création de richesses a été bien plus importante que l’âge d’or.” Au cours d’une année où une si grande partie du monde a été confrontée à une pauvreté extrême, [[ les 2 évènements sont liés – le trop de richesse des uns crée la pauvreté des autres !]] aux effets corrosifs de l’austérité et aux conditions climatiques extrêmes causées par l’aggravation de la crise climatique engendrée par l’homme – des ouragans dévastateurs aux feux de forêt mortels et aux inondations – une catégorie de personnes a gagné plus en 2017 qu'en toute autre année dans l’histoire : les milliardaires du monde. Selon le cinquième rapport annuel des milliardaires de la banque suisse UBS, publié vendredi, les milliardaires du monde entier ont accru leur richesse de 1 400 milliards de dollars l’année dernière – un chiffre impressionnant de 20% – portant ainsi leur patrimoine cumulé à 8 900 milliards de dollars. »… 20 % ans en un an c’est beaucoup trop – tout a dû les aider afin de parvenir à cet échec sociétal. Échec puisque ces séparatistes antisociaux ne vivent pas dans la société : ils prélèvent et bien trop et ne restituent rien. C’est une perte sèche pour la société…et l’obsessionnelle pressurisation, par toutes les pores, de la société (ici internet) par ces monomaniaques , sonne comme leur fin proche – la société ne peut faire qu’un énorme rejet !
** 2) - Médicaments-d'inquiétantes-ruptures-de-stock-?
« Voilà où mène la désindustrialisation et la délocalisation des entreprises. Quand on a un coffre fort à la place du cerveau, que la rentabilité prime sur le besoin des populations, on arrive à cette aberration, il n’y a plus de stocks de médicaments essentiels pour beaucoup de patients [[ ce qui est le contraire d’une «rationalisation»…la cupidité au profit semble bien rendre irrationnel : il faut abolir le profit en lui faisant payer tout ce qu’il coûte, et revenir à la raison collective : les besoins en premier ! Et une symétrie en cercles vertueux : pas de réponses aux besoins, pas de paiements…]]. Ceux qui ont les moyens vont se faire soigner en Suisse, et la majorité de ceux qui ne les ont pas les moyens, ils crèvent ? La solution ? Faisons une loi ! Une de plus dans le labyrinthe législatif, on fera au moins semblant de s’occuper de réparer les dégâts dus à la course au fric. Ces mondialistes/ultralibéraux, détruisent le pays mais, ils continuent à se passer le relais. Si on rajoute les molécules dont les brevets tombent dans le domaine public, et ne sont donc plus rentables »…la nasse de leur prédations s’agrandit…
** 3) - Un-tiers-médiaire
« La métaphore de l'entonnoir, comme toutes celles auxquelles on peut penser, ne peut représenter qu'une partie du Google-monde. Il s'agit pour Google de transvaser tout l'internet, les milliards de pages disponibles, dans ses centres serveurs, puis de rendre indispensable l'usage du moteur de recherche à celui qui veut retrouver une information, un document, une personne, une vidéo, une musique, voire même un extrait d'une conversation par mail ou forum. Bref, d'accéder à la vie numérique par le petit bout de l'entonnoir. » Hervé Le Crosnier (préface).
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Crise-de-l'imagination-l'inventeur-du-web-prend-ses-responsabilités-et-vous-?
« Sans lui, le web n’existerait pas. Tim Berners-Lee voulait aider les gens à travailler ensemble, à commencer par ses collègues du CERN. Pour son inventeur, le web a toujours eu la vocation d’être contributif [[ et non prédateur !]]: à chacun de l’enrichir en contenus et en liens [[ ce qui reste le principe de la prospérité collective si rationnelle contre le surenrichissement séparé du petit nombre complètement irrationnel !]]. Cet idéal est plus que jamais menacé par le duopole que constituent Google (qui n’a rien d’un service public) et Facebook (qui n’a rien d’un média comme un autre), cela n’a pas échappé au principal intéressé. L’inventeur du web a annoncé qu’il interrompait ses activités au MIT ainsi qu’à la tête du W3C pour prendre la direction technique d’une startup, Inrupt, vouée à soutenir la diffusion et le développement d’un logiciel open source sur lequel il travaillait depuis quelques années avec son équipe : Solid. L’ambition de ce projet : nous redonner la maîtrise de nos données. En créant son POD (Personnal Online Data Store), chacun pourra choisir où seront stockées ses données personnelles et décider quelles applications auront accès à quelles données… à condition d’opter pour des applications conçues pour ce nouvel écosystème. Par leur initiative, Tim Berners-Lee et ses collaborateurs espèrent contribuer à provoquer le sursaut d’imagination : comme l’affirme désormais l’association Framasoft, dégoogliser Internet ne suffit pas.
«La tragédie du web c’est qu’il est difficile de trouver des réponses à des questions que l’on n’a pas imaginées, tandis que faire preuve d’imagination est devenu de plus en plus difficile à mesure que moteurs de recherche et réseaux sociaux nous offrent une version lourdement filtrée du web. » …Voilà ce qu’écrivait début 2017 Nick Nguyen, vice-président de la fondation Mozilla, dans un texte intitulé « votre téléphone n’est pas une télévision » et qui trouve écho jusqu’en 1995 [[ dans le sens de la passivité non interactive. Nous devons guider notre barque et non la laisser se faire arraisonner par des pirates à l’envers, des institutionnels !]]. Tim Berners-Lee affirmait alors son « rêve » que le web soit moins une chaîne de télévision, qu’une mer dédiée au partage des connaissances. Nous avons surfé un temps sur cette mer de contenus publiés par ceux qui avaient acquis quelques rudiments de code HTML. Autour de 2005, l’idée d’un web 2.0 s’est popularisée avec la promesse d’offrir à chacun le pouvoir de produire et de publier ses propres contenus sans compétence technique particulière. Mais en 2018, alors que le web fêtait ses 29 ans, Tim Berners-Lee a souligné la double menace qui pèse sur son invention : « le mythe que la publicité est le seul modèle commercial possible pour les entreprises en ligne, et le mythe selon lequel il est trop tard pour changer le mode de fonctionnement des plates-formes ». C’est donc bien à une crise de l’inspiration que nous faisons face aujourd’hui du fait de l’action des GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), si comme les contributeurs de Wikipedia on entend l’inspiration au sens d’une « affluence d’idées stimulant l’imagination et la créativité [[ bon, cela ne nous concerne pas pour notre propre fonctionnement, vu que nous produisons de l’original, des pensées neuves, de nouvelles méthodes d’analyses et de synthèses, des solutions pour tous aux problématiques…mais il est vrai que l’irruption de l’argent stupide appauvrit toutes les facultés humaines. Pour qui n’a pas la saine hargne de résister à ces branleurs du fric facile, ces clairs échecs de vie !]].»
Dans sa contribution à l’ouvrage La Toile que nous voulons, le sociologue Dominique Cardon résume la situation en ces termes : « Les usages actuels du web sont très en deçà des potentialités qu’il nous offre [[ ne se vouer qu’au fric rétrécit dramatiquement la vie et la prive d’une trop grande partie de son potentiel non utilisé : le trop de richesses séparées nous soustrait, le collectif nous augmente !]]. Nos imaginations et nos initiatives ne sont pas à la hauteur de ses possibles [[ les manques d’exigences envers eux-mêmes de trop y contribuent aussi : donc, au lieu de harceler injustement les autres, pensez plutôt à vous améééééliiiorer !]]. Il ne fait pas de doute que les moyens financiers, l’attention des internautes et leur créativité sont aujourd’hui aspirés par une économie numérique qui se préoccupe avant tout d’élargir son empire et de se monétiser. [[ ce qui n’est bon que pour des crétins immatures – le manque d’envergure de telles sous-ambitions devrait les faire éjecter de toutes prises de décisions collectives : clair de ces diminués du social sont inaptes au collectif sain ! Qu’ils aillent jouer ailleurs : le profit séparé ce n’est bon que pour des immatures toujours plus minables !]].
Mais, il serait aussi maladroit de considérer que le développement du marché des grandes plates-formes interdit ou empêche de faire autre chose, autrement et selon d’autres principes. Le web se ferme par le haut, mais toute son histoire montre qu’il s’imagine par le bas [[notamment par ses hauts…le cœur qui éjectent tout ce qui rompt de co-Rompre !]] Sa trajectoire est émaillée de ces initiatives audacieuses, originales, curieuses et en rupture. Il n’y a aucune raison de penser que cette dynamique doive s’arrêter ou qu’elle soit complètement entravée par la domination des GAFA. Cependant, plus que jamais, il appartient aux chercheurs, aux communautés, aux usagers, aux pouvoirs publics aussi, d’encourager les initiatives qui préservent cette dynamique réflexive, polyphonique et peu contrôlable que les pionniers du web nous ont confiée [[ toutes et tous à nos originalités – ne copions plus les régressifs miteux des profits séparés. Ne permettons plus à leurs ridicules ringardises d’envahir nos vies…submergeons-les d’inattendus renouvelés !]] » Nous sommes quelques-uns à expérimenter actuellement l’une de ces initiatives à l’Université de Lorraine. Résultat des réflexions inspirées par ma thèse de doctorat, needle est une extension qui ajoute un bouton à votre navigateur grâce auquel indexer les pages web qui nous inspirent. Lorsque nous contribuons à notre propre fil sur needle, cela nous ouvre l’accès à de nouvelles sources d’inspiration le long des fils de celles et ceux que nous croisons : la navigation devient contributive. Si vous souhaitez rejoindre le bêta-test public, un formulaire est à votre disposition pour solliciter une invitation. »…Le profit séparé, cette grande régression existentielle, c’est ce qui nous évite, le retour massif du collectif c’est ce qui nous invite. Tout est dit ! Oui, entre ces 2 ambitions, laquelle vous fait gerber de routines aigres et laquelle vous attire comme le vaisseau de l’Humanité qui ne peut qu’alimenter les toujours plus belles des aventures ?
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Pourquoi-notre-capacité-à-nous-projeter-dans-le-futur-est-menacée-?
La mémoire du futur est donc essentielle. Quid du futur de la mémoire ? N’est-il pas compromis par la place toujours plus grande qu’occupent les mémoires externes (ordinateurs, smartphones, serveurs, cloud…), lesquelles viennent amenuiser nos mémoires internes, comme s’en inquiètent ceux pour lesquels nous n’apprenons plus rien, et devenons, à force de tout déléguer aux machines, des coquilles vides reliées au cordon vital de nos smartphones ? [[ cette analyse est véridique et nous rappelle nos rébellions puissantes d’enfance lorsque nous préférions tout calculer de tête, ou le maximum, plutôt que d’utiliser les calculatrices. Et nous sentions vraiment la géométrie dans nos corps : incroyables sensations. Oui nous refusions que les machines « ne nous chouravent quoi que ce soit »…Nos idées de primitifs étaient bien que la machine nous «prend» ce que nous perdons si nous ne lui résistons pas. Nous n’avons jamais perdu cette résistance frontale : et l’idée que les machines nous copient en nous pompant nous semble, soudain, moins enfantine – y’a du vrai là-dedans !]].
Jean-Gabriel Ganascia, chercheur en intelligence artificielle, appelle à la mesure. Il rappelle combien la crainte que notre mémoire interne et notre intelligence diminuent du fait du transfert d’informations vers des supports externes de mémoire est ancienne : dans Phèdre, Phèdre et Socrate craignaient que l’écriture ne menace la pratique philosophique, puisqu’elle figerait la pensée et la trahirait inévitablement… Surtout, Ganascia rappelle que nous ne disposons pas de mesures scientifiques permettant d’apprécier l’évolution de nos capacités mnésiques, pré et post-emprise du numérique sur notre quotidien [[ faux, dans le sens où nous expérimentons que nos disciplines, obtenues sans autorisations héhéhé, de «muscler nos mémoires» (tous les jours ouais) nous rend d’énormes services quotidiens. Nous voyons trop d’humains…s’égarer ou éparpiller bêtement leurs énergies, nous ne perdons jamais l’orientation, genre plus ta mémoire est incluse «dans» tout ton corps, plus elle te casse des briques !]] . Le voyage (réel) dans le temps n’étant pas encore au programme, impossible de mesurer nos capacités d’hier [[ faux, un chamanisme «laïc», basé sur une augmentation «naturelle» de nos pouvoirs enfouis, y pourvoit – faut arrêter de limiter nos potentiels, nous ne pouvons sans cesse parenthèser «faux» à de telles assertions…éprouver pallie prouver, tout n’est pas que chiffres et sans les qualités immesurables les quantités ne…servent à rien !]]. À l’inverse de ceux qui appréhendent l’atrophie de nos mémoires, ou même s’ils partagent leurs craintes, d’autres se tournent vers une promesse [[ nous préférons tenir et remplir nos promesses avant de les formuler : c’est plus rapide et plus sûr !]] : l’extension de la mémoire via les implants de la société Neuralink, lancée en mars 2017 par Elon Musk, date considérée par Laurent Alexandre comme le « véritable lancement du XXIe siècle »... [[ nous croyons plus en nos corps conscients qu’en les technocrates si inconscients et peu adultes !]]. On connaît la position de Ganascia sur la Singularité, cette théorie qui anticipe un point de rupture prochain où l’intelligence des machines dépassera celle des humains [[ pas de tous les humains, rappelons-le, seulement des avachi.e.s et des non-résistant.e.s.]] : à ses yeux, c’est un mythe. Neuralink écope donc du même traitement : « une projection hyperbolique » que les scientifiques « se doivent de démentir », tant elle « fait fi de la complexité de la mémoire humaine [[ exact, surtout lorsque nous l’Expérimentons de toutes nos fibres ]] qui diffère fondamentalement dans son principe des dispositifs de stockage d’information [[ trop gonfler les compliments aux machines en rabaissant trop les humains c’est agir en déserteurs des premiers lignes des combats à mener – et…les déserteurs ont trop de temps à donner pour briquer leur sale image et radoter des tas d’insanités…c’est pour cela le Vide sans vie des médias mainstream : bien se dire s’ils sont là, ils ne sont pas ailleurs et leur balancer « mais que désertes-tu donc à être ici, ici où tu n’a aucune expérience inédite, ni aucun vécu à…partager ! ». Facile donc d’éjecter tous les pervers narcissiques, non ?]] ».
Nos mémoires internes sont sans doute amoindries par les mémoires externes mais les études scientifiques manquent, nous dit Ganascia. Deuzio, le projet d’augmentation de Neuralink rélève de la fiction. L’expert en IA préfère attirer l’attention sur une crainte beaucoup moins partagée : la précarité de nos mémoires externes. Elles sont à la fois hypertrophiées, puisque « le web, en 2020, comprendra environ 2,8 milliards de BnF ». Mais précaires, car le cloud, présenté comme la solution à la sauvegarde de nos données, n’a en réalité qu’une durabilité limitée : la persistance garantie des données serait de 100 ans. La recherche de supports inaltérables, en cours, est donc majeure - nous avions parlé du stockage sur ADN - pour préserver le patrimoine culturel que nous léguerons aux générations futures. Ganascia conclut par une dernière bataille : démonter l’idée formulée par l'historien israélien Yuval Noah Harari, celle de l’avènement du « dataïsme », une religion des données qui dépossèderait les humains de leur autorité, en transférant leur mémoire du futur sur des supports externes, gouvernés par des algorithmes. « Au début de l’âge moderne, des penseurs comme Spinoza niaient de la même façon le libre-arbitre, au nom du déterminisme de la nature », rétorque Ganascia [[ce qui nous fait penser que tous les fortes têtes, ces cœurs costauds aux bras ouverts, ces sources généreuses qui submergent les trop serrés du cul (radins que radinent et avaries d’avares, en langage courant) capitalistes par leurs abondances même…sont bien moins cités, relayés, aidés, propulsés que les nuisibles…alors, internautes, voulez-vous aussi rejoindre le camp sans issue des…têtes à claques ?]]. » .
Revenons-en à notre mémoire du futur. Le philosophe Bernard Stiegler amorce d’abord un grand détour : l’externalisation de notre mémoire est pour Stiegler une nouvelle forme d’« exosomatisation » (décrite par Alfred Lotka en 1945 pour parler des débuts de l’hominisation, il y a 3 millions d’années, avec le silex taillé). Aujourd’hui, « entre les cerveaux des individus (où se logent les fonctions psychologiques, et non plus dans les cerveaux), on trouve des silex taillés, des stèles gravées et maintenant, des ordinateurs et des smartphones [[ c’est entre oui nous tous mais rien ne nous force à laisser «entrer» vers nous cet entre tous ! Avant que d’avoir ren forcer toutes nos immunités mentales…]].» Le philosophe appelle ensuite à lutter contre l’entropie (liée à la notion d’irréversibilité des phénomènes physiques), en faisant appel au concept d’anti-entropie (capacité d’entretenir un état ordonné de façon dynamique – [[ nous pouvons aussi nommer ce « vivre toute sa vie en artiste », le paraître, on s’en strie les ailerons, seul l’être compte…les arriérés bourgeois stationnent à la porte en dégoisant sur «leurs» artistes (sic), mais ne connaissent pas une once de gramme du vrai vécu artiste. Fermons-leur les portes au nez…chiant de les avoir toujours dehors, à suer de cupidités au lieu de se lancer dans la Vraie vie…]]. Cela implique, pour le citer, « de retrouver la diversité des savoirs et la singularité individuelle [[ déjà fait ]] qui s’opposent à la standardisation par le calcul et les algorithmes en nous soumettant à la loi des moyennes et en effaçant toute exception [[ foutues à la porte toutes ces merdes !]] ». Stiegler appelle également à une «anti-anthropie», dans un contexte d’accélération de l’Anthropocène (ère géologique caractérisée par le façonnage de la biosphère par l’intervention humaine), et de dénis d’une partie de la population mondiale quant à l’existence du changement climatique. « Car s’il ne se passe rien de radicalement nouveau à cet égard, et dans les dix ans à venir, l’avenir de la planète est gravement compromis. » L’incapacité à se projeter dans le futur [[ nous nommons cela les châtrés du cœur, les puceaux de la tête, les auto-enfermé.e.s dans leur placard et tant d’autres – afin que de lire la liste de toutes ces tares les obligent à secouer leurs puces…cela fera du bien à l’informatique !]] provoquera pour Stiegler d’importantes « conséquences sociales en matière de paralysie et de délitement [[ propulser au pouvoir les sans cœurs et les sans têtes, que les plus médiocres, ne peut qu’être le pire des choix possibles – il y a des solutions symboliques fortes : foutre, en 2018, en taule tous ceux qui ont causés le crack de 2008 provoquerait une onde de retour à la santé mentale. C’est ainsi, S’engluer dans des jésuisteries pour se planquer et user sournoisement de tant de cruautés sociales n’est pas, lui, probant du tout !]] ».
« La réalité semble dépasser la science-fiction d’un homme vidé de sa substance mentale et in fine, de son discernement comme de ses capacités de (ré)action » Notre [[ ne pas généraliser – ce nous de nationalisations des pertes des riches, ce nous de «leurs» dettes passées pour les nôtres, etc. est une imposture – préférons «le plus grand nombre mais pas tous» ]] incapacité à réagir face au futur qui se dessine, qu'on l’appelle chaos, «effondrement» [[« leur » effondrement seulement]], ou qu’on le voit avec davantage d’optimisme, gagne donc un angle d’approche de plus, celui de la mémoire du futur. Nous avions évoqué au moment de la démission d’Hulot le piège du court-termisme propre à l’anti-économie néo-libérale, et le fait que nous serions câblés pour agir selon ce que reçoivent nos cinq sens [[ rappelons sensualités ET sensés ce qui , avec les neurones-miroirs et tant d’autres, nous « permet » de nous amplifier…mais naturellement, pas technocratiquement et donc d’augmenter nos résistances face aux médiocres sans têtes ni sans cœurs !]] plutôt que pour l'anticipation du futur, comment le disent le psychologue norvégien Per Espen Stoknes, ou le sociologue George Marshall. La neuroscientifique Maryanne Wolfe nous avait alertés sur la menace qui pèse sur le développement de la pensée critique, de l’empathie et de la réflexion, mis à mal selon elle par un entraînement toujours moins grand à la «lecture profonde» [[ nous confirmons !]], du fait d'un environnement numérique entraînant d'autres facultés cognitives. Un historien, enfin, Jérôme Baschet, évoquait notre rapport malade au temps [[ une fois de mieux, ne pas généraliser… le concept «le nous suspect» nous semble requis !]] et rejoignait ce besoin de « défaire la tyrannie du présent » pour mieux inventer le futur [[ déjà en cours]]. Pour s’éloigner du « chaos »,
……ces réflexions sont utiles à garder en mémoire, interne, et externe.»
Penser est donc très sain…et immensément social (ne disons-nous pas penser…aux autres. ? Donc, sans pensée, que…des autres…abandonnés, jetés en vrac, délaissés, laissés tombés…
Oui penser est un des actes SOCIAUX les plus forts …et que les bourgeois aient tout fait pour empêcher les penseurs (par les censures censitaires) d’être très diffusés en grand…
….…aura signé, dés le départ, leur chute désormais en cours !
……………………………….Ils sont vraiment indignes de diriger quoi que soit !
….……..…..…(à suivre)
……….…………………………**********************************
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste détermination gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
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En vous inscrivant sur needle, vous nous confiez votre adresse e-mail. Elle ne sera divulguée qu'aux utilisateurs à qui vous adresserez des messages, afin qu'ils puissent vous répondre. Aucun ...
y résister ?
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Publier une photo libre d'accès sur le net sans autorisation est maintenant interdit
Droit d'auteur sur internet] La Cour de justice de l'Union européenne a jugé...
[Droit d'auteur sur internet] La Cour de justice de l'Union européenne a jugé mardi que la reproduction sur un site internet d'une photographie librement accessible sur un autre site nécessitait une nouvelle autorisation préalable de son auteur. Cet arrêt pourrait marquer le début d'une vaste série de recours.
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FSFE - Sauvons le Partage de Code en Europe !
Vidéo de soutien de plusieurs artistes du Libre et de l'Internet Elle vise à attirer l'attention sur l'impact néfaste de l' Article 13 de la Directive sur le droit d'auteur proposée pour les ...
https://www.linuxrouen.fr/wp/event/fsfe-sauvons-le-partage-de-code-en-europe/
Lorsque la réforme du droit d’auteur est votée, chaque utilisateur ou utilisatrice d’une plateforme de partage de code, qu’il s’agisse d’une personne physique, d’une entreprise ou d’une administration publique, se voit traité comme un potentiel contrevenant au droit d’auteur : tous ses contenus, y compris des dépôts entiers de code, seront contrôlés et empêchés d’être partagés en ligne, à n’importe quel moment. Cela restreindra la liberté des développeurs et développeuses d’utiliser des composants et des outils logiciels spécifiques, ce qui, en retour, conduira à beaucoup moins de compétition et d’innovation. Finalement, cela pourra conduire à des logiciels moins fiables et à une infrastructure logicielle moins résiliente pour tout le monde.
retours de bâtons : le fric et les magouilles narcissiques ayant rendu insupportable internet – ce seraient les réactions…Social fiction ?
Nos cerveaux ont les moyens de résister ? Schéma typique d'un réseau de neurones avec trois niveaux cachés. Les données sont à gauche, les résultats à droite.
Neuf fois sur dix, quand vous entendez parler des barrières scientifiques qui ont été repoussées grâce à l’application de techniques d’Apprentissage profond (ou Deep Learning en anglais), les réseaux de neurones à convolution sont impliqués.
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En la exploración de este primer mundo, usted encontrará servicios en linea que han sido diseñados de una manera diferente, y respetan la vida (privada) de los usuarios y la diversidad de la que...
l’association Framasoft, dégoogliser Internet ne suffit pas.
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The web is under threat. Join us and fight for it.
March 12, is the World Wide Web's 29th birthday. Here's a message from our founder and web inventor Sir Tim Berners-Lee on what we need to ensure that every
« le mythe que la publicité est le seul modèle commercial possible pour les entreprises en ligne, et le mythe selon lequel il est trop tard pour changer le mode de fonctionnement des plates-formes ».
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Needle, une innovation issue des SIC face à la crise de l'inspiration
Nous proposons d'interpréter le numérique comme un environnement écologique en lui appliquant la notion d'empreinte. Pour le monde universitaire cela implique d'assumer une responsabilité dans ...
Needle, une innovation issue des SIC face à la crise de l'inspiration Résumé : Nous proposons d’interpréter le numérique comme un environnement écologique en lui appliquant la notion d’empreinte. Possible aussi, ici, de télécharger des fichiers…
LOI SUR LE COPYRIGHT - EURODÉPUTÉS INCONSCIENTS (ou idiots) ?
Directive droits d'auteur : «Une privatisation trop abusive de l'information sur internet»
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Du lien au like sur Internet. Deux mesures de la réputation - Persée
Dominique Cardon Du lien au like sur Internet Deux mesures de la réputation Une impitoyable compétition pour la visibilité s''est installée sur le Web. Alors que l''abondance des informations e...
Du lien au like sur Internet. Deux mesures de la réputation…
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Droit d'auteur : une réforme controversée de la directive européenne
Le 12 septembre 2018, le Parlement européen Parlement européen Institution de l'Union européenne représentant les citoyens des États membres a voté en faveur de l'ouverture de négociations e...
La directive européenne sur le droit d’auteur dans le marché unique numérique ("directive copyright")
Directive Copyright : la loi sur le droit d'auteur massivement adoptée par l'UE
Après un rejet en juillet, le projet de loi sur les droits d'auteurs pour le numérique a été finalement votée par le Parlement Européen. On fait le point sur les - légers - changements appor...
L'article 11 quant à lui n'a presque pas été touché. Il prévoit la création d'un « droit voisin » du droit d'auteur. Sa mise en place donnera le droit aux éditeurs de médias de réclamer des contreparties financières aux plateformes numériques pour la publication et l'indexation de leurs contenus.
Les réseaux informatiques et Internet
C'est pas sorcier - Voyage dans le cyber-espace
What is Solid? Decentralized Web? Tim Berners-Lee is up to something again…le web decentralisé – le tout nouveau world wide web (www)
Tim Berners-Lee Is Building The Next Stage Of The Web… Tim Berners-Lee nous construit le futur internet !
Le parcours du médicament : Du laboratoire à la pharmacie. Alors (avec un tel parcours-circuit), comment peut-il y des ruptures de stocks de médicaments essentiels ?
Jean-Gabriel Ganascia : "Ce qui s'est passé avec les données de Facebook est un avertissement non un divertissement"
Interview Jean-Gabriel Ganascia - histoire et philosophie des réseaux de neurones…Nous avons en nous de quoi nous défendre – et joyeusement – des extensions des domaines technocratiques. Les médias vendus et les politiciens idoines veulent nous livrer…« pieds et poings liés » à l’argent-machine…Prouvons-leur qu’ils n’arriveront jamais…Dissuadons-les à vies…Sortons le grand jeu de nos imaginations étourdissantes ! Nous sommes plus fort.e.s qu’eux et ça se voit…
Dominique Cardon : "Les réseaux sociaux ne sont que le reflet de notre société"
Framasoft : ne soyons pas sérieux. Soyons-le à fond !