L’apathie des talents ?

Disant, d’habitude, dès le départ, l’invention de nouvelles méthodes qui donnent forme à l’originalité de nos textes - ici, il faudra attendre la troisième partie de la dialectique pour comprendre les méthodes qui structurent tout le texte. C’est ainsi. Là où il y a routine…gaffe baffe. C’est que le thème parait tellement dément «L’apathie des talents » qu’il nous est apparu que c’est bien le meilleur moyen afin d’en parler dans le respect absolu de la vraie écriture !

L'apathie-des-talents-menace-ou-opportunité-pour-la-transition-écologique-?

Dirigeant·es d’organisations de toutes tailles, chargé·es des ressources humaines, responsables d’unités, beaucoup se plaignent d’un même mal : il est de plus en plus difficile d’attirer et de fidéliser les « talents », c’est-à-dire des salarié·e·s, en particulier les jeunes. Une forme d’apathie, dont l’incidence serait en augmentation, menacerait le bon fonctionnement de nos [[ disons de « leurs »]] organisations et de notre [[ disons de « leur »]]  économie en général. En réalité, cette apathie représente à la fois un signal d’alarme et un potentiel pour la transition écologique. »

Les trois âges de l’idée de « talents » ? Ah bon c’est une idée idéelle ? La notion de talent est le fruit d’une évolution des modèles de GRH que l’on peut découper en trois phases : À partir des années 2000, dans l’économie de l’innovation, on cherche à provoquer des disruptions, c’est-à-dire des innovations organisationnelles de rupture : diffusion des TIC, acquisition d’entreprises existantes, intrapreneuriat, intégration accélérée de startups… D’un côté, les organisations sont industrialisées, c’est-à-dire structurées en process standardisés, des progiciels encadrant la plupart des tâches. De l’autre, les individus sont plongés dans le flou et l’incertitude. Ils sont dépositaires de l’intégrité de l’organisation, seuls ou en petites communautés professionnelles. La GRH abandonne en partie l’illusion de l’adéquation scientifique entre une personne et un poste. Le modèle de la gestion des talents traduit cette situation : seuls les individus « adaptés » s’en sortent. Ils sont à la fois uniques, avec des caractéristiques propres, et semblables, car gérés par populations ou viviers, selon les critères standards habituels (les éléments du CV). Par conséquent, les services RH ne cherchent plus vraiment à prédire le succès ou l’échec de manière individuelle. Ils sélectionnent et élèvent des cohortes, avec des étapes successives (des tournois). Leur rôle consiste à détecter des potentiels, à investir dans l’accompagnement et le coaching, puis à observer la façon dont, dans telle ou telle situation, les talents sont révélés ou non.”…sauf que ces crétins institutionnels n’avaient pas prévus que les talents deviendraient…révélateurs. Révélateurs des failles du système, révélateurs que l’ensemble de ces talents est tellement supérieur à toute l’organisation bureaucratique des fake maîtres de ce monde. Et la relève…se lève et relève …quoi de plus naturel…son apathie stratégique de ses talents extérieurs se communique à toutes les vies intérieures…qui s’étaient rendues prêtes à cela…ce qui répond à l’avance par un de nos futurs textes réfutant que nous allons perdre nos sens de projections dans le futur…Puisque…

« De plus, le financement des services qui garantissent le maintien de la société dépend aussi de notre consommation industrielle, par l’intermédiaire de la TVA : santé, sécurité-défense, justice… Or ces services sont fournis par de grandes organisations publiques, également menacées dans leur fonctionnement par l’épuisement et l’apathie. De ce point de vue, nos talents doivent donc continuer de s’investir (sic) ; le marketing RH développe des programmes pour maintenir [[désolé elle n’avait jamais été là – alors pour la main…tenir ?]] l’attractivité et la fidélité des salariés [[ donc sans celle palpable et tangible, des dirigeants ?]]. »… Et donc, une manière silencieuse de prouver leur désaccord puisque on arrête les conneries…ils/elles ne veulent plus donner toute leur énergie pour faire durer un tel système. Nouvel épisode de la résistance passive…voici ce qu’il advient lorsque l’anti-communication se renverse et est renversée, à la fois, et voit tout se retourner contre elle. On ne peut éternellement séquestrer les questions et les réponses, parler pour les autres, donc contre eux, supposer qu’ils ils sont d’accord avec vous sans jamais leur permettre de s’exprimer (l’aliénation de la hiérarchie rencontre la sa mortelle maladie : être d’accord avec la société dominante PARCE QUE je vous seriez supérieur(e) hiérarchiquement de la personne…pire déviations qu’à l’armée…Clair qu’ils/elles sont « devenues » vraiment fous !). Pas de plus fortes pressions subliminales possibles… Enfin, les rejets de tout débats de fond aboutissent à ces unilatéralismes sans issues, ces monologues insensés qui s’auto-croient rationnels : les corrompus n’arrivent plus à saisir que leur présence insupportent, définitivement insupportent. Bon, vous prétendiez avoir tous les droits, mais déjà vous ne le prétendez plus…nous glissons entre vos doigts, mais avec aucune raison formulable dans votre charabia. Nos raisons sont plus fortes et sont ailleurs. Vous prétendez nous imposer votre fonctionnement insensé, nous ne fonctionnons plus, nous nous mettons sur le mode apathie…vous avez tort et vous voulez continuer à avoir tort sur notre dos, vous vous fatiguerez avant nous à imposer l’inacceptable. Lequel déjà ? Ou lorsque le bas de l’échelle hiérarchique RAPPELLE le haut au respect de ses propres engagements, à la simple décence de penser à tout le monde pas qu’à soi, à respecter donc des buts collectifs et non ceux de l’oligarchie (la majorité s’étant abstenue dit clairement qu’elle est contre l’oligarchie puisque si des 60 % ont ce même comportement c’est qu’il est motivé en langage silencieux du refus intégral du système) ! Vérifions…

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Comme si tout était à eux…de la réserve au réservoir, quels mauvais soins accordés à qui ils ont, pourtant, tant besoin…

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« Face à la catastrophe environnementale et sociale vers laquelle nous fonçons, plus de 12 000 étudiants s’engagent à ne pas travailler dans des entreprises en désaccord avec leurs valeurs dans un manifeste pour un réveil écologique.[[ fallait le faire, ils l’ont fait…]]. L’acuité de plus en plus forte avec laquelle nous ressentons les effets du dérèglement climatique et de la surexploitation [[ et qui dit surexploitations dit surexploiteurs, il n’y pas de mystères et mystères levés la justice va pouvoir enfin réprimer leur très graves déprédations des biens…de l’humanité. Stop, pas touche…ils l’ont fait, fallait pas vraiment le faire…]] des ressources se traduit aussi dans le milieu étudiant. Directement concernés à leur sortie d’étude par le visage du monde de demain [[ tiens, c’est pas con !]], plus de 12000 étudiants se sont ainsi engagés dans un manifeste pour un réveil écologique à ne pas [[ ne pas n’est pas toujours…apathique !]] rejoindre des secteurs d’activités contribuant [[non contribuables en plus…]] à l’accélération du changement climatique ou à l’épuisement des ressources.

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 « Deux options s’offrent aujourd’hui à nous : poursuivre la trajectoire destructrice de nos sociétés, se contenter de l’engagement d’une minorité de personnes [[ hébé, c’est de nous que l’on parle t’y ici…]] et en attendre les conséquences ; ou bien prendre notre avenir en main [[ en plus c’est un de nos thèmes affichés ]] en décidant collectivement [[ nous c’est un collectif qui collecte donc la parole de tout le monde, oui même toi]] d’anticiper et d’inclure dans notre quotidien et nos métiers une ambition sociale et environnementale [[peuchère, nous pensions ne plus entendre de telles ambitions, les vraies en fait…ambitions pour toutes et tous…]], afin de changer de cap et ne pas finir dans l’impasse. »

Ces étudiants viennent de plus de 120 établissements différents et de spécialités variées, dont de nombreuses grandes écoles françaises comme HEC, les écoles normales supérieures, Les Mines, etc. A l’image du succès [[ça c’est du succès , celui de tous non d’un seul…]] des « plus qu’une marche pour le climat » qui ont eu lieu ce weekend dans toute la France, ces étudiants ont compris qu’aujourd’hui un autre monde est non seulement possible, mais surtout nécessaire. [[ normal le sérieux vient de changer de bord !]].  « Nous affirmons qu’il est possible de bien vivre sans sombrer ni dans l’ultra-consommation ni dans le dénuement total [[ la pauvreté non miséreuse à 2 000 € par mois AVEC la Fête mondiale permanente oui c’est le succès carrément collectif ! On inaugurera mêmeen vous faisant un concert gratos encore jamais entendu…]]; que l’économie doit être consciente de sa dépendance à son environnement pour être pérenne ; et que la réponse aux problèmes environnementaux est cruciale pour la réduction des inégalités et des risques de conflits. La société que nous voulons n’est pas une société plus dure, plus triste, de privation subie [[ c’est même le contraire car la vraie richesse inépuisable c’est le social  et que le social c’est nous ! C’est donc actuellement que nous sommes privé.e.s de l’essentiel…]] ; c’est une société plus sereine, plus agréable, de ralentissement choisi…ouais on arrête nos conneries. »

Dans la partie non-léniniste « Que Faire » du manifeste, les initiateurs proposent des sources d’information et d’action pour aller plus loin autour de différentes thématiques : décrypter le défi climatique, un scénario pour la transition énergétique, préserver les ressources, aller vers un système agricole durable, financer la transition écologique. Ces étudiants et étudiantes appellent également les décideurs économiques et politiques à s’impliquer activement vers un seul [[ c’est bien de remettre les choses à l’endroit dont il s’agit]] objectif : servir durablement l’intérêt général. C’est le début d’un réveil collectif. »…Bon, il était déjà bien entamé ce réveil de l’éveil, notamment par le anticonformistes irréductibles…disons que le réveil s’étend à toujours plus de collectif…nous étions, il y a 5 ans encore, à stationner au tiers (1/3) de l’humanité nous devenons aller vers les dépassements de la moitié (1/2) de l’Humanité…ouais , ça se comprend avec le tapage infernal des 1 % et les gaffes et bourdes incessantes des 9 % de leurs soutins § larbins pour faire 10 % – cela ne s’entend pas au premier coup. Mais ceci est le réel…bienvenu.e.s au pays du vrai !

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Neurologie de l’action et de la motivation :  de l’athymhormie à l’hyperactivité…ce qui place bien l’apathie dans le mystère insensé du vote…toujours pas résolu…Preuves ?

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L’apathie vient en votant : Oui. Et pas qu’un peu…« Ces réprimandes attestent que nous cultivons l'idée qu'il n'y a qu'une seule bonne façon de participer à la vie politique. Nous nous posons vraiment trop peu de questions et consentons ainsi aveuglément à un système politique qui joue pourtant un rôle visiblement nocif dans nos vies. Il est toutefois légitime de croire que les possibilités d'y réfléchir autrement existent et qu'elles sont déjà présentes autour de nous. Pour ce faire, il importe de sortir des…faux cadres de référence trop officiellement proposés et de déconstruire nos idées préconçues. Quitter les… Si tu ne votes pas, nous dit-on sur un ton plutôt condescendant, tu la fermes! Bref, tu n'as pas le droit de chialer [[ d’où sortent-ils cela ? Le droit d’autonomie de la conscience inclut celui de ne pas voter si ce qui est proposé est …invotable ! C’est bien, alors, de leur faute et non celle des non-voteurs…]]. On y apprend également que voter constitue la liberté de parole [[et pas voter, non, étrange l’incohérence ?]], et que de ne pas le faire, c'est l'équivalent de « cracher sur la démocratie ». La rhétorique va même jusqu’à affirmer même voter est un « devoir citoyen » [[ mais nuls «devoirs citoyens», renforcés mêmes, chez les politicien.ne.s qui ont le culot de se présenter dans, de telles conditions d’insultes permanentes, à nous ? Allons allons un peu d’esprit adulte !]]. Or cela ne cache qu’une conception trop restreinte de ce qu'est la politique. »…C’est donc cela insulter gravement la république : de ne se limiter qu’à cela... D’autant plus que si tu votes tout est de ta faute et que tu doives (pour ta punition) accepter sans manifester tout et n’importe quoi…Oui c’est très anti-républicain que de réduire la démocratie au simple fait de voter dans des conditions si bâclées. Sans, au préalable, avoir « essayé, resté, vérifiée, mis sous garantie » l’offre politique toujours traitée en non responsable et non coupable – ce n’est pas bien que de voter sans utiliser toute sa raison et toutes les connaissances qui existent afin de la renforcer. Pas bien du tout que de présenter une offre politique qui ne respecte absolument pas les votants [[ si les gouvernements ne sont plus que des lobbies il est un « devoir » de ne pas laisser les renards infoxes entrer dans les bergeries…oui un devoir ]]…Pas bien du tout de ne voter que pour des structures parlementaires, qui, plus est, ont le démérite de participer infiniment trop à la création peu rationnelle d'une classe professionnelle de politiciens. Alors c’est qui les apathiques dans l’affaire ?

Solutions si le vote doit persister ? Des votes intermédiaires dits de jugements qui précisent si les politiques suivies ont l’accord des votants premiers. Votants devenus actionnaires qui actionnent dans « l’entreprise » politicienne : faut savoir de quoi il est parlé – il est ainsi parlé c’est ainsi qu’il faut pratiquer. Voici qui contraindrait les médias si peu honnêtes et trop désinformateurs (oui, ça fait trop désordre mon pov’ monsieur !), donc trop peu démocrates, à abandonner, sur le champs et dans les prairies aussi, la fake politique des petites phrases et d’adopter des débats de fond avec choix par le public des débattants. L’idéal serait, évidement, l’élection d’un(e) anti-président(e) qui serait chargé(e) de diffuser tous les envers du décor, d’internaliser toutes les oppositions (oui cela se fait en entreprise ma brav’ dame !) d’animer le vote sur toute sa « durée de validité », jamais précisée nous comprenons tout sec pourquoi…etc. Oui mais le tout, sans…apathie ensuite ! Oui, une ligne tracée ainsi démontre que…

……c’est la faute de la société, et nous ne l’excuserons surtout pas, si tous les talents sont contraints

                      (pas tactiques) à…l’apathie de tous leurs potentiels !

….………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

…………….Que le vaste enthousiasme nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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