L’écologie c’est pour quand ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

L’écologie c’est pour quand ?

L’écologie n’est pas une politique Cessons d’en appeler aux politiques et tournons-nous plutôt vers celles et ceux qui, partout à leur niveau, montrent qu’une autre voie aura toujours été possible. Ne les négligeons pas sous faux prétexte d’agir au sein d’arènes politiques lointaines où régnerait le sérieux de la bureaucratie et de la finance. S’il y a une chose urgente à exiger des pouvoirs publics, c’est qu’ils cessent d’agir : que les pouvoirs publics laissent faire ceux qui veulent changer le monde et cessent d’être une entrave aux alternatives. Oui, prendre tr-s au sérieux les subalternisés ! Comme nous le disons depuis toujours le sérieux a changé de camp

D’abord, il nous parait déplacé de déplacer les enjeux de débats sur juste savoir la part précise des hommes sur le bouleversement climatique puisque cela aboutit à tout mélanger dans un pack d’inactions qui ne bénéficie qu’aux grands destructeurs de la Nature et de la vie. Ainsi dans l’air tué des villes qui fait tant de morts et diminue la santé collective – clair que la part humaine est telle que les actions se lisent clairement. Pour toutes les pollutions directes il en va de même. Et donc ? C’est une regrettable coquetterie de dire, un jour, la part de l’homme est minimum et l’autre elle est importante – puisque les actions vitalement à entreprendre sont suspendues durant ces débats faussés sur le sexe des anges. Partout, il y a visiblité des excès humains : énergies fossiles surexploitées, enfumages des villes, océans laissés à l’abandon devant leur ennemi, les plastiques, aucun plan à moyen terme sur l’énergie, énormes gaspillages alimentaires comme des ressources rares, pas de rationalité dans la gestion des déchets, peu de recyclages face à la folie de l’obsolescence programmée, pas de créations immédiates de communs afin d’aider le maintien d’une nourriture de qualité, d’une santé sans lobbies et d’une éducation sans interventions qui n’ont rien à y faire. Libérer ces communs de l’argent et ses délires de surpuissance (qui ne se concrétisent non dans des constructions bénéfiques mais dans des destructions pour de faux bénéfices)…etc. (etc. : ce qui n’est pas cité ici n’en perd pas sa nécessité…)…oui anthropocène ou non – ce n’est pas le problème, c’est se planquer dans le luxe du pourquoi et non foncer dans l’urgence des comment. Cet évitement qui se retrouve autant dans des extrêmes gauches, dans des circuits de réinformations, autant dans diverses opinions sociales que dans les droites très aveuglées de capitalisme, ne font que nuire à la visibilité du ce qu’il faut faire. Et vu l’immobilisme collectif déjà existant, sont même des questions complètement superflues. Un Trump qui nie le réel s’y engouffre, d’ailleurs, soliloquant « ah oui il y a un changement de climat mais cela ne vient pas de l’homme [[ seulement des extraterrestres…]] »…ce qui lui sert d’alibi, d’excuse propre sur elle, pour se désister dans tous les domaines que nous avons cité. Ce pack d’ensemble est le sommet de l’hypocrisie de ceux/celles qui ne prennent plus jamais de risques et abandonnent, trop généreusement, ces risques aux autres : ce qui rend leurs analyses parfaitement hors de propos…  

« Si le sérieux doit changer de camp, alors il le doit réellement. Prendre au sérieux les préoccupations écologiques impose également d’écouter ceux qui ont pris soin de leur milieu et qui ont eu raison avant nous. Cessons de prendre au sérieux ceux qui ont échoué [[ comme les médias mainstream qui nous font chier avec ces ringards…]] ! C’est le rapport à la chose politique – et non au personnel politique – qui est prioritaire. Pris en ce sens, celui des modalités du vivre ensemble et du règlement pacifique des conflictualités [[ donc de la dialectique vivante que nous maitrisons plutôt bien…]],  le politique n’est pas « en haut », ni « là-bas », mais « ici », voire «en dessous» : là où des formes de vie sont sans cesse déracinées, des voix étouffées, des avenirs condamnés par les pouvoirs surplombants qui ont montré leur inefficacité. [[ clair que les arrivant.e.s récents sur ce combat nous ont piétiné pendant tant d’années de leurs hautains paternalismes de ruissellements que nous avons encore pleins de longueurs d’avance…]].

Crise-environnementale-pourquoi-il-faut-questionner-les-appels-à-agir-d'urgence-?

Le moment est venu de prendre exemple [[ déjà fait ]] sur ceux qui ont eu raison mais qui sont subalternisés [[ ontologiquement, le dit subalterne alterne mieux que tout !]] depuis des siècles : peuples autochtones ou inventeurs d’alternatives au développement industriel. On peut, entre autres, s’appuyer sur les visions et les récits issus des études féministes et des savoirs de la subalternité (on pense par exemple aux travaux des historiens Donna Harraway ou Ramachandra Guha, ou encore à la sociologie politique de Boaventura de Sousa Santos) : ils voient du monde autre chose que les récits de la globalisation et du modernisme qui sont tellement pauvres en termes d’ouvertures de possibles. Il est temps de ne plus considérer les voix subalternisées comme un ornement académique ou poétique ; au son de ces voix, le monde serait sans doute rapidement transformé [[ déjà fait pour notre propre compte…]]. » C’est exactement cela : nous pouvons approuver un diagnostic et être en désaccord avec les remèdes proposés. Ainsi, les diverses marches, suite à la démission sensée de Hulot, qui se désistent en disant que c’est à l’État d’agir…Ce qui n’est pas le processus vertueux des décentralisations partout ; vu que la fédération de toutes les initiatives qui existent déjà serait préférable – eux seuls sont sérieux. Ou bien les tentatives grossières – qui tentent de se faufiler dans ce sillage de désistements – que ce sont les marchés qui vont s’occuper de mettre…fin aux marchés. Puisque, oui, s’il n’y avait pas la Bourse des cupidités, tant de pollutions n’existeraient pas, les forêts ne seraient pas si débilement massacrées, etc. Et pour le climat ce serait des mesures CONTRE les multinationales, les très grandes entreprises (et non les harcèlements stupides, qui prennent tout l’espace des médias d’argent, contre les petites gens. Puisque même s’ils avaient 10 sur 10 (et ils n’en sont pas si loin !) cela ne changerait rien sur le fond ! Ce ne sont pas eux qui polluent et détraquent..). C’est le capitalisme et ses lubies comme de prétendre qu’il n’a besoin d’aucune loi car il serait le sommet de la rationalité…alors que c’est tout l’inverse, sans lois contre lui, il casse tout et il ravage le reste. Il faut réguler les folles multinationales, il faut leur enlever leurs illégaux tribunaux privés. Que les condamnations pour crimes écologiques leur soient effectives. La justice de chaque pays ne doit plus les laisser passer. Ce sont, en vérité, cela les «mesures dites impopulaires», impopulaires que chez les trop riches. Le peuple serait déjà moins insulté : ce n’est pas lui le cradingue, ce sont les classes qui se prétendent supérieures les dégueulasses jusqu’au trognon. Oui elles polluent à fond, n’ont pas commencé à se restreindre, au contraire (donc en ces mesures pro-peuple, impopulaires que chez ces anti-citoyens : plus de jets privés et plus de yachts ! et partout pollueurs = payeurs…)…Nous voyons à quel point les confusions intéressées du tout mélanger viennent encore de ces trop riches qui, en plus, polluent tous les débats :

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Climat-et-effondrement-Seule-une-insurrection-des-societes-civiles-peut-nous-en-sortir-!

Face aux constats sidérants, donc qui laisse en état d’hébétude d’inaction … « Il faut plutôt déplacer la question et produire une « pensée politique » de ce qui est en train de se passer : Comment peser sur la nature de ces changements ? Migrations de masse, émergence d’un «capitalisme écofasciste», risque de conflits pour les ressources, etc. (…) je préfère plutôt l’image des collectifs qui participent à l’effondrement d’un vieux monde productiviste : ceux qui bloquent les mines et font chuter le cours des actions des multinationales, ceux qui réinventent des communs – du mouvement de la transition aux zones à défendre. Une autre fin du monde est possible !... Nous devons donc nous attendre à des bouleversements politiques et géopolitiques considérables...

L’Europe est en proie à une poussée xénophobe que des ex-classes moyennes toujours aussi ennemies de l’intérêt général. A nos portes, le taux de noyade des migrants tentant le passage par la Méditerranée est passé d’une personne sur 42 en 2017 à une personne sur 18 en 2018, selon le Haut commissariat des Nations-unies aux réfugiés. C’est effroyable ! L’Inde a érigé un mur de séparation d’une longueur de 4000 km avec le Bangladesh. Avec la fonte des glaces dans l’Himalaya et le dérèglement des moussons, les régimes hydriques sont modifiés, avec des effets sur les barrages et les systèmes d’irrigation. Cela crée déjà des tensions entre la Chine, l’Inde et le Pakistan. L’Himalaya devient une sorte de pétaudière géopolitique, soumis à un « hyper-siège » comme l’a montré Jean-Michel Valantin. Leurs populations se retrouvent coincées entre la montée des eaux d’un côté, et l’assèchement relatif du château d’eau himalayen de l’autre. Cette conjonction de phénomènes climatiques et de tensions géopolitiques est inquiétante dans une zone qui compte des pays nucléarisés. Les dérèglements de la planète redistribuent aussi les rapports de puissances entre États-nations tels qu’on les connaît depuis la fin de la Guerre froide. Parmi les potentiels gagnants, il y a la Russie, qui dispose d’un espace – la Sibérie – qui demain pourra accueillir des populations. L’Amérique du Nord et la Chine disposent aussi d’espaces de dégagement, ce dont ne bénéficie pas l’Europe. Ces espaces vont permettre la mise en culture de millions d’hectares de blé. »…Apprendre à ne plus perdre un regard global reste le préalable aux solutions locales !

Prix-nobel-d'économie-=-le-marché-peut-arrêter-le-réchauffement-climatique

 

Le prix Nobel ne sert plus qu’à permettre d’affirmer des contre-vérités…le privé qui pollue tant peut résoudre la pollution et pourquoi le ferait-il ? Et comment le ferait-il sinon en polluant toujours plus ? Autre exemple, la stupidité de dire que le « marché », ce mot marchandé par les marchands, s’occuperait du climat…oui en l’empirant sans cesse puisque cela rapporterait… tellement plus. Quel intérêt cupide et sans issue comme l’égoïsme à solutionner le climat ? Aucun ! C’est qu’il y a une fausse  (le renard ne sera jamais d’accord avec infox) écologie (celle où on s’achète des droits à polluer, par exemple, où l’argent sale salit tout !) et la vraie – qui n’est pas la leur :

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Leur-écologie-et-la-nôtre

Évoquer l’écologie, c’est comme parler du suffrage universel et du repos du dimanche : dans un premier temps, tous les bourgeois et tous les partisans de l’ordre vous disent que vous voulez leur ruine, le triomphe de l’anarchie et de l’obscurantisme. Puis, dans un deuxième temps, quand la force des choses et la pression populaire deviennent irrésistibles, on vous accorde ce qu’on vous refusait hier et, fondamentalement, rien ne change [[ tant que l’immobilisme des Assis n’est pas bousculé rien « ne peut » changer !]]. La prise en compte des exigences écologiques conserve beaucoup d’adversaires dans le patronat. Mais elle a déjà assez de partisans capitalistes pour que son acceptation par les puissances d’argent devienne une probabilité sérieuse. Alors mieux vaut, dès à présent, ne pas jouer à cache-cache : la lutte écologique n’est pas une fin en soi, c’est une étape [[et dans la course de fond nous resterons en tête – leurs tromperies ne passeront pas !]]. Elle peut créer des difficultés au capitalisme et l’obliger à changer ; mais quand, après avoir longtemps résisté par la force et la ruse, il cédera finalement parce que l’impasse écologique sera devenue inéluctable, il intégrera cette contrainte comme il a intégré toutes les autres. »…Oui pas d’écologie sans CHANGEMENT DE SOCIÉTÉ . Ce pourquoi elle n’est pas politique c’est tout le monde, pas un groupe. Cela jamais l’infox capitaliste ne l’intégrera, ceci le dés-intégrera plutôt… L’écologie ne peut commencer que lorsque sera aboli le système qui empêche sa concrétisation évolutive :

déforestations-=-inondations-!

« C’est pourquoi il faut d’emblée poser la question franchement : que voulons-nous ? Un capitalisme qui s’accommode des contraintes écologiques ou une révolution économique, sociale et culturelle qui abolit les contraintes du capitalisme et, par là même, instaure un nouveau rapport des hommes à la collectivité, à leur environnement et à la nature ? Réforme ou révolution ? Ne répondez surtout pas que cette question est secondaire et que l’important, c’est de ne pas saloper la planète au point qu’elle devienne inhabitable. Car la survie non plus n’est pas une fin en soi : vaut-il la peine de survivre [comme se le demande Ivan Illich], dans « un monde transformé en hôpital planétaire, en école planétaire, en prison planétaire et où la tâche principale des ingénieurs de l’âme sera de fabriquer des hommes adaptés à cette condition [[ soit désadaptés de la splendide nature qui seule peut nous « augmenter » !]]» (...) Il vaut mieux tenter de définir, dès le départ, pour quoi on lutte et pas seulement contre quoi. Et il vaut mieux essayer de prévoir comment le capitalisme sera affecté et changé par les contraintes écologiques, que de croire que celles-ci provoqueront sa disparition, sans plus. Tant qu’on raisonnera dans les limites de cette civilisation inégalitaire [[ ce que ce blog ne fait jamais]], la croissance apparaîtra à la masse des gens comme la promesse — pourtant entièrement illusoire — qu’ils cesseront un jour d’être «sous-privilégiés», et la non-croissance comme leur condamnation à la médiocrité sans espoir.[[ or le social est la plus grande richesse de tous les temps, tellement immense que tout le monde peut s’y enrichir sans appauvrir quiconque. La Fête mondiale l’atteste chaque jour…]]. Aussi n’est-ce pas tant à la croissance qu’il faut s’attaquer qu’à la mystification qu’elle entretient, à la dynamique des besoins croissants et toujours frustrés sur laquelle elle repose, à la compétition qu’elle organise en incitant les individus à vouloir, chacun, se hisser «au-dessus» des autres [[métaphore casse-gueule !]]. La devise de cette société pourrait être : Ce qui est bon pour tous ne vaut rien. Tu ne seras respectable que si tu as « mieux » que les autres.

Or c’est l’inverse qu’il faut affirmer pour rompre avec l’idéologie de la croissance : Seul est digne de toi ce qui est bon pour tous. Seul mérite d’être produit ce qui ne privilégie ni n’abaisse personne [[ selon la légalité de l’égal traitement de la loi pour tous !]]. Nous pouvons être plus heureux avec moins d’opulence [[ceci se nomme même le « sentiment e prospérité » qui ne reste que collectif et ne peut pas se ressentir solitairement…]], car dans une société sans privilège, il n’y a pas de pauvres. »…La finance est folle dès le départ – La carotte et le bâton contre Raffarin qui prêchait que les comptables savaient tout mieux que tout le monde, en aura été une grotesque preuve…Oui ? Cette folie qui veut «rationaliser tous les secteurs de la société» coûte en fait comme 3 fois plus cher à la société que si ce n’était pas elle qui démenait le monde. C’est que la finance ne sait surtout pas s’économiser, s’appliquer ses conseils à elle-même. Voyons-le

La-malédiction-de-la-finance-étouffe-l'économie

« Une nouvelle étude estime que, sur vingt ans, le Royaume-Uni a perdu l’équivalent de deux ans de produit intérieur brut à cause du poids excessif de la City [[ donc la Bourse est bien un Parasitisme honteux !]]  « Les politiciens qui se lèchent les babines à l’idée d’attirer de nombreux banquiers à Paris grâce au Brexit feraient bien de faire attention à ce qu’ils souhaitent. Économiquement, cela pourrait se retourner contre eux », prévient Nicholas Shaxson. L’auteur de The Finance Curse. How Global Finance is Making Us All Poorer, non traduit («La malédiction de la finance» - comment la globalisation financière – vrai nom de la fausse mondialisation oui sans les peuples ¡ - nos aura Tous appauvris,). La finance est absolument nécessaire au développement économique, selon le journaliste. Mais son ouvrage vient vulgariser un concept ancien, redéveloppé depuis une dizaine d’années par un groupe d’économistes : trop de finance peut finir par étouffer la croissance.[[ par ses parasitismes mêmes…]].

Une nouvelle étude, d’Andrew Baker, de l’université britannique de Sheffield, Gerald Epstein, de l’université du Massachusetts à Amherst, et Juan Montecino, de l’université de Columbia, à New York, publiée, vendredi, pour coïncider avec la parution du livre, chiffre pour la première fois les dégâts de ces excès de finance pour le Royaume-Uni, pays où la City possède un poids prépondérant. Résultat : de 1995 à 2015, le pays aurait perdu 4 500 milliards de livres, [[ quel pognon des dingues…]], l’équivalent de deux ans du produit intérieur brut (PIB) actuel. Soit 170 000 livres par foyer en moyenne [[cela atteste que les «migrants non résidents» sont bien ceux-ci qui nous volent tellement plus notre fric, que les surexploités migrants résidents ne le peuvent évidemment pas – mais ceci le RN oublie comme de le préciser …]].  « Le chiffre est une estimation qui demande d’autres recherches, précise immédiatement M. Baker. Mais il est gigantesque, et c’est un ordre de grandeur qui donne une bonne idée de la façon dont la finance folle écrase tout le reste de l’économie [[ n’est-ce pas ce que nous avons toujours dit, ayant eu bien raison tellement avant ces journalistes ]]. » Ce résultat est particulièrement intéressant comparé à celui des États-Unis : sur la même période, la première puissance économique mondiale aurait perdu environ un an de PIB seulement. « Le coût pour le Royaume-Uni serait donc deux à trois fois plus grand parce que la finance…est plus folle (car bien déguisé par la propagande) qu’ailleurs »…Oui, cela fait un nombre d’années que nous avions souligné la dangerosité de la City (sans doute à l’origine du Brexit)…et il n’y que lorsque vous n’avez pas tort que la vérification par les faits vient vous applaudir…il n’y a de bravos que pour les braves. Pas pour ceux/celles qui veulent se faire passer pour eux…seulement après (voir la chanson «Je m’appelle liberté» !). L’ennemi pervers de l’écologie par et pour tous cela a toujours été la finance…d’où l’existence des censures censitaires. Seul le fric peut tant se tromper avec son « on ne publie pas les génies».

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Donald-Trump-ne-nie-plus-le-changement-climatique-mais-espère-un-retour-à-la-normale-surtout-sans-rien-faire-!

« Je crois qu’il se passe quelque chose. Quelque chose est en train de changer et ça va changer à nouveau, » Trump dit. « Je ne pense pas que ce soit un canular. Je pense qu’il y a probablement une différence. Mais je ne sais pas si c’est fait par l’homme. Je dirai ceci : « Je ne veux pas donner des milliards et des milliards de dollars. Je ne veux pas perdre des millions et des millions d’emplois. » Il poursuit : « Je ne nie pas le changement climatique. Mais ça pourrait très bien revenir en arrière. On parle de plus de millions d’années.»…dans d’autres temps des conformes, plus égarés que les autres, bramaient « ce qui est clairement conçu est dit clairement (sous-entendant que leurs dons de lucidités dépassent tout ce qui existe ! Ce qui n’est pas très clair !)…Ici, il y a tellement de confusions que nous ne sommes pas encore parvenus à restituer le sens «complet» de ces mots erratiques !

Pour-les-banques-le-risque-climatique-devient-systémique-et-doit-donc-être-traité-comme-tel

 

« Des grandes banques centrales mondiales ont réaffirmé que le risque financier lié au climat menaçait à long terme l’économie mondiale et serait irréversible sans action immédiate [[ tiens, voici qu’eux aussi imitent nos phrasés ? Mais c’est pour d’autres visées non avisées !]], explique Philippe Escande, éditorialiste Ce n’est pas un revirement, mais tout de même une évolution notable [[ que pour les notables alors – les seuls qui s’auto-notablent, les notables qui viennent d’effectuer un revirement pour virements futurs !]]. Interrogé, samedi 13 octobre, lors d’un long entretien accordé à la chaîne CBS, le président américain, Donald Trump, a affirmé pour la première fois clairement que « le changement climatique n’est pas un canular [[ dans ce monde inculte de bande dessinée on peut se dire que cette formulation a du sens…mais manque singulièrement de profondeur ! Donc maintien un statu quo invivable…]]». C’est pourtant ainsi que, depuis 2012, il qualifiait ce phénomène. Il avait même, un temps, accusé la Chine de l’avoir monté de toutes pièces pour détruire la compétitivité de l’industrie américaine [[ à part cela les faux complotistes ont ceux qui dénoncent ces élucubrations pas ceux qui les commettent…en 2012,dire que c’est délire te faisait chuter dans complotiste, en 2018 dans esprit très lucide. T’as changé toi ? Donc ce sont eux et vitesse grand V, ils ont tant de temps à rattraper…Bingo, c’est que tu es en avance et l’as toujours été. Voilà tout !]]. Bien sûr, il se refuse toujours à admettre la responsabilité des activités humaines dans la modification du climat et assure qu’il ne veut pas jeter des milliers de milliards de dollars et des millions d’emplois américains dans cette lutte incertaine.

Mais, là aussi, il pourrait bien changer d’avis. De la même façon que la multiplication des tempêtes, sécheresses et autres catastrophes ont ébranlé ses certitudes [[ du vent invisible a donc saccagé son court-termisme, cette folie indiscutable ? D’où retour à la raison prévu par le « Je ne parle plus à qui a raison » et Amarante le disait si bien…]], la pression de la société civile et de l’économie tout entière pourrait bien le faire fléchir [[ réFléchir c’est mieux, la flexion précède l’action réFlechie !]]. Car la machine capitaliste est en train de se mettre en branle, y compris en son cœur, la finance. Lundi 15 octobre, la Banque d’Angleterre (BoE) devrait, selon le Financial Times, publier une déclaration enjoignant les banques et les assurances dont elle assure la supervision à nommer, parmi ses hauts dirigeants, un responsable chargé d’évaluer les risques à long terme de leurs portefeuilles d’investissement liés au changement climatique. L’économie mondiale menacée par la réalité (donc elle n’y était pas ? Elle y revient, donc restait et reste tellement en retard sur bous…]]. Par exemple, SUSPENDRE les engagements dans des entreprises fortement émettrices de gaz à effet de serre [[ sûr que c’est bien plus rationnel de financer les PME-PMI]]. »…Ce qui créer le dépliant : plus de soutien financier aux extractions d’énergies fossiles, à tout ce qui n’est pas renouvelable, aux gaspillages en tous genres, aux entreprises d’obsolescence programmée, aux lobbies qui veulent niquer la santé, la nourriture sacrée et les enfants des générations futures qui sont déjà là (depuis le temps qu’il était parlé d’eux), etc. On dirait qu’une lueur d’intelligence vient de leur parvenir…c’était cela le leverage buyout, l’effet levier !)...oui ces banques rompent tout engagement avec elles. Tu pollues, tu nuis au futur commun, tu vis donc sur de l’argent sali, elles ne te financent plus ! Il faut être en première ligne pour y croire :

Enfin ultime argument : tout ce pourquoi nous avons lutté (nos prédécesseurs aussi) est carrément dans l’air du temps. C’est plus que du normal. Sauf que les nouveaux arrivants font comme s’ils avaient tout initié. Ce qui est faux faut pas. Puisque, durant toutes les années de nos combats, ces mêmes groupes sociaux ou économiques nous maltraitaient  et diffamaient dur. A nous on ne la fait donc pas…et les incohérences d’un journal comme le Monde qui, si nous suivons sa trajectoire actuelle, est vraiment pour l’abolition du capitalisme. En effet, ce sont les activités humaines qui expliquent le changement climatique (nous dit-il hier même)…sauf que ces activités humaines sont celles de la démence consumériste et de sa publicité vénéneuse, des gaspillages scandaleux dus à l’obsolescence programmée, de l’agriculture intensive nuisible à la santé publique, du les profits ont tous le droits et peuvent braquer toutes les banques nommées générations futures, qualités de vie du futur, nature et vie, etc…et que, nous n’avons que rarement vu, voir jamais (sauf dans des éditoriaux oubliés le lendemain) ce groupe- journal lutter à nos côtés pour stopper tous les monstres cités. Ils auraient plutôt favorisé les politiciens qui les incitent et excitent. Donc nous cognaient dru pour leur cognitif à côté de la plaque…Dès le départ nous avions raison et tout ce temps PERDU (grave vaincu des confusions, que ce temps des actions qui eussent pu être douces et en phase il y 40 ans ou plus et qui vont se montrer heurtées et tellement plus brusques parce qu’ils se sont entêtés à ne jamais écouter nos arguments). Ils les reprennent texto actuellement – mais puisque c’est eux qui le disent c’est obligatoirement vrai. Lorsque c’était nous, tous les arbitraires leur semblaient permis. Qu’on se le dise : eh bien on se le dit…après ce salubre recadrage historique, s’ils désirent mettre fin aux oligarchies, abolir la Bourse et rendre hors la loi «les profits à n’importe quel prix» ce n’est pas nous qui les empêcherons. Mais si c’est une manœuvre afin d’introduire, à la sauvette (comme tout ce que font les prétendus sauveurs capitalistes…ils sauvent à la sauvette !), le très même système avec les politiciens qui en ont perdu toute crédibilité…ce ne sera pas long à procéder à une vérification par les faits que nous avions introduite dans ce blog dès son départ. Et que nous voyons comme bien utilisé un peu partout actuellement – mais avec bien moins d’exigences que nous !

Oui-le-réchauffement-climatique-actuel-s'explique-bien-par-l'activité-humaine

 

 « Les déclarations de Werner Munter reprises dans ces articles ont tout du réchauffé : elles sont extraites d’un entretien qu’il a accordé au journal suisse Le Matin, publié en mai 2014. Surtout, ses affirmations sont contestables sur le fond. Reprenons-les point par point [[l’article de Munter est mis avec les vidéos et, de la réponse nous ne gardons que les têtes de chapitres, sous forme syllogistique]].

1. L’argument temporel ne tient pas la route

2. L’activité humaine a bien fait augmenter la concentration de CO2 dans l’atmosphère

3. Les facteurs naturels ne peuvent expliquer à eux seuls le réchauffement actuel. »

 

C’est ainsi. Les lignes de forces se dessinent fortement…Et, sans jamais plier,…

 

…………….. les véridiques héros de l’époque sont devenus visibles !

 

 

 

……..……(à suivre)

 

…………….…………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                 Que la gigantesque exigence nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

L’écologie c’est pour quand ?
Face aux délires d’inégalités des trop riches, déclamer : « Nous sommes tous concernés, nous devons agir ensemble », ne tient pas la route. Nous ne sommes pas égaux devant les pollutions causées par ces irresponsables trop riches…

Face aux délires d’inégalités des trop riches, déclamer : « Nous sommes tous concernés, nous devons agir ensemble », ne tient pas la route. Nous ne sommes pas égaux devant les pollutions causées par ces irresponsables trop riches…

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L'école est une agence de publicité qui nous fait croire que nous avons besoin de la société telle qu'elle est.

The Finance Curse: Professor Gerald Epstein – la finance non régulée devient une malédiction, cette si perverse diction du refus de la réalité…

Le point de vue de Gaël Giraud, Chef économiste de l'AFD

L'AGROÉCOLOGIE PEUT-ELLE SAUVER LE MONDE ? avec Nicolas Meyrieux.

Les travaux de destruction ont débuté dans la forêt de la Corniche des forts à Romainville….ailleurs ils se poursuivent…

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