Le libéralisme toujours plus ennemi ? (2/2)
Nouvelles du front : premières lignes. Où nous intéressons plus au pays entier, et au monde mondial des humains, qu’au nombril Paris. D’où analyses très ouvertes : dont, les penseurs du libéral-capitalisme sont en RETARD partout. Ils ne comprennent rien d’essentiel, sous-estiment tout et pensent encore, facilement, prolonger le libéral-capitalisme, tel le sauveur mondial. L’article visé comme un symptôme (pas pour dénigrer spécialement) concentre le suprême de tout ceci. Mais comme nous ne contentons jamais du minimum, nous avons élargi tellement plus inhabituellement. Nos grandes familles d’arguments sont :
*** 1) – Toujours reculer les échéances mais de telle façon qu’aucune ne tombe ce jour. Ni demain demain. Ni après-demain jamais…Qu’est-ce à dire ? Toujours temporiser, différer, retarder, repousser, surseoir, ne jamais rien mettre à L’ORDRE DU JOUR comme à l’ordre de la nuit – En obligations écologiques, en sécurités environnementales, en engagements climatiques, en paroles données, toujours ajourner. Ne rien tenir, mais atermoyer. Ceci est la base de tous les comportements capitalistes – toujours si peu reluisants dans les faits…évidemment ces fuites permanentes, ces procédés de lâches qui n’affrontent jamais rien, ces glissements visqueux des arrogants personnages (justes devant les médias, pas ailleurs, que l’on se rassure !). Afin de mettre fin à ces comportements échappatoires, toujours le clarifier dès qu’ils se voient rencontrés. A la longue ils vont tout perdre…
*** 2) – Après retarder poltronnement et irresponsablement – saboter : avec multiples facettes. Parlons, juste, de repérer ce qu’ils croient (si frivolement) comme l’essentiel de ce qui leur est reproché (lorsque ce n’est pas reproché mais bien accusé !). Genre que la pauvreté grandissante « prouve » l’échec du capitalisme. Et revenir, interminablement, sur la diminution (hors chiffres et hors logique) de la pauvreté. D’où la triste rengaine de jouer avec les seuils par exemple, si à 1,75 $ par jour il y a tant, à 1,5 $ il y moins, DONC la pauvreté (les plus prudents se maintiennent à « extrême » pauvreté !) « vient » de diminuer. Sans jamais nous dire (traçabilité des faits) Où est passée cette diminution de « l’extrême » pauvreté ? Dans la pauvreté ? Qui, elle, augmente alors ? Mais on a dit, non et non la pauvreté « ne peut que » diminuer. Il éclate alors l’impossibilité radicale de tels calculs irrespectueux. Tout comme le chômage avec ses multiples catégorie de comptages, peut voir une légère baisse « du » chômage mais avec augmentation du…nombre des chômeurs réels. L’arrogance de ces fake penseurs reste sans limite. Même si, depuis 2008 (et le fait qu’aucun mais aucun des fomenteurs du braquage du siècle de 2008 ne soit allé en prison, ni expulsé de sa fonction, mais demeure identique à ne vivre « que sur l’argent des autres »), oui, depuis 2008, la France voit 1 million de plus de pauvres - c’est une claire diminution. D’ailleurs, ne vont-ils ne se précipiter que sur cela : répéter et répéter contre marées et vents les mêmes contre-vérités. Genre ? Pour l’emballement climatique un omniscient député au pouvoir décrète que ce n’est pas URGENT – en évitant les 25 ans minimum des « effets d’inerties ». Qui sont ? Que même si nous arrêtons tout à la seconde, il y aura, au moins, 25 ans de retard avant que les effets réels ne se fassent ressentir complètements. Et que les conséquences dangereuses ne s’inversent enfin. Aussi – s’installant dans des chiffres comme 2040, 2050, le futile député de la minorité gouvernementale va sursauter un endormi c’est pas urgent or 2040 c’est …moins de dans 25 ans…c’est donc TRÈS urgent. Et 2050 cela commence à l’être sérieusement. Que des personnages aussi incultes osent faire de la politique, voilà qui démontre le niveau lamentable du personnel capitaliste. Et donc ? En maintenant, si malhonnêtement la confusion sur la pauvreté réelle reste évité de saisir 80 % du patrimoine des trop riches, dont ils n’ont absolument pas un vital besoin (sauf à entretenir leur si grave maladie de mono-maniaquerie compulsive !)…on va dire que « magiquement » la seule PRÉSENCE du capitalisme « diminue la pauvreté» sans RÉDUIRE aucune des si illégales inégalités. Puisque si les trop riches ne font que s’enrichir, les pauvres ne « peuvent pas » s’enrichir aussi : c’est à leur détriment ces enrichissements. Sinon un dessin SVP. Même procédé de Voyou pour le climat : oser un « pas grave » c’est inciter aux absences de salubres réActions. Oui, déversons toutes les nuisances dans leurs zones de confort, chez eux carrément et nous risquons de les entendre brailler que c’est « urgent » (tiens donc !) et « essentiel » et de se plaindre sans cesse (des preuves, lorsque quelques personnalités éminentes ont été mises en prison – avant la dépénalisation de tous les crimes économiques par Sarkozy ! -, leurs plaintes démesurées ont tout envahi !). Passons donc : tout mélanger et mélanger tout avoue qu’ils/elles n’ont aucune des compétences pour assumer la responsabilité de la charge des autres. Aussi, vous saurez détecter rapidement ces perversités et bien les retoquer…et, ainsi, faire…reculer, au moins, tous ces perroquets roquets !
Toutes-les-raisons-de-retrouver-et-garder-le-moral
*** 3) – Le capitalisme demeure le sauveur suprême et va faire s’organiser les luttes pour le maintien de la biomasse et de la biodiversité, pour écarter les emballements climatiques, etc. Pour les luttes contre le capitalisme, rien n’est MIEUX que la capitalisme. Il va donc lutter à fond contre ce que lui seul provoque (avec 10 % de la population mondiale il cause 50% des pollutions !). Oui c’est sa dernière désinformation, nous allons en être bientôt ruisselé.e.s . Après le banditisme de retarder toujours, les complicités aggravées de saboter, là c’est maintenir la calomnie la plus énorme du TOUT est de la faute des pauvres, quoi qu’il arrive ils demeurent les uniques fautifs. Par exemple, eux seuls polluent puisqu’eux seuls voient pleuvoir des conseils absolument farfelus. Et pas les riches (genre de ne plus avoir du tout de jets privés, de yachts, de faire régresser et vite «leurs» taux de pollutions «intolérables» de 50 % à 20 %) – comme les médias ne les engueulent jamais, ils ne polluent « donc » pas. Nous voyons leur chute flagrante dans toutes les déraisons…Les pauvres ont beau se démontrer n’être ni les pollueurs (mais les pollués) ni les voleurs (mais les volés) ni les dangereux (seuls les trop riches sont les émeutiers les insurgés entêtés de la société – au point de se barricader, tant ils en ont honte, dans leurs villes qui ont des gueules de prisons, avec eux comme « détenus » détenus ) ! Alors un capitalisme qui peut réparer les dégâts qu’il n’arrête pas de faire – c’est impossible. De fédérer les bonnes volontés encore plus : avec le poison extrême des inégalités (si évitables) il aura semé la division et la désorganisation partout. Devant ce sommet de toutes les catastrophes, la seule santé mentale c’est d’abolir la source des catastrophes. Donc d’abolir le capitalisme. Seule la cause du mal extraite, éradiquée, supprimée, guérie permet la disparition des maux : le libéralisme est la cause du mal…
*** 4) – Ils sont si drogués, dopés, idéologisés, égarés qu’ils se voient gagner alors qu’ils perdent. Rien en eux n’est d’un guerrier complet. Ne vivre que pour/ par les médias vous zombifie vite fait. Aussi, ne peuvent-ils plus que commettre QUE des gaffes, dire ce qu’il ne faut pas, se tirer une balle dans le pied, marquer contre leur camp, s’emberlificoter, se perdre dans des postures corporelles qui énoncent tout l’inverse de ce qu’ils/elles affirment. Tout les trahit, les balance, les avoue, les dénonce par des énoncés clairs dénoncés !
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Il-faut-faire-payer-aux-gens-le-vrai-coût-écologique-de-ce-qu'-ils-achètent
« Ni les actions individuelles, inefficaces, ni les appels à renverser le capitalisme, dépourvus de contre-projet sérieux, ne sont la bonne solution. Il faudrait plutôt se concentrer sur l'action politique et oser prendre des mesures impopulaires, utiliser les leviers du marché et renforcer la régulation environnementale [[ les lois existantes sont plus restrictives que nous le pensons – simplement les gouvernements ne les mettent pas en complète application, ces solutions « par le haut » ne fonctionneront pas plus après ce laïus qu’avant !]].
Cette première approche se trouve furieusement critiquée lors des débats associatifs, des conférences écolos ou sur les plateformes en ligne. En particulier, une seconde vision de l'écologie maintient que les actions individuelles sont inutiles, tout au plus une goutte d'eau dans l'océan de pétrole que nos sociétés [[ il est toujours très généreux de «nationaliser ces pollutions commises par le petit nombre» qu’ils évitent trop de privatiser, comme ils le devraient. De nous mettre dans le même sac qu’eux : tout le monde pollue « pareil », donc fermez-la ! Ce n’est pas du tout ainsi que cela se passe : ils ne daignent partager que leurs échecs, leurs pertes, leurs dettes et leurs malversations : et pourquoi pas tout le reste alors ? Leur crédibilité se dégonfle à vu de nez : trop sectaires, trop sélectifs pour rester équitables !…L’angle d’approche furieusement paternaliste, vu en surplomb envers des humains forcément inférieurs et même non conscientisés, ne peut qu’obtenir des angles plus faux encore lors des déductions !]] s'évertuent à flamber, un concept n'ayant pour but que de pouvoir s'acheter bonne conscience [[ nous n’avons pas à rechercher une bonne conscience, ne participant en rien ni de la destruction de la Terre ni du cassage de la société « par le haut » - ces globalisations « tous pareils », alors qu’explosent les inégalités (soit rien pareils) semblent toujours proférées par des…extraterrestres, des hors sol ignorants de la véridique réalité…]]. Selon cette seconde approche, la principale source de nos maux environnementaux serait tour à tour « le système capitaliste », « le néolibéralisme » ou « la finance de marché », concepts utilisés de manière plus ou moins interchangeables dans le but de pointer la marche à suivre. Car suivant cet « argument », la seule solution viable pour préserver notre environnement est évidente : il nous faut « changer de système » [[ce qui se dénote tout à fait incomplet : manque l’essentiel, soit, et mettre, très rapidement, une nouvelle civilisation à la place…ce qui change tout. L’impréparation appartient à qui parle si légèrement de ce qu’il ne connait à l’évidence pas vraiment !]].
Pour l'individu à conscience environnementale en quête d'une marche à suivre, les actions concrètes proposées par cette seconde vision sont bien maigres. Le « nouveau système » qui permettrait de sauvegarder l'environnement est le plus souvent non précisé [[ faux et triple faux]]. Dans quelques cas, on prône un idyllique [[ toujours les mots de papier glacé : un retour concret peut suffire !]] retour à la campagne, au troc agricole et à l'artisanat. Ceux qui sont tentés de continuer à vivre en ville en s'inscrivant dans des AMAPs ou autres circuits courts innovant sont accusés de faire le jeu du capitalisme. La seule solution, c'est la révolution [[ en logique « le tout ou rien », soit avec à 100 % soit contre à 100 %, outre de n’avoir aucune vertu explicative, empêche toute réflexion adulte devant l’éventail de tous les possibles (auxquels aucune forme de dualisme ne peut y participer). La révolution demeurant une possibilité pas si réjouissante que cela – en tout cas n’est-elle pas la seule !]]…
Cette critique générale et vague du « système capitaliste », sans proposer d'alternative, est à la fois ridicule et erronée [[ de le dire bien plus…puisque tel n’est pas le cas, il y a des alternatives montrées et démontrées – il ne faut pas prendre au premier degré les simplismes des médias d’argent, voués à désinformer et à tenter de rendre toute action bien plus difficile – ce n’est certainement pas l’état le plus abouti de la pensée. Et les résistant.e.s ne sont absolument pas responsables de ces sornettes. Impossible de les coller sous cette fake étiquette !]]. Le système capitaliste (entendu comme le « système actuel » pour ne pas entrer dans un traité d'économie politique) est le système qui nous nourrit, nous habille, finance la science qui nous soigne, rémunère nos auteur.e.s et musicien.e.s, garantit le budget de notre éducation, m'a permis d'écrire cet article et vous permet de le lire [[ toujours cette bilatéralité étrange – seul ce système est hyper actif, omniscient, ubiquiste, surhumain, hyper tout d’ailleurs…en face, il n’y plus que des fantômes pas plus épais que des feuilles de papier à cigarette (sans présence ni existence) qui ne participent surtout pas à la création des plus-values toutes COLLECTIVES. Nous avons comme l’impression que c’est un maton qui parle, nous regardant pas le judas et nous voyant immobiles….ce qui reste tout l’inverse d’immoblisé.e.s., tout de même !]].
Après plusieurs millénaires d'expérimentations institutionnelles, nous n'avons pas trouvé de système plus efficace que celui que nous avons pour améliorer le niveau de vie des individus (et ce n'est pas faute d'avoir essayé…[[ cette parenthèse ment absurdement puisque pour le chômage dit NAIRU «rien» n’a été essayé, et le tout à l’avenant ; la pensée unique, par ce seul fait, n’a plus besoin…d’agir. Ce qu’elle fait de ne rien faire !]]). Les derniers sondages montrent que la grande majorité des individus interrogés sont convaincus que la pauvreté mondiale augmente, signe de la faillite généralisée de notre système. C'est faux. Rapporté à l'évolution des dernières décennies, rien que durant les dernières vingt-quatre heures, le nombre de personnes en situation d'extrême pauvreté a diminué de 137 000, 300 000 personnes de plus ont accès à de l'eau potable et à l'électricité, et l'espérance de vie moyenne a augmenté de neuf heures et demie selon Global Development Daily.[[sauf que cette inattendue irruption omet de préciser Où VA l’extrême pauvreté si elle diminue, elle doit bien aller quelque part…mais pas dans les classes moyennes, celle-ci disparaissant. Où alors ? Il s’agit de demeurer concrets comme nous…les réponses ne doivent jamais être fuies …]]. Si l'on ne propose pas d'alternatives à la fois spécifiques et détaillées [[ et offrir gratuitement des programmes qu’ils vont revendre des centaines de milliers d’euros c’est cela ?]], autant ne pas balancer le bébé avec l'eau du bain. [[ ce monologue sur-dopé se nommait «Vertus du capitalisme»…pourquoi se gêner ?]].
Il est cependant évident que notre système économique fondé sur un marché largement décentralisé et mondialisé génère d'immenses impacts négatifs sur notre environnement (« externalités environnementales »). La difficulté est de repérer ces impacts négatifs, de comprendre leurs causes, puis de proposer des solutions. Malheureusement les solutions sont souvent au cas par cas, et aucune pilule miracle ne permettra à elle seule de préserver notre environnement. Par exemple les économistes savent aujourd'hui que des instruments économiques comme la taxe carbone ou les systèmes de «plafonnement et échanges» sont particulièrement efficaces pour réduire les émissions de GES [[ ce pourquoi ces instruments économiques sont méticuleusement évités ? Et par qui ? Peuchère, par ces capitalistes qui cumulent (pourtant) toutes les vertus !]]. Au lieu d'être défendus par les plus écologistes, ces instruments sont très souvent attaqués comme octroyant un «droit à polluer», contresens tragique qui limite la capacité des décideurs politiques à mettre en place ces outils [[ comme si les écologistes pesaient autant dans les non-taxes carbone ? Et pas les pétroliers, pas les lobbies des transports et frets, pas les automobilistes (si ancrés dans « l’individualisme automobile, eux !), etc. ?]] . De même les régulations sur les perturbateurs endocriniens, les limitations de l'utilisation de pesticides, l'interdiction du sac et de la bouteille plastique, ou encore l'interdiction du chalutage profond ont également des effets positifs avérés. Comprendre comment fonctionne notre système économique et proposer des solutions adaptées nécessite une position plus humble que celle de l'écolo-révolutionnaire, convaincu de sa vérité qu'il prêche comme une religion, mais tristement inefficace en matière d'acquis environnementaux [[ ainsi, comme pour les « crises » dues aux avidités insensées des capitalistes «tout est toujours de la faute des pauvres» - ici, nous participons à une scène où les multinationales toutes attendries de bonnes volontés veulent tout faire pour l’environnement (comme ils disent, oui environ par là !) – mais DE LA FAUTE des écologistes entêtés ils ne peuvent pas concrétiser leurs élans. Eux, comme les grands industriels n’ayant strictement « aucun » pouvoir, mais aucun…voilà où conduit trop de déraisons compressée !]].
L'individualisme écologique [[faux – l’écologie ne peut être que collective, co-créative et avec tous les autres co- ceci qui « imite » l'individualisme méthodologique (la honte de dire tout absolument tout est de l’être humain et rien absolument rien de la société…). Oui ce ridicule essai de « troisième voie » qui va encore offrir les 90 % de tout au capitalisme, qui apparaissait « sage » il y a un paquet d’années n’apparait plus que comme une bouffonnerie. Le « capitalisme vert » est encore plus anti-écologique que le reste…]], quant à lui, est intenable tant qu'il reste asocial [[ce genre d’hypothèse est asociale dans ses prédéterminations…il n’y a pas un seul vrai projet écologique qui soit…individualiste. Enfin, 1 seconde de réflexion ET une vérification par les faits le prouve trop facilement…]]. Acheter bio demain matin ne préservera pas la biodiversité de nos sols. Fabriquer son dentifrice dans son coin ne limitera pas la quantité de plastique présente dans les océans. En réalité, la position écologique purement individualiste amène à une conclusion gênante : la meilleure chose qu'un individu isolé peut faire pour l'environnement, c'est de cesser de vivre [[ lorsque nous voyons l’individualisme monstrueux des marginaux capitaliste si peu nombreux et si antisociaux au point de se planquer dans des villes antisociales – ce genre de phrase «terrorisante» de dissuasion lourde, est infiniment déplacée…Nous ne symétriserons pas avec qui l’absence serait si bénéfique pour la Terre et la société. Il n’y a que lorsque l’on tort que l’on perd tout respect !]].
Cette position extrême [[ sic ]] montre que la responsabilisation écologique, pour qu'elle soit défendable en tant que actrice du changement, doit s'inscrire dans une perspective de participation à un mouvement collectif. C'est souvent déjà le cas. Un individu qui mange bio tout seul ne changera rien, mais un groupe d'individus peut amener le bio à 6,5 % de la surface agricole utile, d'après les chiffres 2017 de l'Agence Bio, ce qui envoie un signal clair aux décideurs politiques concernant les préférences environnementales des citoyens. De même arriver au supermarché avec son sac à dos vide est un premier pas, mais pour avoir un quelconque effet sur la consommation française de sacs plastiques, on ne peut pas se reposer uniquement sur la seule bonne action environnementale des individus [[ faut bien commencer par le plus incitant à s’engager, soi-même. Un groupe commence toujours par des individus seuls qui se regroupent. Insulter de tels humains qui font, en général, partie de ces 50 % pauvres de l’humanité qui génèrent 13 % de toutes les pollutions – est toujours trop inadapté…donc il ne faut admirer et prendre modèle que les trop riches qui polluent infiniment plus que leur part ? Le manque d’équitabilité dans l’occultation de leur impact monstrueux ne nous permet pas d’internaliser ces arguments !]]… « Un « droit à polluer » efficace » est le titre oxymoresque de ce chapitre, où l’on comprend que plus nous polluons, plus nous sommes efficaces. Mais efficaces pourquoi ? Pour polluer encore plus – d’où (dans cette contamination « par la haut » il n’y a strictement besoin d’aucun droit à polluer...tout ne servant plus qu’à polluer ! Comme si (au regard des générations futures, tiens déjà bien là à force de l’avoir répété, qui que ce soit avait la stature pour accorder un « droit » de polluer. Pollution et Droit demeure strictement antinomiques !]]
L'éthique personnelle peut certes être développée, mais elle a ses limites [[ comme le mot « certes » lorsque mal placé !]]. La plus importante d'entre elles est une forte asymétrie d'information (nous n'avons que très peu conscience de la manière dont ont été produits les biens que nous consommons ainsi que leur impact de long terme [[ faut pas toujours généraliser son cas – ce « on » abusivement inclusif ne passe décidément pas la rampe !]]. Mais même lorsque nous connaissons les conditions de travail dans les ateliers textiles du Bangladesh, ou lorsque nous sommes conscients de la consommation en eau et émissions de GES nécessaires pour produire un kilo de viande de boeuf, nous préférons souvent ignorer cette information [[il reste plus que désagréable de se sentir agrégé.e.s aux barbares capitalistes qui font tout pour ne rien savoir, pour fuir sans cesse les conséquences de leurs profits qui «coûtent si chers à la collectivité» ! Non, décidément nous ne dédaignons rien ni personne, ignorons donc encore moins !]]. Le nombre de mécanismes comportementaux que nous utilisons pour éviter d'avoir avoir à faire des choix difficiles est impressionnant et rempli des ouvrages entiers (sélection de l'information, procrastination, licence morale, etc.) [[ faites les donc lire par les fausses élites autoproclamées – nous c’est déjà lu, enfin surtout les meilleurs..]].
Beaucoup plus efficace serait un système dont la réussite ne reposerait pas sur 7 milliards d'individus prenant tous d'excellentes décisions environnementales en leurs âmes et consciences. La difficulté est alors de trouver un mécanisme qui 1) permettrait à chacun de continuer à prendre ses propres décisions (on ne veut pas entrer en dictature), 2) impliquerait des choix de consommation plus durables, et 3) aurait une mise en place relativement aisée. S'il ne paraît a priori pas évident qu'un tel système existe [[ évident grâce aux censures censitaires il y a des retards dus aux pressions incessantes et déloyales pour désorganiser « par le haut » la société. Cependant, pour qui reste vigilant.e, il y a des structures organisationnelles qui commencent d’émerger…pour nous c’est le mouvement unitaire N.R.V. Noir Rouge Vert que nous pensons plus apte que le système à dynamiser l’après –capitalisme !]], pour de nombreux biens de consommation la recherche en économie de l'environnement indique depuis longtemps un mécanisme simple : il convient simplement de faire payer aux individus le vrai coût des biens que nous consommons, dans le but «d'internaliser» les externalités négatives que la consommation de ces biens impliquent [[ ce qui parait Juste c’est que nul profit ne peut être encaissé avant d’en avoir déduit ces externalités négatives, de ces profits dont il est question, que le capitaliste évite lui…d’internaliser ! Encore le monstrueux 2 poids 2 mesures : et ce qui se profile dans ces lignes est comme une nouvelle escroquerie pour ne rien faire payer aux trop riches et tout payer aux trop pauvres. Puisque de saisir jusqu’à 80 % des patrimoines des trop riches (moins pour certains et beaucoup moins pour d’autres) et de verser l’ensemble dans des « caisses de compensations » qui, pour une fois, fonctionnerait ainsi : plus l’on est pauvre, plus l’on reçoit. Et tellement moins les trop riches !]]. Dit autrement, il s'agit d'égaliser le « coût privé » des biens de consommation avec leur « coût social ». Être aujourd'hui capable de se payer un rôti de boeuf à moins de 10 euros le kilo, de le ramener chez soit dans un sac en plastique gratuit et de le cuire au four pour moins de 15 centimes le kWh est un vrai scandale. En effet, faire payer un sac plastique 5 centimes en caisse a suffit à faire baisser leur consommation de plus de 60 % à Washington DC, et inclure une tarification du CO2 d'environ 50 euros la tonne permettrait de réaligner notre consommation avec une démarche plus durable. Mais pour cela des décisions politiques impopulaires doivent être prises [[ pour qui impopulaires ? Pour le populaire, soit le peuple ? Ou comme la logique le loge impopulaires POUR LES TROP RICHES – alors là nous sommes d’accord…mais la coloration du texte ne semble pas désirer la justice sociale !]].
Il ne s'agit plus aujourd'hui d'opposer « marché » et État, mais de comprendre comment l'un peu pallier les défaillances de l'autre. Les lobbies environnementaux et associations de consommateurs qui insistent auprès des décideurs pour la mise en place de telle ou telle régulation environnementale [[ normalement ils sont pour toutes les dérégulations et c’est l’écologie qui veut…les régulations !]] l'ont bien compris. Ni individualisme, ni révolution aveugle, les organisations collectives et l'orientation des politiques publiques sont les plus à même de parvenir à préserver notre environnement [[ incroyable, c’est là qu’il voulait en venir !]]. La responsabilisation individuelle est un premier pas nécessaire, mais une critique vague du système économique actuel couplée à un appel à la révolution sont au mieux inutiles, au pire retardent la mise en place de régulations environnementales efficaces [[ que la magique alliance sur-écolo marché-état va mette en place avec enthousiasme…tout en faisant tout jusqu’à aujourd’hui pour l’empêcher littéralement…]]. »
Entre-la-terre-qui-se-dévoile-et-la-finance-qui-se-cache
Quelques exemples marquants de Tout ce que pourrions faire SANS le capitalisme : accélérons, en conséquence, le post-capitalisme !
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Ils se déguisaient en libertaires et avaient comme falsifiée l’aura de qui n’aime pas l’état mais c’était afin de mieux s’y glisser et en faire vraiment une nasse de cupidités, pas du tout libertaire. Ceci c’est l’épitaphe pour déconsidérer au maximum la grande tromperie. Et sa ribambelle d’arnaques mentales.
Quand-l'état-irresponsable-parie-sur-la-responsabilité-des-consommateurs
« Ces préconisations seraient simples à mettre en place mais elles n’ont pratiquement aucune chance d’être adoptées par l’industrie [[ tiens, tout l’inverse du texte précédent…]] qui peut compter sur la passivité du gouvernement qui a notamment refusé d’inscrire dans la loi «pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine et durable», dite loi Egalim qui vient d’être votée au Parlement, l’interdiction des publicités pour les « produits alimentaires et boissons trop riches en sucre, sel ou matières grasses et ayant pour cible les enfants de moins de 16 ans » sur « tout support de communication radiophonique, audiovisuel et électronique ». Le ministre Stéphane Travert, en bon libéral, compte sur « le rôle de régulateur du CSA », qui peut « travailler sur les contenus », « sans que nous ayons besoin d’inscrire des choses par trop contraignantes dans la loi [[ ce qui est L’inverse de la philosophie des lois contre le travail, les chômeurs, la santé, l’éducation, la non-libre circulation des idées, etc. où là ne sont inscrites que des choses très contraignantes]] ». En régime capitaliste libéral, les entreprises de la filière alimentaire ont avant tout pour objectif la recherche du profit. Encadrer l’industrie et mettre en place une règlementation permettant de prévenir les dérives afin de nourrir correctement les populations seraient en principe du ressort de l’État. Mais l’État Macron n’en a ni la volonté, ni les moyens. Avec la loi Egalim, l’État irresponsable parie sur la responsabilité des consommateurs. »…ce sont aux pauvres sur-insultés en permanence, de prendre toutes les responsabilités, de vaincre les difficultés, de franchir les obstacles – bref, en réel, de diriger le pays !
L'impossible-militantisme-de-gauche-au-xxie-siècle
« Pour sa part, dans L’individu qui vient… après le libéralisme (2011), Dany-Robert Dufour remarque que le fil directeur de Bourdieu est adéquat, mais que son argument n’est pas complet. Le néolibéralisme, en tant que programme de destruction des structures collectives (culture, associations citoyennes, syndicats, familles, État-nation, …), vise aussi (avant tout ?) l’intégrité psychique des individus. La destruction du sujet autonome [[ avec nous complètement raté , d’autant plus que nous transmettons à sa qualité la plus haute les comment ne pas se faire avoir par leurs minables pièges !]] est double : le sujet critique (apte à l’exercice de la pensée) et le sujet névrotique (susceptible de culpabilité). Le « sujet » néolibéral est intrinsèquement acritique et psychotisant. Dufour fait reposer le programme « post-identitaire » sur les industries qui soutiennent et finalement tuent le fantasme : essentiellement l’industrie pornographique, l’industrie pharmaceutique, l’industrie chirurgicale de l’intime & l’industrie psychiatrique et asilaire. L’usinage de la sexualité s’apparente à ce que Sironi appelle l’effraction psychique [[ en gros, le viol des foules pour qui il n’y a nulle #metoo ]] : l’objectif majeur des systèmes tortionnaires est de faire taire, de produire de la déculturation en détruisant psychiquement un individu .»…Ce pourquoi l’œuvre de première ligne : pulvériser les concepts pervers avant qu’ils ne se répandent trop et donner les moyens de niquer impeccable les honteux personnages qui se prétendent dirigeants – même s’il est bêtement méconnue, reste vitale (en gros, il n’y rien de mieux à faire, dans l’époque ! Nous notons, aussi, que dans tous ces textes que nous mettons un peu en avant, lorsqu’il est dit c’est cela qu’il faudrait faire, le projetant dans un futur non encore arrivé – eh bien, nous l’avons déjà fait, avec notre cheminement exigeant. Et que nous le Vivons en plein présent – d’où notre aptitude à rapidement démasquer les impostures (qui ne savent pas toujours qu’elles le sont !). Oui parce que nos corps tout entiers Vivent ce que nous pensons. Et à fond. Ce qui ne nous permet pas d’être abstraits (sauf pour les besoins méthodologiques, interrompus par les synthèses, des analyses…).
Nous ne sommes évidemment pas d’accord avec le tableau extrêmement noirci qui LIMITE tous les possibles à symétriser exactement les puissants – largement surestimés. Ils peuvent tout et nous absolument rien : et si ce n’était pas plutôt l’inverse ? Ces découragements faciles n’affrontent jamais des débats de fond. Fondons-nous dans la bonne fonderie et faisons comme si nous débattions de combles… « De même, le militant [[ cette posture n’est pas la seule des oppositions, fort heureusement. Comme s’il y avait une seule et unique case prédestinée : vous voulez contester, garez-vous là, vous avez une liste d’ordres sur comment militer-limiter. Obéissez, point barre – Tout au contraire, nous n’attendons pas d’autorisations pour raisonner et faire des synthèses, nos solutions se foutent des fausses hiérarchies, nous ne suivons pas de modèle préétabli, nous reformulons tout ce qui nous semble digne de l’être, prenons nos citations partout sans ordre de préséance, etc. – bref, ne remplissons plus aucun rôle. Jamais. Impossible de nous coller une étiquette, de nous caser, de placer sur des voies de garages – Nous ne reconnaissons donc pas les prisons mentales jetées, ici, à la gueule du dit « militant », qui, en fait, veut inclure tout ce qui n’est pas d’accord, afin de le faire croire vaincu.e ! Alors que c’est d’ailleurs que viennent ses actes et ses pensées…]] ne peut que difficilement faire avancer ses idéaux sans accès aux mass médias ; et chaque accès aux médias dégrade son image [[ et pas celle des fausses élites ?]]. Et l’image est tout [[ uniquement pour qui y croit…]] ; elle est devenue le capital principal au sens bourdieusien — ou, plutôt, le métacapital chapeautant tous les autres. On se souvient des formes de capital définissant la position dans le champ social : le capital économique (revenus et patrimoine mobilier et immobilier), le capital culturel (ressources culturelles : habitus culturel, titres scolaires, possession de biens culturels), le capital social (réseau de relations), et le capital symbolique (titres, rituels, distinctions honorifiques). Celui qui peut choisir comment il sera représenté [[ nous pouvons tout autant choisir de s’en foutre de l’image, ce qui nous avons fait. Et qui nous a offert d’avoir une immensité de possibilités de manœuvres – Soit ? Pendant que trop s’engluent dans un petit coin à croire aux images de pacotilles nous avons…tout le reste du monde et de sa réalité. Ils ont l’ombre nous avons la proie !]] dans les médias détient les clefs économiques, culturelles, sociales et symboliques [[ faux ils/elles n’ont que l’illusion des clés culturelles, existentielles, symboliques et sociales, que des leurres. Avoir ce n’est pas être !]]. En jouant sur les unes, il acquerra [[ avoir sans être ne sert à…rien !]] inévitablement les autres. Les arrivés optent pour l’invisibilité médiatique, tandis que les arrivistes cherchent à conquérir et à occuper l’espace médiatique, tout dépend du profil et des objectifs. En conclusion, le militantisme de gauche [[ quel mot archi vieillot qui ne peut correspondre à rien de…concret aujourd’hui…]] est confronté à trois obstacles majeurs.
Premièrement, le contexte idéologique n’a jamais été aussi défavorable.[[ sauf que si nous ne voulons pas régner pourquoi se diviser – ce qui parait connement «défavorable» ne concerne que les leurres du pouvoir dont nous ne voulons pas !]] Prétendre qu’il n’y a plus d’alternative (« TINA »), cela veut aussi dire qu’il n’y a plus de gauche [[ pensée magique du dire c’est faire qui ne paraitre qu’idiote ]], que le clivage gauche-droite est l’équivalent, en science économique, de la différence entre alchimie et chimie en science dure [[ gulp !]]. Les foules paupérisées ne se reconnaissent plus dans le militantisme, mais elles sont, par contre, très heureuses de s’entrevoir comme des riches en (im-)puissance, comme des «célébrités» qui ne demandent qu’à être découvertes [[ ce mépris abusif est une méprise : la vraie version est que nous avons une vie intérieure si intense que nous n’avons pas une seconde à perdre avec les vies ratées des stars…nous le savons très bien, nous en avons frôlé un certain nombre ! Donc surtout zéro désir d’être comme elles/eux !]]. Pourquoi gâcher ce futur en crachant dans la soupe froide ? Les gauchistes n’ont produit, dans le meilleur des cas, qu’une pensée obsolète et, dans le pire, que des revendications incohérentes, inapplicables, et inadéquates [[ et pas les libéraux capitalistes ? Voir Steve Keen et son « L’imposture économique » où il parait que pas un mot de vrai dans la théorie capitaliste des marchés, tout y reste faux ?]] .
Deuxièmement, dans une société du spectacle, toutes les informations transitent par les médias [[ plus du tout maintenant ]] et ceux-ci sont, dans leur grande majorité, à l’ordre [[ sauf qu’ils sont discrédités et ne sont plu du tout…suivis !]]. Le système médiatique choisit donc de relayer, ou pas, de commenter, ou pas, et, surtout, de donner implicitement la clef. En somme, la liberté d’expression est garantie tant qu’elle est totalement inefficace, voire qu’elle nuit au libre penseur [[ ce qui n’est vrai « que » dans le système…or comme il n’a aucune racine dans la réalité « naturelle », nous pouvons tout à fait vivre hors de lui sans perdre du tout la qualité existentielle, bien au contraire. Les censures censitaires les CONDAMNENT, eux, pas nous !]].
Troisièmement, dans un tel système pervers, il n’est simplement pas possible de « répondre à l’insensé selon sa folie, afin qu’il ne s’imagine pas être sage » [[ rien à cirer de leurs fausses règles, les nôtres demeurent plus exigeantes !]] : la raison a quitté la sphère publique [[ mais elle demeure toujours là : voir le livre « Je ne parle plus à qui a raison » ]]. Il n’y a rien de moins médiatique que la raison [[ tiens, pour une fois, une remarque qui nous sied !]] ; il faut manipuler, sans état d’âme, le désir et l’émotion. Le militant est peut-être encore plus handicapé par cette réalité que par les deux autres. Chercher à présenter honnêtement son point de vue, croire en la vérité, en la vertu, au bien commun, constituent autant de traits qui deviennent handicapants [[ foutaises, parmi les hypocrites du monde à l’envers tout ce qui reste marqueurs d’être TOUT LE CONTRAIRE du système, et ce sans possible équivoque, irrite ces chochotes. Mais cela on s’en fout, seul le futur trouve nos ardeurs !]] dès lors que le vrai est un moment du faux, et que le monde renversé est le monde réel. Les débats contradictoires s’avèrent inutiles [[ souhait qui ne se réalisera pas ]] ; lorsqu’ils sont apparemment programmés, ils sont aussitôt appropriés par la logique spectaculaire [[ à part que c’est une illogique qui peut être piégée par ses « qualités », cynisme qui rend crédule, flatteries, insensibles DONC insensés, mises en abymes, exténuations des raisonnements et autres techniques offertes dans ce blog.]]. »
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Ouf ! Que de déchainements (et en plus par des quidams qui se prétendent de « leur camp ») contre les pauvres, les vrais écologistes, les prétendus gauchises, les ex-militants qui sont devenus autres choses…oui quelles canonnades et AUCUNE contre les trop riches qui (dans cette gauche dite précipitamment disparue) restent les sauveurs de ce monde ( ???). De quoi pavoiser devant leurs erreurs manifestes :
** - trop d’acharnements prouve la VALEUR de qui on pilonne bien trop. L’abus démasque la cupidité derrière. Ils ont donc détecté « quelque chose » dans le stade actuel des conscientisations et des formulations qui met le capitalisme en danger de n’avoir plus de futur. Merci de l’info gratos. La contestation actuelle met les pouvoirs en périls comme jamais : comme quoi ! (c’est la bonne nouvelle du front…). Surtout que nous ne dirons pas ce qu’est ce « quelque chose » (on n’instruit jamais les salauds !) sur lequel leurs frénésies ont attiré notre attention…
*** * l’état de délabrement existentiel de qui pense ainsi et qui, enfin, peut être formulé simplement (parfois il reste impossible d’être plus simples mais la valeur et la portée des analyses n’en sont pas amoindries. Cela seul importe). Pour nous, ne pas fournir d’efforts, surtout intellectuels et affectifs c’est ne pas aimer les autres, ne pas se soucier d’eux/elles. Aussi limpide que cela !
*** - c’est que la survalorisation de l’Image joue à plein chez eux/elles. Qu’ils sont scotchés aux médias dominants qui font tout pour « invisibiliser » l’essentiel. Déjà 60 % des français sont mis en périphéries. Et les censures censitaires de…Paris sont déchainées depuis 40 ans…donc ne pas paraitre à l’image n’est plus du tout un critère. Seulement il faut donner de soi, de sa sueur, de son énergie, de ses chagrins et de ses joies gigantesques, faut aller sur place, être aussi dans la rue, il faut n’avoir que peu de zones de conforts, il faut même accepter d’avoir le cœur brisé Et donc ? Le texte de départ ne connait RIEN à l’écologie réelle (celle il n’est jamais exprimée dans les médias d’argent) et les autres textes révèlent une méconnaissance réelle de la vraie gauche qui continue d’être la sensibilité MAJORITAIRE sur la Terre. Donc ces graves hallucinés à l’Image, drogué.e.s jusqu’aux yeux et oreilles, considèrent qu’il n’y a de réalité que dans les apparences (et le plastique à la con des images). Méprisant par trop qui n’est pas « dans » l’image. Et surévaluent bêtement qui l’est…
Puisque le futur va se jouer et se joue déjà sur…
…………………Mais qu’est-ce qu’ils-elles sont HORS DE l’Image ?
……..……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste révolution mentale nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs.Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Les lichens, capables de survivre dans des conditions extrêmes pendant plusieurs centaines d'années pour certains, sont le produit d'une symbiose entre une algue et un champignon. (Shutterstock)
« La première approche, « l'individualisme écologique », entend responsabiliser le citoyen comme consommateur eco-friendly. Ce serait à lui qu'il reviendrait d'avoir un mode de vie plus durable, à commencer par une diminution de sa consommation de viande et de son utilisation des modes de transports émetteurs de gaz à effet de serre (GES). Pour les plus initiés, la liste des actions écologiques s'allonge, avec le refus des sacs plastiques en caisse, la consommation de produits issus de l'agriculture biologique, la confection de ses propres produits cosmétiques, ou encore l'usage de couches réutilisables (qui reste un odorant point de dissensions). »
Dany-Robert Dufour : "L'individu qui vient... après le libéralisme"
….le langage 1984 qui nomme comme existant ce dont il prive perd toujours plus de son effet hypnotique.
Assertion contre la majorité des chiffres…« Rien que durant les dernières 24h, le nombre de personnes en situation d'extrême pauvreté a diminué de 137 000 »…A cela il suffit de varier les seuils…sur le papier pour faire chuter (d’un trait de crayon) toujours…l’extrême pauvreté. Mais si elle est passée dans la pauvreté, nous n’en sommes pas mieux loti.e.s s’il y a bien régression antisociale et non triomphe du tout d’un capitalisme bénéfique à tous. Tout gain se faisant au détriment des autres, ce sont toujours ce détriment qui trime sur les seuls pauvres