Les fondations ont des fondements (1)
Légitimes, logiques et pratiques. Ce qui fonde a, d’abord, été fondu. Ce qui permet de trouver de nouveaux alliages qui allient les alliances jamais vécues. Et les fondations s’élèvent après que leurs fondations aient rassemblé tous les arguments qui en forment les soubassements même. Leurs fondements. Ce qui est fondé a, au départ, été fondu, a vécu la propre expérience de son processus. Au point d’incarner une plénitude accomplie : elle débute, s’épanouit et rayonne. Unit être et avoir. Cela n’arrive pas souvent dans l’Histoire. Raison de plus de commencer.
Prémissant par la vidéo d’Emmanuel Todd sur Macron, nous y joindrons, entre bien d’autres, du Lordon, Van Graver et nous-mêmes…Pour Todd précisons que nous avons de la sympathie pour son œuvre, ses attitudes, ses éclairages de parfois éclaireur, etc. mais que là, nous ne pouvons faire qu’une approche critique : les apports ne sont pas à la hauteur de l’époque. Et les métacadres de sa pensée ne sont plus en phase avec la nouvelle civilisation qui se forge autant qu’elle est forgée. Afin de ne surtout pas rompre le lien de sympathie inauguratrice, nous traçons en premier le contexte intriqué (comme en physique quantique) d’où nous parlons. Pour nous, il y a 2 grandes tendances de penseurs de fond (à nuancer dans un autre texte futur). Ceux/celles qui ne se calent absolument ni sur les calendriers politiques ni sur ceux médiatiques (toujours la même année rabâchée depuis trop d’années) qui, pour nous, ne sont plus les enjeux essentiels. Ils ne forgent pas la réalité, ne participent pas des immenses majorités ; ils croyaient mettre 60 % de français.e.s en périphérie – en fait, ce sont eux qui se retrouvent repoussés aux périphéries des nouvelles compréhensions. Ils ne savent vraiment ce qui se passe…Et puis, celles/ceux qui sont en plein dans le cœur nucléaire des grandes transformations et qui nous parlent en premières lignes de ces évènements essentiels. Todd n’est pas, en ce qui concerne la vidéo, dans ce second mouvement d’ensemble.
Nous assumons et justifions tout ce que nous disons : c’est le d’où il est parlé et pour qui la méthode de ce paragraphe. En d’autres époques où presque tout ne se faisait qu’à la main, il était fait référence à la «parole du Prince», soit, en ressenti, ceci : tout le temps collectif, le tempo des semaines et des mois séquestré par les seuls gestes dudit Prince. Tout ne tournait qu’autour de cette geste des gestes…Mais nous sommes en démocratie, dites-vous, et vous le faites bien ? Même si vous ne voyez pas le rapport ? C’est que, justement, vous faites partie de ces immatures qui ne prennent pas le temps d’écouter, soit de ressentir ce qu’est la forme de ce qui inForme actuellement, qui nous demande d’entrer dans sa forme afin de pouvoir redémontrer les formulations qui sont comme les formules scientifiques de la démonstration en cours. Effectivement, nul-le n’est plus soumis.e à ne faire que rapporter la parole du Prince, à la commenter à la marge peut être mais à ne point la quitter d’une ligne. Puisque la démocratie c’est « le traitement égal de la loi pour tous », et que la Constitution de la réPublique n’affirme jamais « nos lois ne sont que pour plus d’inégalités, inégalités que nous allons donc amplifier ». Au contraire, elles disent que l’égal traitement de toutes et tous implique nulles discriminations ni…privilèges. Autant dire que les lobbies ne conviennent pas à cette loi basique qui fonde la société.Le devoir d’un penseur de fond devient donc de refuser que l’intérêt du petit groupe (qui ne sait vraiment pas où il va, en plus…) se fasse passer pour celui du pays entier. Il n’y a aucun Prince en réPublique (seulement en réPrivée et c’est uniquement fantasmé !)…
Voici que nous trouvons dans un recadrage de tous les concepts qui essaie de se dire en peu de mots. Eût-il un prince, il faudrait le définir par la topologie (qui ne prend partie pour rien mais qui…est massivement !) et affirmer une forme de dictature structurelle «en étoile» où tout doit passer par le centre et que les habitant.e.s de ce gigantesque cercle ne peuvent pas COMMUNIQUER TRANSVERSALEMENT. Oui connement, pour « officialiser » une parole à un.e. humain.e qui se trouve à quelques mètres de vous vous devez vous tourner vers le centre à des centaines de kilomètres de là et revenir d’autant. Cela fait lourd pour des rapports de…voisinage. Et le contraire de la structure « en étoile » ? Le réseau rhizomélique où tout le monde peut établir le contact et les échanges avec tout le monde sans passer par un Léviathan, qui n’a existé que dans le cerveau détraqué de certains penseurs vraiment dénaturés (prêt à vendre l’universalité pour quelques Princes très locaux…). Le Léviathan ne peut plus être ; le centralisme est plus qu’inadapté,..L’anticommunication qui «fait» les pouvoirs est toujours moins acceptée…donc tout irait vers le mieux ? Et non, puisque par des chemins, pour nous complètement dépravés et des jeux de pervers, la vieille structure est conservée trop intacte. Le centralisme, cet extrémisme dangereux qui ne connaitra jamais l’équilibre pondérateur du «centre pour tous» maintient, si archaïquement et corporativement, les rapports…en étoiles. Et comment ceci se concrétise ? Fastoche, il suffit de regarder autour de nous, avec le regard qui ne juge pas, et ne recherche aucun intérêt, mais maintient sa vue d’ensemble (avec toutes les connotations bénéfiques, pourquoi pas – nous somme tombés dans la forge petit.e.s, aussi ce genre de trouille ne peut nous rencontrer)…
Vous voulez dire que l’Histoire se limite à 10 % ou même moins de la société ? Regarder et entendre : qui parle, qui va voir sa parole répercutée, exagérément martelée qui ne voit pas, à l’autre extrême, jamais un micro vouloir l’écouter, qui est «invisibilisé.e» pour pouvoir dégoiser, ensuite, que ce sont des…invisibles. Mais encore plus maintenu.e.s comme invisibles (puisque dans ces dépravations catégorielles, te foutre dans une catégorie, c’est t’y planter irrémédiablement jusqu’à ta pierre tombale. De toute ta vie, tu n’auras pas pu placer un seul mot…)…ah oui, vous aussi, vous sentez l’arnaque structurelle ? Des paroles absolument stupides, profondément inutiles et pas du tout en phase avec les besoins et attentes des immenses majorités se voient trop amplifiées, reproduites tels d’irresponsables gaspillages alors que la loi de communication de la véridique réPublique (pas réPrivée vous vous rappelez ?, c’est : l’important est ce qui est dit non qui le dit (du non respect de cette loi fondatrice nous en venons de voir les monstrueuses nuisances). Aussi toute plouctocratie où le non universel veut se faire passer pour l’intérêt général, ou l’Holy-archie (soit une force archétypale autoproclamée sainte – sauf que le contexte n’y sera plus jamais) dérapent toujours pire, où les lubies irrationnelles des lobbies ne sont pas cet IMPORTANT qui peut se partager avec absolument toutes et tous. Il faut les peser selon le contenu de leurs paroles, le poids de leurs argumentaires, le dépiautage de leurs raisonnements…oui ras le bol des puceaux de la pensée, en général, puisque nous nageons dans la pensée depuis nos jeunes âges. Vous n’allez pas confier votre santé au premier passant venu ni vos enfants à la première bande passante qui fait écran ? Pareil pour la pensée, soit elle résonne tout votre corps, soit elle vous reste extérieure, non vécue, non démontrable par toutes les possibilités corporelles, non transmissible par la clarté de…vécu intégral. Vivre tout entier l’esprit c’est mieux que de le …lire. Les penseurs actuels pensent par eux-mêmes, mais se frottent à tout ce qui affichent de penser, croisent tout et apprécient d’écouter tout le monde sans jamais de tris préalables, ne cherchent à convaincre que qui ne sont pas d’accord avec elles/eux. Jamais qui est d’accord, ça change, hein ? Mais, ensuite, cette pensée sera forgée, fondue, fondée, alliée par le penseur qui va penser par lui-même. Pourquoi pas ?
Ce qui nous éloigne de tout le poids illégal des médias dominants actuels qui ne sont pas là pour nous informer objectivement (genre pas de perdant car pas de gagnant), mais bien pour nous déformer, désinformer et faire rentrer le maximum de faussetés en nous. Quelles ? Nous y arrivons. Toujours dans ton étoile, toi ? Oui à faire semblant de discuter avec la …voisine (séparés illégalement que nous sommes par tous les discours centralisés, réinstillés tous les jours!). Et ce n’est pas comme cela qu’il faut faire? Au contraire, le traitement égal de la loi envers tous nous donne le devoir de se parler entre égaux pour le bien général. Oui, non ? Plutôt oui mais je ne signe pas encore ce oui. Puisque les nullités capitalistes (vu les crises toujours reconduites qu’ils s’octroient et les indignes nationalisations de leurs pertes – clair que ce sont des nullités discréditées et qui veulent le rester) oui ces nullités donc disent s’auto-réguler, auto-régulons-nous, auto-instituons-nous et officialisons par une Constituante qui va nous reconstituer, puisque constitués nous ne l’avons pas bien été (moi, par exemple, je considère que je n’ai jamais signé le contrat social, que rien de «leur» politique ne m’engage donc. Et j’exige que cet acte solennel commence enfin) – lorsque de vraiment petites minorités veulent se faire passer pour de gigantesques majorités. Nous voulons chaque jour et nuit nous auto-élucider, en temps qu’associé-té. Et le but peut même devenir de s’auto-organiser sans tous ces faux dirigeants. Voici bien un très nouveau récit-monde, une toute autre histoire commune qui entre bien dans chacun de nos quotidiens. Voici esquissé le préambule à Todd vers qui nous allons ambuler. Puis en découlera une conclusion mais nous nous permettrons un (2) pour examiner ensembles toutes les conséquences de ce qui vient d’être dit en (1)…
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Vidéo « qu’est-ce que le macronisme » ? Todd le restreint…«La social-démocratie entérine la domination des classes moyennes, de la bourgeoisie cultivée, mais en ajoutant de la parité illusoire et de la couleur dans la vitrine.»
Parlant de votes (comme eux !) ils oublient « la polarisation politique » des abstentionnistes , votes blancs et non-inscrits qui chiffrent tout de même plus de 60 % des adultes…aussi ne considérer que les votants (moins ces votes blancs absurdement non pris en compte) c’est interdire de politique toute les immenses majorités…c’est rétrécir la réalité aux seuls inclus qui se permettent de PARLER POUR LES AUTRES. Avec 40 % de votants effectifs, seulement 45 % des scrutins et puis 20 % pour « ce winner qui ramasse tout » ne représentent plus grand chose…Colporter cette fable de votants uniques est donc très anti-scientifique…
Autre restriction cette fois-ci sociologique – les grandes masses ne sont ni relayées, ni prises en compte, ni formulées…cette discrimination très violente qui expulse la majorité des humains et réserve la vie «sociale» (sic – ici antisociale) aux seules classes moyennes qui parlent est un recul inadmissible. D’où l’esclavagisme mental des discours comme ceux de Todd : 60 % de la population, au départ, n’a aucun DROIT DE RÉPONSE…et, à l’arrivée (les censures censitaires) bien plus…Parler pour tout le monde en empêchant d’entrer le plus grand nombre c’est bien ne parler que…pour presque personne ! Aussi, toutes ses analyses qui découlent de ces fausses prémices vont se montrer…faussées et n’atteindre aucun de leurs buts. La géographie électorale n’est plus audible. Le futur des hommes politiques professionnels ne nous intéresse pas, etc. Où sont les thèmes d’intérêt universel ?
Aussi c’est toujours se tromper de dénonciations …1) – si la politique française qui, faute de souveraineté sur sa propre monnaie, ne peut plus décider de rien – s’enfonce encore plus dans les impossibles…- et ce n’est qu’un théâtre de faussetés…ce qu’il faut, alors, dénoncer c’est l’omniprésence de ces politiciens qui ne servent plus à rien…sinon à remplir le vide médiatique alors…Vu qu’ils les pilonnent sans cesse et pour ne…rien dire ! Dans ce cas de non souveraineté, le réalisme devient d’immenses débats décentralisés qu’il faut initier avec «parité» : pour les médias de restreindre fortement « le temps de parole des politiques professionnels » à ce qu’ils ont de sérieux à dire…la vraie solution venant des débats de fond...2) – la non éducation populaire renforcée de partout…c’est sur les places des villages, les villes, partout, que des débats de fonds devraient être entamés…et non stationner dans des cours ex cathedra où nul-le ne peut participer…double triple quadruple exclusions alors…Tout un bouleversement des rapports sociaux retournés à l’archaïsme et l’inefficacité collective qui font une société bloquée et rendue encore plus bloquée par le fausses élite qui ne permet plus aucune autre vision que sa monomaniaquerie compulsive…3) - racismes sociaux, exclusions, censures illégales, discriminations conceptuelles, etc. sont renforcés par de tels discours et comportements…4) puceaux de la pensée vient, chronologiquement, de notre blog…l’historique le prouve aisément…et les conclusions ?
>>> - Démonstration que ces invisibilisations sont possibles…et de là à ce qu’elles sautent le pas – et le soient effectivement rendues légitimes ! Insultant par trop l’égal traitement de la loi (seule base juridique, en plus, des illégales privatisations oui en réPublique !)
L'invisibilisation-des-apports-théoriques-des-créations-conceptuelles-le-vrai-sexisme-universitaire
« L’invisibilisation des apports théoriques, des créations conceptuelles » : qui n’ont pas essentiellement à voir avec le sexe mais avec contenus et les soumissions abusives aux pouvoirs en place – en clair, nombres d’hommes sont aussi invisibilisés ! Illégitimement, il n’est jamais fait cas d’eux ! Les paroles sont même effacées des nouveaux cahiers de doléances…
Les maires qui sont les plus «proches» des populations sont nettement les plus appréciés ? Le centralisme toujours aussi illégal (la république est une et indivisible – il en fait, lui, 2 pays, lui CONTRE tout le reste du pays plus légal que lui – ce pourquoi il divise tout, crée de toutes pièces des conflits, se conduit toujours comme l’Ancien Régime, exsude sans cesse ses archaïsmes…) veut nous occulter ces…vérifications par les faits. La France devrait être vraiment décentralisée et fédéralisée [[ les Fédéraux de la Première République ]], Paris réparti en 3 villes afin de séparer (bravo Montesquieu) les pouvoirs politiques de la culture et de l’économie, tiens comme l’Allemagne ou les Pays Bas, même les U.S.A. etc. Or le maires artificiellement plantés dans ce qui n’est pas leur terreau sont ces imposteurs que le vrai progrès refuse tout net !
Balance-ton-maire-mis-en-cause-par-l'opposition-et-les-élus-locaux-Lrem-se-désolidarise-du-hashtag
…irresponsables – ayant trop fortement et illégalement affaiblis les pouvoirs locaux, ces députés inconscients doivent, au moins, les aider à surmonter les difficultés. Pas à s’en laver lâchement les mains !
Comment-pourrions-nous-sans-une-grande-surestimation-de-nous-mêmes-sauver-la-planète-?
L’exagération de l’expression « sauver la planète » intervient dans des médias dénaturés qui nous ont pilonnés de publicités extrêmement malsaines, qui sont toujours dans l’explosion de surenchères de titres dramatisés à l’extrême et de prétendus scoops qui ne respectent que, trop rarement, les nuances de la vérité. Aussi, dans un tel contexte « perverti », le sauver la planète qui encourage la participation salubre d’absolument tout le monde (et non pas l’irresponsable exclusion du «laissez faire les experts, ne faites rien, obéissez», qui sont bien une trop forte surestimation d’une frange de la population et qui n’est, sans doute pas, la mieux éclairée, vu que c’est elle qui a (à coups de censures irresponsables, de silences coupables et lois faussées) provoqué les désastres actuels ! Qu’ils arrêtent, en tout premier lieu de se surestimer. Donc de sous-estimer les apports des autres ! L’écoute aide à devenir carrément plus sociables…
Notre-avenir-vaut-mieux-que-leurs-investissements
« Sans une réallocation massive des capitaux privés, nous ne parviendrons pas à transformer notre économie vers un modèle plus résilient, plus durable, plaident, quatre responsables d’institutions internationales pour le financement du développement. Nous sommes nombreux à investir nos économies de toute une existence dans des assurances-vie et autres fonds de pension, nourrissant ainsi une industrie financière qui pèse, désormais, plusieurs milliers de milliards de dollars. Ce faisant, nous pensons nous assurer une retraite paisible et confortable, et garantir l’avenir de nos enfants. Mais sommes-nous sûrs que la façon dont nos économies sont investies sert aujourd’hui cette vision ? La Terre est fragile et en mutation. Les États ne disposent plus des ressources suffisantes pour aider nos sociétés à s’adapter pleinement à ces changements et à retrouver leur équilibre après une catastrophe environnementale. Cette réalité est chaque jour plus prégnante, plus menaçante. La Journée internationale de prévention des catastrophes naturelles, le 13 octobre, doit contribuer à nous en faire prendre conscience. Le nombre de catastrophes liées au climat, ainsi que leurs conséquences financières, ne cesse de croître. Entre 2005 et 2014, le coût total des dommages liés aux catastrophes environnementales a dépassé 1 400 milliards de dollars (1 212 milliards d’euros). »…ça c’est un pognon de dingues jeté par les fenêtres faute de préventions sensées et d’une vision d’ensemble où, notamment, le privé ne soit plus être laissé les coudées franches à tout détruire et ne jamais rien réparer…Ce privé là l’a assez prouvé qu’il est irresponsable et perverti au point de refuser le coût collectif de leurs mauvais choix ‘que corporatifs »…Mettre du contrôle public, des obligations de résultats avec échéanciers impératifs, leur demander des engagements publics dans leurs délires ne peut que rééquilibrer l’ensemble…et ne plus chuter dans les mesquineries de faire des économies là où il ne faut pas. Et pas du tout là où il faut ! Le chaos complet du privé, le fait qu’il n’y ait personne à la barre, mais juste une bande d’enfants cupides égarés qui ne savent plus rien est trop flagrant…c’est Là que doivent être faites les massives économies !
« A travers le monde, de plus en plus de familles perdent tout ce qu’elles ont en l’espace d’un instant, lors de catastrophes naturelles détruisant leurs terres : feux de forêt, ouragans, inondations ou sécheresses. Les terres dégradées sont particulièrement vulnérables à ces phénomènes météorologiques extrêmes. Si le nombre de victimes de ces catastrophes semble diminuer, l’appauvrissement et la destruction des communautés qui en résultent ont des conséquences dramatiques à long terme. La restauration des terres est à l’évidence une chance. Pour les personnes vivant sur ces terres, les chances de reconstruire un avenir sont minces. Lorsque l’on sait que 1,3 milliard de personnes vivent sur des terres en dégradation, il est facile d’imaginer les risques associés en termes de migrations forcées et de déplacements [[ et le plus inadmissible de tout : les refus par cet occident, source de trop de catastrophes mondiales, faire semblant de prendre les effets pour causes de tout…les migrants comme causes d’eux-mêmes, non vraiment cela ne passe pas du tout !
Sauvez-un-arbre-expropriez-un-actionnaire-sauvez-un-ours-boycottez-libération-entre-autres
Les grandes Unes sur le Climat, c’est le bal des hypocrites. Ces «paternalistes» journalistes macronistes bon teint, hamonistes quand ils se sentent d’humeur partageuse, nous “tirent la sonnette d’alarme” [[ alors que c’est leur mentalité si sans issue qui…alarme !]] régulièrement à coup de Une destinée à frapper l’imaginaire, d’infographie catastrophiste, d’appel vibrant à la “prise de conscience collective” [[qu’ils empêchent dans les faits en ne favorisant pas les décentralisations de tous les enjeux et la mise hors la loi des censures censitaires !]]. Étant donné que ces gens et leurs actionnaires ont la réflexion politique d’une huître enrhumée, ils ne se demandent pas si c’est en faisant flipper les gens qu’on va obtenir quoi que ce soit d’eux, et si appeler à la “prise de conscience collective” a du sens quand dix géants de l’agroalimentaire émettent plus de gaz à effet de serre que quatre pays nordiques. “Changeons nos modes de vie”, lit-on encore partout [[ alors que la formulation est changeons LEURS modes de vie où 10 % de la population mondiale cause 50 % de toutes les pollutions…même si ce sont les propriétaires de leurs plumes, disqualifiant par là, leurs injonctions de curés pas à leur place !]] . Eh oui, mais tous les suédois auraient beau réformer intégralement leur mode de vie, ça ne compenserait à peine les dégâts commis à elle seule par une boîte comme Nestlé.
Les bonnes âmes écolos-libérales [[ la monstrueuse cohabitation ]] utilisent la même stratégie pourrie que nous appeler à la “prise de conscience collective” des dangers du vote Lepen et du fascisme : le triptyque “faire flipper avec des visuels chocs – culpabiliser avec un appel à la responsabilité – ne pas parler des responsables”. Et ça ne marche pas. Forcément, ça sent l’arnaque. Qui a envie de recevoir des leçons d’écologie de journalistes parisiens ? Qui a envie de “changer son mode de vie” quand c’est demandé par des bourgeois qui ont déjà fait trois fois le tour du monde depuis leur année Erasmus ? Les choses bougent, et c’est tant mieux [[ mais …malgré eux et sans eux…]]. Le discours écolo se politise, la question du modèle économique, le capitalisme, est posée. Mais pitié, les journalistes de Libération, le meilleur service que vous pouvez rendre à la cause écologiste, c’est encore de vous taire, car vous êtes toujours aussi nuls. »…Voici qui change effectivement…laisser tout prendre en main par celles/ceux qui partagent à 100 % les mentalités désastreuses capitalistes c’est leur permettre de nous…fourvoyer. De tout enliser. Clair qu’ils ne savent pas penser car ils ne savent plus SE penser. Ce qui nous apporte assez d’arguments de poids pour conclure…
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Il y a donc des formulations qui – annonçant qu’elles vont nous libérer d’oppressions mentales – les renforcent tout au contraire. Et, comme nous avons dit, nous tournons trois fois les réflexions avant de les dire parce Todd est un homme bien. Mais là, il devient lui-même un barrage à tous ses objectifs. Déjà, en «oubliant» que le plus grand parti de France ce sont les…abstentionnistes (voir le livre fécond « Le troisième tour » pour tout comprendre). Et qu’il le place (d’autorité) dans un impensé qui serait un…insensé. Nous vivons cette vie choisie de pauvreté (ce trésor durable se découvre dans les chansons et œuvres produites grâce à ce lieu où ça a vraiment lieu)…donc, nous avons avec patience appris la langue de ce prétendu impensé…il ressemble bien aux ruses de l’histoire qui démasquent toutes les mégalomanies si incompétentes des imposteurs des pouvoirs – imposteurs puisque sans les prothèses techniques des médias et autres ils ne sont Rien…nous devons affronter à mains nues le réel et ne sommes handicapés de rien – voyez la différence de résultats…(vérifiables et reproductibles) - de s’abstenir sur les abstentionnistes provoquent ces angles aveugles qui vont « fausser » toutes les autres analyses. Soit ?
L’imposture de décréter des catégories, mais en se plaçant en surplomb, paternalistes en diable, juges et parties qui prétendent ne faire partie d’aucun jugement mais ne dire que de l’objectif (l’aporie méthodologique de l’universitaire c’est qu’il en devient incapable de devenir diversitaire !). Cette manière ahumaine, insensible, déconnectée (et non contextualisée intriquée), provoque de nombreuses erreurs d’attributions (dont la plus burlesque est d’attribuer, pensée magique, à un personne prétendue connue (par qui ? Et comment ?) un don d’extralucidité bien inattendu. Au lieu de rester le vrai scientifique du « l’important est CE QUI est dit nous Qui le dit », ils s’enferrent dans qui le dit compte seul (ouais les frivolités mondaines au lieu du monde entier !) donc je ne m’occupe plus de ce qui est dit. Ce qui abonde dans toutes nos expériences où, hélas, nous vivons que qui se targuent de penser souvent s’en montre complètement en dehors du processus. Donc ne pense jamais… Penser et se voir penser est bien au-dessus de leurs forces. L’impensé justement de cette « arrogance de point de vue » (non de personne) c’est qu’un Ordre social « essentialisé » et non matérialiste existerait et que les sciences sauraient le décrire (pour nous, actuellement c’est un désordre antisocial provoqué par le haut qui, faute de compréhension concrète de ce qu’est la réalité complète …désorganise la société par surévaluation de ses expertises (qui n’en sont plus, en fait). Ce dit ordre social ressemble étrangement à un classement des vrais humains dans des catégories trop abstraites pour être honnêtes. Et c’est là le DÉFAUT central : il est fait «comme si» ces classements catégoriques reflétait la réalité des vécus. Que dites-vous là ? Oui il est parlé des humains toujours sans eux, ils ne savent pas ces moins que rien qu’ils « appartiennent » à ces catégories, les pauvres – or nos expériences nous ont prouvé que la plupart des humains actuels sont…multicatégories. Donc subvertissent de leur force tranquille toutes ces catégorisants « sans méthode »…ce n’est donc pas le bon point de départ que de s’octroyer des grilles arbitraires, de les coller abusivement sur les vécus de toutes et tous et de décréter que ceux qui n’entrent pas dans ces grilles ne vont pas bien…tout au contraire, ils vont très bien et leur pensée mérite le détour. Elles/ eux ne mettent jamais la charrue avant les bœufs… Et, selon la bonne vision de Deleuze, le « faux logiciel » de l’édition qui croit récolter (infailliblement) tous les talents alors qu’elle n’en reconnait plus aucun (infailliblement) dans ce répétitif insensé du passé …nous en sommes là avec ces discours universitaires (non diversitaires) qui parviennent à l’impasse majeure où presque plus PERSONNE NE FAIT PARTIE de l’Histoire.
Ce qui nous « ramène » (donc régresse) à « l’histoire que des rois » contre laquelle se sont dressés (et avec éclat) les Annales et l’Histoire des mentalités si lucide de Mandrou. La loi n’est donc plus que pour inégaliser tout le monde, devenir source multipliée de discordes et d’atomisations à l’infini – elle n’unit plus, elle pulvérise, est la loi pour les casseurs des sommets…mais, une fois de plus, c’est «leur» loi pas la nôtre, ni l’universalité de la loi (donc juste un segment historique qui arrive à sa fin)…ce sont, en actes, ces fausses élites qui ne savent plus penser. Pas nous. Qui nous suit peut le vérifier chaque jour. Notre champ d’expertises c’est le futur – celui où achoppent les impostures, les trajectoires non authentiques, les faux jetons en tout genres, etc. oui où nous parvenons, avec effort de chaque jour, à maintenir une vision d’ensemble du Présent. S’il y a du vrai global c’est chez nous, nous n’omettons personne et cherchons les solutions où…personne n’est oublié. « Plus d’exclusions, jamais » est inscrit aux frontons de nos respects pour l’acte essentiel de penser. Penser qui se prouve par penser…aux autres. Première étape que de moins en moins franchissent. Ce qui « inhumanise » leurs discours. Le descriptif de la société n’est plus alors lisible, il n’opère plus et ne féconde guère. Ce n’est pas aux individus de rentrer de forces dans des schémas préétablis – ce sont à ces schémas d’apprendre les langues des transformations en cours. Aussi d’exclure, a priori, tout le monde sauf les experts (expertisés par personne) n’est plus la méthode du futur. C’est bien de trouver les analyses qui font participer, qui inclut tout le monde, qui sont les résultats de la démarche préalable d’écouter absolument tout le monde. Et qui se prouve par la synthèse respectueuse de la fondation de touts les différences…Ce qui devient présenter (sans représenter encore) une parole qui reflète tous les non-dits au sujet de ces immenses majorités. Décrites comme une non-existence, une mise sous couverture fantôme, des « invisibilisé-e-s », des périphériques «centraux» des…inaudibles. Ouais seulement inaudibles dans le charabia sans issue du médiatique d’argent ou des charabias universitaires qui tournent en boucle en persistant encore à dire que le « sujet n’existe pas ». Ce qui les rend à l’évidence si…hors sujet. Et ? Et que vite les sciences humaines doivent devenir à 100 % humaines et pas abstraites + fuyant ces réalités que j’ignore et ne veut pas voir (ce qui ne ressemble pas beaucoup au savoir). Et les sciences sociales doivent redevenir sociales soit débloquer la société…en commençant par ces paroles qui soit disant « débloquent » et qui se révèlent débloquer comme mettre fin aux blocages (voir l’ouvrage plus ouvrant sur « Qu’est-ce que l’anti-communication ? »).
Séparer de leur présence sur terre, mis en exil intellectuel partout, phagocytés par des êtres qui ne les méritent pas, etc – qui pourrait se désempêtrer de ce chaos par le haut ? Qui pour se débrouiller débrouillard dans cette incarcération la plus cruelle jamais vue (la déculturation forcée au Karcher) ? Qui peut s’en sortir de cet enfer conceptuel ? La réponse joyeuse se trouve dans les livres en bas de texte…et qui, pour ce dont il question ici n’inclut pas la vidéo de Todd comme méthode de libération (même si d’autres de ses apports demeurent féconds dans d’autres situations collectives)…
………………..voir la maturation réussie en (2) !
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….……..……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste révolution mentale nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs.Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
L'association Critique de la raison européenne a reçu Emmanuel Todd, le mercredi 3 octobre à Sciences Po. Vidéo commntée dans ce texte…
Les milliardaires sont des terroristes
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Appels sans suite (1), par Frédéric Lordon
Que faire quand les choses vont mal? Des appels bien sûr. Pour demander qu'elles aillent mieux, naturellement. C'est important que les choses aillent mieux. En tout cas c'est important de bien dire
https://www.les-crises.fr/appels-sans-suite-1-par-frederic-lordon/
Bonnes transversalités –ce qui n’est pas toujours le cas…
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Limte écologique, entretien avec Falk Van Gaver - FQS
Nous ne pouvons rester sur les marges en matière d'écologie. Cette terre, notre terre fait partie du legs que nous laisserons à nos enfants et il est de notre devoir de le préserver. Pourtant ...
http://quebecoisdesouche.info/limite-ecologique-entretien-avec-falk-van-gaver/
En effet, il y a des causes
Emmanuel Todd : " Tout le monde fait semblant de lire le capital ! »…il y a des questions qui se posaient et qui n’avaient jamais été…posées !