Les mots Avec nous ?
User du langage c’est afin de « traduire » tant d’évènements de vie, qui nous déplient tout l’éventail de n’importe quel éventaire et inventaire. Le but reste de communiquer, se rendre commun aux autres, trouver tout ce qui existe de commun entre les vécus, les ressentis, les expériences, les angles de passions et le goût de le dire. De faire passer notre essentiel dans la chaleur des autres ! Sauf qu’il y a de nombreux barrages (pervers) à tout cet idéel…Barrages, d’abord, lancés par les classes qui se disent supérieures (mais qui auraient, étrangement, besoin de rabaisser beaucoup d’autres, pour continuer de paraitre supérieur.e.s !). Il y a toutes les langues existantes et comment se faire comprendre en surmontant les escarpements. Il y a toute la comédie sociale qui n’a plus grand-chose à voir avec les mots, mais qui les tord et les déforme, parfois trop, afin, de faire entrer n’importe quoi dans les contraintes souvent à sens uniques. Soit d’eux à nous, à vous. D’eux à ils, les autoproclamés multi-prescripteurs. D’eux à …et jamais d’aucuns autres sites (tu, nous, vous, moi) vers cet eux (qui sont, alors, les non nommés et non ceux/celles qui nomment !). Ce « eux » ne peut jamais inspirer les autres ? Allons, il transparaît, à travers ces fêlures, les lumières d’aberrations. De quoi faire une virée afin de virer les virus des divisions. Divisions qui n’arrangent que le petit nombre ! En clair, c’est le dit haut de la société qui fout partout son bordel. Mais comme nous disions appartenir à celles/ceux qui domptent ces inconscients, preuves ici que nous avons vraiment des longueurs d’avances, que nous menons la danse et que chaque fois (ou presque) qu’ils se précipitent sur une thématique, ils se prennent les pieds dans les tapis tapis là. Et ne commettent que des maladresses qui accélèrent leur si bénéfique abolition…
Ainsi se profile notre maturité sur les langues et le langage, nous y avons longuement réfléchi et eux pas (et nous les enserrons donc dans la nasse qui va les contraindre à Vraiment changer !). Comme ceci, et cela et autrement encore… «Largement ignorées, car méconnues ou perçues comme normales, les discriminations par le langage sont pourtant massives, tristement ordinaires et avec des conséquences importantes sur la vie des gens qui en sont les cibles. Le sociolinguiste français Philippe Blanchet, enseignant-chercheur à l’Université de Rennes 2, qui étudie la façon dont, dans la société [[et sans absolument aucune légitimité – vu les résultats absolument pas probants !]], on sépare, on discrimine, on stigmatise des parties de la population à partir de leurs usages linguistiques, a développé pour les désigner le concept de glottophobie [[soit la glotte qui sanglote...]]. Un terme qui s’est largement diffusé dans les milieux militants français. Une glottophobie qui redouble et visibilise également d’autres discriminations sociales [[ les cumulards des sommets…sommés désormais, en rajoutent toujours !]].
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Qu’est-ce que la glottophobie ? -- La glottophobie désigne les discriminations, les manifestations de mépris, de haine, les agressions, les rejets ou l’exclusion qui se basent sur le prétexte — évidemment illégitime et souvent illégal [[ tiens, le phrasé de imagiter !]] — que des personnes parlent une langue, ou dans des variétés d’une même langue, jugées non légitimes, incorrectes [[ quelles incorrections que de désigner les inexistantes incorrections chez les autres, pendant que les siennes s’étalent partout ! ]], mauvaises et non acceptables. On sait que les façons de parler ou les langues qu’on parle sont constitutives de la personne, de son identité individuelle et de ses appartenances collectives. Ce sont donc bien des personnes elles-mêmes ou des groupes de personnes qui font l’objet de ces discriminations et non les pratiques linguistiques en tant que telles [[ ce ne sont pas des humains, et dans le seul but de les aider à s’améliorer, qui sont visés mais bien des groupes qui sont arbitrairement ostracisés par aucune autre cause qu’un centralisme qui se détraque !]]. C’est donc quand on traite différemment [[ plus d’égal traitement de la loi envers tous !]] une personne parce qu’elle parle français d’une façon différente du standard [[ ce qui n’est qu’une opinion non un fait objectif…]]. Par exemple parce qu’elle a l’accent du Midi, l’accent des banlieues, utilise du vocabulaire du Nord ou des tournures syntaxiques régionales ou populaires, etc. Mais c’est aussi - notamment en France, car on a cette idéologie très prégnante du monolinguisme [[l’illégale dictature parisianiste n’est pas un vain mot !]] et de la suprématie du français - quand on discrimine quelqu’un parce qu’il parle une langue régionale, parce qu’il parle une langue de l’immigration, bref parce qu’il parle une autre langue que le français c’est-à-dire que la langue attendue, imposée et survalorisée.
Lutter-contre-la-glottophobie-entretien-avec-Philippe-Blanchet
Est-ce que vous pouvez donner quelques exemples d’actes glottophobes pour mesurer l’étendue du phénomène ? Les actes glottophobes les plus anodins et les plus quotidiens, donc les moins remarqués, mais en même temps les plus répandus, qui maintiennent cet esprit de glottophobie, c’est tout simplement le fait de reprendre quelqu’un sur sa façon de parler. Par exemple, quand vous corrigez la personne sur sa prononciation, sur le mot qu’elle emploie ou sur sa tournure grammaticale, « on ne dit pas comme ça ! », « ah, tu as fait une faute [[ nous ne sommes plus en religion, donc le mot «faute» est une…faute – c’est seulement «erreur» qu’il faut dire !]] », etc. Cela peut aussi être simplement de sourire ou rire de l’accent d’une personne, ou de l’imiter, avec un rire qui peut être sympathique, mais qui a aussi un côté trop supérieur type « c’est rigolo ta façon de parler » ou « ça fait pas bien sérieux » [[ pendant que ces loufoques détruisent la vie sur Terre et répandent l’inégalité financière si évitable…ce qui n’est vraiment pas sérieux du tout…voir la chanson !]]. Ce qui peut avoir des conséquences importantes pour de gens qui pratiquent des métiers de la parole, des professions de la communication orale (journalistes, comédiens, hôtesses de l’air…) et qui sont discriminés dans leurs activités professionnelles du fait, par exemple, d’une prononciation méridionale du français [[ pourtant, peuchère, avec eux la vie est peu chère, ce qui amplifie tous les partages, avec l’accent pour accentuer la valeur suprême des gratuités !]]. Parfois à tel point que certains ont dû la transformer en une prononciation très proche du standard parisien [[ la réPublique est une et indivisible et seul Paris et encore paris se permet de la diviser, basta, assez, stop !]] pour pouvoir exercer leurs professions. Cela concerne même des femmes et hommes politiques, car ceux qui voudraient faire une carrière nationale prestigieuse [[ fin de la professionnalisation de la politique – les tribuns c’est trop tribunal !]] sont aussi obligés de gommer au maximum leurs caractéristiques et de les remplacer par d’autres. Et puis ça peut aller jusqu’à, pour prendre les actes les plus graves, refuser à des personnes l’accès à leurs droits fondamentaux au fake prétexte [[ par exemple l’infox qui valorise trop le fox, les foxes, soit les fins renards ?]] qu’elles parlent une autre langue ou qu’elle parle «mal» le français [[ toujours la rengaine étasunienne qui ose que ceux/celle à qui ils font subir trop d’injustices sont le « mal » et eux le «bien» - alors que c’est l’exact inverse : personne ne parle mal le français mais les censures censitaires si illégales lui…font bien du mal au français, cette langue nécessaire à la survie de l’Humanité !]]. J’ai recueilli de nombreux témoignages de personnes à qui on a refusé l’accès aux soins, aux urgences d’un hôpital, à qui on a refusé l’accès à l’éducation, la participation à la vie démocratique, un logement ou un service — par exemple obtenir un document d’état civil à la mairie — en leur disant « vous reviendrez quand on vous comprendra » [[ ce qui est l’aveu même d’une tête de linotte …change donc avant de faire chier les autres !]], ou « si vous ne parlez pas français, vous n’êtes pas le bienvenu ici [[ ce qui est justement l’acte obscène qui retire toute possibilité de dire bienvenu à qui que ce soit !]]. »
Un des exemples frappants dans votre livre, c’est celui du petit enfant arabophone prénommé Ahmed, dont il prononce le h, une prononciation (de son propre prénom et dans sa propre langue donc) qu’un professeur français va lui faire corriger en « Amed », le tout en public et sans se poser de question [[ la question étant justement comment on peut être aussi con que ce professeur ?]]!
Effectivement, il y a dans l’institution scolaire en France, une idéologie totalement endossée selon laquelle on est là non seulement pour corriger la langue ou les façons de parler des enfants, mais aussi pour leur inculquer une façon de parler qu’on considère comme meilleure et supérieure,[[ dans ce cas c’est avec patience et bienveillance que l’on conduit au meilleur – qui est tout le temps en colère ou braille sa,s ses théâtral ne comprend pas que…1) - il/elle va contre les valeurs qu’il voudrait voir concrétisées…2)…et avoue n’être pas qui il prétend être…alors, cool, et remue ta connerie 7 fois avant de la montrer par inadvertance :!]] et que celle-ci doit être unique, c’est-à-dire exclusive[[ qui exclue et n’admet pas, sale caractère, d’être elle-même exclue ]] des autres façons de parler, des autres langues. J’ai recueilli énormément de discours d’enseignants, de règlements intérieurs qui interdisent l’usage d’autres langues que le français (y compris dans la cour de récréation), de scènes de classes comme celle à laquelle vous venez de faire allusion, où des enfants sont clairement discriminés donc humiliés par sadisme idéologique (notez au passage qu’on n’aurait pas demandé à un enfant prénommé John de le prononcer « Jaune »). Ils n’ont pas le droit de parler leur langue (alors que ça pourrait être une ressource d’apprentissage [[ les crétins du sommet « par leur ombre portée même» oublient que c’est leur mépris même qui crée…la plupart des situations de blocages…c’est donc leur mépris qui est une méprise…et tant que les faux dirigeants ne seront pas houspillés comme du poisson pourri le progrès ne sera pas encore au départ…c’est leur mentalité à la con qui RETARDE tout !]] …), d’avoir leur façon de parler le français, ni même d’avoir leur propre prénom… Or, personne ne pense faire mal : les gens ne se rendent pas compte à quel point c’est à la fois moralement, mais aussi juridiquement condamnable, parce que c’est la mission intégrée depuis longtemps de l’école en France.
citons-alors-incitons-citons-!
L’année dernière, il a fallu réenregistrer la bande-son de certaines séquences de la série belge francophone « Ennemi public » pour l’expurger de certains « belgicismes » (« septante », « nonante », « bourgmestre »…) car une chaine française, TF1 [[ la première comme tête à claques !]], l’imposait comme condition (sic) à sa diffusion. Est-ce que ça relève de la glottophobie ?
C’est clairement une forme de discrimination. C’est bien un traitement différencié [[celui qui crée tous les différends par non reconnaissance sensées des…différences dont seule l’égalité permettra l’épanouissement complet…voir, pour le vivre à l’avance, le livre « Légalité de l’égalité »]] puisque, à l’inverse, si une série produite en France avait été adoptée par la RTBF, on n’aurait pas demandé aux Français de dire « septante » à la place de « soixante-dix ». Il n’y a aucune raison valable de faire porter sur les gens qui parlent le français de Belgique une exclusion de ce type-là [[ sinon la grave névrose à la con des parisianistes, ces détraqués du faux universel , genre « l’universel c’est moi »…prouve–le alors…et qu’ils te prouvent que l’universel et eux c’est carrément le grand divorce ! Tu veux rencontrer la chaleur ardente française qui t’ouvre les bras eh bien va dans les Régions !]]. La seule bonne démarche, ce serait au contraire d’habituer les Français [[ d’où nos propositions des années 1990, rejetées par Ras l' Front, dans chaque Commune de réunir avec un tiers neutre dans un local municipal 2 groupes ennemis races, classes, religions, bande, etc afin qu’ils se rencontrent en paix et fassent l’expérience directe qu’ils vivent la même chose en fait - et que, seuls certains de leurs leaders veulent leur faire croire…l’inverse / Eh oui lorsque le militantisme s’égare dans des abstractions qui n’existent certainement pas ! Et en refusent toutes les solutions concrètes à notre portée]] – ils le sont d’ailleurs déjà en grande partie – à entendre des gens parler le français avec d’autres mots, y compris avec ce que l’on appelle les «belgicismes». À ce sujet, on peut également penser à cette abominable habitude de sous-titrer les francophones dès lors qu’ils ne parlent pas dans un français suffisamment proche du standard parisien [[ à notre avis s’éloigner de leur mentalité plus qu’archaïque permet de retrouver la santé sentimentale !]]. C’est très fréquent à la télévision –pas-vraiment-française lorsqu’il y a des interviews, dans des documentaires, dans les journaux télévisés de sous-titrer des francophones québécois, africains, algériens, et parfois même de France quand ils ont un français très marqué localement, comme par exemple un français méridional. C’est une façon de mettre les gens à part, de leur dire « ce n’est pas à nous de faire l’effort de vous comprendre [[ effort que les parisianistes n’ont, d’ailleurs, jamais même commencé – foi de vrai écrivain !]] », de leur signifier qu’ils doivent parler comme nous,[[ jamais, pas question que les traitres parisianistes aient vendu toute la culture française sans aucune autorisation du pays, exclut d’être en quoi que ce soit comme eux…Ils/elles sont une des causes principales des malheurs du pays, il ne faut donc les imiter en rien !]] ou que sinon, on les traduira avec un sous-titrage. C’est une façon de rejeter les gens hors de la langue. De leur dire qu’on ne vous écoutera que si [[seuls des monomaniaques s’expriment ainsi ]] vous parlez comme nous. De manière générale, cette idée de priver certains du droit à la parole, y compris sur le plan médiatique, politique ou syndical, et de les exclure du débat public [[… ce que le parisianistes, qui nous scandalisent vraiment depuis toujours tant ils déshonorent le pays…font sans cesse et à 100 % - voir le… « pouvoir culturel »…tiens, nous n’avons pas encore diffusé cette étude – vu qu’elle n’est pas finie, difficile de trouver les mots les plus justes !]] au prétexte que leur façon de parler ne serait pas acceptable ou audible pose évidemment un problème d’exercice de la citoyenneté et d’accès à la démocratie.[[ et du même traitement e tous par la loi…donc sans discriminations ni…privilèges !]]. Or - il y a eu et il existe encore tout un discours selon lequel l’imposition du français et du français normé a été un progrès et a élevé la population [[ comme l’illégitime Paris n’arrête pas de rabaisser le reste du pays cela peine vraiment à se faire voir…puisque dans une république « une et indivisible » oser paris ET la Province parait comme un putsch insurrectionnel de complète illégalité – comment osent-ils ?]]. C’est vraiment un discours typiquement colonial [[ou romain envahisseur vu que « province » est issu du latin romain servant à nommer les…pays vaincus. Province évince. C’est ainsi que ces lunatiques nous voient, des vaincu.e.s ?]] : « on vous est supérieur, si vous voulez devenir comme nous, on va vous aider à devenir comme nous, mais il faudra que vous arrêtiez d’être ce que vous êtes [[ le phrasé d’imagiter semble être là, en filigrane ]]. »
Qu’est-ce que l’insécurité linguistique qui résulte du fait de ne pas pouvoir s’exprimer dans sa langue ou dans la manière dont on souhaite la parler ? Le concept d’insécurité linguistique, très bien défini par Michel Francard de l’Université de Louvain-la-Neuve, c’est, en sociolinguistique, le fait qu’une personne confrontée à des modèles linguistiques qu’on lui présente comme supérieurs au sien va intérioriser l’idée qu’elle parle mal, ce qui va l’insécuriser [[ soit lui faire du mal…Est-ce plus grave de faire du mal, ainsi en toute conscience ou de parler soi-disant « mal »…et ce dans un contexte où les règles changent sans cesse afin de répondre aux seuls…caprices des trop futiles prescripteurs !]] dans ses prises de parole. L’un des effets les plus connus de cette insécurité linguistique s’appelle le mutisme électif à l’école et concerne ces élèves qui se taisent, qui ne prennent jamais la parole [[ ce qui n’est certainement pas de leur faute…]]. Et pour cause, si à chaque fois qu’un enfant essaye de prendre la parole, on lui a interdit de continuer [[l’archi-violence des lâches est celle des pouvoirs, en fait !]] parce qu’il ne le faisait pas dans la langue attendue ; ou bien qu'on a stigmatisé sa façon de parler, c’est-à-dire qu’on l’a corrigé, coupé, repris, voire qu’on s’est moqué de lui en disant que sa manière de parler était grotesque, sans évidemment prêter la moindre attention au contenu de son propos [[ ce qui est le comble de toutes les barbaries existantes !]], mais uniquement à la forme… Devant l’humiliation et l’interdiction répétées de prendre la parole, on finit par se taire et intérioriser une forme d’autocensure de ses ressources linguistiques [[ c’est ce que font les médias d’argent, ceux qui mentent sans cesse et que nous accusons d’illégalités complètes…ce sont eux les forces qui discriminent à fond et veulent faire taire tout le monde sauf eux. A ce jour, il est compté à peine 10 % de la population qui peut accèder à la…place publique…Et encore moins qui peuvent y exposer leurs savoirs ! Résultats : tout le monde y est absolument perdant !]]. C’est évidemment ce qu’il y a de pire dans les relations sociales, non seulement pour réussir une éducation, pour avoir accès à ses droits, mais aussi parce que les gens ne peuvent pas contester la discrimination dont ils sont les victimes puisqu’ils n’osent plus prendre la parole. »…La perversion maximale, le mal vraiment incarné…
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Changeons de pratiques soit de a à…z ! Comme cela…déprivatisons la culture, les cultures et toutes les diffusions…
A-Clermont-Ferrand-le-succés-d'une-grande-librairie-reprise-en-coopérative
Un autre monde linguistique est possible, un monde où l’on adapterait les langues aux humains plutôt que les humains aux langues, un monde humaniste, plus juste, équitable et hospitalier…
La-langue-comme-outil-massif-de-discriminations
Puisque iI y a donc une politique des langues en Europe, et prise en très petit comité. Est-ce ainsi qu’il semble sensé d’agir ? Peu de chances ! « De la didactique des langues à la didactique du plurilinguisme » : soit les concepts de base nécessaires pour mieux apprendre toutes les langues dites…étrangères (et les faire apprendre). Le fait massif du monolinguisme des états aura évité de comprendre comment…intégrer une (des) nouvelle langue ainsi qu’une (des) nouvelle culture au moyen d’une pédagogie adaptée. Tout n’est tourné que vers le passé, donc le passif. Conclusion ? Ces politiques ont des siècles de retard et ce sont eux (ce que nous nommons « pouvoir culturel ») qui introduisent tout ce qui précède, violemment, la glottophobie qui n’est qu’un effet et non pas une cause – ce sont ces pouvoirs les salauds qui salopent tout… ! Alors ne venez pas infantiliser les citoyen.ne.s par des répressions stupides :
ce sont les pouvoirs qui doivent être réprimés linguistiquement….
………………………..(en marche vers leurs abolitions) et rien d’autre !
……………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la fantastique verve du verbe nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
CHRISTIAN BOUSCAREN & FREDERIQUE LAB: ouvrage innovateur, grâce à la présence des COLLOCATIONS (indiquant quels verbes, quels adjectifs, quels noms s'associent entre eux)
La glottophobie c’est comme de dire qu’un père qui porte son bébé dans les bras n’est plus un homme ? Alors que nous devrions toutes et tous considérer que cette question est totalement stupide, on trouve encore des hommes et des femmes capables d’y répondre par l’affirmative...en clair ce sont eux/elles les…mauvaises langues !
Les mauvaises langues (les venimeuses) sont ceux/celles qui osent que nous parlerions une « mauvaise langue » (soit pas la leur, tout connement !)…en tout cas, ce n’est pas celle de l’exploitation d’autrui, de celle qui crée de toutes pièces les inégalités financières et qui maintient le règne de trop d’injustices…etc.
…..tiens discrimiNation ça vient de nation ? S’il y en a plusieurs cela vient, alors, de plusieurs nations ?
Pourquoi la télévision française n'aime pas les accents ? #Glottophobie
«Glottophobie» : quand les accents excluent…exclu Lulu !
PARLER QUÉBÉCOIS EN 5 MINUTES | DENYZEE : le milleur remède pour ne plus se moquer des autres c’est d’apprendre tout ce qu’ils savent dans les langues. C’est alors que nous découvrons qui a le plus de …patience. Soit une réserve d’accueil des autres. Où il n’y a même pas à prendre sur soi !
France Culture - Discrimination par le langage : une violence méconnue
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De la didactique des langues à la didactique du plurilinguisme
Philippe Blanchet, professeur de sociolinguistique et de didactique des langues, définit les concepts de base nécessaires à la production d'un enseignement de langues étrangères, qui permetten...
Il y a donc une politique des langues en Europe, et prise en très petit comité. Est-ce ainsi qu’il semble sensé d’agir ? Peu de chances ! « De la didactique des langues à la didactique du plurilinguisme » : soit les concepts de base nécessaires pour mieux apprendre toutes les langues dites…étrangères (et les faire apprendre). Le fait massif du monolinguisme des états aura évité de comprendre comment…intégrer une nouvelle langue ainsi qu’une nouvelle culture au moyen d’une pédagogie adaptée. Tout n’est tourné que vers le pasé, donc le passif. Conclusion ? Ces politiques ont des siècles de retard et ce sont eux (ce que nous nommons « pouvoir culturel ») qui introduisent tout ce qui précède, violemment, la glottophobie qui n’est qu’un effet et non pas une cause – ce sont ces pouvoirs les salauds qui salopent tout… ! Alors ne venez pas infantiliser les citoyen.ne.s par des répressions stupides : ce sont les pouvoirs qui doivent être réprimés (en marche vers leurs abolitions) et rien d’autre !
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Le blog de Philippe Blanchet | Le Club de Mediapart
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Les mots entre eux : la provençale locutrice passive que je suis a eu comme une réaction épidermique quand est arrivé à point nommé un ouvrage écrit par Philippe Blanchet pour éclairer le fait que cette mise en agenda de la question linguistique particulièrement sensible en France se réfère à notre histoire républicaine. Elle renvoie à l’hégémonie de l’idéologie française du monolinguisme, idéologie elle-même issue d’une conception homogénéisante, voire ethnicisante de la France, de sa population et de ses liens sociaux.
Panorama des méthodologies en didactique des langues (par Philippe Blanchet) – lorsque l’impertinence devient une méthode de savoir très féconde…Oui le débat est complet…
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Des départements français d'Outre-Mer au Canada francophone, le français évolue au contact d'autres langues. Langues hybrides, langues nouvelles : qu'est-ce que le processus de "créolisation" ...
Radio - Lorsque des humains, nés avec d’autres langues, adoptent le français – ils la créolisent, ils la nourrissent d’autres accents. De beaucoup d’autres. Et ceci donne une langue bien plus universelle que si elle demeurait à pourrir coincée dans son seul accent unique parisien…
"Être beau" présenté par Frédérique Deghelt et Astrid di Crollalanza - Être beau, ce sont dix-huit portraits croqués par Frédérique Deghelt, qui est mère d’un enfant différent. Elle a rencontré des gens de tous âges, tous milieux, toutes professions, qui ont pour point commun de ne pas être dans la « norme ». Elle partage avec nous une réflexion engagée sur l’image de soi et la place de l’Autre dans notre société. Quel miroir nous tendent ces corps brisés ou infirmes, qui sont aussi des corps réparés, transcendés ? Quels sont leurs pouvoirs, physiques et symboliques ? Qu’ont-ils à nous apprendre ?