Lorsque les trop riches créent la pauvreté ?
Même si le titre parait simpliste, après la démonstration il ne va plus l’être. Prospérité ou super riches ? C’est l’un ou l’autre. Ici nous allons voir, et dans les détails fouillés, à quel point les trop milliardaires empêchent la prospérité de tous…oui sans eux, nous prospérerions en commun ! Les trop riches désoclent l’ensemble de la société afin de la pressurer mais uniquement pour leurs existences d’impasses sans issue. Cela ne va nulle part, et ils nuisent au plus grand nombre. Tout ceci se consumant dans un immense brasier de tous les gaspillages…Ce qui est vraiment nouveau c’est que les images (d’écritures) sont enfin trouvées, qui fassent que la démonstration soit irrésistible…un peu comme si les meilleurs esprits de l’époque «poussaient » dans la même direction. Amenant plus loin, l’œuvre du précédent, qui, lui/elle-même trouvent dans ce nouvel apport de quoi nourrir l’avancée suivante et ainsi de suite, etc.…Où est la sortie qui nous sort du sort ? Cette image de pousser ? Je n’ai pas trouvé trace de ce spectacle «de poche», transportable partout. Aussi cet acteur algérien s’engouffrait dans un bar, une petite salle, une placette en jouant plusieurs rôles mais sans presque bouger. Et ce afin d’impulser un conte philosophique vraiment puissant. Où il disait que ce sont les «pousseurs» qui sont les humains les plus importants actuellement. En effet, l’esprit clair, le regard englobant tout, possédant un ressenti fleur de peau, ils/elles savent repérer les failles de l’époque et pousser dedans afin d’amener – et dans un mouvement complètement naturel donc pacifiant – tout à ébullition, toutes les transformations aux points de ruptures où elles ne peuvent plus que devenir tout autre chose…ayant largué toutes les amarres avec l’ancien monde. Clair, que le gouvernement actuel n’aura été que de l’ancien monde et qu’il y demeure…Aucun pousseur dedans !
La-vraie-remontée-de-la-pauvreté-en-France
Vérification par les faits ? « La remontée de la pauvreté et de son intensité en France : Nous sommes bien là à un tournant de l'histoire sociale de la France. Augmentation de la pauvreté mais pas seulement. L'intensité de la pauvreté, qui permet d'apprécier à quel point le niveau de vie médian de la population pauvre est éloigné du seuil de pauvreté a eu tendance à s'élever depuis le début des années 2000 [[et que les technocrates n’ont pas quitté les papiers, trafiquant les seuils, mentant sur les pourcentages, etc. pour faire croire que la pauvreté diminue : sur « leurs » paperasses oui mais pas dans la rue en tout cas ! Résultats de ces faussaires : ils n’ont jamais mené une action significative pour vraiment aider la pauvreté…ils stagnent juste dans leurs papiers et ne connaissent plus la réalité !]]]] : la moitié des personnes pauvres à un niveau de vie inférieur à 707 euros, soit un écart de 17,3% au seuil de pauvreté. En 2002, date ou le taux de pauvreté touche sont plancher, l'intensité de la pauvreté était de 14,4%. Une pauvreté qui touche plutôt les jeunes : parmi les 5 millions de pauvres plus des 30% ont moins de 18 ans. Leur pauvreté est d'abord celle de leurs parents. C'est une caractéristique forte, la pauvreté se vit en famille : trois-quarts des pauvres vivent en famille avec ou sans enfants. Les femmes sont également plus frappées par la pauvreté, mais l'écart reste limité avec les hommes compte tenu de leurs poids dans l'ensemble de la population. Parmi les facteurs discriminants, l'emploi : 68% des pauvres de plus de 18 ans sont soit inactifs soit chômeurs. Enfin, en prenant les 25% des départements où le taux de pauvreté est le plus élevé une fracture très nette apparait : une partie se concentre au Nord, une autre en Ile de France (dont Paris) ce qui montre l'étendue des inégalités au sein de la capitale et de la région parisienne, et dans le Sud-Est… »
Dans un pays comme la France dont la richesse s'élève à nouveau avec la reprise, la pauvreté ne cède aucun terrain, signe s'il en fallait de la montée des inégalités. Or, c’est qui l’inventeur des inégalités, le moteur entêté de ces aberrations illégitimes en réPublique ? En plein centre, ce sont les beaucoup trop riches. Il y a un lien causal qui trace que un trop riche ne l’est que par le maintien des autres dans la pauvreté. Le seul moyen énergique d’abolir la pauvreté c’est d’abolir les trop riches…Démonstration :
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Le-monde-serait-un-meilleur-endroit-sans-les-trop-riches
Qui saccage le plus la nature et sa biomasse ? Bingo – les trop riches ! « Notre crise environnementale mondiale ne disparaîtrait pas d’un coup, bien sûr, si les plus riches du monde mettaient soudainement fin à leur consommation débridée. Mais les riches constituent notre plus grand obstacle au progrès environnemental. Les grandes fortunes reposent sur la dégradation de l’environnement et aveuglent les riches. Les riches, observe le Global Sustainability Institute, ont les moyens de ’s’isoler de l’impact du changement climatique’ [[ ce qui n’est pas la méthode adulte pour faire disparaitre la catastrophe omniprésente – pour ces monomaniaques, oui… «même pas mal» disent ces esprits infantiles…m’en fous si je fais mal à tout le monde. Donc les contrains à dire « j’ai très mal » !]]. Leur grande fortune les immunise également contre les taxes sur le carbone et d’autres taxes environnementales qui peuvent affecter les personnes aux moyens modestes. Les riches, note l’Institut, ’peuvent se permettre de payer pour continuer à polluer.’ Dans un monde de milliardaires, tous nos problèmes deviennent plus difficiles à résoudre. Les systèmes politiques démocratiques fonctionnent dans l’hypothèse où le fait de se rassembler pour débattre collectivement de nos problèmes communs finira par générer des solutions. Malheureusement, dans des sociétés profondément inégalitaires, cette hypothèse ne tient pas la route [[ tout étant systématiquement saboté par des médias vendus qui ne disent QUE le point de vue corrompu des trop riches…et dans l’organisation de la vie politique lorsque les ministres sont juste des lobbyistes, plus des défenseurs de l’intérêt général…donc la sortie est créée par ce que nous pensons et ressentons. Nous restons la carte maitresse du futur ! Nous sommes les vrais responsables, prenons les responsabilités que ces êtres devenus puérils ne sont plus capables de prendre…]].
Les super-riches vivent dans leur propre univers séparé.[[ ils ne connaissent donc absolument pas celui de 90 % des humains - ce qui les démet de toute prise de décisions…contre ces 90 %]]…Ils ont leurs propres problèmes [[ des caprices et un échec de vie intérieure monstrueux !]], et le reste d’entre nous avons les nôtres. Les riches ont les ressources nécessaires pour s’assurer que leurs faux problèmes sont réglés [[ au prix scandaleux de créer tant de vrais problèmes que la société doit régler alors qu’ils volent une partie des biens publics – juridiquement, tous les arguments existent en toute clarté pour mettre fin à un règne aussi antisocial et dommage pour l’intérêt général !]]. Les nôtres peuvent attendre [[ phrase éternellement reconduite par des monstres d’insensibilité donc des insensés…]]. Prenez le trajet du matin pour vous rendre au travail. La région de Washington, D.C., l’un des centres métropolitains les plus inégalitaires des États-Unis, connaît certains des pires embouteillages du pays. Ce n’est pas une coïncidence. Dans les régions urbaines fortement inégales, les riches ont fait grimper le prix de l’immobilier proche et bien situé. La hausse des prix force les familles de la classe moyenne à s’éloigner des centres d’emploi pour trouver un logement abordable. Plus les gens vivent loin de leur travail, plus il y a de la circulation [[ donc ces irresponsables foutent le bordel, augmente le nuisances et pollutions collectives et intensifient partout les malaises seulement pour trôner sur la fausse photo comme les plus…généreux du monde. Impossible qu’ils se leurrent eux-mêmes, la misère extrême de leur existence en est l’aveu évident !]]. Les comtés américains où la durée des trajets domicile-travail a le plus augmenté sont ceux où l’inégalité a le plus augmenté. Comment pourrions-nous réduire la congestion ? Nous pourrions construire de nouvelles routes et de nouveaux ponts ou, mieux encore, étendre et améliorer les transports publics. Mais ces deux types d’action impliquent généralement l’argent des contribuables, et les personnes excessivement riches blêmissent généralement [[ ce qui démasque vraiment leurs blocages mentaux et leurs perversions narcissiques qui mettent la …vie des autres en danger – saisir jusqu’à 80 % des patrimoines plus qu’excessifs et dont ils n’ont absolument pas besoin (moins pour d’autres trop ruches) résoudrait – d’un seul coup – l’ensemble des problématiques en suspens depuis les années 1980…dates auxquelles ils sont devenus complètement fous !]] lorsqu’on propose des solutions financées par l’impôt, principalement parce qu’elles pensent que tôt ou tard, les gens voudront les imposer [[ ce qui est la preuve cinglante qu’ils ne le sont pas et que c’est avec l’argent volé aux contribuant contribuables qu’ils se permettent de faire semblant…d’être généreux. Que du minable cinéma intérieur qui leur ôte toutes les facultés de raisonner ]]. Ainsi, les responsables de l’agglomération de Washington - et d’autres zones métropolitaines inégalitaires - ont trouvé des solutions aux embouteillages qui évitent d’avoir à prélever de nouvelles taxes importantes. »
>>>>>>>>>>> *** -- La-course-démente-au-luxe-de-Robert-H-Frank
Le prix Nobel d'économie (2001) George Akerlof a qualifié ce livre, sous-titré "L'économie de la cupidité et la psychologie du bonheur" d'"une des plus importantes contributions à la science économique de ces dernières années". Pour Robert H. Frank, les dépenses de luxe ont un effet très négatif sur la société. "Il y a d'autres manières de dépenser notre temps et notre argent", écrit le professeur à l'université Cornell (Etats-Unis), en commençant par raconter les difficultés qu'il a eu à changer son barbecue, acheté 89,95 dollars ; les modèles proposés coûtaient tous... entre 1 000 et 5 000 dollars. [[Tout est tiré stupidement vers le haut par…effet systémique…effet que la Raison devrait combattre…mais les déraisons suicidaires des trop riches semblent l’emporter. Pas avec nous du tout : ayant frôlé quelques uns vu nos activités artistiques, nous savons exactement de quoi et qui nous parlons…n’ayant aucun a priori de départ, nos expériences existentielles ont rencontré des analyses de faits et encore de faits ! C’est bien à la lie de l’humanité que nous avons affaire…]]
Pourquoi la "fièvre du luxe" ? (le titre original du livre est Luxury Fever). Parce que, explique l'auteur, également chroniqueur régulier au New York Times, un certain type de marché s'est considérablement développé sur le modèle du sport et du spectacle. [[ que du frivole et de l’artificiel, sur le fond ! ]]. Des écarts de performance minimes s'y traduisent par d'énormes différences en termes de récompense économique. C'est ce que montrait déjà un précédent livre de Frank, écrit en collaboration avec l'économiste Philip Cook : The Winner-Take-All Society (1995), littéralement "La société où le gagnant rafle la mise" [[ sauf qu’il strictement incapable d’assumer et de drainer l’énergie vers des bénéfiques bénéfices donc pour tous et agit, ainsi,…en perdant, perdant tout le monde – il est dépassé par ces effets systémiques que la raison pourrait dompter !]].
La consommation ostentatoire [[ dans quelles aberrations collectives nous entrainent les…faux semblants…là où pullulent les faux jetons !]] pour les ménages est comme les dépenses militaires pour les États, souligne Frank : il faut rester dans la fausse course [[sauf que c’est une fausse course que seuls des esprits puérils et niais peuvent gober…la vraie course se nomme «se courir pour tout secourir » !]]. Il y a ceux, qui sont en haut du "totem économique" [[ quelles régressions maladives !]], et les autres. Quand Onassis se faisait construire un yacht de 100 mètres, son rival Niarchos commandait un bateau de 114 mètres [[ quels cancres têtes à claques ! Leurs stupidités de gamins attardés mettent – à la longue – le monde en péril…et tout cela pour…rien !]]. Mais le luxe est relatif [[et pour cela très condamnable – il n’est qu’une leurre qui, dans son hystérie «panique», veut entrainer tout le monde dans « sa » perte !]]. Il est affaire d'"écart", écrit l'auteur, qui reprend à son compte le théorème de Mencken : "L'homme riche est celui qui gagne cent dollars de plus que le mari de sa belle-sœur."…et c’est à cause de telles puérilités inexcusables que le monde s’effondre ? Nous pensons que c’est «leur» monde seulement qui finit…mais la problématiques des conformistes-lemmings est qu’ils peuvent gober ces lamentables chimères et sauter avec eux !
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Poursuivons…Qui démantèle le plus l’organisation sociale, donc nuit le plus aux humains ? Bingo – les trop riches ! « Une question initiale s’impose : Pourquoi sommes-nous toujours pressés ? Pourquoi vivons-nous à un rythme aussi effréné ? La réponse que nous nous faisons est la suivante : Si nous faisons tant de choses, si nous travaillons tellement, c’est pour apporter à nos familles toujours plus de bonheur. Mais tout notre travail acharné, note Robert Frank, économiste à l’Université Cornell, n’apporte de plus en plus rien de tel. Frank nous invite, à titre d’exemple, d’examiner le mariage moderne, le jour le plus heureux de notre vie. Ce que les Américains dépensent en moyenne pour les mariages, souligne-t-il, a triplé ces dernières années. ’Personne ne croit que le mariage est plus heureux parce que nous dépensons beaucoup plus aujourd’hui.’ Alors pourquoi dépensons-nous plus ? ’ Parce que les gens en haut de l’échelle ont tellement plus,’ note-t-il. Ils dépensent plus pour leurs propres célébrations, et ils fixent les normes de la consommation, déclenchant ce que Frank qualifie de ’cascade de dépenses ’. Les personnes à tous les niveaux de revenu ressentent une pression croissante pour atteindre un niveau de consommation plus élevé que celles qui se situent directement au-dessus d’elles. Parfois, nous achetons des choses dont nous avons vraiment besoin. Mais de grandes concentrations de richesse privée, même dans ces situations, finissent par saper la qualité de nos transactions quotidiennes.
Les pom-pom girls des grandes fortunes, comme on pouvait s’y attendre, prétendent le contraire. Nous profitons tous, disent-ils, lorsque les riches vont faire leurs courses. Les nouveaux produits audacieux coûtent généralement une somme coquette - et seuls les consommateurs fortunés peuvent se les offrir. En payant ce prix élevé, les riches donnent aux nouveaux produits une place sur le marché. Cette théorie du ’cycle des produits’ prétend que les prix de ces produits finiront par baisser et tout le monde pourra en profiter. Ce n’est pas ce que racontent les économistes qui étudient les habitudes de consommation. Plus la richesse se concentre, note Robert Frank dans son classique Luxury Fever publié en 1999, plus les détaillants ont tendance à porter leur attention - et leur innovation - au marché du luxe. D’année en année, les produits s’enrichissent de ’nouvelles fonctionnalités toujours plus coûteuses’. Mais les super riches ne font pas que pousser les prix vers le haut. Dans les communautés où ces riches se rassemblent, ils en sapent la vitalité.
Le-livre-en-Pdf Robert H. Frank - La course folle au luxe…oui le livre cité dans le texte…
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Qui corrompt le plus les politiciens, les médias et leurs financiers ? Bingo – les furieusement trop riches ! « Et plus la richesse se concentre, plus nos dirigeants politiques font pencher la balance en faveur des riches. Les riches n’aiment pas payer pour des services publics qu’ils n’utilisent pas. Les dirigeants politiques ne les obligent pas. Ils réduisent les impôts et privent les services publics des fonds dont ils ont besoin pour prospérer. Ainsi, nous obtenons plus de voies Lexus qui permettent aux riches de se déplacer rapidement – qui rappellent au reste d’entre nous que seuls les riches gagnent vraiment dans des sociétés aussi inégalitaires [[ réalité dont ils refusent névrotiquement de se rendre compte : ils vivent véridiquement dans une bulle où aucune réalité autre que leurs caprices ne peut entrer…mettre fin à une telle aberration va créer un gigantesque soulagement collectif !]] que les nôtres. Est-ce que le reste d’entre nous profiteraient plus dans des sociétés sans super-riches ? Eh bien, avancent prudemment les défenseurs des riches prudence, toute société qui réduit à néant la grande fortune serait aussi en train de réduire à néant les milliards qui rendent la philanthropie possible. Qui voudrait faire une telle chose ? La philanthropie, affirme une étude réalisée en 2013 par la banque mondiale Barclays, est devenue ’presque universelle parmi les riches’. Les plus riches du monde, déclare Barclays, partagent ’le désir d’utiliser’ leurs richesses pour ’le bien d’autrui’ [[se donner toujours le beau rôle est nauséeux puisque s’ils prenaient pas beaucoup trop en amont ils n’auraient absolument besoin de donner en aval ! Leurs richesses abusives c’est pour «le mal d’autrui» ! Le trop de pauvreté des autres c’est la faute de leur système d’aspirations outrancière des biens collectifs !]]. Les manchettes de la presse le clament régulièrement et à chaque occasion. Bill Gates contre les maladies tropicales négligées ! Bono lutte contre la pauvreté [[ en l’empirant…]] ! Diane von Furstenberg promettant des millions pour les parcs !
Les publicistes des philanthropes ont malsainement obscurci les faits essentiels : les super-riches en tant que classe ne donnent pas grand-chose – et obtiennent beaucoup en retour. À première vue, les chiffres de base des dons aux États-Unis semblent impressionnants. En 2015, les dons de 100 millions de dollars ou plus totalisaient à eux seuls plus de 3,3 milliards de dollars. Mais l’aura de générosité s’estompe dès que nous commençons à envisager ce que les super-riches pourraient apporter [[et qu’ils ne font absolument pas, saccageant l’organisation entière de la société pour leur mode de vie vraiment inadmissible. Scandale environnemental, comportements antisociaux, destruction de l’économie pour tous, dysfonctionnements globaux dus à leur refus de COMPRENDRE ! Partout leurs vies se profilent comme de grandes pollutions si évitables…]]. En 2013, par exemple, les cinquante plus importants donateurs de bienfaisance des États-Unis ont fait 7,7 milliards de dollars en dons , soit une augmentation de 4 % par rapport à l’année précédente. La même année, la richesse de la liste des milliardaires du magazine Forbes a augmenté de 17 %. Donc, les riches ne donnent pas grand-chose à la charité. Que reçoivent-ils en échange de ce qu’ils donnent ? Pour commencer, des avantages fiscaux. Coûteux [[ ce sont nous, les prétendus non-donateurs, qui payons pour leur fakes dons !]]. La règle générale : Pour chaque tranche de trois dollars que 1 p. 100 des Américains versent, le gouvernement fédéral perd un dollar en recettes fiscales.
Et pour la prétendue… philanthropie ? Ne nous faites pas gerber : partout où trône la philanthropie ainsi «faussée» sévit les plus grande des inégalités. Au point que c’est la marque de fabrique des inégalitaires fous que de faire semblant de faire de la philanthropie (tu parles ils te prennent 100 000 et t’en refilent 10 !)…. « Malgré tout, la répartition des revenus et des richesses demeure une préoccupation à laquelle peu de fondations philanthropiques osent s’attaquer. America’s Foundation Center a enregistré près de quatre millions de subventions de fondations au cours de la décennie qui a suivi 2004. Seules 251 de ces donations étaient destinées à des projets de lutte contre les ’inégalités’. Certaines grandes puissances philanthropiques, notamment la Fondation Ford, ont récemment annoncé leur engagement à lutter contre l’inégalité. [[ le seul moyen demeure d’abolir le capitalisme que nous savons être un dangereux dysfonctionnement ]] Mais les observateurs de la philanthropie restent sceptiques quant à l’impact que cela aura. Les sociétés les plus dépendantes de la philanthropie, note le vétéran des fondations Michael Edwards, sont les plus inégalitaires, et les nations - surtout en Scandinavie - qui ont les plus hauts niveaux d’égalité et de bien-être social ont les plus petits secteurs philanthropiques. Il y a plusieurs générations, à l’âge d’or, le fabricant de savon millionnaire Joseph Fels annonçait aux Américains de son époque profondément inégalitaire que la philanthropie ne faisait qu’’empirer les choses’. Fels a exhorté ses compagnons millionnaires à se battre pour une nouvelle Amérique qui rendrait impossible les super-riches ’tels que vous et moi ’.
Son conseil reste valable. Nous pourrions survivre sans les super riches.
……………………Mieux encore, nous prospérerions vraiment sans eux. »
Ce qui est, désormais, véritablement à portée d’esprit – puisque tous les rouages, encore mal compris, de leur règne «systémique» (donc dépendant uniquement d’un système antidémocratique à 99 % !) sont élucidés…
…Et que la conclusion que ces trop riches sont le plus grand mal actuel est…
………………………………………………………….… (…) … !
…………………(à suivre)
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> --- ANNEXE -- <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
Anand-Giridharadas-contre-la-dictature-dorée-des-philanthropes-étasuniens
Maintien d’un système profondément inégalitaire par les dons. Soit une bienfaisance ciblée, médiatisée et qui verrouille le débat d’idées : « Anand Giridharadas, qui a vécu trois ans en France, rejoint l’économiste français Thomas Piketty « qui soutient que la survie du système dépendra en premier lieu de l’efficacité de son système de justification [[ justification qui n’existe qu’en faussant les faits, en semant la confusion dans les analyses en empêchant la libre circulation des idées et donc toute concurrence intellectuelle ]]». C’est cette intuition qu’il a voulu développer dans son ouvrage Les gagnants prennent tout. La charade des élites qui allaient changer le monde (Winners Take All. The Elite Charade of Changing the World, 304 p., non traduit).
« Les philanthropes américains ont créé un système qui assèche le bien public et qui charge ceux qui l’ont ruiné de le réparer. On demande aux incendiaires d’être les pompiers » « Mon livre est une radioscopie des valeurs que les gagnants du système ont inventées pour que le système suicidaire ne change pas. » Le journaliste devenu essayiste n’a pas enquêté sur les pauvres, dans la banlieue de Chicago ou ailleurs, suspectant une erreur de méthode : « C’est comme écrire sur une maison en étudiant ses locataires au lieu d’étudier l’architecte. » Il est allé à la rencontre des riches, des très riches, ceux qui « tiennent » le système par le truchement de la philanthropie, en redistribuant leur richesse une fois fortune faite. »…mais à quel prix antisociaux, ces fortunes…
…à des prix antisociaux qu’aucune hypocrite philanthropie (je reçois tellement plus que je prétends donner)…ne pourra JAMAIS RÉPARER !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compréhension nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Le manque de bon goût évident de cet amas de clinquants ...ils ne trompent qu'eux-mêmes ! Et montrent un coeur si immature dans le plus petit détail...
Pauvreté : comment la ville de Romans veut briser l'engrenage
A Romans-sur-Isère, où le taux de pauvreté explose, l'association Break Poverty teste un dispositif de lutte contre la précarité des jeunes avec l'aide des patrons
1853 - 1914 - Joseph Fels annonçait aux étasuniens de son époque déjà profondément inégalitaire que la philanthropie ne faisait qu’…’’empirer les choses’. Et qu’il fallait à se battre afin de rendre impossible les super-riches ’tels que vous et moi’…Il avait infiniment raison et les autres plouctocrates si lourdingues complètement tort…ce pourquoi ils ont causé tant de TORTS !
Si les dépenses de luxe ne font guère souffrir les plus riches, Frank démontre leur effet sur l’ensemble de la société : nos heures de travail ne cessent de s’allonger et le temps consacré à la famille ou aux amis diminue comme peau de chagrin. Tout cela pour rester dans la course. Affirmant par ailleurs que les difficultés ainsi engendrées pour la classe moyenne et les plus démunis leur sont vraiment imputables !
La maladie de la cupidité – comment ses excès détruisent La société ? La démocratisation du luxe entraine ce que Robert Frank nomme la « cascade des dépenses ». Elle pousse à l’inflation des prix vers le haut (un yacht de 50 mètres ne suffit plus pour se démarquer, si autour du mieux, de commence à en voir de 70 mètres). Elle tire les classes moyennes, puis les classes populaires à augmenter aussi leurs dépenses de… prestige sans la tige, faut pas tiger. Au final, cela conduit à une… détérioration du niveau de vie de chacun, puisqu’il faut dépenser de plus en plus pour tenir son rang…vraiment Fixe.
Ils rendent notre culture grossière, érodent notre avenir économique et affaiblissent notre démocratie. Les ultra-riches n’ont aucune valeur sociale.
The New Conspicuous Consumption
Conspicuous consumption - the display of wealth as an expression of economic power - is not a new phenomenon but it has arguably never been as easy to practice. Social media has helped normalize it
https://www.jacobinmag.com/2015/06/rich-kids-of-instagram-berger-ways-of-seeing/
Parce que les gens en haut de l’échelle ont tellement plus,’ note-t-il. Ils dépensent plus pour leurs propres célébrations, et ils fixent les normes de la consommation, déclenchant ce que Frank qualifie de ’cascade de dépenses ’ de complets…gaspillages !.
Il y a remontée de la pauvreté en France [Alexandre Mirlicourtois]…constat du 27 septembre 2018
En finir avec la pauvreté c’est en finir avec les vraiment trop riches…Retour salutaire des analyses rationnelles !
LSE Events | Professor Robert H Frank | Success and Luck: good fortune and the myth of meritocracy…La méritocratie est une telle foutaise qu’elle s’effondre dans la minable…médiocratie (les plus nuls pourvu qu’ils rampent ont…bien trop de droits…). Les talents sont donc…exclus ! Vu qu’ils peuvent carrément aider à foutre le système en l’air !
Maldives maladives : la démesure du luxe est telle qu’il détruit la société en milliers de morceaux (voir le texte). Le pire est l’arnaque permanente – ce luxe n’est qu’un…spectacle et pas la réalité à 100 %...les conséquences sur l’environnement est « a dernière de leurs préoccupations » avouent ces détraqués…devenus antisociaux absolument…
La course à la connerie (mais arrêtons les conneries !) c’est à qui affichera le prix le plus insultant pour…90 % des humains. D’où vient la violence institutionnelle ? Que ces actes d’agressions antisociaux soient justement….institutionnalisés ! Le Droit de toutes et tous se voit ainsi détourné pour répondre aux attentes inacceptables de ces émeutiers inadmissibles : que les trop riches arrêtent de «casser» et braquer la société !
Empêcher les trop riches de faire des vacarmes de dingues…mais, après 3 ans, la rationalité n’a toujours pas ramené à la raison, ces fouteurs de merde mondiaux qui ne font que troubler (quoi qu’ils fassent !) l’ordre public. ? C’est qu’aucun média de poids n’engueule ces brutes épaisses ! Ils préfèrent les pauvres qui sont les grands volés et non les voleurs ! Quadruple ou centuple injustice ? Nous verbalisons verbal en tout cas !
La nouvelle philanthropie (ré)invente-t-elle un capitalisme solidaire ? | IRIS
Après s'être intéressée au mécénat d'entreprise, Virginie Seghers, maître de conférences à Sciences Po Paris, s'arrête dans cet ouvrage sur la question du don fait par des personnes priv...
Également la philanthrope empêche un capitalisme plus solidaire .Ses résultats désastreux ? Elle augmente encore plus les dramatiques inégalités - Michael Edwards (et nous aussi) se montre donc très opposé au capitalisme philanthropique...qu'il cesse d'abord d'être capitaliste !