Notre évolution n’est pas la leur !

Publié le par imagiter.over-blog.com

Notre évolution n’est pas la leur !

Ils semblent s’engouffrer dans une direction. Sans ne plus rien vérifier. Nous (oui les grandes majorités éconduites) nous nous dirigeons vers une toute autre. Il y a des alternatives, et cette disruption directionnelle contraint à comprendre que, de facto (sans aucune téléologie ni intention personnelle derrière), ils ne sont plus nos dirigeants. Ne nous dirigent plus au sens de dire la direction. Dire direct c’est mieux. Alors qui nous dirigent ? Nous auto-dirigeons nous nous-mêmes ? Et comment se fait-il, alors, que ce sont tant de choix indépendants qui font une direction si groupée ? Comment pourrions-nous être si différents et ressentir la même chose ? Et si c’était, alors, cette sacrée Évolution (incluse dans la Terre et la Vie) qui nous guidait…dans les grandes lignes essentielles, s’entend. Pas dans les détails circonstanciels ?…Ce qui répond à un mouvement d’ensemble qui se dessine devant la vigilance des analystes les plus pertinents du moment…

 

De-Darwin-à-Einstein-la-loi-de-l'évolution-de-la-nature

« Mais il y a plus. Tant les résultats des travaux de Darwin que ceux d’Einstein démontrent l’existence d’une loi universelle : celle de l’évolution de la Nature, qu’il s’agisse aussi bien de la Vie que de l’Univers. Loi fondamentale et générale totalement ignorée aussi bien des fixistes créationnistes que des mécanicistes newtoniens. Propriété fondée sur le rôle du hasard et de la contingence [[ qui appartiennent à ce que nous nommons ces co-Incidences tellement d’incidences particulières qui entrent en résonance à la fois, que notre mentalité, pour le moment, n’intègre pas cette idée bien supérieure au hasard (soit les coïncidences et pas les co-Incidences !). Mais le fera,n dès que prête..]] tant dans les mécanismes mutationnels darwiniens que dans les transformations quanto-relativistes des constituants cosmiques. Avec pour conséquence capitale que cette évolution n’est pas, et ne peut pas être dirigée. C’est la négation de tout téléologisme, la fin de toute idée finaliste [[ ce qui est trop abrupt, la flèche du temps affirme un choix et l’ensemble de cette complexité même forme comme une décision mais sans décideur séparé, particulier. Aussi, qu’il n’y ait pas de but affiché…oublie que dans la graine il y a tout l’arbre. Alors est-ce l’arbre qui décide de la graine ou la graine de l’arbre ? Cette intrication quantique (toute décision particulière deviendrait enchevêtré des autres) doit se montrer tellement plus agréable à vivre que les arbitraires, les cruelles inégalités évitables, les lobbies-zombies ou les propagandes âcres. Nettement…La fin annoncée de toute téléologie ne peut être une …fin en soi. Mais juste le passage à une dialectique supérieure qui reprend ce qu’il y avait de bénéfique das la téléologie (le langage par exemple) et l’agrandit donc à une décision plus englobante, qui n’ait plus besoin d’aucun autoritarisme !]]. Darwin et Einstein ont réalisé un remarquable travail de synthèse des connaissances acquises au cours du temps par quelques-uns de leurs éminents prédécesseurs tels des naturalistes comme Buffon, von Linné, Lamarck, etc. ou des physiciens comme Maxwell, Lorentz, Poincaré, etc. dont les travaux avaient marqué des étapes. Pourtant, différence capitale, tous ces prédécesseurs, aussi géniaux eurent-ils été, sont restés prisonniers de leur référentiel intellectuel ancestral [[ ne soyons, non plus, plus prisonniers d’aucun référentiel préétabli – la découverte de l’inconnu comme splendides saveurs nouvelles est un attrait suffisant pour y penser sérieusement. Ici, ce sont les preuves qui étayent leurs refus d’entrer…dans la moindre évolution. Ce pourquoi nous disons que leur fake évolution n’est pas la nôtre (ces pouvoirs ont la désastreuse habitude de tout fausser, de semer la confusion dans les informations, de tronquer les vraies connaissances afin de parvenir à des fins tortueuses, à des buts inacceptables avec une cupidité anormale qui les disqualifie à tout les regards qui les voient tels qu’ils sont en réalité !). le défaut de tels faux dirigeants est qu’ils ne se rendent pas compte d’entraîner les humains dans les minables conneries. Évoluons donc "sans» eux !]].

Darwin-et-Einstein

Dans leurs considérables développements, le monde vivant de Darwin et le cosmos d’Einstein présentent de remarquables points de convergence dont l’existence d’une loi d’ordre (la sélection naturelle ; la gravité). Ils ont des caractéristiques conceptuelles, méthodologiques, fonctionnelles et de structure qui les rapprochent et les complètent. Par exemple ils ont donné un sens universel au concept de matière dont les propriétés sont unifiées, que celle-ci soit vivante ou minérale. Par exemple l’exobiologie, la planétologie et le génie génétique sont associés aux progrès des technologies de l’exploration spatiale. Par exemple les recherches sur la vie extraterrestre, ou l’existence d’autres formes de vie, posent des questions essentielles sur celle-ci. Questions qui concernent aussi bien le devenir de l’humanité que celui de la planète. C’est à partir de leurs travaux que la biologie et la cosmologie ont acquis le statut de sciences rationnelles ouvrant ainsi des horizons insoupçonnés à la connaissance. »…Après le passage-rengaine où elles étaient considérées comme des rêveries inutiles par le clones utilitaristes qui, décidément, ne sont pas très utiles aux autres ! Et qui, n’ayant aucune téléologie en eux se trompent systématiquement sur la portée, la trajectoire future, la visée avisée, de tel ou tel pensée ou concept. Et qui, comble des blocages sociaux, se permettent – alors que nous venons de vérifier une inconnaissance structurelle – d’être ceux qui disent aux autres quoi…penser, quel est la saleté du politiquement correct (avec ce social si incorrect d’être inhumain, à la clé) qui va faire sa loi non libre et complètement faussée…oui quel livre nous ne devons pas lire (et ils nous en privent à la source par des censures censitaires qui, jamais de jamais, ne sont rationnellement justifiables…les grandes évolutions se font malgré eux. Et contre eux. L’imposture d’occuper des fonctions dont ils sont indignes (n’y semant aucune harmonie et synergie non conflictuelle) mais semant la désorganisation par le haut juste afin de répondre à leurs ambitions solitaires, que pour eux/elles-seuls, dans leur coin, en se cachant du social, et sans rayonnement dans la société et l’Humanité entière. Trop de ces utilitaristes cruels et de ces pervers narcissiques monopolisent des fonctions dont ils ne sont pas absolument pas faits…ils/elles sont très contre les évolutions, évoluons à leur place !

Pour-une-téléologie-du-numérique

« La difficulté demeure d’identifier l’intention derrière ce qui transparaît des actions. « Les intentions n’y sont jamais saisissables à l’œil nu, les liens de causalité par nature cachés et trompeurs, l’intentionnalité des individus étant toujours contrariée par celle, invisible, fourbe, et in fine inconnaissable de forces qui nous dépassent. » Il n’y a qu’en comprenant les finalités par l’analyse des modalités [[ donc en utilisant intelligemment la téléologie ]] que nous pourrons mettre à jour le projet politique qui se joue par-devers nous. Tout le problème est que bien souvent, la finalité n’est pas nécessairement inscrite à l’origine du projet mais se construit peu à peu [[ c’est ce que nous avions dit plus avant mais en formulant différemment !]]. Assurément, nous sommes là devant une question difficile, quoique essentielle. »…Pour nous, la vérité est isotropique (semblable dans toutes les directions, dimensions et situations). Et le verbe qui va avec vérité c’est…vérifier : le moyen de vérifier la véracité d’une assertion c’est de la placer dans de multiples situations différentes – seules les vérités sortent (claires et distinctes) de ces passages rapides dans toutes les différences possibles. Ici, le détour par la programmation numérique dévoile les appropriations politiques inacceptables que des intérêts peu fiables et non confiables veulent se monopoliser (en faussant les faits) sur les vérités scientifiques !

Organisation-et-téléologie-en-biologie-une-approche-constructiviste

«L’étude biologique du mouvement ne commence qu’avec la considération de l’orientation du mouvement, car elle seule distingue le mouvement vital du mouvement physique, la tendance de l’inertie». (Canguilhem, 2009, p. 15)…Cette forme logique spéciale, qui déplace le poids épistémologique sur les effets, est donc à la fois très pertinente et très ambiguë en raison de la possible projection d’une orientation consciente dans la nature. Les biologistes et les philosophes de la biologie, bien conscients de cette obscurité de langage [[ que la diction du dictionnaire transforme en son contraire…]] et soucieux de le purifier de son côté intentionnel [[ formulation inquiétante tout de même]], ont entrepris une démarche de naturalisation au sens d’une normalisation par rapport à la causalité efficiente, tel qu’elle a cours dans les autres sciences de la nature. Naturaliser la téléologie veut dire produire un bon modèle, ou un bon cadre théorique, fondé sur la causalité efficiente à partir duquel subordonnée la téléologie. »…Toutes ces arabesques d’indécisions nous souligne un fait essentiel : la téléologie les dérange, ils en ont même peur – et nous pas. C’est une vision très harmonieuse qui, évidemment, doit s’insérer dans la complexité si fascinante de l’univers. Et non effacer la tangibilité complète de l’univers dans le but de s’imposer à sa place. Alors que, dans le domaine de l’essentialité, les comment restent supérieurs aux pourquoi (et les absurdes utilitaristes de dire que ce sont les pourquoi qui importent le plus, foutant une incohérence complète dans leurs déraisonnements !)…Les pourquoi ne sont pas exclus ni discriminés mais admis comme bien moins féconds et sources vives de créations que les comme comment commentaires de ce qu’ils ne savent pas encore…cette démarche globale étant formulée (la bonne formulation représente l’équivalent de la…formule scientifique) comme la queste des questions (du vieux français queste avant la réforme incohérente de Richelieu qui remplaçait les es- par des ê- mais en oubliant plein de mot affiliés à l’histoire naturelle et spontanée du langage «comme» question. Question vient de queste, ce qui nous offre des récits-monde autrement splendides que la grande misère intérieure bourgeoise (si incapable d’admirer la vie et l’univers – envers lesquels il se conduit toujours comme un barbare inculte, un mal appris et un voyou cosmique…) puisque chaque question implique un immense périple afin d’y répondre. Avec tout le respect dû à la question. Les mots semblent infiniment plus somptueux que si nous les…avions inventés !  

Ce-qui-ne-va-pas-chez-les-financiers

Ce à quoi s’adonnent trop les financiers mondiaux prenant les totaux chiffrés comme les causes d’un enrichissement prétendu sans fin – alors qu’ils démontrent les effets d’une catastrophe mentale qui refuse de répondre « mais combien coûte un tel système ? »… Au moins 10 fois plus que tous les soi-disant bénéfices que ces ânes braient. 10 fois plus en coûts directs ; alors avec les coûts induits, il n’y a plus photo : ce système est la plus grande des conneries mondiales à ce jour !…Il n’y a que des bénéfices à le quitter tout de suite…Ainsi, les bourgeois fous de la Religion capitaliste qui dit dieu récompense les riches et punit les pauvres, ce pourquoi (ennemis de leurs propres intérêts causaux tant leur chute va devenir implacable…) les trop riches braient un God we trust sans jamais comprendre que c’est ce TROP (de trop riches) qui ne va pas du tout. Par exemple, seulement donner les intérêts de ce vraiment trop (oui, pendant un an sans arrêt à donner 100 € chaque seconde, aboutit à ceci : ce détraqué systémique ne perd…rien et ne va juste rien gagner ! Puisqu’il n’en a absolument pas besoin ce n’est pas grave…Tandis que le nécessiteux ont des nécessités qui n’attendent pas…)…ce qui avoue enfin (nous offrant des pauses sociales de vraies guérisons !) que s’il ne le fait pas,  il commet un impardonnable crime antisocial vraiment immense…il empêche les trop écrasantes majorités écrasées de pouvoir vivre une vie simplement décente…puisque ils n’y perdent strictement rien…sauf qu’ils ne veulent pas …évoluer, ours trop mal léchés. Crispés sur leur refus…des vrais progrès qui sont sociaux…congelés dans de faux droits acquis, des corporatismes absolument rances, des propriétés inappropriées et si abusives…complètement corporates et encore plus stupidement égoïstes…autant dire ne méritant absolument aucun éloge de la société plutôt des engueulades, reconduites sans cesse, archi motivées ! Ici, la téléologie falsifiée pour sa propre cupidité personnelle se retourne contre ses faussaires au pouvoir – par la simplicité des solutions qui les désoclent, à 100 %, de leur règne illégal !

même-les-camemberts-en-perdent-la-tête!       voyez même les camemberts en perdent la tête   …………………………….**********************************

Mutations-et-c'est-la-nature-à-toujours

« Nous voilà entrés, et avec nous la Terre tout entière et chaque être qui la peuple, dans l’ère de l’humain, l’anthropocène. Nous serions – enfin ! – partout chez nous. » Ces premières phrases de La Part sauvage du monde, Penser la nature dans l’anthropocène, de la philosophe Virginie Maris, ne manquent pas d’inquiéter. Que signifie cette ironie vis-à-vis de l’anthropocène ? S’agit-il d’une nouvelle négation du changement climatique et de la crise écologique ? Il n’en est rien. Forgé par l’écologiste Eugene F. Stoermer et popularisé par le chimiste Paul Crutzen, le terme « anthropocène » caractérise le moment où l’influence de l’homme sur l’écosystème terrestre est devenue assez importante pour ouvrir une nouvelle ère géologique. Longtemps discuté par les scientifiques, l’anthropocène a été officiellement admis par la Commission internationale de stratigraphie en août 2016. Pas question ici, donc, de le contester. Le motif du livre est bien plus subtil, plus surprenant aussi : l’officialisation de l’anthropocène ne serait qu’une manière de poursuivre la domination de l’homme sur la nature, non de la dénoncer [[ s’il en était ainsi, nos livres accessible ici – et, en particulier, L’ardeur socialebalaient à l’avance tous ces arguments. C’est que nous y avons exténué les raisonnements et été au bout des formulations : sur un foisonnement nous n’avons gardé que les formulations qui soient, aussi, des formules !]].

L’altérité résistante du monde : Retraçant l’histoire de ces dominations successives, depuis le « devenir maître et possesseur de la nature » de Descartes jusqu’à la révolution industrielle du XIXe siècle, Virginie Maris affirme que toutes les prises de conscience et actions écologistes, censées « protéger » la Terre, ont été et sont encore, paradoxalement, des entreprises de domination [[ faux, elles sont détournées par des pouvoirs irresponsables, soit qui n’assument jamais les résultats de leurs incohérences, soit qui restent infantiles et immatures. L’aporie de leur charabia est qu’il n’y a aucun Vécu dedans, lorsque nous offrons des centaines d’expériences naturelles. Voler c’est ne plus jouer…ces capitalistes ne sont que des voleurs, disqualifiés par la mesquinerie de tels actes ! – voir nos livres qui parlent de la «vraie» écologie !]] . En effet, que protège-t-on [[ l’abus des on et nous inclusifs du Monde (…nationalisant ainsi les délires capitalistes) qui est un abonné aux exclusions si irrationnelles est devenu un net ridicule ! La sagesse c’est de ne plus être comme ce journal !]] lorsqu’on protège la nature ? La nature elle-même ou les interactions des êtres humains avec elle ? Incapable de penser et de respecter l’altérité résistante du monde, cette « part sauvage » qui ne lui appartiendra jamais… »…et que nous faisons découvrir dans nos écrits et actes artistiques !

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Les-enjeux-éthiques-de-la-didactique-des-langues

Extrait du livre :

« La réalité n'atteint ni l'ouïe, ni l'odorat, ni le goût, ni le toucher, ni la vue. Il n'y a pas d'expérience sensorielle de la réalité. Mais dans la vue, le toucher, le goût, l'odorat, l'ouïe, il y a la trace, indéfinissable, de la réalité. C'est parce qu'il y a cette trace que les sens aboutissent à la conscience. C'est pour connaître la réalité, pour extraire en pensée la trace de ce qui est fin de pensée, que nous analysons nos sensations. La perception, embouteillée par la pensée consciente et non consciente, véhicule le signal apparemment étranger et pourtant si familier de la réalité. Tout le phénomène qui va de la perception à l'esprit est la remontée de la réalité à travers un émetteur de pensée, à travers une «entité actuelle» au sens de Whitehead [[ s’accrocher à l’id-entité c’est, en effet, perdre énormément de la réalité qui est…toutes les identités, pas une seule ]] Chaque remontée de la réalité comporte la possibilité d'être radicalement neuve et différente [[ déjà fait..]] ; chaque ici et maintenant comporte la possibilité d'être radicalement différent. Et radicalement différent signifie, ici et maintenant, différent pour le monde, qui est la représentation de la totalité, d'essence nouvelle. C'est parce que ici et maintenant apparaît comme indissociable de cette nouveauté radicale qu'il y a phénomène de l'esprit. [[ dire évènement de l’esprit est infiniment plus sensuel ET sensé – il faut décrocher les cerveaux de la croyance novice que les bourgeois «possèderaient magiquement l’information»…la réalité est qu’ils n’y comprennent que dalle et que les mains pataudes de ces puceaux de la pensée  se trompent tellement souvent sur le…sens de l’information. Par exemple, ils en oublient l’information du sens !]].

 

Alliance-des-Ultra-Sceptiques-Optimistes-:-Matrice-téléologique

L'esprit est l'effet de la réalité [[ comme la cause de l’évènement que nous la sachions]]. C'est d'abord la recherche inquiète de la nouveauté, la vérification de la validité d'une réalité. De la sorte, la réalité donne naissance au possible. C'est parce que l'esprit est toujours l'effet de la réalité que la réalité apparaît à l'esprit comme nécessaire, comme effective [[ c’est une téléologie si parfaite qu’elle n’a plus besoin de téléologie !]]. Mais si tout esprit, toute pensée est un effet de la réalité, rien ne permet de supposer que toute réalité donne naissance à de la pensée. La contradiction entre la pensée et la réalité est que la première est englobante et la seconde exclusive. Dans la pensée, la fin, essentiellement, participe du fait. De sorte qu'on a l'impression que la fin fait la pensée. Ce qui n'est pas tout à fait exact : c'est seulement à la fin que la pensée peut devenir fait. »…Jetée vite, opulente et aux contours désordonnés, cette Matrice ressemble à ces pauses haletantes dans la volupté qui, parfois, sont des cris. Ébauche, mais vaste et large, est d'ailleurs le terme qui semble le plus adapté. Dans l'esprit de ses auteurs, cette Matrice apparaît en effet comme une somme de titres : chaque paragraphe pourrait et devrait donner naissance à un chapitre, mérite une analyse et une synthèse, et parfois même un discours. »…Nous avons intégré tant de sources différentes qu’il ne manque plus que l’Invisible – mot qui sert, d’abord, à disqualifier la privatisation par les religions de tout ce qui reste de beau et gigantesque dans les humains. Il s’agit d’être hors des religions :  la démarche est donc de reprendre et d’arracher tout ce qui appartient aux dons, aux surnaturels, aux invisibles des humains…les religions privatisées en ont fait de usages désastreux ! Genre elles en parlent nous ne devons «donc» pas le vivre. Elles s’octroient le monopole de tout ce qui dépasse l’être humain : résultat catastrophique, en parler ce serait être religieux. Alors que pas du tout, c’est être humain « augmenté » mais pas par la technologie, juste par  la Nature et l’instinct (les absents de ces religions juste d’abstractions sans jamais de vécus !)…Sauf que…

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Chamanisme-écologie.com

« Qu’est-ce qui, après tout, différencie le chamane des autres hommes ? » La réponse la plus opérationnelle est la suivante : « Les chamanes pratiquent le sentiment d’être »…En réalité, ils sont, ils sont vraiment, ils sont pleinement. Mais il faut comprendre le mot « être » non pas comme une abstraction verbale qui vient du fait qu’on l’emploie à tout bout de champ comme un verbe auxiliaire, mais comme la quintessence du sentiment d’exister, comme le sentiment d’une douce intensité qui, en les reliant à tout sans les dissoudre, leur apporte trois choses essentielles : la liberté, l’équilibre et la jubilation. Une joie discrète [[à cause des arriérés conformistes qui semblent se vouer à empêcher les autres d’être heureux sans motifs – t’as du fric t’as le droit d’extérioriser ta joie, t’as des objets qui tuent la vie,  aussi…mais là sans rien de matériel t’as pas le droit, osent ces faux juges des injustices amplifiées !]] de vivre chaque instant de leur vie, ce qui, par ailleurs les ouvre à quelques pouvoirs tout à fait naturels mais simplement enfouis dans l’inconscient de l’homme faussement dit moderne qui, le plus souvent vit trop exclusivement dans « l’avoir », le « faire », la peur de ne pas avoir, de ne pas assez faire et surtout en sacrifiant sa vie au système [[ voir la lettre A dans la diction du dictionnaire qui fout en l’air toutes ces foutaises !]].

Paul-Degryse-être-devient-plénitude-des-sentiments

En un mot, l’homme moderne n’est plus connecté avec son âme [[ aucun sens religieux c’est le Je joyeux qui refuse les mon, moi, etc ]]. C’est l’intensité variable du sentiment d’être qui conditionne toutes nos capacités de nous harmoniser avec le déroulement des situations qui constituent notre vie [[ cette phrase est un modèle de pensée Unitaire ]], et, par là, notre capacité d’être heureux. La vraie spiritualité n’est pas religieuse. Elle est le développement libre [[ l’image d’un cheval qui galope le monde est exacte – le chaman ou shaman le fait galoper dans tout son corps…]] de notre «ÊTRE» qui n’est pas qu’une vague sensation d’exister, mais un champ d’expériences dont la maîtrise progressive est infiniment plus importante que notre « paraître » [[ faut parvenir à vivre l’image de nous voir en train de pisser dessus notre « image sociale », celle que les faux pouvoirs – inadmissibles pour cela – veulent nous tatouer de force sur nos vies. Comme si nous étions leurs esclaves…métaphysiques (à lire les délires dits théoriques du capitalisme c’est ce qui apparaît : ils veulent faire de nous, grâce à l’argent « magique » (qui s’autoféconde lui-même et n’est jamais «dans»  la réalité – pour nous, ce faux argent magique c’est surtout de l’argent fou…donc sans issue…) et gratuit (faire l’effort de calculer tout ce qui est « gratuit » pour les trop riches permet de saisir à quel point les inégalités illégales (par rapport au Droit qui ne parle que…d’égalité) sont devenues Monstrueuses et doivent être déconstruites d’urgence. L’esprit bourgeois est ce qu’il y a de plus insalubre sur terre. Point barre !]], notre « avoir », notre « faire », et surtout infiniment plus importante que notre dialogue intérieur, ce perpétuel remue-ménage de pensées qui n’arrête pas de tourbillonner dans notre tête et avec lequel nous nous décrivons à nous-mêmes nos craintes, nos regrets, nos opinions, nos croyances, nos justifications, nos jugements, [[ toutes ces faussetés omettent de préciser que nous pouvons placer de l’harmonie dans tout cela, lorsque et raisonner crée des extases, il y a des sommets de jouissance à vivre le langage entier à la fois, il existe des maitrises qui font vivre ce qui est nommé sommairement paradis dans l’ici et maintenant…Après tout, le présent qui se présente a le nom d’un cadeau de respect = oui, un présent. Sauf qu’il ne dit pas à quel point il sent et pré-sent, il présent sentir et l’être complet entre en résonance dans ce moment momentané, dans cette seconde qui nous seconde, etc (milliers de mots)…et qui nous fait prendre feu «dans » ce temps à travers ses tempos comme de ressentir tous le espaces…espacés…jusqu’à l’infini de tout ! Avec sans cesse la goût de l’éternité dans la bouche. Le ressentir c’est le vivre…Oui cela vaut le détour. Et qui ne sait qu’insulter perd au moins 80 % de la vraie vie…]], etc.

Alors, qu’est-ce qui nous empêche d’ÊTRE, comme le sont les chamanes et éclaireurs ? C’est précisément ce dialogue intérieur permanent, qui est reconnu par tous les maîtres spirituels des grands courants religieux de notre planète comme la plaie la plus tenace du genre humain : Nourri par le formatage socialitaire, la surabondance informationnelle, l’anxiété du faire et de l’avoir, le dialogue intérieur est une véritable addiction du mental qui caractérise l’humanité. A cause de lui, le sentiment d’être dont la source est dans notre corps lumineux a perdu la plus grande partie de sa force et il fait défaut à l’homme moderne pour maîtriser les moments négatifs de sa vie car, déconnectée de ce corps lumineux, la conscience ordinaire a perdu ses repères magiques qui devraient la guider pour que nous devenions des êtres équilibrés, forts, confiants et heureux. [[ aucune paranoïa ou délire dans ces ambitions vraiment à taille humaine qui «augmentent» si sainement la vie …]]. Nous subissons alors notre vie au lieu de la diriger.

Mais le sentiment d’être n’est jamais entièrement effacé de notre conscience. S’il n’affleure pas dans notre quotidien, ses racines sont toujours présentes quelque part au fond de nous – notre mal-être ou nos maladies sont en fait le signal positif qui exprime son désir de renaître. A nous d’écouter ce signal pour ce qu’il est : l’invitation à faire revivre notre sentiment d’ÊTRE,

……………………………..la chose la plus importante de notre existence

Et, ainsi, comme d’habitude, sans mentir et sans vivre de dopages verbaux, nous démontrons à quel point les pouvoirs n’ont jamais pu nous manipuler…à quel point le jour qui naît contient mille fois plus de possibilités enthousiasmantes pour les pauvres que pour les riches et que toute notre vie nous n’avons pas arrêtés…

….d’évoluer tandis que la grande misère intérieure capitaliste régresse à fond !

 

….………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que le vaste gratitude émerveillée nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation va se multiplier et pas qu’un peu

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

couverture : Alison Johnson

couverture : Alison Johnson

Air trop pollué : assassiner le cerveau des enfants sans défenses pour que la vulgarité de certains adultes, ces très marginaux en costards cravates, puisse étaler ses rictus de cupidités ? Non ceci doit cesser. La prison est faite pour eux. Et doit libérer un nombre important de…pauvres qui n’ont rien à y faire !

Air trop pollué : assassiner le cerveau des enfants sans défenses pour que la vulgarité de certains adultes, ces très marginaux en costards cravates, puisse étaler ses rictus de cupidités ? Non ceci doit cesser. La prison est faite pour eux. Et doit libérer un nombre important de…pauvres qui n’ont rien à y faire !

Notre évolution n’est pas la leur !
Alliance des Ultra-Sceptiques Optimistes et De l'hypothèse à l'hypostase paru en mars 2007

Alliance des Ultra-Sceptiques Optimistes et De l'hypothèse à l'hypostase paru en mars 2007

N’est-ce pas la régression des étasuniens (et leurs suiveurs aveuglés) qui se croient tellement au-dessus de tout qu’ils n’ont plus besoin…de réféchir ? De se poser les réponses ET les questions ? Bref, de revérifier leur parcours afin d’être sûrs qu’ils ne sont pas engouffrés dans un passéisme sans issue ?  Agir n’importe comment comme ils font obligent à se désolidariser organiquement d’eux !

N’est-ce pas la régression des étasuniens (et leurs suiveurs aveuglés) qui se croient tellement au-dessus de tout qu’ils n’ont plus besoin…de réféchir ? De se poser les réponses ET les questions ? Bref, de revérifier leur parcours afin d’être sûrs qu’ils ne sont pas engouffrés dans un passéisme sans issue ? Agir n’importe comment comme ils font obligent à se désolidariser organiquement d’eux !

ce à quoi s’adonnent trop les financiers mondiaux prenant les totaux chiffrés comme les causes d’un enrichissement sans fin – alors qu’ils démontrent les effets d’une catastrophe mentale qui refuse de répondre « mais combien coûte un tel système ? »…voir le texte !

ce à quoi s’adonnent trop les financiers mondiaux prenant les totaux chiffrés comme les causes d’un enrichissement sans fin – alors qu’ils démontrent les effets d’une catastrophe mentale qui refuse de répondre « mais combien coûte un tel système ? »…voir le texte !

… Au moins 10 fois plus que tous les soi-disant bénéfices que ces ânes braient. Par exemple, seulement donner les intérêts de tous les investissements (oui pendant un an sans arrêt à donner 100 € chaque seconde, aboutit à ceci : ce détraqué du système ne perd jamais rien, mais ne va rien gagner)…ce qui avoue, enfin, que s’il ne le fait pas, il commet un crime antisocial vraiment immense…il empêche les écrasantes majorités de pouvoir vivre une vie vraiment décente…Donc solution immédiate : puisque ils ne perdent strictement rien…sauf qu’ils ne veulent pas …évoluer. Crispés sur leur refus…des vrais progrès qui sont sociaux…congelés dans de faux droits acquis…complètement corporatistes et encore plus stupidement égoistes…autant dire ne méritant absolument aucun éloge de la société, plutôt des engueulades archi motivées !

… Au moins 10 fois plus que tous les soi-disant bénéfices que ces ânes braient. Par exemple, seulement donner les intérêts de tous les investissements (oui pendant un an sans arrêt à donner 100 € chaque seconde, aboutit à ceci : ce détraqué du système ne perd jamais rien, mais ne va rien gagner)…ce qui avoue, enfin, que s’il ne le fait pas, il commet un crime antisocial vraiment immense…il empêche les écrasantes majorités de pouvoir vivre une vie vraiment décente…Donc solution immédiate : puisque ils ne perdent strictement rien…sauf qu’ils ne veulent pas …évoluer. Crispés sur leur refus…des vrais progrès qui sont sociaux…congelés dans de faux droits acquis…complètement corporatistes et encore plus stupidement égoistes…autant dire ne méritant absolument aucun éloge de la société, plutôt des engueulades archi motivées !

Notre évolution n’est pas la leur !
Notre évolution n’est pas la leur !
de Alison Johnson

de Alison Johnson

Comment fonctionnent les raisonnements évolutifs ? Et comment les arguments d’autorité peuvent ne plus y entrer ?

L'évolution de l'Homme avec René Goscinny & Yves Coppens émission du 24/01/1977

Interview de Virginie Maris, chargée de recherche au CNRS au Centre d'Ecologie Fonctionnelle et Évolutive. Solutions globales : Il est nécessaire d'aborder les alternatives mises en place pour faire face au dérèglement climatique tout en prenant en compte, dans le même temps, de la biodiversité. "Penser à des solutions globales nous invite à repenser notre façon de cultiver, de consommer, de se déplacer et de cohabiter avec l'ensemble des êtres vivants sur cette petite planète".

Le chamane parle: Changer le monde par une révolution pacifique

Cette arrogance isolationniste (les aberrants régressifs du capitalisme font du dangereux séparatisme d’avec la vie et la nature) ose donc se croire…le roi-bulle qui « sait » prendre des décisions. « Mais en « ignorant » (ne voulant pas connaitre) la découverte d'une zone cérébrale impliquée complètement dans la prise de décision (et plus, parfois, que la majorité d’entre nous).

Panoramas de l'évolution de l'espèce humaine ( l'homme préhistorique )...à voir avec un regard neuf...

CHAMANISME TOLTÈQUE, LE RÉALISME SPIRITUEL (Documentaire Paul Degryse)

La planète est magnifique

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