Post-capitalisme : Les produits vendus pour…rendre service ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Post-capitalisme : Les produits vendus pour…rendre service ?

Nos sensualités sont des évènements tellement plus importants que les carcasses des objets dont nous pouvons apprendre à nous passer…Pourquoi ? Parce que nous acceptons enfin une pensée écosystémique généralisée : ainsi, les entreprises ne sont plus des extraterrestres sans impacts qu’éthérés. Mais des écosystèmes complets avec impacts lourds. Et qu’il faut déduire de tous les soi-disant profits, afin de …redevenir rationnels. C’est qu’il n’y plus aucun goût pour les délires métaphysiques du capitalisme…et les micas qui chatoyaient dans ses mégalomanies paraissent juste des leurres en berne. Pour qui nage comme un poisson dans les idées, il/elle peut, à la fois, aider efficacement aux transformations et ressentir les trajets précis que suivent les révolutions des mentalités. Avec retours en arrières, chemins de traverses, anticonformismes salubres et sauts soudains, etc. C’est ce que nous allons vivre ensembles à travers ce texte textualisant

Je-suis-moins-tentée-d'acheter-des-bêtises-ils-boycottent-les-supermarchés

« Je suis moins tentée d'acheter des bêtises" disent-elles : et ils boycottent les supermarchés… oui, « De plus en plus de consommateurs inventent une vie sans grandes surfaces. Un choix qui réclame un peu d'organisation mais permet d'économiser des sensualités auparavant complètement laissées pour compte. C’est une histoire de grande surface qui démarre…dans le décor idyllique des montagnes de l’Ardèche. Il y a deux ans, Chloé Landriot, une professeure de français de 38 ans, s’y trouvait en vacances avec son mari et leurs enfants. "J’admirais la nature en pensant qu’on est en train de tout détruire, s’émeut-elle, que mes enfants, dans une dizaine d’années, ne pourraient plus en profiter. C’est devenu insupportable."…"La première chose qui m’est venue à l’esprit pour réagir, ça a été de réduire mes déchets. Et je me suis aperçue que tant que j’irais au supermarché, je n’y arriverais pas [[ il faut, en effet, des divorces abrupts et des ruptures brutes…inutile de finassez il nous faut quitter tout de ce système sans issue. En qui, en tout, ne peut qu’empirer]]…"Ni une ni deux, voilà que la prof s’organise pour zapper la séance hebdomadaire de remplissage de chariot au Carrefour ou au Casino du Puy-en-Velay (Haute-Loire), où elle réside. Ce n’est pas une immense agglomération, mais les alternatives existent : pour les produits frais, Chloé... »…entre dans sa reconstruction : faisons de même et aidons les hésitant.e.s à franchir la franchise des pas…et puis, ayant été tout le temps agressé.e.s par le consumérisme sans honneur, cet espèce de rampeur mou prêt à tout pour nous fourguer ses cochonneries – nous pouvons apprendre à lui rendre la pareille. A symétriser avec humour. A vraiment le «récupérer» sous le ridicule…comme cela…

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Par exemple, à renvoyer à l’expéditeur ses pollutions en matériaux mêmes, reconnaissances en paternités à la clé…ici, les cigarettes dont les mégots de filtres polluent plus dangereusement les océans que d’autres produits – eh bien renvoyer aux cigarettiers les factures du nettoyage…Oui ? « Ce lundi 8 octobre, la région de Bruxelles a demandé à l’industrie du tabac de régler la facture liée à la collecte des mégots de cigarettes jetés dans la rue. Une facture qui s’élève à 200 000 euros cette année [[ systématiser ces trouvailles permettrait de résoudre « à la source » toutes ces problématiques. Ne pas hésiter à détourner, soit à remettre à l’endroit, toutes les idées de l’indigne capitalisme. Impôts à la source = pollutions à la source. Principe pollueurs directs = payeurs directs. Pas un pli pas de repli possible…Tout pourrait rentrer dans l’ordre après le si énorme désordre capitaliste, la plus grande délinquance que la Terre ait jamais portée. Toutes et tous à vos idées réparatrices !]] :

Pollution-des-mégots-la-région-de-Bruxelles-envoie-la-facture-à-l'industrie-du-tabac

 

À travers une lettre adressée à la filiale Benelux de l’entreprise américaine Philip Morris et à deux fédérations belges de fabricants (Cimabel et Fetabel), la région de Bruxelles a sollicité leur participation aux frais liés au ramassage des mégots, estimés à 200 000 euros. Elle demande également le financement de futures actions « dans une logique de partenariat pérenne [[ partenariat logique genre tu pollues tu nettoies et si tu ne nettoies c’est donc «ta» facture que tu paies ]]». Chaque jour, ce sont dix millions de mégots qui sont jetés en Belgique, dont une grande part à Bruxelles. Des mégots qui sont des déchets « particulièrement difficiles » à ramasser et qui « mettent des années à se décomposer ». Le jet de mégots accompagne les déjections canines, les dépôts clandestins ou les jets de canette parmi les « cinq principales nuisances » recensées par les services de propreté [[ les nuisants doivent recevoir, en retour, leurs nuisances...chacun.e la nuisette qu’il/elle mérite]].

Cette année, la région de Bruxelles avait élaboré une série de projets pour faciliter la collecte de mégots, mettant notamment en place des éteignoirs de rue, ou en distribuant des cendriers de poches pendants les festivals. Tout cela aurait coûte 203 500 euros selon Fadila Laanan, la secrétaire d’État bruxelloise chargée de la propreté publique. Cette demande s’inscrit dans la même lignée d’une démarche déjà existante en Flandre et en Wallonie, comme l’explique la lettre :  «Considérant votre contribution financière [[ puisque eux avaient pris la sale habitude de se servir sur nos « contributions » fiscales faisant de nous des contribuables – rappelons-les joyeusement à leurs obligatoires contributions…ceci se nomme prendre la main !]] en matière de propreté aux côtés des Régions flamande et wallonne, il semblerait opportun de s’inscrire dans une démarche similaire en Région de Bruxelles-Capitale».

Par ailleurs, les industriels du tabac avaient d’ores et déjà accepté de financer un organisme public chargé de la collecte et du tri des emballages, mais sans contribuer au ramassage des mégots comme ils le font déjà dans les autres régions belges. Cette démarche pourrait également voir le jour en France. C’est en tout cas la volonté affichée par Brune Poirson, la secrétaire d’État auprès du ministre de la transition écologique et solidaire. Elle avait reçu, vendredi 5 octobre, des responsables de l’industrie du tabac pour mettre en œuvre le principe de «pollueur-payeur» [[ comme les pollueurs sont en énorme majorité les trop riches le début de la justice revient par là]]. Cependant, elle semblait ressortir «déçue»[[ ces minables trop riches ne savent que décevoir – ne le leur permettons plus jamais…]]des propositions initiales de ses interlocuteurs. »…Partout, nous pouvons reprendre la main…les accusé.es. sont clairement visibles et nous ne sommes pas ces accusé.e.s !

Le-recours-climat-citoyen-qui-réussit-!

 

« La justice a ainsi conclu que ne pas atteindre l’objectif de 25% de moins d’émissions de GES serait une «violation des droits des citoyens néerlandais» protégés par la Convention des droits humains. Bien qu’il puisse encore faire appel auprès de la Cour Suprême, l’État est désormais obligé d’engagé des actions fortes dès à présent. Le gouvernement avait-il senti le vent tourner ? En juin 2018, il s’est engagé sur l’un des plans les plus ambitieux au monde contre le dérèglement du climat avec comme objectif de baisser les émissions de gaz à effet de serre de 95% en 2050. Urgenda et les citoyens sont donc confiants sur l’application du verdict prononcé par le Cour d’Appel de La Haye. »…Et si ce genres d’initiatives se répandaient comme le souffle de la raison qui revient à la maison ?

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De-Paul-Hawken-à-Isabelle-Delannoy-les-nouveaux-promoteurs-de-la-destruction-durable

Avant d’aborder la partie qui donne le titre au texte ( Les produits vendus que pour…rendre service ?) il est essentiel d’avoir en tête le contenu du document mis en lien…Issu de réflexions sur les conséquences désastreuses du « développement durable » - cet oxymore insensé – il prolonge l’analyse par tous les essais déguisés d’aménagement de ce développement durable – soit l’économie symbiotique et la transition énergétique, principalement – Nous ne sommes pas d’accord avec la systématisation du refus des apports de l’écologie industrielle – paraissant comme un oxymore mais parvenant à domestiquer la furie irrationnelle de l’industrie en la plaçant au service des besoins de la nature . Et alors ? Nous ne pouvons refuser à 100 % toute industrie comme toute technologie. Seulement les diminuer au maximum, soit, à chaque fois qu’une bifurcation de choix s’annonce, préférer les solutions naturelles et humaines au pilonnage des machines…Et pas rejeter à l’avance sans examen préalable : ce qui est bien un préJugé ! Pour nous c’est l’unique défaut de l’analyse, toujours transformer le maintien d’un minimum de technologie en délit gravissime. Bon, nous reviendrons sur ce qui reste d’important dans ces analyses qui contre les emballements dont sont friands les médais fous. Faire sauter les spectateurs-acheteurs d’une lubie à l’autre, d’un gadget dit vert au suivant, soit l’incohérence fondatrice d’un fake capitalisme vert ouvrant à toutes les corruptions morales…Ici, nous voulons vérifier si l’économie circulaire va devenir un post-capitalisme. Ce post-capitalisme qui ne ferait plus des profits irrationnels le centre de la société- mais bien que tous ces produits aient pour but principal de rendre service aux humains !

Mise-en-oeuvre-de-l'économie-circulaire-les-leçons-d'une-étude-internationale

« L’économie circulaire, qu’est-ce que c’est ?  Les déchets comme ressources potentielles…Les déchets sont des flux souvent mal maîtrisés, méconnus, et généralement sous-estimés [[ déjà ne plus rien acheter de neuf pendant un an c’est 12 tonnes de matières par français de non foutues par la fenêtre – de pivoter sa vision est donc essentiel : ne plus « commettre de déchets » devient un net progrès partageable par tous…lorsque être créateur de trop de déchets comme les trop riches c’est ensevelir la société sous tant de merdes évitables ! Ils se conduisent comme le plus hideux arriérés…]]. Augmenter la circularité des procédés industriels reste donc un réel défi pour beaucoup d’entreprises qui perçoivent difficilement leur potentiel de création de valeur [[ ne pas commettre de déchets obtient plus de valeur que d’en répandre…]]. Réutiliser des déchets ou leur trouver des débouchés est loin d’être aujourd’hui une priorité stratégique [[ et c’est vraiment inexcusable !]]. Un changement de posture s’impose donc chez les managers. Démontrer et communiquer, exemples à l’appui, le potentiel de création de valeur de l’économie circulaire peut les aider à franchir le pas, en particulier au sein des PME qui disposent de ressources et de compétences limitées pour gérer leurs déchets. Coûts de gestion des déchets moindres, ressources moins coûteuses et disponibles localement, investissements et infrastructures partagés : l’économie circulaire représente une source d’économies potentielle [[ et qui, comme la géométrie de l’enrichissement de certains PAR l’appauvrissement des autres, reste difficile à rendre imagé…cela a été fait : si le milliardaire le plus riche se plantait au coin d’une rue et donnait 100 € par seconde sans dormir ni manger…sans pause, au bout d’un an, il n’aurait strictement rien gagné…et toujours la même chose qu’un an avant. Conclusion ? N’offrir que ses intérêts ferait vraiment reculer, dans le concret, l’inacceptable misère matérielle autrement que dans les statistiques…faussées !...Cette agrégation des placements à intérêts, des abouchements sur les biens des autres, d’engrangements des exonérations, de paiements de droits divers à son égard, etc. aboutit à cette multiplication géométrique des biens. Qui n’est une déchéance que si est accepté cet « effet de système »…l’image ici sert pour les ordures…dont la suppression produirait un bien-être collectif assez immense pour rester difficile à chiffrer…]].

 

Dans la ville danoise de Kalundborg, une trentaine de coopérations matérielles et énergétiques – parmi lesquelles des échanges de vapeur, eau de refroidissement, gypse, sable, lignine, bioéthanol, etc. – permettent de réaliser annuellement 80 millions d’euros d’économies [[ gaspiller est toujours piller les autres – c’est écrit dedans !]]. Envisager son territoire comme un…écosystème et penser les déchets comme des ressources contribuent ainsi à l’émergence d’un nouveau modèle [[ enfin salubre et dont le futur ne peut être que meilleur que son passé – ce n’est plus le cas avec l’idéologie malsaine des dominants qui empire vraiment tout !]].

>>> *** - Comme les échanges de déchets peuvent être complexes à développer ex nihilo, une mise en œuvre graduelle ponctuée d’étapes intermédiaires assurant des « victoires rapides » peut être envisagée avec la recherche d’opportunités de mutualisation. Les projets de gestion collective des déchets constituent un premier palier pour les entreprises. Ces solutions sont généralement perçues comme moins risquées puisqu’elles concernent uniquement la mise en commun des déchets pour exercer un contre-pouvoir à l’égard des prestataires de traitement des déchets. Moins engageante que les pratiques de substitution (où le déchet d’une entreprise intègre le processus de production d’une autre), la mutualisation permet, sans bouleverser les procédés industriels, de créer de la valeur économique et environnementale pour les participants grâce à des économies sur les coûts de stockage, de transport et de traitement de leurs déchets, tout en réduisant leur empreinte écologique. Depuis dix ans, Écopal propose à ses adhérents des collectes mutualisées : près de 80 sont organisées chaque année ; elles concernent les déchets d’équipements électriques et électroniques, les déchets industriels dangereux, archives confidentielles, papiers et cartons, entretien des séparateurs à hydrocarbure et des dispositifs de prétraitement des eaux grasses.

Comment-circule-?

Mise en œuvre de l’économie circulaire, les leçons d’une étude internationale

[[Ce qui se transforme bénéfiquement c’est la vision d’ensemble qui permet de modifier tous les comportements]]…Regarder, désormais, les entreprises voisines comme des partenaires potentiels avec lesquelles échanger des déchets n’est pas courant. Cela le devient : toutes ont pour but le bien commun qui, seul, peut apporter la prospérité existentielle de toutes et tous et non l’enrichissement désertique (ne s’ensuit qu’un grand désert social) du trop petit nombre…il n’y a pas photo ! L’économie circulaire implique pourtant une relocalisation des flux, avec la mise en place d’échanges matériels et énergétiques sur les territoires.

Ces coopérations reposent sur une approche écosystémique où la priorité est donnée à la recherche d’opportunités de symbioses. Ces dernières correspondent à des coopérations environnementales par lesquelles les entreprises partagent ou échangent des déchets pour réduire leur impact écologique entre les acteurs. L’économie circulaire se pense donc surtout à un niveau inter-organisationnel [[ ce qui retrouve le vrai sens du mot entreprises : entre-prises, c’est ce qui est ENTRE, inter-organisationnel. Sur les prises sur leurs entourages, que prennent ces entreprises, que cela se joue…pas du tout dans l’abstraction de ne voir qu’un bâtiment isolé de tout le reste…ce qui est bien le contraire de la réalité ]]. L’ancien manque de communication entre les entreprises sur leurs résidus et la culture du secret industriel compliquaient cependant l’identification de ces opportunités de coopération. »…ce qui était l’idéologie si irréaliste nommée capitalisme. Qui, dans son simplisme inhumain, se limite à la fainéantise inexcusable de ne voir que cela qui « lui rapporte »…sans jamais de jamais se préoccuper de ceci que « cela coûte » à la nature et aux autres humains. Donc coûts à, logiquement, déduire des faux bénéfices (oui ce concept de fake qui, soudain, dérange tellement les pouvoirs…ils font tellement de faux et usages de faux ! Jamais ils n’auraient dû inciter l’émergence de ce concept qui leur est définitivement défavorable…), oui coûts déduits de faux bénéfices retrouve l’équilibre social …leur théorie irréaliste veut l’équilibre dans l’économie mais au prix de tous les déséquilibres sociaux. L’inverse seul est adulte et mature. Et donc ? Nous venons de trouver la parade à «l’effet de système» qui grossit démesurément l’enrichissement des trop riches…mais au prix d’un pompage micro-local, mais un local qui se trouve partout, donc des milliards de milliards de pompages micro-locaux ainsi…supprimés à la source ! L’escroquerie des trop riches c’est que nous avons toujours payé tous leurs coûts et leurs gigantesques… pollutions (ces 10 % de toute l’humanité commettent 50 % de toutes les pollutions) ! Aussi clair que cela…Ces trop riches sont un grave fardeau de sur-assistés, ils ne sont premiers d’aucune cordée. Cordée appartenant au mot cordial, qui veille bien à la corde de tous. Ce qu’ils ne font jamais, escroquant, aussi, les belles images…

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Pour nous, le déchet suprême, oui l’ordure qui permet toutes les autres, c’est le concept très pourri…du profit. Pourquoi ? Il n’y pas de profit…séparé…c’est toujours un coût collectif que nous n’avons pas pris l’habitude de chiffrer. Nous si. Et qui lorsque un détraqué veut encaisser son « faux » profit (celui qui ne paie pas ses coûts en tout premier) - ceci omet de regarder que ce profit c’est ce qui se fait au détriment…des autres (pour eux c’est un…coût. Pour ton « profit » je dois débourser : alors est-ce un «vrai» profit, détachable de tout ?). Le profit pur (comme les mathématiques) n peut donc exister. Il est toujours appliqué et « appliqué » très lourdement sur les autres.     Un profit seul qui peut prouver n’avoir tout pris que dans ses propres ressources ne peut exister. Il « prend » dans les ressources des autres. Et le mot entre-prendre est là pour nous rappeler cette cinglante vérité. Ainsi, d’ailleurs, que de dire « profiteur » c’est pour le parasite, le pique-assiette, le maquereau de l’argent des autres…profit se range du côté de ce qui est vraiment trop minable !

 

Donc économie qui circule…égalitairement, la circulaire, c’est plus du tout de profit séparé. Des gains mais traçables et qui aboutissent donc aux partages de toutes les plus-values. Plus de dividendes discriminatoires (dividendes venant de diviser donc de…partager, partager entre tous). Tout se refonde : salubrement, les concepts changent, les comportements encore plus…Et notre titre « Les produits vendus pour…rendre service », tout d’un coup révèle son grand réalisme. Si ce n’est pour un profit séparé et tricheur c’est pour un circuit collectif qui collecte tout. Et se démontre reconnu pour cela…celui qui part de répartir

 

Et répartir quoi ? Chacun sa part qui, répartie, tout touche au bout de son sens….

 

Rendre service et le service rendre deviennent donc des modes de fonctionnements très reconnus d’efficacités maximum…

 

Puisque que - grâce à cette transformation –

……………………………….il n’y a plus de misère matérielle du tout sur la Terre

 

 

   C’est que seule la toxique arriération capitaliste désire la pauvreté des autres !

 

 

 

……..……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste transformation nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

photos J.Henry Fair

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quel effet de changer ?

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Post-capitalisme : Les produits vendus pour…rendre service ?
donner ce dont on a pas besoin

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La région de Bruxelles envoie la facture de la pollution des mégots aux industriels du tabac...exemples à suivre !

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Post-capitalisme : Les produits vendus pour…rendre service ?
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L'océan contre le bouleversement climatique

Culture de Résistance! - par Derrick Jensen (Earth at Risk)

Génération Gueul'man II. Empoisonne-moi

Lumière….Un excellent documentaire sur les impacts physiologiques, sociaux et écologiques du numérique, des technologies-écrans et d'internet, sur la manière dont les principales multinationales du web (Google, Facebook, Yahoo, etc.) dominent et organisent à leur guise le flux d'information, et sur d'autres choses encore (réalisé par Jordan Brown)

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