Soyons toujours plus diversitaires
Soit de l’universitaire «augmenté». Pourquoi ? Simplement, parce que quand il n’y a pas, ou plus, de cadre de références ce sont les imaginaires qui les remplacent… Et que plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper. D’où la salubrité de l’Université de la Pluralité ( en opposée à la fameuse Université de la Singularité, pro-transhumaniste).
...« Futur, nous avons un problème, estime Daniel Kaplan, un des penseurs pionniers du numérique et grands explorateurs du futur. Il a fondé et dirigé la FING (Fondation Internet Nouvelle Génération). En observateur avisé, Daniel Kaplan estime que les transformations technologiques en branle depuis quelques années ont sûrement castré notre capacité à appréhender et à renouveler le futur. « Nous sommes face à des discontinuités que nous ne sommes pas capables de penser. Et nous n’avons ni les cadres de référence mentaux, ni les manières de nous projeter pour imaginer par exemple la vie après le changement climatique ou ce qu’implique la balance entre biologique et artificiel »…Et dans ce cas, est persuadé Kaplan, la solution réside dans les imaginaires du futur [[ comme ces imaginaires ne peuvent flotter détaché de tout humain – nous dirons que la réalité e décrit, plutôt, comme la fausse élite écarte tous ces sains anticonformistes et démesurés humains avec une imagination enfin à la taille des problèmes et donc aptes à forger les solutions qui accueillent toutes et tous – et pas que 10 % de la population comme ce libéralisme égaré, que rien ne pourra imposer en France !]]. Daniel en a donc fondé l’Université de la Pluralité (il faut espérer tout le contraire de la peu probante Université de la Singularité - cheval de Troie du transhumanisme si peu « humain »…tout pour ce 10 % et rien pour le reste !). L’acte fondateur de l’Université se passera les 30 novembre et 1er décembre prochains. Dont rien ne vous empêcher d’y aller voir…
Les-imaginaires-sauveront-le-futur
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Y’a du boulot pour la pluralité ? Pas qu’un peu : le monochrome des ignorances lourdes est contagieux…Ainsi, aux États-Unis, la moitié de la population ignore que le changement climatique en cours est d’origine humaine. Ils voient cela plutôt extraterrestre : ah oui ce fumeux 1 % qui détruit la planète serait fameux pour ceci !
Le numérique, actuellement, semble trop mythifié, rendu lointain – il s’agit de le rendre vraiment profane. Ce qui le rapproche de nos interrogations légitimes et de nos possibilités de trouver les solutions autour de nous. Car ? … « À l’image de cette performance, le numérique ne sert qu’à donner un contenu, une forme, une attention à une pensée. Il est à la fois un moyen, comme le corps ou le chalutier, au service de la pensée et non pas du spectaculaire ou de la médiation, tout autant qu’un mode de création et d’échange présent à chaque moment, à chaque endroit, pour chaque personne. J’entends donc le « numérique » comme une potentialité de créer et par extension, au sein de cette société post-digitale, de fabriquer en collectif, de manière globale [[ ce qui parait déjà tellement plus intéressant. Et le fait quitter le trop d’abstraction, qui caractérise ce qui se retire, veut rester en retrait de la vie…l’abstrait absent de ce qui sent ! Tel ce qui se sépare absurdement du trait abs-trait !]].
Rouxteur : Penses-tu que la création numérique intégrée à une exposition plastique peut à la fois amener un nouveau public, mais aussi créer une réaction réfractaire par d’autres publics attachés à la forme classique d'exposition ? Djeff : Aujourd’hui, le numérique est partout. Il a intégré toutes les couches de la création. Donc je pense qu’il y a vraiment une interprétation du numérique dans l’intégralité de la réalité composante de la création contemporaine. Néanmoins, je fais la distinction entre le numérique et l’interactivité, qui a été effectivement apportée par l’utilisation de dispositifs numériques, mais dont l’usage et la réflexion inclut l’ex-spectateur, car ses actions vont influencer l’œuvre. Il y a le numérique en tant qu’outil et matière avec laquelle on peut travailler, et l’interactivité liée au traitement numérique des données des ex-spectateurs. De ce biais-là, il peut y avoir des réactions réfractaires d’un public plus classique, mais cette tendance en France tend enfin à s’estomper, comme on a pu le voir avec l'exposition Artistes & Robots au Grand Palais, qui démontre que la part d’interactivité commence à être totalement intégrée [[ ?]].»…Le pourquoi de cette irruption s’élucidera en fin de texte. Tout syllogisme contient 3 mouvements et la dialectique vivante commence en post-conflit, soit à 3 et plus, entrelaçant tout ce qui existe dans le but d’une synthèse qui élève tout le monde (soit tout l’inverse de la fausse élite actuelle qui rabaisse tout le monde, tout le monde décrété incapable de solutions collectives – sauf eux/elles qu’ils sur-dopent à l’hubris, hubris qui ne tient jamais la route !
La-rationalité-au-delà-de-la-logique
« Vous avez pu constater comme je tourne et retourne autour de ce passage entre pensée logique et pensée topologique [[ le topo de la logique un moyen visuel et géométrique de s’y retrouver, en somme…]] depuis 2 mois. Manège qui me renvoie à ma propre façon de penser, et m'amène à prendre conscience qu'au cours de ma vie, j'ai cherché à réduire mon expérience à la logique. Pourtant il y a une autre façon d'aborder les choses, et ça commence peut-être avec Poincaré, lorsqu'il ramène l'étude des fonctions à celle des symétries de leurs racines. Il passe de l'espace dans lequel elles évoluent à une trace sur une surface. Et j'avoue que c'est ce lien qui m'échappe encore. Il faut donc que j'arrête tout jusqu'à comprendre clairement les rapports entre topologie et groupes de symétries, faire évoluer ma façon de penser.
- Bon, d'accord, pour tes bonnes résolutions, mais il n'y a pas là matière à écrire cet article.
- C'est vrai, je l'écris parce que ma discussion avec M. nourrit une idée encore en gestation. Son expérience, que je souhaite partager au plus vite, lui indique qu'en prenant conscience de la trace d'une relation par un jeu de rôles, la situation représentée en est changée.
- De même qu'en modifiant la représentation des racines sur un plan, j'agis sur les fonctions dans l'espace.
- Eh bien c'est la possibilité d'une action de cet ordre qui m'interpelle, et me renvoie au fait que mon esprit "cartésien", ne s'interroge pas de la même façon lorsqu'en tournant le volant de ma voiture, je la dirige.
- Je ne vois pas le rapport ?
- Mais si : lorsque j'agis sur une partie d'un tout, je trouve "naturel" que le tout en soit affecté, et là je suis dans la causalité élémentaire, celle de la pensée logique, construite sur les relations entre l'objet et ses parties. Mais je rejette instinctivement l'idée qu'en agissant sur sa représentation je puisse agir sur l'objet lui-même; j'ai l'impression que nous revenons à une pensée magique, comme si en agissant sur une poupée, la personne représentée en était affectée. [[ c’est le Spectacle qui se voit, ici, pris au piège de sa pensée névrotique et si cupide – faite pour ne pas vivre sa vie vibrante mais, à la place, des images sans vie. C’est toujours sa ritournelle d’avoir les choses, et pire les humains, sans jamais rien donner, ni effort, ni sentiment, ni dédommagement. Rien. C’est d’ailleurs ainsi que les pubs des tentations nous chouravent nos libidos, par cette pente naturelle, et bénéfique à nos corps, de vivre des pulsions, des désirs, des attirances. Sauf que nos corps le savent et que la pub perverse fait « gober » que « d’avoir » un objet fait accéder aussi simplement et aussi directement à tout autre chose. Et qui implique que d'acheter, d’acheter toujours et sans réfléchir…est la solution universelle à tout. T’achètes et t’achètes plus de problème sur la Terre ! Cet «autre chose» (pour laquelle tu vends tout l’essentiel – et nous pas, tout comme ces matériaux réfractaires qui « conduisent la chaleur » !) c’est de croire avoir de l’influence sur les autres « par » un objet ( pensée animiste dévoyée), qu’ils/elles vont nous aimer, nous admirer, se montrer irrésistiblement attiré.e.s par nous. Arnaque totale et répétée depuis des décennies dans l’indifférence malencontreuse des prétendus dirigeants. Il y a clairement là un « agir sur la représentation qui influence (mais sans leur accord conscient ni leur volonté acceptante) sur les humains traités en … «objets». La culpabilité est du côté des fomenteurs menteurs des pubs, des marketings et autres fourberies des marchands qui disent marchandise (soit faire griller le sceau de l’esclavage sur la peau, pourtant, à respecter des humains : que la marchandise ne dise que le marchand aurait, pourtant, dû alerter…) ! Est-ce que les mathématiques et les sciences vont encercler la pensée des soi-disant maîtres de ce monde et la profaner au point de la faire tomber dans une prison fanée ?]]
- Pourtant, c'est un peu le chemin emprunté par la physique moderne. Tout tourne de nos jours autour de l'invariance et des symétries [[ ce secret qui fait que l’on puisse faire gober que tout change alors que rien ne change !]]. C'est l'approche par la théorie des jauges [[ théorie quantique des champs !]] : les "observables" dérivant de symétries propres au discours; une régression depuis une formulation purement géométrique à l'expérience qui est, en ce sens, proprement une décohérence de la théorie, pour nous une "descente diachronique". Michel Foucault, n'a pas tout dit dans "Les mots et les choses". Après l'abandon de la pensée moyenâgeuse, avec les similitudes, et la Renaissance qui ramène tout à la logique, il y aurait, depuis 1950 environ, non pas un retour, mais une mise en relation de deux approches complémentaires...[[ en gros, tout ce qui peut revaloriser, permettre les éloges, faire admirer et aimer l’humain – désormais un «non-sujet», presque un dépossédé, après Les mots et les choses !) ne sera jamais, ou quasiment jamais, mis en avant ! Les nihilistes antisociaux, soit les néolibéraux, veulent tout le pouvoir…]].
- Et c'est sur cette articulation que je bute ! Mais au moins, je la vois. Cependant, ma pensée la plus troublante est celle-ci : si l'idée qu'une action sur la représentation puisse avoir un effet sur l'objet référé me semble un "jeu de l'esprit", que je définirais comme "pensée topologique", alors, ma "pensée logique" sur laquelle je m'arc-boute comme un malade, par peur de me perdre dans le "Réel", n'a pas plus de consistance [[ les effets causent des causes et on cause de ces causes qui n’ont plus d’effets !]] !
- Je ne comprends pas.
- Je reformule : mes deux modes de penser sont, par définition, de l'ordre de l'"Imaginaire", dans mon cerveau, une façon d'organiser mes neurones, or donc, les déductions logiques que je tire de mon expérience, n'ont pas plus de consistance, dans le "Réel", que les observations apparemment loufoques que je peux faire, sans faire appel à cette partie de ma raison, entre I1 et I01; mais à celle entre I01 et I0.
- Mais quelle est la limite repérable entre les deux modes de pensée ?
- Le temps mon ami, le temps ! La pensée logique est intimement liée à la notion de successeur : la cause précède l'effet, et leur enchaînement se déploie dans le temps, quand l'autre approche est essentiellement spatiale. Et dans les "constellations" de M., nous sommes dans une représentation spatiale d'un problème, hors du temps. L'individu n'est plus lui-même, mais intriqué dans un schéma qu'il contemple. Sa pensée passe de l'individu (lui-même) à un état où son individu se perd. C'est exactement comme une intrication quantique. »…ce cheminement, dont le détail peut faire vibrer qui aime la logique, afin de tracer la séparation drastique qu’il y a entre un esprit qui « spatialise » les humains (ce qui peut être adéquat lorsque nous analysons pas à pas les données d’un problème – mais se montre cruellement inadapté dès que les humains, en personnes, se placent du côté des solutions…Et entre ceux qui accueillent tous les humains dans les profondeurs du temps : leur laisser le temps de comprendre, un peu de temps afin de s’acclimater à l’irruption du tout nouveau et un temps pour mettre en place (dans un déroulement au tempo temporel, suite de suites aussi respectable l’une que l’autre), le temps d’entrer de toutes les anciennes habitudes, et de s’en défaire, dans le concret de ces solutions. Désormais pro-collectives !
Autant dire que les formations abstraites, sans apprentissages des feedbacks émotionnels et affectifs, sans apprentissages de comment porter l’attention la plus moelleuse aux autres, de l’apprentissage (souligné par Einstein) de faire l’effort, sans jamais plier sur les exigences internes d’une pensée, de trouver la formulation la plus claire. Mais pas plus, ajoutait Einstein, ayant fait l’effort si gratuit d’offrir la moitié du chemin c’est aux personnes d’accomplir le reste du trajet. Ce qui permet de reformuler, de se le rendre donc intime, d’y allumer son imagination. Soit de faire couler dans sa personnalité et son caractère, tels qu’ils sont, la forme qui inForme. Le forme d’inFormation de la nécessité de comprendre ce qui a été réellement dit. Oui ? Tous les manques de références, de documentations corporelles absentes, pour se projeter vers l’inconnu : comme de s’en construire des cadres mentaux susceptibles de recevoir ces contenus radicalement autres, tellement trop nouveaux. Mais autre, sans exagération, autre surtout par rapport à nos routines. Ces rouilles malsaines qui solidifient les rouages entre nos affects et nos émotions. Nous rendant ces si désagréables fainéants affectifs : incapables de se mettre « à la portée » des autres. Faute, une fois, de plus de l’avoir appris.
Et la récurrence des derniers textes (toujours en sensibilités envers les véridiques urgences sans fard) est cette formulation : la société est dramatiquement bloquée «par le haut», dans leurs enfantillages et amères immaturités, dans ces fuites renouvelées devant le réel pourtant bien rugueux, ou ces inadaptations à accueillir ce qui est le plus contraire à nous (tout le radical de situations hors du commun actuelles, telle la fin possible des biodiversités donc, par entrainement, de l’espèce humaine, des pollutions de tout, air, eau, alimentation, débats etc. qui coûtent à toutes et tous tellement plus que ce que les fake profits plastronnent (ces profits désormais coûtent infiniment plus que la valeur nominale affichée frivolement…en profits !)…oui cette récurrence commune : c’est que tous ces prétendus dirigeants sont issus du même MOULE, tous faits pareils, tous handicapés de ne pas trouver la pluralité, la variété, la diversité même…et que cette monotonie robotique…Sans interaction possible, sans interactivité puisque c’est leur mono-maniaquerie qui «crée» le spectateur, la spectatrice – le passage sur l’art prouvant à quel point des inconscient.e.s peuvent servir des intérêts inavouables, si contraires à leurs réelles sensibilités, en nous sortant des discours si aliénants, si instrumentalisants et si ennemis du genre humain (non les robots ne rendent jamais artistes de nos propres vies !)…Seulement pour ne pas vivre ses pensées de tout SON CORPS. Exactement comme ceux/celles du moule unique !
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Et voici, la triple jonction est faite : face à ces robots «tous du même moule», à cette uniformité qui « suicide » la société, à ces conFormités qui ne savent rien sur d’où viennent leurs formes …singulières de départ – oui un remède existe, un antipoison, un contrefeu, une salubre thérapie qui est :
….d’être diversitaire ( possible de demeurer universitaire mais en admettant que le DIVERSITAIRE prédomine et reste bien plus étendu…)
Le diversitaire aussi utile et vital que la biomasse, que la diversité bio dite biodiversité, que la jonction, qui ne nie et renie aucun, de tous les savoirs existants assemblés, etc.
… …………………………...le plus beau c’est diversitaire, non ?
……….……(à suivre)
Lorsque-la-chasse-aux-fake-news-cest-aussi-bon-pour-le-climat
« C’est dans ce contexte que des scientifiques ont créé l’initiative Climate Feedback : un réseau international de scientifiques évaluant la crédibilité d’informations influentes dans le domaine du changement climatique. Le principe est le suivant : les articles les plus influents sont identifiés chaque semaine en fonction de l’audience de leur site de publication et de leur viralité sur les réseaux sociaux (cette viralité étant surveillée en temps réel via le site Buzzsumo). »…et ensuite cette likerie est comparée avec leurs contenus réels et leurs pertinences fondées ou non – comparaisons pas si souvent en faveur des likes. Comme quoi, même là les apparences trompent lourdement !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la plus vaste diversité nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
/https%3A%2F%2Fclimatefeedback.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2015%2F05%2FClimate_Feedback_WSJ.png)
Climate Feedback: in depth analyses of the scientific credibility of climate media articles
"California wildfires are being magnified & made so much worse by the bad environmental laws which aren't allowing massive amounts of readily available water to be properly utilized. It is being ...
« Le numérique a intégré toutes les couches de la création »
Usages et limites de la symétrie dans les représentations graphiques en géographie…d’où la nécessité de la topologie !
Daniel Kaplan: « Les imaginaires sauveront le futur »
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Fing.org - Fondation Internet Nouvelle Génération
Association pour susciter une réflexion sur les usages de l'Internet de demain
FING (Fondation Internet Nouvelle Génération)
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"If, as the saying goes, 'politics is the art of the possible', it follows that we need arts in order to multiply possibilities." Bruno Latour, 2016 The Plurality University (U+) emerges from a ...
…« pour élargir le champ des futurs pensables »… Donc indispensables ? Avis aux amateurs : l’université de la pluralité tient à vous voir ! Hé, nous n’y sommes pour rien de cette invitation qui n’évite pas de nous éviter !
TV5MONDE : L'université de la Singularité arrive en France
Topologie et groupes de symétries : « Les maths ne sont qu'une histoire de groupes" -- Henri Poincaré, 1881
Claude Aslangul, « il n'y a pas de particules, il n'y a que des champs », Hobson… D’où importances (inaperçus) des localisations donc des trajectoires pour les localiser…Et des méthodes : oui, tel l’archer qui doit «estimer» son jet, devenir avisé avant que de viser…oui lorsque jauger est bien juger, soupeser avec maestria le poids de toutes choses,
Utilisation de la Jauge dans un contexte mathématique par David Beauchesne
La transformation numérique…en dessins et en formules !
Comprendre la révolution numérique : le but central étant d’échanger des informations comment se fait-il que les mentalités ne changent pas vraiment – une partie des humains demeure trop coincée dans l’impasse complète qu’est le capitalisme. Qui ne sait que détruire la nature, donc le futur, et faire exploser les inégalités, donc saccager toute la société ?
Les imaginaires croisés du numérique et de l'écologie
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Laurent Gayard : géographie du continent virtuel - L'Incorrect
Avec Darknet, GAFA, Bitcoins (Slatkine & Cie), notre collaborateur Laurent Gayard nous offre un passionnant tour d'horizon d'Internet, cet univers parallèle dont vous êtes le produit. Nous l'avon...
https://lincorrect.org/laurent-gayard-geographie-du-continent-virtuel/
2 vidéos en illustration
A la découverte de « l'art robotique » : l’art qui rend robot comme on dit chèvre ?
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Par Finian Cunnigham Paru sur MintPress sous le titre Steve Bannon Declares 'War Rooms' to Win European Elections - and That's Not Meddling? L'une des caractéristiques de la décadence impériale est
Modèles d’ingérences prouvés…« Depuis la déclaration ouverte de Steve Bannon sur sa « guerre politique » contre l’Union européenne et la décision de James Mattis de dicter aux Macédoniens un vote en faveur de l’adhésion à l’OTAN, le niveau d’ingérence pure et simple des Américains dans la politique européenne dépasse toute mesure par rapport à tout ce dont la Russie est accusée, même si ces accusations étaient étayées, ce qui n’est pas le cas. L’ingérence abusive étasunienne dans des démocraties étrangères n’a rien de nouveau. Rappelons que l’un des premiers projets étrangers de la CIA américaine a été d’influencer les élections dans l’Italie d’après-guerre pour vaincre les communistes émergents. Plus tard, Washington a révélé son ingérence dans les élections russes de 1996 en faveur de Boris Eltsine. L’Amérique s’est immiscée sans relâche dans des dizaines de pays pour s’assurer de résultats d’élections favorables à leurs intérêts. Bannon et Mattis ne sont que la dernière expression de cette activité typiquement américaine. Sur fond d’allégations sans fondement contre la Russie, l’hypocrisie et l’orgueil des étasuniens sont impressionnants. »…sur leur incapacité (au moins une fois) de voir la réalité en face. Plus irréalistes et idéalistes qu’eux ? En tout cas, absolument inaptes aux décisions pour tous…
Entretien d’Issy : Les imaginaires du futur avec Alain Damasio