Sur 50 ans cela se voit encore mieux ?
Ce qui échoue ? Partout la mauvaise foi des institutions étatiques lorsqu’elles ne se vouent qu’à dissimuler comment les trop riches dépouillent les autres – jusqu’aux trucages des organismes privés qui joignent leurs efforts afin de rendre illisible la société, partout, ils se voient démasqués. Terrés et atterrés dans le court-terme, ils sont proprement confondus par le moyen terme. L’Histoire est vraiment contre eux…c’est qu’ils ont trop trahi les faits. Aucune objectivité, aucune honnêteté, pas d’impartialité, encore moins d’équité – ils ont vraiment tout de la dégaine pitoyable des grands escrocs…Nous ne les excuserons jamais de tous leurs actes de faussaires et de leurs comportements parallèles si pitoyables ! Jamais de panache, encore moins de flamme et strictement aucune grandeur – ils se vautreraient et se traineraient !
Banques, pouvoirs d’achat, politiciens qui vendent leurs pays et médias complices – tout un chœur qui dysfonctionne en même temps…Comment ? Commençons par le pouvoir d’achat qui n’augmente plus significativement depuis 1975 et dont l’Insee insiste pour nous faire croire l’inverse – dans les années 2000- 2010, il en venait même aux quasi insultes. Or ? L’Insee a menti surtout par fainéantise complète sur ses indices inchangés malgré les évolutions sociétales…l’excuser c’est le rendre vraiment indépendant, l’institut, par rapport aux politiques au pouvoir (qui semblent ne plus être que les exécutants du capitalisme libéral…capitalisme qui sait que dès que toute la vérité sera faite sur lui, il disparaîtra !)…Découvrons pourquoi…
« Philippe Herlin nous présente son travail sur les mensonges énormes contre notre vrai pouvoir d’achat. Entre calculs biaisés de l’indice des prix à la consommation et augmentation du coût du logement mal intégré, l’économiste démontre chiffres à l’appui que la hausse du pouvoir d’achat est une complète illusion [[sur 50 ans cela se voit encore mieux]]. Il verse également dans l’analyse économique des causes et conséquences de ces malversations et donne ses solutions afin d’améliorer la capacité d’achat des Français.
Un sondage BVA daté de février 2018 souligne que « 68% des Français ont le sentiment que leur pouvoir d’achat a plutôt diminué au cours des 12 derniers mois ». Pourtant, l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) assure qu’il a augmenté de 1,3% en 2017 [[ les 2 ne pouvant avoir raison en même temps, qui a donc tort ?]].»…Ce qui est nommé «indice qualité» ressemble bien à une imposture : de tout diviser, et plus qu’arbitrairement, par 20 (cela se rend très visible sur la longue durée) éloigne fondamentalement des réalités…Comment l’expliquer ? Si la prétendue qualité augmente et que «le prix de cette qualité existante ou non» augmente - il est considéré qu’il n’y a pas …d’augmentation de prix ! Et donc le pouvoir d’achat est menti : mais oui il est dit augmenter (alors qu’il reste moins de monnaie dans le portefeuille). Le défaut cinglant de cet indice qualité est que cela va toujours dans le même sens…sempiternellement la qualité augmente et ne baisse jamais (or tous les esprits pratiques et réalistes ont maintes fois remarqué que la qualité peut…baisser, aidée aussi par l’obsolescence programmée)…Pour l’Insee divinatrice, jamais de Baisse de qualité. Les conséquences ? Nombres de droits à payer ou à recevoir sont indexés ou basés sur « les chiffres Insee » donc dire amélioration du niveau de vie où il y a détérioration c’est spolier encore plus les pauvres et moyens (les 4 spoliations sont à l’achat, à réception des droits constitutionnels , aux trop d’impôts ou taxes payés par rapport aux trop riches qui se désistent sur leur dos, et au coût global de toutes ces aberrations lorsque «la socialisation des pertes» c’est encore pour pauvres et moyens – alors qu’un simple raisonnement admet que les dettes des trop riches sont à payer par eux-mêmes !)….Ainsi l’utilisation, fort arbitraire de la notion de qualité fausse complètement le réalisme de l’inflation…d’où surfacturation, aussi, des assurances et garanties, etc.)…
A ceci le refus sans argument (c’est que ce choix révèlerait, aussi, que depuis 1975, le travail n’a plus reçu sa juste part de plus-values, en tant que vrai créateur de valeurs et de richesses il est donc très spolié des «apports de sa productivité» ! Ce sont donc les pitoyables raisons dans tel domaine qui sèment les désastres dans d’autres, etc. suivre tous les cercles vicieux de ce Système qui ne connait aucun cercle vertueux !) de ne plus mesurer rationnellement des indices tels le si lamentable « indice qualité » (qui, après 50 ans, est plus qu’erroné !) mais de mesurer ce fumeux (et pas fameux) panier de la ménagère en temps de travail nécessaire pour la production de produits (produits et pas qualificatifs pour lien avec qualité). Ce qui annonce une visible cassure à partir de 1975 : JAMAIS, depuis, il n’y a eu de gain de pouvoir d’achat très significatif…avec même des pertes graves au niveau logement, ensuite se déplacer et manger (surtout depuis 2000 – 2010) que des pertes…un peu de gain sur vêtements, etc. mais ne pesant pas suffisamment pour bramer une augmentation de pouvoir d’achat…là où il n’y en pas ! Les augmentations réelles de prix ayant été occultées. Tout semble même s’être empiré depuis 2000 ? Puisque les citoyen.ne.s n’ont même plus le droit de dire «la vie est plus chère !»…Leur perception de la réalité en est insultée « vous avez la berlue, les chiffre Insee ont raison et vous tort ! »…
Là, Philippe Herlin compare un « effet Cantillon »…soit à l’impact des arrivées successives d’or au XVI ème siècle. Où ce et or ouvre à l’inflation sur les armes, puis aux inflations sur ce qui permet les armes »…d’où augmentations insistantes des prix (effet Cantillon)…Augmentations des prix oui telles «des afflux de fausses monnaies artificielles »…Pour 2000 avec « le surgissement Internet ce sont, principalement, la flambée des matières premières et les hausses affolantes des prix au logement (mais sans que rien des 2 nouveaux flux n’ait été pris en compte par l’Insee) qui ont fait surgir la certitude des consommateurs : mais nous avons PERDU DU POUVOIR D’ACHAT…le dinosaure Insee (isolé des réalités concrètes de l’époque) broute dans ces nuages que blablabla le pouvoir d’achat augmente blabla…les consommateurs ne le croient plus…mais les politiques font comme si l’Insee avait raison d’avoir tort .- augmentant d’autant plus les illégitimes braquages contre les pauvres et les moyens. Nous en concluons que «les trop perçus» de cette époque peuvent se monter jusqu’à 80 % des patrimoines actuels et que justice et logique se regroupent pour en exiger les très légitimes remboursements. Oui sur 50 ans le constat est impitoyable : les classes qui se prétendent supérieures ont eu tort partout !
*** - que ces politiques ont eu infiniment tort de préférer l’emploi au pouvoir d’achat
*** - qu’ils ont encore plus eu tort d’imposer l’austérité vraiment à centre temps
*** - qu’ils ont tort de préférer gonfler démentiellement les salaires des patrons plutôt que de s’occuper de la productivité (donc de ces gains offerts par la qualité oubliée partout sauf dans les indices Insee) – de celle qui, justement, augmente le vrai pouvoir d’achat)
*** que ces politiques, vendus à l’argent, ont encore plus eu tort de semer le trouble le désordre et l’illisibilité dans la société, comme si désastre de la terre brûlée, après ces despotes désorientés, les autres ne méritent plus que le déluge. Sauf que tout retrouve sa cohérence naturelle…ces despotes dans un verre d’eau n’auront brouillé que les souvenirs vraiment peu amicaux qui resteront dans leur sillages-pillages?
*** que l’erreur inexcusable de ces esprits trop brouillons (égarés dans leur antimarxisme primaire : alors que Marx les supplante encore et encore !) : de ne pas admettre que c’est l’organisation du travail – productivité – qui augmente le pouvoir d’achat et pas l’augmentation du salaire…exemple : une télé couleur c’est un 1 an de salaire en 68 et tellement moins en 2018. Sauf que la désindustrialisation catastrophique voulue par ces vraiment non- supérieurs (parce que les services ne sont pas délocalisables !) aboutit à ce que c’est l’Est du monde qui connait ces gains de productivité qui augmentent « leur » pouvoir d’achat…pas le nôtre…pendant que ces indignes décideurs conviennent à nous voler nos gains eux bien mérités…alors qu’ils n’ont commis que fautes sur fautes…Au lieu de s’amender, de réparer de rembourser, payant de leurs poches des réindistrualisations vitales, non…ils préfèrent tourner voyous…le chômage vient de la non augmentation des gains de productivité : c’est donc de leur fait, ils ont désindustrialisé à contretemps. Ils doivent solutionner le chômage sur leur patrimoine trop immérité … Sur 50 ans cela se voit encore mieux !
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Quand-un-tribunal-francais-invente-le-délit-de-citoyenneté-Vraiment-?
Ajouté à ceci, le fait que les banques volent le pays réel : ici les collectivités locales. Oui, elles leur font payer, avec un cynisme incroyable, les titres toxiques nés en 2008…Il faut aller vérifier pour le croire… «Dans une décision du 27 septembre 2018, les juges du tribunal administratif de Grenoble ont condamné trois citoyens défendant leur collectivité contre les pratiques semblant mafieuses des banques à payer 1 200 euros au titre des dépens dans le cadre d’une action en justice, créant de ce fait un nouveau délit : le délit de citoyenneté.
Jurisprudence/Jugement-du-27-septembre-2018-N-1604649-Grenoble-Alpes-Métropole
>>>> *** - Jugement du 27 septembre 2018 N°1604649 - Grenoble Alpes Métropole : Le tribunal rejette une requête dirigée contre les délibérations de la métropole de Grenoble autorisant son président à conclure une transaction avec des organismes financiers à propos d'emprunts dits "toxiques". Alors qu’il est dans son plein droit : ces emprunts « toxiques » (donc clairement illégaux) ce n’est pas lui qui les a généré. Mais bien ces banques publiquement félicitées pour se conduire…en grandes délinquantes !
… avec la complicité des gouvernements successifs…Face au refus des banques de renégocier ces emprunts à des conditions honnêtes, beaucoup de collectivités ont alors décidé d’agir en justice et ont obtenu gain de cause car le taux effectif global (TEG) qui devait être mentionné sur le contrat n’y figurait pas ou était inexact. Mais pour les empêcher de gagner sur ce motif, le gouvernement au pouvoir à l’époque a fait voter par le Parlement le 10 juillet 2014 une loi scélérate de validation rétroactive de ces emprunts illégaux. [[députés à la botte, sans la moindre indépendance, sans plus aucune objectivité et ennemis de leur propre pays…cela interpelle vraiment !]] Avec cette loi la mention du TEG n’était plus une condition obligatoire et cette disposition valait aussi pour tous les emprunts déjà souscrits. Pour faire passer la pilule, la loi créait un fonds de soutien doté de 3 milliards d’euros… financé par les contribuants contribuables. Il restait toutefois d’autres moyens de droit à invoquer pour attaquer ces emprunts faussés, tels que leur caractère spéculatif, le manquement par la banque à ses devoirs d’information, de conseil et de mise en garde, la tromperie, le dol, etc. Pourtant, peu d’élus ont décidé d’engager le bras de fer contre les banques pour contester le paiement de ces dettes illégales et illégitimes. Pour tenter de pallier cette inertie, quelques collectifs d’audit citoyen ont décidé d’engager le combat.
… et le soutien de la justice : aux ordres du pouvoir, les juges civils et administratifs ont systématiquement rejeté les demandes des collectivités qui avaient engagé des actions. Les autres collectivités ont cédé à la pression des préfectures et ont préféré passer un accord avec la banque pour sortir des emprunts mais en payant des indemnités colossales.[[ le cours logique des choses, ce sont à ces banques de verser des dédommagements aux collectivités, est ainsi…inversé : c’est bien le haut de la société qui la désorganise, y sème les troubles et agit en ennemi anormal !]]. Dans quelques-unes de ces collectivités, des citoyens rassemblés dans des CAC (collectifs d’audit citoyen) ont attaqué les délibérations votées par les conseils municipaux ou communautaires. À Nîmes, Vichy, Dijon et Grenoble des actions citoyennes ont été engagées [[ monde à l’envers : ce sont aux citoyen.ne.s de reprendre les choses en main, de réparer les dégâts des politiciens, et de faire respecter la justice et « son traitement identique de la loi envers tout le monde», soit, concrètement, pas de privilèges et pas de discriminations !]]. À Nîmes, le 6 mars 2018, les membres du CAC 30 ont obtenu l’annulation de 3 délibérations de la Métropole de Nîmes au motif du manquement du président de la Métropole de Nîmes à son devoir d’information. Dans cette affaire, la banque (le Crédit Foncier, filiale de BPCE) a fait payer à la collectivité une indemnité faramineuse de 58,6 millions d’euros en plus des 10 millions de capital remboursé. Mais les juges du tribunal de Nîmes se sont bien gardés de remettre en cause la légalité des contrats des emprunts toxiques ainsi que des conditions dans lesquelles ils ont été mis en place[[ pourtant une évidence de procédure !]]. Une nouvelle délibération a été prise par la collectivité et un nouveau recours a été engagé par les membres du CAC 30. »…
Oui ceci se passe en 2018, 2 018 où il y aurait un pacte girondin loyal envers les collectivités locales (alors que le centralisme a toujours été très anti-girondin – soit ceux qui préconisaient le fédéralisme en 1789 (n’oublions pas les «fédéraux» qui ont mené cette année 1789) et les années suivantes jusqu’à leur élimination par les Jacobins centralistes --- aussi cette appellation de «girondin», dans tous les contextes actuels d’hyper autoritaristes centraux non argumentés semble très incongrue !). Et les vraies questions sont plutôt : « Aujourd’hui, ce n’est pas la justice qui dit le droit mais les banques et les escrocs de la finance grossièrement dissimulés derrière des marionnettes en robe noire. Il est grand temps de rendre la justice au nom du peuple français et de placer les banques sous contrôle citoyen au moyen de leur nationalisations salutaires ». Par qui ?
Qui-attendrait-le-président-providentiel-?
La réflexion du blog, mis en lien, et son livre récent «Qui attend le président providentiel ?», dans ce contexte si inattendu (qui peut imaginer, a priori, que les classes non supérieures sont tombées aussi bas ?), nous offre des phrases bien formulées. De quoi se former un jugement, d’exercer son esprit critique, de parcourir les circuits de causes et effets et, donc, de se faire une idée claire des solutions à vraiment mettre en œuvre
Sur les inégalités : « Depuis quand est-ce qu’on mesure la richesse d’un pays au nombre de milliardaires qui y habitent ? Ce serait plutôt la mesure de la corruption qui permet aux milliardaires de faire les poches de la population.» [[ Adam Smith, en 1750, clarifiait que « pour faire un seul riche, il faut 20 000 pauvres ». Aujourd’hui, est –ce 2 millions ou 200 000 pauvres pour un seul minuscule et si illégitime trop riche ?]]
Sur le chômage : « Comment voulez-vous combattre le chômage en obligeant ceux qui travaillent déjà à travailler plus et plus longtemps ? »
Sur les politiciens donneurs de leçons : « Combien de fois des hauts fonctionnaires, sénateurs, ministres, vous ont-ils fait des leçons de morale, demandé de vous serrer la ceinture, pendant qu’ils se votaient eux-mêmes des augmentations parfois de 20 % ou même plus ? » [[ tant que leur pouvoir d’achat réel ne sera pas très amoindri, ils ne participeront jamais, mentalement, de la même réalité que les grandes majorités. Ils resteront marginaux et trop séparés du réel !]]
Sur la dette et la monnaie : « Quand va-t-on arrêter d’exploiter les pays par la dette, alors qu’il leur suffirait simplement de créer leur propre monnaie ? » [[Le principe d’Ockham qui dit que la réalité c’est la solution la plus économique en moyens joue à fond ici : un état souverain NE PEUT PAS offrir son pouvoir régalien de battre monnaie à des banques privées (qui ne s’occupent donc pas du bien public), et payer des droits anormaux à ces banques alors que la loi précise que ces banques doivent obéir et non commander. Le traité de Lisbonne ne peut qu’être considéré que comme illégal sur le fond !]]
Sur l’écologie et la permaculture : « Au lieu de combattre la nature et de tuer des dizaines de milliers d’espèces chaque année en utilisant de manière intensive pesticides, charrues, équipements industriels, nous devrions comprendre et tirer parti des symbioses et des cycles naturels pour assurer la survie de l’espèce humaine et un avenir serein à nos enfants et petits enfants.»[[ le fait que les classes non-supérieures soient sans cesse dans les dénis du réel nous permet de ne plus les suivre dans ces maladies mentales !]]
Sur le progrès technologique : « nous ne devons pas avoir peur du progrès technologique. Ce dont il faut avoir peur, c’est d’avoir d’un côté une technologie qui évolue et transforme totalement la manière de créer de la valeur, sans que la société elle-même ne transforme sa propre structure économique pour s’adapter à ces changements. »[[ les irréalistes étant ces médiocrates despotiques, ces lobbies ayant perdu toute raison, tous ces conflits d’intérêts ouverts et multiples qui décrivent le désastre politique global actuel…c’est aux citoyen.ne.s de réagir point par point : fin des politiciens professionnels, auto-élucidations permanentes de la société par elle- même, impossibilités que des médias d’argent puissent exister, remboursements des privatisations illégales et retours des services publics, réorganisations complètes des activités humaines, etc. !]].
Ce-qui-vaut-mieux-que-tous-les-discours-sur-le-changement-climatique-?
En matière de réflexion : ce texte assez long propose, au regard des mots utilisés et des comportements pas adaptés à ces mots, de détecter les incohérences collectives autour des changements climatiques (il y en plusieurs simultanés et pas un seul…donc plus « le » changement !). Seulement, son défaut, c’est de tout mettre sur le dos du peuple, à travers la société civile…et d’omettre et à 100 % ceci : les états se sont permis de dire qu’ils vont s’occuper à plein temps des conséquences sociales et économiques de ces changements (préférés à bouleversements, bouleversements pouvant être entendus par un mais qui a ou ont bouleversé ?). Or, les résultats de tant de moyens gesticulés et de prétentions imbuvables – sont pires que lamentables. De nombreux citoyens (sans moyens) ont fait des efforts difficiles et méritoires. Les états (bouffis de moyens) aucun effort, sauf de blablas plus que malhonnêtes donc !
<<<< >>>….Dans le but de conclure, nous allons encore citer Christophe Guilluy, ce n’est surtout pas que nous serions affiliés à lui…mais que, dans le vide (et les puérilités) assez général des non-réflexions actuelles des ex-classes moyennes (qui persistent à séquestrer encore tous les débats), il dénote…et ses concepts se prouvent très constructifs (ce qui reste notre ambition aussi : réfléchir à fond mais pas dans le but de parader mais bien de mettre en place des solutions pour tous…à la place des prétendus dirigeants, à l’évidence trop défaillants…Et ?... « Actuellement, on retire de plus en plus de compétences économiques aux décideurs locaux. La suppression à venir des départements et la création de mégarégions, tout ça va dans le sens d’une recentralisation [[ tout ceci complètement irrationnel, puisque l centralisme est un vrai fiasco et que, pour l’écologie, seule sa décentralisation complète et loyale, permettra de sauver la vie, et son écrin la Nature !]] : toute décision économique des nouvelles régions est subordonnée à l’autorisation d’un préfet de région. Le système tient donc un double discours : celui d’une fake décentralisation qu’il est impossible de réaliser dans les faits puisque les territoires se voient retirer toute compétence susceptible d’agir sur le réel. Je pense qu’il va y avoir une révolte des élus de ces territoires [[… puisque…]].
Christophe-Guilluy-les-classes-prétendues-supérieures-se-sont-séparées-de-la-société
« Pour la première fois dans l’histoire, il n’y a plus de contact entre le haut et le bas, il n’y a plus de lien » Le piège dans lequel sont tombées les fausses élites, c’est qu’à force de mise à distance et de relégation des catégories populaires dans le camp des «déplorables» racistes et xénophobes [[ alors que ces non-supérieurs le sont tellement plus mais sur le mode hyper sournois…]], ils finissent par ne plus avoir aucune influence sur ces catégories qui ne les écoutent plus. Cela se retourne contre la bourgeoisie elle-même [[ c’est ce qui, formulé différemment, correspond précisément à nos propres constats objectifs…les bourgeois sont…égarés, plus qu’incapables de connaitre et reconnaitre le monde qu’ils ont si irrationnellement créé…il faut comme les mettre sous tutelle intellectuelle et juridique, qu’ils/elles ne prennent plus de…décisions pour les autres !]]. »
…………………………..************************************
C’est que nous nous trouvons bien devant un tout nouveau récit du monde où les classes non-supérieures ne se montrent plus que fauteuses de troubles, embringuées dans des attaques contre les biens publics, des mensonges généralisés et des incapacités flagrantes à diriger quoi que ce soit de public. Ce nouveau et déjà bien consistant récit du monde nous dévoile tous ces humains de base qui réparent les dégâts des puissants, qui barrent la route à leurs méfaits flagrants contre l’intérêt général, qui protègent de leurs si dangereux dénis du réel le futur de l’humanité et des prochaines générations. Etc. (liste incroyablement longue). Et que donc ce sont eux les adultes, les responsables, les rationnels et les sérieux de l’époque…ils /elles peuvent commencer à tout prendre en main et stopper les malversations et autres troubles à l’ordre réPublique que le prétendu haut de la société se permet, actuellement, en dérapages inadmissibles toujours plus…
Disons que sur 50 ans, cette claire apparition d’une vraie élite planétaire (celle qui subit les désastreuses censures censitaires !) se montre toujours mieux…ce qui implique, symétriquement, la chute des classes non-supérieures…
……………qui n’agissent plus en tout que comme des évidentes inférieures !
......….……..……(à suivre)
…………….…………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste révolution mentale nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
sauf que comme les indices des prix à la consommation sont faussés (divisés par 20 par rapport aux prix réel depuis 1975), ces histogrammes sont purement indicatifs…de vagues tendances floues et pas du concret !
si vous tracez la ligne de vos revenus vous la voyez tout en bas, et au-dessus que des augmentations. Et donc ? Pour qu’il y ait un vrai pouvoir d’achat il faut cette ligne de revenus se situe un peu au-dessus de ces augmentation. Et la différence entre sa courbe et les autres en-dessous (parfois groupée dans la ligne « panier de la ménagère ») représente l’existence réelle (o non) d’un pouvoir d’achat…Pour 2018-2019, comme la ligne globale des revenus est tout en dessous c’est le constat d’une véritable perte pour presque tout le monde. Clair ?
Lorsque les Droits économiques de tout un chacun sont volés en public…jusque dans leurs collectivités territoriales !
décision du 27 septembre 2018, les juges du tribunal administratif de Grenoble tirent contre les collectivités locales. Et cela sonne comme une inexcusable grave injustice (c’est bien piller en direct l’argent du contribuable contribuant) ?.
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Emprunts toxiques : l'État préfère défendre les banques plutôt que les collectivités flouées
C'est un nouveau rebondissement dans l'affaire des emprunts toxiques, dont les collectivités locales et les établissements publics se seraient bien passés. Le 24 juillet dernier, le Conseil ...
L’intérêt général ce sont les collectivités locales élues et non les banques privées …non élues !
Les collectivités territoriales n’ont pas le droit de souscrire à des produits spéculatifs. Les banques (sans les informer) les y forcent. C’est donc les banques qui ont…raison. Vraiment ?
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Emprunts toxiques : une solution est possible : alertez vos élus - Ciel Voilé
Le sujet de cet article n'est pas en lien direct avec l'objet du site : la géo-ingénierie clandestine. Mais la nouvelle est si bonne qu'elle vaut d'être diffusée. Il n'est peut-être pas trop t...
http://www.cielvoile.fr/2015/07/emprunts-toxiques-une-solution-est-possible-alertez-vos-elus.html
Une loi scélérate de validation rétroactive de ces emprunts « toxiques » illégaux (que les banques ont caché, caché sans doute parce que sont des fraudes prémédités que d’asseoir des prêts sur du spéculatif « pourri » !)
Les banques sont reparties à l'offensive auprès des collectivités locales ? Banques créditées de convoitises – alors que, tout au contraire, il s’agit de dissuader ces convoitises de toucher à l’intérêt général, aux institutions locales et au « communs »…ce monde à l’envers des corruptions par le haut est toujours plus ébranlé…qui dit ébranlé dit qui va…tomber !,
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Confirmation du principe de la liberté du crédit
Voilà une décision, favorable à la liberté du crédit - et donc aux établissements de crédit - qui ne surprend nullement. Les faits sont les suivants. Confrontée à des difficultés financi...
https://www.dalloz-actualite.fr/flash/confirmation-du-principe-de-liberte-du-credit
La décision d’un établissement de crédit de ne pas renouveler un concours revêt, désormais, un caractère discrétionnaire. Extension du domaine de l’arbitraire !
Réalité contre l'Insee : quand un économiste dévoile le très grand mensonge autour du pouvoir d'achat…où l’Insee affirme son augmentation (mais sans preuves recevables) pendant que la majorité des humains confirment sa baisse. Le 2 ne peuvent avoir raison en même. Alors ?
INSEE comment cela fonctionne : Les indices des prix à la consommation et le pouvoir achat…final.
Notre pouvoir d'achat va-t-il encore baisser ? L’Insee divinatrice affirme seule sa hausse (oui que le très petit nombre des séparatistes antisociaux…) pour les immenses majorités, c’est très malheureusement la baisse !
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Quelles sont les nouvelles banques des collectivités locales?
Minées en 2008 et en 2011 par la faillite en deux temps de leur principal partenaire bancaire, Dexia, les collectivités locales ont depuis vu de nouveaux acteurs leur proposant des solutions de ...
Le marché du crédit aux collectivités locales est désormais majoritairement occupé par des acteurs publics. Ce qui ne peut que devenir un rempart suffisant contre les abus inexcusables du privé…
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Emprunts toxiques aux collectivités locales, à qui la faute?
Presque 10 ans après la crise des subprimes qui a fait s'affoler les taux d'intérêt des emprunts toxiques que la banque Dexia avait vendus aux collectivités locales, de nombreuses communes se ...
Le Sénat (parfois, plus proches des collectivités locales) affirme ceci : « Presque 10 ans après la crise des subprimes qui a fait s’affoler les taux d’intérêt des emprunts toxiques que la banque Dexia avait vendus aux collectivités locales, de nombreuses communes se retrouvent encore à devoir rembourser. Mais alors comment justifier une telle dérive ? Comment a-t-on pu laisser s’endetter des milliers de collectivités sans agir ? Qui sont les responsables ? »…Article très dérangeant…
Emprunts toxiques et conséquences 10 ans après : lorsque les collectivités locales paient pour les financiers irresponsables ? Donc tous les contribuables contribuant au final.
Patrick Saurin - Emprunts toxiques : escroquerie bancaire, complicité politiques et judiciaires.
Quelles relations entre les collectivités territoriales et les établissements bancaires ?
Pour mener à bien leur politique, les collectivités territoriales disposent de ressources bancaires, destinées à l'investissement, en complément d'autres ressources (fiscales, tarifaires, dota...
Naguère, les collectivités territoriales étaient utilement secondées par les établissements bancaires pour le financement de leurs investissements : obtention facile du crédit, taux d’intérêts bas, confiance mutuelle. La crise de 2008 a renversé la situation : le paysage bancaire s’est transformé avec le démantèlement de DEXIA, les normes prudentielles imposées aux banques et la raréfaction du crédit constituent de nouvelles menaces pour une gestion équilibrée des budgets locaux. Donc, à terme, tout le pays.