Viser de deviser ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Viser de deviser ?

Ces visions d’ensembles sont à viser. A deviser juste. Non, l’humanité n’a surtout pas toujours passé son temps à détruire la Nature. Ce qui nous donne le droit de voir comment des êtres plus évolués que nous se débrouillaient…Ensuite, la même humanité n’a pas toujours passé tout son temps à saboter la société. Elle a même vraiment respecté les humains. C’est quoi alors ce « centre si désaxé » qui ne peut décoller d’une existence plénière du mal ? Déjà d’oser que des humains du passé étaient «plus évolués» que nous ne s’arrange pas avec la maniaquerie compulsive de considérer que nous sommes dans une ligne droite simpliste…ligne qui ne fait qu’inéluctablement monter, partant d’un point de grande arriération et progressant vers toujours plus de sagesse et de raison. Ce qui se passe depuis quelques décennies nous laisse penser qu’il n’y a plus (surtout dans le soi-disant haut toujours plus…bas !), plus beaucoup de raison et encore moins de sagesse ! Leurs minables corruptions ne sont pas une évolution ni un progrès…Donc pas de courbe évolutive uniment tournée vers une amélioration collective grâce à des dirigeants d’une exemplarité toujours plus puissante. Patatrac et boum et badaboum et tracpatasempatouillé…ce n’est plus cela. Interruption définitive de l’Image qui nous hypnotisait toutes  et tous…C’est le dicton qui fait le ton. Ton dicton, tontaine et tonton !

 

Non-l'Humanité-n'a-pas-toujours-détruit-la-Nature

 

« Par ailleurs, cette vision de la nature humaine ethnocentrée et mensongère nie des réalités étudiées concernant les peuples dit non civilisés qui subsistent encore aujourd’hui. Loin de le détruire, certains d’entre eux enrichissent leur milieu naturel, en témoignent les travaux de l’ethnoécologue Serge Bahuchet, du biologiste Madhav Gadgil ou encore de l’écologue Charles M. Peters. Les seuls exemples de sociétés humaines véritablement soutenables que nous connaissons appartiennent à cette catégorie des sociétés non industrialisées, non civilisées. L’occulter nous condamne à ignorer la seule manière pour l’être humain de vivre sur la planète Terre sans la détruire. Cette projection de la destructivité dont fait montre la civilisation industrielle [[ qui ne cherche surtout pas à se…rationaliser, à se « réguler » ni à entrer en symbiose intelligente avec la Nature – il y a un côté insalubre et entêté dans cette industrialisation « forcée » qui n’a jamais été formulée : la tempérer hors tout profits possibles lui rendrait-elle dimension humaine ? Hors sa bestialité actuelle ?]] sur toutes les cultures et tous les peuples qui composent et qui ont de tout temps composé l’humanité n’est qu’une autre manière de rationaliser et de naturaliser l’idéologie capitaliste dominante [[ ce qui est profondément ratée, vue l’intention si malsaine de tromper et mentir qui se trouve derrière]]. Elle s’inscrit dans la même veine que l’affirmation de certains [[ seulement des médiocrates, pas de grands esprits ! Le capitalisme actuel n’a que de petites têtes pas de grabds hommes ]] selon laquelle la compétition est l’unique moteur de l’évolution. L’idéologie capitaliste ainsi projetée sur le monde naturel, le capitalisme hériterait d’une justification naturelle [[ héritage qui n’a pas eu lieu dans l’honnêteté intellectuelle…]]. Tandis que de Pierre Kropotkine à Pablo Servigne, en passant par Lynn Margulis et beaucoup d’autres, nombre de scientifiques affirment depuis longtemps déjà que la compétition n’est ni le principal ni le seul moteur de l’évolution, et que la coopération pourrait bien être une force tout aussi voire davantage motrice. Le capitalisme n’a rien de naturel.[[ puisque la véridique nature c’est l’entraide ! Il n’est donc pas « naturel », encore moins légitime, mais profondément bestial et barbare que des intérêt privés se permettent de saccager la nature qui appartient à tous ! C’est seulement du banditisme antisocial]]

Le mouvement écologiste ne doit pas se laisser envahir par cette idéologie fataliste et excessivement réductrice de notre passé commun. Homo sapiens ne détruit pas la planète depuis des centaines de milliers d’années [[ tout comme les animaux n’ont jamais fait la guerre et ne torturent toujours pas – le darwinisme social de la fausse loi du plus fort (traduit par les minables par « loi du plus violent ») ne peut pas exister. Sauf à ridiculiser complètement qui l’endosse :!]], il n’est pas non plus intrinsèquement destructeur. 50.000 ans après le premier peuplement humain de Bornéo, l’île était encore recouverte d’une forêt luxuriante. La destruction de la forêt de Bornéo a véritablement commencé au XXe siècle, avec l’exploitation induite par la civilisation industrielle [[ celle des barbares puisque qu’ils se droguent sans décence aux profits fous…]]. Ce n’est pas pour rien qu’aujourd’hui encore 80 % des zones les plus riches en biodiversité sont des territoires où vivent des peuples autochtones. En matière de relations avec le milieu naturel, nous avons énormément à apprendre de notre passé et des cultures non industrialisées et non civilisées qui subsistent encore aujourd’hui [[ ce qui contraint à pénaliser les crimes économiques (illégalement dépénalisés il y a une 20 d’années : d’où tant de problèmes actuels, tant ll reste impossible de faire confiance aux délinquants riches)  et à contraindre les voyous capitalistes à apprendre le vrai passé » de l’Humanité , face auquel ils sont comme de petites frappes !]], malgré l’incessante expansion de la civilisation industrielle, cette monoculture monomaniaque mortifère. Nous ne devons pas les laisser disparaître. Par éthique et solidarité avant tout, bien sûr, mais aussi pour notre propre futur. Elles emporteraient avec elles une grande partie de ce qu’il nous faut réapprendre. »…En commençant, en toute priorité, par « le haut » si barbarisé de la société !

la-destruction-des-grandes-forêts-met-en-péril-l'humanité

«Dans "l’Arbre-Monde", le grand écrivain américain Richard Powers lance un cri d’alarme magnifique et, hélas, convaincant… » . Oui, il est bien lu un « hélas convaincant »…Il est même interdit d’être convaincant…A quel point ils sont détraqués ! La déchéance journalistique connaitra-t-elle une limite un jour ? Le seul droit accordé étant celui d’être toujours plus médiocre, encore plus bas qu’hier, de ne rien dire surtout…la vente de leurs consciences  au commerce qui ment sur tout parce qu’il n’a plus de Qualités à vendre, devient flagrante – tenter d’écraser tout ce qui empêche de vendre de la merde en rond…L’aveu en est complet : même le plus grand génie du monde ne peut plus convaincre qui obéit, si bassement,  à l’ordre désastreux de ne pas changer du tout de style de vie mais bien de l’empirer. Ainsi, ces dernières années, les gaspillages yeux ouverts des matières premières ont battu tous les records de…gaspillages ( les fous au pouvoir ne changeront jamais fossilisés dans leurs trop grands banditismes), si cravachés par des faux dirigeants. Le capitalisme libéral insiste donc pour rester le plus grand délinquant du monde (l’hypocrite absolu qui veut se draper dans toutes les lois faussées !)…Mais l’aveu de corruption intense, par ses conformistes mêmes, bat ses records aussi : ils/elles feront tout pour saboter l’avenir…Ces sont des traitres vraiment incachables. Et nous, dans l’ampleur des paramètres de confusions acceptées (et voulues par les prétendus dirigeants …mais acceptées, sinon la révolte ne serait-ce qu’affective et intellectuelle se dresserait…là, serait-ce du crawling de rampages, à la place…jamais les soumissions n’ont été aussi désagréables à voir !  – oui, nous, nous voyons un chemin encore plus passionnant que les autres. Même si ces ennemi.e.s d’eux-mêmes cassaient tout – nous vivrions encore le meilleur  des qualités indomptables ! Qui suit ce blog ( mais pas pour ridiculement tenter de dénigrer comme ces taupes secrètes mais bien pour recueillir les plus cadeaux possibles – voir « tous ces cadeaux offerts chaque jour à des inconnu.e.s. » !) oui qui suit, au sens sensé, en vivra de nombreux épisodes…pendant qu’ils tombent sans cesse, nous ne les suivons surtout pas . Et ?...

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MARCHÉ-NOIR

Le Laboratoire Urbain d’Interventions Temporaires (LUIT) nous présente son MARCHÉ NOIR. Au MARCHÉ NOIR, on négocie les négociations de ce qui n’a pas de prix, on estime l’inestimable, la matière noire, la matière hypothétique, le désir.
Tout coûte [[ pour les orgueils mal placés et les « images » tellement mieux traitées que les êtres humains et qui, pour cela, méritent tant que nous leurs pissions dessus !]] mais tout ne s’achète pas [[ ce qui fait que la vraie civilisation continue grâce aux merveilleux irréductibles…ce ne sont pas ceux qui braillent qu’ils peuvent tout acheter qui font tourner le monde – mais bien ceux/celles que Rien ne peut acheter…ces incorruptibles beaux comme le marbre de qui n’achète plus…]]. Au sein du MARCHÉ NOIR, le désir se conçoit en dehors des valeurs monétaires et crée sa propre monnaie d’échange. À l’offre perpétuelle, nous préférons la demande construite, raisonnée, impulsive, impossible [[…impossible jusqu’à ce qu’elle nique les pitoyables spectateurs qui ont, si méchamment,  vendu le meilleur d’eux-mêmes et n’ont reçu que les crachats des pouvoirs en...non échange – le fake « libre échange » étant le pire des non-échanges !]].

MARCHÉ NOIR est une alternative [[ celle qui accuse les receleurs du « il n’y pas d’alternatives », faussaires complets qui «nous doivent» 2 222 années de prison ! Au moins…]]. Une bourse de l’ombre, un versant parallèle du trade, un piratage des marchés si mal démarchés. Loin des inanités des non-échanges boursiers, il est temps de s’accorder sur de nouvelles équivalences [[ genre 1000 politiciens de métiers ne valent pas un seul vrai écrivain !]]. Les miennes, les tiennes, les nôtres. Mon et ton son et le son de monton(s) plus haut…oui à deux c’est déjà carrément embrayé]]. Dans la salle des marchés noirs, s’affichent ce que nous sommes capables d’offrir pour réaliser nos désirs. Ce qui ce soir, fait commun.

Qu’es-tu prêt à risquer de toi pour dealer avec nous ? [[ comme nous avions commencé bien avant, nous ne risquons plus rien à continuer de tout risquer !]].
Quelle valeur accordes-tu à ton propre désir ? [[ nous, qu’il faille absolument s’unir afin d’abolir le capitalisme…étant entendu et tendu que qui n’aime pas les autres, les beaucoup d’autres, les autres en immenses foules, est évidemment toujours à ne rien faire pour abolir le monstre qui souille toutes nos vies – S’unir pour ne pas régner est le pas énorme qui permet cette abolition. Pour nous cette perle se nomme N.R.V…Son désir est le plus beau cheval toujours au galop !]]. » Alors comment rester un tranquille radical – celles et ceux dont la révolution dure toute la vie et qui transforme tout ce qu’ils touchent en profondeur ? Pour nous ce sont les ennemi.e.s définitifs du système, les seul.e.s qui vaillent le détour, qui le sont ni par ambition, ni pour « l’Image », ni pour se faire connaitre ou reconnaitre, mais bien parce que c’est une arriération qui ENLAIDIT tout le monde…non, plus de coeurs admirables à admirer, plus de grands esprits facilement accessibles (ils existent mais pour les dénicher c’est tout le contraire du facile, l’anti-communication généralisée du médiocre foutant son désordre incohérent partout, voir le livre éponyme…et ils vivent sans un seul moment FANTASTIQUE, pas un, dans leur mornes vies vouées à empêcher tout le monde d’être heureux !), plus de conversations ferventes, plus d’aventures au coin de la rue, plus de…vous croyez ?

Le-capitalisme-est-il-l'horizon-indépassable-de-l'humanité

 

La liberté d’un mouvement sans aucune intention (qui épouse donc l’univers, sa moindre courbe sensuelle…) et sans attente d’approbation ?....« La qualité de la déambulation naît de son absence de prétention. Il y a une façon de parcourir que l’on appelle « parkour » mais qui n’est pas une expression artistique ou sportive malgré toutes les tentatives de le contraindre à un engagement utilitariste et mercantile. Si c’est un art, il est sans qualité. Ce qui nous détourne de l’essentiel, il le refuse : la sophistication pédante, la prétention petite-bourgeoise à bien faire, à bien finir. Tel un art brut qui se forme à travers les éléments rebelles et grandit dans le biotope des contres-espaces, il assume son inachèvement perpétuel et c’est sans doute pour cela qu’il est un «art total». Il touche à toutes les dimensions humaines. [[ ce pourquoi il reste…invendable. Si trop étroit le domaine du vendable…tout ce qui n’est pas vendu représente la majorité des…humains. Comment, tu ne vends pas ? Eh non, je reste humain moi !  Vendre les a rendu inhumain.e.s…bye bye and don’t buy…C’est que tout ce qui touche à la grandeur, au gun giant, au surpassement, à l’œuvre qui change tout, à la passion qui passe à travers tout, au mépris définitif pour la déchéance sans issu du milliardaire que plus rien n’excuse – oui tout cela et bien encore qui tisse les splendides textes textiles, font fuir le si lâche bourgeois, cet errant existentiel qui passe sa vie à…trahir sa vie !]]. La liberté même puise dans cette absence d’intention initiale, esthétique ou sociale. Ainsi libéré de toute posture, de toute construction de la réalité, de toute assignation identitaire, le parkour libère le corps et l’esprit qui peuvent se consacrer à la recherche du mouvement juste dans une attention exacerbée aux détails qui nous entourent. [[ L’humanité ne vibre de partout qu’à condition que de grands humains l’habitent. Oui l’habitent et aiment sa nature au point de saigner sur tout. Jean Jacques Goldman a menti ces humains existent et ils/elles saignent bien plus que lui sur tout. L’Humanité n’est pas encore née, le fait est qu’ils l’ont précédé !]]…

Habiter autrement ? [[ si vous êtes humains, clair que vous habitez tout très différemment. Déjà avec infiniment de respect. Ensuite avec une attention maintenue pour les autres. Enfin, par une inaptitude à farouche à être une seule fois égoïstes…eh bien, pour nous, tout est clair : seuls de tels êtres nous propulsent dans le désir de les rencontrer, rencontrer à fond..]]. Alors que le passant habituel n’observe pas [[ dans le sens de ne le respecte jamais… ]] son quotidien ou le traverse dans une indifférence polie [[ une indifférence polie ne peut exister c’est une brutalité insensible qui est la bonne formulation ]], ici nous sommes dans une manière d’habiter qui épuise toutes les possibilités d’un lieu sans prendre possession de l’espace. La déambulation ne décrit pas un territoire, elle laisse une trace, une présence que l’œil exercé pourra reconnaître. Le traceur traverse des quartiers en reconstruction ou en déshérence, quadrillés ou en friche, nets ou vagues, rugueux ou lisses, sauvages ou policés ; il les habite sans discrimination par la simple force de cette présence humaine. Si le résident dresse les rues comme autant de frontières invisibles, le traceur y voit autant de chemins possibles d’une autre manière d’habiter la ville. Notre traversée de la banlieue de Paris nous a emmenés au nord, au sud et à l’ouest, à Saint-Denis, Villejuif et Saint-Cloud, croiser des univers qui ne se croisent jamais. Ce qui nous a fait passer d’une ville à l’autre, puis à l’intérieur de chacune d’une rue à l’autre et d’un quartier à l’autre, ce n’est pas la volonté de se rendre à un endroit, mais la déambulation en elle-même. C’est ainsi que les rencontres improbables sont possibles. »…Que tout peut recommencer, que l’œil revient à un loisir complet où plus aucun jugement ne vient…l’empêcher de voir ! C’est le dicton juste (donc que nous connaissons pas encore qui donnent le ton. Ton qui nous oblige à prendre la route et à les rechercher, en nous délestant de tout ce qui ne rend pas humain, partout et en tous lieux. Sans privilèges de lieux, ni discriminations inverses. Aucun ville (par elle-même) ne rend plus intelligent, ou plus sensible…sinon toutes l’imiteraient ! C’est cela qui ouvre à la complète aventure dans la vraie vie : il n’y a pas d’autre entrée que cet état intérieur…même si après cette entrée comme immatérielle (qui « se marque » par un vrai passage à travers les ondes !)…chacun-e va au chemin et au rythme de sa propre personnalité !

3-raisons-pour-lesquelles-les-trajets-solitaires-en-voiture-ce-pourrait-être-bientôt-terminé

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Or les villes viciées par trop de manques de savoir-vivre et savoir-habiter par le haut ne le permettent plus, d’elles-mêmes, cela. Pire elles le piétinent. Rarement, elles imitent encore le meilleur mais trop souvent le pire. Et ce qu’elles imitent ces villes ce sont les pertes de mémoires systématisées, commencer les journées sans souvenirs de la veille. Recommencer à tuer l’air comme s’il n’y avait pas tant de superpositions passées de pollutions d’air…à un point tel où la plupart se sentent obligé.e.s d’y aller à pied …et de laisser tomber les voitures ex- individuelles…Avec le ridicule accompli d’un libéralisme qui aura - froidement et inhumainement – piétiné tous les cœurs. Et qui, face au survivant.e.s lucides de sa folie furieuse, demeurent comme les puceaux de la pensée (expression chronologiquement nôtre…suffit de vérifier…)…encore plus niais qu’avant à se croire le…sauveur du monde…ah oui, ce lamentable libéralisme, plus bête que toutes les bêtises, qui tout « sauver » en saccageant absolument tout. En se conduisant de manières monstrueuses avec les humains, en censurant tout et en voulant contraindre à une adoration « spontanée » (sic) envers sa laideur insurmontable…Qui pourrait-il sauver lui qui a toujours agi à la sauvette ?]]… « En Occident, le libéralisme passe pour une doctrine indépassable [[ailleurs ; pratiquement, son irréalisme est partout reconnu ! Il est dépassé ; durci de trop de passé…]]. Pur produit du génie européen, il serait à l’origine des merveilleuses prouesses dont se vantent les sociétés développées [[ si ce sont des prouesses en proue, pourquoi tout s’effondre et se retrouvent en poupe poupine ?]]. Mais l’idéologie dominante [[ donc le fake qui veut se faire passer pour le vrai…mais rate lamentablement…]] ne se contente pas de lui attribuer toutes les vertus à domicile. Elle lui prête aussi un rayonnement sans frontières [[ un tas de poussières lui suffit comme image…]]. A croire ses adeptes les plus enthousiastes, les recettes libérales sauvent le monde ! Un éditorialiste français, par exemple, peut affirmer lors d’un débat télévisé - sans être contredit - que « le libéralisme a éradiqué la pauvreté en Chine [[ tous les vrais chiffres mondiaux prouvent exactement l’inverse…]] ». Devant une telle assurance, la raison défaille. Comment convaincre des croyants aussi fanatisés qu’une doctrine prônant la libre concurrence et prohibant l’intervention de l’État dans l’économie [[ aux U.S.A., G.K.Galbraith a prouvé que e but c’est l’absence de concurrence et que la simagrée c’est de détruire les états ailleurs et de renforcer le sien à fond…oui toujours le je fais exactement le contraire de ce que je dis…soit la honte qu’est ce pays pour l’Humanité ]] en Chine, est une denrée introuvable ? On y voit en revanche un État souverain dirigé par le parti communiste et chargé de planifier le développement à long terme du pays. Un État fort qui s’appuie sur un secteur privé florissant, certes, mais aussi sur un puissant secteur public détenant 80% des actifs [[ ce que ne veulent pas comprendre les européens et leurs faux dirigeants drogués à l’idéologie à fond. Au point qu’aucune de désintoxication n’est plu possible, nous devons juste quitter ces graves échecs de vie !]] dans les industries-clé. Pour ceux qui ne l’auraient pas encore remarqué, en Chine, l’État maîtrise la monnaie nationale, le système bancaire est contrôlé par l’État et les marchés financiers sont sous haute surveillance [[ que les crétins européens ne les imitent et contraignent la BCE à ne plus appartenir au privé et à obéir aux seuls ordres des pays…souverains ! Le souverainisme qui n’est pas dompter le banques et les financiers et abolir la Bourse est une poule qui se crotte sur la tête..,]].

 

La-fable-insensée-du-libéralisme-qui-sauve-le-monde

 

Mais ces broutilles n’intéressent guère les adeptes du libéralisme [[qui font tout pour ne vivre que hors du réel ]]. Ils voient cette doctrine comme un chevalier blanc - c’est le cas de le dire - répandant ses bienfaits depuis cet Occident qui a tout compris et veut en communiquer le bénéfice à des populations confites d’émotion devant tant de bonté et prêtes à embrasser sa foi dans l’homo œconomicus, la non-loi du marché et la non-libre concurrence [[ non-loi car le faux marché est uniquement unilatéral : - tout pour moi et rien pour les autres cela n’a vraiment pas de gueule et pue littéralement dans chaque syllabe…]]. Prenant le fruit blet de leur imagination pour le monde réel, ils confondent l’initiative privée - qui existe à des degrés divers dans tous les systèmes sociaux - et le libéralisme - une idéologie « hors sol » qui n’existe que dans l’esprit des libéraux pour justifier leurs pratiques...qui se résument à corruptions, corruptions et encore corruptions ! Si la société était ce que les libéraux en disent, elle serait réglée comme le mouvement des planètes. Les lois du marché seraient aussi inflexibles que les lois de la nature. Tel un chef d’orchestre, le marché harmoniserait les intérêts divergents et distribuerait équitablement les ressources. Toute intervention publique serait nocive, puisque le marché génère spontanément la paix et la concorde. La faiblesse du libéralisme [[ ce grave handicap mental]], c’est que cette croyance légitime la loi du plus fort et sacralise l’appropriation du bien commun. Donc TOUT L’INVERSE DE CE QU’ELLE OSE…C’est pourquoi il est l’idéologie spontanée des oligarchies assoiffées d’argent, des bourgeoisies cupides. – qui ne se rendent pas compte qu’ils n’ont plus aucun crédit auprès de personne. Nous ne pouvons plus croire ces pitoyables escrocs ! Le drame du libéralisme, en revanche, c’est qu’il est rangé au magasin des accessoires chaque fois qu’une société privilégie le bien-être de tous et fait passer l’intérêt commun avant les intérêts particuliers [[ la vérification par les faits des vrais écrivains lui donne toujours tort !]]. (Bruno Guigue). »…Impardonnables personnages : ils s’enfoncent encore plus dans les perversions…leurs soifs de chutes n’auraient plus de limites ? Oui ? Alors qu’ils sont les plus corrompus des français de tous les temps, ils ne s’en prennent systématiquement qu’aux plus faibles, cet aveu flagrant d’une conscience torturée, celle de Tartuffe qui veut être admiré pour sa beauté de coeur (…alors qu’ils font Tout pour se faire détester de répugnances - les 22 % des français les plus pauvres PERDENT du pouvoir d’achat tandis que le 1 % des trop riches en vole encore plus aux ex-classes moyennes avec plus 6 % d’augmentation dans le marasme général. Mais pour eux c’est vouloir acheter les autres leur crime impardonnable – la solution à cette aberration est dans notre texte d’hier !]]. Et ? Viser de deviser touche la cible en plein…

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Le-faux-trou-de-la-sécu-ou-comment-gouvernement-et-médias-vous-accablent-de-coûter-si-cher-ce-qui-est-diffamation

« Comme chaque fin septembre à l’approche de l’examen du budget de la sécurité sociale, les médias sont majoritairement au diapason du cinéma que nous imposent les gouvernements successifs depuis les années 1990 : il faut dépenser moins les cocos, arrêter d’aller aux urgences pour rien les petites natures, mieux prévenir pour ne plus avoir à vous guérir, parce que ça coûte un pognon de dingue et ça ne rapporte pas. “Chaque année, un Français coûte 2977€ à la sécurité sociale” [[ ce qui omet, grotesquement, de dire ce qu’il ne…lui coûte pas, ce qu’il lui rapporte, puisque les fraudeurs impliquent des fraudé.e.s – fraudés qui ne coûtent rien mais prouvent que les trop riches, auteurs de ces stupides diffamations…coûtent eux une…fortune et à tout le monde…au point que juste les intérêts de leurs immérités revenus annuleraient, en un jour, toute la misère sur la Terre…c’est dire la honte que ces personnages déchus osent insulter encore le genre humain ! etc. Décidément en une seconde, les mots sales des corrompus semblent bien leur revenir sur la tronche !]], nous dit LCI [[ sur l’ordre de qui ,avec indiscrétion ?]]. ça coûte cher un Français, bien plus qu’un polonais ou qu’un nord-américain par exemple, et ça déplaît profondément à notre bourgeoisie [[ tout cela pour planquer que seulement ce 1 % de trop riches COÛTE BIEN TROP CHER !]]. Mais ça LCI ne le précise pas, elle préfère décrire comme oeuvre de bon sens [[ comme quoi ils ont égaré leur Raison ]] un point de vue patronal, comme la plupart des journalistes ses chroniqueurs qui se contentent de rabâcher une chanson apprise sans le cœur : “il faut combler le trou de la sécu”. Retour sur un mythe à la noix qui, comme les châtaignes, nous tombe dessus chaque automne [[ le cycle de la non-vie de ces privilégiés illégaux en réPublique est d’un ennui insupportable : toujours la même chose rengaine usée depuis les années 1980 – ils vieillissent sur pied mais sans vivre et sans rien ressentir !]] :

Ça semble difficile à imaginer de nos jours, mais à la base, la sécurité sociale n’est pas un “trou” [[ seuls des avares détraqués parlent ainsi, en effet]]. Résumé des épisodes précédents si comme nous vous êtes nés à une époque où la sécurité sociale n’est décrite que comme “une note” (comme au restau quoi) qu’il faut réduire : Au 19e siècle, certains patrons paternalistes mais désireux de conserver leur main d’oeuvre, ce qui n’était pas toujours évident en pleine révolution industrielle, mettent en place des caisses de retraites pour donner envie à leurs salariés de rester. Parallèlement, le mouvement des mutuelles propose des assurances collectives contre les risques de la vie. Peu à peu, la loi impose [[ mais arrachée par des luttes lucides ]] l’indemnisation de certains risques du travail, comme les accidents, puis la vieillesse, mais par le biais d’assurances privés et de mutuelles. L’Eglise s’en mêle et propose ses propres caisses de bienfaisance. Au milieu de ce chaos, la plupart des gens finissent quand même leur vie sans rien et maladie signifie ruine. Arrive le Front Populaire [[ qu’un autre front a voulu récupérer ]] et son ministre du travail, Ambroise Croizat, qui estime que “la retraite ne doit plus être l’antichambre de la mort, mais une nouvelle étape de la vie”, une remarque qui ne semblerait guère déplacée pour les journalistes de LCI, si ? Avec Pierre Laroque, il élabore un projet de sécurité sociale, mais la guerre empêche sa réalisation. Porté par le célèbre “conseil national de la résistance”, ce projet est inscrit dans la loi à la Libération grâce aux ministres communistes parmi lesquels Croizat : en quelques mois, l’affiliation à la sécurité sociale, système d’assurance collective financée par les cotisations sociales (prélevée sur les salaires et le patronat) devient obligatoire. Puisqu’il est financé par le travail et la production de richesses, ce sont les représentants des salariés qui mettent en œuvre et gèrent ce nouveau système : en quelques mois, les syndicats “socialisent” les assurances privées [[ oxymore vraiment savoureux ]] et les mutuelles existantes.  C’est complètement révolutionnaire et ça change authentiquement la vie des gens : être malade, être vieux, avoir un accident du travail, avoir des enfants : tout ça n’est plus synonyme de ruine, de solitude et de débrouille. Et en plus, le tout est financé par prélèvement d’une richesse auparavant monopolisée par le patronat. »…Oui ?

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Ainsi malgré les tortillements insalubres des médias d’argent afin de désolidariser chacun.e de sa propre vie, où être rebelle est présenté, frauduleusement, par se trahir soi-même et où servir le scandale capitaliste est menti comme sauver ses vrais intérêts…les anticonformistes joyeux de n’être pas « tombé en haut » (signe non de réussite mais de déchéance) continuent à déjouer tous ces merdeux (les @suivre c’est comprendre comment..)…

 

………………….…et à mener vraiment le futur du monde.

 

 

 

……..……(à suivre)

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste résolution nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs.Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

couverture  Jeff Wall

couverture Jeff Wall

Viser de deviser ?
Viser de deviser ?
Viser de deviser ?
Un président QUE des trop riches – donc illégal en diable – et incapable de s’assumer dans son image !

Un président QUE des trop riches – donc illégal en diable – et incapable de s’assumer dans son image !

aller vers ailleurs…

aller vers ailleurs…

Viser de deviser ?
L’argent ne connait pas le mot culture…et cela se voit puisqu’il est toujours obligé de se déguiser par effraction…

L’argent ne connait pas le mot culture…et cela se voit puisqu’il est toujours obligé de se déguiser par effraction…

Musée de l’Homme renommé musée des humains…

Musée de l’Homme renommé musée des humains…

Georges Pérec, Espèces d’espaces

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