L’économie vue d’en face (1)
L’économie est inventée par les bourgeois pour décrire un monde qui ne serait que pour eux. Ce qui les rend si fanatiques, ces bourgeois, qu’ils prouvent leurs assertions absurdes par exclusions en masses et bâillonnages des autres. Ce pourquoi «leur» économie vue de l’autre côté, et la nommant, voit ces faibles fables s’écrouler dans les pires des ridicules. Leurs héritiers ? Ah, ces malhonnêtetés des prétendus dirigeants actuels sont si énormes qu’ils décrivent le monde de leur seul point de vue. Plus d’écoutes et de synthèses collectives. Et ? Leurs expressions unilatéralisées vues de l’autre côté, soudain, paraissent aberrantes, illogiques, irréalistes, voire grotesques…Leur monologue qui sidère et considère étant devenu impossible, leur fin se rapproche vite…C’est que, questions dialogues, le peuple reste bien plus doué que ces graves arriérés…Preuves ? Chaud devant…
Comme, c’est le texte de présentation, il peut sembler fastidieux ces vocabulaires que nous renversons, soit remettons à l’endroit. Mais c’est le premier pas très utile afin de changer les regards, que nous rendrons le plus joyeux possible. Déjà, reste plus connus les « doubles langages » (ceux des tromperies !) qui présentent les justes cotisations patronales comme « lourdes charges patronales », tandis que les salariés n’ont que des insignifiantes cotisations sociales, alors que, pour eux, la charge reste très lourde !, etc. Nous avons souvent abordé ces thèmes où l’effort massif autour des mots du pouvoir prouve – surtout – le grand pouvoir des mots. Nous innovons donc et abordons, à l’avance, tout un descriptif complet qui prouve à quel point l’économie (prétendue sérieuse) n’est qu’une imposture complète. Car ? Il suffit de la décrire d’en face et elle ne tient pas la journée…Nous nous inspirons de «L’économie de la misère» de Claude Guillon, 1999, qui, lui-même, s’inspire de nombreux autres documents. Ce qui rassemble le maximum d’infos d’un seul coup. Prenons sa page 19.
Dès l’apparition de demandes sociales d’aides sont dégainées de «l’insertion» et du «suivi social» - soit les pires aberrations. L’humain vient demander de l’aide (à cause de la très mauvaise organisation antisociale par le haut !) et, au lieu du matériel immédiat (les nécessiteux étant ceux/celles dont les nécessités sont vraiment nécessaires !), on leur fourgue les moyens stupides de les…repousser brutalement. Soit ce pauvre (entièrement créé par le système) est traité comme un suspect, un accusé, un à surveiller – alors que ceux qui sont à surveiller, les coupables et les accusés véridiques sont ceux qui désorganisent un système aussi minable…et « les contrôles (contrats unilatéraux donc faux, pointages, visites domiciliaires, etc.)», devraient s’adresser non à ce pauvre en détresse mais bien à tous ceux qui l’ont placé dans une telle détresse. Et se prouvent rester incapables d’y répondre seulement adultement. Voici qui renverse tout : d’autant plus qu’il faut être un humain raté, un incapable émotionnel et un détraqué affectif pour « répondre » à une demande urgente par de telles…frivolités (faut vous insérer mais pourquoi, vous, vous m’aviez désinséré. Vous serez suivi – mais il aurait fallu me précéder, etc.)... Et d’une – le système « dit » par ceux d’en face ne se montre…plus du tout pareil.
Ensuite, l’aberration de la main invisible ? Ce passage qui ne servait que d’image illustrative non d’argument qui puisse faire autorité d’Adam Smith, concerne surtout les avantages du partage du travail – qui n’existait pas en 1750. Et qui répondait à l’argument « oui mais moi je vais faire des efforts, offrir le meilleur – mais les autres vont bâcler et me donner de la merde »…Pas du tout, répond Smith, ces autres ne vont suivre leur intérêt à ce que genre d’échanges basés sur la confiance et la réputation, puissent continuer : donc ne vous inquiétez plus, les autres suivant leurs seuls intérêts, vont offrir la qualité. Et vous serez gagnant dans toutes les activités. Oui comme si une main invisible veillait à cette harmonie universelle…Ce qui n’a rien à voir avec la spéculation boursière, qu’une main divine bénirait…oui plutôt par une baffe retentissante sur la gueule. Et ? Tout ceci ne serait «qu’involontaire et quasi miraculeux » – or (et nous martelons) ceci représente l’omniscience toute des marchés, infaillibles, ils sont, et ne pouvant commettre d’erreur (genre s’ils en commettaient – ce qu’ils n’arrêtent pas de faire – ce serait la faute des victimes qui font exprès d’être victimes rien que pour emmerder ces dieux sur terre…Mais enfin involontaire et omniscient, cela ne peut aller ensemble !)…let de deux ? La pauvreté n’est juste qu’un défaut du mécanisme et c’est, d’ailleurs, la faute du pauvre…il n’avait pas besoin que ça lui tombe dessus…juré, cette fumisterie bourgeoise reste tout le temps à ce niveau. Sinon comment expliquer que tant de misères naissent de tant d’abondance ? Impossible, sans sabotages. Oui l’incompétence des bourgeois, leurs manques de facultés intellectuelles comme de dons affectifs parviennent à tout expliquer. Car ? « Une fois ce but atteint, c’est-à dire lorsque les premiers barreaux de l’échelle produisent et consomment (au lieu de servir uniquement à ce qu’on les piétine en passant), tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes marchands (p. 18 – ibidem). » Ce meilleur des mondes marchands ne servant qu’à ce seul bourgeois, lui seul, tout le reste on s’en fout. Sils vont tous mal, ces autres, mais lui bien – tout va bien, c’est tellement convaincant – Nous voyons d’ici, et même d’ailleurs, la hauteur de vue d’une telle absence de pensée collective. L’inhumanité inexcusable d’un tel avachi, d’un effondré du cœur et amputé du cerveau. Et de trois – décidément l’économie décrite et dite de l’autre côté, ça a une toute autre gueule…
Voilà, voilà, ne vous étouffez pas de rires : il y en a des tonnes et du renouvelable et du durable sur les délirantes itinérances bourgeoises… « Récemment, les économistes bourgeois se sont avisés que l’économie de marché entraîne mécaniquement l’économie politique (p. 20 – ibid.) » Une telle découverte plus importante que la relativité générale et le moteur à explosions n’a pas vraiment été développée…Chuuuuut c’est que comme c’est automatique, providentiel, remain invisible, coup de bol, miracle caché, c’est trop inutile d’en parler. C’est un acquis définitif, un progrès survenu sans progressions préalables – bref, un bon tas d’impossibilités logiques…le marché c’est l’anti-démocratie, le refus de concurrence (dont le martèlement de sa seule version – et aux détriments de toutes les autres, sont bien d’hystériques refus de toute simple concurrence… « Tout pour eux et rien pour les autres » …les a très bien décrit Adam Smith ! Pour les premiers de cordées tout va toujours bien et ils ne s’occupent jamais les autres qu’ils foutent dans la merde. A la fin par inattention, ils coupent même la corde…). C’est ici qu’ils tentent de dissimuler la naturelle tendance humaine de tout partager…c’est qu’ils sont trop occupé.e.s à généraliser la démocratie partout…Laquelle déjà ? A oui, c’est qu’ils y sont si peu appliqués à ce qu’ils font que cette démocratie (aux définitions toujours plus fous !)…recule partout où ils l’offrent généreusement aux autres ! Cela doit être frelaté ou bien (comme d’hab’) il y a défaut mécanique (mais à cumuler tous ces défauts mécaniques, le capitalisme trop vanté n’est donc qu’un immense défaut mécanique généralisé)…faudrait mieux passer à autre chose de mieux rodé…allons soyez un peu raisonnables ! Laissez-nous installer la vraie démocratie, nous en connaissons un rayon puisque nous avons toute la roue…
«La société ne veut ni les pauvres ni a fortiori les très pauvres : mendiants ou squatters des villes, RMIstes vivoteurs des champs et sous-consommateurs stigmatisés. Ce réflexe répété à l’infini de dénégation perpétuelle va se réfugier piteusement dans ses compulsions d’impuissances (p. 22). » Lesquels ? Suffit que l’on dénombre et classifie les miséreux et tout ira pour le mieux – Vous n’allez donc pas les secourir ? Ah non ! Ce serait les corrompre, les désinciter, les habituer à se laisser aller…Comment et où cela, ce sont bien les seuls qui jamais ne peuvent se laisser aller…huummmm pffeughhh sruuum heeeu…le disque est rayé, l’humain sorti du rail de sa routine de fou cruel ne sait plus que…dire. Nous Oui. Quoi encore? « On se borne à reprocher aux pauvres de solliciter les secours que l’on a institués à leur intention (p. 12). » Secours déjà si maigre, mais qu’ils ne devraient pas même utiliser, c’est de la haute corruption…Des preuves « Chacun connait le cas de personnes qui vivotent en cumulant le RMI et petits travaux au noir. Mais chacun connait également des exemples de parlementaires qui se sont livrés à de fructueux trafics, détournements et emplois fictifs, dont les bénéfices, échappant par définition à toute mesure, se sont cumulés avec leurs indemnités et salaires. Verrait-on figurer cette information dans un rapport officiel sous le titre, qui vise ici le RMI, « Le dispositif favorise les irrégularités et les fraudes » ? Évidemment non (p. 13). » Ainsi les gouvernements sont pour les injustices et les diffamations plein pot contre les seuls pauvres (les moins délinquants de tous). Les discriminant partout jusque dans le moindre document officiel…mais effaçant toutes fautes lourdes des trop riches (donc sans excuses ceux-là !) et des parlementaires (supposés montrer l’exemple et rester irréprochables) de leurs rapports et diffusions stigmatisatrices dans les médias…Seul le pauvre doit être un saint sur terre et, dans ses difficultés matérielles inimaginables, il doit toujours tout faire mieux que les trop riches (décidément franchement insensés). Monde franchement à l’envers et que rien ne peut justifier.
Le paradoxe absolument comique où par le passé (pas lointain) étaient glorifiés comme de la joie, du bonheur, du meilleur…les jours chômés…désormais le chômage couvre tout de tristesse. Et se voit accusé –comme si ce n’était pas assez !- de tout ce qu’il subit. Pas très cohérent comme système, non ? Ne va-t-il pas dire congédié comme s’il offrait des…congés, mais en omettant de rémunérer ces vacances offertes dans le mot ? Plus nous scrutons plus nous trouvons tout ridicule chez les bourgeois ! « Le mot chômage a la même racine grecque que « calme » : le mot kauma, désignant une chaleur brûlante, qui oblige à suspendre toute activité (p. 23). » Nous voyons à quel point il est peu raisonnable de stigmatiser un tel mot puisque, naturellement, l’activité humaine doit s’interrompre aux heures de trop grande chaleur. Le problème, une fois de plus fui, est que jamais ne soit recherchée, dans ce chômage, « cette chaleur brûlante, qui oblige à suspendre toute activité »…au point de croire que la protection sociale de devrait bénéficier prioritairement qu’à ceux qui n’en aurait pas besoin (aucune formalités pour elles/eux, n’est ce pas incroyable ?). Et nous l’avons fait de parcourir tous ces comportements inadaptés qui répondent à des aveux de faiblesses par une trop forte agressivité et des attitudes psychorigides si aptes à augmenter les douleurs des blessé.e.s. Oui ? la réponse se trouve dans le travail est un droit et c’est donc la société qui est en faute si ce droit n’est pas rempli. Et elle doit donc – naturellement – dédommager et sans faire d’histoire….alors pourquoi n’arrête-t-elle pas de honteusement pinailler pour quelques centimes sur les pauvres ? Tout en laissant passer des centaines de milliers d’euros sur les trop riches ? Jamais autant d’injustices arrogantes n’ont voulu faire autant d’illégitimes leçons de morale. Oui ce sont les bourgeois qui doivent être engueulés, et méthodiquement et fermement. Ne disent-ils pas que le chômage leur « sert » à baisser le prix des salaires e ceux qui travaillent ? Tant de cruautés qui se vantent est-ce seulement décent ?
« Le reste à vivre ». C’est quoi encore cette manière trop grossière de parler à des humains ? « Dans ce monde bourgeois, les assistantes sociales le savent bien, les pauvres accumulent les dettes au lieu d’épargner. Sait-on que les commissions chargées d’étudier les dossiers de surendettement [[ mais sans chercher ni à accuser ni à éradiquer les…endetteurs qui seuls déclenchent les endettés, tout comme les affamés sont causés par les affameurs – autre impasse dans ces esprits brouillons qui exigent tout des autres et rien d’eux-mêmes !]] des ménages nomment « reste à vivre », la somme forfaitaire laissée au débiteur [[et jamais rien au créditeur si incitateur ]] pour ne même pas survivre décemment (p. 21). » Tant d’inaptitudes à se monter à la hauteur, soit humain, naturellement juste et pondéré, voire vraiment apte à l’égalité (ce qui semble tellement plus difficile que de vautrer dans les inégalités ! Donc à la portée des avachis riches…). Comme il y a des codes de la route, il y a des codes de conduites humaines (même implicites) où jamais nous ne lirons « comme c’était un pauvre, je lui suis rentré dedans, ce n’est pas grave de les blesser, non ? »…Pourtant, demeurent tolérés des comportements qui correspondent exactement à de tels discours !
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« Les malheurs particuliers font le bien général de sorte que plus il y de malheurs particuliers et plus tout va bien » osait Pangloss. Dans Voltaire et Candide. Et donc ? Ne surtout pas s’occuper des dommages que nous causons aux autres puisque c’est rendre service à ces malheurs particuliers qui – en pure et inconnaissable métaphysique – se transmutent en bien général. Comme ça, conte de fées et fariboles…Nous, d’en face, de l’autre côté, nous n’y voyons que le désastre destructeur du capitalisme libéral, le plus pervers de tous. Comme ces barbares inhumains, plus durs que le béton, ayant toujours de bonnes raisons d’en avoir les plus mauvaises, qui osent qu’il ne faut pas s’attendrir sur les démunis (mais démunis par qui ? ), les déshérités (mais déshérités par qui ?), etc. puisque c’est les désinciter, les corrompre. Et qui à peine dit, se lancent (tellement corrompus et désincités) dans des fraudes fiscales monstrueuses, des enfers fiscaux pires, des courses aux assistanats de l’argent public (au point que si le pauvre est un tout petit, tout petit assisté de l’argent public ; le trop riche se gonfle démesurément en un sur-assisté) comme des illégales spéculations boursières…dont les totaux, l’ensemble, ces faits irréfutables mais trop dissimulés dans les médias d’argent, créent …la pauvreté. Et ? La plus grosse anomalie du système ? Les médias vendus ne servant apparemment qu’à accuser les pauvres de tous les maux, et comment le pourraient-ils eux qui n’ont aucune logistique, aucun transport si pollueurs et ubiquistes, aucun médias marteleurs et aucun argent corrupteur ? Et ? Le trop riche est, méticuleusement, effacé de partout, absent, inexistant…il ne provoque jamais rien, ne dommage rien, ne détruit rien, n’a ni impacts, ni traces de nuisances…un peu comme un ange de dématérialisation, il ne vit pas sur terre, c’est sûr. Son trop de richesse cause la pauvreté et il reste aux abonnés jamais présents. Pas l’ombre d’une critique pourtant si justifiée. refluant devant toute responsabilité, toute imputation, toutes condamnation, tout « principe du réel ». Et encore ? L’économie cette fausseté 100% qui n’est là que pour disculper (mais de manières plus qu’irrationnelles) les bourgeois va devoir…rembourser tous ses dégâts. « Les malheurs particuliers font le bien général de sorte que plus il y de malheurs particuliers et plus tout va bien », n’est-ce pas le stade final de la démence antisociale comment un seul bien peut naitre que de malheurs ainsi obligés et martelés ? si ce n’est dans un conte enfantin, ce bien issu de transmutations inconnues ne peut qu’être extraterrestre…puisque pour les femmes et les hommes qui vivent ils ne vivent, eux, que leurs…malheurs particuliers. Ce bien général n’est pas sur Terre et de délirer qu’il résorbe (comme ça, magique plus ) l’immensité des malheurs particuliers tient seulement d’une hallucination grave. Oui, cela revient souvent, les bourgeois.e.s sont de grands hallucinés ! Des intoxiqué.e.s stade final à l’idéologie !
Ne vont-ils pas jusqu’à brandir que la recherche démente du profit est une nécessité et une preuve de bonne santé mentale…or, nommée autrement, il apparait que c’est une antisocialité régressive qui détruit tout…même ce qui ne lui appartient pas (les biens communs)…et touche plus à la grave maladie mentale qu’à autre chose. Or si vous n’avez pas ce délire nocif du profit vous ne pouvez pas accéder à la politique, à la banque et aux médias dominants (ce pourquoi totales sont les censures massives et les corruptions – vous vous rendez compte si ceux/celles d’en face se foutaient à dire toutes les vérités ?). C’est même l’unique ticket d’entrée (pour nous, cela va être de les sortir. Et de «nous» sortir du sort inscrit dans ce système sans queue ni tête…N’est-il pas, alors, temps de demander des comptes, mais des comptes complets, aux bourgeois ?
Et tout ne va plus bien ? « Mais comme ils ne travaillent pas pour eux, les voilà condamnés, avec leur famille, à une misère pire que celle que connaissent les sauvages, tandis que les produits s’entassent inutilement et qu’on commet même le crime de les détruire (Jacques Duboin, 1934). » Et pourquoi qui détruisent ces œuvres surproduites ne vont pas en prison ? Ne sont sanctionnés de rien ? Et que le système qui les englobe, contraignant la société à déverser des assauts de produits qui ne serviront jamais à rien – n’est toujours pas…arrêté ? Puisque – effets mis hors cadre, hors écran, pas sur la photo – ces gesticulations servent à affaiblir la vie et appauvrir 90 % ou plus des humains ? Pourquoi ? L’économie vue d’en face, à la fin, devient un acte d’accusation complet pour qui s’en était donc illégalement, et en France et en Europe, octroyé tout le monopole. Face à la crise climatique, désormais le moins est garantie du mieux (comment oser parler d’économie si une caste en a le monopole et du sens et du fonctionnement ? Ce n’est qu’un délire…sectaire !). Qui stagnent dans l’obsolescence folle du plus et plus encore, se voient désavoués voire réprouvés….
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Le (1) sème tellement plus de questions qu’il n’offre de réponses. C’est que face à un vrai nouveau, il faut commencer par baliser l’inconnu, puis le parcourir afin de faire venir à la surface tous les filons non encore exploités du vrai génie humain (celui qui n’a jamais habité chez les bourgeois). Et les formuler dans un langage tout neuf. Ce que nous verrons en (2) ?…« La société occidentale exige de l’individu qu’il choisisse en l’absence de valeurs (répression du normatif) qu’il travaille sans finalité (répression du spirituel), qu’il s’intègre sans solidarité (répression de la dimension communautaire). On pourrait ajouter qu’il pense sans sentiment (répression de l’affectif) et qu’il vive sans foi, sans espoir, sans mythe et sans utopie (répression de la dimension transcendantale)-( W.W. Weiskopff, 1976). »
L’occident réprime tout, aucune liberté autre que celle que nous nous créons nous-mêmes, n’y est donc possible. Il empêche toutes les nobles qualités humaines, il ne veut pas que nous quittions ses pitoyables mensonges ressassés et radotés en boucle (la fausse économie est juste son monologue dément qui jamais n’apporte une seule preuve de ses divagations insalubres). Il ne supporte pas la joie, la Fête, les solidarités vives, le plaisir, la chaleur humaine, les partages et le côté ensoleillé de la vie – il réprime tout avec sa gueule de gardien de prison (prison qui n’est que dans sa tête)…etc.…Le plus horrible ? Que tout le meilleur de chacun.e de nous s’y voit, sans cesse, tabassé et matraqué…
………………. Le bourgeois devenant ce qu’il y a de pire dans l’humain !
….…..……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste évolution mentale nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs.Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Mahnwachen-helfen.info…et en couv : La rue d'en face prise de vue du film "Des gens sans importance" en 1956
« De l'autre côté" de Chantal Akerman - 2001 "…pour le moment, toute la parole publique est volée par qui crée les murs – ainsi nul-le ne connait ce qui a de l’autre côté. Comment appeler, alors, une société amputée de la moitié d’elle-même ? Le plus gros tas de conneries ?
Claude Guillon - Économie de la misère - cartoliste
CP des Éditions La Digitale, promotion et bon de commande pour l'ouvrage de Claude Guillon : L'Économie de la misère.] Claude Guillon Économie de (...)
L’ABEILLE ET L’ECONOMISTE de Yann Moulier-Boutang…La part du non marchand dans le fonctionnement de la vraie vie étant trop méconnue par le bourgeois – celui-ci va tout dégeulasser. Et se monter à chaque fois plus stupide. Ainsi, la fable des abeilles de Mandeville où les corruptions privées font le bien public – alors qu’elles ne nous laissent que ces corruptions en gros tas en reste la preuve la plus cuisante. Vrai, le bourgeois est un crétin ! Le non-marchand c’est très important, ducon !
Le bourgeois dans sa splendeur : Kou l'ahuri ou la misère dans l'abondance - 1996 - Extraits
Candide 1960 Pierre Brasseur Michel Simon Louis de Funès
Chez les vrais crétins : Financiarisation de l'économie : cash misère - #DATAGUEULE 70
L'effondrement économique aux USA; "Les USA c'est le tiers monde"…le bourgeois c’est vraiment celui qui cache tout (surtout à lui-même, d’ailleurs).
Le rêve américain - L'histoire de la vraie plus grande arnaque de tous les temps
Le blogue généraliste de Claude Guillon
Sortir de l'économie - TransverSel
Dans le cadre de la découverte de nouveaux supports médiatique liés à l'économie , nous venons de recevoir les deux premiers numéros de "Sortir de l'économie".
Sortir de l’économie c’est sortir du règne bourgeois… ces personnages si incapables de devenir entièrement humain.e.s.
Articles traitant de Économie de la misère écrits par Claude Guillon
https://lignesdeforce.wordpress.com/category/economie-de-la-misere/