Le Progrès existe, il est social
Qui seraient donc contre ? Le progrès social est une progression collective permanente où les riches ont plus de devoirs que les autres. Or, ils tentent d’inverser les équitables charges. Les pauvres doivent tout payer et tout…supporter ! Et sans broncher, en plus. Donc tout ce qui arrive est imputable, en justice, aux trop riches et à leurs gouvernements si minoritaires. Qu’avons-nous vu hier ? Partout leurs Torts se sont montrés. Partout ils ont eu tort, ces pouvoirs…Partout les pauvres accusés, pilonnés, maltraités. Les riches demeurant encore des points aveugles. Jamais accusés ni engueulés. S’ils sont cités c’est pour le bien qu’ils feraient. Obligatoirement. Ce qui prouve la méconnaissance exagérée des pauvres qui s’entraident entre eux et ont bien plus de mérites à le faire. Ainsi, pour l’écologie et la transformation écologique que la société doit fournir qui sont les plus mauvais élèves sinon les trop riches qui vivent très très salement ? Peu nombreux, ils parviennent à battre tous les scores de pollutions. Et font, au moins 4 fois plus de dégâts que la moitié de l’Humanité : ce qui multiplié par leur nombre réduit peut signifier…1 000 fois plus …pour chacun.e ! Mais ? Partout l’hypocrisie où tout se résoudrait si les pauvres…faisaient les efforts pour tout le monde (alors qu’ensembles et individuellement ils ne commettent quasiment aucune pollution et ne peuvent faire qu’aider à la transition écologique non y agir puissamment). Jamais les riches ne sont indiqués comme les causes principales de tous les désastres naturels. Et, par déductions, comme la frange de la population qui doive changer et vite de style de vie. Ils vivent d’une manière bien trop nuisible, irresponsable voire délinquante par rapport à la planète et la Vie qu’elle contient. Personne ne peut vivre comme eux sans faire disparaitre l’Humanité. D’où ils doivent se faire engueuler et encore engueuler. Au minimum. Vous direz que les pauvres ne sont trop injustement maltraités que dans les médias des riches. Une manière de se refaire une virginité à peu de frais – Oui mais c’est ce mal insidieux, alors, qui se répand partout. Ainsi, ces riches ont aussi pollué, souillé, abâtardi le concept de… progrès social. Clair que c’est à eux de progresser en ce domaine. Leurs comportements restent absolument arriérés…Ils se présentent comme en République – avec eux nous sommes en Royauté. Donc en royauté abolie !
Et, selon le gigantesque mensonge où ils n’ont aucun impact nuisible, où ils demeurent le modèle à suivre (alors que pour la survie collective ce sont plutôt les pauvres le modèle adéquat ! Améliorable mais basiquement le bon !), ils délirent loin de tout réel…prouvable. Le progrès social c’est eux qui l’attribueraient aux pauvres – sans devoir eux-mêmes progresser, s’améliorer, faire le moindre effort. Oui ? Alors que la richesse collective est en bonne partie alimentée par les pauvres (vu qu’ils ne coûtent rien à la société mais lui rapportent plutôt – et que ce sont les trop riches les sur-assistés qui coûtent une fortune à la société) toute cette richesse commune se voit si illégalement monopolisée par les riches…qui construisent tous les Blocages au progrès social.Ce sont eux les barrages, ils empêchent la libre circulation du progrès social. C’est à eux – dans ce domaine comme tant d’autres – de fournir vraiment des efforts substantiels. Pour déjà se remettre à jour (pour le social les pauvres sont très nettement en avance sur eux !). Et, ensuite, pour avancer humainement (leur carence en humanité fait hurler toute la société)…Faisons tout le trajet que ces feignants du cœur de trop riches n’ont toujours ni jamais fait !
« Le progrès social est la recherche d'une amélioration des conditions de vie de humain par un changement dans l'organisation sociale. Il se présente sous plusieurs aspects :
- capacité de discussion entre groupes d’intérêts divergents [[ fortement empêché par le libéralisme ]];
- augmentation du temps libre pour les travailleurs, amélioration des conditions de travail (diminution des accidents du travail — voir ergomotricité) ;
- augmentation du confort des personnes : système de santé performant et accessible à tous (gestion de la souffrance des patients par les hôpitaux), système d’éducation, mise en réseau des personnes isolées, reconnaissance des identités minoritaires, protection de l’enfance [[ ce que cherchent à mettre en pièces, et sans excuses sinon la maladie cupidité, les régressifs barbares capitalistes ]]… ;
- démocratisation et transparence des pouvoirs institués [[ le contraire actuellement ]] ;
- liberté de choix et d’opinion [[les financements privés prennent les élections en otages – la caste illégale des trop riches est donc, et avec une brutalité sans nom, pour la…régression sociale ]] .
Il se concrétise dans des institutions officielles : ONU, ONG, partis politiques multiples, syndicalisme, Sécurité sociale, assurances/mutuelles, Conseil constitutionnel, Cour des comptes, etc. [[ toutes institutions issues d’une claire Séparation des pouvoirs si combattue par la cupidité inexcusable de ceux qui ont déjà…beaucoup trop ! Ce sont eux la claire Déraison !]]
Le progrès social a permis non seulement la mise en place de la Sécurité sociale, payée par les cotisations des travailleurs et qui englobe les allocations familiales, les pensions, le chômage, le remboursement des soins de santé, les congés payés, etc. mais a également permis l'instauration en France du RMI (revenu minimum d'insertion) devenu le RSA (revenu de solidarité active) en 2009 et en Belgique du revenu d'intégration sociale qui, financés par les impôts, sont un dernier filet avant l'indigence. Le droit au logement, la gratuité de la scolarité… Tous ces droits fondamentaux sont dus au progrès social [[ et des irresponsables complets qui préfèrent des profits sans futur commun à la saine écologisation de la société voudraient détruire ce qui reste un des meilleurs systèmes SOCIAUX du monde ? Aucune excuse, aucun argumentaire.]]. Les progrès sociaux peuvent être obtenus de différentes façons, parfois par :
- le développement du niveau de vie, fortement tributaire du développement économique [[ cela le libéralisme ne le veut pas – sa haine perverse des pauvres a atteint le niveau d’une maladie grave. Il faut les forcer à se soigner et vite !]];
- la négociation au sein de la société, de la branche, de l'État, ces négociations sont en général obtenues par l'action des syndicats [[ le capitalisme qui est une grave délinquance ne négocie jamais ou fait semblant !]];
- la voie législative : un parti politique au pouvoir décide d'un progrès social [[partout, chez eux, ce sont…régressions sociales ]] et vote une loi en ce sens, c'est souvent la formalisation d'une négociation passée, mais parfois des progrès sociaux se font sans l'aide des syndicats. »
De devoir citer si abondamment Wikipédia, pour avoir une vision d’ensemble, prouve à que point le progrès social est un concept catastrophiquement…oublié. Voir gommé, supprimé, dissimulé. Et tellement plus du fait des riches en pleins…passéismes d’antisocialités, que par les pauvres demandeurs. Ceci peut s’expliquer par le paroxysme des individualismes ennemis d’eux-mêmes (le progrès social implique un sens du collectif, du bien commun trop absent et incité à le rester par la propagande indigne des trop riches)…mais aussi par le chaos antisocial semé par les élections qui prennent en otage toute la société par le privé…et, enfin parce que…plus jamais aucun EFFORT n’est exigé des trop riches. Dont la fainéantise du coeur dépasse toutes les indécences connues…En fait, Darwin a toujours été l’ennemi de ces bourgeois si régressifs et il toujours parlé d’entraides et de solidarités comme des…progrès et surtout pas de …darwinisme social – une claire diffamation de son apport si important à…l’humanisation du monde. N’importe quel être humain vaut toujours 1 000 capitalistes anti-humains. Puisque dans cet humain brûle le désir du progrès social…Tandis que dans le capitaliste, ce délinquant antisocial, il n’y a que l’indécence du Tout pour moi et rien …pour les autres !
Darwin-l'ennemi-tranquille-du-capitalisme
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Voyons ici pourquoi : pour synthétiser beaucoup il est profané que des humains auraient des «blocages malsains» qui les empêchent d’acheter n‘importe quoi, d’acheter tout le temps, de saccager la Vie partout et de massacrer la planète. Mais que la science économique (la théorie capitaliste est le contraire d’une Science – son apport ne vaut rien et aucun gouvernement n’a le droit de s’appuyer sur ces minables mensonges afin d’imposer des lois si iniques !), oui cette tromperie antiscientifique va redresser cela. Alors que ce sont les consuméristes les grands malades, les compulsifs les irresponsables nocifs à placer sous tutelle et les capitalistes les grands ennemis de l’Humanité :
Neurosciences-:-la-disparition-de-l'homo-economicus-est-un-leurre
« L’attribution du prix Nobel d’économie 2017 à l’américain Richard Thaler, pionnier de l’économie comportementale et promoteur, avec le juriste Cass Sunstein, du concept de nudge (« coup de coude »), a attiré l’attention sur les travaux mettant en évidence les «biais» psychologiques qui mènent les comportements des acteurs de l’économie loin de leurs propres intérêts ou de l’intérêt commun (sic). Certains gouvernements – au Royaume-Uni et aux États-Unis par exemple – et de nombreuses entreprises en ont tiré des leçons pour prendre des mesures incitant les citoyens (contribuables, épargnants, consommateurs) à changer leurs pratiques, grâce à ces nudges. Mais est-il légitime [[ légal plutôt ]] de fonder une politique, dans des états démocratiques, sur d’autres bases que le consentement éclairé des citoyens, même si elles prétendent offrir une connaissance «scientifique» – d’ailleurs discutée – du fonctionnement du cerveau humain ?
L’économie comportementale, fruit du rapprochement de l’économie et de la psychologie cognitivo-comportementale, séduit de façon grandissante les irresponsables des politiques non-publiques depuis le début des années 2000. A nouveau promue par la remise du prix 2017 de la Banque de Suède en mémoire d’Alfred Nobel à l’un de ses pionniers, Richard Thaler, elle pose que si les individus prennent de mauvaises décisions, qui ne correspondent pas à l’intérêt général, ni même à leur intérêt particulier, c’est qu’elles sont entachées de «biais de rationalité». Un cran plus loin dans cette direction, la neuroéconomie entend isoler les structures neuronales associées à tel ou tel biais, grâce à l’imagerie médicale [[ entrées, là, d’un facisme médical !]].»…Sauf que la problématique est prise à l’Envers : ce sont les idéologies qui gangrènent les médias d’argent qui…déraisonnent (tandis que des humains restent sains) et, par extensions, leurs politiciens qui ne vont plus bien du tout. Déniant la réalité, fuyant les conséquences de leurs gesticulations désordonnées et prenant leurs hallucinations pour des raisonnements. Oui ? Les taxes c’est l’arbitraire des rois qui les soutirent selon leurs bons vouloirs et sans en rendre compte à personne. Opter pour les taxes c’est régresser dans la Royauté et ne plus être en République. En République c’est impossible, la Constitution préfère les impôts directs ! Et le consensus universitaire est complet : les taxes (faute de progressivités selon les revenus) est ce qu’il y a de plus…injuste et de plus absurde. Qu’on se le dise ! C’est dit…
Dans ces conditions solipsistes (où l’autre n’existe pas du tout) le « dialogue » c’est juste « écoutez moi sans dire un mot, et partez à reculons ! » Plus aucun mot ne veut rien dire avec des cerveaux aussi (dé)tournés vers les abus de pouvoirs. Aucune image des Champs Élysées du 24 ne montre d’agressions des manifestant.e.s, ce sont eux qui reçoivent violemment les canons à eau et un excès de lacrymogènes. L’absence de dialogue est plus que flagrant. Les témoignages crédibles disent tous « C’est la répression qui a commencé. Dès 10 h 30 et sans aucun motif (sinon d’avoir reçue des ordres d’agressions !) elle a maltraité des humain.e.s dans leur droit. Des groupuscules d’extrêmes droites et quelques black blocs ou provocateurs de police veulent déconsidérer le mouvement. Le tic insupportable des médias d’argent (alors que les destructions des trop riches sont massives et nuisent aux vies de tant d’humains - mais ne sont jamais montrées ni dénoncées que par des indépendants objectifs) c’est de ne parle QUE de déprédations et de très mauvaises volontés des médias mercenaires. Comme si on se déplaçait pour casser. Les casseurs sont les trop riches. Et l’image dans des vidéos faites rapidement ne peuvent être si vite manipulées. Seul ce qui n’est pas montré et l’accolage d’une scène et de gilets jaunes qui n’y sont pour rien sont pratiqués… Ces médias ne se battent que pour des images (pas pour la vérité)…images tronquées qui évitent toute parole, toute réflexion. Les 2 morts cités depuis le 17 novembre étaient des manifestants. Ce que cela prouve ? Que la violence des répressions augmente avec les injustices sociales. Et le langage vide des faux dirigeants résonne ainsi : vous avez le droit de manifester à condition de ne…pas manifester. En tout cas, ces pouvoirs n’assument jamais. Ce sont leurs prédécesseurs et eux qui ont déformé les paysages en le tout voiture, ce sont eux qui – au lieu d’avoir une part «légale» normale de participation des riches au budget collectif - préfèrent le système le plus injuste (et connu comme le plus injuste, donc doublement responsables d’abus)… de taxes. Et font semblant de s’étonner que cela ne plaise pas. Tout en niant la réalité et en se délestant des conséquences de leurs propres actes sur leurs…victimes. Ce sont eux qui ont fait descendre une grande partie de la population sur les autoroutes, soulèvement très appuyé par une très grande majorité (même après un 24 novembre d’agressions fomentées par les répressions…les sympathies augmentent ). Cela demeure : les pouvoirs ont immensément tort ! Puisque, non seulement ils ne croient plus au si sain progrès social. Mais veulent, illégalement, instituer…la plus grande régression sociale depuis les années 1930 ! Comment ?
Pouvons-nous-encore-croire-au-progrès-social-?
« Mais l’histoire contemporaine, de 1950 à 1980 environ a été marquée par une foi sans faille dans le progrès social. Tandis que l’humanité vivait dans l’angoisse d’une Troisième guerre mondiale, thermonucléaire, elle continuait d’espérer, de croire en la possibilité d’une société meilleure [[ tant que le haut émeutier ne tend pas à l’empêcher ! ]]. Cette période coïncide avec l’avènement de la société de consommation et l’extension des droits sociaux dans les pays développés. En Afrique et en Asie, c’était l’époque des mouvements d’indépendance, qui ont abouti à l’émergence de « nouvelles puissances émergentes » lors de la conférence de Bandung. Cette période de l’histoire est à présent révolue. Le socialisme a largement disparu (sauf, dans une certaine mesure, en Amérique latine) et les derniers États providence tentent de survivre comme ils le peuvent. Mais pour de nombreuses populations en Asie (hors l’Asie de l’Est), en Amérique latine et en Afrique ce mode de vie peine à convaincre les populations.
progrès social Face à la gangstérisation de la société par le capitalisme illégal - de nombreux mouvements solidaires et organisations populaires sont affaiblis ou divisés. Ainsi, des mouvements ouvertement exclusivistes, [[ par exemple, Trump et sa supériorité indiscutable des Blancs mâles…]] qu’ils soient ethniques ou religieux, connaissent aujourd’hui une recrudescence phénoménale. Certains sont même arrivés au pouvoir. Pour que l’idée s’inscrive dans la réalité, notre société doit changer radicalement [[ les pervers narcissiques au pouvoir font des Blocages dans la libre circulation des idées…]] afin de devenir une communauté humaine de nations. Cette idée a été esquissée (avec un fort accent allemand) par le philosophe des Lumières dissident Johann Gottfried Herder. Les événements culturels comme les Festivals des nations organisés dans les grandes mégalopoles cosmopolites telles que New York ou Londres illustrent déjà cette pensée. Mais ce n’est pas suffisant. Car nous nous orientons actuellement dans la direction opposée. Les nations sont de plus en plus fragmentées au niveau économique, polarisées au niveau idéologique. Elles ont besoin de se reconstruire. Peut-être que les défis planétaires pourraient être le moteur de cette reconstruction. La manière dont les pays se positionneront face aux accords mondiaux sur l’environnement sera sans doute l’indicateur le plus pertinent du progrès dans ce domaine. »…Les droits humains font partie du Progrès humain – les retirer, même déguisés en costards cravates, c’est vouloir la…barbarie à visage inhumain ! Que voulez-vous dire ? Refuser, à la fois, l’écologisation saine de la société et la sociabilité des associé-tés (sans qui aucun Contrat social n’est possible…puisque toutes les cordes sont cordiales et qu’il ne peut y avoir de faux premiers de cordée..), c’est, en effet, courir vers la barbarie. L’écologie est sociale et la socialité renforce l’écologie : ne manque que la complète décentralisation des enjeux pour que la dialectique des transformations puisse fonctionner…
L'écologie-cest-réinventer-l'idée-de-progrès-social
Quelle serait alors l’issue, le moteur d’une forme de clarification ? Nous défaire de ces sortilèges de l’idée de nature. Et rattacher la genèse des affects écologistes à l’histoire des mouvements sociaux. Des groupes sociaux se disent : « Il y a dans le monde tel qu’il fonctionne, dans les rapports technologiques, scientifiques, institutionnels, de marché, des pathologies telles [[ telles les pervers narcissiques, les fous des profits, ce coût bien réel ou les brutes de la destruction insensée de la Nature ]] qu’elles nous obligent à repenser les formes de notre émancipation, de notre liberté. » C’est ce que les socialistes ont fait au XIXe siècle, essentiellement en référence à la révolution industrielle. Et c’est ce qu’on a à faire de nouveau, sous une nouvelle forme : réinventer l’idée de progrès social non pas sur le socle de l’abondance matérielle, comme cela était le cas dans le passé, mais à partir d’un nouveau partenariat avec la Terre et le territoire, avec les médiations techniques. Pour un écologiste cohérent, le changement climatique, les grandes transformations écologiques et leur enchâssement dans des structures économiques et politiques va nous obliger à nous redemander à quoi on tient, à redéfinir ce pour quoi on est prêts à se battre. Et de ce débat va aboutir, je l’espère, une clarification de l’écologie politique.
Nous avions titré notre entretien avec l’historien des sciences et des techniques Jean-Baptiste Fressoz « Désintellectualiser la critique est fondamental pour avancer ». Comment pensez-vous « l’intellectualité » des politiques de la nature avec les outils de la philosophie et les sciences sociales ? « Il faut enseigner les humanités environnementales aux étudiants, voire aux lycéens. » Ce que voulait dire Jean-Baptiste Fressoz, quand on lit bien l’entretien, ce n’est pas qu’il faut couper le micro aux intellectuels — dont il fait partie —, mais qu’il ne faut pas creuser l’écart entre des débats sur des controverses techniques, scientifiques, et des gigantomachies conceptuelles sur l’« Anthropocène », le « Développement », la « Nature », les « Valeurs », etc. Et j’y souscris. Il ne faut pas s’inventer des chimères théoriques, qui ne peuvent que retarder la critique. D’ailleurs, une partie du rôle des intellectuels consiste à défaire des concepts mal taillés et couramment utilisés, comme celui de « Nature ». Mais contrairement à Fressoz, j’insisterais sur la complémentarité qu’il y a entre le travail des intellectuels, et même des philosophes, et celui des acteurs de terrain [[ ce qui fait la différence est bien si l’individu est un être humain sensible ou juste un robot insensible dopé à…l’idéologie drogue dure !]].
Quel exemple donneriez-vous ? Le débat énergétique [[ qui peut ou nuire à l’écologisation nécessaire de la société ou en accélérer le surgissement ]]. Il y a des gens qui connaissent très bien les détails des coûts de production de l’énergie selon les technologies employées et les conditions du marché. Ils réfléchissent à la durée de vie des technologies, mesurent les risques et font des propositions concrètes — comme l’association négaWatt. Et puis il y a des gens comme moi, ou des gens qui font de l’histoire environnementale, qui s’intéressent aux mêmes types de problèmes, mais qui établissent des rapports plus généraux entre ces données et la construction d’un État technocratique, les dispositifs de sécurité, l’économie politique. On peut alors dire : si vous voulez un autre horizon social, voire moral, il faut aussi toucher à l’édifice technopolitique. Si un contact se crée entre de bons connaisseurs des technologies ou des dispositifs de régulation environnementale, des collectifs de riverains, et des gens qui ont un regard distancié sur la construction politique de ces appareils, je pense que tout le monde en profite. Mettre en relation des institutions, des normes, des machines, des idéaux politiques, c’est un savoir-faire intellectuel très important aujourd’hui [[ que l’on ne trouve plus que sur internet ou des petits groupes isolés qui font circuler l’info objective et indépendante sur…papier]], et d’ailleurs il faut enseigner les humanités environnementales aux étudiants, voire aux lycéens [[ pour nos, jamais les attardés « il faut » mais bien le déjà fait ou le en cours – ici, déjà fait !]].
La question écologique est éminemment liée aux espaces, aux territoires. Le refrain bien connu « Penser global, agir local » est-il toujours pertinent ? L’une des conséquences majeures, sur un plan à la fois intellectuel et politique, du nouveau régime climatique, est que cela bouleverse totalement nos repères spatiaux intuitifs, quotidiens. Le changement climatique, c’est un phénomène global : il n’y aucun point de la Terre qui ne soit pas concerné, et, en même temps, ça n’est pas le même phénomène selon les points auxquels on se place. C’est universel et différencié, global et néanmoins local — tout comme les réponses que l’on doit y apporter. Cela veut dire que la polarisation que l’on a l’habitude de faire entre le local et le global ne marche pas tellement bien, comme le note Latour dans son dernier livre, Où atterrir ?. Les attachements idéologiques et politiques qui sont focalisés de manière antagonique sur le global (qui serait proprement libéral, mondialisant) et sur le local (qui serait conservateur, identitaire), eux-aussi sont en train d’éclater [[ce blog n’est jamais entré dans ces fumisteries de hors sol : le local c’est le partout en même temps peut naitre la Commune qui, par communalismes ET fédéralismes des savoirs mis en commun, peut faire reculer la folie centraliste dans …la tanière qu’elle n’aurait jamais dû quitter ]].
La distance entre les zones à fortes consommations énergétiques et l’extraction des matières premières est un thème que vous explorez dans vos travaux. Ne faudrait-il pas ramener les sites de production à proximité des zones consommatrices ? « On vit sur un socle énergétique qui est en apparence extra-territorial, non pas parce que l’énergie apparaît par magie, mais parce que les infrastructures sont quasiment invisibles. » On a un très bon exemple en France : le nucléaire. C’est fascinant parce que ce symbole des techno-sciences modernes tient à une croyance magique pour la plupart d’entre nous : avec l’atome, on peut en quelque sorte « faire quelque chose à partir de rien ». Il y a 58 réacteurs en France répartis sur 19 centrales en activité. Donc à moins d’habiter à côté d’une centrale, ce qui n’est pas le cas de la majorité d’entre nous, on ne voit pas les sites de production d’électricité. Pour le pétrole, c’est pareil, car il y en a très peu en Europe — ceux qui existent sont majoritairement offshore. On vit donc sur un socle énergétique qui est en apparence extra-territorial, non pas parce que l’énergie apparaît par magie, mais parce que les infrastructures sont quasiment invisibles. Pour quelques dizaines de milliers d’ingénieurs du nucléaire et de la pétrochimie, on a des millions de personnes qui se contentent d’appuyer sur l’interrupteur ou de tourner la clé de la voiture. C’est banal et pourtant extrêmement fascinant. On n’imagine pas la rupture que cela représente par rapport à des contextes sociaux plus anciens où l’approvisionnement énergétique est principalement humain, animal, photosynthétique (les plantes), où il est, en somme, omniprésent dans l’espace quotidien. C’est ce que les historiens de l’environnement appellent l’économie organique. On vit désormais dans des sociétés qui sont non seulement affranchies des limites inhérentes à ce régime organique, mais qui ont réussi à repousser très très loin des pôles de consommation les sites de « production » d’énergie.
Si on veut se diriger vers une transition énergétique avec des renouvelables — du solaire, de l’éolien, etc. —, cela veut dire concrètement qu’on va commencer à planter des éoliennes dans le jardin des gens, à nouveau à portée de vue. Et là, c’est inévitable, les gens râlent. Et on nous dit même que l’éolien est une menace environnementale. Alors outre qu’elles permettent de faire de l’énergie un peu moins dangereuse, avec des coûts de production désormais plus bas, je crois que la grande vertu des énergies renouvelables, c’est qu’elles re-territorialisent l’approvisionnement énergétique [[ soit ramener la majorité des humains hors de la folie de leur croyance fanatique dans « l’Image » (seul ce que je vous existe – tout faux ce serait plutôt seul ce que je ne vous pas …existe. Sauf si j’y mets tout mon cœur et man intelligence afin de formuler les formules !]]. Elles nous obligent à nous rendre compte [[ se rendre…compte c’est tout un chemin – rester con, y’a aucune distance de franchie…donc rien d’af…franchi !]] que si nous voulons continuer à vivre comme ça, il faut d’une certaine manière que cela marque le territoire [[apprendre se prouve par les…cicatrices que ça laisse dans le corps de ta vie…si t’as pas de tatouages c’est que t’as jamais pensé…t’es donc aussi nul qu’un arriéré de capitaliste !]]. Indirectement, on se rend compte aussi que si l’on a des paysages que l’on estime être « beaux », c’est en grande partie parce qu’ils n’ont pas à supporter la charge énergétique de notre mode de vie. Donc les gens râlent parce qu’ils ne se rendent pas compte que l’esthétique à laquelle ils sont attachés, c’est aussi celle d’un régime économique et énergétique basé sur la folie dangereuse du pétrole et de l’atome. Les énergies renouvelables sont nécessaires parce qu’elles sont, justement, renouvelables, mais aussi parce qu’elles nous forcent à renouer autrement avec le territoire, et parce qu’elles invitent à la sobriété. »…Sinon t »’es encerclé par les cadavres de tes beuveries insensées et ton confort de vivre titube plus que toi…Le capitalisme étant la plus grande beuverie, amplifiée par les plus scandaleux gaspillages jamais vus…clairs que son 10 % de riches hyper fanatisés et atrocement malades causent 50 % de toutes les pollutions !
….Tant que cette toxique arriération mentale et affective durera…
……..………………………………..le progrès social sera arrêté !
……………………..…Les riches ont un milliard de fois Tort !
………..…(à suivre)
…………………………….%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la grandeur humaine nous amplifie et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
le progrès social est inséparable de l’écologie : le capitalisme est donc contre toute forme de progrès social !
Darwin a toujours dit que les races n’existaient pas – mais l’évolution globale de toutes et tous oui !
Pourquoi ils ont inventé le progrès social ?...du 23 Novembre 2018
Entretien avec Patrick Tort pour faire le point sur la théorie de l'évolution de Darwin. Si pro-sociale.
En marche vers le progrès ou le déclin social ? avec Dominique Méda du 21 octobre 2018
Le progrès social en dévolution...
Social Science vs Politique
Témoignage percutant - Une journée au milieu des heurts du 24 novembre – l’usage de la force est vraiment disproportionné. Dès 10 h 30 du matin, l’agression directe vient de la répression. Ce sont les CRS qui commencent à charger (sur ordres) et les journalistes sont, aussi, agressés…mais surtout pas par les manifestant.e.s ! Seconde agression : Selon le syndicat des policiers en colère, les manifestants 7 sept fois nombreux que ce que déclare le ministère de l'Intérieur (le 17 c’était que 4 fois plus que leurs fausses données !), qui encore une foi mini-mise la véritable ampleur de la participation des Gilets jaunes dans l'Hexagone. Pas 105 000 seulement tandis que le syndicat des policiers en colère à quant à lui dénombré quelques 750 000 Gilets jaunes sur tout le territoire.. La honte ce sont ces procédés !
Paris : malgré tout, comment les Gilets jaunes s'emparent des Champs-Élysées
L'effet réversif ? (1) - Le blog de imagiter.over-blog.com
Celui qui survit est celui qui survit ? La " sélection naturelle ", détournée en " loi de la jungle ", bute, ainsi sacrément, sur une aporie - oui une impasse qui ne permet plus aucune affirmat...
L'effet réversif ? (2) - Le blog de imagiter.over-blog.com
Suite au post du 11 Juin 2014, se peut trouver un texte synthétique qui nous conduit à comprendre comment le paradigme de " l'effet réversif " inverse et renverse la " loi de la jungle ", celle ...