Toujours à la recherche de médias libres

Publié le par imagiter.over-blog.com

Toujours à la recherche de médias libres

L’ennemi non déclaré étant, comme toujours, ceux/celles qui cherchent à s’informer et les esprits critiques. Comment est-ce possible ? Et qui dit cela ?  Lorsque ce qui importe réellement, ce ne sont plus du tout les faits, mais les façons dont l’histoire se voit racontée afin de faire… barrage à qui veulent comprendre le vrai (sinon quel intérêt de piger le faux ?). Et qui cherchent – à cause des Blocages des pouvoirs qui empêchent la libre circulation des idées, les meilleurs moyens afin de dénicher, recouper, vérifier, compiler et…réfléchir (sans armes ni machines) à …comment l’ensemble peut fonctionner. La congruence (cette cohérence interne qu’aucun mensonge ne peut pénétrer) lui sert d’horizon…Oui pas de laisser faire – pas de laisser passer : même là ils mentent. Le capitalisme est surtout le refus barbare des concurrences normales, des loyautés, de l’égalité des parcours et de l’autorégulation de la pensée collective – partout ce ne sont que censures qui font rage en barricades, interdits, immixtions, ingérences déplacées, interventions brutales et si mal venues. Comment les croire lorsqu’ils osent le marché…libre ? La meilleure valorisation de la richesse collective ? Les meilleurs talents aux fonctions les plus utiles pour toutes et tous ? Etc. Oui ceci demeure toujours possible …dès que sera aboli ce capitalisme des désastres. Les médiocres envahissent des fonctions dont ils restent incapables de comprendre et le fonctionnement et les influences bénéfiques potentielles. L’offre qui ne crée pas la demande se voit pilonnée par des publicités qui n’ont qu’un si minuscule avantage (celui d’être martelées sans cesse – mais dont l’effet disparait instantanément dès la fin du vacarme)….où les désirs d’admirer, de vouloir escalader les meilleurs, d’imiter les génies ne seraient pas aussi sauvagement réprimés !  Ce qui demeure, toutefois, dynamisé dans le jamais être comme eux. Des monstres ternes. Et l’ardeur traverse les murs et les époques. Là ne devons-nous pas forger ce qui peut traverser…toutes les médiocrités (et il y en a )….

Qui l’a dit ? « Lorsqu’il commandait les troupes US en Afghanistan, le général David Petraeus a déclaré que l’essentiel est ce qu’il appelait ’une guerre de la perception… menée en continu via les médias’ [[Ceci représentant la véridique guerre – celle où qui trompe, triche, truque le plus gagnerait – bon c’est leurs folies vénéneuses, celles dont nous ne voulons surtout pas !]]. Ce qui importait réellement, ce n’étaient pas les faits, mais uniquement la façon dont l’histoire était racontée aux États-Unis. L’ennemi principal étant qui veut savoir et qui force, donc, à la désinformation et aux mensonges [[ vision paranoïaque qui cherche toujours un bouc émissaire extérieur au lieu de se regarder en face !]].

La-disparition-du-journalisme-consortium-news

 

Et John Pilger de continuer…’L’austérité’ est une invention. La Grande-Bretagne est un pays riche qui a une dette envers ses banques véreuses, et non envers son peuple. Les ressources qui permettraient de financer confortablement le Service national de santé ont été volées au vu et au su de tous par les quelques personnes autorisées à se dispenser et à évader des milliards de dollars d’impôts. Utilisant un vocabulaire d’euphémismes d’entreprise, le service de santé public est délibérément dénigré par des fanatiques du marché libre, pour justifier sa mise en vente. Le parti travailliste de Jeremy Corbyn peut donner l’impression de s’y opposer, mais le fait-il réellement ? La réponse est très probablement non. Les médias n’y font guère allusion, et encore moins ne l’expliquent [[ voici un récit qui agrège nombres de faits, auparavant dispersés, déconnectés , éparpillées  pour empêcher de les comprendre et qui, réunis ensembles, tiennent la route. Les scandaleuses privatisations sont toujours des coups montés, oui, comme dit l’autre, des stratégies non des complots – ce qui revient au même…Et ? Il faut, alors, réfléchir loin avant de pouvoir présenter un récit cohérent. C’est le prétendu hors cadre qui tient le tout. Accumuler des faits n’est pas une garantie d’objectivité et d’indépendance d’esprit, s’ils ne sont pas analysés un par un et synthétisé en vue des plus…grandes…explications possibles. Voici qui rebrousse les implicites des corruptions au sommet. Oui tout dire reste possible : il suffit de beaucoup moins s’en prendre aux personnes et beaucoup plus aux idéologies qu’ils font bouger ! Là, nous pouvons cogner franco et sans retenir les coups de béliers qui doivent faire s’effondrer toutes leurs saletés de murs. Car ? Depuis la chute du mur de Berlin il y a tellement plus de murs partout (comme de ventes d’armes alors qu’il n’y a plus…d’ennemis !) – c’est donc que le ver a toujours été dans le fruit capitaliste, cette déraison qui fout le bordel partout. Oui ras le bol de l’insurrection libérale capitaliste : aucune légitimité en elle. Encore moins, dans qui le défendent !]].

Edwards et Cromwell ont disséqué la loi Health and Social Care Act de 2012, dont le titre inoffensif cache ses conséquences désastreuses. Inconnue de la majorité de la population, la loi met fin à l’obligation légale des gouvernements britanniques de fournir des soins de santé universels et gratuits : le principe même sur lequel le NHS avait été crée après la Seconde Guerre mondiale [[ et qui correspondent aux Droits de l’homme, vous savez ce qui se disent si simplement : un toit, à manger, des soins et du savoir…afin qu’il puisse remplir ces Devoirs de citoyen, tout simplement. Toute trahison des Droits de l’homme, déguisé dans un charabia compact contre les droitsdelhommisme (sic) signet toujours les grandes trahisons des sommets. Point barre ]]. Les entreprises privées peuvent désormais prendre la place du NHS, morceau par morceau [[ en effet, et toujours après avoir calomnié dru que le service public «ne vaut rien», comme cela ils l’obtiennent à un prix dérisoire (donc aucune difficulté pour renationaliser, à payer le même prix !). Tout en se la jouant c’est bien pour rendre service, voyez comme je suis serviable, oui à augmenter frauduleusement tous les prix tout en sabotant l’ensemble des «services requis». Ce qui donne bien le visage d’escroqueries aux privatisations. Le but de cette analyse restant de stopper la privatisation rampante de l’état et trancher le lien illégal avec des intérêts privés qui ne veulent non pas diriger les pays mais juste – sordidement – piller l’argent public. Là où ils se placent, ils seront traités tels. Oui traités tels des brigands. Voici à quoi sert le vrai journalisme aux mains de personnalités d’intégrité morale forte !]]

Où était la BBC, se demandent Edwards et Cromwell, lorsque ce projet de loi d’une importance capitale se frayait un chemin [[ en silence ]] jusqu’au Parlement ? La BBC, qui de par la loi s’engage à ’ fournir une vue d’ensemble ’ et à bien informer le public des ’ questions de politique publique ’ [[ tout comme en France où les services publics d’informations ne se distinguent plus du tout du privé dans leurs «contenus», même avachissement libéral et même manque de rigueur dans la survenue de l’élucidation permanente de la société par elle-même – donc ces services dits publics sont au service de l’ennemi et non du…public !]], n’a jamais exposé en détail la menace qui pèse sur l’une des institutions les plus chéries du pays : elle n’a jamais fait état de la menace qui pèse sur une de ses institutions les plus précieuses. Un gros titre de la BBC disait : ’Un projet de loi qui donne du pouvoir aux médecins généralistes.’ C’était de la pure propagande d’État [[enfin d’état illégalement privatisé…puisque, ne serait-ce qu’afin de se simplifier la vie, il faut absolument voir cet état comme une structure existante, bon mais une coquille vide qui peut…être utilisée de toue autre manière. Pour émancipe, libérer, non l’inverse. C’est comme les mots, ce n’est pas parce que les escrocs capitalistes les dénaturent qu’ils restent…dénaturés. Dans la bouche d’autres humains et avec des intentions différentes, le langage redevient hyper thérapeutique. Nus pouvons l’utiliser à fond. Donc l’état transitoire enfin si nous arrivons à cogérer tous les services publics repris aux mains délinquantes des avidités illégales – peut servir tout le monde. En éjecter le capitalisme libéral suffira – inutile de saccager la…logistique. Ce pourquoi tant d’années de perdues : le libéralisme s’est présenté comme très libertaire et a fait semblant de nier tout état en devenant hyper étatiste dès qu’il a réussi à se faufiler (comme le macronisme qui n’aurait pas pu exister si N.R.V. s’était bien plus amplifié…oui l’unité complète du Noir Rouge Vert. Puisque (séduits par la tromperie de l’intense propagande capitaliste) certains libertaires se sont congelés en un absurde et immobilisé à bas l’état (ce qui permet derrière la façade toutes les fraudes, les enfers fiscaux et les exonérations à gogo !)…au lieu de le mettre concrètement bas ! Mêlant la logistique neutre et les agissements abjects des bourgeois, cela a rendu les combats quasiment impossibles…puisque quel autre moyen de récupérer tous les services publics que de réinvestir l‘état ? Et de prouver pratiquement que l’état peut être transitoire. En y allant. C’est facile de dire sans faire. Nous, nous faisons et disons à la même allure. Ce pourquoi nous ne sommes jamais en retard sur…nous-mêmes. Puisque l’énigme « le capitalisme est le seul anarchisme qui a réussi » pointe bien que c’est…grâce à un défaut de notre conscience collective. …qu’il a réussi. Oui, c’est bien nous qui prolongeons le capitalisme parce que nos pensées ne sont pas du tout au point… Clair ? Nous pensons que Noir Rouge Vert peut réparer cela !]].

Avec l’exclusion ou l’expulsion de nombreux journalistes indépendants, voire de la plupart d’entre eux, un coin d’Internet est devenu une source vitale de divulgation et d’analyse fondée sur des preuves : de véritables sites de journalisme comme wikileaks.org, consortiumnews.com, wsws.org, truthdig.com et globalresearch.org, counterpunch.org et informationclearinghouse.com sont des lectures nécessaires pour ceux qui essaient de donner un sens à un monde dans lequel la science et la technologie progressent merveilleusement tandis que la vie politique et économique des ’démocraties’ régresse derrière une façade médiatique de spectacle narcissique [[ donc sortir de ce système c’est…guérir. Et ? Qui sont sortis du système pensent et ressentent déjà tout différemment…comme des guides non contraignants que nous les suivions en mase !]]. En Grande-Bretagne, un seul site Web [[et en France ?]] offre une critique médiatique indépendante et constante. C’est le remarquable Media Lens – remarquable en partie parce que ses fondateurs et rédacteurs ainsi que ses seuls auteurs, David Edwards et David Cromwell, depuis 2001, ont concentré leur regard non pas sur les suspects habituels, la presse conservatrice, mais sur les modèles [[ pas perdre du temps à attaquer les personnes mais s’attaquer aux racines de ce qui les soutient : leur idéologie aliénée…Vous voyez que, dès le début du blog, nous avions planté ces graines. Sans erreurs Et que, depuis (la méthode est tout !), nous faisons se développer l’ensemble que nous nommons « nous sommes la santé de la société » - un peu, comme une étape vers l’émancipation collective, les gilets jaunes peuvent (ou non) l’être aussi. Nous soutenons sauf dans les narcissismes qui n’ont jamais conduit nulle part. Le collectif grandit tout le monde, inutile donc de se marcher dessus !]] du journalisme libéral réputé : la BBC, The Guardian, Channel 4 News.

Leur méthode est simpliste. Méticuleux dans leurs recherches, ils sont respectueux et polis lorsqu’ils demandent pourquoi un journaliste a produit un reportage aussi partial, ou a omis de divulguer des faits essentiels ou diffusé des mythes discrédités [[ en fait, là, ces institutions ne parlent que d’elles, ne savent dire que ce qu’elles…font. Bien incapables de comprendre des méthodes si novatrices que les nôtres ! Et où leurs grilles de lectures ne peuvent rien lire…]]. Les réponses qu’ils reçoivent sont souvent défensives, parfois insultantes ; certaines sont hystériques, comme s’ils s’en étaient pris à une espèce protégée. Je dirais que Media Lens a brisé le silence sur le journalisme commercial [[ ces vains sophistes qui mentent sur tout et prétendent empêcher les divulgations salubres au nom de la…vérité !]]. Comme Noam Chomsky et Edward Herman dans Manufacturing Consent, ils représentent un cinquième pouvoir qui déconstruit et démystifie le pouvoir des médias.[[ c’est s’en prendre efficacement aux racines et ne pas perdre du temps à s’en prendre à des individus qui n’en sont que des reflets. Reflets qui privés de cette source ne brilleront plus. Aussi simple, car sain, que cela !]]. Ce qui est particulièrement intéressant à leur sujet, c’est que ni l’un ni l’autre n’est journaliste. [[ comme quoi – tout comme nous qui pensons qu’être un vrai écrivain peut refondre un tout nouveau journalisme. Celui qui fait advenir ce dont il parle. Oui mais en respectant toutes les règles de l’objectivité et de l’honnêteté intellectuelle !]]. David Edwards est un ancien professeur, David Cromwell est océanographe. Pourtant, leur compréhension de la moralité du journalisme – un terme rarement utilisé ; appelons cela de la vraie objectivité – est une qualité vivifiante de leurs publications. Je pense que leur travail est héroïque et je placerais un exemplaire de leur livre, Propaganda Blitz, qui vient de paraître, dans chaque école de journalisme qui sert les intérêts du système, c’est-à-dire toutes. »…Oui c’est à aider les médis à retrouver la vivifiante santé non s’en prendre aux personnes qui est le plus subversif. Et pas qu’un peu… Après ce salutaire rappel historique, tous ces jours qui nous brûlent ?

..........……………………***************************************

Gilets-jaunes-transition-énergétique-et-modèle-français

« Les journalistes mettent constamment en avant ces « réseaux sociaux » pour masquer le rôle qu’ils jouent eux-mêmes dans la construction de l’action publique. Plus précisément, c’est la complémentarité entre les réseaux sociaux et les chaînes d’information continue qui ont donné à ce mouvement sa dimension d’emblée nationale. Sa popularisation résulte en grande partie de l’intense « propagande » orchestrée par les grands médias dans les jours précédents. Parti de la base, diffusé d’abord au sein de petits réseaux via facebook, l’événement a été immédiatement pris en charge par les grands médias qui ont annoncé son importance avant même qu’il ne se produise. La journée d’action du 17 novembre a été suivie par les chaînes d’information continue dès son commencement, minute par minute, « en direct » (terme qui est devenu désormais un équivalent de communication à distance d’événements en train de se produire). L’une des questions que personne n’a encore posée [[ ne pas poser les questions c’est prolonger l’aliénation collective : être vraiment impertinent ce n’est pas être provocateur, c’est aimer les autres au point de les aider !]] à propos des gilets jaunes est celle-ci : pourquoi des chaînes privées dont le capital appartient à une poignée de milliardaires sont-elles amenées aujourd’hui à encourager ce genre de mouvement populaire ? La comparaison avec les siècles précédents aboutit à une conclusion évidente. Nous vivons dans un monde beaucoup plus pacifique qu’autrefois. C’est le résultat des accidents causés par les conflits qui ont opposé le peuple bloqueur et le peuple bloqué.

Cette pacification des relations de pouvoir permet aux médias dominants d’utiliser sans risque le registre de la violence pour mobiliser les émotions de leur public car la raison principale de leur soutien au mouvement n’est pas politique mais économique : générer de l’audience en montrant un spectacle. Dès le début de la matinée, BFM-TV a signalé des « incidents », puis a martelé en boucle [[ soit le contraire du respect…comme s’ils pouvaient « privatiser » la douleur vécue des humains !]] le drame de cette femme écrasée par une automobiliste refusant d’être bloqué. Avantage subsidiaire pour ces chaînes auxquelles on reproche souvent leur obsession pour les faits divers, les crimes, les affaires de mœurs : en soutenant le mouvement des gilets jaunes, elles ont voulu montrer qu’elles ne négligeaient nullement les questions «sociales» [[ sauf que le vrai sens est tout ailleurs – pour une fois nul-le ne peut récupérer…sauf l’auto-narcissisme des gilets jaunes. Ce pourquoi nous pensons qu’ils/elles doivent auto-produire « leur » version, la véridique, des évènements. Par exemple le 1er Décembre. Que leurs bons programmeurs trouvent le moyen de capter les moments –carrefours (qui résument tous les autres) tout en densifiant par des commentaires …très sérieux mais qui ne récupèrent surtout pas le phrasé et le déguisement piégé du charabia médiatique. Inventer une langue claire qui décoiffe par son insolence tranquille ! Chiche ?]].

Mais ce genre d’analyse n’effleure même pas « les professionnels de la parole publique » que sont les journalistes des chaînes d’information continue. En diffusant en boucle les propos des manifestants affirmant leur refus d’être « récupérés » par les syndicats et les partis, ils poursuivent leur propre combat pour écarter les corps intermédiaires et pour s’installer eux-mêmes comme les porte-parole légitimes des mouvements populaires [[ c’est bien ce que nous disions ]]. En ce sens, ils cautionnent la politique libérale d’Emmanuel Macron qui vise elle aussi à discréditer les structures collectives que se sont données les classes populaires au cours du temps [[ soit foutre le chaos véritable sans que nul-le ne puisse débrouiller les brouillards vers des réorganisations collectives qui drainent le maximum de volontés convergentes. Clair qu’ils n’ont pas de bonnes intentions, mais tout reprendre en main c’est dompter, aussi, leur bestialité d’égarés ! En les contrant sur leur terrain, ben tiens..]].

Étant donné le rôle crucial que jouent désormais les grands médias dans la popularisation d’un conflit social, ceux qui les dirigent savent bien qu’ils pourront siffler la fin de la récréation [[ hé bien, ils ne le pourront pas ! Ce qui change toutes les manières de regarder !]] dès qu’ils le jugeront nécessaire, c’est-à-dire dès que l’audimat exigera qu’ils changent de cheval pour rester à la pointe de « l’actualité » [[qui n’existe donc pas puisque « fabriquée »…sauf pour qui n’entrent jamais « dans » leur médias de pacotille et fait que cela SE passe, SE produise – oui le mystère non élucidé du Ça qui n’est ni Surmoi répressif ni narcissisme qui s’auto-inertie…mais comme un instinct intraitable venu du fond des âges et que Freud n’a jamais réussi à formuler. Et que le futur proche va faire…donc SANS ces médias. A titre d’info : des concerts gigantesques « peuvent » se produire mais ils « exigent » la non intrusion des médias non bienvenus, comme du show biz qui aura tout salopé avec ses refus de comprendre ce qui « se passe » dans la musique. T’as ta longueur d’onde ?]]. Un tel mouvement est en effet voué à l’échec car ceux qui l’animent sont privés de toute tradition de lutte autonome, de toute expérience militante [[parle pour toi ]]. S’il monte en puissance, il se heurtera de plus en plus à l’opposition du peuple qui ne veut pas être bloqué [[ et donc lui ouvrir les portes – toutes, des péages et autres franchira aisément l’obstacle ]] et ces conflits seront présentés en boucle sur tous les écrans, ce qui permettra au gouvernement de réprimer les abus avec le soutien de « l’opinion ».

"Ceux qui nous gouvernent : mais qui sont ces gens ?" Inversons le regard… Oui, qui sont ces gens bardés d'auto-suffisance, de "supériorisme", qui disposent de rémunérations indécentes au vu de la pénibilité de leurs emplois,[[ si c’est en costards-cravates sûr que le boulot n’est pas pénible…]] mais surtout de leurs résultats catastrophiques. Qui sont ces gens qui échouent depuis 40 ans à faire baisser le chômage en France, mais qui voudraient dorénavant nous faire croire qu'ils vont arriver à faire baisser la température du climat planétaire avec une nouvelle taxe. En effet, ceci ressemble fort à des bouffées délirantes !

Aussi arrêt sur leurs…analyses. Comme ceci « Retour d'abord sur le traitement médiatique. Dès le premier jour de manifestation, le 17 novembre, il a été reproché aux journalistes une bienveillance certaine avec le mouvement des Gilets jaunes. Alors qu’à ce jour le bilan est de deux morts et plus de 500 blessés, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur... Arrêt sur Images a d'ailleurs visionné les chaînes d'info ce week-end-là et conclu à un traitement médiatique favorable aux Gilets jaunes, les chaînes n'ayant tendu le micro à aucun opposant au blocage. Pour quelles raisons  ? "Comme le prix de l'essence concerne une majorité des Français -  en 2012, 48 % des Français voyaient leur vote influencé par les mesures sur les carburants [[déjà]]...L’idéal dans cette émission si ratée d’Arrêt sur images c’est très peu d’infos vitales  telles les journalistes ont plus tendance à offrir le micro à qui leur ressemble sociologiquement [[ donc pas d’objectivité dès le départ]]. Mais surtout la perle : "Pour la première fois sans doute de leur carrière, nombre de journalistes voyaient des gens qu'ils ne connaissaient pas, dont ils n'avaient pas le numéro de portable", explique @jeanYvesCamus1 sur notre plateau. Prodigieux : nos trajets transversaux d’esprits libres, d’aller partout, de ne pas s’attacher à un milieu qui n’est jamais au milieu de quoi que ce soit, mais de transcender toutes les catégories, étiquettes et stigmatisations absurdes nous permettent de savoir de Quoi nous parlons. Ce pourquoi nous avons appris à être vraiment journalistes sans savoir que la plupart des dits professionnels, ne le sont. Et donc les médias sont dans une bulle compète. Complètement coupés des réalités dont ils n’ont, apparemment, aucune compétence pour en parler. Et toutes pour ne pas…en parler. Ce qu’ils font trop bien. A faire croire que c’est la seule méthode d’investigation. Pas la seule, et, en plus, la pire. La preuve ? Alain de Benoist : « Pour le monde médiatique, le monde extérieur, le monde réel, n’existent pas… »

 

Ce qui ajouté à Dol de Philippe Squarzoni de 2007 et à notre livre qui le prolonge – sur onglet 4 du site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/  "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» - ouvrent la compréhension complète : depuis quasiment 40 ans ce petit monde s’est enfermé dans une routine morbide (de vraiment petites vies). Ce n’est pas discriminatoire mais cette horreur culturelle a lieu à Paris. Ce n’est donc pas les parisiens mais les « parisianistes » du centralisme suicidaire (celui du macronisme parait encore raisonnable) qui empêchent le pays de vivre. Et de s’exprimer….librement !…oui ils ont persisté en …censurant tout à la source. Ce pourquoi depuis 1975, bizarrement, il n’y a plus de grands esprits. Bizarre puisque tous les 25 ans il y a une nouvelle vague. Donc bientôt 2 vagues qui redonnent jeunesse au pays entier de privés par ces paternalistes bien plus qu’illégaux ? Réponse dans un prochain texte...

 

L’essentiel, donc, est l’image. Oui la politique rabaissée au marketing !!! Pour tailler leur part du secteur, les grands noms ne lésinent pas sur les dépenses marketing, comme l’Oréal qui y consacre chaque année 30 % de son chiffre d’affaires. Ces sommes colossales sont aspirées par le rythme frénétique des lancements de nouvelles lignes : en 2015, plus de 600 nouveautés sont apparues dans les magasins. En effet, les créateurs doivent s’adapter à une clientèle aux goûts changeants : en dehors des classiques indémodables (Chanel N°5, J’adore), le marché est très volatil.

………………………..              **********************************

« Nous sommes forcés d’espérer que les intérêts égoïstes de cette masse de perdants, tous ces perdants – ils sont nombreux – convergeront pour former une ligne homogène, construite, radicale et alimentée par des gens qui savent, comme le dit Bardamu dans le Voyage, capables de les aiguiller avec humilité et bon sens dans leur démarche. Il y a beaucoup de gilets jaunes, dans ce pays, qui ont compris qu’ils n’avaient plus à avoir honte de leur incertitude économique permanente, de leur vieille bagnole, et de ces petites brimades que le réel leur inflige avec une violence croissante. Les perdants se sont levés. Soutenir leur bataille, les aider à lui donner la consistance qu’elle devra prendre, est sans aucun doute le devoir de ceux qui ressentent une sourde et entêtante nausée face à ce que le macronisme est en train de faire de notre pays. Il faudra déployer des trésors de bon sens, et de sens tactique, pour savoir où placer le curseur de la contestation : respectueuse des libertés économiques, autant que possible, mais aussi et surtout des biens et des agents publics. Car ce gouvernement-ci, comme il a déjà entrepris de le faire, aura tôt fait de pointer les débordements et les nuisances causées par ce mouvement à l’activité économique et aux libertés des citoyens n’y prenant pas part [[ alors que les siennes sont un milliard de fois pires !]]. De nouveaux modes d’action sont à inventer, dans la plus stricte observance du civisme républicain : ils ont déjà commencé à éclore, et cette ligne devra être tenue si le mouvement veut perdurer.

gilets-jaunes-Pour-qui-la-dérangeante-odeur-du-pauvre-?

En attendant, ne boudons pas notre plaisir : il y a déjà lieu de se réjouir, car un tabou [[ une sidération, comme une hypnose ]] vieux de plusieurs décennies a été brisé en fanfare. Les gilets jaunes n’ont plus honte de dire qu’ils sont les perdants de l’Histoire, et ils ont raison : il n’y a aucune honte à avoir, aucune, d’être les perdants d’un système aussi vil que celui-là. Pas plus qu’il n’y a lieu, en haut, de ressentir la basse fierté d’en être les pathétiques gagnants.’ Faux gagnants qui ont gagné le titre d’être…la lie de l’Humanité !

l'armageddon-de-la-presse-

 « La réplique impuissante de la journaliste est symptomatique pour une approche journalistique qui domine le reportage de l’actualité depuis une vingtaine d’années. Elle objecte, mollement, que « le rôle principal des médias serait celui d’une caisse de résonance répercutant le niveau de mécontentement et d’insécurité dans la population » [[ sauf que si tout est censuré il n’est résonné que les ordres de l’oligarchie ]]. Ce concept de la neutralité tacitement biaisée s’est insidieusement infiltré au fil des ans, avec, en toile de fonds, le message subliminal de « la fin de l’histoire ». Paradoxalement, le gros des journalistes continue à célébrer un modèle économique et sociétal qui leur dessert au même titre que les travailleurs. Mais, le Royaume Uni, berceau de la révolution néolibérale, se trouve peut-être à un tournant historique, ouvrant des perspectives nouvelles pour le monde du travail en général et le journalisme en particulier. » » D’où la remarque de  « What is wrong with the world ? » - qu’est ce qui ne va pas avec ce monde, prouve à quel point ce sont eux les égaré.e.s (les rédacs en chef, par exemple) et pas du tout nous…les immenses émancipé.e.s !

Alors Acrimed ? «Deux remarques pour commencer. D’abord, quand on parle de la crise de la presse française, c’est en fait de la presse parisienne qu’on veut parler. La presse régionale se porte un peu moins mal, bien qu’elle soit en général peu attractive. Tradition jacobine oblige, tout ce qui se veut d’audience « nationale » se doit d’être à Paris. Deuxième remarque : les journaux emploient des journalistes, mais il y a longtemps que ceux-ci ne les possèdent plus. Dix milliardaires, marchands d’armes, banquiers, représentants de l’industrie du luxe ou du bâtiment possèdent, à eux seuls, 89,9% des quotidiens nationaux. Pourquoi Dassault, Bouygues, Lagardère, Drahi, Niel, Bernard Arnault investissent-ils dans la presse ? Certainement pas par philanthropie. Ils se targuent tous, la main sur le cœur, de ne pas peser sur les choix rédactionnels, mais ils n’ont nul besoin le faire : il leur suffit de s’assurer que ne seront jamais recrutés des adversaires [[ les censures censitaires, les pires depuis le début de l’Histoire, c’est à la source, cela se voit peu ou pas mais à des conséquences…catastrophiques – d’où corruptions partout et les plus médiocres incapables de remplir les fonctions ailleurs – Et donc ? Plus d’excès de taxes = plus d’excès de privatisations des médias. C’est la même chose le même combat. Tu nous libères due l’iniquité d’être taxés n’importe comment, tu dois aussi libérer les médias. Même nécessité vitale :]] de l’idéologie dominante (ce qui leur est assez facile, puisque les écoles de journalisme forment déjà à cela…Modèles uniques et révélant leurs gigantesques inadaptations comme à l’Ena !)).

.........…….....………………***********************************************

A-Paris-un-projet-de-maison-des-médias-libres

« Une maison des médias libres ? Le projet est dans les cartons depuis trois ans déjà, né de la rencontre entre un millionnaire, ex-cadre dans l’industrie, du nom d’Olivier Legrain et d’un certain nombre de médias se définissant comme indépendants, à savoir : Mediapart, Politis, le site Basta, le magazine Alternatives économiques, la web télé la Télélibre et la revue Esprit. Ces médias, marqués à gauche, forment aujourd’hui le comité de pilotage du projet. Dans leur sillage, une bonne vingtaine de médias potentiellement intéressés, se sont associés diversement à la réflexion, à l’image de la société de production Premières Lignes (Cash Investigation), du site d’info Reporterre, du groupe de média So Press (Society, So Foot), du magazine Kaizen ou encore d’Arrêt sur images et de Hors-Série. Plus récemment, le site Les Jours a lui aussi exprimé son soutien à la création d’une maison des médias libres. »

 

.......Voici que vous avez beaucoup de cartes en mains…continuez à vous libérez…

 

..............…..Vous êtres dans le bon sillon, celui qui libère aussi les autres !

 

 

….…..……(à suivre)

 

…………….....…………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

            Que la complète libértaion collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs.Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Toujours à la recherche de médias libres
L’acte révolutionnaire que de dire la vérité : John Pilger

L’acte révolutionnaire que de dire la vérité : John Pilger

L’aube d’un avenir à la Orwell, par Robert Parry Source : Robert Parry, Consortium News, 28-07-2017 Aux États-Unis, les médias dominants continuent à propager leurs propres « fake news », notamment à propos d’un « consensus » de la communauté du renseignement sur le « piratage » à l’origine du Russia-gate tandis que des algorithmes entreprennent de marginaliser les opinions dissidentes, écrit Robert Parry.

L’aube d’un avenir à la Orwell, par Robert Parry Source : Robert Parry, Consortium News, 28-07-2017 Aux États-Unis, les médias dominants continuent à propager leurs propres « fake news », notamment à propos d’un « consensus » de la communauté du renseignement sur le « piratage » à l’origine du Russia-gate tandis que des algorithmes entreprennent de marginaliser les opinions dissidentes, écrit Robert Parry.

Vont-ils continuer à nous voler les pays de la Terre ? La France aussi !

Vont-ils continuer à nous voler les pays de la Terre ? La France aussi !

Quand les peuples font l'histoire

Quand les peuples font l'histoire

Feinte = fake off, une tromperie qu’on éteint (off)

Feinte = fake off, une tromperie qu’on éteint (off)

Toujours à la recherche de médias libres
Une maison des médias libres ? ici – un lieu de contre-pouvoirs !

Une maison des médias libres ? ici – un lieu de contre-pouvoirs !

Toujours à la recherche de médias libres
Toujours à la recherche de médias libres

5 novembre 2016 - Le fondateur de WikiLeaks a accordé un entretien exclusif au journaliste australien John Pilger. RT publie cette conversation franche, revenant sur les fuites des emails d’Hillary Clinton, les accusations liant WikiLeaks à la Russie, la guerre en Libye et l’afflux de migrants

M. Larrère (historienne): "L’histoire neutre ? Une arnaque pour faire passer une histoire de droite"

…depuis 2012 les médias c’est toujours pire

MÉDIAS, OLIGARCHIE ET LUTTES SOCIALES - THOMAS GUÉNOLÉ Les attaques se multiplient sur les acquis sociaux obtenus grâce à la lutte sociale. Comment réapprendre à combattre en ayant appris les leçons des précédents mouvements sociaux, comment se défendre contre le… rouleau compresseur médiatique

l’Information et les profits ne peuvent cohabiter…le profit ne peut que détruire l’information : le « bilan » est donc plus que désastreux

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article