Un futur enfin victorieux ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Un futur enfin victorieux ?

Face aux capitalismes, les communalismes, ce sont les communications qui communiquent…transversalement, la centralisation n’a plus que le matos vide qui ne transmet plus. Lourd pachyderme elle ne peut plus se mouvoir, les initiatives lui glissent entre les doigts, elle n’a plus que des laps de retards qui lapsusent drus. Immobilisée par ses propres aveuglements, alourdie par le poids inutile de ses arrogances, elle n’a plus aucun répondant. Nos paroles passent hors de ses portées. Et nous menons encore plus la danse. Comme ceci…

 

« Les élites éco-monopoliennes d’en haut refusaient de s’en prendre aux véritables causes de la colère montante, puisque c’étaient aussi celles de leur prospérité (p137 – René Passet – Une économie de rêve, « la planète folle », avril 2003). ». Et ensuite ? Ensuite (mais toujours plus maladroitement), ils tentent de dresser les écologistes contre les gilets- jaunes automobilistes qui polluent. Or, depuis un bout de temps, leurs culpabilisations ne marchent plus. La chanson dit « plus t’es riche, plus tu pollues »…leurs petits nombres à ces monopolistes (illégaux selon leurs règles de free trade) polluent pour 50 % DU TOTAL GLOBAL. Et les 50 % les plus pauvres de toute l’Humanité, 13 %. Ils ne peuvent vraiment pas aider à diminuer quoi que ce soit. Seuls ceux qui veulent qu’uniquement ces pauvres réduisent toutes les pollutions du monde sont les…ennemis « globaux » : à la fois, des vrais écologistes et de la France invisible des périphéries (tout de même 60 % de la population !). Ces monopolistes-qui-se-cachent veulent toujours plus de bagnes de bagnoles et toujours moins de transports en commun et tant pis pour les respirations… encombrées. Donc ils vont taxer les lointains pensant (toujours plus stupidement) qu’il n’y aura pas d’effets boomerangs…tout en essayant de faire gober que c’est la faute de …l’écologie, tout ça. Pensant, ainsi, s’en sortir par toutes les perversions du monde. Pas de bol, ces lointains ne voient que…c’est de la faute du gouvernement, oui celui du tout pour les riches !

 

Panique à débord : grillages et nouveaux murs vont mettre la grosse syntaxe de la vue…«érigée pour la défense du système, la nouvelle barrière n’avait-elle pas pour fonction d’en protéger les valeurs essentielles …d’ouverture et de liberté (p 137- ibidem) ? » Tant qu’à faire : il n’y a plus qu’à l’appeler mur de la Liberté puisqu’il en prive privatise attise toutes les faut arrêter les conneries. Ordoncques ? « Bientôt, les résidences individuelles durent s’entourer très barbelées. Ainsi les progrès de l’unification de la planète se mesuraient-ils à la multiplication…des murs chargés d’en assurer la réalisation (p. 138). » Pas de meilleure concrétisation de l’unification que de tout séparer. Tout désuni c’est uni. Et la guerre c’est la paix.  Les éco-monopoliens ne monopoliseraient donc plus que la connerie ? Dans ce chaos où glisser les avantages comparatifs ? Leur futur ? Grâce à leurs anticipations rationnelles…que des populations stationnaires recroquevillées sur leurs illusions de richesses ? Celles qui coûtent tant au monde de faire semblant de donner de «l’aide» à l’Afrique mais c’est pour lui en retirer 9 fois plus…oui mais ce sont des arriérés, vous comprenez. Non, justement, nous ne comprenons pas, si vous leur dévalisez leur richesses vous être responsables que ce soient des arriérés, donc, au final, c’est vous les pires arriérés. Et eux surtout pas. Soit la queue change de direction et vous restez comme les…tous derniers !...« La libre circulation des choses, leur disait-on, préparait celle des personnes. Et du point de vue des choses mondialisées, tout semble si bien se dérouler selon la promesse (p. 130)…mais pour la mondialisation des personnes (soudain) pas question. Seuls les riches ont le droit de circuler. Et, tout comme la libre circulation des idées se voit très empêchée, celle de 75 % de l’Humanité suit la même voie. Et ? Afin de protéger le devenir des sociétés, tout s’inverse en : seuls les pauvres peuvent librement circuler. Les trop riches trop émeutiers, trop fauteurs de troubles, désorganisateurs et hyper pollueurs, antisociaux et trop insensibles, pervers et narcissiques, déplorables exemples dans tous leurs comportements…ne peuvent plus circuler. Comme ils/elles veulent, bouillonnés de caprices. Tout va se montrer plus clair …

 

Les frontières n’existaient que pour les pauvres, les productions vivrières traditionnelles vont se voir respectées, les petits producteurs vraiment bien plus que les gros, partout les monopoles (contraire à la libre concurrence par le bas) vont être entravés. Par exemple, les grandes surfaces interdites en…Afrique, modèle de la future écologie mondiale  Terminée l’époque farfelue où un blanc bec footballeur gagnait en un seul mois ce qu’un grand scientifique (non sponsorisé parce qu’il…le refuse !) verra dans sa vie entière. Retour au raisonnable. Soit ? Par exemple, voir comment commença la mondialisation, oui en vrai au début, super passionnant le scoooop Scop !  « Au jour du libre-passage, les premiers à se frotter les mains furent les malfrats et les mafieux de toutes sortes qui n’avaient jamais rêvé pareille aubaine…[[ puis]] Ouvertures aux trafics (politiques, d’influences, d’intérêts, de réputations, de diffamations, de désinformations, etc.). Les gens de justice fomentaient les zones multinationales…étanches au droit (p. 129). » [[Et cela était déjà fini ? Pas du tout]]… « Le jeu était si drôle que toujours plus d’activités dites « honorables » faisaient, à leur tour, des pieds et des mains pour participer à cette gangstérisation du monde (idem). » Et la boucle est bouclée de quoi tous les boucler. Fin des étanchéités au droit…c’est de plein droit que le vrai nouveau monde commence par mettre en prison tous ceux de l’ancien monde, bien trop Ancien  Régime, oui, de plus, cela pollue beaucoup plus en ancien régime qu’en régime amélioré !

 

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Les modèles occidentaux d’extrêmes violences institutionnelles, de fuites des débats, de colonisations culturelles, et d’impositions unilatérales des irrationalités commencent de révéler ses tares. L’alimentation à l’occidentale n’est pas saine et la grande distribution est connue pour ne pas respecter les règles locales. Ce qui en situation de quasi monopole comme en France nuit fortement aux populations. Mais est-ce ceci exportable ? Les multinationales peuvent se casser les dents en Afrique ? « Les systèmes alimentaires d’Afrique sont l’ultime frontière pour les multinationales et la grande distribution alimentaire. La plupart des Africains continuent de consommer un régime sain à base d’aliments traditionnels produits par des millions de petits producteurs, d’un bout à l’autre du continent. Mais la situation est en train de changer peu à peu, tandis que la grande distribution alimentaire mondiale adopte de nouvelles stratégies pour renforcer sa présence sur le continent, sous l’impulsion brutale de certaines chaînes de supermarchés multinationales [[toujours la même brutalité de ces sinistres personnages qui semblent incapables de parvenir à leur fin…normalement. Ainsi, en France, dans les années 1960, l’Histoire demeure méconnue : c’était des bandes de voyous ultra violents qui brisaient tous les différents obstacles à cette grande distribution, qui payaient ces bandes pour (organisations si réussies consommateurs-producteurs sans intermédiaires surtout !]].

Supermarchés-dégagez-de-l'Afrique-les-systèmes-alimentaires-du-continent-se-débrouillent-tres-bien-sans-vous

La subsistance de millions de petits vendeurs et de producteurs locaux [[ ce qui est une aberration : dividendes si imméritées que de crimes sont commis en ton nom. Ce qui permet de vérifier que les profits, ces coûts cachés en fait, n’apparaissent que sous une forme délinquante. Puisque de merveilleux commerçants existent sociaux, serviables, chaleureux et clarifiant « qu’en équilibrant juste leurs comptes, soit en ne cherchant jamais le profit abusif, la vie est plus belle ». Ils ont raison, et le profit doit être chassé fermement de la société, vu qu’il transforme des humains en monstres et que tout va mieux sans lui !]] est remise en cause ; la santé des populations et la diversité des cultures alimentaires traditionnelles sont elles aussi en danger. Les gouvernements africains ne font que favoriser l’expansion des supermarchés, mais les petits vendeurs, les agriculteurs et les consommateurs urbains s’unissent pour défendre leurs systèmes alimentaires locaux. »…Ce qui résonne aussi comme les systèmes d’échanges locaux – S.e.l. - pour résister à l’argent. Marre du modèle d’ultra violence, puisque d’injustice maximales, imposé par des marginaux pervers aveuglés par leurs cupidités. Socialement ils sont néfastes, pas un exemple où ils ne causent pas que du mal. L’Afrique devient le continent où nous pouvons réussir ce qui a été raté en France : empêcher la grande distribution de souiller les humains ! Partout préférer les petits producteurs et les petits commerçants (adoptons-les localement – chacun les nôtres !)…Fin des vrais monopoles et retour des services publics pour le permettre]].

Osons-que-l'Afrique-nous-dise-nos-vérités

Les gouvernements africains doivent aussi cesser de harceler le secteur soi-disant «informel» [[ c’est la grande distribution qui doit recevoir ce genre de pratiques, elle qui ne paie pas ses amendes, énormes amendes, ce qui augmente la CHARGE des contribuables…Oui tout comme les trop riches mentent pour «charges patronales» en ce qui concerne les cotisations sociales, il est temps d’établir la Charge fiscale. Ce qui établirait que, proportionnellement, ce sont les pauvres qui paient le PLUS d’impôts. Ceux qui n’ont pas les moyens paient le plus et n’ont jamais de …cadeaux fiscaux ! Voici qui semble prouver qu’ils y a, désormais, des accusés. Aucun parmi des pauvres !]]…. Les petits marchands, qui sont surtout des femmes, ont besoin d’être respectés et soutenus pour le travail qu’ils accomplissent : ils procurent aux gens une nourriture de qualité et garantissent la subsistance des petits producteurs africains. ll est encourageant de voir que dans certaines villes, les femmes qui vendent dans la rue s’organisent pour lutter contre la répression gouvernementale.[[ décidément c’est leur sale habitude. Habitude inacceptable car elle discrédite  les services publics si nécessaires et qui n’ont rien à voir avec ces injustes comportements ]]. En juillet 2018, à Madina, dans la banlieue d’Accra, 2 000 femmes vendeuses ont refusé de se soumettre à un ordre d’éviction, disant qu’elles ne quitteraient pas les lieux qu’elles occupaient, tant que le conseil municipal ne leur aurait pas fourni un nouvel espace de travail plus sûr qui soit accessible à leurs clients. Après des mois de campagne, le conseil municipal a finalement accepté de leur fournir un nouvel espace avec toilettes, éclairage public, stockage, un bureau, un poste de sécurité et une crèche. Les Africains vont devoir pousser leurs gouvernements dans cette direction. Le mouvement sénégalais Auchan dégage est une source d’inspiration. Il illustre la façon dont les petits vendeurs, les producteurs et les consommateurs urbains peuvent s’unir pour défendre les systèmes alimentaires locaux [[ ce modèle d’organisation est vrai partout – tout le monde faire de la politique locale, soit le communalisme. Là où chacun.e vit. Ce qui peut très bien, par fédérations des initiatives, nous faire revivre la Commune, dite la sociale, pas pour rien !]] et lutter contre l’expansion des supermarchés et des multinationales de l’alimentation. Comme on le voit, ce genre de campagne implique d’engager des actions directes ciblant les supermarchés et soutenant les aliments locaux, mais aussi d’être en lien avec des mouvements plus larges contre les APE et les autres forces structurelles qui perpétuent la domination coloniale en Afrique. »

Peut-on-adapter-le-management-du-privé-aux-services-publics-?-C'est-une-catastrophe !

Les méthodes du secteur privé sont inadaptées au secteur public et une menace pour l’intérêt général [[ ce qui est la RGPP en France, cette aberration des hauts fonctionnaires et des lobbies qui a fait entrer les corruptions et l’octroi de sommes faramineuses pour des audits et d’autres à des incapables du privés dont les travaux ont été plus qu’inutiles]], estime Evelyne Bechtold-Rognon dans son dernier ouvrage, « Pourquoi joindre l’inutile au désagréable ? En finir avec le nouveau management public ». Le nouveau management public [[ soit la crétinisation croyez-nous, imposée aux excellents services publics français qui fonctionnent avec le minimum de paperasse. Puisque la bureaucratie c’est le privé qui multiplie partout les méfiances aux méfiances, comme de sur-intérêts dissymétriques en sa seule faveur et…empile papiers sur formulaires pour mieux tromper. La RGPP, toujours avec le langage 1984 « afin d’alléger les procédures » les a, en effet, très alourdies de plus de…paperasse ! Revenir à l’état d’avant devient très salubrement possible !]] consiste à appliquer aux services publics les méthodes de gestion pratiquées dans le secteur privé, pour « rendre [les services publics] plus efficaces, plus économes en moyens ». Qui pourrait s’opposer à ce qui ressemble à du bon sens [[ mais en est tout le contraire : le service public étant à but non lucratif n’a pas à fonctionner comme un Entreprise, il fonctionne très bien dans la recherche de la maximisation des services pour les publics, ce qui est l’exact contraire de la gestion du privé. Ce pourquoi, et même dans sa formulation ridicule et immature de « start up nation » ne veut rien dire. La France est Publique et réPublique ; le privé doit lui obéir et non l’inverse !]]? Evelyne Bechtold-Rognon dénonce « une pratique d’assujettissement », infantilisante pour les services publics [[ très véridique, situation que nous avions signalé depuis des années ]], et démobilisatrice pour tous [[ trop de conneries à la fois, ne permet de trouver la résistance adaptée tout de suite ]].

Les-chocs-en-retour

 

Dogme de la performance inadapté [[ comment peut-il y avoir performance dans une activité à but non lucratif ---traduit cela donne qui ne rapporte pas assez…à l’oligarchie démente des trop riches. Fous ? Jugez vous-mêmes : les services publics doivent non pas servir tout le monde mais ne rapporter qu’à eux tout seuls. Aussi «leurs» médias vont diffamer dru en disant qu’ils ne sont pas rentables [[faux, ces services ont  été reconnus, mondialement, comme ayant un haute productivité il y a quelques années), archaïque ([[ faux, quoi de plus ringard et dinosauresque que le capitalisme que pour très peu? Et contre presque tous ?]], bref pas performant (mot qui sent soudain assez mauvais !)]] : Sur le banc des accusés : les changements incessants, le dogme de la performance et le jargon managérial. « On est toujours en train de tout changer. Quand est-ce qu’ils vont enfin nous laisser travailler ? », interpelle une professeure de lycée professionnel d’Angers, en exergue du premier chapitre. Le management par le changement permanent peut en effet « transformer de bons professionnels en apprentis à vie. Les « services-publics » sont totalement déstabilisés, se sentent en permanence sur le fil du rasoir et se rabattent sur les procédures et méthodes standards ». En clair, les salariés sont ainsi « empêchés » de travailler, selon l’expression introduite par le psychologue du travail Yves Clot (Le Travail à cœur. Pour en finir avec les risques psychosociaux, 2015), après la série de suicides chez France Télécom."

 

La-génerosité-des-uns-fait-le-bonheur-des-autres

Macron-et-le-gouvernement-victimes-d'un-biais-de-confirmation

En illustration, et nous développerons dans un prochain texte.. « Emmanuel Macron et le gouvernement victimes d’un « biais de confirmation » ? Pour Thibault Gajdos, chercheur au CNRS, des choix budgétaires en apparence absurdes pourraient provenir de l’interprétation biaisée par leurs positions idéologiques que feraient les décideurs publics des données à leur disposition. »…Nous, nous disons ils ne savent plus penser. Ils ne savent plus prendre l’ensemble des faits et écouter toutes les versions et donc ne prennent plus que (souvent) …les pires des décisions. Faut le faire tout de même !

L'homme-en-désordre-d'un-pays-en-désordre

 

« Le temps court de la politique a toujours existé, mais il est vrai que, maintenant, il y a des médias (je pense à Internet), déclare le grand historien Carlo Ginzburg, qui façonnent notre existence et nous permettent de saisir les événements dans la seconde. D’un autre côté, ils nous permettent aussi d’entrer en rapport avec des informations accumulées sur un temps long. La longue durée elle-même peut être saisie en une seconde [[ saisie oui mais non comprise. Assimiler fait appel à tout le corps il faut le temps que cela circule, ensuite les concepts prennent place et le fil se trouve et retrouve. Rappelons que des tics Arbitraires, comme la mode (juste un clan qui imposait ses lubies sans aucune nécessité logique), oui mode qui aura été reconnue comme ayant brisé trop de vies par ses…conneries. Oui ? Les lubies arbitraires internet : tout doit être court. Ah bon, comme les ordres alors. Parce que tous les discours libérateurs sont un peu plus longs. Et donc ? Vaut mieux un texte long bien chiadé, charpenté et vivant de style. Qu’une phrase pauvrette qui sonne dans son vide et, en général (pas toujours c’est vrai), ne fait pas boum mais…badaboum… En langue simple ? Simple n’est pas simplex. Simple c’est «le plus» simple possible. Multinationales, lobbies et extrêmes bureaucraties du privé ont rendu tout très compliqué (de duplicités des dupliqués !). Et se taper ce faux complexe et restituer « au plus » simple ce trajet désagréable ne peut tout de même éviter un…petit effort de lecture. En gros (pour le prétendu développement personnel c’est flagrant) qui ne nous demande pas un effort personnel va nous ratisser notre fric, à la place. Qui dit qu’il faut faire un effort le fait gratuitement (donc avec bien plus d’efforts que nous). Les exemples pullulent et les (il y a moins) exemples demeurent où, parmi nous, des têtes étourdies servent bien trop l’ennemi. Pervers de flatteries, de promesses qu’il ne tiendra jamais et de tout rompre par corrompre ! Pas les imiter, non ? ]]. Cela implique que le présent est toujours la dimension à travers laquelle nous nous rattachons au passé et au futur. » Pour autant, quittant cette analyse académique, le même Carlo Ginzburg nous rappelle aussi que « la vérité n’apparaît jamais à l’historien sous la forme d’une donnée,[[ une chose prenable et qu’on tient pour toujours. Une chose qu’on entoure d’un seul regard…eh non, il faut user des «yeux de l’esprit», des images de l’imagination, du dérouleur des possibles. Donc le coup de la culture c’est une pastille commerciale cela ne passe pas – cela prend du temps mais en économise mille fois plus : les pouvoirs ne peuvent plus vous voler une seule seconde de nos vies. Seulement vous faire chier avec ses…conneries !]] comme une pièce de monnaie qu’on ramasserait par terre. Le regard analytique, le rapport aux sources, l’administration de la preuve, le combat contre le mensonge font pleinement partie de « l’expérience historienne ». Nous savons très bien, après Marc Bloch et Georges Lefebvre, écrit-il encore, que de faux bruits, de fausses nouvelles, des rumeurs peuvent engendrer une grande histoire, mais il faut savoir lire les sources, et il faut aller au-delà du positivisme naïf. »…[[ce pourquoi des historiens sont ces ennemis tranquilles des pouvoirs actuels, mais les plus efficaces. Puisque avec ce trésor renouvelé de  leur tendre absolument tous les pièges où ils tombent, dénudant (ainsi) le vide aberrant de leurs fondations et de leurs formations si superficielles. Ce en quoi ces personnages méconnus font infiniment plus avancer l’Histoire collective que les agité.e.s médiatiques, qui ne savent même plus « de quoi » ils/elles parlent !]]

III- « Les poubelles de l’Histoire sont remplies de tendances prolongées », disait à ce propos A. Allais. Et voici qu’au milieu de cette accélération des événements et de ce bruissement de l’actualité, il y a surtout ceux qui donnent l’impression – tel M. E. Macron -, de ne comprendre rien à rien ou qui, pire encore, ont une vision incomplète et erronée d’événements historiques qu’ils mettent à toutes les sauces pour tenter de saisir l’histoire du monde qui les entoure et essayer de peser sur elle avec la prétention non dissimulée de l’infléchir ou de l’oriente [[ ce que ratant, entièrement, introduit des bifurcations imprévues dont les grands esprits de l’époque font des ponts vers l’émancipation générale …]] Agissant de manière involontaire, on lui pardonnera pourvu qu’il accepte de voir et admettre la mésintelligence qu’il a de son environnement ; dans le cas contraire, poursuivant d’autres desseins tout en faussant volontairement les images et les faits, il faut alors l’arrêter immédiatement dans son entreprise de subversion intellectuelle et de présentation fallacieuse des faits et de la réalité. C’est bien ce à quoi se livre le chef de l’État manifestement en surchauffe et dont le quotidien le Figaro rapporte les états d’âme et les considérations sur un monde auquel il ne comprend décidément pas grand-chose.

VI- Le président de la République apparaît décidément comme un homme en désordre à la tête d’un État dont les dirigeants paraissent incapables d’empêcher le pays de glisser vers le désordre. »…Ils ne nous le font pas dire ! Ce qui est bien dit économise tant de démarches vers la recherche de l’unité collective. Que les formulations doivent surtout trouver la formule (soit la ou les solutions qu’il faut) plutôt que de faire joli…D’accord tout finit par des slogans, mais les slogans illustrent un combat qui se pratique et est en pleine action…et ne peut illustrer une immobilité. Soit n’est le départ de quoi que ce soit. Ils ne peuvent qu’arriver à la fin, non au début. Oui ? C’est avec des faux slogans que la société entière a été immobilisée toutes ces années…songeons-y !

Sortons-du-vrai-faux-débat-sur-le-prix-du-carburant.

 

« Je dis aux gauches et aux milieux de l’écologie, attention, le principal danger ce n’est pas de nous couper du peuple des automobilistes mais de rouler pour l’extrême-droite, car l’anti-fiscalisme a toujours été son fonds de commerce. Ne nous laissons pas gruger, même si nous ne sommes pas dupes que ces taxes ne serviront pas à financer la transition écologique [[ au contraire, elles lui feront barrage]] mais à alléger la fiscalité sur le capital [[ le plus extrême pollueur de la planète – celui qui doit être écologiquement taxé pour tout ce qu’il ne fait…pas !]], sous prétexte de ne pas augmenter celle sur le travail [[lorsque d’aller au travail coûtera bien plus cher, clair que l’entravé travail n’a pas encore entravé. Vous, et si bien, l’ouvriez ouvriers, pourquoi alors la fermer maintenant ?]]. L’augmentation des taxes pétrolières prend certes le masque de l’écologie pour mieux faire avaler la pilule amère des politiques antisociales et d’austérité-que-pour-les-pauvres-et-qui-entichissent-tant-les-riches. Faut-il cependant aller manifester le 17 novembre non pas seulement aux côtés de l’extrême-droite mais sur des thèmes simplistes qui ne sont pas les nôtres, sous prétexte que ce mouvement exprime une colère populaire, sous prétexte que, même s’il s’agissait d’une mesure écolo, ce serait une mauvaise écologie. Nous devons certes rappeler que les milieux populaires n’ont pas choisi d’habiter loin de leur lieu de travail, qu’ils n’ont pas choisi d’avoir des voitures énergivores, que les riches peuvent prendre l’avion avec un fuel détaxé… » et que toutes les mesures qui peuvent très vite équilibrer le budget ne sont pas prises (récupérer les fraudes fiscales des trop riches, geler les enfers fiscaux, faire payer à la grande distribution ce qu’elle doit au peuple français, appliquer le pollueurs=payeurs, lorsque les 10 % de riches « font » oui 50 % des pollutions mondiales, taxer «normalement » les multinationales qui vivent sur les infrastructures payées par les seuls pauvres et moyens – voire cette aberration des autoroutes privées payées par ses seuls usagers et dont les sacrés bénéfices ne vont qu’à des marginaux privés séparés…au lieu de …faire baisser et pas qu’un peu…les péages. Où trône l’anomalie ?

Libé-joffrin-racisme-migrants-trump-etc.

 

« National-populisme : la contagion mondiale » : la ficelle, tricotée à la une de Libération des 27-28 octobre, est un peu grosse. En clair, de Bolsonaro à Trump, de Marine Le Pen à Salvini, c’est le même vent mauvais qui souffle et qui voit, selon Laurent Joffrin, les peuples se dresser contre les démocraties. Cet embrigadement, sous l’étendard populiste, de mouvements politiques très différents les uns des autres, signifie que tout Européen inquiet de flux migratoires qu’on ne sait plus intégrer est suspect de racisme, d’homophobie, voire de fantasme de dictature militaire. »…Tandis que les trop riches, causes de tous les bordels et troubles sur Terre, ne sont jamais incriminés. Ces oligarchies, aux USA, ne soutiennent que des dictatures, ne favorisent que les droites dures…et les suiveurs européens (dont nous avons vu hier que Bruxelles c’est les bourgeoises anormales et les états des pays et pas une faune extraterrestre inaccessible) font pareil…que ces si absurdes USA)…et donc traiter tout ce qui est populaire de populiste…est un tel mépris inacceptable (les seuls populistes, dans le sens donné par les parisianistes,  sont les gouvernements successifs de ces décennies atroces – mentant sur tout, hyper démagos, promettant tout et se montrant – ensuite - ultra répressifs avec leurs électrices et électrices genre «vous n’aviez qu’à pas voter pour nous»…S’il n’y a que cela pour vous rendre service. Et après cela le populisme désagréable de Paris disparaitra ? Oui, entièrement…Banco, bingo !

 

Les-2-158-milliardaires-de-la-planète-possèdent-prés-de-8-900-milliards-comme-la-révolution

 

« En 2017, la fortune des milliardaires a augmenté de 19 %, passant de 7 500 milliards de dollars à 8 900 milliards de dollars [[ où est donc le ruissellement ? Ah il est inversé : il pompe les biens des pauvres et moyens. Et les premiers de cordées ne sont qu’au pompage non à la corde cordiale ]]. Une concentration économique hors norme que se partagent les 2 158 milliardaires de la planète, au détriment du reste du monde [[ oui que 2 158 personnes soit 0,000000000001 % de la planète…il ne nous est parlé que des millionnaires (accessibles) parce que les milliardaires, il vaut mieux éviter ! Socialement explosif…]]

Le dernier rapport UBS sur les milliardaires dans le monde révèle l’explosion de la fortune des trop riches répartis sur tout la planète : +20 % en un an à « comparer-avantages » avec la baisse de -1,6 % du pouvoir d’achat des trop pauvres  Ces différents individus n’ont cependant pas tous le même profil. En 2017, ¼ des nouveaux milliardaires, soit 44 personnes, était des héritiers de grandes familles qui se sont réparti 189 milliards de dollars. Les autres nouveaux arrivants ont rejoint « le club » en créant des business ou en touchant l’augmentation de la valeur de leurs actifs [[ cette rubrique du le capitalisme s’enrichit par la paperasse, la sur-bureaucratie du privé, les procès dissymétriques et les spoliations en tous genres générés par des avocats véreux – ce pourquoi il est répété vaut mieux pas aller voir comment se sont constituées ces fortunes ! Vraiment ? ]].

A l’inverse de ce que l’on pourrait croire, ce n’est pas le secteur des nouvelles technologies le plus porteur (hausse de 250 milliards en 2017), mais celui de la grande consommation et de la vente au détail (hausse de 360 milliards en 2017) [[nous n’arrêtons pas de la dire mais trop peu l’écoute – c’est l’intermède des intermédiaires, les grandes surfaces sont conçues non pour les produits mais pour la…banque – vies en parasites sur les fournisseurs toujours payés en retard, producteurs étranglés, jusqu’aux cartes de fidélité aux clients qui (lors d’une réclamation réussie nous a offert cet aveu lors d’une restitution du solde « suite à vos ordres de vente de vos actions en bourse »…nous vous prélevons une …commission de…allez voir c’est corruptions bancaires partout…donc quittons ces INTER-médiaires et la collective récupère l’ensemble de ces richesses par fins des spoliations de la société par cette grande distribution pas claire du tout…oui des banques camouflées pas des marchés – allez donc au premier étage vous capterez : oui comment chaque caisse enregistreuse alimente le choix des produits et donc la valorisation des marges dessus en…instantané, aucun producteur n’a  le temps de voir, etc. !]]."

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"Néanmoins, on peut avancer que la dynamique schumpétérienne et de la destruction créatrice est bel et bien en train de se gripper. Deux constats : d’abord, les effets obtenus sur le marché [[ par parasitisme de celui-ci ]] ont une influence plus grande sur la productivité que les innovations produites à l’intérieur des firmes.[[ oui cette part créatrice de l’image si faussée ]]. Le second constat est que les firmes les plus productives déjà installées n’ont pas gagné de parts de marché aux dépens des firmes les moins productives. [[ les avantages comparatifs c’est une formule surannée qui ne fonctionnait que dans un monde…réel. Et quasiment tout le verbiage du capitalisme est ainsi : cela ne fonctionne plus mais – afin de justifier des gains si immérités – ils vous les dégainent. A vous de leur répondre du tac au tac et leurs armes ex-théoriques rejoindront la poubelle]]. On admet, parmi les firmes établies, que pour une firme qui accroît sa productivité, une autre firme voit sa productivité diminuer. Le blocage de la réallocation de la valeur ajoutée entre les firmes matures fait plus que compenser les gains de productivité modestes obtenus à l’intérieur des firmes.

Quand-vous-entendez-destruction-créatrice-méfiez-vous-!

L’économiste Patrick Artus explique de son côté le blocage de la dynamique schumpétérienne par deux facteurs. D’un côté, les taux d’intérêt très bas réduisent fortement les charges d’intérêt des entreprises et ont permis artificiellement à des entreprises peu efficaces de maintenir leur activité. De l’autre, la stagnation des salaires et la déformation du partage des revenus en faveur des profits ont accru la profitabilité et ont contribué à maintenir en activité des entreprises faiblement productives, malgré un développement marqué des technologies numériques dans les pays de l’OCDE [[ donc tout ce que fait le capitalisme-libéral, ces dernières années, est extrêmement…antiscientifique, virant à l’irrationnel et bien incapable d’expliquer ce qu’il fait…au fait !]]. Mais encore ?

[[ oui plus de la diffusion technologique du…progrès partagé, nos posts ont signalé que les monopoles privés empêchent la libre circulation des idées, occultent ce qui pourrait être bénéfiques pour la société, oui cachent le bonnes idées, et, sur le fond…dérèglent tout…sans plus même comprendre ce qu’ils sont en train de causer…Nous le faisons à leur place – mais ces cancres obstinés veulent toujours devenir plus crétins…à nous toutes et tous de leur retirer les décisions communes des mains !]]…La question est celle de la dispersion croissante des gains de productivité entre les entreprises [[ donc plus « d’économie d’échelles » du tout – normal les premiers de cordées ont quitté les…cordées. Ce seraient plutôt les deniers de cordées qui font tout le boulot, oui les soutes qui font le soutenable !]]. Des travaux menés sur 40 pays et sur de nombreux secteurs indiquent l’existence d’une courbe en U, c’est-à-dire d’une «trappe à productivité» [[ donc, en vrai, plus de vraie…croissance possible ! Tout est du pipeau à Paris…]] dont les extrêmes sont les jeunes firmes à faible productivité au départ, mais en croissance rapide, et les grandes entreprises à forte productivité. Les entreprises prises dans la trappe n’ont elles pas une taille différente des grandes entreprises situées dans le haut de la distribution. En revanche, elles souffrent d’une faible efficience de leurs inputs immatériels, notamment dans les activités intensives en connaissance et en technologie. »…conclusion : face à leur quincailleries matérielles et à leurs refus de penser, à leur haine anormale de l’intelligence et à leurs exclusions de tous les grands esprits (citez-nous, dans les télés indignes, un seul grand scientifique qui dérange ces fumisteries infantiles, un seul vrai écrivain qui pulvérise joyeusement ces débilités sans issue ou un artiste qui nous bouleverse complètement oui mais comme des adultes, des vrais – non vous ne trouvez pas…vous venez de rencontrer et en face la régression catastrophique nommée capitaliste ! Celle qui fuit toujours plus la réalité)…

 

………-- seul l’humain, des êtres vraiment humains pourront nous sortir du merdier.

 

Et donc plus jamais des technocrates insensibles (donc insensés) mais des....

 

….............….humains intelligents et ayant un…cœur gros comme ça !

 

 

……..……(à suivre)

…………….…………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste collectivité nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Un futur enfin victorieux ?
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La mémoire est de notre côté, oui n’importe laquelle

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Un futur enfin victorieux ?
plus personne ne s'en balance !

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Hier, c'était le pronostic dans 2 ans c'est fini les conneries...

Les semeurs maladroits de divisions voient, au final tout le monde s’Unir contre eux…CLIMAT - YOUTUBEURS, GILETS JAUNES & CULPABILISATION - QUI PROFITE DE NOS DIVISIONS ?

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