Afuter le futur ?

Le futur, un lieu où nous pouvons déposer le meilleur de nous. Un usage devenant bénéfique de l’avenir comme valorisant tout ce qu’il y a d’humain ?  D’abord vérifier si c’est fort possible. Nouvelles tactiques pour un non changement de stratégie…Ne serait-ce que parce ce dispositif à dispositions empêche les mensonges et manipulations d’enrayer tous les liens sociaux, ou de mettre de la défiance dedans tous les rapports interindividuels.  Nous voici à pied d’œuvre ! Oui pourquoi un tel titre ?

Là où trop parlent de fins, nous adorons afuter les futurs. Soit les aiguiser en affûter et – tout à la fois -  les rendre plus futés. D’où le nouveau mot-valise «afuter» !.

Pourquoi les fins, pourquoi en parlent-ils trop ? Coulissons plutôt vers comment, quelles fins et autres appuis du concret …Fins telles… fins dernières (et pourquoi pas premières ?), les fins afin, les fins enfin, les fins finitudes, les finalisées ? Ce à quoi l’étymologie n’aide guère : du latin futurus, « ce qui doit être » ; être du déterminisme, de la téléologie, du finalisme ou des finalités prenant toute la place. Or, si nous ne voulons rien de cela, il nous faut interdire le…futur. Ne pas lui permettre d’exister. Faire comme s’il n’était jamais là : que l’avenir n’est pas à venir. Si pas bienvenu, peut-il bien venir, venir bien ? Si l’avenir reste tout suspendu à un avenant, il n’y a plus de face avenante à attendre ou espérer. Les mots, ces compagnons gigantesques, fidèles, futés et affûtés ne s’en laissent jamais conter. Ni compter. Leurs ressources restent sources de tout et il ne s’y trouve nul fil d’égarement – toutes les solutions doivent passer par eux. Afin que la formule se formule par/et à travers eux. Pour aller où ? Que traverse donc cet à travers ?

Le futile au sens de «qui laisse échapper» est donc le contraire du Futur…ce qui retient, contient et maintient tout ou lâche, perd, effiloche tout ? Tournons-nous, alors, vers la fin qui semble, malgré tout, tournée Vers le futur. La fin se reconnaît à ses finitions. Oui ce qui semble finasser sur les fins. Jusqu'à s’inflammationner à se…raffiner, ce qui ressemble plus à un enjolivement qu’à une nécessité ontologique (être – par rapport à ce qui «doit» être)…Alors qu’entendre par mener à terme ? Très précisément, lorsque fin vient du latin finis, terme. Comme point extrême, bout, sans plus de suite, de successeur, sans plus rien après ou bien  le mot qui, juste, peut conduire au terme nommé dé-finir (qui, dans sa formulation, ne peut jamais finir…de tenter de définir ! Tout semblerait nous échapper ? Sauf que l’impératif «ce qui doit être» (le futur) nous tire par la manche que si, effectivement, demain n’était plus, nous n’y serions pas non plus…et nous serions même nulle part (le temps étant, après tout, un lieu qui a lieu !). L’impératif c’est la conscience que nous sommes. Ce tam tam répercuteur percussionnistement de nos ontologies ne peut se passer de…futur. Futur futurant ou futuribles. Et ce futur est un être non un…avoir. Impossible de le ranger, stocker, séquestrer  nulle part. Il vient, il advient, il n’est pas un produit fini, préemballé…S’y casse les dents la logistique capitaliste (ce scandaleux gaspillage qui, pour l’illusion d’un trésor dans une pierre, casse toute la montagne qui le contenait !)

Ce qui ajouté à …si le fut le futur, le futur antérieur, celui qui a déjà eu lieu…c’est toute l’enfilade qu’il nous fallait retrouver…Ce que nous venons de faire. Les ronds points du futur sont déjà dans les mains du si légitime mouvement des Gilets jaunes (juste génial ! Génial juste !). Comment déjà ?

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Le futur est individuel et collectif. Beaucoup voient le futur à travers les lunettes de la pression sociale, restrictive, écrasante, lorsqu’une autre partie a appris à vivre de manière très autonome, indépendante, n’étant de poids pour personne mais ne suivant plus les ordres absurdes des non dirigeants. Ce qui offre (justement) la bonne distance, le regard clair afin de décrypter et l’époque et sa sphère dirigeante, très pertinemment. Très objectivement ! Malheureusement, ces humains (les seconds) qui restent la charpente de la vraie vie – celle où la société du spectacle installe ses vénéneux parasitages (à la fois matériels, soit vivant bien comme des parasites profiteurs de l’argent des autres  - que de saboteurs perturbant des communications de la Communication ! et que nous avons démasqué dans notre concept « d’anticommunication » (tout faire pour détruire la/les communications !) – ne sont justement pas assez écoutés. Ces grands adultes portent, pourtant, la civilisation sur les épaules. Et savent de quoi ils parlent plus que quiconque…Ceci (en résumé) demeure les 3 grands lignes de forces de la civilisation : des trop riches sur-assistés et mentalement immatures (complètement phagocytés par leurs préjugés d’arriérés !) --- de pauvres et de moyens trop pressurés (à cause de ces premiers) et qui restent à la merci du moindre incident de vie –-- la 3^ème en apprenant à vivre au maximum hors des circuits d’argent mais qui ne parviennent pas, suffisamment,  à transmettre en très grand ces pratiques complètes aux seconds (le rédacteur, ici, pour «imagiter», n’a que 1 179,14 € par mois…Nous savons donc complètement de quoi nous parlons ! Et depuis longtemps…). Soit :

*** - s’inscrire dans des circuits de recyclages et de récupérations de déchets. Sources de désincarcérations réussies de l’accident du « pas assez de moyens ».

***  trouver des rapports proches avec les producteurs de tous domaines (nourriture, santé, information, énergie, éducation, etc.). Plus jamais d’intermédiaires. L’idéal (mais nécessitant de vivre à la campagne) étant, permaculture, de produire soi-même sa nourriture, etc. Là, nous partons des villes et des dépendant.e.s. automobiles.

**** créer des liens horizontaux avec la diversité humaine autour d’elles/eux (se provoquant même une sphère culturelle extrêmement dense. Où tu « inter-partages » tout et ne paies que la logistique…). Etc.

Ce qui parvient, au final, à des vies qui tournent le dos aux médias menteurs, qui ne laissent rien pénétrer des propagandes des fausses élites. Et qui reçoivent l’essentiel de la vie qui reste toujours gratuit. Sans filtres et sans écrans !

Ce futur futé …peut devenir très présent pour qui franchit le pas…Franchir est le verbe qui va avec franchise : plus tu vis la franchise en toi, plus tu franchis de distances réputées infranchissables (en fait qu’on n’avait pas …affranchies !) ! Pourquoi, alors, le futur reste futé ? Et que l’afuter, le rendre plus futé et affûté, offre clairement d’immenses services à tout le monde ? Simple - le langage est nettement en avance sur nous. Comme il a déjà tout le futur et que nous avançons, avec la vue encombrée de divers obstacles, nous ne nous en rendons pas assez compte. Compte-là-dessus : entendement tronqué, vision non ouverte, empêtrée de non savoirs et d’approximations. Sauf que le chemin à parcourir est dans le mot et que de savoir écouter semble bien devenir une de ces qualités…

…………………………………..…si hors de (tous les) prix !

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Ne reste qu’à mettre en pratique – là, très concret, devant tous les regards, tout ce que venons de…mettre en avant…« Pour tout nanti qui n’a jamais souffert, jamais manqué - qu’importe l’état des services publics, des prestations sociales, le délabrement des transports, le manque de moyens de la région ou de la mairie… [[mais sa dramatique inaptitude sociale est même pire encore… ]]. L’hyper-moi les rendant aveugle et sourd à la…réalité des autres. C’est là que réside le sens final de l’irruption des gilets jaunes. Cet accoutrement phosphorescent leur permet de crier : on est là, on existe. On a le droit d’avoir des droits, le droit de circuler, de se tromper, d’être éduqués [[ d’entrer dans le trop clamé «dialogue social»…]], d’être protégés, de voyager, de vivre… Pour nous, le dogme, le projet prométhéen qui sacrifie tout à son passage -nous inclus-, la liberté de faire tout et n’importe quoi avec notre argent confisqué [[ carrément pris en otage et qu’il s’agit donc de …libérer, pas de libéraliser – pour dire, langage 1984, séquestrer et retenir hors des libertés !]] et même le perdre à la prochaine crise financière, n'est plus acceptable. Acceptable plus du tout…On ne veut plus payer pour vos visions d'enfants gâtés, subvenir à vos besoins grandioses, payer vos dettes abyssales [[ ce qui démontre que, dans la situation actuelle, ce sont les trop riches et leurs servants qui ont infiniment TORT, que ce sont leurs comportements indignes qui foutent partout la crise dans la société – déjà puisqu’ils refusent penaudement toute …loyale concurrence sociale, citoyenne, politique, morale, intellectuelle, « au nom d’une fake compétition qui n’a jamais été ni libre ni équitable (honte aux multinationales de toutes les tromperies )». Ils te confisquent toute la parole et, après, ils se shootent à ce que ce serait toi qui parle mal…non mais des fois. Le racisme extrême des fausses intelligences use de Tous les racismes à la fois. Nous subissons, nous savons tout de même mieux qu’eux ce que qu’ils nous font subir ! ]].

Le-droit-d'avoir-des-droits-!-

Ce que les gilets jaunes opposent au gouvernement, c’est le primat de l’essentiel sur le futile. Du nécessaire sur l’obligatoire. Mais, plus que tout, ce mouvement révèle un récit multiple mais différent des fables que le pouvoir engendre et impose. La logique macronienne, pur jus d’un libéralisme outrancier, cantonne le citoyen aux libertés qui en découlent : on peut tout faire au sein de l’ère intime de la consommation sublimée, à condition de ne pas contester le dogme économique [[ce qui reste la base simplistes des censures censitaires : soit tu dis l’argent roi est dieu soit tu ne seras jamais publié, commenté, traité normalement selon les concurrences réglos, tu ne pourras ni chanter, ni passer aux télés et radios pourtant…publiques,  tu seras empêché.e de tout, etc. Ce diktat de « l’horreur culturelle » qui aura Congelé figé toute libre vie culturelle « non fasusée »…depuis plus de 30 ans…aura donc été recraché tel quel aux…Gilets jaunes…vous remettez salubrement en cause le délire du l’argent est dieu, vous serez hautement réprimés. Le tout dans une illégalité qui fait même frémir toutes les normes (futur très perdant pour les répresseurs !). Ce qui a a été fait hier et avant-hier rejoint notre futur commun : tout se tient et se rejoint…les pouvoirs futiles sont vraiment encerclés ! Aucun futur ne leur appartient plus…]]. Même si ce dernier a fait depuis longtemps la preuve de son inefficacité [[…et que 94 % des français ne veulent plus du tout du néolibéralisme fou dans notre société !]].

Au lieu de cela ils voient poindre des citoyens qui demandent leur du [[ et le dû reste un …devoir, tu me dois mon droit, droit dû !]] ne se laissant pas berner par les sujets alternatifs de l’indigne Corruption médiatique et (…) qui n’oublient pas la dégradation programmée de l’école, de l’hôpital, des solidarités nationales [[ ce qui dénude ces faux gouvernements en postures si laides de casseurs de l’éducation, des soins, des solidarités nationales et de tout ce qui doit être Sacré pour tous…soit la protection des générations futures…il n’est que de suivre leurs illégitimes périples : partout, ils écrasent et piétinent les mômes du futur Oui les enfants, vos enfants, nos enfants, tous les enfants – ce qui, effectivement, les figent dans le PIRE de tous les rôles…respecte, d’abord, les enfants du futur et tu pourras défendre tous les peuples dont les Juifs, si maltraités par leurs propres…dirigeants ! Pas avant ! ]].

[[ ah oui, garder le cap ? A part que la démonstration est tout sauf probante. Tiens donc. Les faux jetons gouvernants forcés de se présenter « plus antisystème que moi, pas possible », ou « moi, révolté prométhéen, je me dresse contre l’Europe des finances inacceptables et la fausse mondialisation Sans les peuples »…aussi Optez pour moi ! Ben voyons : suivons la trajectoire jusqu’à…ce jour…]] …Ce changement de cap  [[ oui entre avant élection et après – donc le cap d’après trahit le cap d’avant, le seul vrai cap… Et ? Le cap d’après…en devient plus qu’inacceptable. Pas possible de le fourguer en douce…75 % de français-Gilets jaunes refusent le…changement de cap justement. Il n’y pas donc à le « garder » mais à retrouver le vrai, le promis, lorsque promettre c’est s’y mettre… ]] - et de personnalité - crée ainsi de la frustration supplémentaire qui s’ajoute à toutes celles de la réalité quotidienne : injustices fiscales au nom de la compétitivité globalisée, transfert massif des revenus du salariat vers l’actionnariat, paupérisation de l’État et de ses services, etc. Le slogan des gilets jaunes «on veut des fonctionnaires pas des actionnaires» résumant parfaitement l’état d’esprit citoyen qui ne refuse pas l’impôt équitable mais s’oppose à l’inégalité fiscale et les multiples taxes [[ détournées salement seulement pour les 1 % de trop riches – toutes les statistiques et graphiques l’attestent en Justice, sur le banc des accusateurs !]] …Non, le changement-trahison de cap n’est pas approuvable (nulle part il n’a été clamé « dépouiller à fond les pauvres et les moyens pour n’enrichir que les déjà trop riches » !)…Ce gouvernement  a tort et tout le monde le sait. L’avantage c’est que nous occupons déjà tous les…ronds points du futur. Toutes les idées, toutes, passent désormais par nous…pour une circulation complète et une transmission la plus impeccable possible. Plus jamais de Blocages par le haut…Le tout offert dans nos prochains textes…

……Les futé.e.s demeurant ces êtres magnifiques qui, si nous voulons les…

…..               réFuter, deviennent encore plus futés !

…………………et le futur futé est comme ça !

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………….…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                    Que le plus grand Fête mondiale nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

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