Du protéiforme qui englobe toutes les possibilités de la société ?

La chance d’être protéiforme c’est celle de ne pouvoir être réduit.e à une case dont on ne va plus parler. La désinformation c’est, avant tout, de poser des étiquettes inadéquates afin de masquer la valeur des contenus. Ce qui naquit diversifié peut encore multiplier cette chance. Nous allons voir ici comment…Effectivement, comme nous le disions dans «Le 3ème tour» : lorsque tout est mature, le mieux reste d’inverser les inversions. La sortie salutaire d’un système en train d’asphyxier tous les auto-enfermés dedans. Cela va se bousculer au portillon…Le mouvement des Gilets Jaunes n’est aujourd’hui pas terminé. Lui seul est à même de proposer Quoi mettre à la place et d'amener ce quoi par du…concret immédiat. Il ne doit pas ignorer les autres mouvements diversifiés qui avancent aussi. Mais il doit bouger sans leur avis…Le but n’est plus la guerre de positions (statu quo des avantages, aucun débat culturel, discours superficiels, luttes des classes comme seul paradigme) mais bien de supplanter tout cela par le mouvement. D’englober et d’amener le tout plus haut, plus grand, plus accueillant, plus compréhensif…soit la guerre de mouvement. Toujours bouger toutes les lignes toujours s’implanter plus profond dans le réel. C’est même par la simplicité de ses ambitions (tout changer et à fond) que son impact est d’ores et déjà considérable sur la société française (et par extension, européenne et même méditerranéenne, etc.), sur les institutions comme sur la vie politique…bouleversée. « La seule incertitude aujourd’hui réside dans le temps qu’il faudra pour que les changements issus de ce mouvement se cristallisent et s’institutionnalisent »...C’est là que surgissent le bénéfique comment inverser les inversions que nous pratiquons depuis si longtemps. Le but est de poursuivre le mouvement, de le mouvementer, d’en exsuder tous les possibles, de l’étendre partout jusqu’à ce que la vie n’en ait plus soif…et pas de l’institutionnaliser, de le figer…en pleine course. Trop tôt, complètement hors du coup. Ainsi – le prouver c’est juste parcourir l’actualité (la vraie celle que nous contribuons aussi à forger). Et dans ce parcours dynamique, il apparaîtra comment le protéiforme (cette supériorité de ce qui reste capable de tout accueillir, qui ne fonctionne pas par exclusions, rejets, guerres de classes…scolaires, mais bien par inclusions, passions avec lesquels nous passions à travers tous les murs, débats en marathons, nouvelles idées même pas encore entamées, etc.), oui ce protéiforme est la marque du futur commun. C’est que l’égalité est la seule forme sociale qui accueille toutes les différences, qu’elle seule demeure la Diversité maximale. Que personne n’est pareil. Et que (donc) sa forme est protéiforme…

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« Cet objectif stratégique est par essence révolutionnaire, puisque la crise économique systémique du capitalisme rend sa satisfaction impossible. Chaque euro d’augmentation du salaire devra être pris dans la caisse des profits du capital en perdition. En ces temps de grave crise économique où le système capitaliste s’apprête à imploser, une telle revendication salariale est potentiellement insurrectionnelle, car le capital ne bénéficie d’aucune marge de manœuvre, ce que Macron le thuriféraire des banquiers est venu confirmer mardi dernier à la télévision française par des promesses creuses et trompeuses. Si le prolétariat français sent que le moment est propice, de telles fausses promesses l’amèneront à durcir ses positions et à maintenir ses revendications légitimes puisque c’est sa survie physique en tant que classe sociale son dépassement en tant que groupement humain faussement nommé qui en dépend. Les ouvriers militants le disent carrément « On ne vit plus avec ces salaires de misère, on survit à peine ».

Stratégie-et-tactiques-des-gilets-

Une tactique complémentaire s’est vite imposée pour renforcer et radicaliser la tactique de blocage de l’économie. Contrairement aux manifestations de types « parades-processions-manifestations d’immolation» débilitantes qui répandent le pessimisme dans le mouvement et le démobilise, les manifestations de résistance, très militantes des Gilets jaunes, à Paris et en province Régions, ont l'utilité de démontrer la pugnacité des militants, leur détermination et surtout de galvaniser les troupes prolétariennes sur les barrages après chaque «Acte» insurrectionnel spontané.[[ si c’est spontané ce n’est pas que prolétarien, c’est plutôt plus diversifié et protéiforme…]] Sans compter que ces casses permettent de peaufiner l’expérience de guérilla urbaine prolétarienne [[ en sortir une bonne fois paraît plus ambitieux, donc durable !]]. Cependant, le blocage de l'économie – de la circulation des marchandises et donc des profits – est la tactique de lutte décisive sur le front économique de la lutte de classe [[ une forme déjà protéiforme capable d’accueillir toutes les formes reste une meilleure bonne nouvelle que la lutte des places, dite parfois luttes des classes !]] et devra être renforcé. Le blocage des transports de marchandise et de travailleurs ainsi que des raffineries de pétrole mettra l’État terroriste bourgeois à genoux en même temps que ses patrons du grand capital.  La grève générale comme l’arme ultime du prolétariat [[ non. De toute les formes de vies et de luttes qui veulent vraiment sortir définitivement du capitalisme, cet informe toxique. Le but reste d’économiser l’économie, de s’en passer complètement, d’entrer dans la nouvelle civilisation SANS elle. La lutte des classes est dépendante de l’existence de l’économie et disparaît avec elle !]] . »

Présentation-de-Decidemos

« Decidemos a pour objet l'instauration de la démocratie réelle, selon les principes fondamentaux suivants :

• la souveraineté (le pouvoir supérieur de décision) de la population ;

• la cohérence entre décision et action ;

• l’isocratie (l'égalité de souveraineté entre les personnes) ;

• l’iségorie (l'égalité médiatique) ;

• l’isonomie (l'égalité devant les règles) ;

• l’autonomie de la population face à l'hétéronomie imposée par certains acteurs. »…Cette plateforme met ses moyens à disposition des Gilets jaunes afin qu’ils installent la démocratie directe. En concrétisant son assemblée générale permanente.

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L'indispensable-cadeau-à-faire-aux-PME-PMI-et-aux-agriculteurs-:-baisser-les-droits-de-succession

Sauver les PME et les TPE c’est toujours dans l’urgence actuelle. « Chaque jour, les petits patrons de France se lèvent en se payant souvent peu (ou pas du tout) pour payer leurs gars. Chaque jour, ils font de la «responsabilité sociale» sans le savoir. Chaque jour, parce qu’ils créent et donnent du boulot [[ contrairement aux entreprises du CAC40 qui gagnent à licencier, eux ils gardent leurs activités ]], ils donnent du bonheur parce qu’ils permettent à des hommes et des femmes d’avoir leur dignité. Alors oui, cette France-là, loin des milliardaires de la finance internationale et du totalitarisme marchand mondialisé le plus abject, mérite de pouvoir transmettre le fruit de son travail dans de bonnes conditions, parce que si certains ne veulent admettre que ce travail a été surtaxé, qu’ils admettent au moins qu’il est souhaitable que les boulots des sans-dents que nous sommes soient préservés ! Il faut réformer les successions, et dans ce cadre, commencer uniquement par la sauvegarde de l’emploi à travers des allègements massifs et même, disons-le, des exonérations totales lorsqu’il s’agit de céder du productif qui profite à l’ensemble de notre collectivité. Taxer un million d’euros d’actions de grands groupes détenues sur un compte titre ou un million d’euro de valeur de cession de sa PME qui emploie 30 personnes, ce n’est évidemment pas du tout la même chose. C’est ce qu’il faut expliquer inlassablement pour parler aux intelligences et sans posture moraliste démagogique.

Les pauvres ne seront pas moins pauvres une fois que nous aurons ruiné tous nos riches... ». Il n’est jamais question de ces plus riches qui maillent le territoire et respectent les humains…mais bien des TROP riches…les seuls qui profitent à fond du macronisme redistributif  ET des banques…Banques qui refusent de financer les PME- PMI car elles se croient à la Bourse avec des taux de retours désastreux à 2 chiffres…il faut, effectivement, trouver une jonction mouvement Gilets Jaunes plus d’autres qui se joignent au tronc commun et PME…le seul mouvement non rigide qui puisse accueillir toutes les diversités…Protéiforme ! Le futur toujours plus vaste va provoquer des Actes à thèmes…«Acte PME», « Acte Europe des Peuples » et sa marche qui se Lève !, etc. qui dessineront enfin la Société Gilets jaunes, ce qui va être mis à la place de l’actuelle société « prise en otage » par les financiers fous. Que du concret et du pratique, comme c’est pratique ! L’Europe ?

Soit-l'UE-abandonne-le-néoliberalisme-soit-ses-peuples-abandonneront-l'UE

« Nous vivons dans un monde façonné par Washington, et à l’approche de 2019, les désastreuses conséquences de cet état de fait sont malheureusement de plus en plus évidentes. En 1948, le mandarin George Kennan du Département d’État américain — l’homme à qui nous devons la politique d’endiguement vis-à-vis de l’Union soviétique à la fin de la Seconde Guerre mondiale – avait crûment exposé les orientations de la politique étrangère américaine de l’après-guerre :

« Nous détenons environ 50% de la richesse mondiale [[depuis cela a diminué mais la structure parasitaire (ce sont les autres qui paient le dollar) s’est amplifiée !]], mais seulement 6,3% de la population mondiale… Notre véritable tâche dans la période à venir est de concevoir un modèle de relations internationales qui nous permettront de maintenir cette disparité. Pour ce faire, nous devrons abandonner toute sentimentalité et toute rêverie éveillée… Nous allons devoir appliquer des concepts de pouvoir brut. » Dans son livre de 2011, ‘Le Minotaure planétaire’, l’économiste Yanis Varoufakis écrit

« On enseigne à ceux qui étudient l’intégration européenne que l’Union européenne a vu le jour sous la forme de la CECA. Ce qu’ils sont moins susceptibles d’apprendre, c’est le secret bien gardé du rôle des États-Unis, qui ont exercé toute sortes de pressions pour pousser les Européens à la mettre en oeuvre… En effet, il est indiscutable que sans la main des États-Unis pour en guider la création, la CECA ne se serait pas matérialisée. » Il continue : « Il y avait un politicien lucide sur le sujet : Le général Charles de Gaulle, futur président de la France… Lors de la création de la CECA, de Gaulle l’a dénoncée au motif qu’elle créait une Europe unie sous la forme d’un cartel restrictif et, surtout, que c’était une création américaine, sous influence de Washington. » L’influence de Washington sur l’Union européenne se poursuit à ce jour. Le modèle économique qui sous-tend ce bloc économique criblé de crises et de plus en plus politicien, le néolibéralisme, est avant tout un modèle Made in the USA.[[ et, malheureusement, le macronisme l’importe tel quel en France, alors que la France est un des pays qui en a le moins besoin…Il existe donc une diversité d’actions allergiques qu’il s’agit de diriger vers un tronc commun. Le mouvement Gilets jaunes reste le seul qui puisse y parvenir à condition de s’inventer un espace d’accueil (internet, relais des infos, multiplications des rencontres, mises en place d’actions thématiques très diverses – ici, soutien aux PME…qui rend le mouvement pérenne et inusable ! Cet espace ne peut qu’être hors médias et hors tous intrus…]]

Depuis ses débuts, au milieu des années 1970, il a servi de boussole de la pensée économique occidentale. Dès avant son adoption comme base économique des États-Unis et du Royaume-Uni au début des années 1980, le néolibéralisme a fonctionné aux côtés de la puissance militaire de Washington et de ses pseudo-valeurs culturelles, dans le cadre d’une architecture impérialiste à laquelle les fausses élites européennes ont souscrit comme disciples à part entière, consciemment ou non. De Gaulle, comme déjà mentionné, n’a pas hésité à dire que la principale menace pour l’indépendance et la sécurité européennes résidait à Washington et non à Moscou. Il s’était fait le champion d’une «Europe des nations» après la Seconde Guerre mondiale, et non d’institutions supranationales créées dans le but premier de servir les intérêts économiques et stratégiques des États-Unis [[ il aura été le seul résistant véridique des présidents que nous avons subi, le seul qui ait eu internationalement raison…et donc qui n’a…pas été suivi. La tendance lourde des fausses élites est…d’inverser. De ne suivre que qui a tort et donc peut disséminer le maximum de torts ! Rien n’empêche de revenir à une Europe des nations ET des peuples…sans plus de Commission européenne ni d’indépendance putschiste de la BCE (financée par les impôts des pays elle leur doit obéissance !) , etc. L’Europe n’est pas un problème, mais une solution à condition de la retirer à 100% des mains de l’oligarchie ennemie de chaque pays. Le Frexit n’est pas obligatoirement la meilleure voie !]]. Comme il l’a déclaré : « l’Europe, depuis l’Atlantique jusqu’à l’Oural, c’est l’Europe, c’est toute l’Europe, qui décidera du destin du monde [[La vraie Europe c’est Avec la Russie, cela sonne d’évidence !]] ! » La grande crainte de De Gaulle était une «Europe des Américains», ce qui s’est malheureusement produit [[ mais qui peut encore se voir transformé : ce n’est pas sortir de l’Europe la meilleure solutions ,c’est LES sortir hors d’Europe ! Leurs structures parasitaires sont telles que ce pays phagocyte tout, fait tout payer par les autres, avec ses faux traités de libre d’échange forcé, etc. L’Europe des peuples respirera sans eux !]]. Dans sa forme actuelle, l’UE est une prison de nations enfermées dans une camisole de force néolibérale et une monnaie unique. Non seulement elle ne peut pas survivre sur cette base, mais elle ne le mérite pas. En fin de compte, soit l’establishment politique de l’UE se dissocie de Washington — quoi qu’en dise l’administration Trump — soit ses peuples se dissocieront de lui et des siens. Dans l’état actuel des choses, la deuxième option est de loin la plus vraisemblable. »…Sauf que l’analyse ne pose pas plus loin sa clarté…c’est par les peuples que l’Europe peut se libérer de tout le fatras actuel. Ce n’est pas par des ministres lointains qui ne feront que renforcer l’oligarchie qui ne suivant pas de Gaulle n’a fait que se tromper sur tout. C’est par/pour les peuples que cette oligarchie d’incapables sera dessaisie de la vraie Europe. On dirait que la France peut demeurer à l’avance, à condition que les Gilets jaunes ne s’enlisent pas dans le Frexit mais rénovent par l’Europe des peuples qui se  lèvent…Une marche pourrait inaugurer cette nouvelle mentalité. Si féconde ! Entendons le se diversifier non se simplifier dans une (dés)organisation monolithe. Tout ce qui a été dit «mais c’est le bordel, c’est le désordre »…était historiquement sur la bonne voie ! Il ne faut plus jamais écouter les bourgeois. Ce qui est protéiforme représente vraiment l’avenir ! Et pour l’Europe des Nations et pour tout ce qui est social ET politique…

Avec-la-réforme-les-justiciables-aisés-auront-une-Justice-à-leur-service-à-la-place-d'un-Service-Public

Avec l’écologie non financée par les vrais pollueurs, la Justice qui ne s’occupe plus des volés, spoliés et assaillis d’injustices…Mais préfère féliciter les trop riches d’être…voleurs, spoliateurs et amplificateurs d’iniquités…Plus de service public cela veut dire la Justice à …leur service unique. Toujours préférer ce qui n’oublie personne, n’exclut personne, ne rejette personne, mais fait entrer tout le monde. Les services publics sont Supérieurs aux privatisations…et c’est de ne pas l’avoir affirmé haut et fort qui nous aura précipité dans les misères actuelles… C’est que la fausse élite « Elle se reconnaît dans l’apparence de la justice plutôt que dans la justice elle-même. Elle use et abuse d’une novlangue politiquement correcte qui permet de dissimuler les problèmes en les enfouissant sous des montagnes de paroles verbales et une politesse de mauvais aloi qui dissimule mal un acide mépris, cette bienséance qui peut justifier le pire en gardant une constante bonne conscience [[ plus ils sont salauds, plus ils/elles ne croient pas l’être. Tout comme nous clarifions que la désinformation c’est de poser des…étiquettes. Et que de coller cette suite d’étiquettes empêche tout Raisonnement….oui, un exemple à la seconde…]]. Les pauvres deviennent des quémandeurs, des assistés, des rétifs à la modernité, des passéistes.  [[…Alors que nos analyses de réel prouvent que ce sont les riches les sur-assistés, toujours à mendier, des ennemis de l’évolution collective et de la Justice sociale, complètement planqués et enkystés dans le passé]]… Le peuple devient populiste même s’il ne fait que défendre ses intérêts. »…Ce que disait déjà Adam Smith en 1750, accusant les riches de se permettre des « complots » (oui c’est son mot !) tout en empêchant les pauvres de se regrouper afin de…se défendre pas…d’attaquer ! Comme quoi…

Quand-l'arme-du-pouvoir-d'achat-creuse-le-déficit-mais-éloigne-le-risque-de-récession

« En 2017, l’euphorie prévalait avec une croissance supérieure aux prévisions [[ or la croissance ne sert à rien lorsque 300 multinationales se monopolisent 52 % d’elle. Et les trop riches, s’ajoutant, ne laissent pas grand-chose aux pays …]] et des économistes qui prédisaient [[ mais ce ne sont pas des…devins et l’économie orthodoxe, sur laquelle ils s‘appuient, est démontrée…Fausse. Ces personnages n’aident, ainsi, jamais - mais égarent !]] encore un avenir radieux, dominé par une croissance qui, même avec un léger ralentissement, était amenée à se poursuivre. Douze mois plus tard, c’est la désillusion avec  la dernière décision de la Fed qui continue à vouloir croire dans l’expansion aux États-Unis en relevant pour la quatrième fois cette année le loyer de l’argent car la pénurie se poursuit sur le marché du travail américain, contribuant du même coup à la hausse des salaires génératrice d’inflation [[ mais non incluse les hausses incessantes des salaires déments des patrons et les dividendes – comme si la réalité globale faisait dans la lutte de classes ? Cette analyse comme tant d’autres relayées par les médias déshonorés est fausse…cela tombe Trop bien le déguisé en sagesse pas d’augmentation des salaires Car inflation, n’est ce pas ?]]. Mais parallèlement, le déficit [[ sans demande fusillée par l’inutile austérité pourrait-il en aller autrement ? La monstruosité de la financiarisation c’est qu’ils s’en foutent des réalités vécues par tout le monde et ne s’attachent qu’à des manipulations toxiques qui les enrichissent…désastreusement. Croire que s’ils s’enrichissent c’est bon pour tout le monde ( parce que riches…ils sauraient tout. Alors que c’est l’inverse !) est un des travers graves de l’esprit des foules…C’est ne pas être comme ces monstres qui sacrifient tout et tout le monde pour d’illusoires richesses (un monde en chaos à la longue n‘est pas bien pour eux aussi)…oui c’est ne pas être comme eux qui compte le plus. Une fois fait, nous pouvons vérifier ensemble comment…économiser l’économie oui s’en passer. Se passer de tous ces subterfuges pour tout cacher…et partager en direct la prospérité du collectif parce que c’est le collectif qui collecte tout. Sans jamais oublier un.e seul.e humain.e]] qui se creuse Outre-Atlantique, l’endettement des entreprises atteint des sommets, les tensions sur le marché du travail contribuent à ralentir la production, [[ tensions qui disparaissent dès que les moyens de productions deviennent des Communs !]] tandis que les exportations sont pénalisées par le dollar fort [[ suivre la Chine et la Russie dans la dédollarisation du monde ne peut qu’être très sain !]] et que la guerre commerciale entre Pékin et Washington génère un climat d’inquiétude pour l’avenir.

Conséquence immédiate : les marchés boursiers piquent du nez. En moins de trois semaines, 3700 milliards de dollars se sont volatilisés sur la planète [[ donc concrètement sont bien allés quelque part !]], faisant du mois de décembre le pire que les marchés aient connu depuis 2002, sans que l’on puisse prévoir un retour rapide au calme. C’est dans ce climat particulièrement fébrile que la politique gouvernementale française vient de prendre un nouveau cap à la suite de la révolte des gilets jaunes. Pour calmer la colère de cette frange active de la population, largement soutenue par l’opinion [[ 70 % à ce jour pour que le mouvement continue !]], le gouvernement a lâché du lest en ouvrant les cordons de la bourse, malgré les contraintes budgétaires [[ qui peuvent…s’inverser. Oui, oui ? Mettre ces contraintes sur qui voudraient, sans eux, la placer sans discussion sur les autres ! Les inversions ainsi inversées !]]. En quelques jours, une dizaine de milliards d’euros [[ le rapport avec 3 700 milliards n’est pas vraiment clarifié ! L’idée loufoque serait donc que 10 milliards pour les Gilets jaunes cela seul est dangereux…mais pas du tout les 3 700 milliards (et autres) ? Dont les spoliations n’existeraient même pas si la Bourse était mondialement fermée. Rappelons de Gaulle, résistant au capitalisme financier et vrai précurseur, clarifiant «la vraie politique ne se fait pads à la corbeille». Effectivement, qui la fait ne peut plus produire la moindre politique collective…et sa gestion se voit même parasitée par qui osent des lunatiques «Nous ne faisons pas de politique». La pire qui soit !]] ont été promis pour améliorer le pouvoir d’achat. La distribution ne se fera pas grâce aux ressources tirées de la croissance anémique que l’on enregistre présentement, mais bien à crédit, en aggravant la situation financière du pays.»…Le difficulté, qui n’en est plus une pour nous, est que ces analyses qui ne CHANGENT PAS LE LANGAGE avec lequel elles raisonnent…ne font que suivre les impasses des dominants. Non, il y a des points réalistes dans ces analyses (qui sont trop nombreuses encore à fuir le réel !) mais les découragements ne viennent que de formulations…fausses parce que les mots employées ne reflètent aucun réel, et tous ses fins mécanismes. Que de l’idéologie…Par exemple, une Europe des peuples verrait chaque nation recouvrer sa souveraineté régalienne de création de monnaie (pour la Constitution il reste Illégal, oui illégal que le privé ait cet outil de…souveraineté)…Donc plus de dettes, etc. Respecter le langage c’est s’offrir les solutions !

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« Et il ne faut donc pas s’étonner si le fossé qui la sépare des classes populaires – et par conséquent de cette France périphérique où vivent la majorité des Français – ne cesse de s’agrandir (songeons, par exemple, à l’état d’hébétude dans lequel l’apparition du mouvement des gilets jaunes a plongé toute l’intelligentsia de gauche [[ celle auto-enfermée dans sa prison de paris…et qui, faute d’espace corporel grandiose en rétrécit tant son espace mental que ses analyses ne concernent plus que…les têtes d’épingles !]]. Il est difficile de ne pas songer ici au célèbre ouvrage de Paul Lidsky, Les écrivains contre la Commune, publié par Maspero en 1970. Dans cet essai décapant, l’auteur rappelait comment les principaux écrivains de gauche de l’époque – mettant de côté, pour un temps, leurs griefs habituels contre la bourgeoisie et le « vieux monde » – avaient, dans leur immense majorité, applaudi la répression de la Commune de Paris (ordonnée, il est vrai, par Adolphe Thiers et Jules Favre – deux des plus grandes figures de la gauche libérale [[ décidément, partout ils n’auront fait que nuire !]] d’alors). C’est que l’appel de cette dernière à instaurer une véritable république sociale [[ mot oublié par les Gilets jaunes ]] avait donné d’un coup une tout autre signification au vieux concept libéral et républicain d’égalité [[ qui n’est pas pour/par l’égalité a, dès le départ, un défaut de pensée qui ne pourra qu’aboutir à des conclusions…impossibles. Et qui, si passant outre, vont tant nuire à la société pendant que celle-ci va « croire » que c’est vraiment pour son bien. Jusqu’au…réveil !]]. De quoi confirmer, en somme, la célèbre analyse de Marx selon laquelle, s’il existe toujours « une certaine opposition et une certaine hostilité » entre la bourgeoisie économique de droite (celle qui participe directement au processus d’accumulation du capital ») et la bourgeoisie culturelle de gauche (les universitaires, écrivains ou artistes qui « tirent leur subsistance principale de l’illusion que cette classe se fait sur elle-même »), c’est une opposition et une hostilité condamnées à tomber d’elles-mêmes « chaque fois que survient un conflit pratique où la classe tout entière est menacée »…L’Histoire est toujours du côté de ceux/celles qui ne la torde pas afin de la faire vaguement correspondre à leur présupposés. La voir comme elle est ouvre le regard sur aujourd’hui…Et donc ?

« La peur a changé de camp et chaque tremblement de cette fausse élite se lit de plus en plus sur leur visage ou ceux de leurs larbins de la journaloperie nationale, mais aussi internationale. Car ces gens-là bouffent tous au même râtelier de la satisfaction immédiate, celui de l’ego démesuré et de la déconnexion de réalité, le tout allant de pair avec un profond mépris du peuple et du bon sens populaire, en somme de la réalité vraie. Quand on est en permanence shooté aux fantasmes égotiques, il devient de plus en plus difficile de pouvoir regarder la réalité en face. » …Sauf, qu’à la longue, c’est elle qui vient vous voir en face. Et déconstruire tous vos mensonges. Renier quoi que ce soit (afin de demeurer dans l’inertie) c’est desservir sa propre vie…à la longue !

Comment-devenir-un-e-athée-du-capitalisme

« Au-delà du macronisme, ce que l'on a pu voir, notamment sur les plateaux télévisés, c'était un inversement généralisé du rapport d'autorité intellectuelle. On a vu des macronistes, énarques ou non, des députés LREM, des gens ayant fait un minimum d'études et propres sur eux, confrontés à des Gilets Jaunes issus de la base. Mais il était tellement évident que ces derniers étaient plus intelligents et dynamiques que les éduqués supérieurs qui étaient en face d'eux ! Nous sommes ici à nouveau dans un problème d'inversion de l'autorité. J'ai été très impressionné par le niveau de cohérence et de détermination de ces personnes, pourtant présentées par le système média comme incohérentes et incapables de s'unir (Emmanuel Todd). » Et donc ?

Frédéric Lordon : « L’internationalisme réel, c’est l’organisation de la contagion » Par, aussi, la contagion de l’organisation…minimum ! La meilleure réponse étant…protéiforme !

Frédéric-Lordon-organiser-la-contagion

«C’est bien là d’ailleurs la force principale de l’état des choses : la peur de l’inconnu. On préférera un désastre connu et certain au salut possible d’une tentative dans l’inconnu. » [[ nous pas, ce pourquoi – malgré tout et cette camisole de pauvreté qui nous enserre – nous nous sentons si librement heureux. L’inconnu cogne à nos cœurs très souvent…et il mérite carrément d’être connu ! Son sourire discret vaut toutes le magouilles des médias à vomir…]]…

«Refaire de la politique signifie recouvrer le droit de rediscuter de tout ce dont nous sommes interdits de discuter. »… Pas nous – il semble, par contre, que la majorité de ceux que nous citons encore – parce qu’ils ne font pas…font reculer le débat ; à savoir s’ils le font avancer tangiblement, ils optent pour interdire de discuter librement et dans toutes les formes possibles et imaginables !

Ils mettent des limites (eux/elles) à ce qui, par définition,

…………………………………………….. ne doit en avoir aucune !

…….………….…(à suivre)

……   ……….…………….         %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                    Que le plus grand accueil nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu