Égalités ou inégalites, quel est le meilleur pour l’Humanité ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Égalités ou inégalites, quel est le meilleur pour l’Humanité ?

Les dirigeants européens osent que plus il y a d’inégalités, meilleur c’est pour tout le monde. Mais sans jamais prouver sur quoi ils s’appuient. En effet, la majorité des études abondent à démontrer que l’égalité c’est bien mieux pour l’Humanité. Qu’elle résout même tous les problèmes actuels. Aujourd’hui, c’est l’OCDE. Nous désirons simplement savoir lequel de ces 2 chemins divergents restera le plus fertile pour un futur commun. Déjà nous savons que l’égalité profite à tous, les inégalités ne profitent qu’à très peu de marginaux, qui vivent séparés de la société et n’y sèment que des conflits. Conflits évitables dès que nous quittons leur mentalité si nuisible. N’ayant comme unique rapport «social» ( ?) que de s’emparer de l’argent public, clair que ces personnages antisociaux ne font que détruire la civilisation. Ce sont eux les vrais dangereux casseurs ! Ils commencent à être, d’ailleurs, toujours pris la main dans le sac : le grave délire de vouloir faire croire, en effet, que ce sont les manifestations qui font que tout va mal, s’englue lamentablement - parce la logique existe et elle dit : c’est parce que cela va mal, à cause justement des détraqués des inégalités, qu’il y a des manifestations. Et qu’au lieu « d’obéir » ( !) follement à des médias lunatiques, il demeure tellement plus responsable d’écouter le Pourquoi des manifestations. Comme dit l’OCDE…tout le monde est concerné ! Et ces médias suspects préfèrent les circulez, y’a rien à voir. Personne n’est concerné !  Ils ont donc fini d’être du bon côté

 

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Les manifestations c’est parce que la plus grande partie du savoir collectif est CACHÉE. Notre blog en est la preuve : nous devons dénicher toutes les perles qui affirment que la civilisation continue et que les barbares ce sont les fous de l’argent…des autres. Que ces savoirs vraiment de pointe et très argumentés sur l‘égalité DONNENT TORT aux dirigeants actuels. Les inégalités ne reposent donc sur aucun savoir scientifique ? Ce n’est qu’une lubie idéologique qui ne tient pas dans un vrai débat ? Et que, que si cela va mal, c’est uniquement parce que les dirigeants (cramés à l’idéologie) n’écoutent plus jamais les humains les plus…intelligents de la planète ? Que, complètement égarés dans leurs idéologies, ils ne produisent alors plus que des catastrophes ?…Le gigantesque braquage qu’est le capitalisme qui vole en direct les droits des pauvres et des moyens n’est pas à prouver de nouveau. Oui quasiment tout ce qui est intelligent (ce pourquoi il n’y a que lourde et indécrottable bêtise dans le parti macroniste) font donc des manifestations à leur manière. Christine Lagarde du Fmi manifeste contre les macronistes. Etc. L’OCDE aussi : « Dès 2015, l’OCDE avait jugé nécessaire de publier un rapport intitulé Tous concernés: pourquoi moins d'inégalité profite à tous, avec, dans l'avant-propos, cette observation sur la marche du monde avant et après la crise de 2008: «Au cours des décennies ayant précédé la Grande récession, la croissance économique bénéficiait déjà de manière disproportionnée aux catégories à hauts revenus, tandis que les ménages à bas revenus étaient laissés pour compte. Depuis la crise, les disparités se sont aggravées et, dans de nombreux pays de l'OCDE, les inégalités atteignent désormais leur plus haut niveau depuis que des données sont recueillies»….Donc les crétins libéraux aggravent tout en hallucinant, drogués à l’idéologie jusqu’aux yeux, que cela ira mieux…sauf que 44 années de déficits en France prouvent que…Non !

Le-creusement-des-inégalites-pèse-trop-sur-la-croissance

« Pourquoi l’OCDE s’intéresse-t-elle à la question des inégalités ? Parce que l’écart continue de se creuser entre les riches et les pauvres et que ce creusement des inégalités de revenu suscite bien sûr, des inquiétudes de nature sociale et politique, mais il engendre aussi des préoccupations d’ordre économique. Nous savons que les inégalités de revenu ont tendance à peser sur la croissance du Produit intérieur brut. Dans la plupart des pays, depuis une trentaine d’années, l’écart entre riches et pauvres n’a jamais été aussi grand. Dans les pays de l’OCDE, les 10 % les plus riches ont un revenu 9,6 fois supérieur aux 10 % les plus pauvres (dans les années 1980, il était 7 fois supérieur). Et le patrimoine des ménages est encore plus concentré que les revenus : en moyenne, les 10 % des ménages les plus riches possèdent plus de la moitié du patrimoine total, les 50 % suivants possèdent la quasi‑totalité de la seconde moitié, tandis que les 40 % les moins riches en détiennent à peine plus de 3 % ! Cette concentration élevée affaiblit la croissance potentielle [[ normal un seul individu ne peut dépenser tant que cela mais un million oui…et dans l’immense Diversité des produits ! Cela saute tellement aux yeux qu’il faut être crétin comme un obsolète libéral pour ne pas s’en apercevoir !]]. »

Les inégalités pèsent sur le PIB, donc sur les affaires – cela crée toujours plus de conflits donc cela nuit à la bonne marche de ces affaires mêmes…Les inégalités pèsent sur l'économie – cela l’idéologie murée qu’est le macronisme ne l’admet pas, elle se replie dans tous les dénis du réel ne pouvant plus dialoguer avec personne, n’émettant plus une seule phrase sensée. Le choix est clair : toute l’intelligence du monde contre la claire inintelligence et l'inappropriation complète du macronisme  face aux vrais besoins du monde. Le macronisme est un Bêtise qui s’entête. Se prouvant, alors, toujours plus bête…

 

Mais-où-va-emmanuel-macron-ce-président-devenu-doublement-illisible-depuis-les-gilets-jaunes

Il ne faut pas oublier qu’une politique économique est un système d’équité, autrement dit une décision économique se traduit bien souvent par l’appauvrissement de certains au profit d’autres. Faire supporter à certains plus que d’autres, certaines charges par exemple devrait se justifier au nom d’une certaine idée de la justice sociale. Aujourd’hui la sensibilité à l’égalité des conditions de la part de nos fausses élites s’est réduite. La nouvelle et paradoxale équité est de penser que seules des inégalités plus lourdes, seraient profitables au plus grand nombre [[ ce qui, psychiatriquement, se dit un dysfonctionnement par rapport à la réalité]].

L’état de sidération des puissants est la preuve qu’ils s’étaient habitués au silence de ceux qui se sentent si humiliés par eux” (Stéphane Brizé, réalisateur de…“En guerre”, avec Vincent Lindon). Je viens de ce monde, à qui on a dit de se taire et de se contenter de ce qu’on lui donne. C’est à dire les miettes du néolibéralisme. Et bien ce monde-là dit aujourd’hui, dans la rue, qu’il n’en peut plus. Il n'en peut plus de ne plus avoir les moyens de vivre décemment [[ ce qui coûte 3 fois rien, en fait, par rapport aux sommes colossales déversées sur les trop riches que de leur permettre de vivre décemment. En réalité, ce qui coûte le MOINS cher c’est d’abolir définitivement la misère matérielle. Oui le 1/10 des sommes dédiées à la guerre dans le monde ou le budget de la pub pour enfants et ados…pour un an aux .U.S.A. – tout ce dont nous pouvons nous passer sans dommage. Oui ou non ?]], il n'en peut plus de se sentir humilié par une classe dirigeante et dominante [[ qui ne domine pas, en tout cas, sa bêtise flagrante…l’égalité coûte infiniment moins cher que les inégalités !]].

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Comment-malgré-tout-l'-inégalité-est-plus-inventée-que-naturelle

« Au fond, plus d'égalité est dans notre intérêt à tous. Depuis deux ans, je tourne dans toute la France avec des films et des spectacles, et je vois bien que les gens qui viennent me voir appartiennent à un certain milieu. Aller au cinéma ou au théâtre aujourd’hui, c’est un luxe, tout le monde ne peut pas se le permettre. Moi, je rêve de participer à des choses pour tous et qui parlent à tout le monde, d’égal à égal, comme c'était le cas à une époque. C’est ce que raconte par exemple Annie Ernaux dans Les Années : jadis, dans les bars, en province, on parlait de Truffaut, ça faisait partie de la culture générale. Ça me fait fantasmer. Mais c'est impossible quand il y a trop d'inégalités sociales, et aucune mixité [[les inégalités sont donc cette bêtise arriérée qui détruit tout ce qu’il y a de social et d’humain …Les inégalités c’est donc «tout le monde pareil», tout le monde séparé et enfermé dans une case idiote, lorsque il n’y a plus que des anticonformistes courageux qui parlent…également avec tout le monde. Pour les sciences sociales et humaines, l’égalité c’est ce qui permet toutes les différences et aucune de ces différences n’apparaît comme inégale. Il y a donc un gigantesque préJugé qui Bloque la société. Qui va nous libérer les ronds points du sociable de la grave arriération des inégalités qui ruissellent des absurdes sommets ? ]]. Cette cassure entre deux mondes me touche beaucoup. Ma présence aux côtés des Gilets jaunes traduit cette volonté d’égalité, d'échange [[ l’inégalité se démasque comme cette mauvaise volonté sournoise qui repousse d’échanger, d’être adultes et matures !]], de refuser qu’on nous sépare. Aujourd’hui, on est trop séparés. (Laetitia Dosch, comédienne). En parallèle des violences de samedi dernier, il était frappant de voir des gilets jaunes dans les restaurants, discuter avec des gens, avec des policiers parfois. Paris était aussi un lieu de rencontre et de convivialité. [[ ce que les médias menteurs se sont échinés à ne surtout pas montrer. Avouant qu’ils ne délivrent pas de la véritable information mais juste le jus imbuvable de « leur » idéologie !]]. Certains venaient pour la première fois à Paris. Il y avait du lien entre les gens. J’aurais beaucoup aimé filmer cela. »

Comment-les-classes-moyennes-supérieures-sont-tenues-en-otage-par-le-biais-de-l'-immobilier-?

« Cela peut sembler paradoxal qu’Emmanuel Macron batte, en même temps - selon l’adage macroniste -, un record d’impopularité tout en gagnant en intentions de vote en cas d’élection présidentielle. Mais, ces enquêtes, tout en nous éclairant sur la situation politique actuelle, révèlent, à regarder de plus près, deux logiques différentes de l’état de l’opinion : indice de popularité versus intentions de vote. Rappelons les chiffres. Dans le contexte social actuel très tendu, Marine Le Pen semble capitaliser la colère des gilets jaunes contrairement à Jean-Luc Mélenchon. Elle arriverait en tête en ralliant 27 % des suffrages exprimés (contre 21,3% recueillis dans les urnes en 2017). Quant à Emmanuel Macron, il conforterait sa deuxième place en améliorant son score de 2017 avec 25% des voix (+ 1 point de plus qu’il y a 18 mois) alors que le chef de l’État vient encore de voir, en décembre, sa cote de popularité s’effriter : seules 23 % des personnes interrogées se déclarent désormais satisfaites de sa politique. Elles étaient 25% au mois de novembre. Au total, Emmanuel Macron a perdu 27 points sur la seule année 2018 ! Tout d’abord, il faut bien comprendre que ces enquêtes évoquent deux situations bien distinctes. Il ne s’agit pas du même instrument de mesure. Sur la popularité, il y a une logique d’évaluation d’une personne, en l’occurrence le chef de l’État, vis-à-vis de laquelle il est question d’exprimer une satisfaction ou un mécontentement. Quant aux intentions de vote, elles résument un rapport de force électoral, qui met le sondé devant un choix à faire.

Ensuite, les liens entre popularité et capital électoral sont donc loin d’être manifestes, les deux ne s’alimentant pas forcément. Par exemple, début 2012, juste avant l’élection présidentielle, Nicolas Sarkozy, président sortant, n’était qu’à environ 30% de popularité mais parvenait encore à faire jeu égal avec François Hollande dans les sondages (aux alentours de 25% d’intentions de vote chacun). Aujourd’hui, s’agissant de Macron, l’aspect inédit vient du fait que son réservoir électoral - plus de 25% - est plus élevé que sa popularité (23%). La question essentielle qui se pose est alors celle du débouché que pourrait avoir la popularité ou l’impopularité sur un terrain électoral. Nous pouvons être mécontents d’une personne sans trouver quelqu’un d’autre sur qui se reporter (…). Pourtant, il est confronté aux mêmes problèmes que ces prédécesseurs : du moment où il a accepté le cadre [[ complètement faux ]] de l’économie néo-libérale (perpétuation du libre-échange [[non libre et complètement faussé ]], règle des 3 % du déficit budgétaire qui nécessite de compresser les dépenses publiques…[[ mais pas les recettes publiques, notamment la contribution trop absente des trop riches – ceci est donc un grave mensonge que de ne jamais parler des recettes ! Soit de tout la faire aux si nocives inégalités…]]), il se retrouve, dès lors, à devoir gérer des problèmes alors qu’il n’a plus aucune marge de manœuvre. Il nous a fait croire que lui, aller faire différemment mais il se retrouve avec des entreprises qui ont des carnets de commande vides [[ si la demande est trop empêchée par trop d’austérité ! Dès 1906, cette corrélation avait été repérée et théorisée…]], des filières industrielles qui périclitent [[ alors que des vigilances, dont nous, avions alertés – pour le confort absurde des riches il est préféré la financiarisation que le…solide : l’industrie. Et ? Pour le fric fou il a été sacrifié l’industrie. Or, 30 % d’industries sont nécessaires pour sauver l’indépendance d’un pays, donc le pouvoir d’achat des pauvres et moyens !]] et il ne sait pas répondre à cette situation [[ ni les analystes, d’ailleurs, qui, trop rarement, nous offre une explication globale, qui relie tous les faits et recherche la cohérence dans ses formulations – donc les médias d’argent sales Nuisent là aussi…ils tentent d’empêcher les saines solutions et conduisent le pays à la catastrophe faute d’être à la Hauteur des situations ! Le problème devient alors à qui profite ce crime ?]].

Ainsi, ces sondages ne sont pas aussi contradictoires qu’il n’y paraît. Ils illustrent plus une «stratégie» qu’une fidélité, qu’une adhésion aux idées macronistes. En effet, l’électorat du président de la République peut s’appréhender notamment par le niveau de diplôme, qui est plus que jamais la vraie fracture [[ les inégalités commencent à s’incruster à cause des conneries apprises dans les écoles. Si l’esprit critique et l’honnêteté intellectuelle n’y sont plus favorisée, il n’y a plus que le préJugé qui trône - et le moins tu vérifies, le moins tu vas voir sur le terrain, le plus tu sais saurais. Donc moins tu sais, plus tu sais. La corruption morale et mentale doivent être énergiquement chassées de l’école qui – pour le bien de tous – ne peut qu’être égalitaire !]] entre une France apte à la compétition mondiale [[ qu’il faut refuser et transformer tellement elle nuit au futur commun , gaspille le non renouvelable et se permet de ne rien…prévoir en commun – ce qui se nomme obliger l’Humanité à se suicider !]] et celle qui se sent délaissée [[ faux, la justesse des mots c’est écrasée et maltraitée par trop d’inégalités…ce n’est pas psychologique c’est la justice sociale…Inégalités bestiales c’est Injustices partout. Pas de quoi pavoiser. Faut arracher ce chancre !]]. Dès lors, les uns (« les riches ») acceptent les contraintes [[ il n’y a aucune contrainte dans le vrai réel seulement celles qu’inventent des têtes détraquées ! Et qui, pour le bien de tous, feraient bien de réfléchir rationnellement !]] libérales de la mondialisation car ils voient un intérêt - le leur -, celui de développer leur talent et donc une chance de s’y retrouver alors que d’autres ne subissent que les contraintes [[ mentales et pas factuelles ]] et ne s’y retrouvent pas dans l’environnement actuel (les « laissés-pour-compte»)…[[en français plus normal les « démunis » parce que d’autre les…démunissent. Ce qui offre, à la fois, la causalité, le drame et la solution : empêcher les riches de Nuire aux pauvres, qu’ils ne puissent plus les laisser HORS des comptes – Oui ? Ne pas vouloir décrire complètement s’allie donc à la dictature d’utiliser des mots trafiqués et sabotés. Et ? La Vie a bien prévu la solution. Qui est ? Que la diction du dictionnaire empêche toute possible dictature par les mots…Les…écouter vraiment c’est annihiler toute dictature qui…dicte sans prouver ni partager. La diction ne dicte pas : au contraire, elle montre et démontre tout…elle cherche à être …juste et bonne ! Donc ? L’écrasante majorité des textes actuels sont…non critiques et (même avec bonnes intentions) elle ne font que renforcer brutalement les Injustices dominantes ! Oui, et alors ? Les apparences trompent encore, les inégalitaristes sont des mollassons qui fuient tout débat et qui sont convaincus de la supériorité de l’égalité sont autrement ardents et solides au combat…Que de victoires obtenues dans la discrétion ces dernières années !)]].

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Quelles sont ces contraintes financières, notamment liées aux crédits immobiliers, qui peuvent pousser les cadres à voter en faveur d’un candidat perçu comme protégeant ces intérêts, malgré un début de mandat laissant penser que les catégories les plus « favorisées » ont été les « 1% » et non les «20% » ? La victoire d’Emmanuel Macron a plus été une victoire par défaut dans un contexte de fort taux d’abstention. Il n’est donc pas totalement étonnant que 18 mois plus tard, une certaine déception se généralise dans l’opinion publique. Mais ces sondages soulèvent également une interrogation : si Emmanuel Macron est souvent présenté comme le « président des riches » - cette hypothèse ne se fonde pas sur une étude de son électorat mais sur des mesures qu’il a mises en œuvre, qui semblent clairement être en faveur des « riches » - comment expliquer qu’il a pu être élu par une majorité de votants qui n’est, à l’évidence, pas bénéficiaire des mesures évoquées précédemment ? Tout d’abord, devant la désertification du territoire français et la « mégalopolisation » de l’économie, la demande d’immobilier, supérieure à l’offre, ne faiblit pas, du moins dans les grandes villes. Ceux qui ont acheté il y a longtemps sont confortés dans l’idée qu’ils ont fait une bonne affaire et les acquéreurs récents sont soulagés, sans réaliser, lorsqu’ils sont jeunes, qu’ils auront besoin de s’agrandir un jour et que les m² supplémentaires coûteront encore plus cher. Mais demain est un autre jour…Ensuite, le président de la République a su jouer sur sa capacité à aller à la rencontre de la population, notamment pour y tenir un discours sur l’ambition et la réussite individuelle, fixant comme seul horizon les idéaux du néo-libéralisme. Or, une partie de la base électorale d’Emmanuel Macron, plutôt jeune, urbaine, et à revenus confortables, mais pas encore fortunée au point d’avoir déjà constitué l’apport initial pour un achat, enrage de ne pouvoir se lancer dans des projets immobiliers du fait des niveaux de prix atteints en France, tout particulièrement dans les grandes villes et ses quartiers encore relativement préservés. Les raisons de la hausse ne manquent pas, notamment le faible niveau des taux d’intérêt, menaçant de remonter (sans envisager, là aussi, que ce qui est économisé sur le prêt immobilier est payé en surcoût dans le prix d’achat). Ainsi, certains, séduits par le discours macronien, se sont lancés dans le long parcours de l’acquisition immobilière.

 

Mais, comme l’affirmait Michel Audiard, « le jour est proche où les Français n'auront plus que l’impôt sur les os » ! Et ce jour est certainement encore plus proche pour la classe moyenne supérieure qui, depuis plusieurs années, subit de plein fouet la frénésie fiscale des gouvernements successifs [[ tout en votant pour eux ce qui dénonce bien une incapacité à penser…rationnellement ; ce qui rend, à tous les coups, ennemi de soi-même et aveugle à ses propres intérêts. Avoir préféré les riches aux pauvres ruinent donc les classes moyennes supérieures : les pauvres sont les volés non les voleurs…et les crétins des moyens supérieurs ont mis ceux qui vont les…voler là où ils le peuvent !]]. Ainsi, à force d’accumuler les signaux soutenant une image de président de droite, vous prenez le risque de ne plus pouvoir changer votre image. [[ une fois de plus c’est parler comme un…fou – on s’en fout de l’image, l‘image c’est pour des esprits puérils incapables de…penser et ressentir …l’image n’est pas la réalité et nous avions bien analysé «L’élection d’une image»…que Todd formule comme une hallucination collective – donc sans nous…99 % (ou même 90 % ) des français sont Perdants pour préférer les images à la réalité. Imagiter a bien protégé celles/ceux qui apprécient fortement la santé mentale !]]. La baisse de sa popularité dans les sondages et celle de son premier ministre indiquent un effritement de leur image [[ tas de conneries ]] et le début de la fin de l’illusion d’un possible ordre social-libéral, [[ illusion qui n’aura résidé que dans les images fomentées par les médias d’argent – ces clairs ennemis du genre humain. Oui ? Tu penses avec des raisonnements et de la sensibilité et tu pisses sur les images tu resteras toujours libre quelles que soient les circonstances !]] qui ne sera, sans surprise, que libéral [[ jamais de Social dans la déchéance libérale…allons, allons !]].  À condition de prendre en compte l’hétérogénéité de l’électorat du macron, la voie pour récupérer des électeurs déçus du macronisme est donc ouverte à la gauche progressiste. »…. Le mieux c’est de tourner le dos aux 2 et de provoquer une Constituante qui abolissent toutes ces turpitudes…ceci appartient à la santé mentale qui sait que mettre fin à une problématique c'est l’arracher jusqu’à ses dernières racines…Se compromettre c’est ne plus jamais pouvoir promettre. Le compromissions te chourave ta mission contre de la fausse monnaie. Non, face aux corruptions de ce système, le détournement demeure l’acte de Haute santé mentale : ce n’est plus détourner les images et les expressions mais se détourner…nous-mêmes. Tu leur tournes le dos, et, de fait, leur spectacle tombe. Si nul-le qui le regarde ou l’écoute. Rester simple c’est simplement s’offrir Toutes les solutions. Bref, en sortir grand Gagnant de leurs sacs de nœuds absurdes…La surdité de l’abSurdité vient de NE PAS savoir écouter les autres !

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En-plein-dans-le-coeur-de-qui-"accepte"-les-inégalites-monétaires

Caricature de la chanson « Le travail n’est pas un coût mais bien un Gain pour qui l’exploite….les couplets sont variés mais il a celui- ci : Quelle est la journée d’un grave Fainéant de 1 % - à part foutre dans sa poche de l’argent si immérité ce branleur ne fait…Rien…Vérifions… « FAIRE DE L’ARGENT SELON QUE L’ON SOIT UN CAPITALISTE OU UN SMICARD, devient UNE DÉPENSE D’ÉNERGIE AVEC UN RAPPORT DE 1/100 000 !!

Le smicard en une vie va travailler en moyenne environ 70 000 heures. Sa production mensuelle se décompose ainsi : salaire net 1150 euros…cotisations salariales et patronales : environ 900 euros. Bénéfice des fruits de son travail prélevé par son patron : environ 25 % du global ci-dessus , soit environ 500 euros… donc, en gros, le smicard aura produit 2 550 euros par mois.

La-grande-escroquerie-des-revenus-du-capital-face-à-ceux-du-travai

Pendant ce temps, le capitaliste a passé 3 heures à visiter des appartements a paris, 2 heures chez le notaire pour signer l’acte d’achat, en tout 5 heures ! Et son appartement va lui rapporter 2 500 euros par mois pendant 40 ans également ! (loyer parisien). Donc, pour la même production d’argent, le capitaliste aura travaillé 5 heures, et le smicard 70.000 :  ce qui nous fait un rapport de 5/70.000 soit environ 1/14.000.  Mais ce n’est pas tout à fait vrai, car le smicard ne gagne pas 2500 euros, mais  que …1150 ! Donc, le rapport serait plutôt de 1/28.000…. »…Soit le travail est non un Coût mais un Gain…énorme Gain… Ce qui… coûte, par contre au smicard qui fournit toujours beaucoup plus d’argent qu’il n’en reçoit c’est le Patron. Le Patron est un coût et qui travaille exige que le coût du patron lui soit exonéré, remboursé, payé plusieurs fois, déduit en crédits-impôts (oui plusieurs à la fois), subventionné, sponsorisé, déduit pour œuvre caritative, soutien aux oeuvres d’art …oui il faut bien cela pour récupérer les 2 550 € de produits si amputés par le coût du/des patrons. Ce sont eux le COÛT et pas le travail. Les fantastiques mots démasquent toutes leurs escroqueries. Pour qui œuvrent donc qui…rabaissent les mots ? C’est le grand trésor du collectif que le langage !

Le-mythe-de-la-fuite-des-capitaux-que-nous-racontent-nos-gouvernements

Le mythe de la FUITE DES CAPITAUX que nous racontent nos gouvernements. »… Dans la même veine Logique une démonstration qui prouve bien la règle ; tu veux résoudre un problème utilise les mots avec lequel ce problème est dit !

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>>>>> **** --- « C’est pas fini, retrouvons le smicard qui produit 2550 € mais n’en reçoit que 1150 € : le voici donc avec ses pauvres 1150 € mais il va devoir se loger !Il va donc payer un loyer de 400 euros (à un autre capitaliste), pourtant, il y a 2,5 hectare par habitant sur terre ! Il va aussi devoir se nourrir pour 200 euros car bien sur il n’a pas un accès libre aux ressources de la nature…A ce stade, il ne lui reste plus que 550 euros. Mais sa voiture en leasing lui coûte 300 euros par mois (car il en a vraiment besoin pour aller travailler). Son abonnement internet 25 euros (indispensable quand on tombe au chômage entre 2 job pourrit pour accéder au site pôle emploi). Son abonnement portable 10 euros (afin que son patron puisse l’appeler pour lui demander de remplacer sa collègue le dimanche matin)…à ce stade, il lui reste 215 euros…215 € avec lequel il va devoir payer ses assurances et mutuelles ainsi que ses factures…après cela, il lui restera peut être 20 euros soit environ 20/2550 = 1/127ème de sa production de départ !  Soit ce système conçu pour VOLER les pauvres le spolie bien…de 126 sur 127 parts de son apport essentiel (son travail n’est pas un coût puisqu’il rapporte tant !]]… Et avec ces 20 euros, il va enfin pouvoir profiter de la vie …Le jour ou il y aura des cotisations sociales sur les revenus du capital sera un grand jour pour l’humanité, car il ne faut pas l’oublier, les revenus du capital sont toujours à la base une production de richesse de salarié ! »…Sauf que là c’est Équité et égalité : le capital est mis à contribution et pas bassement exploité…(comme lui se le permet, en insultant, en plus, illégalement les pauvres avec le Big Mensonge du travail est un coût…alors qu’il leur rapporte tant !)…Non le règne de l’égalité demeure le plus bénéfique pour tout le monde…celui de l’Inégalité rabaisse et souille, lui, tout le monde (dans quels mensonges absurdes se vautrent ces patrons ?)…Plus à s’occuper de cela : depuis les Gilest jaunes l’égalité est la seule santé mentale possible. Cela c’est un sacré nouveau monde ! !

Atlantico : La classe politique actuelle canalise la haine des Gilets jaunes et d'une grande part de la population dans un même cri de "Tous pourris". Mais alors que Bercy s'est opposé à l'exécutif à propos de l'application des mesures de Macron, les manifestants ne se trompent-ils pas dans leur combat en ne visant qu'un seul "ennemi" ? Jean-Marc Boyer : Les cibles des gilets jaunes sont mouvantes. Aujourd’hui ce sont les politiques, demain peut-être certains médias officiels et subventionnés, ou certaines administrations honnies. Les affaires (Benalla, les ministres qui ont dû ou préféré démissionner, etc) et des dépenses somptuaires ont concentré la remise en cause sur le Président, sa posture et son tropisme vers les riches. Le ministère de l’Action et des Comptes publics était précédemment passé en force, comme avec la modération des aides aux logements, contre l’avis de l’Elysée. Cette fois-ci, Macron a annoncé des mesures sans passer par la validation technique de Bercy. Les responsables politiques devront ramer pour expliciter des mesures non encore cadrées. Les fonctionnaires de base (infirmières, enseignants, …et même forces de l’ordre) sont proches des revendications de pouvoir d’achat des gilets jaunes. «L’ennemi» serait plutôt la haute fonction publique, supposée déconnectée de la vie réelle.

Haute-fonction-publique--l'autre-cible-que-devraient-se-donner-les-Gilets-jaunes

 

Quelle est la marge de manœuvre de la classe politique face à la machine administrative française? La marge de manœuvre budgétaire des politiques est aujourd’hui nulle. Les enveloppes ne permettent pas d’embauches nettes, mais seulement des réaffectations. Les statuts sclérosent la fonction publique et les titulaires sont pratiquement irrévocables. Faute de « lois de dégagement de cadres », l’État en est pratiquement réduit à des mobilités forcées (au sens de la loi sur les mobilités du 3 août 2009). On ne saurait réduire les effectifs des 3 fonctions publiques sans alléger les tâches bureaucratiques. Pour retrouver des marges de manœuvre, il faudrait simplifier les strates de processus fiscalo-administrés de l’administration : supprimer une ou deux couches du mille-feuille territorial, abroger les redondances entre les ministères et des « autorités indépendantes » et autres agences, supprimer des niches fiscales et des micro-impôts, etc. [[ sans omettre de transformer le cadre général . Soit ; empêcher les riches de nuire aux pauvres – et que la société ne soit plus structurée pour Voler les pauvres…enfin, que la Logique revienne le mensonge aberrant du…coût du travail laisse place à la vérité du coût du capital/patron…les riches sont, ainsi, contraints à la « contribution Recettes » qui permet de ne pas diminuer les dépenses publiques …puisqu’il y a bien plus de Recettes. Etc. Et tant de retours de la saine Raison dans tous ces rouages archi corrompus (sens de la physique et de l’éthique )…

 

Comment reprendre le contrôle sur ces institutions [[ la nuisible féodalité de la haute administration…parisienne !]] ? La classe politique est-elle le seul relais possible ? ---- Ces castes tiennent précisément le pouvoir dans toute sa verticalité.  Du Président, son Secrétaire Général, son Premier ministre, son ministre des Finances, sa Directrice générale du Trésor, ses chefs de service, sous-directeurs, chefs de bureau, etc, tous sont issus du même moule de pensée unique. Celui du pouvoir par la dépense fiscalo-administrée, [[ avec un Paris hyper centralisé jusqu’à l’absurde qui pompe tout et ne restitue pas…ce qu’il doit vraiment !]] tel qu’enseigné à l’obsolète  ENA, et qui mène la France à la faillite avec 44 années consécutives de déficits budgétaires. Pourquoi cette caste scierait-elle la branche qui la soutient ? La classe politique ne va pas remettre en cause la haute administration dont elle est largement issue  [[ la Constituante oui !]]. La reprise de contrôle sur les institutions ne peut venir que d’une hypothétique et hasardeuse révolution, ou au moins de l’instauration d’une sixième république plus moderne. Aujourd’hui, selon les normes européennes et dans un monde digital, le pouvoir vertical d’une caste n’aurait plus lieu d’être… » D’où l’incompréhensible répression contre les Gilets jaunes – si disproportionnément – qui ne s’explique que parce que tous les pouvoirs se sentent…démasqués !

Privatiser-c'est-du-vol

« En ce qui concerne notre bien-être collectif, la politique du pillage [[ les privatisations ]] a été un désastre absolu. Dans les domaines de l’économie et du social, nous avons régressé au lieu d’aller de l’avant. Mais cela n’est guère surprenant : le modèle lui-même est conçu pour favoriser une petite minorité de politiciens corrompus et de criminels en col blanc. Le modèle ne cherche pas à répondre aux besoins de la population, ni à éviter la violence et les conflits ; il ne cherche pas à gouverner honnêtement, ni dans la transparence. Il cherche à monopoliser l’appareil bureaucratique et à transférer les biens publics entre les mains du secteur privé, en prétendant que cela apportera [[ à qui au fait ? A 8 ou à 4 milliards ?]] la prospérité d’une manière ou d’une autre. Résultat : des inégalités économiques et sociales monstrueuses. Le Mexique est l’un des pays du monde où les disparités entre richesse et pauvreté sont les plus grandes. Selon un article publié en 2015 par Gerardo Esquivel, professeur au Colegio de México et diplômé de Harvard, 10 % des Mexicains contrôlent 64,4 % du revenu national et 1 % possèdent 21 % de la richesse du pays. Mais surtout, l’inégalité au Mexique s’est aggravée précisément pendant la période néolibérale. La privatisation lui a permis de prospérer.

 

Il est également important de noter les statistiques suivantes : en juillet 1988, lorsque Carlos Salinas a été imposé comme président au peuple mexicain par fraude électorale, une seule famille mexicaine figurait sur la liste annuelle de Forbes des personnes les plus riches du monde — la famille Garza Sada, avec 2 milliards de dollars à son nom. À la fin du mandat de Salinas, vingt-quatre Mexicains étaient entrés sur la liste, pour un total de 44,1 milliards de dollars. Presque tous s’étaient adjugés des entreprises, des mines et des banques qui avaient appartenu au peuple mexicain. En 1988, le Mexique occupait la vingt-sixième place sur la liste des pays comptant le plus grand nombre de milliardaires [[ une fois pour toutes, les milliardaires ne font pas la richesse des pays…vu qu’ils les appauvrissent. Cet exemple du Mexique sert de verre grossissant pour nous aide à refuser définitivement les dérives du macronisme, cet égarement sans issue dans le libéralisme dont plus personne ne veut !]] ; en 1994, le Mexique avait grimpé au quatrième rang, juste derrière les États-Unis, le Japon et l’Allemagne. Comme on peut facilement le constater, l’inégalité économique est aujourd’hui plus grande qu’elle ne l’était dans les années 1980, et peut-être plus grande qu’au cours des périodes précédentes, même si l’absence de données précises rend ces comparaisons difficiles. Bien qu’Esquivel ne le souligne pas, l’inégalité a monté en flèche pendant le mandat de Salinas, lorsque le transfert de biens publics aux mains du secteur privé battait son plein. Sous Salinas, le fossé entre riches et pauvres s’est creusé comme jamais auparavant. Salinas est le parrain des inégalités modernes au Mexique.

Il est donc clair que les privatisations ne sont pas la panacée que leurs partisans voudraient nous faire croire. Si c’était le cas, leurs effets bénéfiques seraient visibles aujourd’hui. A ce stade, il est juste de demander aux partisans du néolibéralisme : en quoi les Mexicains ont-ils bénéficié de la privatisation du système des télécommunications [[En France, les Gilets jaunes ont débusqué que c’est au désavantage du pays entier que la scandaleuse privatisation de la SNCF a été bâclée…puisque la contrainte désastreuse à la voiture individuelle aura fortement augmentée…désastres individuels ET écologiques ! Quant aux renationalisation « le mensonge sur le coût » ne tient pas devant la loi…si le contrat de départ était « déséquilibré », favorisant trop une partie…rembourser le capital de départ et…pas les intérêts est tout à fait légal…l’égalité peut même aller jusqu’à…dédommager les investissements tangibles s’ils sont prouvés avant…telle date. Les escroqueries flagrantes du privé n’ont pas à être remboursées. Quel que soit l’angle, quitter ce système n’offre que des avantages !]]? Est-ce une simple coïncidence si, en termes de prix et de qualité, les services téléphonique et Internet au Mexique se classent au soixante-dixième rang mondial, loin derrière les autres membres de l’OCDE ? Quels avantages sociaux le monopole des médias a-t-il apporté, si ce n’est à ses bénéficiaires directs, qui ont accumulé d’énormes richesses en échange de leur protection du régime corrompu, par le biais d’une couverture mensongère des candidats de l’opposition ? Qu’avons-nous gagné avec la privatisation des Ferrocarriles Nacionales [le rail national mexicain] en 1995, si vingt ans plus tard, ces investisseurs extérieurs n’ont pas construit de nouvelles lignes de chemin de fer et peuvent faire payer ce qu’ils veulent pour le transport ?

En résumé : au lieu du programme néolibéral à la con, qui consiste en une appropriation pour quelques-uns [[ les marginaux capitalistes ]], nous devons créer un nouveau consensus qui donne la priorité à l’honnêteté comme mode de vie et de gouvernement, et qui regagnera la grande richesse matérielle, sociale et morale qui était autrefois celle du Mexique. Nous ne devrions jamais oublier les paroles de José María Morelos il y a deux cents ans : « réduire à la fois l’indigence et la démesure. »

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Ce blog, et les livres et œuvres auxquels il se rattache, ont décelé, dès le départ, que l’égalité est la solution et les inégalités du « tout le monde pareil », tout le monde séparé et enfermé dans des aliénations, le vrai…problème. Et il faut comment nous avons été insulté.e.s. Notamment d’être hors réel…Et comment nous avons dû tenir contre ces corruptions morales ! Aujourd’hui (et les Gilets jaunes ont accéléré la prise de conscience collective) les irréalistes égarés sont qui osent que l’inégalité bénéficient à tout le monde (oui où ça ?)….

Et que le règne de cruauté antisociale de ces dangereux pervers commence à finir…

……..Oui la Justice consiste à donner plus à celle ou celui qui a moins

….Pour eux, c’était de donner…

…………………. toujours plus uniquement à ceux qui ont déjà trop !

 

…….………….…(à suivre)

……   ……….…………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

             Que la grande lucidité collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

La photo de couverture est une mise en scène (réussie, vu le succès). Ceux/ celles qui sont dans la charette sont nos amis…

La photo de couverture est une mise en scène (réussie, vu le succès). Ceux/ celles qui sont dans la charette sont nos amis…

Peter Ustinov, ayant beaucoup voyagé et observé, résumait ainsi :"les gens qui sont au sommet de l'échelle sont généralement dénués des qualifications qui les auraient rendus utiles en bas"…en clair, et au très grand soulagement collectif, nous pouvons aisément nous passer d'eux…

Peter Ustinov, ayant beaucoup voyagé et observé, résumait ainsi :"les gens qui sont au sommet de l'échelle sont généralement dénués des qualifications qui les auraient rendus utiles en bas"…en clair, et au très grand soulagement collectif, nous pouvons aisément nous passer d'eux…

Égalités ou inégalites, quel est le meilleur pour l’Humanité ?
comment l’égalité profite à tous ?

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et l’austérité est un  algorithme glacial…

et l’austérité est un algorithme glacial…

l’inégalité est bien plus contagieuse et dévastatrice que l’égalité

l’inégalité est bien plus contagieuse et dévastatrice que l’égalité

libéralisme = escroquerie !

libéralisme = escroquerie !

l’égalité c’est vraiment mieux pour tout le monde...où se trouve la démocratie authentique dans cette balançoire ? Soulignez nous l’endroit précis SVP…’
l’égalité c’est vraiment mieux pour tout le monde...où se trouve la démocratie authentique dans cette balançoire ? Soulignez nous l’endroit précis SVP…’

l’égalité c’est vraiment mieux pour tout le monde...où se trouve la démocratie authentique dans cette balançoire ? Soulignez nous l’endroit précis SVP…’

on dirait que les malappris du sommet ont omis ce cours : ils (s)ont tous mal appris !

on dirait que les malappris du sommet ont omis ce cours : ils (s)ont tous mal appris !

Ce n’est pas parce que de prétendus gouvernants le bafouent chaque seconde que nous allons faire pareil. Le futur de la réPublique c’est donc nous et ce sera sans eux.

Ce n’est pas parce que de prétendus gouvernants le bafouent chaque seconde que nous allons faire pareil. Le futur de la réPublique c’est donc nous et ce sera sans eux.

Preuves accablantes : Les aides sociales sont bien plus productives que l’argent jetés par la fenêtre des dons aux trop riches. Or toutes ces aides aux pauvres seraient supprimées et pas les cadeaux absurdes au trop riches ? Aucune rationalité n’est donc derrière.

Preuves accablantes : Les aides sociales sont bien plus productives que l’argent jetés par la fenêtre des dons aux trop riches. Or toutes ces aides aux pauvres seraient supprimées et pas les cadeaux absurdes au trop riches ? Aucune rationalité n’est donc derrière.

La preuve recevable en Justice que les trop riches mettent le chaos dans la société : qu’il est possible de modifier ce désordre en les traitant comme de « graves fauteurs de troubles »…et en les pénalisant…enfin. Ne vont-ils pas même contre tous les Progrès des connaissances qui martèlent clairement que trop d’inégalités peuvent faire exploser la société ? Nous n’allons pas sacrifier presque 7 milliards d’humains pour cette minorité déchue qui n’a aucun sens de ses Responsablités !

La preuve recevable en Justice que les trop riches mettent le chaos dans la société : qu’il est possible de modifier ce désordre en les traitant comme de « graves fauteurs de troubles »…et en les pénalisant…enfin. Ne vont-ils pas même contre tous les Progrès des connaissances qui martèlent clairement que trop d’inégalités peuvent faire exploser la société ? Nous n’allons pas sacrifier presque 7 milliards d’humains pour cette minorité déchue qui n’a aucun sens de ses Responsablités !

Le principe que l’égalité de traitement (qui aura permis, par exemple, les illégales privatisations) ne peut exister sans accès égal aux… mêmes possibilités (peuvent-ils nous prouver qu’ils offrent les…mêmes possiblités à tous ?)…En conclusion : même la Commission européenne,  juridiquement, ne peut qu’être contre ce Privé abusif là !

Le principe que l’égalité de traitement (qui aura permis, par exemple, les illégales privatisations) ne peut exister sans accès égal aux… mêmes possibilités (peuvent-ils nous prouver qu’ils offrent les…mêmes possiblités à tous ?)…En conclusion : même la Commission européenne, juridiquement, ne peut qu’être contre ce Privé abusif là !

Un monde toujours plus inégalitaire, est-ce inéluctable ? Seuls les venins de mauvaises volontés empêchent l’égalité, rien d’autre !

Les jobs en or de la République ! Contrôle et liberté sont souvent vus comme des concepts opposés. Est-il possible que cette opposition soit aujourd'hui abolie, que les deux conditions soient fusionnées dans un alliage formé par la participation des organisations et des institutions à chaque moment de notre vie ? En introduisant la théorie de l'institutionnalité, Michalis Lianos offre une nouvelle voie pour l'analyse de la société contemporaine.

Macronisme : « La haute administration, le véritable parti présidentiel »

Juliane Pinsard : « On dérive vers une privatisation et une perte d’indépendance de la justice »

Chiffres de l'OCDE : «On risque d'avoir toute une décennie catastrophique»…si nous ne changeons pas de structure sociale !

LA FINANCE A-T-ELLE PRIS LE POUVOIR ? Si oui, c’est Trop tard pour elle – nous avons tous les moyens de la ridiculiser et de stopper ses graves troubles à l’ordre Public !

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