Les apparences reculent enfin !
Sans les apparences le règne des bourgeois serait clos depuis longtemps. Ils ont perdu la bataille des idées et des sensibilités. Et le gros bobo des bobos boudeurs le confirme. La réalité nue les terrifie, ils te la recouvraient d’apparences rances (ça pue le vieux beurre des leurres ) – mais nous avons, désormais, les LEVIERS qui dissipent les apparences et…rapprochent dangereusement le réel de ces inadapté.e.s. Clairement que l’âge bourgeois court à sa fin.
C’est quoi le vrai Récit ? L’irruption salubre des Gilets jaunes aura débusqué tous les trésors cachés…D’abord, les médias, déjà suspects mais devenus…coupables ! Coupables de quoi ? Où à la fin des années 1980, les présentateurs télés auront effectué leur Putsch qui aura été de prendre violemment la place des écrivains et des penseurs afin d’imposer « leurs » idées médiatiques…disons surtout publicitaires (nous en reparlerons)…sauf qu’ils n’ont pas vraiment tenu la route. Mais gagnant de 25 000 € par mois, 50 000 € jusqu’à même 120 000 € (mais nous n’avons pas de preuve directe, juste des recoupements, pour ces 120 000€). Bref, ils sont plus Puissants que les politiciens [[ un d’entre eux vend même la mèche comme ceci : « ce qui compte c’est la capacité de nuire »…Donc les journalistes-présentateurs, vivant sur le dos de tas de petites mains sous-payées qui font le principal de leur boulot…n’ont de renommés que par l’étendue du mal qu’ils/elles causent ? Consternant, n’est-ce pas ?]]. Ainsi, partout dans la culture ils font régner leur règne d’incultes…très vulgaires. Le livre noir de la pub*** sème, à ce sujet, tellement de nausées. Oui, maîtres de l’édition, ils peuvent empêcher qui ils veulent d’être édité (ou dans le meilleur des cas, d’être diffusé normalement)…Nous en reparlerons aussi car c’est une …longue histoire. Mais quoi de neuf ? C’est qu’ils sont COINCÉ.E.S…Les apparences les drapaient, couvraient, eux qui ne survivaient que grâce aux…apparences. Les Gilets jaunes leur ont ôté le rideau…derrière lesquels coulissent les coulisses véridiques. Ils grouillent nus…surtout en ce qui concernent leurs hideuses arrières- pensées. C’est que ce sont eux qui ont fait que « la télé c’est juste pour les annonceurs (les téléspectateurs prétendus interactifs ils passent pire qu’après) ». L’édition c’est POUR les annonceurs aussi – les lecteurs ils s’en tapent complètement, « ils auront ce qu’on leur donne » déraille un d’entre eux, etc. Le show bizz c’est…empêcher tous les talents qui peuvent se faire aimer mais à fond, de pouvoir paraitre. Oui avant d’apparaître faut-il paraître…Bon. Il faut du solide pour progresser plus avant...Nous avons Dol de Philippe Squarzoni et qui le complète très bien, onglet 4, "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» (cliquer sur le site à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/) …Que disent-ils ?
Qu’après ce putsch ils se sont ankylosés, enkystés, figés dans une vie de routines médiocres, et de vulgarités malsaines…sans la moindre créativité. Le génial coup de pied dans la fourmilière nous aura …dénudé un pays IMMOBILISÉ depuis presque 30 ans (sauf 1995 et…2005)…et qui fonctionne ainsi. Les syndicats qui, s’ils commencent une grève ne veulent que la terminer – (alors leur parler de Grève Générale ?) car…les manifestations en …province (sic – mot sans valeur informative) ce n’est que pour avoir des…subventions (tu vas à la manif ouais tu leur rapportes, tu radotes leurs slogans centraux, les mêmes dans toutes les villes tu te rends compte et…les particularités régionales, alors…toutes piétinées par le logiciel barbare, tu leur rapportes encore...en comparatif ! Alors, pour quoi iraient-ils se battre, bingo, pour conserver juste les subventions archaïques – sur nos dos ?)…Paris c’est donc tout pour eux et rien pour nous. Pareil pour Tous les corps intermédiaires, société civile en complète congélation. Ce qui, avec la télé en apex, STOPPE tout un pays en inertie répétitive depuis 30 ans, oui, mon mignon ! Et ? La vie de ces sinistres centraux est…vide, plus qu’ennuyeuse, routines creuses (voir les timides articles genre… A Paris c’est plus jamais la Fête, la vie nocturne c’est que du passé…etc.). Bref, il y a assez de preuves partout. Et nos incroyables Gilets jaunes viennent de se faire (illégalement car ils sont Légitimes puisque, ils sont en vrai, plus nombreux que les votes 1er tour du macronisme), oui de se faire maltraité.e.s si brutalement. Oui, acculés les traîtres éditoriaux, coincés, dans l'angle du ring…ils perdent le sens des mesures…tout est disproportionné : ils te balancent que ce mouvement il n’y a personne…même pas un par manif…c’est donc qu’ils savent les VRAIS chiffres et que leur trouille est à moins zéro. Ils vont tout perdre ! Dans la confusion (la leur, et celle de personne d’autres…) ils te la jouent encore apparences (chiffres truqués mais minables trucages, désinformations absurdes genre c’est qui se font gazer et brutaliser par les flics qui les…agressent…Allons bon, un dessin SVP.)…Donc cette décentralisation massive permet à Argus de surgir…voir de milles yeux à la fois (la vraie pensée qui triomphe de nouveau !)…et débusquer les truqueurs. Les cogner cognitif sur le ring de la vérité.
Ensembles-:-ils-ne-passeront-plus
Résultats ? Pas UN de la culture centralisée ne répond. Pas un des artistes culturellement corrects complices. Pas un parisien (alors que les revendications ne sont pas que la voiture) n’a dressé de barrages – sympathisant oui mais pourquoi pas actifs ? Etc.…la conclusion ne peut claquer que LEURS intérêts ne sont pas du tout ceux du pays Et ? Des analystes des années 1990, finement, détectaient que « Derrière les apparences…ils sont tous unis et poursuivent le même but – se maintenir dans leurs indus privilèges » (dans une Europe si fédéraliste un pays si Anormalement centraliste que la France c’est plus si facile les apparences)…Mais il apparaît que le mot « province" (qui ne voit que de l’œil obscène de Paris) les trahisse tant (et, désormais, à 100 %). Oui le pays est EXCLU de partout (culture, information, argent et politique) -- + tous les biens publics sont « pris en otages » -- ils adorent trop cette expression « donc » elle les définit- Et les Gilets jaunes font remonter tout cela, le saumâtre, l’horrible, l’insoutenable, en vitrine. Oui « leurs » intérêts purement corporatistes, de vils égoïstes qui empêchent le Progrès d’avancer, oui ces arriérés archaïques - (tout ce qu’ils braillaient pour accélérer les illégales privatisations des années 1990) – ou bien en 2005 où Serge July insultait le pays qui « n’avait que le droit rigide dans ses bottes » de voter oui (sinon le pays n’est plus légal…ni réel d’ailleurs…un des vendus écrivants, ivre de parisianisme, disait d’ailleurs «si tu passes pas à la télé, t’es mort »…dans le sens que tu ne vis pas. Comme si les images sont la vraie vie…Et les télés dont il parle c’est juste Paris (ville des ténèbres et de la haine des vrais amoureux)…Mais qu’a à voir la télé avec les livres ? Oui bingo c’est la maffia de la télé qui décide des parutions…Aussi les plus fanatiques contre les Gilets jaunes (donc nous tous du vrai PAYS)…sont à la télé, sont de cette bande…Sont ces coincés, ils sont que des arrières pensées d’archaïques, de ringards, de zombis hideux : indéfendables en pleine lumière…Niqués par eux-mêmes : oui pourquoi n’ont-ils pas gardé leur …distance depuis 5 semaines? Indétectables alors…Trop impliqués, trop proches de ce Tout perdre. Clair ? Voici le Récit qui répond…à tout. Atout partout. Et donc les apparences ? Suis-je étourdi-e. Les apparences les dissimulaient à la réalité…Les Gilets jaunes (même sans le vouloir) les dénudent et les démasquent. Voyons voir les ConSéquences…qui mettront du temps à arriver à la surface. Mais qui vont toutes y parvenir implacablement. L’illégal pouvoir de Paris vient de tomber et les masques et les …légitimités. Car ? L’analyse inaudible (sauf pour les expérimenté.e.s) du « ils sont tous dans la même bande même RN et NPA – ils font « semblant » de s’opposer sur les scènes télés ou radios mais ils sont D’ACCORD entre eux sur tout…oui syndicats et partis c’est pour…empêcher tout ce qui nouveau, indépendant, autonome, décentralisé, appartenant au vrai Pays non à la déchéance Paris de pouvoir se…transmettre immensément (nous avons conté dans nos textes des faits précis qui le…prouvent). Bon le front a changé. Que voulez-vous dire ? Mais paris est Encerclé, complètement cerné par toutes les iniquités et illégalités qu’il a permises, incitées ou couvertes. Il n’a plus d’amis, plus de salut, plus de voie de sortie. Il ne peut que changer…et vite…. Son hibernation de 30 ans le prouve, déjà, très EN RETARD sur le reste du pays. Donc il la ferme, il écoute et il apprend. La nouvelle Constitution ne peut qu’advenir. Le pays est plus fort et plus GRAND (à tous les sens du terme) que lui. Dans le sens où toutes les véridiques élites du futur s’y trouvent désormais…Paris ville-Vichy des infréquentables ! Ce qui n’inclus par les parisien-ne-s qui ne participent en aucun manière de ces racailles des sommets. Mais ne les inclus pas non plus dans la fraternité Gilets jaunes…la méfiance est humaine et peut se comprendre dans ce cas…Oui ou non, ?
……………………Au fait, où voyez-vous encore des Apparences ?
*** Le-Livre-noir-de-la-pub-Quand-la-communication-va-trop-loin.pdf
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Les-gilets-jaunes-salutairement-contre-la-marche-du-monde
Soi-disant il faudrait accepter le monde tel qu’il va ? Mais que les pauvres – puisque ceux qui le disent ne l’acceptent pas du tout pour eux-mêmes. Et pire ? Se délestent de tout le négatif sur le dos des autres (responsabilités, fardeaux, charges)…Ainsi : «Pris dans les tourmentes de ce que Baudrillard appelait le bluff évènementiel, avalés par l’immédiateté de l’information en continu dans lesquels les évènements prennent place sans qu’il ne soit plus possible de vraiment distinguer les protagonistes réels, les causes réelles, les lieux réels, le vrai du faux, de toute action présentée sur écrans, la distance nécessaire à la conceptualisation étant annihilée, tous ont offert un spectacle misérable faisant de cette crise une véritable crise politique post-moderne [[ ils prennent comme argument que l’inefficacité complète de leurs médias, juste capables de répéter en boucle quelques mots autour des mêmes images…une preuve de sa fiabilité inexistantes ]]. Tout ce qui apparaît…clairement c’est que les processus économiques abstraits sont devenus dans les faits, sujets de l’Histoire, nous reléguant nous, individus de chair et d’os, sources de droit de toute communauté, au rang d’objets. Là est l’essence de cet adaptationnisme forcené, cette croyance quasi-religieuse en des processus autonomes, transformés par la grâce d’un Dieu caché en principes absolus à suivre, coûte que coûte. La rhétorique consistant à exhorter le peuple à «s’adapter aux défis du 21e siècle», se fait donc à un prix exorbitant (financier, moral, culturel, environnemental), sans jamais admettre qu’il s’agit de s’adapter à un processus autonome, neutre, technique, froid, mort [[ qui demeure inapte à trouver un seul argument rationnel ]]. C’est une rhétorique de la mort. L’assujettissement n’est pas un projet politique viable ? [[ Ils disposent de trop d’argent, mais leur misère sociale et humaine n’a jamais été aussi gigantesque : ce n’est pas parce qu’ils sont devenus des zombis irresponsables que nous devrions les imiter ]].
Oui, ils se montrent comme acculés dans le coin du ring : cette stratégie de l’élitocratie de cracher à la face du petit peuple, de le charger, de le culpabiliser, pour mieux justifier le déroulement ininterrompu de son projet. Il faudra alors reconnaître que l’alibi écologique fut preuve de grande créativité pour continuer à rendre responsables les individus de situations collectives qu’ils n’ont certainement pas choisies (notamment les conditions collectives de production jamais questionnées, quand la responsabilité du consommateur, elle, est sans cesse pointée du doigt [[ sauf qu’à marteler que le peuple est à ce point Responsable c’est admettre qu’il doive lui être donnés les moyens financiers et institutionnels de ces …responsabilités. Sinon à quoi sert de le dire ? Et s’ils sont traités comme plus responsables que les pouvoirs en place, il semble logique que ces pouvoirs doivent les…suivre ! Coincés de partout : plus un discours ne leur semble possible…Sauf à sortir de ces discours !]]. (…) Cette destitution se manifeste dans l’encastrement de la France dans le Système politico-administratif UE+Euro pour reprendre l’expression d’Emmanuel Todd, évidant petit à petit notre pays de chacune de ses souverainetés [[ sauf que le peuple qui n’a pas à accepter ce discours pour névrosés ne rend rien de sa souveraineté ! ]], c’est à dire non seulement de la maîtrise de son destin mais de ce qui fait qu’effectivement, il est un pays [[ le peuple, seul, demeure Adulte : les lâches dirigeants abandonnent le pays, il n’y a plus que Paris qui existerait. Or, ce « simulacre » n’est pas la réalité, mais une pure chimère irréaliste et que, dans cette configuration, ce sont les Gilets jaunes qui possèdent la Légitimité. Ils maintiennent l’Unité du pays : la preuve ? Dans toutes les Régions, il n’y a jamais eu autant de participant.e.s que ce Dimanche. Le mouvement s’implante définitivement et, oser prétendre que les délires des médias parisiens seraient de l’information, c’est les laisser demeurer dans leurs illusions suicidaires. Car ? Tout reste, cependant, information à qui savent demeurer désintéressés : afin de ne pas afficher le nombre réel du mouvement, les Gilets jaunes sont empêchés de rentrer dans Paris – libres circulations non respectées, alors qu’elles sont la base du libéralisme – qu’il soit appliqué le même partage des faits : le mouvement peut empêcher les parisianistes de sortir. Jusqu’à ce qu’ils admettent et leurs duplicités permanentes et leurs mensonges structurels…A eux, oui, d’admettre ce monde tel qu’il va !]]. C’est à dire non seulement un système politique qui cause ce dont souffrent les Gilets Jaunes mais qui interdirait tous les outils pour sortir de la nasse : dévaluation compétitive, protectionnisme, soutien aux filières… Car un pays qui ne dispose de souveraineté ni budgétaire, ni monétaire, ni commerciale, ne peut être selon l’expression très bien trouvée de Frédéric Farah qu’un Fake State. C’est à dire une entité simulant l’État par des gesticulations incessantes, excitées, obsédées d’user du pouvoir qui reste: la Police et la représentation extérieure [[ la misère factuelle de ces pouvoirs peut nous conduire à comprendre que nous pouvons conserver toute l’ampleur des potentialités. Le fait que la vraie culture soit contre ces pouvoirs est un bon gage pour l’avenir. Et ? C’est depuis que les Gilets jaunes ont commencé à…penser qu’ils font trembler les pouvoirs au point de les contraindre à commettre fautes sur fautes…]].
A vrai dire, l’essence du mouvement des gilets jaunes est exactement ce que Macron nous avait vendu avec En Marche !, un mouvement citoyen, horizontal, décentralisé, au-delà des clivages et de toute détermination politique. Élu par effraction [[en mentant sur tout ]], le Président Macron nous avait littéralement vendu du fake, du faux partout, il n’est donc pas étonnant qu’il récolte le réel, en pleine face, de manière spectaculairement symétrique à ce qu’il avait promis [[ et que le coup des dénis du réel , à quoi se réduisent les médias parisiens, ne fonctionnent plus. Impossible de prendre leurs simulacres et blablas pour la réalité. Puisque ?]]. Car c’est bien ce qui est absolument remarquable avec ce mouvement, il est réel, concret et pragmatique (trois mots souvent utilisés par la majorité et visant à vide ce qu’ils tentent de signifier, sans le pouvoir – vu qu’ils sont irréalistes, abstraits, et ne connaissant rien à la réalité du pays…entier !]], quand le gouvernement apparaît pour ce qu’il est : abstrait, technocratique et idéaliste [[ ils tremblent en opposant ce qui devrait être à ce qu’il font et disent réellement…tout en accusant, paranoïaquement, leurs opposants mérités de montrer de la mauvaise volonté à ne pas…faire leurs caprices. Alors que de mauvaises volontés il n’y a qu’eux qui en ont débordé : un responsable de respons veut dire qui…doit répondre de lui-même. Ce qui a largement manqué à qui croyaient qu’en balançant des simulacres tout pourrait continuer. Non, nous sommes dans le dur du réel, et ils ne savent pas gérer la réalité. Donc le pays. Les apparences reculent partout…et le constat implacable que les faux puissants ne survivent qu’en niant et reniant la réalité étale partout…leurs maladies ! Exemple ? Après n’avoir pas répondu …il est pondu de maigres abstractions qui «ne répondent pas » aux revendications. Et ? Comme argument puéril pour la cessation de tout mouvement il est déliré « il a été répondu » (oui mais quoi ? Un simulacre ! Si la réponse n’est vraiment pas adéquate c’est aux destinataires de le dire). Et donc ? ILS PARLENT A LA PLACE DES HUMAINS…voulant qu’ils acceptent, ce qu’ils ne voudraient pas accepter pour eux mêmes….et ainsi entrent dans l’Irréalité comme seul chemin. Dénier le réel, pour ces graves attardés, serait l’empêcher : aussi leurs relations sociales ne sont que des leurres, des simulacres…Grave ? Oui, car au contraire c’est le faire surgir plus fort, encore. Leurs incapacités dramatiques à l’Humanité doivent être reconnues et les fonctions qui impliquent des contacts avec des humain.e.s doivent être retirées de leurs mains si incompétentes ! Ce qui ne va pas avec eux ? C’est qu’ils ne savent traiter les humains que comme des objets, ce qui dénonce vraiment une incapacité complète à reconnaître…la réalité. Les humains sont réels ce sont leurs rapports avec eux qui ne sont pas…réalistes !]].
Comment-je-n'aide-jamais-la-pression-sociale
Jean Vioulac dès les premières pages de son ouvrage « Approches de la Criticité », en nous rappelant qu’il n’est pas une donnée naturelle. «Le peuple est une institution, résultat politique de sa constitution par l’Armée, le Droit, l’École, la Culture», tout autant d’instances dégradées par la postmodernité (Maastricht, financiarisation des dettes souveraines, destruction de l’école, affaiblissement de l’armée et de la police, commandement cybernétique et montée en puissance de l’IA) [[ alors que la post-modernité n’est qu’une incapacité à vivre la réalité. En prenant des simulacres pour le concret ou à…croire que les images sont plus réelles que la réalité. Alors qu’elles la…représentent. Mais ne la présentent jamais. Cette corruption morale et intellectuelle peut disparaître, reste réversible. Elle n’est qu’obstacle à la santé mentale…et selon le constat l’aliénation au réel est Maximale au sommet…nous avons assez de prétendus dirigeants complètement hors des réalités, ce n’est pas la peine de les imiter. Les dessaisir ramènera la santé collective au centre de la vie sociale !]]. Si l’on démantèle ces structures constitutives des peuples, ce sont les peuples eux-mêmes qui sont destitués au rang de population dont il faudra alors gérer les moyens de subsistance, comme un troupeau, nous dit le philosophe. L’on pourrait alors, face aux violences et aux profanations perpétrées, invoquer « les valeurs de la République » comme on invoquerait l’esprit des ancêtres. »…Sauf que les prétendus dirigeants ont trop donné dans ces …irrationalités depuis 5 semaines ! Pas une fois nous ne les avons vu « dans « la réalité. Ils planent – il faut atterrir ! Avec ou sans eux…
Quand-les-états-de-l'union-européenne-souhaitent-sous-traiter-la-censure-aux-géants-du-web
« De la contestation à la sédition… jusqu’au terrorisme : le poids des mots, le choc de la censure ! Sans vouloir jouer les oiseaux de mauvais augure, quand le ministre de l’Intérieur dénonce faussement « les séditieux » parmi les gilets jaunes, on peut s’inquiéter fortement sur l’usage futur et dévoyé qui pourrait être fait par la gouvernance actuelle (et d’autres) d’une telle loi. Les mots ont un sens, et les mots ne sont pas innocents ! Ils le sont d’autant moins lorsque l’on est aux responsabilités. Je rappelle donc qu’une sédition « est une forme d’émeute face à un pouvoir ou une autorité établie, dont le but ne serait pas uniquement de renverser les détenteurs d’une puissance, mais de rompre définitivement tout lien avec ce système »…. » Le très grave problème collectif que nous avons est que ces technocrates inhumains et hors réel ne connaissent (non plus) rien au langage et à son sens ! Ce sont comme des êtres immatures et mal formés auxquels nous devons sans cesse…réapprendre les bases de la vie !
Gilets-jaunes-la-sémiologie-leur-donne-tellement raison
« Le mouvement des ««gilets jaunes»» aurait-il été tout autre chose si les chaînes d’information en continu l’avait traité différemment? [[ disons que dans tous mes sens du terme il a été mal traité. Son sens est donc inaccessible aux attardés qui prétendent avoir le monopole du sens !]]. La question revient certes à se demander si l’élan aurait été si massif et durable, mais aussi et surtout si le mouvement aurait pu se donner à voir autrement, notamment comme porteur d’un discours et non uniquement d’un sentiment – en l’occurrence, la colère [ leur succès est donc entièrement de la faute des médias incompétents – ce sont eux qui auraient dus être gazés et bousculés par les Crs…ils n’ont fait que des dégâts !]].
La façon dont l’actualité en général et la crise des «gilets jaunes» en particulier sont traitées par les chaînes d'information en continu est connue et fait l’objet de nombreux décorticages critiques: priorité au direct –c’est devenu un slogan déposé–, gros plans sur le pire, commentaires à chaud mais définitifs, et autres débats de «sensibilités» [[ où jamais n’apparaît la moindre autocritique ou correction – qui n’usent pas du feedback pour « vérifier » leurs assertions peuvent virer aux fauteurs de troubles…ce qu’ont commis ces médias psychorigides et qui ne connaissant pas…les réalités – circonstance aggravante ! ]]. Pour penser ce qui guide ces choix formels, il est assez décapant de les comparer à une proposition d’interprétation de «l’art vocal bourgeois» formulée par Roland Barthes dans ses fameuses Mythologies. Les décisions esthétiques que le sémiologue explicite –il parle alors d’un baryton– se fondent sur un modèle critique pouvant être adapté à toute volonté de mise en forme sentimentaliste d’une narration, qu’elle soit fictionnelle ou non. Ce que Barthes reproche au chanteur d’opéra, c’est son art «essentiellement signalétique», qui «n’a de cesse d’imposer non l’émotion, mais les signes de l’émotion» [[ une fois de plus, ce sont les simulacres sans issue qui sont préférés à la réalité…oui, à force de vouloir infantiliser tout le monde ce sont ces présentateurs/trices qui paraissent, désormais,…infantiles. Jamais la bonne hauteur ! Aucune épaisseur humaine…toujours décalés et jamais présents ici et maintenant…]].
Ce processus qui revient à «mâcher le travail et surindiquer l’intention» au détriment «de la description», cette «intimidation par le détail», Roland Barthes finit par l’appeler «pointillisme». Un pointillisme qui serait «à l’opposé du réalisme, puisque le réalisme suppose une typification, c’est-à-dire une présence de la structure, et donc de la durée». Que fait la chaîne info la plus regardée de France, si ce n’est «surindiquer»? [[ oui, sauf que ces êtres capricieux et superficiels avaient l’habitude d’accuser les autres (surtout ceux qui ne peuvent pas…répondre) – or, ce sont eux/elles qui sont désormais Accusés…que ces simulacres laissent donc la place à de …vrais humains !]]. Et alors que l'on est en droit d’attendre des chaînes info qu’elles fassent preuve de réalisme, force est de constater que leurs choix formels correspondent plutôt au pointillisme du baryton de Roland Barthes [[ tout comme les politiciens vendus que ne sont plus que dans les dénis du réels ces médias gangrenés (à force de mentir) renient sans cesse la réalité. Lunatiques achevés…Disons que l’information sans réalisme nous n’en voulons plus. Le putsch des présentateurs télés (rappelons contre les penseurs et les vrais écrivains) se termine dans le plus grand des ridicules jamais perçu !]]. Lorsque les caméras de BFMTV restent focalisées sur les violences parisiennes alors que les «gilets jaunes» manifestent dans la France entière –la plupart du temps sans débordements–, lorsque le large bandeau rappelle en majuscules que nous sommes en train de voir des «VIOLENCES À PARIS», lorsque les commentateurs répètent radotent en boucle, parfois des heures durant, que nous sommes en train d’assister à des violences [[ mais sans jamais préciser que les abus de violences sont à 98 % …policières ]] qui s’inscrivent dans la continuité des manifestations des «gilets jaunes», que fait la chaîne info la plus regardée de France, si ce n’est «surindiquer»? [[ clair, ce ne sont que des robots…qui désinforment à 99 %. Faire passer 1 % du réel, paris, pour 100 % ne peut que détruire le sens des réalités en qui s’effondrent dans de telles bassesses !]].
Surindiquer quoi? Si l’on continue de se référer à Barthes, le processus «d’intimidation par le détail» appuie très clairement sur le sentiment de peur –ou plus exactement, sur «les signes» de la peur: une voiture qui brûle, un commentaire catastrophé, une «édition spéciale», un débat houleux. Dans cet amas de détails arbitrairement [[ ce qui est inexcusable chez qui ose qu’il/elle…informe !]] sélectionnés selon une logique purement concurrentielle, on notera que l’ambition –le devoir?– de réalisme a complètement été abandonné [[ genre, moi, journaliste, je m’en fous de mentir, parce que vous n’avez pas les moyens….logistiques de répondre. Or c’est stagner dans une drogue d’irréalité – en effet, ce n’est pas parce que sur cette « scène-studio » vous « paraissez » avoir raison que l’influence de tant d’agitations désordonnées va rester …partout, ailleurs, et dans le futur. Au contraire, l’impact de qui semble surligner « je mens mais vous ne pouvez pas le prouver là tout de suite »…se retourne contre EUX. Les médias ont…tout fait pour…se discréditer. Opération réussie !]] L'accumulation de signes ne peut demeurer sans effet, puisque le sujet traité est censé s’inscrire dans un long terme dépendant de la façon dont il apparaît aux yeux du grand public. Ces effets peuvent se résumer en un mouvement paradoxal: on explique d'un côté que le mouvement des «gilets jaunes» mène à la violence, tout en démontrant de l’autre que la violence leur assurera un traitement attentif et à grande échelle, contrairement aux initiatives moins physiques. Dès lors, comment le mouvement peut-il évoluer, s’il veut médiatiquement durer? La question est évidemment rhétorique. » …
Les médias ont donc trop menti et un avocat libre et indépendant pourrait en faire aller un bon nombre en…prison ferme pour incitations hystériques aux violences – (les preuves sont dans les écrans)…
Comme ce blog s’évertue à le maintenir : la santé mentale c’est de ne conserver en soi…
…Rien de ces clairs détraqué.e.s des pouvoirs.
………………………………Il y a assez de vrais humains pour les remplacer !
…….………….…(à suivre)
…… ……….……………......%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la grande lucidité collective nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 900 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
En couverture : Rafael Alvarez...La soit disant prééminence comptable de la réalité sur les apparences n’est plus du tout respectée par la très grave corruption qu’est le libéralisme…
Les apparences sont devenues un danger antisocial ? - Le blog de imagiter.over-blog.com
Le poids des apparences ; victimes des apparences ; jugés selon les seules apparences ; les tabous des apparences ; la tyrannie des apparences ou même la contrainte des apparences : tout un langage
http://www.imagiter.fr/2016/10/les-apparences-sont-devenues-un-danger-antisocial.html
« Une société de marché s'installe, chaque jour davantage. Pour certains, la publicité garantit la liberté démocratique puisqu'elle permet au consommateur de mieux choisir. Mais qu'en penser lorsqu'elle vise nos enfants, sans rencontrer d'opposition, jusque dans les écoles ; lorsqu'elle fait croire à des maladies pour faire acheter des médicaments ; lorsqu'elle se glisse insidieusement dans les services publics ou la politique ; lorsqu'elle nous impose une vision du monde que nous n'avons pas choisie ? Censure, autocensure, tabous, interdits, manipulations, pressions... Chaque individu est exposé en moyenne à plus de mille messages commerciaux par semaine. II est temps de prendre la mesure du matraquage qui nous rend apathiques. Cet ouvrage met en lumière la réalité souterraine de la publicité grâce à des enquêtes effectuées dans cet univers à la fois fascinant et tentaculaire, soutenu par de puissants réseaux. La pub est là, elle fait partie de nos sociétés, obligeons-la à tomber le masque. » …Fait !
“L’espace médiatique aujourd’hui représente l’opinion d’à peine un quart (25 %) des Français »…et les Gilets jaunes plutôt les trois quarts (75 %) d’opinions du pays !
Simon Puech : "Notre société est déjà morte."
Martial Bouilliol, publicitaire, a conseillé pendant 30 ans les grandes marques du CAC 40 et les patrons stars
Vivons-nous dans une simulation ? - La simulation par Baudrillard
Les apparences vénéneuses ? N’est donné qu’à qui n’a pas vraiment besoin et rien à qui en est si nécessiteux…
Frédéric Farah, coauteur avec Thomas Porchet d'une Introduction inquiète à la «Macron-économie » qui n’est qu’un…simulacre…et nous subissons toutes et tous cela ! Soit les effets d’un fake état, d’un état qui dit tout faux ?…
Jean Baudrillard La violence faite aux images…la 3ème violence soit celles des…médias ! Les apparences sont contre la réalité. La réalité est trop vaste, elle contient tout même les petites apparences. Aussi, ces apparences peuvent faire « croire » presque n’importe quoi mais uniquement à qui veut croire. Les apparences c’est juste assez bon pour les fainéants en costards-cravates…
TweetMatthieu Kassovitz, "comédien-réalisateur engagé", est l'un des premiers à avoir sifflé la fin de la récré. S'adressant à l'ex-candidat du NPA, Philippe Poutou, par ailleurs ouvrier d'...
Matthieu Kassovitz, “comédien-réalisateur engagé”, est l’un des premiers à avoir sifflé la fin de la récré. S’adressant à l’ex-candidat du NPA, Philippe Poutou, par ailleurs ouvrier d’une usine que ses actionnaires ont décidé de bazarder après avoir touché toutes les aides publiques possibles, il a appelé les gilets jaunes à ne pas demander “2500 balles et une Mercedes”. Il faut bien avoir en tête que Kassovitz n’est pas seulement un excité du tweet, c’est aussi un grand bourgeois. Ce mec, qui payait certainement l’ISF et a donc reçu, grâce à Macron, des dizaines de milliers d’euros de ristourne, a évolué comme tous ses semblables face aux gilets jaunes : au début tout attendris, les bourgeois ont salué sur le mode…paternaliste la mobilisation, tout content qu’une alternative émerge face aux affreux gauchistes qu’ils abhorrent. Ils saluaient la dimension “apolitique” du mouvement, content de pouvoir s’y associer sans se compromettre idéologiquement. » Le tout dans des Tromperies permanentes …Sauf qu’ils/elles sont tous au pied du mur. Désormais !
Gilets jaunes acte V : objectif atteint... en route vers l'acte VI
Les médias ne manquent pas de gloser sur le plus faible effectif de manifestants sur Paris pour cet acte V. Mais tant que les policiers aideront les Gilets jaunes à verrouiller la capitale (avant...
https://yetiblog.org/gilets-jaunes-acte-v-objectif-atteint-en-route-vers-lacte-vi/
Manifestations vraiment… records dans les Régions…mais…pas un mot. Pour Paris : « Il fallait de la constance pour venir manifester en gilets jaunes au centre de Paris en ce samedi 15 décembre : métro et RER bloqués en direction du centre de Paris ; manifestants retenus aux portes de la capitale, nassés place de l’Opéra et à la sortie des gares comme Saint-Lazare ; trains bloqués ; autoroutes fermées « par précaution » ! ». Car ? L’aveu est simple la France c’est juste Paris, le reste il n’en est(en général) pas parlé. La vision bassement comptable des humains affaiblit ainsi « leur » futur (Paris restera encerclé de tout le Pays !) et les naïvetés des pouvoirs doivent stagner dans toujours les mêmes mots. Les stratégies ne peuvent que gagner à changer…Genre Paris passe après, et bien après…