Les fêtes ne sont pas commerciales

Elles empêchent même la véritable Fête de commencer. Le cœur en fête, nous connaissons bien, et ce n’est pas la société spectaculaire-marchande qui peut nous mettre le cœur en fête…Comme herse commerce ? Ce château-fort, gueules de prisons et barreaux de publicités, nous enferme, nous emprisonne plutôt…nous devons, alors, prendre la direction directe de l’émancipation… Audit du commerce bien trop envahissant ? Commerce comme quoi au fond ? Le caméléon de l’imitation, du simulacre, du copiage mimétique, du déguisement – du camouflage comme commerce se fond dans ce qui n’est pas lui. Et de se confondre dans les formes de l’autre, ce qui pointent vers…se fondre c’est fond, le fond…Ici, il se déguise en ce qu’il n’est surtout pas : la Fête ! Ce qui avoue, coups de cymbales, qu’ils ont Besoin de nous et nous pas d’eux…ils nous volent nos libidos, nos métabolismes et nos érotismes afin de nous fourguer des marchandises (ce que les marchands disent) de toujours (donc) seconde main. Rien de nouveau, rien de frais. Sans nous ils ne pourraient plus rien nous vendre ou devraient changer et changer à 100 %...

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De voir le commerce qui séquestre entièrement les fêtes avec un envahissement qui dépasse toutes les limites de la décence – il nous faut reprendre les choses en mains. L'occupation abusive de nos intimités festives ne repose sur aucun argument rationnel :

1 -Tant de tapage (actuellement cela peut déborder sur 2 mois plein) pour les achats d'un seul jour c'est au-delà de toutes les rationalités économiques : le gaspillage de temps volé se montre tel une exagération improductive (y passer autant de temps gavé ne modifie pas, significativement, le volume d'achat) doublée d'un manque de respect évident (les juristes rattachent ces pratiques à du harcèlement économique, de l'abus de faiblesse, du vacarme commercial, etc.) – comme ils ne savent pas se conduire, des limites doivent leur être imposées…

2 - C'est vraiment prendre les individus pour des crétins, à leur rappeler sans cesse qu'il y a date et de soi-disant cadeaux (ces commerces n'alignent que du chiffre d'affaires) à impérativement faire. C'est un ordre et vous êtes dans la caserne du capitalisme. Votre choix c'est de n'en avoir aucun ( pareil pour les élections truquées qui méritent bien, pour cela, une révolution…), nous vous prenons en otages, encerclés d'ébriété publicitaire, de maniaqueries uniques (toujours le même clou, vous n'avez pas le droit de dériver de l'ordre central achetez achetez achetez achetez achetez achetez…). Trouvez- vous, loyalement, que "cela se fait" ?

3 – Le commerce monopoliste de nos vies ; eh bien !, il ne fête rien de sacré -  à part leur propre fonctionnement pervers et fétichiste : leur exercice exorbitant du droit commun, leur occupation abusive du domaine public, leurs agressions lumineuses, leur prise en otage de nos sens, leur non respect de l'intimité sensorielle, etc. – pratiques qui sont toujours violemment refusés aux autres citoyens. Pourquoi seraient-ils une classe à part ? Pourraient- ils, alors, nous prouver leur supériorité ? A quoi servent de tels privilèges ? Ils arrivent à croire que la pub c’est une classe Supérieure ! Des dingos, oui !

4 - L'air de manque de sérieux complet qui recouvre cette période discrédite tout leur soubassement philosophique : le commerce ne doit, en aucune façon, diriger le monde…il ne voit les humains à non respecter que sous des formes primaires, simplistes, ahumaines : d'achat toujours sans choix sur l'option d'une société du…non achat permanent…Partout l’arme vacarme ! Partout des illégalités ! Au lieu de faire des fêtes en rationalité et en adultes : possibilités agrandies et discrètes de choix pour les enfants, catalogues, internet, etc…chacun-e, sans tapage particulier, pourrait offrir le mieux aux enfants. Aimés donc protégés des invasions sans gênes et des tapages nocturnes et diurnes commerciaux. LA MAUVAISE IMPRESSION QU'ILS NOUS FORCENT LA MAIN. Sinon, les lieux publics et privés (avec leur accord) pourraient voir le domaine public s'ouvrir à des fêtes spontanées, à des espaces de fêtes sociales permanentes (et transposables en tous lieux ) et autres ouvertures vers le futur. Voir nos posts à ce sujet sous la rubrique "solutions à notre portée"…

5 - Enfin, le motif ultime (faire des cadeaux aux enfants) n'est pas recevable : nous aimons nos enfants, ils n'ont pas à nous les enlever sous nos yeux, à les prendre, irrespectueusement, en otages dans les "écoles de l'argent" et ne nous les rendre, après une invasion troublée de chaque seconde de nos vies, pour recommencer sans cesse ces dégradations de l'humain…

>>>> *** -- Nous préférons nous occuper…nous-mêmes de la prise de cadeaux. Les moyens publicitaires sont déjà trop intrusifs, inutile d'en rajouter une louche…L'attention et l'amour valent plus que les objets. Nous refusons de laisser la propagande capitaliste jouer au cheval de Troie de "leur" cadeau (eux qui n'en font jamais ou en trompes l'œil si déloyaux) pour distiller leurs poisons dans les jeunes têtes. Les pauvres sont réputés bien plus généreux que le trop riches si racornis – ce n'est sûrement pas un problème d'avarice – mais de respect des autres…Proposer n'est pas disposer !!!

Aussi - Nous ne voulons plus de fêtes sociales souillées par l'extravagance capitaliste…nous sommes la vraie majorité, majorité énorme et plus silencieuse, et clamons que de telles pratiques

…discréditent, définitivement, sur le fond, le capitalisme qui…

…………….ne veut que forcer les mains ! Obliger, contraindre les achats…

………………………Jusqu'au prévisible dégoût – qui déboule maintenant !!! 

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Les-fêtes-ne-leur-appartiennent-pas-1/2

>>>> -  Les fêtes, les fêtes, nous savons mieux faire les fêtes qu’eux ! Nous aspirons même à la Fête sociale mondiale permanente ! Nous n’allons donc plus que célébrer toutes celles et tous ceux que le scandaleux capitalisme se permet…d’exclure. En effet, que voyons-nous ? Les trop riches écraser et faire souffrir les pauvres par l’abus d’abondances unilatérales (tout pour eux et rien pour les autres)…soit le vain triomphe des corruptions, des patrimoines frauduleux, des lois si peu légales, des richesses illégitimes, de l’insensibilité des incultes au pouvoir, de leurs grimaces plus que frelatées. Soit tout le contraire de la Fête, fête de partages, de potlachs  et de dons non achetés.

******* -– Nous affirmons, dés l’abord, que les pauvres méritent infiniment plus d’éloges que les trop riches. Déjà ils ne sont assistés de personne (alors que les riches se perçoivent comme de perpétuels mendiants structurels), ne réclament qu’aux 2/3 leurs droits légaux alors que le riche c’est aux 10/3 (ou plus) qu’il ne cesse de réclamer ses non-droits. Ensuite ils paient tout AU PRIX FORT, puisque « cela coûte toujours plus cher d’être pauvre », tandis que le riche se démasque à n’être qu’un parasite fiscal (il fait payer « ses » impôts par les autres), un déserteur de la réPublique, un si lâche des partages,  un fraudeur permanent qui ne mérite pas vraiment du festif. Donc ? Dans le moment actuel, le pauvre est « supérieur » au riche qui ne vaut pas grand chose…tellement il s’abaisse à toujours plus d’abaissements. Pas de fêtes pour ces fraudeurs de l’hospitalité des cœurs.

***  -– « Leurs » fêtes ne sont pas dignes. Et en rien…Ainsi, les comportements indignes des pouvoirs et de leurs médias, envers les SDF (alors que pas de pires mendiants que les trop riches, toujours à spolier l’argent public, à vivre en parasites sur les biens publics) ne méritent surtout aucune fête. Les SDF reçoivent eux tout le partage des sentiments…Qu’ont-ils/elles donc fait de toutes les fêtes absentes de la Fraternité/Sororité ?

Les-fêtes-trop-obligatoires

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 « L'agitation actuelle rebat les cartes de la politique. La démocratie est nue, et ses simulacres dévoilés. Pour faire avaler la pilule de la destruction économique et sociale en cours, les médias ont pour ordre de nous distraire, de faire la fête mais sans la Fête, et si cela n'est pas possible de discréditer systématiquement tout ce qui n'a pas le label "conforme à la plouctocratie". Les politiques aux ordres ne savent que faire, demandent des têtes, interdisent, négocient, emprisonnent, font des concessions futiles, reviennent sur leurs décisions, se taisent, communiquent, s'emberlificotent, dénoncent, bloquent les Champs Élysée, bloquent Versailles, débloquent bloquent, envoient des casseurs pour les discréditer, disent qu'il ne se passe rien, disent que c'est du terrorisme, disent que leur présence a eu lieu et que tout doit cesser immédiatement, redisent que c’est un mouvement dangereux, disent que ceci, disent que cela [[ sauf qu’ils/elles ne sont pas capables d’imaginer que la Fête fabuleuse existe bien, celle qui remet toutes les pendules à l’heure !]].

Un-tournant-dans-la-démocratie

Face aux répressions quasi-militaires, les GJ ont suivi la bonne stratégie, la fluidité, montrant par la même occasion l'absurdité de nos gouvernants, et le déni de démocratie impliqué par leurs actions absurdes, allant jusqu'à emprisonner les opposants au régime, comme dans une bonne dictature qu'ils feignent de dénoncer lorsqu'elle n'est pas estampillée "conforme oligarchie", Urbi et Orban. Fluidité du mouvement en lui-même, fluidité des actions, fluidité des déplacements, qui a contrario stoppe celle du système, fluidité des revendications, fluidité de la pensée. Face à cette fluidité, le gouvernement, le système, l’oligarchie, semblent déjà figés dans leur monde d’avant. Les GJ sont une joie pour la démocratie, redonnent confiance à l'humanité et au peuple Français qui sait se révolter dans l'adversité. »…Elles/Ils mettent le, les cœurs en fête. Ils sont la Fête gorgée de tous les cadeaux sociaux, instituant, constituant et…restituant ! Oui, nous sentons que leur vent du large, nous sentons que leur grande marée, nous sentons que leur salubrité salée, chargée de l’histoire de tout le pays permet, en une seconde, là-maintenant…

……………………………Que la Fête infinie commence !

>>>> - Alain Caillé et le don « oublié » (Pauline Porro, Le 20/12/2018). Et si survivre à l'effondrement nécessitait de passer par l'entraide ? Loin de se limiter à de belles valeurs utopiques, la coopération et la solidarité pourraient s'avérer des plus efficaces dans un contexte de grande débâcle. L'approche sociologique et anthropologique d'Alain Caillé permet de nous éclairer sur cette idée contre-intuitive. La crise morale que traversent nos sociétés, qui serait en partie responsable de l’effondrement à venir, serait-elle une crise de cette logique du don ?

** A.C. - Toutes les relations au sein de la socialité primaire, parmi la famille ou les amis, fonctionnent toujours sur la triple obligation de «donner, recevoir et rendre» [[ la stupidité capitaliste étant prendre, ne jamais rendre, ne jamais recevoir et pourrir dans l’inhumanité – par terrible comme refus hyper vulgaire du Progrès collectif !]]. Il faut que les dons circulent [[ si plus personne ne Donne, il n’y plus de société du tout. Si tout le monde prend, où y aurait-il quelque chose à prendre – le capitalisme est la pire des barbarie antisociale – la destruction de la civilisation par des fous en costards-cravates doit cesser ! Ces casseurs au pouvoir doivent tous aller en prison !]]. C’est en cela que vous montrez non seulement à vos proches qu’ils ont de la valeur, mais que vous aussi avez votre valeur propre.[[ Aucun.e perdant.e donc dans la grande civilisation du don qui chasse la grave arriération nihiliste du profit !]] Le don reste l’opérateur de socialité par excellence. Dans le cadre de la socialité secondaire, au sein d’entreprises ou d’administrations par exemple, les fonctions importent plus que les personnes. Ma thèse est que, même au sein des sociétés contemporaines, dans la socialité primaire, la norme demeure celle du don. Mais plus la socialité secondaire se répand, avec ses exigences d’efficacité fonctionnelle impersonnelles, moins les relations de don ont d’importance.[[ et nous venons de vérifier que si personne ne donne, il n’y a plus rien à prendre – au sens fort des mots, le capitalisme libéral est bien une arriération mentale et ses zélateurs juste des d’absurdes puceaux des sentiments !]].

Alain-Caillé-le-don-est-plus-futur-que-la-niaiserie-du-profit

Par ailleurs, le don agit également comme opérateur politique. Une communauté politique est une communauté de don [[ ce pourquoi le néolibéralisme inculte ne peut que provoquer une révolution complète !]]: on y reconnaît les personnes à qui l’on doit donner quelque chose ou de qui l’on peut recevoir quelque chose [[ par exemple, le pillage abruti de la fonction de vrai écrivain et de penseur par l’illégal gang des présentateurs télés laisse en berne cette heureuse faculté d’avoir besoin de recevoir, etc.]] – ce qui inclut les ancêtres et les descendants. Se pose alors la question de l’échelle : famille, village, région, nation, continent ? L’un des problèmes actuels est que le capitalisme rentier et spéculatif se moque totalement des communautés de dons pour ne s’appuyer que sur des individus calculateurs – Homo œconomicus –, dont la seule fonction est de maximiser [[or tout le monde ne peut maximiser, il faut bien que des humains prennent soin des autres, « pensent » à eux, se préoccupent vraiment d’eux, les protègent – sans intérêt général les arriérés « calculateurs » ne peuvent tout simplement pas survivre – nous ne devons plus jamais laisser les Hors réel faire semblant de diriger le monde, alors que ce n’est que pour le dévaliser. Trop bêtement !]], leur utilité sur le marché. Ce capitalisme globalisé, par nature, détruit toutes les formes communautaires [[ donc n’est qu’un fou barbare qu’il faut stopper. Et un des évènements humains qui le déstabilise le plus c’est justement la Fête, la fête des sentiments, la fête des émotions, la fête de l’humain, des parages…Enfêtons-nous à fond !]].

Certains anthropologues, tels que Marshall Sahlins, ont observé que des comportements solidaires ou individualistes étaient activés selon le degré d’abondance ou de disette. Un constat partagé par Pablo Servigne et Gauthier Chapelle. Comment créer les conditions d’émergence de comportements d’entraide dans un contexte d’effondrement ? N’est-ce pas le combat qu’il faudrait dès lors mener – celui des structures permettant à l’humain de se montrer plus coopératif et solidaire ?>>>> A.C. - Si, c’est toute la question, et c’est une question politique. Qu’est-ce qui crée des groupes humains relativement stables ? Il faut ici relier le don agonistique à la question politique. Le don agonistique transforme les ennemis en alliés et crée un espace politique relativement stable. Cela passe par un défi de générosité (Juste génial) : si l’ennemi relève le défi, alors on peut devenir ami avec lui. Une fois la communauté stabilisée, on coopère. C’est un mécanisme à double détente, que j’appelle « l’inconditionnalité conditionnelle ». Dans le premier geste, on donne inconditionnellement, et cette partie est fondamentale pour attester du pari de confiance. Libre à l’autre d’accepter ou de refuser. Si chacun coopère, tout le monde est gagnant, et là, on peut commencer à faire les comptes, et on entre dans le registre de la conditionnalité [[ ce que ne fait jamais le grave détraquement mental nommé libéralisme envers les trop riches : il leur donne Tout mais sans garanties, sans aucune condition à remplir…ce qui se nomme fabriquer des monstres ! Stopper cette folie c’est vraiment rendre service à tout le monde…Or qui restent généreux génèrent, qui donnent avant tout sait COMMENT arrêter la monstruosité anti-politique actuelle !]] C’est ainsi que l’on fédère le groupe, qu’il s’agisse d’une famille, d’une coopérative agricole ou de l’État [[ mais les principes minimum à connaître dès maintenant ?]].

…**** (4) - Il y a tout d’abord un principe de commune humanité et de non discrimination entre les humains ; un principe de commune socialité énonçant que la principale richesse des humains est le rapport social [[ le non usage actuel de l’immense richesse du social laisse entrevoir que quasiment tous les faux problèmes de l’absurdité capitaliste sont déjà résolus à l’avance…]] ; la légitime individuation, autrement dit le fait que les humains désirent non seulement être reconnus pour la valeur du don qu’ils font, mais aussi en tant que personne singulière ; et le principe d’opposition maîtrisée et créatrice – le conflit est légitime et désirable aussi longtemps qu’il est maîtrisé et qu’il reste producteur de socialité. Notre conviction, c’est que les valeurs portées par le convivialisme n’auront de sens que si se crée un mouvement d’opinion mondial. Si l’on ne se réfère pas à une conscience collective de l’humanité, nous n’arriverons à rien du tout [[ ce pourquoi simplifier les étapes et tout concrétiser se fera par une marche autour du monde où tous les peuples rencontreront tous les peuples mais dans le but de…fonder l’Humanité en actes. Humanité unité intégrale et intégrante…Et par la Fête la plus gigantesque jamais vue qui l’exultera…!]].

Vous citez dans la préface de l’Entraide, une phrase de David S. Wilson et Edward O. Wilson : « L’égoïsme supplante l’altruisme au sein des groupes et les groupes altruistes supplantent les groupes égoïstes.» Dans une humanité aux prises avec des ressources limitées, ainsi que nous l’annoncent les collapsologues, n’y a-t-il pas un risque de fragmentation extrême du corps social et de capture des ressources par un groupe altruiste entre ses différents membres, les plus riches par exemple ? – A.C. - C’est très important de faire la part entre les motifs égoïstes et altruistes. Il ne faut pas diaboliser la rivalité, sinon on plaide pour un altruisme radical qui peut être très vite autodestructeur et ne sera de toute façon jamais réalisé. L’altruisme du groupe peut se révéler prédateur pour les autres groupes humains et, à l’intérieur, on peut voir un égoïste capturer les richesses du groupe.

Il ne faut pas s’enfermer dans un discours centré sur la coopération, mais composer plutôt avec la double polarité des êtres humains : la polarité entre intérêt pour soi et pour autrui [[ ce que commencent à faire émerger les Gilets jaunes : c’est l’intérêt de toutes et tous de stopper le capitalisme sans issue…mais il faut laisser la spontanéité tâtonner vers le que mettre à la place. Les humains ne sont pas des robots, des matériaux inertes à monter en kit, des automates dont il suffit de remonter la clé…  mais le Découvrir ensemble toutes ces solutions raccourcit tout le nombre de conflits nécessaires…]] – les deux étant légitimes –, et celle entre obligation et liberté qu’évoque Marcel Mauss. Les humains oscillent entre ces 4 mobiles. Le problème de l’humanité, c’est de faire droit à ces 4 mobiles de manière équilibrée [[ et le cercle vertueux l’est par le carré qui l’anime !]]. Concernant l’entraide, la coopération est féconde lorsqu’elle équiLibre ces 4 pôles. Lorsque chacun y trouve son compte, et qu’en étant serviable vis-à-vis des autres, on trouve son propre intérêt, tout en s’acquittant d’une obligation morale. Dans ce cadre-là, on peut exercer sa liberté [[ ici, manque le lien avec qu’est ce qui fait tant défaut aux débats politiques actuels ? Et que les gilets jaunes avec leur « plus rien désormais sans nous » ont mis à ébullition ? Et que nous pensons être les plus proches de le comprendre : puisque notre blog est basé sur le principe : de ne pas abandonner l’exigence de raisonner à fond, celle de conserver la qualité scientifique et de devoir prouver tout ce qui est avancé, bref de l’excellence mentale MAIS en concentrant tous nos efforts à tenter de tout faire comprendre aux exclu.e.s des débats, à celles/ceux décrétés trop cons pour capter, etc (soit les gilets jaunes que nous ne pouvions pas prévoir, seulement pressentir !). Et que nous semblons avoir entièrement rencontré (tête et coeur à la fois) en tant que mouvement qui inclut et n’exclut que ce qui n’a que l’un sans l’autre. En effet, ce mouvement promis à un avenir collectif renouvelable, possède une volonté indomptable (comme nous) et des méthodes introuvables ailleurs (ici, ne passe pas qui n’a  pas à la fois tête ET cœur – l’un ne pouvant se passer de l’autre pour toutes les solutions pour toutes et tous ! Pile dans le mille ! Et…ensuite…]].

« Le capitalisme dissout la démocratie. Il s’est complètement autonomisé [[ donc rendu fou et hors réel ]] et n’a plus besoin des institutions démocratiques pour se développer, bien au contraire. Il faut donc revigorer l’idéal démocratique, à partir des valeurs du convivialisme, par exemple, et repenser les bonnes échelles, c’est-à-dire l’articulation des échelles du local, du national, de l’international. Cela passe par plus de subsidiarité, par plus de démocratie directe...Qu’entendez-vous par catastrophes politiques ?** -A.C. - Les convivialistes s’accorde pour dire que ce qui nous manque le plus pour s’opposer au néolibéralisme actuel, c’est une philosophie politique alternative qui nous permettrait de penser le monde de manière simple, partageable et universalisable. Tous les débats économiques ou écologiques sont subordonnés à cet autre débat plus important [[ et trop évité par refus niais des…difficultés. Sauf que plus il est attendu pour y faire face et plus leur masse devient …difficile !]]. Selon moi, cela s’explique par l’absence de philosophie de rechange aux idéologies dont nous sommes [[ pas tout le monde, même si la plupart, oui la plupart restent phagocytés dans des pensées début XX ème siècle alors que nous sommes début XXI ème….]] les héritiers : libéralisme, anarchisme, communisme, socialisme. Ces grands discours modernes ne nous donnent pas de réponses face à l’imminence d’un effondrement, car tous reposent sur l’idée de ressources infinies, sur le développement des forces productives et de la croissance comme mode de résolution des conflits entre les humains. Nous découvrons que ça ne marche pas, et c’est dans ce vide de sens que naissent les désirs de retour en arrière et de dictatures [[ nous nous adorons le futur et toutes nos idées n’ont gardé du passé que les ferments pour nos terres actuelles.Donc nous nous exprimons ici et maintenant et pas du tout décalé.e.s…dans une autre époque si inefficace pour les actuels problèmes !]].

Cependant, il ne s’agit pas de Stopper sur juste dénoncer les vilains capitalistes et de considérer que le reste de l’humanité serait vertueuse. L’humanité entière est menacée par l’hubris et le désir de toute-puissance [[ par le crétin consumérisme par exemple…et ce mépris inadmissible qui crache « oui j’ai des objets et toi pas, donc « tu n’as pas le droit de parler » ». Vraiment ? N’est-ce pas ta façon délirante de parler qui, aun contraire, limite ton temps de parole ? Tu as tout à (ré)apprendre donc il est temps…d’écouter en te taisant !]]. Comment limite-t-on cette hubris ? À ce jour, on ne le peut pas. Vingt-cinq milliardaires possèdent plus de la moitié de la richesse mondiale... et ils basculeront vraisemblablement un jour dans le transhumanisme. Jusqu’à présent, l’hubris a pu être contenue tant bien que mal par les grandes religions ou les grandes morales. Aujourd’hui, tout cela vole en éclats.»…. La bonne démarche surgit, alors, de se demander quels éclats - de rires, de voix, d’intelligences, de transformations, de sensibilités, de coOpérations ou de…partages !  

 ………..la chrysalide qui va sortir, de ces éclats, papillon doit être...

……profondément vécue avant que formulée et dite !

…………………………………………………………. La vraie Fête est là pour cela…

…….………….…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                    Que le sens de la Fête nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu