Gaillards d’après

Pour les différencier des gaillards d’avant. Avant quoi, d’ailleurs, et que s’est-il passé après ? Ils fendaient les flots, ils fendent les flux. Et ? Voulant nous forcer à retourner à «leurs» routines mortifères, leurs pseudos agendas (nous avons toujours dit qu’il n’y a Pas d’agenda politique – le nôtre prédomine le leur !). Soit «leur» temps cyclique (toujours la rengaine du même aux mêmes stupides dates que l’année d’avant) où Tout est fait afin de CULPABALISER celles et ceux qui font fonctionner la Vraie économie (tu te rends compte les grands Coupables qui veulent nous culpabiliser, non mais des fois…). Dont les parasites (grands commerces vous savez ceux qui ont fait…désindustrialiser, banques, politiciens, quelques médiatisées et stars) passent leur temps à en voler les plus-values (valeur ajoutée dit la Taxe). T’es amoureux, coupable, car si…tu aimes tu Dois acheter valentin. Pourceau, toi qui n’achètes, tu n’aimes… pas. Pareil pour Noël et autres, vous Devez acheter sinon vous n’aimez pas (nous osent les zombis devenus inhumains qui font tourner le spectacle de…l’ennui et « des » ennuis !). Et le tout forme le «calendrier» commercial, la même scie ringarde désaccordée qu’ils te fourguent toujours au même jour que l’année d’avant. Et puis le tu vivotes Donc tu votes. Alors là ? Les mêmes qui ont utilisé des armes de mutilations massives (malgré les rappels express de l’Europe et l’ONU qui leur donnent tort à 100 %), les mêmes qui tirent donc sur les électrices et électeurs (tu votes pour eux, ils t’éborgnent – c’est pas sain cet acte, c’est bien trop risqué de voter pour ces fous !), ces sinistres bonimenteurs où ne se voient que le menteurs boniMenteurs. Avec les mêmes vieilleries dues aux voleurs de médias qui «ont» des médias vendus (et tu devrais acheter ce qui est déjà…vendu ?), sondages et manipulations qui vont te tambouriner (avec une indécence qui, en vrai, n’est plus permise après la matraque des flics, c’est la propagande qui matraque – et ils croient que nous allons encore marcher ?)…A oui que 1)- c’est macronisme et 2)- c’est RN pro-capitaliste (le même piège culpabilisant qui a marché, de Culpabiliser les électeurs Houuu les vilain.e.s, c’est A CAUSE de vous si l’extrême droite passe, ben voyons ! – alors que macronisme ou RN c’est le même fascisme, y’a que quelque blablas qui changent)…Bon mais tu te rends compte voter pour «ça»?

Nous avons vérifié (pour vous) : jamais de jamais durant ces temps sordides, le macronisme n’a…pas menti une fois (vous voyez nous faisions la part belle, trouver là où…ne mentaient pas !), car patatrac ils mentent toujours et sur tout. Surtout. Ah non alors on va pas rejouer, le jeu est plus que truqué…ras le bol d’entretenir de fausses divettes et divas. Qu’ils aillent puter ailleurs. Plus dans le mot candide…qui fait candidat (alors que c’est maculer qui fait maculas !)… «leurs » corruptions ont tout rompu. Le rouleau compresseur se remet en marche, sans égards pour les électrices-électeurs nous martelant leurs inadmissibles propagandes (lorsque tout le monde sait que ce n’est que mensonges c’est partout irrespects, scandaleux racismes envers les vérités – que de s’entêter !). Et ? Le mot qui démasque le pitoyable « le mouvement s’étiole » alors que les chiffres font top : jamais il y a eu autant à Paris que les 2 derniers samedis. Plus la conscience complète des Chiffres (nous avions détecté, dès le 25 novembre la formule « faut multiplier par 10 » elle s’est vérifiée. Sauf que, là, 4000 pour paris c’était plus que….40 000. Et si l’on englobe tous les sites pas loin de 500 000  en France (oui le ½ million, les lions !). Alors l’acte pitoyable de mentir et m’en tire ne fonctionne plus. Après le faux débat «monopolisé par un  seul», plus aucunes élections truquées ne pourront se faire passer pour plus IMPORTANTES que le soulèvement. Rouleau compresseur illégitime ou pas…

Et des océans et océans d’encres et nos îles enchanteresses qui résistent fastoche à ces crétins plus qu’absolus. Ils se croient possédés en te balançant du quantitatif lourd. Il n’est que lourdaud. Puisque ? Toi avec ta simplicité (et disons toutes les « qualités ») tu remarques vite fait dans la tonne de propagande les 10 grammes de vrais. Dans leurs verbiages de déments tu captes les 3 mots qui vont les niquer, dans leurs expressions fraudées le geste qui les discrédite net, etc. Alors la dada oui oui davidentité « sait » et le Léviathan de tous les bas instincts et passions tristes (disons macronisme et médias vendus) sont archi battus sur l’ESSENTIEL : avoir raison en «étant» toujours «dans" la raison ! Pas d’élections si tout le monde tourne le dos…(solution le 16 Mars).

Gaillards d’avant et d’après ? Ou comment en ressortir ragaillardis ? Ce que voila voilà de trop d’évidences les péremptoires voilà voilés…Répandez ce sourire dans le visage, et laissez-le entrer dans vos mâchoires. Beaucoup de tensions s’accumulent dans les mâchoires, et une fois que le sourire s’y sera répandu, vous sentirez ces tensions se relâcher. Déversez-le dans le palais, partout à l’intérieur de la bouche, sans oublier la langue, puis sur la nuque et dans la gorge.

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Juste après - les médias mainstream sont vraiment de vraiment disqualifiés – nous trouvons incroyablement plus passionnant le Récit-monde, genre le gilet jaune c’est l’outil de travail des flux et logistiques et… pas l’élément de sécurité de la bagnole. Adoncques ? Dès le départ, ces médias mentaient (même pour ça) alors à…l’arrivée ?

Sociologie-cariste-gilets-jaunes-classes-rôles-populaire-économie-des-services

« Depuis le début du mouvement des «gilets jaunes», une figure féminine, la mère célibataire exerçant un métier lié aux services à la personne, a émergé dans les reportages. Chez les hommes, les ouvriers interrogés travaillent plus souvent dans la logistique et les transports qu’en usine. Parmi ces derniers, la présence des caristes est très révélatrice des effets de la désindustrialisation et de la mondialisation sur le monde du travail et le destin des classes populaires. Ces métiers durs et difficiles, généralement occupés par des salariés peu qualifiés et peu payés, sont essentiels au bon fonctionnement de la machine économique. Pourtant, ils sont très peu visibles et valorisés. Les personnes qui les exercent sont en quelque sorte les «soutiers du système». Déconsidérées socialement, éprouvées physiquement au quotidien par leur travail et situées au…dernier rang de la fameuse «chaîne de valeur» [[ les 1ers de cordées tellement distraits et qui ne savent même pas ce qu’est une cordée auront donc catapultés ces prétendus derniers rangs qui ne méritent pas d’être à ce rang !]], ce sont d’abord ces salariées et salariés invisibles qui ont endossé leur gilet jaune pour accéder à la reconnaissance, à la dignité et revendiquer des conditions de vie plus décentes. Comme si le gilet jaune avait remplacé le bleu de travail, emblème historique de la classe et du mouvement ouvriers [[ le cas de Ghislain Coutard qui a brandi son gilet jaune, son vêtement de travail, dans sa vidéo qui a tant enclenché les imaginations]]. À y regarder de plus près, ce changement symbolique est très révélateur des transformations intervenues dans le monde du travail au cours des dernières décennies, quand les activités de logistique, de commerce et des services ont pris le pas sur les activités de production [[ l’ex prolo ne perd pas le contact avec le système qui rapporte en…lui étant nécessaire dans un segment clé de… la circulation complète. Qui peut s’interrompre… ]]

Métiers/logistique/cariste.

…«Exposés à de nombreuses situations à risque, parmi lesquelles des situations de contraintes posturales, de bruit et de vibrations, de renversement ou basculement et des rythmes de travail intenses. Plusieurs milliers d’accidents avec arrêt de travail sont ainsi dénombrés chaque année, ainsi que des déclarations de maladies professionnelles», selon l'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) [[oui, des activités qui demandent tellement plus d’efforts que de bonimentir partout...

…La femme travaille dans le «care» et l’homme est cariste…De quoi nettement attirer notre attention…Cariste avec ce car tel l’argument qui explique (puisque) ou celui qui contre l’insidieuse propagande (or) nous avons un métier qui jonche les flux. Les flux de marchandises qui voudraient aller jusqu’à la marchandisation des flux. Or et puisque ce n’est pas parce que la grande majorité des capitalistes sont des pervers que la population veut les suivre. Elle préfère santé mentale et comportements plus sains. Flux aussi de désirs, d’ordres, de politiques, d’informations, d’explications, de messages, d’oppositions, d’obstacles, de leurres, de camouflages, flux sans lesquels le décor de sa mise en scène du capitalisme libéral se trouverait bien entièrement bloqué… « Dans une économie de plus en plus globalisée, où les flux de marchandises ne cessent de se renforcer, le cariste occupe un rôle stratégique et central. Il incarne le prolétariat d’aujourd'hui comme le métallo incarnait celui d'hier. »…Ce qui, avec les chefs de PME - TPE, les artisans et petits producteurs, les classes moyennes dites inférieures, les employés dont les hôpitaux, des classes dites intellectuelles et les retraités…constitue une bonne partie des points de…départ du soulèvement. Dont sa richesse est l’extrême variété des participant.e.s (pas de luttes de classes chez eux !), ce qui nourrit l’insurrection et lui permet de continuer alors qu’il peut être dit que quasiment tous les obstacles des déloyautés ont existé ! Voyons un peu de l’œil qui est attribué aux…classes moyennes (comme elles et ils ont bien changé dans leurs têtes, les études nous renseignent plus sur qui les écrivent et émettent que sur les gilets jaunes…tels qu’ils sont réellement…

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« Selon l’étude récente du Cepremap et du Cevipof précitée, « près de 70 % de ceux qui soutiennent les « gilets jaunes » fortement vivent dans un ménage dont le revenu disponible net est inférieur à 2 480 euros – soit le revenu médian en France. Et 17 % vivent dans un ménage avec moins de 1 136 euros. En outre, 24 % des soutiens (des « gilets jaunes ») déclarent s’en sortir « très difficilement » avec le revenu de leur ménage, soit deux fois plus que la moyenne ». Ces chiffres atténuent légèrement l’état dramatique de la population suggéré par des représentations médiatiques un peu hâtives. Cette « courtermisation » du politique rejoint le caractère matérialiste de la revendication. Dans son ouvrage précité [[soit La révolution silencieuse ]], Ronald Inglehart met au jour, dès 1977, la dichotomie des valeurs matérialistes et post-matérialistes.

Pensée-des-gilets-jaunes-:-trois-ingrédients-à-prendre-en-compte

Les premières sont attachées à la satisfaction de la sécurité sous toutes ses formes, physiques et économiques principalement. Il s’agit d’obtenir des biens matériels de première nécessité assurant la sécurité physique (protection, emploi, alimentation…) des individus. Travaillant sur des séries chronologiques de données empiriques, Inglehart met en évidence que les générations socialisées au cours de périodes marquées par les privations de toutes sortes sont amenées à développer des valeurs matérialistes. Ainsi en va-t-il des cohortes d’individus socialisés dans l’Allemagne ou le Japon dévastés d’après-guerre. Or l’une des fonctions essentielles du politique consiste à prévoir, à anticiper l’avenir et donc elle est caractérisée par l’analyse des perspectives à long terme [[ ce que les corrompus « entretenus » ne font plus depuis trop longtemps…]]. On se rappelle du « gouverner c’est prévoir » de Pierre Mendès-France. D’où les critiques si fréquentes dans le discours des « gilets jaunes » à propos de la «déconnexion» des élites politiques avec les réalités socio-économiques [[ comment s’occuper d’un pays si l’on ne connaît rien de lui ? Comment comprendre les humains si l’on n’a jamais fait l’effort de s’informer ?]] et la justification de la défiance [[ qui perdent la confiance des cœurs ne peuvent s’en prendre qu’à eux !]] qu’elles suscitent pour cause de temporalités incompatibles.

À ces deux types de considérations, on peut, en effet, ajouter une troisième dimension constituée par l’axe confiance-défiance, forme simplifiée du capital social dont ils sont dépourvus. Les « gilets jaunes » ont été souvent caractérisés par leur isolement social auquel la réunion récurrente sur les ronds-points comme les manifestations du samedi venaient apporter un antidote qui permet de retrouver la convivialité et la solidarité perdues [[ nous avons reconquis la fraternité…ne restent que la liberté et l’égalité !]]. L’écueil des finances publiques ? Que tirer de cette triple opposition entre court et long terme, valeurs matérialistes et post-matérialistes et confiance et défiance pour la sortie de crise ? Si on les projette sur les propositions qui devront émerger du « Grand Débat national », on est amené à retenir quelques hypothèses. S’agissant tout d’abord du terme auquel les décisions devront correspondre, il semble nécessaire qu’il y ait des mesures complétant celles du 10 décembre concernant la prime de fin d’année, l’augmentation du salaire des travailleurs payés au smic de 100 euros en 2019, l’annulation pour cette année de la CSG pour les retraités gagnant moins de 2 000 euros par mois et la défiscalisation des heures supplémentaires dès 2019. »….C’est ne voir que par le petit bout de la lorgnette – c’est la fin de la fausse représentativité, l’impossibilité que les riches puissent «acheter» les élections (donc l’information et la culture non plus), la fin d’un régime fiscal qui n’est que le racket des plus pauvres et tant d’actes radicaux (l’austérité des riches) devant lesquels ces mesurettes insultantes baissent vraiment la tête !

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« Il n’en demeure pas moins que le fond me semble robuste : le mouvement a pris cette ampleur parce qu’il faisait écho à des principes normatifs largement répandus dans la société et ouvertement attaqués voire moqués par le président de la République. Évidemment, cela pose problème à la fausse gauche car ces principes normatifs n’ont pas de réel caractère de classe et dissimulent, voire reconduisent, des formes d’exclusion et d’oppression [[ qui n’ont jamais interrogé cette si fausse gauche…]] — notamment de genre et de race. Il s’agit de principes majoritaires, et donc de principes du majoritaire, c’est de là que vient leur force. Le « bon sens » populaire des gilets jaunes ne doit être ni glorifié ni voué aux gémonies : il révèle quelque chose de profond dans ce pays, une série de principes normatifs qui ont engendré de fortes mobilisations, et ces mobilisations à coup sûr en modifient les caractéristiques, dans un sens qui me semble adéquat aux principes plus structurés, plus précis, plus émancipateurs de la gauche [[mais qui ne demeurent…qu’abstraits. Pendant que leurs concrètes corruptions souillent tout : tout de même que des Valls et Macron aient pu se dire…socialistes alors qu’ils sont…antisociaux tendance fachos.]].

La mobilisation des gilets jaunes serait-elle le premier grand mouvement issue de la « démocratie du public », comme l’appelle le philosophe Bernard Manin ? « À l’heure du confusionnisme [[ uniquement par la haut…]], tout le monde dévoile tout, de manière apparemment bien plus radicale que la critique sociale.»…Je dirais plutôt que le macronisme est le premier mouvement lié à la démocratie du public dans une forme aussi pure, et que le mouvement des gilets jaunes en est une forme interne de contestation — avec toute l’ambiguïté que ça implique. C’est un mouvement qui naît du triomphe de la démocratie du public, qui en dénonce vigoureusement les formes mais qui reste largement piégé dans ses logiques [[disons pour les gaillards d’avant – pas pour ceux d’après qui se forgent actuellement]]. Rappelons que pour Manin, la démocratie du public se caractérise par un vote pour des personnalités sans réel programme plutôt que pour des partis, les électeurs se comportant comme un public de spectateurs qui choisissent à chaque élection parmi une fausse offre politique fortement personnalisée. C’est une métamorphose qui n’a rien de spécifique à la France, mais l’élection du président au suffrage direct, sans nécessité d’en passer par des primaires, permet aux logiques de la démocratie du public de jouer à plein. Macron a pu construire un mouvement à sa main et à son image, portant même ses propres initiales, et aller à la rencontre du peuple sans en passer par les appareils de partis, en refusant de s’inscrire dans le clivage gauche-droite, sans idéologie marquée si ce n’est une vague référence au progrès, en faisant une campagne électorale ayant tout de la campagne de com’ [[ sauf que cela aura été une complète tromperie – depuis le gouvernement de zombis ne sait que dire un anachronique « nous appliquons Le programme que Vous avez accepté »…alors que le vacarme com’ a balayé toute possibilité de…connaître ce programme qui est limite fasciste !]]. Ce qui est étrange et passionnant, dans le mouvement des gilets jaunes, c’est que des gens investissent l’espace public et déploient une inventivité politique qui généralement est plutôt typique d’une situation révolutionnaire ou post-révolutionnaire — alors justement qu’il n’y a pas eu de révolution au sens classique. En historien de la révolution de 1848, je vois chez les gilets jaunes un écho frappant avec le mouvement des clubs [[même les femmes avaient leurs clubs ou participaient aux autres – en 1848 c’est Très émancipateur !]] qui émerge alors, dans ses meilleurs aspects comme dans ce qui me semble être ses errements.

Mais la grande différence est qu’en 1848 une insurrection avait effectivement mis à bas le pouvoir, comme en 1789, en 1830, en 1871. Aujourd’hui, le pouvoir semble plus intouchable que jamais, du fait du développement de l’appareil d’État (et en particulier de son bras armé), de décennies de pacification de la société (et en particulier des formes de contestation) et du plus grand attachement que nous avons tous et toutes développé pour les principes démocratiques [[ sauf que le racisme social pire que l’antisémitisme et le non respect de la démocratie par les faux dirigeants mêmes nous incite à quitter toute inertie !]] — et souvent pour les procédures électorales. On a donc affaire à un mouvement révolutionnaire, mais sans révolution au sens étroitement politique : il s’agit plutôt d’une révolution sociale, au moins en devenir. Ce n’est pas la seule révolution sociale sans révolution politique de ces dernières décennies : pensons au mouvement féministe, qui a révolutionné la société et la révolutionne encore, avec certes des manifestations, des protestations, de la solidarité face à la répression, des changements institutionnels imposés par la rue, mais sans avoir eu à prendre un hypothétique palais d’Hiver du patriarcat. Donc toute la question n’est pas de savoir comment les gilets jaunes pourraient renverser le pouvoir, c’est plutôt de penser la manière dont ils changent déjà et peuvent changer encore plus profondément la société elle-même [[ en effet ce n’est pas le pouvoir de marginaux pervers mais bien toute la société qui importe ]], les rapports de domination qui s’y nouent, les règles organisant la distribution des richesses et du pouvoir [[ qui sont en train d’en prendre de sacrés coups – or des comportements qui supposaient telles mentalités si ces mentalités s’inversent…que sont ces ex-comportements ? Ce que n’avait pas prévu la trop rudimentaire nov’ langue (trip surévaluée à notre idée)…là est se montre pulvérisée… ]]. Et de ce point de vue, il semble y avoir quelque chose de profondément révolutionnaire [[ la vraie révolution c’es dans les mentalités pas dans les apparences…or les mentalités cela fait plutôt partie de l’invisible. Soit ce que les pouvoirs niais ne voient jamais !]] dans les manières mêmes dont ils s’organisent, se rencontrent, discutent — ce qui explique la violence et le systématisme de la répression, non seulement face aux manifestations hebdomadaires, mais aussi, de manière moins visible, face à la moindre occupation de rond-point. Obtenir la démission de Macron semble peu probable, c’est vrai [[qu’en savez-vous – voir le 16 Mars et après…]]. Mais les gilets jaunes sont peut-être en train de réussir quelque chose d’infiniment plus important : changer en profondeur la société et libérer des dynamiques d’émancipation qui pourront se déployer et transformer l’horizon des possibles. »…Clair que ce sont très exactement les buts d’imagiter bien avant les Gilets jaunes – ce pourquoi (alors que nous ne partageons pas toutes les idées des gilets jaunes, nous sommes pour certaines d’avis d’aller plus loin – nous en sentons et pressentons la dynamique !) comprendre en grand c’est avec l’instinct, la sensibilité, les pratiques, l’expérience de la vie, etc.

Les-mouvements-d'émancipation-doivent-s'adapter-aux-circonstances-

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Et que nous avons quelques atouts pour dire un peu de la vérité des Gilets jaunes, soulèvement exemplaire, mais qui tarde à s’améliorer encore (la routine de monter sur paris au lieu de lieu de lui tourner le dos et faire…tourner le pays – nous parait de l’enlisement quoi que depuis 2 Samedis il y a du neuf nouveau. Mais le 9 une semaine Sans pour…voir…Pourquoi ? Car caristes…et la chaîne de valeur - il apparaît que la pression maximale soit mise sur les 2 logistiques (d’entrée et de sortie) comme sur la gestion difficile d’entrée des hôpitaux (le care féminin). Et ce dans le déni complet du réel des pénibilités. Donc toujours les mêmes comportements d’extrêmes violences des plus riches : ils prennent des gains bien mérités à ceux qui sont en dessous d’eux…et (2) les dénigre socialement, veulent même les effacer de la visibilité sociale (pour masquer leurs injustes non-répartitions des gains collectifs). Et  - ainsi - la prétendue « chaîne de valeur » est alors une chaîne de dévalorisation …unilatérale ! Ce sont sur de telles grandes injustices (invisibilisées) qu’au départ se sont levés et soulevés les Gilets jaunes. Et ? Bien comprendre le monde contre lequel elles/ils luttent permettra de le disqualifier plus vite. Et…d’en mettre un autre à la place! D’abord, parce que la quincaillerie de tous les concepts bourgeois parait si obsolète, hors sujet, immature, ringarde (chaîne de valeur, mon œil, que du vent, la chaîne de vélo pédale mieux !, etc.). Ensuite, parce que les gilets jaunes vont (comme nous) aux Racines (et le macronisme fait juste le singe dans les branches face au pays qu’ils ne connaissent surtout pas)…

Et, enfin, que les Gilets jaunes RESTERONT dans l’Histoire…

……………….Et surtout pas le superficiel histrionisme du macronisme…

…..…………....qui ont déjà perdu sans même être aptes à le discerner !

……..…………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : " Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste joie commune nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est encore pire

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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