La musique s’occupe du futur !
Oui et de 3 façons : celle où la Nature avec les animaux et végétaux fait Tous les jours son gigantesque concert à l’unisson. Celle encore où c’est Mother qui sait. Et les grottes préhistoriques qui auront été des instruments de musiques incomparables. Tout ceci nous vous le faisons vivre magnifiquement ici…
« Une philosophe spécialiste d’Adorno, par ailleurs musicienne, qui publie une somme sur la pop, ça excite l’intérêt. Il faut dire qu’Agnès Gayraud consacre une partie de sa vie à écrire et chanter de la pop sous le nom La Féline et que sa rencontre admirative avec les textes d’Adorno - qui critiquait ce qu’il appelait avec dédain «la musique populaire légère standardisée» - provoque une sorte de choc. Ce livre est le résultat de ce choc. Avec une finesse et un savoir incroyable, Agnès Gayraud arrive à répondre à Adorno [[qui nous aura offert nombres de recettes pour nous désaliéner des irréalismes bourgeois ou bien comment, avec eux, ne jamais vivre sainement !]], à décrire ce qui fait la pop, comment elle a évolué depuis les premiers enregistrements de folk au début du siècle, et comment elle agit de manière spécifique sur ceux qui l’écoutent. Pour le dire autrement, la pop peut changer la voix d’une population [[de nombreuses observations montrent que chaque nouvelle tendance musicale aboutit à des tics verbaux, à des modifications d’utilisations des voix et à un style global plus prononcé – l’intérêt est d’entrer dans les pourquoi ces massifications non programmées ni manipulées !]]
Pourquoi-les-jeunes-américaines-ont-elles-la-voix-cassée-?
Bien sûr, ce serait sans doute invalidé d’un point de vue statistique, mais c’est dire quand même…la puissance de l'effet. On le savait du point de vue sociologique (du rock à la techno en passant par les yé-yé et le punk, les courants ont engendré ou accompagné des manières de vivre), mais que la pop puisse agir sur l’organisme lui-même, c’est très impressionnant. Et on comprend très bien comment ça marche à la lecture du livre d’Agnès Gayraud, à cause précisément de cette dialectique [[ la vie étant une grande dialectique, toute approche dialectique des phénomènes vivants englobent bien plus de vie vibrante que de sèches abstractions !]] qu’elle identifie : lieu d’expression de singularités que sont les musiciens, elle peut provoquer l’homogénéisation (parce qu’on les imite); ayant une âme démocratique (on s’y forme seul, donc tout le monde peut en faire), elle célèbre le génie et construit des notoriétés gigantesques etc.
Mais ce que je trouve très beau dans cet extrait, c’est l’incorporation, c’est le corps qui change de forme. Sans doute ces jeunes femmes altèrent-elles leur voix parce qu’elles se trouvent plus sexy, plus romanesques, mais ça finit par devenir leur voix. Vraiment. Et ça devient LA voix d’une génération. On pourrait regretter que ce soit celle de Britney Spears ou Kattie Perry, mais, comme le rappelle Agnès Gayraud à la page suivante: «la diffusion massive de portraits photographiques au XXème siècle a conformé les types d’attitude, les poses individuelles.» C'est la puissance d'une culture de masse que de modifier les corps. »…En effet, ce style d’approches n’est pas assez courant et il nous convient d’autant plus …
Nous introduisons afin… d‘immensifier ce débat, 2 faits pour nous insurpassables : …1) – les animaux et végétaux se font chaque jour une symphonie à l’unisson. Et nous pas (enfin trop peu, pas assez vivent cet…enchantement gratuit de la vie – pour nous, chantent quotidiennement en nos corps des musiques qui n’ont pas été encore concrétisées…). La question non encore posée est donc que célèbrent-ils ainsi ces animaux ? Oui ce qu’ils célèbrent surpasse en valeur toutes les déviances de la misère mentale des capitalistes, ces lamentables égarés de tout…Puisque l’envers de l’interrogation est pourquoi les humains ne participent pas de cet immense concert de la Nature ? Pourquoi boudent-ils connement ? Quelles aliénations les tiennent encore ? Puisque la Nature a prévu cette élévation de toute la vie : chaque espèce entre dans le chant global à son moment avec ¼ de ton plus haut que l’espèce précédente. Et puis encore ¼ de ton, etc. Cet étagement d’harmonies prouve bien que chacun.e y trouve son compte. Et que la Nature reste un réservoir de potentialités d’émerveillements durables que les faux dirigeants se permettent de souiller. Clair, pour qui a…le cran d’aller voir par soi-même que la Nature peut nous apprendre à 100 %…comment vivre. Et surtout pas les dirigeants ! Reste que nous n’avons que quelques minuscules lambeaux de ces merveilles puisque les conformistes (ces très grands ennemi.e.s d’eux-mêmes !) font du blocus systématique afin de rendre tout…triste. Et de saboter les possibilités de s’élever collectivement. Puisse le soulèvement actuel démanteler ces barrages de déraisons !
****2) – que les hommes préhistoriques se faisaient des sacrés concerts (jusqu’à 20 échos simultanées) tout en dansant parfaitement dans les grottes des glottes (avec patience nous avons reconstitué l’essentiel de cet évènement fabuleux. Aussi, au lieu de perdre une seconde encore dans la vie économique aberrante (suffit d’économiser l’économie et nous le pouvons – c’est que, dans l’Histoire que l’on nous cache, le Gratuit fait vraiment des prouesses !) – vivons les sensations fabuleuses des préhistoriques…Nous n’avons pas à reproduire à 100 % toutes leurs vies, juste nous placer dans l’attitude mentale qui a précédé la découverte que les…grottes sont un instrument de musique …incomparable (à apprendre et à faire jouer !). Et de…participer à la réalisation concrète de cette découverte. Nous l’avons fait…ainsi que d’entrevoir le concert quotidien de la Nature – ce pourquoi nous « savons » que le règne bourgeois tente d’empêcher les humain.e.s de vivre, de s’épanouir, de s’élever de « s’augmenter » (ce que l’inhumain transhumanisme ne pourra jamais : il « n’augmente » pas, il…diminue nos meilleurs côtés). Oui ? L’économie (qu’il nous suffit de quitter comme idéologie qui n’a rien à voir avec la réalité vu qu’elle ne permet pas les partages…puisque rien n’est réel dans la fumisterie intellectuelle nommée économie : et les partages et répartitions oui !) est donc le jeu truqué, les tortures perverses et la destruction du plus précieux (l’amour des humains, la Nature protégée, le futur des enfants, la liberté de tous augmentée par la liberté de chacun.e, les solidarités actives, la pensée unitaire, etc.) pour ces aberrations. Quelles ? D’imposer un faux système où d’autoproclamés supérieurs dévalisent les autres (le capitalisme semble bien être surtout du racket, le sur-assistanat des trop riches, et la majorité des…Dépenses publiques détournées pour eux seuls. Et qu’il faille « croire » ces pitreries !). Non mais que voyons nous ? Que seuls des…inférieurs, moraux, affectifs, émotions et intellectuels peuvent diffuser cet effondrement de cruautés antisociales. Et qu’il va bien falloir interdire le libéral capitalisme comme drogue mentale hyper toxique extrêmement dommageable pour qui ne sont pas drogué.e.s à cette infamie. En effet, c’est quoi l’actualité de ces drogués durs ? Des inventions de faux incendies comme celui de Ferrand où 3 fois rien n’a brûlé, de soi-disant (cela fait répétitions périodiques – tu vas dans leur presse et tu peux détecter combien de mois séparent ces hypocrisies rabâchées !).
Les-glottes-des-grottes-les-incroyables-chants-préhistoriques
Car ? Les mêmes inhumains qui n’en ont rien à faire que des humains, qui ont plus de qualités qu’eux, soient éborgnés, blessés gravement, mais que pour des …tags, des tags enfin, des mots débiles écrits qui seraient plus…importants que des violences extrêmes sciemment causées contre des citoyens Légitimes qui n’acceptent pas ces désordres par le haut toujours plus…inacceptables ! D’autant plus…que tout le monde sait que ces absurdités superficielles restent émises par 2 ou 3 loustics dont nul.le ne partage les déviations infantiles…oui qu’est-ce que cela change d’insulter aussi platement ?)…Il n’y a pas plus de…vagues d’antisémitismes qu’a chaque campagne périodique. Mais ? Que ces autoproclamés supérieurs (sic) soient toujours aussi…bas à défendre, sournoisement, leurs illégaux privilèges, oui comme des cancres dans leurs pitoyables cours de récréation (la cour des Petits !), voici qui n’est pas à LA HAUTEUR de la vraie vie !... et des…mensonges toujours plus ridicules où nous percevons comment ce…microcosme de tout ce qu’il y a de malsain ne sait plus faire - ce la bonne théorie nomme « comment devenir fous ensembles ». Lamentable : ils/elles ne se voient plus jamais tels qu’ils sont. Et cette réflexivité (faire et se voir faire en même temps) est le signe d’une saine intelligence et si elle fait défaut cela tourne facho (j’ai raison sans rien prouver, je dis et je cogne Donc les autres celles et ceux que je cogne ont tort…puisque j’ai raison)…et devient leur déplorable aujourd’hui. Où nous voyons directement déchoir de faux dirigeants. Et ? Nous avons tant à faire (et eux …rien ou quasi…) et les contenus de ces tant (ici retrouver les concerts des grottes et ne plus perdre une once de la Nature qui chante à l’unisson) nous motivent tant (avec cent autres motifs) pour mettre fin au règne des…indignes !
Ce qui conduit à…***3 ) – nous sommes pour la version Mother, oui la star des stars, le filigrané de nombres de chansons…son authenticité aura protégé l’essentiel qui est…que les inconscients se mirent en convergences durant tant d’années (vivant la préhistoire comme conscience, la nature comme unité enchantée et à chanter, etc.) Et ? L’apport mythique de Mother c’est que sur les radios il/elle faisait passer les visions les plus belles et ravisseuses, une unité tribale de l’Humanité (qui l’a vécu ne s’en est pas vraiment remis). Et ? Alors que tout était un mouvement (donc hiérarchiquement sans hiérarchie), les musiciens vivant PARMI tout le monde…par les perversions des hypocrisies (les chiffres sans sens) et des perversités très toxiques ont tout cassé (empêchant ce qu’ils réclamaient sauf – à ne…servir que pour…enrichir les…marginaux hors Humanité, nommés trop riches (mais qu’est-ce que cela a à voir avec la musique ?) : a) ***le show business a tenté les artistes, les a isolé des foules amniotiques et les a retourné contre elles, comme une matraque pour tout dévoyer dans le consumérisme et les marécages absurdes des bourgeois. Mouvement comme ce qui va toujours de l’avant, ainsi brisé…dans ses élans vitaux…Sauf pour les incroyables anticonformistes qui ont gardé intact le trésor pour tous et démasqué (sans le vouloir, juste par leur….authenticité !) les traîtres qui défendent toujours le désordre illégal d’aujourd’hui…où des trop riches effondrés (sans aucune valeur morale ni affective) auraient le …droit de massacrer des pauvres. Mais c’est quoi le fond de cette histoire ? Qui veut la réponse peut écouter cette chanson à sens !
Chanson-à-sens-Music-is-not-a-show
Oui et b)…** ? Des intrus que les pionniers avaient toujours éjectés, préférant l’unité anonyme à la starisation : donc les médias intrusifs et insalubres…qui sans rien ressentir, savoir , connaître, ont semé les confusions maximales, avec aussi transmissions de viralités dont certaines maladives ENTRE la fusion musique-musique jouée-musique écoutée, un bloc de multiplications des vécus, avec les fragilités de maturations, de prises de consciences lentes, de flashes collectifs merveilleux (dont Mother aura été le prototype le plus clair, avec une ligne de vie que nous respectons infiniment. Le collectif Gun Giant, sans moyens financiers, aide à faire ressentir ce que fut la « vraie » musique de ces temps ** écouter la musique n’est pas un show (mais bien pour…l’entendre et s’en tendre tendu tendre) …Oui l’intrusion médiatique ? Caricaturant tout, mélangeant n’importe quoi, découpant des abstractions là où il n’y avait que du vécu commun, médisant, souillant, s’immisçant entre tout le monde, castrant pour le fric stupide et insensible, multipliant les désastres et les piétinements irresponsables – ils ont saccagé le terreau de ce tournant possible de la vie collective. Le limitant (inhumainement) à la robotisation d’aller juste aux concerts et d’acheter des disques…sans aucun autre CONTENU de le vivre tout le temps ensemble…Alors, qu’au départ, tous les contenus étaient fondus, dans la fusion de l’effusion, pour changer et complètement toutes les manières de vie…l’asséchement par ces cœurs morts est tellement visible aujourd’hui. Stationner en tout pour que ces marginaux inhumains ramassent le fric absurde… Seule la version Mother reste toujours aussi splendidement belle et féconde. Elle aura vraiment…résisté ! A tous les sens du mot…le reste c’est : *** toujours la même vie splendide dans la pauvreté du Gratuit et dans ce gratuit qui peut illuminer la pauvreté ou la**** leur de sous-vie de riches ratés, n’ayant jamais partagé à 100 % leur…Humanité (alors que savent-ils/elles de la vraie vie ? Rien, ce pourquoi ils tendent à devenir rien…
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L'avenir-de-la-musique-en-cinq-questions
Futur présenté aux désirs…déjà…écoeurés ?...« Il ne s’agira plus pour les musiciens de noircir de notes des pages blanches, d’inventer des mélodies à partir d’un instrument, mais bien de triturer le patrimoine musical, de pousser la machine dans ses retranchements [[ avec les logiciels croisés- avec la musique qui se construit…en regardant son écran d’ordinateur…Il est vrai que l’ordinateur économise du temps – on « voit » le son - mais plus vrai encore que…sans musicien.ne.s d’instruments et de scènes les mixages sont plats, sans reliefs, mécaniques, sans instincts et mono-tones, sans …harmoniques…il ne faut pas prendre des avachissements pour des progrès !]], de la faire cohabiter avec les organes vocaux humains. Le musicien sera simultanément un archéologue des couches sonores, un informaticien paramétrant ses propres robots musicaux, un analyste de datas connaissant son public sur le bout des doigts, capable de générer la bonne émotion, au bon moment. La musique perdra un peu de son mystère ( ?), mais continuera de nous faire vibrer. »…Sauf le que restera-t-il encore d’humain (ces petits défauts qui émeuvent tant…) ? L’expérience que la musique c’est, aussi, beaucoup d’improvisations (les machines ne pouvant improviser…), disparaîtra t-elle ? En bref, que restera-t-il du live (du vivant). Tout en conserve, tout en concerts déconcertés ? «La musique et son industrie n'échapperont pas aux bouleversements technologiques en cours et à venir [[ platitude qui excuse encore les inadmissibles cupides pour qui les Stop doivent se montrer Stop ! C’est dégueulasse de pisser ses avidités sur les autres…stop l’argent facile, il pue trop…donc , au contraire, la musique doit Résister à la technologie sûrement pas s’y soumettre …]]. Comment découvrirons-nous de la musique ? Longtemps, l’exploration musicale a fonctionné comme n’importe quelle autre quête culturelle. Qu’il s’agisse de livres, de films, de BD, de jeux vidéo, la découverte de nouveaux émois musicaux passait par la recommandation. Celle-ci pouvait venir de la presse spécialisée (magazines, fanzines, émissions de radio ou télé), de son cercle proche (le fameux bouche-à-oreille), de la confiance placée en tel ou tel label dont on écoutait toutes les sorties ou des publicités, ciblées ou non [[ alors qu’est-ce qui sera nouveau ? Moins que les images technocratiques le laissent deviner…sauf chez les vrais résistant.e.s]].
Le principe restera le même : la recommandation se fondant sur ce que vous aimez déjà [[ce passéisme est de mauvais aloi – où est le nouveau si tout reste compassé de passé ? Séquestré dans les coffres forts ?]]. Elle s’appuie sur vos goûts et les élargit par sauts de puce. La faille-faillite de ce système est qu’il impose de placer l’auditeur dans une case casemate, actant que les gens qui écoutent du rock indé veulent découvrir [[ mais qu’est-ce qu’ils en savent ? ]] plus de rock indé, que ceux qui aiment les tubes veulent plus de tubes, que ceux qui écoutent de la musique apaisante pour travailler ne vont pas avoir envie d’un autre type de musique quand ils ne travaillent pas. La combinaison de l’accumulation des données et la puissance des algorithmes devraient rendre ce système de recommandation bien plus moins efficace [[ l’écrasement par le répétitif mécanique et…insensible ne peut qu’émousser le meilleur de la vie !]]. À chaque morceau sera associé des caractéristiques d’auditeurs, des datas médiatiques et des informations sur les conditions d’écoute optimale. La machine [[ pas welcome to the machine…]] saura que tel utilisateur s’attache en priorité [[ ouais il y a 4 jours mais plus demain…fous moi la paix, arrête de multiplier les licous, pour qui tu te prends à imposer une liberté Sans liberté ?]] à des albums ayant plus de quatre étoiles dans les revues Resident Advisor et Tiny Mix Tapes, aimés par tels amis mais détestés par tels autres, où les ruptures mélodiques sont nombreuses, mais la cohérence entre les chansons certaines.
L’évolution de nos pratiques d’écoute se calera [[être bien décalé.e.s sera de refuser d’être calés. Car ? Caler en côte c’est trop fatigant !]] sur le progrès scientifique et médical. Au fur et à mesure que notre rapport à l’appareil auditif deviendra similaire à notre rapport aux yeux, que l’on acceptera d’améliorer son ouïe comme on optimise sa vision avec des lunettes ou des lentilles, de nouvelles possibilités d’écoute s’offriront à nous [[ oR avec le concert de Toute la Nature qui chante, des grottes instruments de musique ou de la voie si censurée de Mother nous avons déjà mais très naturellement « augmenté » nos consciences…les prothèses technologiques à côté c’est le trop d’acétone du pipi de chat !]]. Nous utiliserons [[ ou non !]] des sources sonores (écouteurs, enceintes…) spécifiques à notre profil auditif. Elles corrigeront nos lacunes d’audition [[ qui n’en sont pas lorsque nous avons les qualités de nos défauts…]], augmenteront certaines fréquences où notre ouïe est plus faible, en diminueront d’autres sur lesquels nous sommes plus sensibles [[ déjà fait mais Par la Nature…]]. Le son s’adaptera pour supprimer l’hyperacousie et masquer [[ tout maquiller comme les grands délinquants receleurs capitalistes ?]] les acouphènes : toutes nos particularités médicales seront prises en compte pour nous garantir la meilleure qualité d’écoute possible[[ sauf que les musiques de départ ne seront plus de….qualité…humaine ! Et écouter du vide, non merci…]]. En 2013, le bio-hacker Rich Lee s'est fait poser des implants écouteurs lui permettant d’écouter de la musique à l’insu de tous, mais surtout d’user de l’écholocation, une pratique permettant de se repérer spatialement grâce au son [[ les grottes le font ou le faisaient ( ?) en 10 000 fois mieux !]]. Le futur sera aussi celui des écouteurs [[et les écoutilles ?]], bluetooth ou autre, greffés sous la peau. Ils offriront une qualité d’écoute parfaite sans nous couper du monde extérieur, permettront d’écouter simultanément le dernier album de Kanye West et les battements de son cœur, peut-être même de synchroniser les deux [[cet auto-narcissisme en tout dénote le fait de n’avoir jamais eu de…flashes. Offerts les flashes par l’immensité…extérieure de la nature. Le gigantesque (soit pas de mesquineries, d’avarices ni de barrières…mentales) nous augmente…pas le narcissisme (qui fait acheter bestialement tellement plis mais cela devient la Condamnation de la dictature consumériste qui doit reculer…partout. Les narcissiques ont fait un monde hideux et en…péril. Leur choix est bien trop nuisible pour demeurer conservé…]].
La véritable évolution [[ ? …encore une corruption…]] ne viendra pas des concerts eux-mêmes, mais de leur retransmission. Les casques de réalité virtuelle permettront de vivre les concerts en temps réel, de ressentir les émotions et la chaleur de la foule, sans bouger de chez soi [[ sauf que la mise en conserve glacée n’est pas la vie…Et l’honneur immense fait aux mots puisque – sans eux – impossible de vendre du vent…appelle à devoir sanctionner tous abus Lucratifs dans l’usage des mots…Sanctionné qui, par des mots veut truquer, tricher, voler, tromper…Succulent, non ? Surtout l’extension vers les politiciens trop…arnaqueurs qui seraient punis par où ils/elles ont…empêché…]]. On pourra ainsi revivre ultérieurement de grands moments en streaming. Boosté par les recommandations de l’OMS, inquiète du nombre croissant d’acouphènes et de pertes d’audition liés à la fréquentation de salles de concert sans protections auditives, une tendance sécuritaire devrait également émerger [[ se…protéger de la musique où est l’anomalie ?]]. La puissance sonore sera limitée, afin d’empêcher tout traumatisme auditif, tout en limitant les plaintes du voisinage. Pour pallier cette baisse du volume, le public devra rester silencieux [[ en prison… ]]. Les pogos, les slams et autres réactions du corps à la musique deviendront des anomalies [[ justement qu’il n’y en aient plus c’est là l’anomalie. Pour le bourgeois malade obsédé par la drogue dure de ne ramasser que le fric…des autres, il est interdit de …vivre. Non, il est interdit qu’il …puisse l’interdire. Quel être…déchu, non ?]]. On écoutera n’écoutera pas des concerts d’electro, de rap et de metalcore comme s’il s’agissait de concerts classiques : sans faire de bruit, l’esprit focalisé sur le son, pour ne pas en perdre une miette [[ bref, il n’y aura plus que le bruit désaccordé du tiroir–caisse !]]. Comment paiera-t-on pour la musique ? ( se…réduire à cela…non merci, pas question,…)
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"La soi-disant révolution dans l’industrie du disque des années 50 aux années 60 fut
précisément la victoire de cette industrie sur une partie insatisfaite de la population par le biais de célébrités et de symboles autochtones [[retournés en…matraques…pour empêcher l’émancipation collective ! Le fric importe plus que la musique…où est l’anomalie ?]], une sorte de “libération nationale” de la jeunesse [[si ça dure toute la vie, c’est la jeunesse toute la vie ?]] qui avait laissé de côté les maîtres indigènes et les illusions vrais vécus de liberté. Les festivals de rock n’étaient rien d’autre que la célébration du triomphe d’un assaut néo-impérialiste sur la consommation culturelle de la jeunesse essayant désespérément d’apparaître comme le succès de la “révolte de la jeunesse” [[ dont certain.e.s se sont vraiment révolté contre le fric, le showbiz, les diktats éhontés à consommer, les arnaques envers la nature et les liens sociaux, etc…Elles/ils ont bien eu raison puisqu’ils sont les seuls à rester debouts !]]. La musique rock - ce point central de la “nation” jeune - exprime dans ses paroles l’idéologie de la révolte de la jeunesse [[ l’idéologie c’est ce qui empêche la réalité !]]. Transcendant les frontières de classe, de nation, le rock unit une brigade globale de jeunes consommateurs militants en un service fervent pour leurs marchandises star. Durant les festivals de rock la passion sexuelle est transformée en extase contemplative ; les enfants du spectacle pur ondulent en un désir orgiaque devant la présence totalitaire des célébrités du rock. C’est le magnétisme des marchandises qui assure fondamentalement la cohésion de cette communauté réifiée. Ceux qui ont présenté Woodstock et Altamont en une fausse dichotomie escamotent leur identité intrinsèque. À chaque pseudo-festival des groupes de musique succèdent à d’autres groupes de musique, et le public exhibe sa bonne volonté en endurant l’inconfort pendant des jours afin de réaliser leurs rêves de consommation les plus sauvages. Mais la cohésion de l’audience peut à tout moment se désintégrer et révéler sa vérité fondamentale - la séparation spectaculaire - dans sa désintégration [[Mother aura été l’impossibilité de la séparation et le triomphe de la pensée unitaire…d’où l’argent censitaire l’a censuré plus que …systématiquement !]].
Des gens ont répondu à la contre-culture parce que son contenu était en grande partie une critique partielle du vieux monde et de ses valeurs - les premiers Ginsberg et Dylan, par exemple. Sous le capitalisme avancé, tout art qui n’est pas pure pacotille conçue pour le marché de la culture “érudite”, ou pour ménager le soi-disant goût populaire [[ que le peuple n’a pas le droit de dire juste …d’acheter dans discussion !]], doit être critique envers la non-vie spectaculaire, ne fusse que d’une façon incohérente ou nihiliste [[ on te dit de te rebeller mais pas en vrai…juste en achetant et réachetant de la rébellion en conserve…à ne pas déballer !]]. Mais n’étant que culturelle, une telle critique ne sert qu’à préserver son objet. Comme elle n’a pas réussi à abolir la culture en soi, la contre-culture ne peut rien faire d’autre que de substituer une nouvelle culture oppositionnelle, un nouveau contenu pour une forme marchande immuable. L’innovation culturelle est la raison de l’optimisme erroné du hippie : “Regarde, les choses changent” - oui, mais les choses seulement. Ce qui semble avoir été rejeté et détruit est recréé morceaux par morceaux dans la reconstitution du monde de la culture. Les chansons, autant que d’autres formes artistiques, peuvent devenir des armes révolutionnaires, mais seulement si elles vont au-delà de l’artistique en faisant partie d’une praxis agitationelle qui vise explicitement à la destruction des marchandises et de la culture en tant que… sphère indépendante. »…C’est une expression de la vie collective qui ne peut être séparé d’un…style de vie qui se construit et s’auto-organise tous ensembles…et surtout pas séparés ! Qu’en est-il ? Le choix Mother reste le bon : authentique en tout et quitter la religion du fric, celle qui rend la vrai vie…impossible. Donc ? Qui a eu (ou cherché à avoir) la chance de savoir ce qu’est Mother aura vécu pour sa part la vraie vie. En tamisé, en amoindri, amis quand même en plages d’intensivités. Vrai vie (tout pour le changement de toutes les conditions de vie) à laquelle la musique massive a participé un…certain temps. Puis a stoppé net de vivre la vraie vie en acceptant que…le show biz (tout n’est qu’un spectacle et ce spectacle où il y a toujours plus de faux c’est juste pour qu’une poignée pique tout le fric !)…foute en hibernation toute la grande Aventure commune. Plutôt mauvaise idée…
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Pourquoi-notre-capacité-à-nous-projeter-dans-le-futur-est-menacée
« La mémoire du futur est donc essentielle. Quid du futur de la mémoire ? N’est-il pas compromis par la place toujours plus grande qu’occupent les mémoires externes (ordinateurs, smartphones, serveurs, cloud…), lesquelles viennent amenuiser nos mémoires internes,[[ tout le texte qui précède prouve que…non !]] comme s’en inquiètent ceux pour lesquels nous n’apprenons plus rien, et devenons, à force de tout déléguer aux machines, des coquilles vides reliées au cordon vital de nos smartphones ?
Nos mémoires internes sont sans doute amoindries par les mémoires externes mais les études scientifiques manquent, nous dit Ganascia. Deuzio, le projet d’augmentation de Neuralink rélève de la fiction. L’expert en IA préfère attirer l’attention sur une crainte beaucoup moins partagée : la précarité de nos mémoires externes. Elles sont à la fois hypertrophiées, puisque « le web, en 2020, comprendra environ 2,8 milliards de BnF ». Mais précaires, car le cloud, présenté comme la solution à la sauvegarde de nos données, n’a en réalité qu’une durabilité limitée : la persistance garantie des données serait de 100 ans. La recherche de supports inaltérables, en cours, est donc majeure - nous avions parlé du stockage sur ADN - pour préserver le patrimoine culturel que nous léguerons aux générations futures.
[[ pour M.B. oui...nous en avions déjà parlé…]] Ganascia conclut par une dernière bataille : démonter l’idée formulée par l'historien israélien Yuval Noah Harari, celle de l’avènement du « dataïsme », une religion des données qui dépossèderait les humains de leur autorité, en transférant leur mémoire du futur sur des supports externes, gouvernés par des algorithmes. « Au début de l’âge moderne, des penseurs comme Spinoza niaient de la même façon le libre-arbitre, au nom du déterminisme de la nature », rétorque Ganascia [[et si nous disons Non à Harari va-t-il rester gagnant ?]]. Revenons-en à notre mémoire du futur. [[ que tous nos textes…augmentent ]]. Le philosophe Bernard Stiegler amorce d’abord un grand détour : l’externalisation de notre mémoire est pour Stiegler une nouvelle forme d’«exosomatisation» (décrite par Alfred Lotka en 1945 pour parler des débuts de l’hominisation, il y a 3 millions d’années, avec le silex taillé). Aujourd’hui, « entre [[ et ce qui y…entre ]] les cerveaux des individus (où se logent les fonctions psychologiques, et non plus dans les cerveaux), on trouve des silex taillés, des stèles gravées et maintenant, des ordinateurs et des smartphones [[ et des anticonformismes qui sont en train de soulever…l’essentiel !.»
Stiegler appelle également à une « anti-anthropie », dans un contexte d’accélération de l’Anthropocène (ère géologique caractérisée par le façonnage de la biosphère par l’intervention humaine), et de déni d’une partie de la population mondiale quant à l’existence du changement climatique. « Car s’il ne se passe rien de radicalement nouveau à cet égard, et dans les dix ans à venir, l’avenir de la planète est gravement compromis. » L’incapacité à se projeter dans le futur [[ que nous avons conservé cette magique qualité !]] provoquera pour Stiegler d’importantes « conséquences sociales en matière de paralysie et de délitement » [[ lorsque nous parlons d’inertie sociale…c’est physiquement que nous en parlons…nos choix du gratuit maximum, des chemins plus difficiles (car quasiment jamais aidés ni élogiés – il n’y a plus que le trop d’argent qui est…aidé ! Où trône l’anomalie ?) de l’authenticité nous offrent en fait tous les …véridiques trésors…Nos capacités à vivre le futur offrent que les actualités (au lieu d’être d’informes tas qui n’informent pas) sont vécues sensuellement, spatialement et avec…toutes les dimensions à la fois. Ce que l’argent crétin ne pourra jamais acheter – il n’y a que dans des partages collectifs que cette Forme peut s’ouvrir (d’ailleurs elle le fait – voir ces derniers mois mais du…bon côté !)…et le tout en musique pas encore vécue…en masse !]].
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« La réalité semble dépasser la science-fiction d’un homme vidé de sa substance mentale et in fine, de son discernement comme de ses capacités de (ré)action ». Notre incapacité à réagir face au futur qui se dessine, qu'on l’appelle chaos, « effondrement », ou qu’on le voit avec davantage d’optimisme, gagne donc un angle d’approche de plus, celui de la mémoire du futur [[quand elle est active c’est tellement mieux]]... Nous avions évoqué au moment de la démission d’Hulot le piège du court-termisme propre à l’économie néo-libérale [[ cette perversion qui ne Peut Plus être acceptée…]], et le fait que nous serions câblés pour agir selon ce que reçoivent nos cinq sens plutôt que pour l'anticipation du futur [[ sauf si t’as le courage d’être anticonformiste, ducon !]], comme le disent le psychologue norvégien Per Espen Stoknes, ou le sociologue George Marshall. La neuroscientifique Maryanne Wolfe nous avait alertés sur la menace qui pèse sur le développement de la pensée critique, de l’empathie et de la réflexion, mis à mal selon elle par un entraînement toujours moins grand à la « lecture profonde »[[ comme nous vivons l’hyper-sensualité de lire profond, nous ne pouvons que recommander cet acte…gratuit qui ouvre à tant de trésors…que le fric n’aura jamais…Car il faut rester pauvre (à l’intérieur) pour tout…recevoir ]] du fait d'un environnement numérique entraînant d'autres facultés cognitives. Un historien, enfin, Jérôme Baschet, évoquait notre de certains le rapport malade au temps et rejoignait ce besoin de « défaire la tyrannie du présent » pour mieux inventer le futur [[ arrêtez de dire on va le faire, nous le faisons en vrai et si vous ne savez que dire on va le faire c’est que vous… !]]. Pour s’éloigner du « chaos »,[[ chaos qui ne vient que du haut (cette immense délinquance devenus)…tu tournes le dos à ces détraqués tu es…dans la paix universelle que ces crétins incapable ne vivent pas…et qu’ils voudraient empêcher à tout le monde à coups de Crs-fric. Tu crois qu’ils vont réussir ?]] ces réflexions sont utiles à… garder [[et reGarder !]] en mémoire, interne, et externe.
Ainsi par l’usage naturel de la Nature nous évitons tous les pièges répugnants ci-dessus.
………….Et vivons la Vraie vie…
…….Celle des pouvoirs (qui sont en train de perdre toute…valeur !)…
………………………Voudraient nous empêcher de vivre !
…..……………(à suivre)
…………………………….%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
………Que la pensée unitaire nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
C’est par hasard que Bernie Krause, musicien dans la Californie des années 1960-1970 — les Doors, la musique de Rosemary’s Baby et d’Apocalypse Now —, découvre la richesse des sons de la nature. Depuis, il consacre sa vie à enregistrer les animaux du monde entier. Revenant sur son parcours et ses travaux, il offre une merveilleuse plongée dans l’univers sonore du monde sauvage. Et nous invite à célébrer, malgré le vacarme des activités humaines, la somptueuse symphonie de la nature.
Comment le langage nous "ramène" la bonne musique ? - Le blog de imagiter.over-blog.com
La musique entre dans tellement d'autres dimensions vitales. Au point que ce n'est plus un spectacle mais bien la chair de la vraie vie. C'est que, coup sur coup, nous découvrons la gigantesque ...
http://www.imagiter.fr/2017/10/comment-le-langage-nous-ramene-la-bonne-musique.html
NASA SC18 Opportunity Mars Sunrise – Mars fait de la musique et c’est très audiblement joli…
Nobel de chimie 2018: quand l'évolution vient en aide aux chimistes
Top 10 World's STRANGEST MOST BIZARRE Musical Instruments Ever Invented – les10 instruments de musique les plus bizarres…la musique n’aura jamais dit son dernier mot
La Féline - Comité Rouge
La somptueuse symphonie de la nature
Bernie Krause, dans " Le grand orchestre des animaux ", offre une plongée dans l'univers sonore du monde sauvage. Et nous invite à célébrer, malgré le vacarme des activités humaines, la sompt...
Le trésor…insurpassable
Histoire. À quoi ressemblait la musique de la Grèce antique ?
Ve siècle apr. J.-C. - Grèce. Malgré l'existence de quantité de textes anciens, de vestiges d'instruments et même de fragments de notation musicale, cette question a longtemps été considér...
La poésie, du moins la poésie lyrique des VIe et Ve siècles av. J.-C. – les poèmes d’amour de Sappho, les odes de Pindare, etc. –, était chantée, c’est une chose établie. Le terme “lyrique” se rapporte à la lyre, qui accompagnait les représentations ; les textes de ces poèmes sont en fait les “paroles” [lyrics en anglais] de chants perdus. Ceux-ci étaient donnés à de nombreuses occasions allant des cérémonies aux fêtes. Les chœurs du théâtre grec du Ve siècle av. J.-C. chantaient et dansaient également, mais les tragédies ne sont aujourd’hui étudiées que comme des pièces de théâtre, et non comme du théâtre musical, parce que la musique a disparu.
Oralité ou tous les gestes de la voix ? - Le blog de imagiter.over-blog.com
Nous portons ce désir d'immenses dialogues. D'ouvrir des mondes grâce aux conversations. Nous le pouvons, même si des pouvoirs voudraient en dissuader. La force de conviction ne peut être mise ...
http://www.imagiter.fr/2017/11/oralite-ou-tous-les-gestes-de-la-voix.html
Rencontre avec Agnès Gayraud chez le disquaire parisien Balades sonores, lieu idéal pour nous parler de son livre "Dialectique de la pop" vinyles à l'appui !