N’oublions pas la vraie écologie
Après l’assemblée des assemblées, nous pouvons écarter d’un coup toutes les incompréhensions (surtout volontaires) des médias parisiens (faux surtout sur tout). La vraie écologie c’est les décentralisations maximales : des enjeux, des implications de chacun.e.s, des moyens offerts par une véridique déconcentration structurelle. La commune ou la communauté des communes s’avèrent juste à la bonne raille pour penser…globalement. Les bourgeois parisiens qui nous ont inventé une écologie politicienne hors sol n’ont jamais rien su du…véritablement local. Tout ce temps perdu à se battre là où c’était si inutile…Une France tournée vers la permaculture au maximum des bonnes volontés comme la lutte la plus efficace (à l’échelon individuel) contre les bouleversements climatiques…auraient déjà été sacrément avancée dans cette voie vertueuse. C’est la biomasse qu’il faut protéger avant tout. Sans sols fertiles, protégés de toutes chimies destructrices, comment rendre durable une agriculture nourricière de bonne santé ? L’agriculture intensive (cette folie qui « ne pense » qu’à l’argent des banques et des lobbies) demeure bien un crime contre l’Humanité. Bon : devant l’effondrement achevé des fausses élites (celles sans cesse brandies dans les médias vides de réels contenus)…les vraies élites vont pouvoir, enfin, réparer (ou seulement commencer) les dégâts. Mais, tout d’abord, assainir les flots boueux de verbiages inutiles, de manques de pensées les 2 pieds sur terre, pour une mise en synergies des solutions. Solutions qui ne se nuisent pas l’une l’autre mais adoptent la seule posture qui vaille. Soit ? Se mettre à l’écoute (tiens encore !) de la Terre et l’aider à se guérir en allant toujours dans son sens. Répondre à ses besoins réels et ne plus jamais la voir comme un objet inerte et «sans valeur» (sic) juste là pour les caprices des plus que…déshonorés bourgeois. Tout d’abord – la manière des Gilets jaunes de vivre (et d’envisager) la Nature n’a rien à voir avec ce qui est dit par les …menteurs centralistes : sûr que ce n’est pas par des taxes que l’on fait avancer l’écologie. Certain que ce n‘est pas avec des bouffées de grandeurs…hors de portée comme l’affaire du siècle que nous accédons à la participation spontanée de toutes et tous. La plus décentralisée possible. Les mobilisations gilets jaunes démontrent à quel point c’est possible le plus décentralisé. Aussi, Il ne faut désirer nulle gloire ni renommées bruyantes à animer tout le local transformé en volontés écologistes. Ce pourquoi les divers partis Verts n’auront été que narcissiques. Il eût mieux valu investir (avec humilité et bon sens) toutes les communes et les départements. Et, aujourd’hui nous serions dans une société vraiment…écologique. Ayant joint la Justice sociale (nécessaire à la vraie écologie !). Qui ne peut survenir que hors des stationnements passifs et improductifs devant des stars statufiées….
>>> --- **** Rendre la société vivable (donc sociable, à l’écoute, à l’aide des plus faibles, solidaire, etc.) c’est rendre la Terre vivable (enserrer les multinationales qui, livrées à leurs seules déraisons, ne savent que…déconner en grand – donc régulations, partout donnant-donnant (genre pas de subventions ou exonérations sans résultats), engagements de respects des réglementations écologiques (avec vérifications et sanctions genres pertes des contrats ou de délégations…)….etc. Et puis communalisme. Le local c’est l’espace des prises de décisions communes, d’utilisations des bonnes idées du coin, des initiatives multilocales et des mutualisations de tous les projets qui seront réussis. Au lieu d’un centralisme qui étranglent les initiatives et épuisent les ardeurs – un fédéralisme de tous les énergies locales qui veulent s’y adonner. Il y a tellement plus de réflexions bien menées que de projet en cours. Le collectif a donc une sacrée avance sur les individus ! Voyons comment…
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Grand-débat-national-Le-gouvernement-réduit-la-question-environnementale-à-des-choix-binaires-!
En creux se dévoile une absence de toute vision sérieuse sur la transition écologique de la part du pouvoir, dont l’action se borne à un…« spectacle de communication ». Entretien. Basta ! : Sur les 17 questions relatives à la transition écologique, une majorité a trait aux comportements individuels. Par exemple, cette question : « Qu’est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ? ». Qu’incarne selon vous une telle approche ? Amy Dahan : Depuis son accession au pouvoir il y a dix-huit mois, Emmanuel Macron n’a proposé…aucune vision de la transition écologique [[ notamment en ne demandant strictement Rien aux entreprises polluantes – ce qui rend impossible tout changement de direction de la société. Et donc, en dernière analyse, se démasque très anti…écologique !]]. Il y a d’abord eu un sentiment positif autour du «Make our planet great again» lancé en juillet 2017 en réaction à la position de Donald Trump de faire sortir les États-Unis de l’accord de Paris. Cela a été suivi par la convocation du sommet sur la finance verte en décembre 2017. Mais nous en sommes restés à un vain spectacle de communication.
Nicolas Hulot n’a d’ailleurs pas davantage réussi à dégager une vision [[ puisqu’il n’en a pas !]]. Ce qui s’est exprimé avec ce gouvernement, c’est l’accentuation d’un certain nombre de mesures pour l’économie, les grandes entreprises, les multinationales... dans une perspective trop ultralibérale. C’est un problème ! Aujourd’hui, les questions du grand débat national sont posées dans un cadre extrêmement individuel [[donc sans issue…]], alors même que c’est une grande transformation à la fois matérielle et sociétale qui devrait être à l’ordre du jour [[ avec ces irresponsables millionnaires au pouvoir la société ne s’écologisera jamais, tout ne peut qu’empirer. Et la répression de droite dure (et hors sujet) contre ceux/celles qui nous rappellent au réel urgent démontre à quel point ces hors réel au pouvoir veulent entraîner la société au suicide !]]. Face à la dégradation du climat et la course de vitesse dans laquelle nous sommes engagés, le gouvernement ne propose absolument rien à propos de cette transformation [[ l’oligarchie reste le pire obstacle pour vivre sainement sur une Terre respectée – il est plus qu’urgent de la mettre hors d’état de nuire…]].
A l’aune du changement climatique, est-il important de traiter de la question des modes de vie ? Mais les modes de vie sont aussi déterminés par le cadre général des infrastructures que propose la société, et l’évolution des valeurs culturelles mises en avant par la société et le pouvoir [[ à ce sujet le libéral capitalisme est l’ennemi de la planète. Il n’est pas réformable. De ne pas en prendre conscience retarde d’autant toutes les bonnes décisions à prendre !]] . Avec ce questionnaire, on entre par la petite porte [[ soit en bâclant tout plan global d’envergure qui rendrait ces petites actions efficaces…puisque les grandes pollutions sont …préservées et il n’est agi que sur un peu plus de…10 % tout en répandant la diffamation que ce sont les pauvres et les moyens qui polluent…Alors que ce sont les trop riches. A qui Rien n’est exigé. Ils sont à peine 10 % de l’humanité et cumulent plus de 50 % des pollutions. Les 50 % les plus pauvres n’en font que 13 % et donc ne peuvent que réduire à la…marge (ramener à …11 % ou 10 %) – il est donc insultant et dérisoire de se concentrer là-dessus. Tout est saboté PAR LE HAUT ! Les pouvoirs sont indignes…]] en demandant si l’on est ou non d’accord pour isoler son logement ou faire du covoiturage. Or, ce qui peut sembler être de « petites choses » ne sont pas négligeables dans un contexte où le sentiment d’injustice sociale, très largement justifié, est exacerbé. La transition écologique ne pourra pas fonctionner dans ces conditions [[et tant que le profitisme ne sera pas arraché de la société en tant que…maladie mentale, ce ne le pourra…le capitalisme infantile ne respecte ni les humains ni la Terre et la vie : comment pouvons-nous permettre de le laisser durer une seconde de plus ?]]. On ne peut pas convaincre des gens de s’endetter pour isoler leur logement, alors même qu’ils ont déjà des difficultés à boucler leur fin de mois et un sentiment de perdre en niveau de vie [[ce pourquoi il est prouvé que trop d’inégalités DÉTRUIT la société. Seul le retour à l’égalité sociale et économique permet les grandes transformations nécessaires. L’égoïsme des riches est suicidaire. Ils ne sont donc pas une élite mais le…pire de l’Humanité. Une seule preuve ? L’amalgame de leurs …corruptions. Donc alors qu’ils polluent tellement moins que les riches la fiscalité écologique reste trop largement supportée par les ménages modestes, tandis que les grandes entreprises polluantes ou les utilisateurs de kérosène restent largement exonérés….(pollueurs = non payeurs !) Ce qui est se moquer du monde…et de soi-même. L’aliénation des riches est à son comble : au point qu’ils nient chaque seconde les réalités ! Jusqu’à sombre en pleins délires…]].
Regardez les industries des technologies numériques (les Gafam : Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) : malgré les apparences, elles sont très polluantes. Les plateformes de traitement des données consomment énormément d’énergie et fabriquent beaucoup de chaleur. Il faut les contraindre à ce que l’énergie thermique émise puisse être récupérée et réutilisée [[ le minimum des décisions concrètes à imposer donc à ces têtes décidément folles…]]. Sans parler du cycle de vie des téléphones et autres objets électroniques… C’est un scandale que ces entreprises, qui réalisent des bénéfices énormes, paient aussi…peu d’impôts. Elles se disent favorables à la transition écologique et énergétique, elles parviennent à faire passer le capitalisme californien pour « green » et « moderne »... Pourtant, en faisant de l’évitement fiscal, elles soustraient l’argent nécessaire à la transition écologique et à la dé-carbonisation réelle de l’économie [[ ce qui les montrent extrêmmement ringardes, réactionnaires, noircies de déchets toxiques et complètement…hideuses. En plus que de planer hors tout réel concret…donc de perdre toute stature intellectuelle pour refuser de participer à….l’effort collectif. Le mot délinquance devrait leur être généreusement accolé !]].
Les débats locaux peuvent-ils permettre des avancées concrètes ? Effectivement, il ne faut pas tout attendre des accords internationaux. Il faut revenir à des échelles nationales, régionales, des villes... pour que tout le monde s’engage [[donc sur des bases …d’égalités économiques. Il n’y a que lorsque Tout le monde aura un revenu décent que chaque participation individuelle pourra être décemment proposée. ET donc ? Centralisme et capitalisme doivent être arrachés de la société comme…dangers publics !]]. J’y crois d’autant plus aujourd’hui que nous avons obtenu un accord international à Paris il y a trois ans et que, finalement, pas grand chose ne bouge depuis [[ le haut ne sait que semer l’inertie et l’irresponsablité ruisselante – c’est le monstre nihiliste incarné. Et d’une cruauté qui augmente avec son incapacité à…diriger. L’exemple de l’hyper violence policière (qui se nie elle-même) prouve sa …puérilité basique : cogner pour empêcher de parler, de montrer, de rendre…manifeste est la pire des bunkérisation qui soit. Désormais, ils se sont…auto-condamnés à se …terrer dans leurs tanières. Qui peut oser dire qu’ils ont une once d’intelligence ? Même pas un milligramme !]]. Les émissions augmentent, le changement climatique s’accélère, et nous ne sommes ils ne sont pas à la hauteur du défi [[ et nous oui ! Alors laissons les vraies élites prendre le pouvoir décisionnel. Ces détraqués pourront camper dans le pouvoir symbolique comme…transition !]]]. Or les transformations sont aussi matérielles. Nous avons à changer. Ce n’est pas évident d’en avoir conscience et ça ne s’improvise pas [[ Faux – assez d’êtres brillants ont fait connaitre les possibilités fantastiques de transformation. Mais la diffusion reste …entravée par celles/ ceux mêmes qui osent traînailler dans les il faudrait dire/faire ceci et cela …alors que c’est déjà dit/fait. Le mot prise de conscience toujours…retardée, entre leurs mains, reste donc suspect !]]. Le grand débat peut être l’occasion pour les gens de comprendre les intérêts en jeu, leurs horizons, leurs alliés [[ à condition qu’ils ne soient plus squattés par la peste électorale – ces tricheries nauséeuses dont plus personne ne veut !]]...
Mais comment débattre, alors même que nombre de questions posées proposent une seule réponse possible, évacuant totalement la complexité des interactions ? A titre d’exemple, la première question consiste à identifier « le problème concret le plus important dans le domaine de l’environnement », et à choisir, avec une seule réponse possible, entre « pollution de l’air », « érosion du littoral », « dérèglements climatique » et « disparition de certaines espèces »... Les questions sont biaisées infantilisées donc rendues inaudibles, non ? Vous avez raison. Le gouvernement [[ qui ne peut plus être excusé sur rien tant ses gesticulations s’avèrent extrêmement nuisibles pour Toute la société…leur libéralisme dérivant fasciste est plus qu’à côté de la plaque…et sur tous les sujets ]] réduit la complexité de la question environnementale à des choix binaires. C’est absolument insupportable et il faut en montrer l’inanité [[ c’est Simplex qui se fait passer pour intelligent gaga !]]. Mais à mon sens, il faut quand même se rendre à ce grand débat qui peut être – si l’on est optimiste – un premier pas vers quelque chose. Ne pas y aller ne nous fera pas non plus avancer [[ ridicule…faire le VRAI débat ailleurs est aussi plus efficace. Vrai ou faux ?]]. L’apprentissage de la complexité, de la discussion dans les classes populaires et moyennes, doit s’appréhender [[ merci les ronds points y ont veillé…inutile de la faire extraterrestre !]]. Je ne vis pas près des ronds-points et il y a sans doute plein de choses que je ne perçois pas [[clair !]]. Apprenons les uns des autres, et à nous confronter à des personnes qui ne sont pas convaincues. »…Faire tout de suite – arrêter donc de dire que l’on…va le faire…Ce qui est notre description du délire ivre de la société depuis …30 ans. Toujours repousser les décisions SÉRIEUSES (et urgentes pour toujours plus d’humain.e.s) …à toujours plus tard. Sauf que nous n’excusons pas l’effondrement des riches qui osent matraquer injustement celles et ceux…qui fournissent le plus d’efforts citoyens en ce sens. Ne pas condamner puissamment la police comme antirépublicaine (et donc délinquante ou voyoue) c’est empêcher que tout le …..monde s’y mette. Facile à comprendre !
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La-civilisation-a-atteint-son-seuil-de-contre-productivité
« Trois ans et environ 110 milliards de tonnes de CO2 après l’historique COP21, le monde a assisté à un meurtre en direct et le monde a laissé faire [[ Faux - uniquement la si indigne partie bourgeoise de ce monde, si vautrée dans ses sempiternels manques d’efforts et…de respects attentifs pour les autres !]] : la COP24 fut le lieu d’un assassinat prémédité des pays les…moins développés et des États insulaires par les États-Unis, la Russie, l’Arabie saoudite, le Koweït, le Brésil et quelques autres nations pétrolières [[ symétrique que de laisser matraquer impunément les Gilets jaunes….la grave déchéance bourgeoise qui mérite des millions de coups de pieds aux culs Admet de sacrifier une partie de la population en paiement de son INACTION antisociale permanente. Ouais, c’est parce que les bourgeois sont des tas de fainéantises citoyennes que des vrais humains dignes d’éloges se font flashballé.e.s. Comprendre ceci c’est aider le progrès social à redémarrer. Ne plus jamais, même une seconde, masquer le dégoût extrême que procure l’avachissement bourgeois, chaque jour plus indigne de l’Humanité !]]. Spectateurs indolents du carnage : une Pologne flasque, une Europe divisée qui s’enferme dans des tournoiements pathétiques autour d’on ne sait quel pot et un Macron champion de…l’absence plus que de la Terre. En somme : d’un côté des peuples désemparés faisant face à une disparition à moyen terme si le réchauffement planétaire dépasse les 1,5 °C par rapport à l’ère pré-industrielle ; de l’autre quelques oligarchies financières donnant dans l’antijeu pour attiédir les efforts collectifs [[ soit des lâches et des lâches qui ne survivent que dans tous les dénis de la réalité. Nier n’est pas prouver. Ils ont perdu toute stature de parole : technocrates inhumains et oligarques fous n’ont plus ….rien à dire (ce partage de la parole collective) !]] de lutte contre le dérèglement ; et témoins de la scène, l’esprit manifestement ailleurs, des pays affichant une apathie moralement insoutenable. Certes des règles multilatérales d’application de l’accord de Paris ont été entérinées, par contre on était en droit d’espérer des mesures à court terme et de ce côté [[ facile à comprendre : autant les pauvres diffamés sont toujours pleins de bonnes volontés et de serviabilités – autant les riches, aigris en croûtons, ne sont que mauvaises volontés et trop mauvais citoyens. Ils n’agissent donc que contraints et forcés (toute dérégulation à leur égard est une faute politique inexcusable). Un riche doit être contraint – c’est la triste vérité. Chaque jour il trahit les lois de la réPublique !]], c’est la loi du vide qui s’est imposée. Une lacune totale de perception du sens de l’Histoire chez les dirigeants. « Aucune sortie par le haut ne viendra d’en haut [[ ils ont failli sur tout. Il ne faut plus rien espérer d’eux. Ils ont les manettes décisives, mais, eux-mêmes, ne peuvent les atteindre puisque, hors sol, ils planent hors de l’atteinte à ces manettes – égaré.e.s dans leurs vaines bulles de narcissismes. Jamais depuis des siècles nous n’avons vu des dirigeant.e.s aussi peu conscient.e.s de leurs propres…devoirs. Gaspillant le temps public à insulter des innocents, des démunis, des privés de tous médias et ne pouvant rien faire pour aider au sort commun…au lieu de se bouger eux-mêmes. Ainsi, vraie écologie = le macronisme n’a strictement rien fait. Qui iraient les recouvrir de réprimandes sévèrement méritées ? Vaut mieux faire comme s’ils n’existaient déjà plus et attraper toutes les bribes existantes qui permettent d’Agir avec ou sans leurs accords !]]. »
Allons droit au but : aucune sortie par le haut ne viendra d’en…haut. Pour l’instant ça se joue au niveau territorial : seuls les citoyens, les élus locaux, les patrons de PME, les réseaux citoyens et associatifs, les artistes et communicants, les investisseurs aussi, ont le pouvoir de faire évoluer les choses à l’échelle locale sans attendre vainement que ça vienne du politique, [[ clair aveu que le politique ne sert plus à…rien qu’à nuire et que tout ira mieux SANS EUX !]] en posant au jour le jour les bases de nouveaux systèmes résilients, adaptatifs, désirables, sobres en ressources et en énergie, et dignes : un foisonnement d’autres manières de vivre ancrées dans les territoires. [[ Paris, l’indigne, étant devenue la plus mauvaise élève de France, l’arriérée permanente…elle doit se voir dépossédée de toutes ses fonctions vives !]]. Au niveau politique et diplomatique, c’est verrouillé. Ne pas oublier que les COP se jouent dans une arène dont les règles sont fixées par la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, texte où l’on peut lire (article 3, alinéa 5) l’impératif de croissance et la primauté du commerce international.[[ ce qui rend impossible, dans les textes, toute action LOCALE …alors quittons ces textes et agissons hors tout Centralisme, mort de trop d’attentismes !]] En somme : pour résoudre la « crise climatique », il faut investir massivement dans les pollutions et la destruction de la vie et cela requiert de la croissance…marchande irresponsable, ma bonne dame.
Ce paradigme de pensée est démontré faux par l’expérience du monde réel. Il a beau dominer les politiques publiques et la pensée politique [[ dont nous sommes, grâce à la barbarie fasciste de sa police, en train d’apprendre à nous passer totalement !]], il est invraisemblablement farfelu. Primo, il part du principe, inepte, qu’une croissance infinie dans un monde fini est un but atteignable ; secundo, il consiste à miser l’avenir du monde sur une notion que l’expérience, jusqu’ici, à toujours invalidée : celle du « découplage » (l’idée selon laquelle la quantité de biens et services produits peut croître et l’empreinte écologique diminuer). Tout cela participe d’une mystique délirante qui choisit d’ignorer le réel : en effet, il est facile de constater qu’en dépit des efforts consentis pour une transition énergétique au niveau international, les émissions climato-détraquantes ne cessent d’augmenter. On cherche en rond des « solutions » (politiques, réglementaires, normatives, économiques, technologiques...) au « problème » du dérèglement climatique alors que le dérèglement climatique, en réalité, n’est pas un problème. C’est un symptôme. La conséquence d’une malfaçon largement plus fondamentale à laquelle les élites non élites et les médias ne s’intéressent pas [[ ils préfèrent virer à la folie intégrale…depuis 3 mois la certitude qu’ils sont vraiment détraqués est devenue massive ! Ils sont vraiment out !]].
La cause primaire réside dans la manière dont notre civilisation elle-même est conçue. On peut la modéliser sous la forme d’un flux : en amont des ressources qu’on extrait ou exploite ; au milieu les sociétés, où les gens vivent et consomment en utilisant de l’énergie ainsi que des ressources ayant été transformées grâce à de l’énergie ; en aval des pollutions solides, liquides et gazeuses (dont les gaz à effet de serre). Ce flux est linéaire et n’en déplaise à ses promoteurs, « l’économie circulaire » ne permet de circulariser que quelques processus bien spécifiques de certaines filières d’activité – jamais la civilisation tout entière ne sera cyclique [[ du moins tant que la maladie mentale du profit durera ]]. Remplacer les sources d’énergie émissives par d’autres moins émissives est impératif, tout comme supprimer les mésusages et les pertes notamment thermiques, réinterroger nos besoins [[ ce qui commence par pointer la pub comme une…délinquance qui ne veut que Tromper !]] et revoir nos consommations énergétiques et matérielles à la baisse [[ donc quitter tout consumérisme…en disqualifiant une bonne fois cette folie hyper toxique et gravement antisociale (pour mes besoins que je considère comme…supérieurs ET indiscutables, je suis prêt à détruire tous les humains, toutes les vies et le futur commun : plus nuisibles esprits grands délinquants vous en avez déjà vu, vous ?]]. La transition énergétique ne peut être qu’une des composantes d’une palette de stratégies nettement plus large, systémique, qui s’attaque aux causes primaires plutôt qu’à leurs conséquences. Sinon, le chemin sera différent mais la destination restera la même : un déclin généralisé [[ par le haut – c’est cela qui est insupportable – le style de vie des pauvres c’est le meilleur pour la…planète et la survie de la civilisation !]], et probablement une série d’effondrements sociétaux plus ou moins abrupts [[ empêcher les dirigeants illégaux de continuer à nuire demeure donc le but le plus noble actuellement. Aider tout le monde aboutit à la résolution d’y parvenir…
Nos-enfants-grandissent-exposés-à-un-cocktail-toxique-d'herbicides-d'insecticides-et-de-fongicides et pour la 1ète fois chez les humains - à 100 % exposés aux pesticides…
et
en-35-ans-98-%-d'insectes-en-moins-sur-le-sol-et-80-%-en-moins-dans-la-canopée
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L'écologie-du-mensonge-à-terre-!
« Elle pourrait bien ne plus s’en relever. Et avec elle un pouvoir qui n’a plus que ses infrastructures médiatiques [[ soit du vent –car tu les écoutes ni ne les regardes plus et AUCUNE de leurs gesticulations ne…sert plus à rien !]] comme légitimité face à l’urgence d’un monde qui va au gouffre. » Il n’y a bien que les sociologues, grands médias et autres spécialistes improvisés en « giletsjaunologie » pour ne rien vouloir comprendre à ce qui est en train de se passer en France... avec cette grande révolte insaisissable venue briser joyeusement la vitrine du macronisme [[ avec rien derrière !]]. La police elle-même convient qu’il y a, dans ce pays, comme une « situation pré-insurrectionnelle »... Pour toute conSommation, le largage sur le peuple de gaz lacrymo et de grenades GLI F4, est dorénavant la réponse systématique du pouvoir à ce peuple qui « ose se révolter » [[ parce qu’il en a toutes les raisons au point d’avoir raison et ce gouvernement de millionnaires irréalistes complètement Tort. Ce pourquoi il ne sait que répondre que par « l’argument des faibles » : la violence qui se dénie elle-même !]]. Micron a été assez clair, le 10 décembre au soir, dans son discours piteux chronométré 12 minutes, après 4 semaines de conflits ouverts : priorité à l’ordre et aux (ex)actions de la police (contre l’état de droit lui-même), la fortune des riches n’est pas négociable [[ dans la société spectaculaire-négoce !]], rien sur l’écologie – qui pourtant avait été le maître mot de sa taxe carbone – et des miettes pour les pauvres... Cela donne la couleur pour la suite du quinquennat [[ inutile d’insister : la com’ aura été de la terre brûlée, il ne reste plus rein (la répression est toujours a pire des erreurs politique !). Plus personne ne peut CROIRE le moindre des mots de la macronie…tout n’y est que mensonges, profilages de tromperies et enlisements dans les grotesques sordides…. Objectivement, sans un changement de cap complet…inutile de faire semblant d’être là. L’opposition frontale sera permanente (65 % de la population Soutient les gilets jaunes et…toujours moins le macronisme en pleine « désastrie » : et chaque jour elle dira TOUT MIEUX !]]....
Ce qui est certain, c’est que nous ne sommes pas face à une « fracture territoriale » entre les métropoles écolo-smart et les périphéries de ploucs-pollueurs, contrairement aux dires des cartographies d’experts patentés ; mais bien en face de l’éclatement des rouages du pouvoir lui-même. La taxe carbone n’a été qu’un déclencheur de la mise à nu du mensonge gouvernemental [[ du mensonge…comme gouvernement !]]. Partout, l’évidence saute aux yeux, sans besoin de grandes démonstrations : mais quoi, on nous parle de transition écologique alors qu’il s’agit avant tout de renflouer les caisses de l’état [[ pillées illégalement par les trop riches !]] ! Et puis, comment encore croire ceux qui prétendent « sauver le climat », alors qu’ils poursuivent une politique incompatible avec le vivant lui-même !? Le constat fait par quelques écologistes il y a dix ans, est devenu une vérité partagée de tous : les 10 % les plus riches sur ce globe comptent pour 50 % des émissions mondiales de dioxyde de carbone. Les riches détruisent la planète, à bas les riches, titrait efficacement Hervé Kempf dans une tribune de Reporterre le 4 décembre.
Le macronisme a tenu un moment sur le pari, perdu d’avance, d’une paix possible entre business et environnement. Il a lâché massivement le mot « transition » dans l’espace public comme outil miraculeux pour réparer un système en crise [[et à force de mentir et de se…tromper d’insultes, il aura stupidement agrandi immensément la crise !]]. L’effondrement généralisé qui taraude ce gouvernement, à en croire sa préoccupation pour le sujet, fait plutôt office d’électrochoc pour un roman national à l’agonie. Dispositif technique opportun pour pacifier les conflits réels autour de la question écologique, à savoir la question simple, mais radicale, de la possibilité même d’une vie digne de ce nom sur Terre. Ne vous inquiétez pas dit Macron « on va traiter les deux, la fin du monde en même temps que de la fin du mois ». Sauf qu’il ne fait là, comme d’habitude, que du pur management, [[ donc du blabla, de la com’, du délire verbal, etc. – sans jamais Rien derrière !]] en accord avec la doctrine la plus classique, qui consiste à, d’un côté, responsabiliser les citoyens – chacun doit « faire quelque chose pour le climat », notamment payer des taxes ! [[c’est quoi le rapport déjà ?]] – et de l’autre côté, poursuivre la même logique capitaliste de déresponsabilisation systémique [[ la folie macronienne c’est de ne Jamais parler des trop riches, de ne jamais les souligner comme causes évidentes de tant de catastrophes et donc de (logiquement) limiter leurs possibilités de…nuire. Mais de s’entêter ridiculement à dire que tout est de la faute des pauvres…donc que ce sont eux qui dirigent le monde pour avoir autant d’impacts sans avoir aucuns moyens. Ce qui vire à une pensée magique pré-religion qui est en train de fendiller la certitude que la macronisme pouvait être rationnel – c’est du 100 % irrationnel, du délire maniaque, soit une…imposture complète !]] – produire et encore produire pour assurer la survie des seuls marchés. [[ qui ne pourront survivre…sans populations pour faire Tout fonctionner et sans Terre vivante pour y…vivre…à part cela ils ne sont pas complètement fous ?]]. Ce système est piégé dans un dilemme intenable : prétendre sauver la planète par ce même capitalisme qui est en train de la détruire. De quoi se taper la tête contre les murs ou s’exercer à la fonction quotidienne du mensonge politique [[ sauf que l’intelligence collective est devenue plus forte qu’eux, ce qui aboutit à ceci : quel que soit le mot qu’ils disent il se Retourne implacablement contre eux. Mentir devient impossible. Or, à part cela, que savent-ils faire d’autre ? Rien – donc le tout ce qui vous direz a été retenu contre eux…et ils tombent et tombent toujours plus vite…]].
Derrière le discours de Macron et son teint de DRH endeuillé, ce qui est en train de craquer, de craquer en profondeur, dans tous les tissus de la société, c’est bien cet échec d’un deal entre écologie et économie. La coopération entre des ONG environnementales et Monsanto par exemple, avait déjà été formulée dans le monde du management des années 70’-80’ aux États-Unis : nous finançons vos campagnes de lobbying écolo mais vous arrêter de pourrir notre image de marque ! Cela a abouti à la promesse [[ d’ivrogne ]] d’un capitalisme vert dans les années 90’ avec le marché des droits à polluer. Si aux consommateurs, il était enjoint de trier leurs déchets, d’acheter et de se comporter en green citizen, les entreprises, elles, pouvaient continuer leur appropriation marchande de la nature sous le prétexte que seule cette appropriation…marchande était la condition de la préservation [[ ce qui contrevient à toute logique et les met dans une mélasse monstrueuse en 2019…il n’y plus de négation de la négation de la négation possible à avoir fait croire à l’hyper positivité sans ombres !]]. En gommant tout antagonisme autour de la nature devenue un champ de bataille politique. Comme le dit excellemment Grégoire Chamayou dans son dernier livre « La force psychologique de ces tactiques [de responsabilisation individuelle] c’est qu’elles vous disent quelque chose de très agréable à entendre, quelque chose de vrai aussi, pour autant qu’on le conçoive adéquatement : tout est entre vos mains, vous avez le pouvoir de « faire la différence ».[[ sauf que nous allions l’utiliser en vrai…oui devenir Gilets jaunes…l’incitation des abrutis capitalistes est trop puissante ! Eux seuls auront créé les conditions complètes de leur chute !]]. Elles s’efforcent de canaliser de puissantes aspirations à changer les choses ici et maintenant, y compris au ras des pratiques de la vie quotidienne, mais en les piégeant dans des formes d’action inoffensives [[ mais qui ne pouvaient pas le rester…la naïveté crasse des oligarchies n’est plus à démontrer : vous allez dans le sens flatteur qu’ils sont insurpassables, mine de rien vous glissez des impossibilités logiques, les 2 mûrissent ensembles et advient le cocktail qui se…retourne contre eux et à 100 %. C’est ce que fait l’intelligence collective pour qui a …l’humilité d’y entrer. Oui t’as un égo énorme, ton volume pondéral ne te permet pas de te faufiler dans cette danse magique des légèretés !]]l. La promotion corporate du recyclage fut une tactique de ce genre : circonvenir les oppositions potentielles en maintenant les gens dans un état d’affairement apolitique » La société ingouvernable, Une généalogie du libéralisme autoritaire, pp198-199.[[ vous savez celui qui s’auto-nique !]]
C’est exactement ces dispositifs qui aujourd’hui partent en vrac, et que le gouvernement tente de rafistoler à toute allure [[ plus ils essaient plus cela s’effrite…incroyable, non ?]]. Mais les appels à être écologiquement responsable tout en étant économiquement efficient ne marchent plus, on n’écoute pas, on n’obéit pas, on a trop bien compris l’arnaque. Macron continue pourtant dans cette aporie cynique, car c’est la seule réalité qu’il connaît [[ plus démuni et égaré est-ce possible ?]]. En déroulant, à qui veut l’entendre sa « méthode », sa « pédagogie (sic) » pour que le monde de la finance marche main dans la main avec le monde de l’écologie …. blablabla …., il établit en fait concrètement son plan de guerre. Le 27 novembre, 10 jours après le début du mouvement des gilets jaunes, et comme une réponse à la « grogne » populaire, il installe le Haut Conseil du Climat (HCC) en lien avec la programmation pluriannuelle de l’énergie. Ce HCC a pour mission de « conseiller le gouvernement en matière de transition écologique, de contrôler et d’évaluer les mesures prises par l’exécutif ». Mais à y regarder de plus près, cette tentative pour concilier Finance et Climat est bien plutôt une tentative pour concilier la Finance avec elle-même. Et d’asseoir stratégiquement le jeu des grandes entreprises au sein de la financiarisation de la nature.[[ résultats ? Localement ils ne pourront plus passer nulle part. La porte de la crédibilité vient de leur être claquée au nez !]]
>>> *** Passons au crible le dispositif HCC et ses composants. A côté de Laurence Tubiana, ex-négociatrice pour la France lors de la COP21 et créatrice du think tank IDDRI – spécialisé dans la gouvernance mondiale et le développement durable – Pascal Canfin, directeur général de WWF France – chantre opportuniste de l’économie verte – ainsi que 2 membres du GIEC, on ne trouve pas vraiment des enfants de cœur de l’écologie vertueuse, mais plutôt des ingénieurs et des économistes ultras [[ drogués durs à l’idéologie…]], qui se sont spécialisés dans la fiscalité carbone. Dont Benoit Leguet – directeur général d’I4CE (Institute for Climate Economics) – puis Alain Grandjean – directeur de Carbon4 Finance, membre du conseil scientifique de la Fondation pour la Nature et l’Homme FNH (fondée par Hulot) –, ou encore Jean-Marc Jancovici – président du think tank The Shift Project, lui aussi membre du conseil scientifique de la FNH (qui elle-même est bien loin d’être sauve de ce genre de coopération en acceptant des financiers comme EDF, RTE, ou L’Oréal...) A titre d’exemple, I4CE est une émanation de la Caisse des Dépôts et de l’Agence Française de Développement, et elle a pour partenaires, entre autres, les entreprises et banques suivantes : BASF Agro, Banque fédérale des Banques Populaires, Crédit Agricole, Dalkia Egis, EDF, Eiffage, Enerdata, Engie, GDF Suez Energie Services, InVivo AgroSolutions, Lafarge, Natixis, SNCF, Solvay, Total, Veolia…belle brochette d’aménageurs et d’énergéticiens en tout genre. The Shif Project, quant à lui, collabore avec le Carbon Pricing Leadership Coalition (CPLC) et la coalition We Mean Business, et P2E (Cercle Promodul, EDF, Saint-Gobain, Schneider Electric). Tout est dit [[ donc ils ne pourront plus…rien dire !]].
Sans exception, il s’agit pour ses think tank, en partenariat avec les industriels, de promouvoir la financiarisation de la nature et de donner un prix au carbone afin de rendre les marchés de la compensation plus performants. Les dégâts environnementaux, puisqu’ils produisent des « effets de raréfaction » sont l’occasion d’un nouveau cycle de marchandisation : une richesse naturelle, sur l’autel du sacrifice économique et de ses prêtres reconnus, devient une valeur échangeable. La destruction d’une zone humide, par exemple, peut être mesurée, quantifiée et transformée en flux financiers. Le voilà le plan d’action macroniste qui englobe le « naturel » comme le « social » : les êtres et les choses qui n’étaient pas encore rentrés dans les circuits de l’économie totale, devront y devenir VALEUR, ou disparaître [[ à part que ce sont ces raisonnements vicieux et viciés qui disparaissent…et les vraies valeurs revivent grâce aux gilets jaunes mais tellement d’autres cœurs qui, depuis tant d’années préparaient la nouvelle civilisation qui ne peut que balayer les vaines scories du macronisme sans plus de crédibilité ! On ne cogne pas impunément sur les «bons» manifestant.e.s…]] . Et ceux qui résistent subiront le courroux d’une police aux pleins pouvoirs et d’une justice d’exception. L’acharnement judiciaire contre les militants de Bure n’en est qu’un exemple, à côté de la « nasse » et du gazage des marches pour le climat qui auraient eu l’idée de rejoindre les manifestations de gilets jaunes...
Dans de nombreux endroits en France, cette mise à nu du mensonge gouvernemental de l’écologie, a été partagée sur les ronds points, les péages, les routes, et au-delà des divergences politiques. Des gestes de soutien entre différents mouvements de lutte, et de défense territoriale ont été portés. Par exemple, une déclaration d’écologistes en soutien des gilets jaunes, a été publiée dans un texte daté du 22 novembre. Ces écologistes affirment leur soutien aux gilets jaunes de la zone portuaire de Saint Nazaire. Dénonçant l’écologie punitive, ils réaffirment l’urgence de réduire notre consommation d’énergie fossile [[ que les seuls trop riches ne veulent pas réduire, vivant une vie de malpropres complets à jets privés et à yachts de trop grands cradingues…]], la modification radicale de nos modes de vie, mais aussi l’urgence d’assurer une vie digne à tous. Et surtout, ne plus croire aux « fausses solutions dirigées par la finance verte : développement de la voiture électrique, de l’éolien et du photo-voltaïque industriel, du bio gaz, prolongation de l’utilisation des pesticides etc. » Et c’est bien un mouvement de fond, qui face aux mesures de fiscalité carbone, ose enfin dire que ce n’est pas aux plus pauvres de porter la responsabilité du désastre en cours [[ l’oligarchie en quelques semaines a perdu le terrain obttenu par 40 ans de propagandes ! Et elle pavanerait ? N’importe quoi !]], ni d’applaudir benoîtement aux « solutions vertes » que des gouvernants hors-sol ont concoctés sans eux [[ceci se nomme s’auto-niquer. Impossible de dire encore que l’écologie se fait AVEC le capitalisme. Donc à part être coincés que peuvent-ils faire ? Ne plus parler d’écologie ? Sauf que…mauvaises consciences, ducon. Celle qui fait trembler les sociétés n’ayant que l’hypocrisie comme ciment !]]. C’est ce qui ressort également du soutien affirmé de certaines composantes de la ZAD de NDDL et de l’Amassada qui toutes insistent « Sur les ronds-points, ces derniers jours, le soulèvement des gilets jaunes a mis en lumière les lignes de rupture des années à venir. Entre un capitalisme soi-disant « vert » qui veut faire payer aux pauvres les dommages irréversibles que ses parangons ont causé, et ces mêmes pauvres qui ne sont pas si dociles qu’escompté. Le changement climatique et donc l’effondrement de nos possibilités de survie est la contradiction interne principale du capitalisme actuel. Et nous faire payer la gabelle sur son désastre ne la résoudra pas [[ d’autant plus qu’ils dégainent stupidement l’outrance répressive…tout en la niant. Ce que l’Histoire nous enseigne comme la posture de ceux qui ont tort et savent…qu’ils ont tort. La où ça réprime, là plus aucune idée ne convainquent. Plus, l’erreur grande du grand débat…sans débat vient encore renforcer …l’évidence du fiasco !]]. »
L’écologie du mensonge est… à terre. Elle pourrait bien ne plus s’en relever. Et avec elle un pouvoir qui n’a plus que ses infrastructures médiatiques comme légitimité face à l’urgence d’un monde qui va au gouffre. Même les « transitionneurs » ne croient plus aux institutions et en appellent à la constitution de réseaux d’entraide, à l’ouverture de ZAD, et à la capacité de les tenir. La suite des événements sera passionnante. Et les années à venir un combat inédit pour les alliances du vivant. »…Ce qui peut être dit, en court, c’est que toutes les chances qu’avait ce gouvernement de planeurs hors réel ont été saccagées en très peu de temps…disons, qu’objectivement, ils n’ont plus rien en réserve…et qu’ils auront préféré une chute lente…
…….alors qu’elle est plus douloureuse. Car, même les adeptes de l’empathie comme nous…
….ne pouvons plus en ressentir la moindre pour eux…
Ils auront trahi l’intelligence, trahi la bonté et le meilleur des humains, trahi l’honnêteté et la confiance, insulté sans cesse les braves gens, maltraité les plus faibles (liste interminable, etc.)…
Dans ce cas, l’empathie ne fonctionne plus. Juste la pitié :
………………………………………..oui ils sont devenus juste pitoyables !
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[[ du texte d’hier…]]…Les Gilets jaunes enracinés dans des territoires déshérités, refusent ce mode de vie contraint en insistant sur la relocalisation de l’économie et des activités, sur les circuits courts, sur la proximité, ils remettent en cause la logique de métropolisation, de gentrification. Ils veulent comme les régionalistes et les écologistes des années 1970 « vivre et travailler au pays ». Les Gilets jaunes sont un mouvement de survie écologique contre la tendance générale du capitalisme, celle de l’expulsion…
….sauf que la fausse greffe du macronisme vient d’être expulsée !
…….…….....…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
……….Que la vaste compassion solidaire nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Quand l'industrie de la viande dévore la planète
Les projections démographiques moyennes de l'Organisation des Nations unies (ONU) montrent que la planète accueillera neuf milliards de personnes en 2050, date à laquelle la population mondiale ...
http://www.informaction.info/iframe-quand-lindustrie-de-la-viande-devore-la-planete
la déchéance grotesque des dirigeants qui polluent infiniment pour oser que les autres doivent moins polluer...
même si les politiques ne le veulent pas - leurs passéismes injustifiables nous conduisent droit dans le mur. Sans nous alors !
Bref, le macronisme aura fait tout ce que le lepinisme aurait fait (faut vraiment vouloir s’aveugler pour voter pour les ennemis du peuple du RN) : le macronisme est un lepénisme aussi violent qu’elle. Et aussi ennemi du vrai peuple…
J’attendais avec impatience la décision de Genève, à propos de Julian Assange sur la motion déposée par Eric Bertinat, mon amie Liliane vient de me donner la réponse. Bonne nouvelle ! Genève à dit OUI ! Ne crions pas victoire trop tôt, il y a loin de la coupe aux lèvres et, il va falloir mettre en application la sauvegarde de la vie et de l’intégrité corporelle de M. Julian Assange. Ça ne sera pas simple mais, cette sacro-sainte démocratie dont tout le monde se prévaut et que personne ne respecte, doit avoir un sens pour les défenseurs des droits et libertés que nous sommes . Bravo à Mr Bertinat et, à la Suisse en espérant qu’elle soit à la hauteur….pourquoi nous préférons le 1er ?
« Marx penseur de l’écologie » - HENRI PEÑA-RUIZ
Au Moyen Âge, les forêts ont survécu grâce à une décision politique
Temps de lecture: 5 min "Aux arbres, citoyens!" scandait-on dimanche dernier lors de la marche pour le climat. La préoccupation est largement partagée: début janvier, " L'affaire du siècle", la...
http://www.slate.fr/story/173163/moyen-age-foret-surexploitation-decision-politique
Au XIIIe siècle, en France, c’était les forêts qui étaient détruites et surexploitées, si bien que les médiévaux ont dû finir, comme nous, par se rendre à l’évidence: à force d’endommager leur environnement, ils risquaient collectivement d’aller dans le mur! Dépêché sur place, un officier constate en effet «la grande raréfaction des forêts à cause de la quantité de gens [qui l’exploite], et la nécessité, pour le bien commun, de les protéger afin d’éviter leur disparition». En Flandres, l’une des régions les plus urbanisées et peuplées du royaume dans la seconde moitié du siècle, les innombrables conflits entre seigneurs et paysans pour l’exploitation des forêts subsistantes révèlent le même problème. Là où il y a volonté politique il y vrais changements…
Alain Supiot - Le dépérissement de l'État
Et si nous construisions les rues pour les gens plutôt que pour les voitures ?
L'activiste Steve Dombek a partagé sur Twitter une réflexion qui le travaille visiblement depuis quelques temps. Et si les villes américaines - notamment San Francisco - faisaient évoluer leur ...
L’activiste Steve Dombek a partagé sur Twitter une réflexion qui le travaille visiblement depuis quelques temps. Et si les villes américaines – notamment San Francisco – faisaient évoluer leur politique d’urbanisme pour privilégier des rues plus étroites ? Selon lui, revenir à un urbanisme proche de celui du 19e siècle permettrait d’endiguer un phénomène qui, comme nous vous en avons déjà parlé dans nos colonnes, frappe non seulement San Francisco mais aussi Londres, Paris et la majorité des grandes villes.
Vincent Videography, qui tente de nous faire prendre conscience de l’importance de la révolte face au choix des énergies fossiles. Cette vidéo dénonce avec humour et pédagogie la dépendance à ce type d’énergie et explique comment la mobilisation citoyenne peut être décisive. « Nous sommes la dernière génération à pouvoir empêcher le changement climatique. C’est un moment incroyable dans l’histoire de l’humanité », déclare-t-il.
Je peux pas j’ai climat…
L'Economie réenchâssée dans l'humble économie de la Nature - Le blog de imagiter.over-blog.com
Changement de paradigme. L'Economie réenchâssée dans l'humble économie de la Nature , nous retrouvons, enfin, la vraie hiérarchisation du réel : la Terre peut se passer de nous en se grattant...
La permaculture : ce modèle de résistance anticapitaliste
Souvent citée en vrac aux côtés des mots d'agriculture biologique, d'agroécologie ou encore d'agriculture urbaine, la permaculture est une technique de culture à part entière pas si récen...
https://lareleveetlapeste.fr/la-permaculture-ce-modele-de-resistance-anticapitaliste/
Allemagne : voici ce qui arrive quand on rouvre les petites lignes de train. (VIDÉO)
Alors que la SNCF n'en finit plus de réduire la circulation de ses trains sur les petites lignes ferroviaires (ici par exemple), en Allemagne, on est en train de faire exactement le contraire. Les...
https://positivr.fr/train-allemagne-petites-lignes-campagne/
Alors que la SNCF n’en finit plus de réduire la circulation de ses trains sur les petites lignes ferroviaires (ici par exemple), en Allemagne, on est en train de faire exactement le contraire. Les autorités misent tout sur le train dans les campagnes. Pourquoi et avec quels résultats ? Réponses dans ce reportage de France 2 qui laisse rêveur. Des trains pas chers, nombreux et qui passent partout. Voilà comment on dissuade les habitants des campagnes de prendre leur voiture. Encore faut-il que cette ambition soit portée par une volonté politique sans faille et des moyens financiers à hauteur de l’enjeu. Là bas, dans les campagnes concernées, les taxes sur le carburant peuvent bien augmenter, ça ne sera pas un drame puisque les habitants ne dépendent pus exclusivement de leur voiture. En matière de transition écologique, voici un exemple très inspirant.
Les enfants de demain…Ce documentaire, «Les enfants de demain», vous invite à plonger dans l’univers fascinant du «Hameau des Buis». On y découvre des témoignages inspirants en plus de diverses alternatives concrètes pour assurer un environnement vert et humain aux générations futures. Le Hameau des Buis est un écovillage fondé par Sophie Rabhi, la fille de Pierre Rabhi.
40 interviews d’experts et d’acteurs de terrain pour mieux comprendre les enjeux, s’inspirer des solutions & agir.
ÉNERGIES RENOUVELABLES, LE CASSE DU SIÈCLE - GILLES BALBASTRE (1/2)
Main Basse Sur L'Énergie - version intégrale