Comment le ludique les a rendu si insensibles ?(1/2)

Publié le par imagiter.over-blog.com

Comment le ludique les a rendu si insensibles ?(1/2)

Trop de distances par rapport à aimer. Tout est sous plastique - non concernable, plus rien ne touche ces ombres d’eux/elles- mêmes qui n’ont qu’un ordre dans la tête. S’amuser quoi qu’il arrive…à la vie. Ce qui offre ? D’abord, la désinvolture avec laquelle sont alignés «records de chaleur encore battus» (tout n’est plus que records !), ensuite, ce « les oiseaux disparaissent » comme si c’était un amusement lointain. En tout cas pas une alarme suffisante afin de convaincre qu’il faut changer et activement de style de vivre. Mais non : tout leur reste tellement sous plastique - non concernable, plus rien ne touche ces ombres d’eux/elles- mêmes qui n’ont qu’un ordre dans la tête. S’amuser quoi qu’il arrive …à la vie. Depuis le «s’éclater» qui a fait péter leurs cœurs tels des bombes – et il semble ne plus rien laisser de lui. Jusqu’au fun dictateur – et ce fun ambule si loin de tous sentiments, que nous nous rendons bien compte que nous avons affaire à des murs. Le spectacle si insalubre (la mort dans nos vies) les aura piégés avec ce ludique qui ouvrirait toutes les portes – alors qu’il les aura toutes fermées. Notamment les connections entre penser et agir genre, si les oiseaux disparaissent, comment faire pour qu’ils reviennent. Et moi comment puis-je débloquer cet immobilisme des sommets qui tue tout ? L’éloignement de leur attention est tel que tout devient l’indifférent : « c’est rigolo ! » qui fait rigole, oui de tous les malheurs sur nous de la base. Qui n’avons jamais quitté les luttes. Donc si nous entendons un-e évaporé-e-s halluciner le « faut jouer » - déJouons à fond. L’extase, la joie, le bonheur de plain-pied ne peut que surpasser tous les amusements…Puisque – il ne faut point se tromper, nous sommes pour la joie, la Fête Sociale mondiale, mais pas pour ces envahissements hédonistes procapitalistes qui envahissent tout, font têtus barrages et interdisent et de se parler et de réfléchir joyeusement ensemble. Pour eux - Il faut juste déverser du consommatoire afin de parvenir le plus vite à l’hébétude hé bé ! Plus un mot de plus d’une syllabe hébé

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Ceci se passe toujours ainsi : les infos défilent comme des clignotements qui allument les yeux voraces mais plus les cœurs très éteints. Ni les raisonnements figés dans le béton trop armé. La séparation de ces ex-humains d’avec le contenu des messages se montre aberrante. Clignoter et s’éteindre aussitôt, clignoter et s’éteindre, chaque jour plus que du clignoter et s’éteindre.  Et nous pouvons suivre l’électricité de leurs réactions, les oiseaux disparaissent, rien à cirer, mais où pourrais-je la placer ? Et comment en faire un gag ? Etc. L’écart(él)ement est complet – rien n’entre plus après de leur intimité sinon le plaisir superficiel, immédiat. Dont la seule vertu doit être qu’il chasse impitoyablement le précèdent. Tout doit être oublié et effacé de la conscience…Le but (caché) est de ne rien savoir et de savoir rien sur le fait de ne rien savoir. La déshumanisation par la corruption à masque ludique. Pour elles/eux les informations ne sont reliées à rien de réel, ce sont justes des films publicitaires afin d’amuser ces ringardes majestés. Tout est centré autour du centre du moi (le tout-ludique semble faite de tout ego un…monstre !) et seul ce moi facho (surtout si le déguisement choisi, mais sans conviction aucune juste pour l’esthétique, est le libertaire), oui ce moi sans plus rien d’humain répond à la question « mais que sont les classes moyennes devenues ?». L’alarme était de voir avec quelle trop de facilité la propagande de ceux qui ont 150 000 € chaque mois arrivait à « faire croire » que qui a seulement 500 € est la cause de la misère de qui a 1 500 € ou plus (ce qui sous-tend la folie illogique que l’humain à 500 € a tous les pouvoirs et les manettes en main, tandis que l’inhumain à 150 000 n’aurait vraiment aucun !)…en fait ces ludiques spasmodiques n’y « croient  pas» mais cela « les arrange » de faire comme-ci… « que ces pauvres sont donc ennuyants avec leurs souffrances ». Mettez donc du…vrai ludique dans vos préjugés et vos types de stéréotypes ! Y’a vraiment pas de jeu dans vos jeux truqués. Vous voyez où il s’agit d’en venir : votre ludique est trop…spécialisé, trop cantonné dans un minuscule secteur - il vaut mieux le généraliser à fond (ce qui coupe l’herbe sous les pieds de qui dirait, à faux, que nous sommes des rabats joies. Faux. C’est ce ludique trop…militarisé qui l’est infiniment). Nous sommes pour toutes les joies authentiques dont celles des partages sociaux, autres que virtuels. Et eux ne veulent que foutre dans un  coin inefficace ce consommationnisme en rangs 2 par 2. « Leur » ludique permis c’est juste consommer et se taire. Vous voyez bien...Oui ? Mine de rien…des centaines de lambeaux, entendus à droite et à gauche, prennent FORME. Se coulent très bien dans ce moule qui leur donne un sens, un habitat clair pour la signification intérieure de toutes ces réactions…si désaccordées.

 

Le faux ludique prend terriblement au sérieux sa superficialité et ses caprices, donc transforme tout en lui-même en …sacs de nœuds. Au lieu de rester ludique avec ses propres travers, ses facilités à s’auto-leurrer et ses illusions par laxismes – soit se récréer avec ses propres faiblesses. Soit le jeu doit tout englober et ne pas s’égarer dans une petite lubie matérialiste. La mise au sérieux du ludique peut lui rendre ses lettres de noblesse l Le vrai « jeu » c’est concrètement mettre le ludique en plein dans le sérieux. Et non… «devoir» prendre au sérieux ce ludique là lorsqu’il ne prend pas au sérieux que…sur commandes du marché, lorsqu’il est bien trop aux ordres…(c’est pas du jeu !)…Puisque ce faux «sérieux» démontre, par ses comportements et ses attitudes mêmes, qu’il ne « peut pas » être sérieux mais péniblement solennel. Pas sérieux que pesamment solennel. Trop solennel car liseré lourdement d’hypocrisies tout du long. Puisque ne cherchant jamais à concrétiser, à réaliser tout ce qu’il prétend, promet et déclame. Mais il n’y croit pas c’est juste un jeu rhétorique, un trucage, une simulation afin de faire croire qu’il y croit et que nous croyons qu’il y croit. D’où ce poids abusif de l’armure sur tout. Et ? Cette componction c’est juste afin de FIGER tout le monde dans la posture contrainte qui peut laisser penser que nous croyons à tout ce…faux sérieux (leur faux ludique c’est juste afin de faire prendre au sérieux tous ces pouvoirs illégitimes et leurs enrichissements illégaux. Ben voyons !). En rire ouvertement. Foutre du ludique dedans c’est ramener le sérieux (contenu dans ce ludique) à la place de ce simulacre empoté de très faux sérieux. Le vrai « jeu » c’est concrètement mettre le ludique en plein dans le sérieux. Et pas ailleurs.

Si c’est vraiment sérieux, c’est avec une grâce étonnante, une légèreté contagieuse, une générosité qui déplie les chakras que ce sérieux, réactif à tout, va utiliser ce ludique…bienvenu, afin de mettre du JEU dans tout immobilisme mensonger. Le RIC c’est du très bon ludique. Lui dire non c’est avouer son…manque de sérieux…Oui ce ludique démasque et rend la gratitude vers qui elle est dirigée. Le même ludique dans les esprits éteints qui « ont besoin » de l’ennui empesé du solennel kitsch afin de « faire faire croire à leur sérieux »…ne veut plus rien faire. Y mettre fin devient bien une œuvre de salut public. Pour laquelle il restera longtemps remercié. Comme les situationnistes disant que jouer doit être traité comme un travail, avec tout l’apport sérieux inclus, et que des imposteurs osent qu’ils ont dit qu’il ne fallait rien foutre. Et se laisser transporter comme des rois fainéants par qui ne sont pas d’accord avec ce sabotage. Ce travail, bénévole évidemment, c’est afin d’aboutir à une société libérée de tout travail aliéné ( soit non accepté et non…désiré !). Cela ne viendra pas tout seul. Faut nettement prêter assistance. Et non plus se défiler, en se planquant derrière des sources faussées…qui disaient donc le très exact inverse. Nous sommes contre le travail esclavagiste – ce qui nous motive pour faire abolir, mais dans la trame de la vie de tous les jours, toute forme d’aliénation et d’exploitation généré par ce travail falsifié (qu’il faut toujours pesamment prendre au…sérieux !). Transformations immédiates des rapports sociaux vérifiables. De même les faux jetons du « Fun tout le temps » et comme cannibale de tout le reste qui ne «mérite plus une seule écoute ni un petit regard» ne nous permet pas de les prendre au sérieux, de les considérer comme matures, responsables, solidaires et pleins d’amour social. Tout le contraire. Au contraire même des risques à prendre, et pris, afin de faufiler le ludique intensif partout où le faux sérieux, péteux comme un coup de trique, veut installer des pouvoirs …très illégaux. Puisque non représentatifs du tout !  …

 

publication/---DU_CHAHUT_ANOMIQUE_AU_SENS_DES_SITUATIONS_CRITIQUES

Théorie  (en 2 documents téléchargés de 35 pages et de 4 pages) - Entre le chahut anomique (l’anomie comme démobilisations complètes) des « désordres scolaires » et les attaques sournoises qui cherchent l’immobilisme complet de toute contestation…que nous retrouvons dans le second document

Pièces-et-main-d'oeuvre///-Vent-debout-contre-le-mal-français.pdf

Critique de la philosophie postmoderne et de ses néfastes effets sur la pensée critique …exemples des fausses transgressions par ludique (s’amuser superficiellement placé comme unique « modèle » progressistes (sic) par rapport aux luttes de rue) comme supérieures à toute pratique révolutionnaire !

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>>> - Jouissance : « Un nouveau type anthropologique d’individu émerge, défini par l’avidité, la frustration, le conformisme généralisé (ce que, dans le domaine de la culture, on appelle pompeusement le post-modernisme). Tout cela est matérialisé dans des structures lourdes : la course folle et potentiellement létale [[ donc possiblement en guerre conte nous !]] d’une technoscience autonomisée, l’onanisme consommationniste, télévisuel et publicitaire, l’atomisation de la société [[jamais les solitudes n’ont autant…explosées que depuis le si Antisocial néolibéralisme – qu’il faut accuser de crimes contre l‘Humanité -…Suicide de la société que, fort sainement, les gilets jaunes est venu interrompre à temps !]], la rapide obsolescence technique et morale de tous les produits, des richesses qui, croissant sans cesse, fondent entre les doigts. Le capitalisme semble être enfin parvenu à fabriquer le type d’individu qui lui correspond : perpétuellement distrait, zappant [[ sans en vivre aucune !]] d’une jouissance à l’autre, sans mémoire [[ et donc sans sensibilité, sans attention possible aux autres et donc dénué de toute empathie ]] et sans projet collectif, prêt à répondre à toutes les sollicitations d’une machine économique qui de plus en plus détruit la biosphère de la planète pour ne produire que des illusions appelées marchandises. » (Quelle démocratie ? Écrits politiques, tome II, 2013) Cornelius Castoriadis

>>> ***----- Une ligne semble cliver le cinéma, entre recherche du vrai et puissance du faux. Vous vous référez souvent à cette phrase de Jean-Luc Godard : « Ce n'est pas une image juste, c'est juste une image [[ et la société de destruction massive nommée consumérisme fou ne secrète que des images sans plus de …justice ni de justesses. Seuls les détournements permettent de rétablir la…juste (juste le juste mais le juste juste) dans les images nous agressent inutilement sans cesse ! ]].» « Nous touchons là à la nature si paradoxale du cinéma. Bien plus que tous les autres arts, le cinéma suggère à s'y méprendre les traits de la vie réelle. Il en réalise des fac-similés, en reproduit au plus près les images, le mouvement, le bruit. Il a l'outrancière capacité de copier le réel au point que certains cinéastes ont rêvé de cinéma vérité. Mais si le cinéma évoque le réel, il ne se confond pas avec lui ; il n'est ni tout à fait le même ni tout à fait un autre. Le septième art se situe ainsi à la frontière de la vérité et du mensonge (Clément Rosset, 2013). »…Sauf qu’il a trop basculé dans le mensonge…provoqué par les…inappropriés financeurs qui ont saccagé à outrances les…recherches et autres anticonformismes qui …auraient réussi à faire passer les images dans notre camp.(celui des Humain.e.s). Là, elles sont (sauf détournées) que glacées et plus qu’indifférentes à nos malheurs…que l’usage matraqué par des ex-humains indignes de s’occuper de tout ce qui est…Public, nous les flanquent à la gueule…toujours pour la même rengaine de ralentir les prises de conscience. Ce qui signifie bien que l’intelligence collective est leur véridique fin…particulière !

Chanson-La-Fête-c'est-dans-la-tête

 

La Fête c’est dans la tête, tu peux pas faire semblant …la Fête sociale et mondiale est tout : pas que de la musique mais maisons des dons, résolutions de tous problèmes, participations de tout le monde. N.R.V. (Noir Rouge Vert), le grand mouvement unitaire…etc. //

 

 <<< ** >>> // Permaculture et biomimétismes. Économie vraiment circulaire et zéros déchets. Libération d’internet et fin de l’oligarchie//

 

 <<< ** >>> // La fausse élite complètement démasquée et…sanctionnée. Paix mondiale et marche de l’Humanité sur la Terre Tenue, etc. que des merveilles dues à ceux/celles qui veillent ! // <<< ** >>> //

 

// <<< ** >>> // Ceci étant possible que puisque *** Rien dans nos têtes ne ressemble aux têtes des dirigeants. Rien.

** Rien de désorganisé ne peut accueillir les autres, les faire entrer dans un mouvement, y participer, les dynamiser – c’est le chacun pour soi de l’enfer libéral-capitaliste---aucun progrès jamais, faire semblant d’être libertaire sans générosité infaillible et espace pour autrui n’est qu’enfumage des ennemis de la liberté collective. Désorganiser ce n’est que pour soi seul.

// <<< ** >>> // Être dualiste n’est pas de décrire les 2 côtés…comme ceci : la théorie ne sert à rien sans la pratique. Ou bien la pratique ne mène nulle part sans sa théorie. Puisque ? Cette manière de dire en groupant les 2 alternatives (et…), inclut, accepte, reçoit à fond les 2 côtés. La totalité vibrante de l’unitaire. Rien n’est séparé. C’est donc bien le contraire du dualisme. De l’invisDualisme… Pourquoi donc diffamer la présentation exhaustive des 2 alternatives comme un dualisme ? Eh bien ceux/celles Qui peuvent se déguiser en n’importe quoi (même libertaire, punk ou rock, etc.) c’est exactement le même étriqué esprit bourgeois. Qui ? qui VEUT que le monde d’inégalités, d‘injustices, de souffrances maximales…continue tel quel. En faisant semblant de le réformer, mais c’est afin de mieux le rendre pire ! Donc ? Très mal vu de présenter les 2 côtés…ensembles. Faut être d’un seul et ne jamais parler de l’autre dualité. Sauf pour la calomnier. Dire ce qui est ne plait pas à ceux/celles qui ne veulent que s’amuser. S’amuser à …n’importe quel prix. Oui s’amuser est très égoïste. Car c’est « m » qui amuse. Tu t’amuses « t », il et elle s’amusent « s ». Nous amusons nous sans eux. Vous amusez que…vous. Séparatisme, protectionnisme et anti-civilisation garantis !

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 >>>> - « Presque tout ce que je fais est juste pour m’amuser, m’user à fond. Même si certaines personnes aiment se concentrer sur le fait d’être discipliné, d’atteindre des objectifs et de se tenir à leurs plans, je trouve que cela n’a aucun…sens. Quel est le but ? Vous échouerez entre un tiers et la moitié du temps, puis vous ressentirez cet échec comme la conséquence de votre manque de discipline ou de votre incapacité à vous tenir à un plan ou à un objectif. À contrario, si vous faites exactement pareil - mais que vous vous débarrassez des attentes que vous fixez pour vous-même et que vous prenez du plaisir à le faire - c’est une réussite totale  [[dans les apparences, sur la rythmique de l’illusoire, dans un aveuglement qui se croit positif…oui. Sauf que l’erreur de départ aura été de ne voir ces « plans » que comme de l’utilitarisme, de l’avidité qui se veut satisfaire, des calculs tortueux, etc. et non pas une œuvre, l’échafaudement d’un cerveau sensualisé (avec mémoire agrandie, oui augmentée de tout le corps), usage synesthésique du réel, etc. – cette superficialité de vue fait PERDRE les 3 /4 du vécu possible. Non, s’amuser, fun, se ratatine très vite, se racornit, face à tout ce qu’il rate. Il n’englobe pas, il est englobé ! Et ne sait jamais par quoi…]]….

Oui cet (1) a, sans doute, des aspects péremptoires que le ‘(2) n’aura plus. C’est que ce thème n’est jamais…abordé. Et qu’il faut Tout dire en peu de mots. Et sans rien  embrouiller mais en dynamisant joyeusement les ex-confusions. Le tout d’un pied léger et sans faire de goût…et alors ?...Répétons cela pour bien insister : si vous faites exactement pareil que d’habitude, ce sera un échec si vous avez des attentes égotistes, mais un succès total et absolu si vous vous débarrassez de vos attentes et le faites pour vous amuser. »… Ce but (s’amuser) est bien trop petit, trop mesquin pour contenir un succès et son vécu ! Le défaut c’est cette survalorisation « publicitaire » (dans le but de tromper – là c’est « se » tromper). Cet aveuglement nous fait éviter trop de la réalité et donc perdre la majorité de ses…nectars. Non, « seulement » s’amuser (et non l’ajouter, obligatoirement, en bon piment à une vision bien plus large !) est, la plupart du temps…

…………………………………...pas très amusant, mais usant oui !

 

……….   ............ …(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

                      Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

all u need is lol : le faux détour ludique pour s’oublier en route

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ce document est téléchargé dans le texte…

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humour Lol ?

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Nos marges de manœuvres ont-elles augmentées ?

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Sommes-nous condamné.e.s qu’à nous amuser…si désespérément ?

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Tout cela (le monde en ruines) sera à vous…

Tout cela (le monde en ruines) sera à vous…

Il semble que cela soit difficile à oublier pour certains – douleurs obligent ! Et ? Pour trop fun semble rester accolé à nuire à quelqu’un pour rire à ses dépens. Qu’est-ce qui est alors partagé ?

Il semble que cela soit difficile à oublier pour certains – douleurs obligent ! Et ? Pour trop fun semble rester accolé à nuire à quelqu’un pour rire à ses dépens. Qu’est-ce qui est alors partagé ?

soit le monde rendu inerte ?

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adonaissant et adulescent : les 2 dindons de la fausse Fête…

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Comment le ludique les a rendu si insensibles ?(1/2)
S’éclater... à la grenade ? Cette fête n’est ni durable ni reproductible !

S’éclater... à la grenade ? Cette fête n’est ni durable ni reproductible !

C’est cette indifférence qu’il faut refuser. Comme un plafond de verre qui rend tous les humains étrangers et lointains lorsque le décret nous muse de l’obligation de s’amuser. En fin de compte ceci peut rendre très seul. Puisque nous n’acceptons plus que qui va parallèlement – mais séparé – avec notre idée fixe. Pourquoi ne pas joindre tout ce qui existe à cette misère vraie qui n’est « que » de s’amuser sans rien faire d’autre ? Qui nous dégrise, en fait…nous rend toutes nos couleurs, loin du gris grisé !:

C’est cette indifférence qu’il faut refuser. Comme un plafond de verre qui rend tous les humains étrangers et lointains lorsque le décret nous muse de l’obligation de s’amuser. En fin de compte ceci peut rendre très seul. Puisque nous n’acceptons plus que qui va parallèlement – mais séparé – avec notre idée fixe. Pourquoi ne pas joindre tout ce qui existe à cette misère vraie qui n’est « que » de s’amuser sans rien faire d’autre ? Qui nous dégrise, en fait…nous rend toutes nos couleurs, loin du gris grisé !:

D’où ce faux paradoxe puisque la phrase se lit en commençant par la fin, en pensant que l’antonyme le moins « sympathique » à s’amuser c’est travail…et que le travail de sape est réussi : l’amusement est perçu faux, par le décalage audacieux. Mais ce « travail » de castagne verbale c’est…(pour qui connait Baudelaire) la recherche de la joie , de l’épicurisme, des extases, de ce qui nous dépasse, nous soulève et mieux et plus, et encore demande (tout de même) un…effort. Ce n’est pas se laisser aller, s’avachir même si la détente corporelle est préférée. Mais avec un cœur vigilant ! Pas question de laisser détruire le monde pour des amusements d’humains en plastique.

D’où ce faux paradoxe puisque la phrase se lit en commençant par la fin, en pensant que l’antonyme le moins « sympathique » à s’amuser c’est travail…et que le travail de sape est réussi : l’amusement est perçu faux, par le décalage audacieux. Mais ce « travail » de castagne verbale c’est…(pour qui connait Baudelaire) la recherche de la joie , de l’épicurisme, des extases, de ce qui nous dépasse, nous soulève et mieux et plus, et encore demande (tout de même) un…effort. Ce n’est pas se laisser aller, s’avachir même si la détente corporelle est préférée. Mais avec un cœur vigilant ! Pas question de laisser détruire le monde pour des amusements d’humains en plastique.

En Thaïlande, le Khao Kheow Open Zoo oblige ses éléphants à venir nager dans l’eau pour que les touristes puissent les observer derrière une vitre. A savoir, d’après les défenseurs de ces animaux, cette attraction provoque un stress extrême pour les pachydermes et ces images ont fait beaucoup réagir depuis leurs publications.

Le concept d'anomie : …jusqu’aux pertes de repères. Ici l’anomie ludique (l’immobilisation et le blocage de la société par le manque de sérieux global).

Ici la déviance réside dans les…fausses explications : l’anomie (soit les élites des sommets qui ne prennent plus aucune responsabilité) créerait les déviances. Faux. La vraie analyse trouve que les prétendues déviances (en fait de saines adaptations à des situations anormales provoquées par l’effondrement des dirigeants) recherchent leurs propres normes – en remplacement des règles établies dangereusement…absentes. Et sont donc pronomiques (pronomie) et et non anomiques – réponse adaptée à des stimulii plus qu’inadaptés !

Eradiquer les causes racines est indispensable pour des solutions durables. La méthode des cinq pourquoi nous aide à les identifier.

L’esprit qui a des problèmes manque de sérieux (Krisnamurti). Pourquoi ? Le faux ludique prend terriblement au sérieux sa superficialité et ses caprices, donc transforme tout en lui en …sacs de nœuds. Au lieu de rester ludique avec ses propres travers, ses facilités à se leurrer et ses illusions par laxismes. Le jeu doit tout englober et ne pas s’égarer dans une petite lubie. La mise au sérieux du ludique peut lui rendre ses lettres de noblesse l

Pourquoi sommes-nous devenus naturellement méfiants et égoïstes ? La réponse mathématique est donnée par ce jeu. Le RIP pour aider le RIC ?

Le réveil des peuples ! Cornelius Castoriadis : « Le pouvoir du peuple exige une démocratie directe." "la démocratie est la question décisive pour tous" "Je suis libre si je peux participer effectivement à toutes les prises de décision, à tous les actes législatifs. C'est-à-dire, la liberté, c'est cette participation effective au fonctionnement et aux actes des instances politiques. Garanties, assurées et promues par les institutions elles-mêmes de façon effective et pas seulement sur le papier." "cette solution, cette réponse c'est l'instauration d'une société autonome, une société qui s’autogouverne, qui n'est rien d'autre que l'idée de la démocratie pensée rigoureusement et jusqu'au bout." "un des facteurs qui inhibe actuellement la possibilité des gens de revenir vers une activité politique créative, c'est l'idée qu'il n'y a pas d'autre solution." "Nous devons nous proposer la constitution de collectivités libres, formées par des individus responsables et libres."

Jérôme Rodrigues se dit satisfait de la mobilisation de l’acte 18 des Gilets jaunes (290 000 participant.e.s au minimum).

Acte 18 : Coronado : «Ceux qui cherchent l'affrontement avec la police, ne portent pas de gilets jaunes». Voir le texte de…demain !

Grégoire Chamayou : quand le pouvoir a peur que nous n’ayons plus peur !

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