Compter les comptoirs ?

Compter n’est pas comprendre. Chiffrer n’est pas déchiffrer. Le langage contiendrait alors plus que la comptabilité. Ses compatibilités avec tous les potentiels de pensées (mêmes les non advenues) l’atteste en tout cas. Le comptable c’est la pensée unique qui aboutit aux barbaries actuelles nettement plus inhumaines en 2019 qu’avant…et qui s’énoncent (grâce aux mots )…

1° *** Pas d’argent PAS DE BESOIN. Cette monstruosité insurpassable se ressent : qui n’a pas d’argent n’a plus de droit...c’est un prisonnier politique mis au secret. Oui ? Il n’a plus le droit d’avoir faim, d’avoir froid, d’avoir besoin de soin et de culture (oui ces véridiques droits de l’homme si simples à dire et si difficiles pour des esprits bourgeois,  donc à l’éducation complètement ratée… d’admettre. Ce qui les place dans la plus grande déchéance mentale et affective actuelle. Dans les cerveaux des riches cela ne va plus du tout : plus de Raison et plus de raisonnements, plus de logique ni de cohérence, que de la gadoue qui mélange tout. Il n’y a plus une seule pensée qui puisse se justifier en vrai droit. Comme d’offrir, publiquement, toutes ses raisons…raisonnables. C’est bien de l’enfer d’un enfermement dont il s’agit. Tous les bourgeois sont enfermés dans une tête sans sortie …Ce triste personnage et qui ne va plus éructer que des passions tristes et des mots plus sinistres que des portes de prison est bien complètement aliéné (donc séparé de la meilleure part de lui/elle-même) dans sa… Monstruosité égoïste. Oui vous savez celle qui rend complètement sourd (et ils entendent et n’écoutent pas…ce qui rétrécit l’intelligence de plus de sa moitié…celle de l’adaptation aux réalités, justement !) ou plus qu’aveugles (ils sont entourés de toutes les preuves que leur chemin les perd mais ils ne vivent plus que dans les reniements et dénis du réel…non la réalité n’existe plus - que leurs délires. Et «leurs» médias-reflets sont la démonstration la plus désolante de leur entrée dans la… « folie de classe » (si t’es bourgeois t’es «contraint» à devenir aussi fou/folle que ton entourage – bel échec de vie donc)…Et le 2 ?

…2) --- L’argent sait Tout.  C’est un dieu omniscient…Refus du réel qui rend aveugles et sourds à toutes les réalités terre à terre. Ils ne reconnaissent plus rien – donc ne connaissent plus les racines de rien ! Genres ? Donc un pauvre qui est génie, qui écrit des chefs d’œuvres ne peut plus être PERÇU par cette caste adoratrice d’un argent…qui est ailleurs (juste un instrument de mesure et…au service de…donc rien  de divin donc et rien…à adorer…juste un ustensile qu’ils maltraitent pour ne semer que le malheur autour d’eux)...Genres ? Ne pigeant rien aux nouveaux génies, ils les censurent (soit empêchent tout le monde d’y avoir accès …même là la peste bourgeoise sévit, qui ramène tout à l’égo narcissique : non, l’auteur n’est pas « puni » par la censure… seulement les foules immenses sont « punies »…Elles qui n’ont plus le « droit » de se faire une opinion par eux/elles mêmes. Oui ? Comme le bourgeois fou croit que tout lui appartient, il s’opiumise que toutes les intimités sont à lui…donc sa « sagesse » (sic) lui permet de se faire trop paternaliste voire autocrate…le macronisme est bien, alors, l’étiologie assez extrême de ces esprits bourgeois qui…déconnent partout et en tout !

 Donc un génie pauvre c’est une insulte à ces sales majestés. Elle/il fait exprès que pour nuire à leur image (c’est leur version que vous voyez bien…très détraquée). L’ordre des choses ( ?) est qu’il faut avoir de l’argent et beaucoup,  si l’on veut écrire des chefs d’œuvres (mais ils ne seront pas écrits – ben justement)…L’argent seul donne toutes les Autorisations qu’il ne donnera…pas (vous n’avez pas l’autorisation d’être un génie – donc vous n’en êtes pas un. Et votre chef-d’œuvre n’est pas autorisé, donc c’est un  crime contre l‘oligarchie et ça ne se discute pas…mais d’où sortez-vous vos litanies de claires déraisons ? L’argent sait tout et vous n’avez « pas le droit » de comprendre mieux que lui. Ceci est le dogme qui nous avons eu le…génie ( !) dans les années 1980 de le dicter ainsi : « on ne publie plus les génies »…c’est plus simple…). Sauf que cela se voit et s’entend trop. Leur ABSENCE HURLE… Le capitalisme repose surtout sur censures et diffamations (oui renommées ainsi…reNommées !), comment vous ne saviez pas ? Que la déraison y règne…et le logiciel abstrait – et hors réalité - que Gilles Deleuze dénonçait comme machine à…méconnaître, à ne jamais rencontrer et expulser la possible connaissance d’un vrai génie…aura déformé tous les esprits des faux éditeurs. Faux car il faut savoir LIRE pour cela. Donc détecter, ressentir, avoir du flair, posséder une grande culture mais incarnée (pas celle des…généralités et des abstractions mortes mais celle des émotions élargies, des sentiments vastes, d’un grand vécu  et d’une imagination travaillée chaque jour)…Leur pitoyable logiciel…omniscient (sic) les dispense donc de…lire en vrai (suffit de vérifier superficiellement…un pauvre Donc cela ne vaut rien !) ! Il aura intégré les succès du passé et donc le génie qui réinvente beaucoup, donc ne copie rien  du passé mais le surpasse ne PEUT PAS s’y trouver ni retrouver. Deleuze a tenté d’expliquer aux éditeurs égarés…qu’ils n’ont que de petites têtes qui ne fonctionnent pas bien (éditer ce n’est pas faire des profits mais faire…profiter autrui de ses fulgurances et intuitions que l’argent mort…tue si on s’y soumet bêtement, c’est introduire des pensées gorgées de futur qui nous habituent à cheminer tout… autrement. Bref qui nous ouvre grands en nous bousculant, désoclant, dérangeant…oui  nous augmente oui en nous demande de vrais…efforts …oui mais récompensés…lire du jamais dit purée ça fait jouir 100 fois en même temps. A la place nous avons des…trop médiocres magasiniers de l’esprit qui rangent…des étiquettes sans avoir seulement pris connaissance des Contenus réels…ben c’est du propre…oui de vraies porcheries à la place des cœurs…

Et voilà la barbarie bestiale qui, par le haut – donc l’impasse bourgeoise, ces graves aliénés si inaptes à la réalité ET au futur – ont entièrement fermé, recroquevillé, racorni, replié, rassis, renfoncé la société sur elle-même. 2 échecs HUMAINS plus que retentissants comme …Fondations essentielles de la société bourgeoise : oui jamais rien de Sérieux et réfléchi en elle !…Oui des génies pauvres existent concrètement et ne sont pas reconnus (à cause des tares…fabriquées de l’éducation si ratée des bourgeois) et TOUT LE MONDE est perdant. Oui les pauvres et la misère sont la balance des bourgeois (celle qui pèse si leur système reste rationnel et…sociable…comme celle pondérée (donc prête à tous les impondérables) qui peut accueillir tout ce qui…n’est pas soi – d’élégante et équitable manière. Ne pas comprendre ceci c’est juste…compter les comptoirs. On ne voit pas bien le sens de cette absurdité (mais si l’argent le dit…chevrotent-ils !) mais c’est ce qu’est la «fausse» culture bourgeoise. Et ce dont bruisse leurs médias plus qu’incultes (on ne peut pas compter sur eux et sur leurs biais de ne pas bien compter). Et le tout les égare dans des chiffres (vous savez les questions qui Démasquent dru. Genre ? Les nombres sont combien ? Nombreux les nombres …avec ça on est aidés)…)…là où il n’y a plus de…qualités !

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Dire non ? Il le faut, il faut rejeter, expulser de son cœur ce système pour barbares extrêmes où tout le monde devient perdant même les faux dirigeants…Oui dire non nous est plus dur et pénible qu’à d’autres. Pourquoi ? Nous sommes les humains du oui, du ouuuuuuiiii immense, gigantesque, le oui énorme à la vie, à la célébration de la vie, à la gratitude sans limites envers la vie…Ouiiii nous pouvons vivre merveilleusement sans être riches, oui nous pouvons nous affirmer sans écraser tout le monde par une gloire arrachée à coups de souffrances, d’illégalités et de cruautés infligées aux autres…Oui nous pouvons vivre sans nom, prénom, sans lieu géographique matraqueur, sans  possessions insensées (juste le minimum pour la décence individuelle – la nôtre se contente de vraiment bien moins que les autres – en général ils/elles passent avant…nous..) …Mais oui à la non censure, oui à la libre circulation des idées, oui à l’auto-élucidation permanente de la société par elle même, oui aux débats généralisés qui ouvrent la porte somptueuse des gratuités et de la Fête mondiale interrompue, la Fête Sociale qui unit, prémunit, oui à l’Humanité, oui à la tolérance, oui à la protection prioritaire de la vie (dont la Nature reste la carte maîtresse pour un oui aux animaux, plantes, minéraux, souffles, vents, eaux, biomasses, limons…etc. Et que donc parler pour les Non ce n’est pas notre truc profond mais…Face aux grands MALADES de l’oligarchie il faut qu’ils entendent un énorme Non. Voilà pourquoi

Le second pourquoi ? Nous avons appris à dompter nos talents en les mettant dans les chemins du maximum d’êtres. En les accompagnant (genre aplanir les obstacles en précédant mais…toujours de peu), en écoutant profondément et trouvant des stratagèmes afin de répondre aux questions, doutes, blocages comme si cela…tombait par hasard…Ce qui contraint à brider les morceaux d‘anthologies…les risques de chefs d’oeuvres, les produits léchés dont les illégitimes bourgeois se repaissent vous allez voir comment. Après avoir placé des censures contre le plus grand nombre – facile à ressentir : les censures n’affectent pas les auteurs mais les foules qui…n’ont pas accès à ces oeuvres que ces aigres bourgeois se monopolisent par ces moyens très déloyaux…Comme loyal vient de loi et qu’ils sont tous des hors des lois de la sociabilité, de l’humanité et de l’hospitalité, guère surprenant qu’ils ne soient jamais fair play…Oui solennellement les censures c’est pour priver le maximum du meilleur du plus insolite, insolent, ensoleillé, du gorgé de sens et de se…croire Privilégié.e.s puisqu’ils s’en repaissent salement…en se planquant dans leur coin si absurde…Vous trouvez cela grand, ou beau, vous ?

>>>> ** -  «Un système qui le lui a d’ailleurs interdit, prophétisant les récupérations les plus torves pour mieux le récupérer lui-même [[ la dialectique a déjà surmonté cela…]]. N’empêche, un temps très court, dans la rue, souverainistes de gauche et de droite, jacobins et gaullistes, vrais anars et scouts d’Europe, ont manifesté ensemble. Seule cette alliance est politiquement en mesure de redonner le pouvoir au peuple. L’oligarchie le sait et c’est pourquoi, dans le pays européen où le système électoral est par ailleurs le moins démocratique, elle réprime avec une férocité inédite. [[ il faut produire un tel tintamarre que plus personne ne peut s’écouter (comme dans les boîtes). Pas de bol cela tinta marre oui marre d’eux !]] Elle va gagner une bataille donc perdre la guerre. Mais pour des milliers de jeunes gens sans formation politique, ces longs samedis sous les bombes lacrymogènes auront été une formidable école [[ le futur est déjà Contre l’oligarchie…]]

Gilets-jaunes-récupérés-?

La bassesse morale de soutiens du pouvoir capables de dire « bien fait ! » en voyant une personne en fauteuil roulant se faire renverser par des gendarmes, les interpellés « préventivement », les filles traînées par les cheveux, les dames âgées molestées par des CRS rigolards ; les jérémiades des Griveaux, Schiappa, des éditocrates « fatigués », le racisme social assumé des Gantzer, Berléand, Bernard-Henri Lévy, le cynisme de Castaner ne seront pas oubliés de sitôt. Et dans six mois, deux ans, quand tout recommencera, nourris de cette expérience, peut-être les gilets jaunes iront-ils au bout, cette fois.

………………………Car la peur décroît, et ça, c’est immense. »…Un système qui ne fait plus peur et qui est toujours plus défigurés par les rictus de la brutale haine (sans motifs puisqu’ils…ont tout, font tout et donc sont donc – incompréhensibles cruautés, oui ou non ?)…s’auto-détruit…

.....….sans même s’en rendre compte ! Compter les comptoirs, eh ben ouais…

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Ce-gouffre-spectaculaire-qui-sépare-le-vocabulaire-de-la-france-du-front-anti-macron-de-celle-qui-le-soutient

La dernière vague du Baromètre politique réalisée en mars par BVA pour Orange-RTL-La Tribune montre que la partie est très loin d’être… gagnée par le  macronisme. [[ clair ]]. La fausse popularité du Président se stabilise depuis le mois dernier à un niveau toujours très bas : 29% (baisse de 1 point pour le deuxième mois consécutif) des personnes interrogées déclarent avoir un « bonne opinion » d’Emmanuel Macron dont seulement 5% déclarent une « très bonne opinion ». Sa popularité est quasiment revenue au niveau le plus bas qu’elle enregistrait au plus fort de la crise des Gilets jaunes (26% en novembre dernier).
L’analyse de la question ouverte qui permet aux personnes interrogées de dire les raisons pour lesquelles elles ont un bonne ou mauvaise opinion d’Emmanuel Macron, continue de révéler l’ampleur gigantesque du clivage d’opinions qui coupe les Français en deux [[ enfin une « moitié » d’au moins 60 % et de plus sûrement 75 % et une… minorité de moins de 20 % avec des indécis …Pire ? Tout est devenu conflits et plus rien …ne rassemble – pas de quoi pavoiser !]] à propos du chef de l’État. En analysant les verbatims de ces réponses par les techniques statistiques de l’analyse des données textuelles, on prend la mesure du gouffre spectaculaire et même sidérant qui sépare [[ personnage très nuisible au pays…]] les Français à propos d’Emmanuel Macron. Ces techniques permettent également de ranger ces verbatims en catégories, en « classes », dont on peut obtenir le poids statistique.

En résumant au plus bref ces groupes de verbatims, on peut distinguer deux catégories. Le groupe le plus nombreux (74%) utilise, pour parler d’Emmanuel Macron, des mots et des expressions qui proviennent d’un univers sémantique négatif et même particulièrement négatif. La sociologie de ce groupe est composée de tous les électorats  du premier tour de la présidentielle à l’exception de celui d’Emmanuel Macron ; si les sympathisants du Rassemblement national et de La France insoumise ont les mots les plus durs, les autres électeurs ne sont pas en reste. Ce large front « anti-Macron » [[ de 74 % dans les mots mais dans les concepts sans doute de 85 %...]] est celui des classes populaires et des classes moyennes, des travailleurs indépendants et de beaucoup d’actifs. Le « fan club » d’Emmanuel Macron emploie, au contraire, un vocabulaire issu d’un univers sémantique de mots élogieux ; il est de loin le plus réduit des deux groupes (26%) [[ nos analyses rétrécissent même ce groupe où il n’a que 5 % de vrais soutiens de moins 11 % ]]. Il se compose de larges segments de son électorat du premier tour et dans une moindre mesure de celui de François Fillon ou de sympathisants Modem. Il s’agit principalement de cadres supérieurs et de professions intellectuelles, de 35-49 ans et de retraités [[ groupe où il a perdu le plus d’attentions vu qu’il l’insulte et a maltraite sans cesse !]].

On peut identifier les mots les plus représentatifs de ces deux groupes, les dix « parangons » des opinions relatives à Emmanuel Macron : du côté des opinions positives ce sont les mots « réformes », « faire », « pays », « fait », « bien », « France », « dit », « programme », « choses », « avait » ; du côté négatif ce sont les mots « français », « président », « jaunes », « trop », « gilets », « riches », « lui », «n’écoute », « rien », « nous ». Les deux trames narratives que l’on peut reconstruire à l’aide de ces « parangons » sont les mêmes que celles que nous observons depuis des mois : d’un côté, le jeune président modernisateur et réformateur [[ mal perçu car il réforme pas mais déforme et est archaïquement passéiste et donc surtout pas…novateur…ces illusions sont en train de tomber :]] qui « fait des réformes » et « fait ce qu’il avait dit dans son programme » ; de l’autre côté le « président des riches qui n’écoute rien » et surtout pas les Français. A cette narration négative s’ajoute dans l’enquête du mois de mars de nombreuses références aux Gilets jaunes. En revanche, les deux narrations par lesquelles Emmanuel Macron a tenté de sortir par le haut de la crise ne sont presque pas citées  [[ tous ses efforts pour rien, il aura été mouillé la chemise pour des clopinettes !]] : parmi les opinions positives, le thème du Grand débat national n’est cité que 4 fois, le mot « Europe » également 4 fois et l’adjectif « européen » 3 fois seulement. Le Grand débat national (de « l’enfumage ») et la gestion de la crise des Gilets jaunes sont en revanche beaucoup plus cités parmi les opinions négatives.

Deux derniers éléments méritent toute notre attention. D’une part, l’univers sémantique des opinions positives à l’égard d’Emmanuel Macron est toujours moins riche et diversifié en contenu que l’univers sémantique des opinions négatives [[preuve que ne sont que radotées les sornettes des médias déchus]]. Comme si le rejet d’Emmanuel Macron était beaucoup dense et puissant que le soutien [[ du bout des lèvres mais pas du…coeur !]]. D’autre part, les structures narratives que nous avons mises à jour dans les données de l’enquête du mois de mars montrent une forte stabilité par rapport à celle des mois précédents.

Aucun élément d’actualité, aucune innovation dans la communication présidentielle, ne vient donc combler la profondeur du sillon d’incompréhensions qui sépare en deux la France à propos d’Emmanuel Macron. Le Président de la République a parlé des heures, il a occupé nos écrans des jours et des nuits, il a traversé la France et enchaîné les débats.  Il a tombé la veste de manière ostentatoire [[attentatoire ]], repassé cent fois avec brio l’oral d’entrée à l’ENA. Rien n’y fait ! Son image semble congelée à des températures polaires et rien ne dit qu’elle bénéficiera d’un dégel printanier, d’une éclaircie ou d’un coin de ciel bleu éloignant la noirceur des mois de novembre et décembre. Un grand débat ne fait pas le printemps politique ! »…Surtout, lorsque, à aucun moment, on ne montre de cœur .Cela…gèle tout !

Voyons-les-faits-et-leurs-contes-?

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.................................Interludes..des mots qui passaient par là…

https://www.revue-ballast.fr/labecedaire-d'élisée-Reclus/

Commune : « Associez-vous aux compagnons dont la terre est menacée comme la vôtre par les usiniers, les amateurs de chasse, les prêteurs d’argent ; oubliez toutes vos petites rancunes de voisin à voisin, et groupez-vous en communes où tous les intérêts soient solidaires, où chaque motte de gazon ait tous les communiers pour défenseurs. À cent, à mille, à dix mille, vous serez déjà bien forts contre le seigneur et ses valets ; mais vous ne serez pas encore assez forts contre une armée. Associez-vous donc de commune à commune et que la plus faible dispose de la force de toutes. Bien plus, faites appel à ceux qui n’ont rien, à ces gens déshérités des villes qu’on vous a peut-être appris à haïr, mais qu’il faut aimer parce qu’ils vous aideront à garder la terre et à reconquérir celle qu’on vous a prise. Avec eux, vous attaquerez, vous renverserez les murailles d’enclos ; avec eux, vous fonderez la grande commune des hommes, où l’on travaillera de concert à vivifier le sol, à l’embellir et à vivre heureux, sur cette bonne terre qui nous donne le pain. » (« À mon frère le paysan », Genève, imprimerie des Eaux Vives, 1893)

Solidarité : « Que l’on voie d’un côté la tourbe des pauvres affamés, de l’autre quelques privilégiés mangeant à leur appétit et s’habillant à leur fantaisie, on doit croire en toute naïveté qu’il ne saurait en être autrement ! Il est vrai qu’en temps d’abondance on n’aurait qu’à prendre au tas et qu’en temps de disette tout le monde pourrait se mettre de concert à la ration, mais pareille façon d’agir supposerait l’existence d’une société étroitement unie par un lien de solidarité fraternel. » (L’Évolution, la révolution et l’idéal anarchique [1902], Écrits sociaux, éditions Héros-Limite, 2012)

Terre : « Là où le sol s’est enlaidi, là où toute poésie a disparu du paysage, les imaginations s’éteignent, les esprits s’appauvrissent, la routine et la servilité s’emparent des âmes et les disposent à la torpeur et à la mort. Parmi les causes qui dans l’histoire de l’humanité ont déjà fait disparaître tant de civilisations successives, il faudrait compter en première ligne la brutale violence avec laquelle la plupart des nations traitaient la terre nourricière. Ils abattaient les forêts, laissaient tarir les sources et déborder les fleuves, détérioraient les climats, entouraient les cités de zones marécageuses et pestilentielles ; puis, quand la nature, profanée par eux, leur était devenue hostile, ils la prenaient en haine, et, ne pouvant se retremper comme le sauvage dans la vie des forêts, ils se laissaient de plus en plus abrutir par le despotisme des prêtres et des rois. » (« Du Sentiment de la nature dans les sociétés modernes », La Revue des deux Mondes, n° 63, 15 mai 1866)…Plutôt incroyables, non ?

Gilets-jaunes-sur-la-ligne-de-crête

« Si le mouvement des Gilets jaunes ne se définit pas par ce qu’il n’est pas (antisémite, anti-migrant, sexiste, homophobe), ce qui serait se mettre dans la contre-dépendance des attaques de ses ennemis ou des médias, il ne se définit pas non plus par ce qu’il est. Comme dans tout mouvement qui possède une véritable dynamique propre [[ et cela ne peuvent pas le…comprendre les «assis», les mollusques parisianistes collées à leur rocher de routine-toujours-la-même depuis 40 ans (voir la B.D « Dol », oui comme doléance, pour le …voir et l‘entendre en vrai ! oui ces morts vivants du consumérisme dément]], des clivages présentés comme une réalité incontournable par l’État, les sociologues et les médias, n’en sont plus pour lui. [[ sans être intellectuels, ils sont plus …progressistes, puisque progressant physiquement sur la route des compréhensions…simultanées – le constat est que les Gj sont en Avance par rapport aux trop retardataires macronistes…qui ne peuvent plus comprendre un traître mot du pays réel !]]…Pour « les gens d’en bas » qui se soulèvent contre l’ordre des faux dominants [[ faux puisqu’ils ne dominent plus aucun sujet mais sont à la traîne partout…]], les fractionnements entre « quartiers sensibles » et communes périurbaines sont relativisés lorsque les lycéens de Mantes-la-Jolie montrent qu’en banlieue aussi la survie n’est plus supportable ; fractionnement aboli entre assistés et chômeurs ciblés par la phrase assassine de Macron « il n’y a qu’à traverser la rue pour trouver un emploi » puisque de nombreux chômeurs, présents sur les ronds-points, développent solidarité et convivialité ; fractionnement effacé entre travailleurs pauvres (l’emploi n’est plus gage de vie décente) et petits salariés, artisans ou auto-entrepreneurs [[ leur putride « diviser pour régner » se retourne contre eux…puisqu’ils/elles sont bien divisés contre eux-mêmes…soit leurs propres ennemis, si incapables de la moindre densité d’être que de savoir qu’ils ont perdu tous les sens essentiels (empathie, solidarité, attention à autrui, préoccupation adulte du futur Et des autres,etc. etc.)…il ne leur reste Rien qu’un fonctionnement mécanique qui est en train  de dessécher toute leur vie intérieure…leur phrases Désolantes avouent juste qu’ils se sont égarés dans le stupide tout est com’, tout est image, tout est manipulations (alors qu'ils ne…manipulent plus qu’eux seuls. La nasse est réussie (les sans cœurs sont prisonniers d’un invisible qui ne leur permet plus de nuire…aux autres. Tout ce que vous faites se retournera contre vous est la Justice qui...remplace la fausse justice bourgeoise actuelle…vérifiez et vous captez !]].

Par sa dynamique propre, par l’action directe, le mouvement des Gilets jaunes a réfuté pratiquement les reproches idéologiques que lui adressent abstraitement les milieux politico-médiatiques dominants [[ qui – narcissiques – n'aveuglent plus qu’eux, et nous avouent leurs …faiblesses et nous donnent toutes les armes pour les « envelopper ». Creuser les galeries souterraines qui va les voir…s’effondrer. Comme par magie !]]. Au sein d’une frange de la population, qui n’a pas toujours été la plus active dans les mouvements sociaux [[ peu de le dire ]], parce qu’elle a à la fois voulu et subi les processus d’individualisation [[ oui consumérisme, individualisme fou et…macronisme, avant de se soulever, les Gilets jaunes les…favorisaient !]], se fait jour la bonne vieille idée redécouverte dans chaque lutte d’importance, celle que diviser permet de mieux régner. Mais force est de reconnaître qu’après quatre mois de lutte, ces avancées politiques sont insuffisantes. En effet, alors qu’il a aussi connu une certaine maturation dans le discernement de ses objectifs (de la lutte antifiscale à la lutte pour la justice sociale, par exemple), le mouvement ne parvient toujours pas à véritablement se définir [[ pour cela il faut en passer par les « idées sont les vrais leaders » et fouiller, enfin, dans…mais c’est quoi cette censure dictatoriale qui a posé son couvercle depuis tant d’années ? Qui Nous a fermé toutes les avancées considérables des vrais écrivains et des penseurs transversaux depuis des décennies ? Pourquoi et comment ? Pratiquement - des textes-étincelles sont là – il suffit de se les partager et le soulèvement va nettement…s’augmenter (au sens de « réalité augmentée », mais naturelle pas artificielle) – soit faire un saut quantique dans tous les trésors mentaux…sont à nous ! Nous surpassons déjà et en tout l’oligarchie qui n’a plus que…la fausse monnaie !]]. Cela nuit non seulement à son extension vers les marges de sympathisants hésitants, mais rend abstraite l’idée souvent mal comprise à l’extérieur du « Tous Gilets jaunes » puisque sans définition plus précise de ce qu’il est, toutes ces franges proches devraient l’intégrer et, à l’inverse, au nom de qui ou à partir de quel principe pourrait-il dire : « non, vous, vous n’êtes pas Gilets jaunes » ? Ni l‘appel de l’assemblée des assemblées à Commercy ni les communiqués du groupe Gilets jaunes Lyon-centre n’ont réussi à lever cette équivoque par rapport, par exemple, à la présence de l’extrême droite à l’intérieur du mouvement [[ sauf que ce n’est pas ainsi qu’il faut ressentir – des textes sur les Gj sont récupérés manipulés…créent – en fait - ces récupérations et manipulations qui n’existent pas dans le réel du noyau dur du soulèvement -….il s’agit d’entrer, chaque jour,  dans ce qu’il y a vraiment de nouveau, d’inconnu, de jamais vécu, etc. dans le soulèvement. Oui il faut être neufs et conserver un regard…neuf. Essayez et vous vous…trouverez. Tiens, j’étais déjà là, je ne m’en étais pas rendu.e compte !]]

C’est que la communauté de lutte pose comme première valeur politique la solidarité dans le désaccord, c’est-à-dire l’inverse de l’appréhension traditionnelle [[ exact, bonne formulation qui, en plus, entre bien dans notre sillon…]] de la politique, y compris à l’extrême gauche qui, quant à elle, pose au contraire le désaccord comme principe premier et «ligne» de partage [[ faux partage qui ne départage rien mais fige tout da,s la plus que stupide guerre de « position » (la lutte des places !) …alors que nous sommes toujours resté.e.s dans le mouvement…oui savez le mouvementé !]]. Cette disposition première, en faveur de la communauté de lutte et de la solidarité qui en découle, l’amène à ne pas aborder ou à reléguer au second plan « les sujets qui fâchent » [[ la vraie démocratie ne fonctionne que par dissensus et qui veut placer les faux consensus Avant les débats est, certainement, un ennemi confusionniste ]]. Ne pas trop en dire pour pouvoir continuer à se dire les choses [[ bravo ! Oui mais genre brave bravo…les bravos du vrai courage !]]. Ainsi, alors que les Gilets jaunes parlent beaucoup de votes et les utilisent pour prendre des décisions, alors que nombreux sont ceux qui mettent en avant le vote par RIC, la question du droit de vote n’est absolument pas abordée, car elle fractionnerait la solidarité des Gilets jaunes à partir du moment où il faudrait prendre une position [[ ce qui appartient à l’incompétence au réel du bourgeois qui a toujours besoin des autres…comme larbins, car il ne se démerde jamais tout seul dans la vraie vie !...Prendre position sur tout peut juste Bloquer dans la guerre de position (qui a tout congelé depuis 40 ans - cela ne doit pas être le bon truc…donc dehors les têtes bourgeoises, offrez-vous une tête toute neuve !]] sur le qui est citoyen et surtout qui ne l’est pas, au risque du désaccord.

Le pouvoir lui-même n’est pas questionné, ni d’ailleurs la nature de l’État [[ sauf par les Constituants et des éclaireurs plus avancés…que nous n’arrêtons pas de relayer…]]. C’est comme si toute la problématique rendant possible le RIC faisait oublier aux Gilets jaunes la nature de l’État qu’ils ont pourtant découverte, ou redécouverte, pendant leur mouvement. Il s’ensuit un danger qui est de trop personnaliser la fonction politique [[ clair – pour nous, nous n’attaquons jamais les personnes mais les idées qui les agitent. Et haro sur la nocivité de ces idées car une mentalité = un comportement nuisible qui suit (et non l’inverse) …donc personnaliser c’est faire perdre du temps à tout le monde. Soyez durs en idées et tolérant.e.s avec le genre humain !]] et de ne pas tenir compte du lien contradictoire qui existe entre personnalité individuelle et fonction publique [[ clairs que les si nocifs détraquements caractériels et affectifs du macronisme retarde…tout !]]. Pour une majorité des Gilets jaunes, personnel politique et oligarchie font « Système » et ne sont donc pas dis-Sociables [[ les antisociaux des pouvoirs font dissociétés, puisque ces nihilistes ennemis des humains ne veulent que saboter l’associé-té de tous les associés un vrai Contrat social…Ce sont eux les grabds Csasseurs …leurs façons glauques de parler des casseurs les dénoncent, n’aviez-vous pas remarqué ?]]. Il semble alors peu cohérent de ne s’attaquer qu’au personnel politique (Macron, Castaner) et à ses sous-fifres (Benalla, etc.), comme s’il fallait les punir en tant qu’individus plutôt que de lutter contre le fait même qu’il existe un personnel politique professionnel dont la fonction est séparée [[ là où se tient notre blog imagiter oui vous agitez les images (virtuelles oui), donc les apparences…irréelles et vous chamboulez d’incroyable manière…clair que nous voulons changer les fondations, les fonds, les racines, les piliers, déraciner l’horreur toute du capitalisme, tout prendre à l’origine (facile à reconnaître qui recommencent les origines…toutes et tous sont…originaux ! Incopiables…]] cette séparation des activités, une parmi tant d’autres étant une caractéristique du « Système »… capitaliste. Il en est de même quand le RIC veut réaliser son opération mains propres en demandant à ce que les casiers judiciaires des représentants du peuple soient vierges. Sans radicalisation de leur position [[ ce que nous nommons…exténuer les raisonnements. Reprendre les formulations mêmes, te les pousser là où leur sens ne peut plus…rien dire d’autre. Ne peut…s’inverser…Et les conséquences pratiques qui en découlent - soit par quoi commencer ? Et ensuite ? etc. Disons, sur ce terrain, les GJ ont au moins une décennie d’avance sur le gouvernement qui ne fait plus que…croupir !]], cette proposition risque de conduire à la situation italienne d’aujourd’hui survenue en partie grâce à l’opération « main propre » (mani pulite), même si le mouvement est très différent du Cinq étoiles.

Certes les Gilets jaunes demandent l’amnistie pour les Gilets jaunes condamnés [[à tort et …illégalement ]], mais ils ne pensent pas à étendre cela à des faits préalables, commis au cours des manifestations contre la loi-travail, alors qu’ils étaient un peu du même ordre avec arrestations préventives, interdictions de manifester et peines disproportionnées [[ user du rétroactif à fond…nous ne sommes pas Responsables des actes Scélérats pris avant nous – nous en sommes pas Engagés par eux…Rendre à César ce qui…est à la bourgeoisie …l’horreur nue de tous ses actes, qui (dénudés de tout bouc-émissaire facile et de tout c’est toujours la faute des autres montrent bien la hideur insoutenable de leurs …absences de cœurs (désormais pour faire de la politique il va falloir savoir…Aimer !]]. Même si beaucoup de Gilets jaunes disent regretter leur passivité de l’époque, ils ne semblent pas vouloir raccorder les événements. Dans leur colère ciblée sur les personnes, même si ce ne sont plus les mêmes, les Gilets jaunes marchent toujours sur les traces de la Révolution française. Le problème est quand même qu’aujourd’hui, le « Système » est un peu plus détaché de ses « porteurs » qu’à l’époque. [[ ce pourquoi ce sont ses fondations – que nous pouvons miner – qui effondreront le système vermoulu et moulu de partout…et non, pas le changement des clones !]]. Cela est vrai aussi bien du point de vue d’une structure capitalistique toujours plus abstraite [[ ce pourquoi nous devons faire tomber tous les Concepts économiques dans le langage du corps, les animer par du corporel, les raccrocher au plus concret – voir nos tentatives et d’autres qui déconsidèrent plus le scandale de l’économie « orthodoxe » où tout n’est plus que trucages et mensonges…que des analyses trop…abstraites de nos vies…quotidiennes !]] que du côté d’un État qui passe de la forme nation à la forme réseau.

Mais c’est peut-être ça aussi qui produit la brèche par laquelle s’engouffrer [[ pour nous oui – mais, encore, faut–il conserver l’humilité de parler du nouveau d’une manière…vraiment nouvelle. De ne plus ramener au passé, au passif passé, ce qui veut…accoucher d’un futur jamais encore vu !]].  En effet, par rapport au temps de la Révolution française pendant laquelle ses institutions solides n’étaient pas encore en place, les Troisième et Quatrième République vont reléguer les hommes politiques à des positions subordonnées à leur fonction et aux institutions de l’État-nation. Or, la Cinquième République et surtout l’élection au suffrage universel ont inversé la tendance. La personnalisation du pouvoir qui s’en est suivi a été renforcée indirectement depuis par la résorption relative des institutions au sein de l’État dans sa forme réseau. [[ sauf que sa faiblesse extrême est de ne pas pouvoir se vivre…décentralisé…et que le génie Gilets jaunes (génie interrompu par le fait que les manifestations à Paris qui ont offert tant d’images où les médias ennemis se sont tant…enrichis sur le dos des victimes de leur oligarchie – et que nous avons vérifié à quel point le centralisme concentré peut tout vicier, tout polluer et tout souiller…oui ce centralisme enfin…démasqué à fait oublier aux Gj que la bonne stratégie reste de couper le centralisme de Tout le pays réel. Et seulement ensuite d’encercler la ville foutue…les engrenages de circonstances ont défiguré comme il ne fallait pas…la…maîtrise de la situation reste d’appuyer à fond sur toutes les décentralisations (voyez, par exemple, ce que nous avons fait pour toutes les cultures…bon thermomètre, pour nous, car tout y est…refus de concurrence, tout y est forcé et non  libre…d’illégales mafias (et plus qu’incultes) empêchent la libre circulation des idées, imposent des censures censitaires et foutent le bordel partout…la reconquête par mise à nue de l’horreur culturelle peut gagner par sa décentralisation et sa Commune unité – voilà où nous en sommes…pas perdu un pouce de terrain et ayant construit tant de ponts qui percent les murs des séparations…un seul coup et le nouveau…paysage se montrera . Qui aurait perdu son temps, donc son époque ?]].

Tout n’est pas joué : L’action collective, qu’elle soit sur les ronds-points ou dans la rue ressoude sans arrêt le corps politique et social [[tandis que la REm antisociale commence de se dissoudre dans ses vains narcissismes …d’incroyables crétins (pouvez-vous nous citer un.e seul.e humain.e intelligent.e parmi ces…millionnaires qui ne travaillent que pour des…milliardaires…fractalisés ?- font imploser le macronisme…]] des Gilets jaunes parce que c’est à ces occasions qu’il se confronte au pouvoir de l’État [[ détourné illégalement par l’oligarchie plus qu’antirépublicaine !]]. C’est dans cette action collective que le mouvement fait l’expérience pratique d’un monde que tout à coup il ne semble plus subir, parce qu’il a commencé à en transformer certaines conditions (socialité, fraternité et solidarité, entraide), tout en permettant à chacun de se découvrir et se transformer dans le même mouvement, à travers cette action-là."...Et ?

Temps critiques, 22 mars 2019

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Bar vient de libre comme…barons…et il fut un temps où la société changeait dans les Bars…dans tous ces bras bus…

Désormais il s’agit de compter à nouveau des comptoirs pour enfiler le Social fort…

………..Le très haut degré du Social sans alcool !

……………………...…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

………Que la vaste libération collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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