La France par les français ? (1/2)

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La France par les français ? (1/2)

Que va-t-il rester du pays ? Les privatisations deviennent des monstruosités qui fuient toute raison d’être. Telles des inflammations qui ne sont plus justifiées par rien d’autres que des cupidités malades. Qui ne peuvent donc plus cacher leurs sur-présences rougies. Le pays n’a pas besoin de ces dépossessions inutiles lorsque de justes sommes à percevoir auprès des Déserteurs fiscaux couvrent bien plus que les déficits. Les citoyen.ne.s ont besoin de plus de services publics, pas de moins : il faut arrêter ce jeu de massacres qui ne sert que les…ennemis de la République. Et l’infime minorité qui ne mérite plus d’intempestifs enrichissements, vu qu’ils appauvrissent (à chaque fois) plus de 70 % de la population, ne peuvent plus être…toujours sur-privilégiés. Ils n’aident plus l’économie depuis longtemps – mais en sont les vils parasites. Les politiciens qui ne fonctionnent que pour eux doivent en perdre leurs fonctions. Trop c’est trop. Le bilan mondial des privatisations est tellement peu réjouissant qu’il faut imposer un moratoire qui en empêche de nouvelles.

En France, l’état serait-il devenu l’ennemi du pays, veut-il sa ruine, sa perte ? En tout cas, il agit tout comme. Comme si l’état n’était plus envahi que par des ennemis qui veulent le détruire (oui le Casser) le démanteler afin que des voyous fiscaux viennent le déposséder de ce qui appartient à tous et ne peut se voir disparaître sans référendums collectifs…Et le tout serait pour brader un pays aussi magnifique et avec tant de potentiels aux plus grands bandits existants : l’oligarchie. C’est peu de dire que l’Europe est « occupée » par ces personnages qui la détestent. Rien de censé n’oblige la France à se laisser « occuper » par leurs délires. Elle n’a pas à obéir aux ordres européens lorsque ceux-ci se démontrent insensés.  Nous allons voir à quels point ces privatisations ne sont plus NÉCESSAIRES Désormais privatisateurs = clairs ennemis des pays.

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Collège de France : le recours aux marchés financiers n’était en fait qu’une option parmi d’autres qui s’est imposée dans les années 1980-1990…et sans de raison vraiment valable : rappelons l’historique de ce processus de claire trahison…« Les techniques de financement des États européens sont rarement mises en cause au cours des faux débats portant sur le problème de la dette publique. Au mieux, lorsque le financement de l’État est invoqué, c’est pour s’enorgueillir qu’en dépit des dégradations de la note souveraine infligées par les agences (Standard and Poor’s en janvier et Moody’s en novembre 2012), la France continue de bénéficier d’une signature financière de prestige et des taux d’emprunt parmi les plus faibles consentis par le marché, comparativement à la crise qui touche le reste de la zone euro [[ or ce « circuit de la dette », soit les états s’appauvrissent et les marchés s’enrichissent, prend la place du… « circuit du trésor » qui lui était nettement supérieur…puisque sans Dette et sans intérêts de la dette…Ces suites de mauvaises décisions politiques doivent être annulées, révoquées et…inversées. Avec de la volonté c’est possible. Aucun obstacle institutionnel, bien au contraire, les institutions sont favorables au circuit du trésor. Et le peuple est très favorable aussi…les obstacles européens peuvent se voir aussi surmontés – nous verrons comment dans un prochain texte !]]. À la méconnaissance du grand public pour ces opérations répond leur grande normalité voire leur « naturalité » dans les secteurs financiers privés et publics [[ on fait comme si c’était normal, or cela ne l’est pas du tout. On fait comme s’il n’y avait pas besoin de le discuter or il faut le rediscuter et à fond…]]. Cette «fausse  évidence » s’adosse à un récit particulier des voies de financement légitimes de l’État, produit par les vainqueurs de l’histoire [[ pour le moment ]], qui tend à effacer les traces d’instruments qui ont pu exister par le passé, notamment pendant les décennies postérieures à la Seconde Guerre mondiale.

Le-circuit-du-trésor-détruit-par-l'oligarchie-au-profit-du-circuit-de-la-dette        et... retour sur la loi de 1973

« L'ordre de la dette » - comment la lecture budgétaire s'est imposée face au « circuit du trésor » qui fonctionnait très bien…Pour éviter tout déficit liés aux délais des collectes fiscales, le Trésor est alimenté en permanence en liquidités par cinq sources complémentaires :

1) Les dépôts à vue de ses « correspondants »
2) -  Les avances de la Banque De France (appelées par certains « Planche à billets »)
3) -  Les « planchers de bons », soit des souscriptions obligatoires pour les banques à des bons du trésor avec un taux fixé par l’état
4) - Des bons souscrits auprès du public
5) - L’apport de la
Caisse des Dépôts et Consignations [[ voici qui parait bien  plus sérieux et rationnel que de s’endetter stupidement autour des banques privées qui n’ont aucun droit régalien – et pour qui l’intérêt réel des pays est le dernier de leurs soucis (puisque leur intérêt est de revenir au circuit du trésor !) !]]

Ce système de « Circuit du Trésor » favorable à la collectivité ne convenait pas à l’oligarchie financière [[ et alors, on s’en contrefout…leurs cupidités malades ne représentent surtout pas un argument !]] pour deux raisons principales. D’abord, le taux d’inflation érodait le capital selon l’adage (apocryphe ?) de John Meynard Keynes : « L’inflation est l’euthanasie des rentiers »,ensuite il était intolérable que l’état utilise les ressources du circuit bancaire pour son propre profit [[ sic - encore une fausse dénomination : l’état est à but non lucratif, il ne peut donc penser aux profits…seulement à l’intérêt de toutes et tous en ne privilégiant surtout pas des intérêts…privés…or avec les fous néolibéraux , nous le voyons toujours mieux ne travailler plus…que pour eux (la loi ne leur permet pas et les institutions ne peuvent être détournées pour cela – rie dans leurs trahisons n’est fondé en Droit !]]. Cette manne [[ encore un mot suspect appartenant aux ennemis de la République !]] ne devait en aucun cas échapper [[ ceci est une maladie, non un argument…la santé dit, bien au contraire, qu’il faut que les intérêts du public échappent au privé !]] à la sphère financière privée et en conséquence [[ détournement de faussaires ]], il fallait tout faire pour que l’état revienne se financer sur les marchés [[ Faisons donc « tout »pour que l’état revienne  ne plus se financer sur les marchés. Et la santé mentale publique revient…]]

La base idéologique de la contre attaque ( !) sera inspirée par les étasuniens avec les conditions imposées aux bénéficiaires du plan Marshall de l’après-guerre [[ rein de gratuit ni de généreux – bien au contraire !]].. Ces conditions incluaient le développement de la sphère privée, l’obligation d’achat de produits américains et surtout la libéralisation du commerce afin d’écouler les surplus de la production US d’après guerre. Un certain nombre d’officines de formatage des cerveaux aux idées étasuniennes furent créées afin d’obtenir l’adhésion la trahison des non-élites françaises [[ non-élites... car les élites cela ne trahit pas…]], à commencer par certains hauts fonctionnaires. Ce sont ces derniers que l’on retrouvera à la manœuvre au début des années 60 lors de la guerre déclarée et toujours en cours contre le programme du CNR [[ le seul qui soit favorable à la population complète : être contre le Conseil National de la Résistance c’est donc se démasquer ennemis du peuple et pour son « occupation » indignement illégale et…collabo !]]. Oligarchie financière, le retour : Nous avons vu précédemment que l’oligarchie française avait massivement collaboré avec l’occupant nazi sous le régime de Vichy, et ce jusqu’à la fin de la guerre (voir les travaux d’Annie Lacroix-Ritz). [[ ce qui devrait la disqualifier à vie non ? ]]. Cette dernière a donc simplement changé de dominateur en basculant de L’Allemagne vers les États-Unis [[ sauf que leur signature de collabos ne convient plus du tout au peuple actuel : leurs manipulations ne traîtres ne nous engagent pas du tout]]. Les américains étasuniens avaient pour objectif annexe d’asseoir la soumission de l’Europe à travers la création d’un système supranational sous leur contrôle (Union Européenne à venir [[eh oui ce micmac les arrange…l’entente des peuples gardant des pays souverains cela ressemble à une solide…Résistance contre ces « occupants » illégaux !]]) associé à une doctrine idéologique ultralibérale [[ l’Europe actuelle est donc dominée par des…traîtres à leur pays. Leurs trahisons mêmes désengagent tous ces pays envers eux  et leur idéologie si…corrompue!]]. Un autre scénario aurait pu éviter la dette.

Du-30-Mars-2019-Annie-Lacroix-Riz… La (grande) bourgeoisie et son inavouable collaboration...jusqu'au bout !

Comme on l’a vu précédemment, les avances de la Banque de France au trésor ne constituaient que l’un des piliers du circuit. Effectuons maintenant une expérience de pensée. Si l’on examine la situation de la dette fin 2006, on constate que le montant de cette dernière était de 1 142 Milliards d’Euros. Or si l’on isole le cumul des intérêts seuls payés entre 1979 et 2006, on constate un total de 1 176 Milliards, [[ donc PLUS que la dette elle-même - ce qui ne répond pas au bon sens commun et désigne ces banques comme…ennemies frontales de gouvernements et ennemis pires encore des citoyen.ne.s !]] soit si l’on avait emprunté à taux zéro… un excédent de 34 Milliards. Voir le calcul ici [9]. Si la France s’était financée entre 1979 et 2006 à taux 0 à la Banque de France ou à la BCE, alors à la fin 2006 il n’y aurait pas… eu de dette  ! [[seuls des fous complets ont pu préférer le circuit de la dette qui RUINE les pays au circuit du Trésor qui leur enlève…toute dette du pied…]]…..Il semble cependant que les élus commencent à se réveiller sur ces questions comme le montre des travaux de la commission de finances en 2016. »…Oui se réveiller au fait que nous n’avons pas…besoin de dirigeants européens vu qu’ils se démontrent complètement Ennemis des pays, et ne visent qu’à les déposséder, les…RUINER. Leurs obsessions non fondées à Tout privatiser (toutes les privatisations sont prouvées…appauvrir les peuples et leurs font…perdre nombres de services de qualités…les services publics sont supérieurs aux …monopoles (oui monopoles) privés. Oui le Public est supérieur au privé et c’est à ce privé, bien trop égaré ou…dépravé, de suivre les modèles du Public et pas l’inverse …

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La-France-en-état-de-liquidation-européenne-!

 

« La fausse concurrence est le moyen et le but de cette époque néolibérale qui détraque tout, elle est l’instrument de désétatisation manié avec de plus en plus de fanatisme par la non-Union Européenne. Et la présidence Macron se prête avec enthousiasme à ce jeu de déconstruction [[ donc d’utiliser l’état comme un ennemi de la République, d’utiliser les institutions pour…détruire les institutions, d’user illégalement des lois pour…ruiner le pas. Ce qui rend les Gilets jaunes encore plus…légitimes. Légitimes pour mettre fin à ce…règne clairement illégal ]], à coup de privatisations douteuses [[ euphémisme – car elles sont toutes louches et répondent plus à des qualificatifs de banditismes que de…rationnelles ] d’éléments stratégiques du patrimoine public [[ stratégique c’est e qui répond au mot Trahison…]]. Quand le Sénat tente de bloquer dans un dernier sursaut la privatisation cachée des Aéroports de Paris dans la loi PACTE, le Gouvernement s’allonge avec délice aux pieds de la Commission européenne [[ identifiée comme complètement…ennemie de l’europe des pays et des peuples…et donc perdant tout droit de LEUR donner le …moindre ordre !]] pour offrir [[ ? …mais sans « conditions imposées…tout le contraire du plan Marshall alors…]] au privé les plus importants barrages hydro-électriques [[ en disant que c’est…faux…qu’il n’y pas de privatisation..]], ouvrages stratégiques construits au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque la France était un État et une puissance [[ une puissance ça dit NOOOON]]. C’est cette France que l’UE et le macronisme [[ qui se démasquent complètement ennemis du pays comme de ses habitant.e.s !]] veulent définitivement renvoyer aux manuels d’histoire, avant de les réécrire. La France est mise en liquidation [[ à part que comme c’est en liquide, les Résistances vont complètement échapper à leurs mains inexpertes !]].

 

Les nouvelles inquiétantes s’enchaînent et se ressemblent [[ non non ce ne sont pas les Gilets jaunes qui se comportent en ennemis…mais bien les gouvernements…Mais que font les polices ? Elles ne cognent pas sur les véridiques ennemis des institutions qu’ils se targuent de…protéger. Un flic cohérent cela empêche vraiment l’état de s’endetter auprès du privé et cela fait…barrage aux privatisations…allons allons un peu de jugeote messieurs les flicards incohérents. CRS traîtres au pays ? Allons donc ils vont réagir !]], ce sont les éléments stratégiques de l’Etat qui sont offerts au privé [[ voir à la rubrique trahison ]], dans la plus impure illogique néolibérale. Pour ce faire, le dogme du tout-faux-concurrenciel [[ faux…car les services publics qui sont à but non lucratif mais au service de tous et n’entrent dans aucun…circuit de concurrence se voient remplacés par des Monopoles privés qui eux ne respectent plus la vraie concurrence…il faut arrêter de colporter les minables alibis de la minable Commission européenne…,elle,…n’applique que la concurrence… « non libre et complètement faussée »…tout la condamne. Sa proche abolition va être vécue comme une émancipation de tous !]] est répété sur toutes les gammes, comme un mantra [[ et alors, on s’en balance de les prurits de ces…déchus !]].

 

Les privatisations plus ou moins officielles ne cessent de se succéder [[ ce qui est une signe que les néolibéraux se savent PERDUS et que, comme tous les barbares hyper violents, ils brûlent tout ce qu’ils ont razzié précédemment. Nous sommes dans la phase où les immenses majorités les reconnaissent comme leurs…ennemis ! Leurs gesticulations ne peuvent que renforcer ces graves soupçons et les muer en certitudes !]]. Dans le désordre, on a entendu parler d’Engie, dans lequel l’état vend au fur et à mesure ses parts, mais comme il n’est plus majoritaire, cela n’entre pas officiellement dans un processus de privatisation. Pourtant, le gaz est un domaine stratégique, mais dont l’Etat se désengage au profit du privé profit [[privé est encore un nom trop propre pour qualifier cette vraie honte de l’Humanité que représente l’oligarchie plus qu’illégale ]]. Le même processus a été engagé pour Renault. Ce que le ministre de l’Économie qualifie de « succès d’échec stratégique » (sic). Idem avec Air France, au profit de l’État hollandais – on appréciera l’ironie du sort [[et …l’incohérence des fausses lois de la Commission européenne dont aucune ne tient face à un groupe de juristes très déterminés !]] – certains États sont donc plus « autorisés » que d’autres [[ donc il n’y a aucune loi universelle derrière ce grave bordel du fric fou et des éternels ivrognes qui ne pratiquent que ces beuveries d’enrichissements…sales !]]. La vente des aéroports de Nice, Toulouse et Lyon a fait réagir la Cour des comptes [[nous en avons parlé]], sans que le manque de principe ne soit remis en cause, et le processus de revente ininterrompue s’amorce : la question devenant de savoir qui va succéder aux Chinois pour l’aéroport de Toulouse ? En plus, ce sont des entreprises très rentables [[ donc qu’il ne s’agit surtout PAS de privatiser…qu’en retire le pays sur le long Terme ? Alors que de s’en prendre aux Déserteurs fiscaux comblent tous es déficits…sans qu’il n’y ait rien besoin de vendre…Le « principe d’économie » d’Ohkam l’emporte et de loin…Recettes Publique abondées contre les indignes Déserteurs fiscaux c’est tellement plus économe  que les dingues privatisations !]] … Etc, etc, etc … C’est l’Etat qui est en cours de privatisation, de liquidation. Et l’on continue avec les Aéroports de Paris, que le Sénat tente de bloquer [[ ce pourquoi il se dresse contre le gouvernement le désignant bien comme ennemi des…intérêts véridiques du pays…]].

 

Maintenant, sous le coup d’une procédure d’infraction lancée par la Commission européenne [[ que nous venons de traduire, vu ses collusions trop évidentes avec les étasuniens, indigne de diriger les européens donc surtout n’ayant plus à leur donner des…ordres. Sa déchéance morale aggravée comme traîtres…rendrait caduque la moindre envie qu’ils aient d’encore se permettre de le…prendre de haut !]] contre[[ tiens «contre » ces empotés traient donc la France comme…une ennemie. Bingo : ce sont donc eux les ennemis !]] la France, au sujet du monopole d’EDF dans le domaine de l’énergie hydro-électrique [[ pas de monopoles : les services publics n’appartiennent pas à…la concurrence ni au…commerce…houhou faut se réveiller !]] , le Gouvernement s’apprête à « ouvrir à la concurrence [[ aucun droit puisque un service public …rend service à tous et ne participe donc à…aucune concurrence !]] », autrement dit à ouvrir au privé, la concession d’une centaine des plus importants barrages hydro-électriques français. Le principe de la privatisation avait été acté dès 2017, juste après la prise de dysfonctions de Macron, alors que la France résistait depuis plus de 10 ans [[ et avec raison …en réPublique toute privatisation est « en principe » illégale…et rien n’est plus fort que la Constitution pour le dire…]] :

 

Le 7 février dernier, le gouvernement Philippe, après avoir fait savoir en automne 2017 à l’interfédérale des salariés du secteur hydroélectrique français qu’il ne trouvait rien à redire au principe, a donc acté la privatisation. D’ici 2022, 150 des plus grands barrages (plus de 20 mètres de haut) devraient être vendus, pour une puissance totale de 4,3 GW équivalant à celle de trois réacteurs nucléaires de nouvelle génération. Le reliquat du parc public, sauf effondrement global, sera mis à l’encan avant 2050 [[ sauf qu’un état n’ayant rien à voir avec le COMMERCE si certains de ses faux représentants le croient (perdus dans des irrationalités peu recommandables) cela ne change pas que l’état reste un non commerce qu’il ne met… rien à l’encan, ne privatise pas…et que des « associations de malfaiteurs dans le but de commettre des violences contre institutions » se gardent à vue. Autant dire que des actes signés dans de telles déplorables contextes….ne sont pas valables…des « complicités » de signatures invalident, en plus, les 2 signatures. Y’a pas le feu au lac – l’oligarchie  bavant de cupidités (oui oui c’est une maladie grave que la voracité, ma pov’dame) est en train de se démasquer…sans plus d’équivoque. Ennemie des Pays et de ses habitant.e.s, y’ a pas de recours possible pour elle !]].

 

Un excellent article publié sur le site de France Culture résume parfaitement le fanatisme idéologique de cette décision européenne anti-européenne, qui ne va pas se réaliser sous la présidence Macron, et peut mettre en danger la sécurité nationale [[ que protègent donc les amis Gilets jaunes…]]: …Vous avez aimé les Aéroports de Paris, les autoroutes et Engie, vous allez adorer ce nouvel épisode de la grande série  (nommée les co-rompus sont rompus) de privatisations, pour le moins étonnantes, menée par le gouvernement français. Cette annonce fait suite à près de dix ans de pression de la part de la Commission européenne [[ et alors on s’en fout…ils n’ont plus voix au chapitre !]] pour démanteler la gestion publique de l’énergie hydro-électrique [[ en langage clair n’est-ce pas cela « détruire les institutions », n’est-ce pas cela CASSER la République…hola CRS la Commission européenne veut tout casser chez vous...qu’est-ce que vous attendez ?]].

 

Il faut dire que Bruxelles enrage [[ une fois plus on s’en tape de ces grave..détraqués…]] contre la position ultra-dominante service public d’EDF [[ et les multinationales n’ont-elles pas des monopoles antitrust, ne pratiquent-elles pas des « ententes illicites » (le mot juridique pour « complot » !, ne virent-elles pas aux oligopoles, voire en monopoles sans ce que cette monomaniaque commission ne le…voit seulement !]] qui, en sa qualité d’acteur public de l’énergie, détient et gère [[ normal pour au service AU public ]] 85% du parc hydraulique français, soit près de 2300 barrages en France. Des années que la Commission aimerait voir tomber ce monopole d’État aux allures insupportables [[ non ce sont les multinationales impunies et les étasuniens..hyper ingérés et s’ingérant les…insupportables !]  de vestige socio-marxiste en plein cœur de l’Europe de marché [[ n’importe quoi…« le communisme privé » détourne Marx et nous avons prouvé, dans notre texte d’hier, que l’Occident est tellement plus bolchevique que la Russie actuelle. Et – pire – que sa propagande abrutit tellement plus que ne le faisait la propagande soviétique…la bureaucratie du privé occidental dépasse de centaines de fis la… maigre bureaucratie soviétique…non en 2019, les fanatiques dangereux ce sont des occidentaux très détraqués !]].

 

Puisqu’il était impossible d’exiger la privatisation des centrales nucléaires, relevant des activités d’importances vitales de la nation [[ ce qui prouve l’incohérence des fausses lois européennes qui …déconnent trop pour asservir les peuples…ils auront tenté – ils perdent tout désormais et vont devoir se faire à cet immense retour de la…santé mentale !]], la Commission s’est donc reportée sur la deuxième source française de production d’énergie, à savoir les barrages. (…) On peut ainsi se demander ce que feraient des acteurs privés s’ils venaient à détenir et à contrôler de telles infrastructures. D’autant que l’électricité produite par les centrales hydroélectriques est aujourd’hui la moins chère de France [[ leur voracité guide bien…plus c’est rentable plus ces détraqués gesticulent grotesquement faut privatiser faut…eh oui, comme ils ne sont pas vraiment intelligents leurs inconduites attirent trop l‘attention…genre « Ah ils veulent privatiser c’est donc que c’est RENTABLE…voici qui nous économise un audit !]] : 20 à 30 €/MWh contre 35 à 46 pour le nucléaire. Or, comme le relève le média en ligne Le vent se lève, « un opérateur privé pourrait facilement maintenir les vannes du barrage fermées et attendre qu’un pic de consommation fasse frôler la pénurie d’électricité pour faire monter les prix. Sur le plan juridique, rien ne les en empêcherait [[ si…si par la redéfinition du service public qui n’est pas…un commerce, n’entre pas dans les…profits commerciaux et n’est donc pas à classer dans la rubrique « concurrence » …ce qui ne permet plus à aucun « faux » européen de vouloir foutre ses pattes sales sur ce qui…rend service à tout le monde, sachant, en cela, dénoncer ses « intentions » de comportement très…délinquant (tout de même fermer les barrages faut être un voyou aggravé pour y penser !]] ».

 

Pour se donner une idée du type de chantage financier que peuvent exercer des acteurs privés dans de telles conditions [[ « l’économie des moyens » la solution la plus économe dit ce privé trop…conflictuel et irresponsable ne doit plus s’immiscer dans tout ce qui appartient aux…services à la population – et voici soit le privé imite le Public soit les jeux sont finis, rien ne va plus ! Faut savoir PERDRE si l’on introduit (malgré l’opposition du grand nombre), que « tout est jeu »…bien tout est jeu ET vous y avez perdu…circulez…]], il suffit de se rappeler l’épisode qui avait opposé General Electric à EDF il y a quelques années. Après  avoir racheté Alstom énergie en 2016, l’entreprise américaine avait organisé une grève de maintenance pour obtenir d’EDF des conditions de gestion plus avantageuses. Après une centaine d’incidents, la direction d’EDF avait fini céder et donner gain de cause aux étasuniens toujours modèles des…déloyautés !

 

On ose à peine imaginer le pouvoir que donnerait le contrôle de ces infrastructures, quand on sait que les barrages hydrauliques servent aussi de réserve d’eau pour refroidir les centrales nucléaires…[[ donc ces barrages appartiennent au nucléaire où c’est marqué PAS touche…la commission européenne ignorante de la logique n’a plus qu’à dégager la queue entre les jambes…et cela ne faut que commencer !]]… Par principe, l’UE ne peut se développer qu’en absorbant les Etats au profit d’une idéologie globaliste. Idéologie, qui ne peut qu’avancer la loi du marché tout-puissant, mythe néolibéral, pour dénier tout droit à l’intérêt national, aux intérêts stratégiques de l’Etat. Et pendant que vous vous escrimez au niveau européen, où les décisions sont déjà prises (ailleurs), nos charmants clones nationaux s’appliquent à brader le pays [[ ce que la vraie République ne leur permet pas…]]. Et y arrivent à merveille. Parfaitement protégé par cette farce électorale… »…Pour le moment…

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Maîtriser-enfin-la-finance

 

 A propos de Laurence Scialom, « La fascination de l'ogre. Ou comment desserrer l'étau de la finance »,  2019… En (2) nous verrons comment nous opposer à cette europe de la Dette et à celle tout aussi…illégale des privatisations…non libres et complètement faussées (donc…forcées, en plus !)…En  attendant 2 extraits…

 

Une société capturée par la finance

Une finance peu ou mal régulée est nécessairement instable et produit des crises à répétition. En témoignent les crises financières et bancaires récurrentes depuis la fin des années 1980, c’est-à-dire précisément depuis la généralisation de la déréglementation et de la libéralisation financière dans les pays développés. Sans souci d’exhaustivité, en voici un petit florilège : crise des savings and loans aux États-Unis à la fin des années 1980, crises bancaires scandinaves du début des années 1990, crise mexicaine et krach obligataire en 1994, crise asiatique en 1997, crise russe en 1998, faillite du hedge fund LTCM dans la foulée, crise des valorisations d’actifs en 2002 à la suite des scandales Enron, Worldcom et autres firmes adeptes de la « comptabilité créative ». Enfin, la grande crise financière de 2007-2008, qui fut une sorte d’apothéose dans cette chronique de crises. Par sa gravité et son étendue géographique, par ses effets dévastateurs sur les finances publiques, par son impact négatif sur la croissance et le chômage, cette crise financière hors norme atteste la nécessité d’une finance plus et mieux régulée. Plus de dix ans après, la finance reste une menace peut-être encore plus grave qu’elle ne l’était dans les années 2000, car les États n’ont plus les moyens de soutenir massivement les banques et autres intermédiaires financiers comme ils l’ont fait à l’automne 2008.

La finance ou Dr Jekyll et Mr Hyde

Pour autant, ne nous trompons pas de combat. La finance n’est pas un mal en soi. Au contraire, les banques et la finance sont vitales pour le bon fonctionnement de l’économie, pour sa prospérité et son dynamisme. Elles permettent de s’endetter et de ne pas être contraint à tout moment par ce que l’on gagne, de financer les études de nos enfants ou une nouvelle voiture. C’est aussi grâce aux institutions de la finance que l’on peut mettre de l’argent de côté dans les périodes où l’on dépense moins que ce que l’on gagne et le faire fructifier. La finance nous permet donc, à l’échelle personnelle, de différer nos consommations pour nous assurer que notre pouvoir d’achat ne sera pas trop écorné au moment de la retraite. Elle permet également aux entreprises de financer un investissement sur la base des anticipations de rentabilité de celui-ci, et non pas uniquement sur la base de l’autofinancement. En d’autres termes, pour se projeter dans l’avenir, pour desserrer la contrainte de financement à chaque période, la finance est indispensable. C’est le carburant d’une économie en mouvement, elle fait le lien entre le présent et le devenir de nos sociétés. La finance ainsi entendue crée du lien social et de la confiance. Pour emprunter, il faut que quelqu’un accepte de prêter, ce qui fondamentalement signifie avoir confiance dans le fait d’être remboursé. Mais tout cela n’est pas sans risque. Les aléas de la vie des individus, des firmes et des sociétés peuvent faire que certaines dettes ne seront pas remboursées. Dettes des uns, créances des autres, enchevêtrement des trajectoires individuelles, c’est précisément ce qui fait une société, et la finance y a toute sa place.

Créanciers et débiteurs n’ont pas les mêmes préférences quant à leur rapport au temps et au risque. Les premiers souhaitent le plus souvent que leur investissement financier soit réversible afin de pouvoir rapidement récupérer de la liquidité en cas de besoin. Les emprunteurs, quant à eux, ont au contraire souvent besoin que les fonds leur soient prêtés sur des périodes longues. Pour dire les choses simplement, ceux qui peuvent prêter – les épargnants – préfèrent en général le faire sur de courtes périodes sans prendre trop de risque, alors que les emprunteurs préfèrent souvent emprunter à moyen ou long terme. La finance, quand elle fonctionne bien, ajuste et réconcilie ces préférences qui semblent irréconciliables.

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Je-vais-tous-vous-privatiser-comment-le-macronisme-brade-le-bien-commun

Enfin « Il était une fois… Un pillage organisé … »  dans le (2)…côté les solutions

…On croyait nous avoir bourré le mou, trop entubé ; en fait, l’impeccable alignement de toutes leurs turpitudes…c’est comme une nouvelle voie éclairée (brusquement) de toutes ses lumières…

………………..Nous voyons d’un seul coup Tout…et eux plus rien…

………….oui le retour de la Justice immanente était aussi prévu !

 

………………………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

………Que la vaste libération collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Regarder du coin de l’œil  de So Fi…« Ouvre l’oeil ! » : Voilà le conseil que son père donnait à Léonard. Un sens de l’observation qui alimentera toute sa vie son génie ! »

Regarder du coin de l’œil de So Fi…« Ouvre l’oeil ! » : Voilà le conseil que son père donnait à Léonard. Un sens de l’observation qui alimentera toute sa vie son génie ! »

la police toujours en position de devoir se défendre…

la police toujours en position de devoir se défendre…

La finance fonctionne aujourd’hui en vase clos, au service avant tout de ses propres intérêts. Or les banques sont censées répondre aux besoins des sociétés.  De financer des projets et de gérer les risques : comment a-t-on pu oublier ainsi l’essentiel ? Pourquoi les États servent-ils aussi docilement les intérêts du secteur financier ? Pareilles questions échappent au débat démocratique car le jargon qui règne dans ces milieux les rend inintelligibles aux citoyens.

La finance fonctionne aujourd’hui en vase clos, au service avant tout de ses propres intérêts. Or les banques sont censées répondre aux besoins des sociétés. De financer des projets et de gérer les risques : comment a-t-on pu oublier ainsi l’essentiel ? Pourquoi les États servent-ils aussi docilement les intérêts du secteur financier ? Pareilles questions échappent au débat démocratique car le jargon qui règne dans ces milieux les rend inintelligibles aux citoyens.

La prospérité du marché = les déboires de l’état… A la fin de la guerre, la gestion monétaire du pays était revenue sous le contrôle de l’état. L’oligarchie effectua alors durant les Tente Glorieuses un lent travail de sape afin de transférer cette dernière aux marchés privés. Le support idéologique associé à cette démarche fut inspiré par le modèle libéral anglo-saxon. La loi de 1973 ne fut qu’un point d’étape venu s’insérer dans ce contexte en attendant le verrouillage total de la liberté de manœuvre de l’état par le traité de Maastricht. Nous avons assisté à cette occasion une énième occurrence de ce que l’on n’ose plus appeler la lutte des classes ! A partir des années 60, on commença à remplacer un système de gestion monétaire dirigé par l’état et qui avait fait ses preuves appelé « circuit du trésor » par un système basé sur le tout privé qui nous a conduit inexorablement à l’endettement actuel. La dette équivalente à environ 100% du PIB est en grande partie liée au financement des déficits par les marchés. Les causes de cette situation sont multiples, mais si l’on ne prend en compte que l’aspect monétaire, on constate factuellement que si la banque centrale avait pu financer les déficits avec des prêts à taux zéro remboursables, alors la dette aurait été quasi nulle à l’orée de la crise de 2008.

La prospérité du marché = les déboires de l’état… A la fin de la guerre, la gestion monétaire du pays était revenue sous le contrôle de l’état. L’oligarchie effectua alors durant les Tente Glorieuses un lent travail de sape afin de transférer cette dernière aux marchés privés. Le support idéologique associé à cette démarche fut inspiré par le modèle libéral anglo-saxon. La loi de 1973 ne fut qu’un point d’étape venu s’insérer dans ce contexte en attendant le verrouillage total de la liberté de manœuvre de l’état par le traité de Maastricht. Nous avons assisté à cette occasion une énième occurrence de ce que l’on n’ose plus appeler la lutte des classes ! A partir des années 60, on commença à remplacer un système de gestion monétaire dirigé par l’état et qui avait fait ses preuves appelé « circuit du trésor » par un système basé sur le tout privé qui nous a conduit inexorablement à l’endettement actuel. La dette équivalente à environ 100% du PIB est en grande partie liée au financement des déficits par les marchés. Les causes de cette situation sont multiples, mais si l’on ne prend en compte que l’aspect monétaire, on constate factuellement que si la banque centrale avait pu financer les déficits avec des prêts à taux zéro remboursables, alors la dette aurait été quasi nulle à l’orée de la crise de 2008.

presse non, libre

presse non, libre

Mais Gj...libres !

Mais Gj...libres !

A partir des années 60, on commença à remplacer un système de gestion monétaire dirigé par l’état et qui avait fait ses preuves appelé « circuit du trésor » par un système basé sur le tout privé qui nous a conduit inexorablement à l’endettement actuel. La dette équivalente à environ 100% du PIB est en grande partie liée au financement des déficits par les marchés. Les causes de cette situation sont multiples, mais si l’on ne prend en compte que l’aspect monétaire, on constate factuellement que si la banque centrale avait pu financer les déficits avec des prêts à taux zéro remboursables, alors la dette aurait été quasi nulle à l’orée de la crise de 2008.

A partir des années 60, on commença à remplacer un système de gestion monétaire dirigé par l’état et qui avait fait ses preuves appelé « circuit du trésor » par un système basé sur le tout privé qui nous a conduit inexorablement à l’endettement actuel. La dette équivalente à environ 100% du PIB est en grande partie liée au financement des déficits par les marchés. Les causes de cette situation sont multiples, mais si l’on ne prend en compte que l’aspect monétaire, on constate factuellement que si la banque centrale avait pu financer les déficits avec des prêts à taux zéro remboursables, alors la dette aurait été quasi nulle à l’orée de la crise de 2008.

La France par les français ? (1/2)
Les gilets jaunes ont ainsi raison....impossiblité radicale de faire confiance aux politciens...

Les gilets jaunes ont ainsi raison....impossiblité radicale de faire confiance aux politciens...

Benjamin Lemoine, L'ordre de la dette - comment la lecture budgétaire s'est imposée face au « circuit du trésor » qui fonctionnait très bien…voir le texte…

Comment la dette a imposé son désordre social et politique… illégal par Benjamin Lemoine 2/5

CROISSANCE, DÉFICIT : LA FRANCE VA-T-ELLE MIEUX ? Une bonne partie de la "formidable" (sic) croissance est due... Aux 10 milliards d'euros obtenus par les Gilets Jaunes pour les classes les plus défavorisées. En effet cet argent est immédiatement réintroduit ( politique de la demande refusée par l’absurde macronisme) dans l'économie et booste donc la croissance bien plus que les délirantes théories de ruissellement...

PRIVATISATION DU SERVICE PUBLIC | MACRON LÂCHÉ PAR LES SIENS | LES GENDARMES CONTRE CASTANER

Comptes publics : pourquoi Macron est au pied du mur…

UN TYPHON NOMMÉ MACRON - CHRISTOPHE RAMAUX…Ses méthodes ressemblent à celles de l’ex-USSS "La Dépense Publique soutient énormément la Dépense Privée ! C'était un concessus en Occident après la 2nde guerre mondiale. En plus, dans une économie mixte, L'Etat finance à la fois les services publics (police, ecole...) mais aussi les transferts de ressources (retraites, prestations sociales...). Ca sert de débouchés pour le privé ! Le privé fait très mal certaines activités : * les services publics, sinon c'est inégalitaire et coûteux, * la protection sociale : sinon la retraite par capitalisation, la santé privée... deviennent instables, très coûteux, très inégalitaires. Dans l'économie, il y a un pôle libéral qui est utile (la concurrence...). Mais comme pour la politique en democratie, il faut assumer qu'il y a aussi L'Etat, des lois, applicables à tous. C'est pas libéral du tout. C'est extrêmement utile, y compris pour le privé ! Insistons là dessus !"

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