La dépense publique n’est pas un…déficit
Car ? Le service public n’est pas un commerce, pas une entreprise, ne cherche pas les profits et n’est en concurrence avec rien. Ce qui change tout. Comme ? L’Europe inadaptée des néolibéraux ose que les services publics seraient des…monopoles qui refusent la concurrence – ce qui prouve juste la grave corruption de ces esprits mono-mercantiles. Mais qui ont tout…faux. L’état ne fait de concurrence à personne, il ne vise aucune part de marché - il est là pour répartir, partager non pour faire des bénéfices…L’irruption inappropriée de ces têtes détraquées, à force de cupidités inacceptables, nomme faussement ce qui n’est pas…et des milliards de souffrances vécues et d’horreurs supportées viennent donc car ils ne savent pas…de quoi ils parlent. Et qu’ils n’ont vraiment rien compris à la réalité…Qui est ?
>>> **** -- 2 grandes faussetés de dire que la dépense publique c’est 56 % du Pub…nommer ainsi c’est surtout erroné. Car ? 1) La moitié de la dépense publique va... à la dépense privée …et 2) …56 % de cette non dépense sont des transferts nommés prestations sociale…et le tout c’est ce qui fait « tourner » l’économie…Puisque ? 80 % de ce qui aboutit aux entreprises est permis par la faussement dénommée dépense …publique. Les entreprises dans un aveuglement total prennent sans s’occuper du résultat global. Seule une vision publique et réPublique…désintéressée peut voir le tout. L’état n’est pas une entreprise ni un commerce, il ne fait concurrence à rien mais sert tout le monde. Et la folie furieuse néolibérale est venue détruire, au sens fort, l’ordre…public. Oui détruire le mieux avec sa cupidité monstrueuse alliée à un esprit vraiment malade à force d’être malsain : le ressentiment de Nietzsche c’est lui (et non les pauvres). Ainsi va –t-il ne voir la dépense publique que comme un…déficit. Sous–entendu l’état n’existe que pour moi, que je le trais, que je le fraude et que je mente toujours. Or les dépenses publiques sont le contraire de déficits…seule la déviance d’une tête néolibérale – soit l’inhumanité en marche – peuvent tout corrompre….le privé prend et ne donne pas…le public donne et ne prend pas…
Calculée-comme-la-dépense-publique-la-dépense-privée-dépasserait-200 %-du-Pib
« La moitié de la dépense publique va... à la dépense privée
- En premier lieu, plus de la moitié de la dépense publique est en fait constituée de sommes (les prestations et transferts) qui sont certes prélevées, mais pour être immédiatement reversées aux ménages principalement (sous forme de prestations sociales) et plus accessoirement aux entreprises, ce qui soutient évidemment leur dépense privée.
- En second lieu, les fonctionnaires ne sont pas des improductifs. Ils contribuent au PIB. Leur valeur ajoutée s’élève à 333 milliards, ce qui représente tout de même un tiers de celle des salariés des entreprises de droit commun, les sociétés non financières (1 018 milliards), le reste de la valeur ajoutée étant principalement apportée par les ménages (notamment les entrepreneurs individuels).
56 % de ces fausses dépenses sont des ….TRANSFERTS !…. « C’est de loin le poste le plus important : 643 milliards, soit 56 % de la dépense publique. On y trouve principalement des prestations sociales (525 milliards, soit à elles seules la moitié de la dépense publique), mais aussi toutes sortes de subventions et de transferts (115 milliards) aux ménages, aux entreprises ou bien encore aux institutions internationales. »…Comment donc – en nommant frauduleusement – se voit dénaturée l’image de la réalité dénaturée. Ce qui discrédite définitivement, pour nous, les néolibéraux qui mentent et trichent sur absolument tout (genre un pacifiste de dos matraqué violemment à tête sera nommé « poussé » (avec le subliminal « faut pas pousser ») juste afin de …pousser à la faute les plus Légitimes que le gouvernement : les gilets jaunes !]]
Le-gouvernement-a-tort Pourquoi la dépense publique n’est pas 56 % du PIB et pourquoi Macron a complètement tort ?
>>>> - **** La dépense publique n’est pas un…déficit ! Pour sûr. Mais qui avait intérêt à répandre une telle diffamation ? Diffamation qui nous savons diriger non librement et complètement faussée l’Europe et…la France avec le si nuisible macronisme ? Oui ils nomment les services publics de ce qu’ils ne sont pas…ils faussent tout en rangeant du non lucratif dans lucratif, du qui ne recherche pas de profits comme ce qui en recherche exclusivement et même plus que les autres (dans les dérèglements mentaux de ces diffamateurs nous voyons les services publics comme les seuls acharnés après le…pognon – les autres le privatisant pour « rendre service »…oui afin de baisser tous les prix, de ramener la qualité et de desservir absolument…tout le monde !). Oui le commerçant fou qui dit dépense publique = ce qui fait perdre de l’argent à tout le monde (ou le banquier hyper intéressé et donc semant la…confusion anarchique partout)…ou encore le chef d’entreprise CAC 40 mais vraiment inculte, etc. - oui pourquoi brailler aussi fort une contre-vérité ? Nous voyons alors la déphasée oligarchie tellement aveuglée de concupiscence que ses yeux ne voient plus…ce que nous sommes en train d’analyser (la vraie santé dans l’économie…l’honnêteté dans les concepts, et la fin des délires ivrognes des fous néolibéraux) que si ils mentent tant…dépense = déficit c’est « uniquement » que cette dépense ne va pas vers…eux (elle n’est plus alors (magiquement) déficit mais…Recettes de l’état – l’état s’enrichit en leur donnant tout puisqu’il ne s’appauvrit pas puisque, eux, sont plus riches – vous voyez le limpide dérangement mental… Oui toutes les dépenses QUE POUR EUX. Vers eux…Il faut juste les restreindre voire les supprimer toutes pour les…autres. Surtout les pauvres ou les…Gilets jaunes…D’où leur plus que scandaleuse propagande pour diminuer désastreusement ces dépenses (mais que font les médias ?). Alors que la Santé Mentale sait que ce sont les Recettes publique qu’il faut augmenter…soit contraindre ces dangereux Déserteurs fiscaux à payer leurs…dettes fiscales sociales, citoyennes, morales, durables et renouvelables. Ce sont EUX le problème…et qui dit dépense publiques = déficits n’est pas normal…Nous allons découvrir ici pourquoi : le drame reste que ces personnages superficiels et complètement immatures s’en foutent des conséquences, des résultats, des désastres de leurs exactions, de leurs spoliations, de leurs destructions…Un seul ordre de grandeur ? Par rapport aux casses (aidés par les ordres reçus par la police) ce sont des millions de fois plus de coûts pour la collectivité que laissent en sillage tous ces faux dirigeants. Ce sont eux les Casseurs et ceux qui veulent détruire les institutions…Tant que ceci n’est pas admis rien ne pourra s’améliorer. Donc ils ont tout faux dans l’économie, ils ne disent que du faux, et diffament les seuls qui tentent de protéger les humains, les institutions et les valeurs…et, en plus, sont plus qu’indifférents des suites de ce qu’ils commettent. Irresponsables et complètement inhumains …de quoi dissoudre et vite la caste des politiciens : les premiers Casseurs de l’époque. Découvrons vite ce qu’ils cassent et que, nous, nous protégeons…
…..………………………******************************************
« La dépense publique n’est pas…une part du PIB [[déjà – ce sont 67 millions d’humains ]] . Lorsque l’on parle de la part de la dépense publique, on met en avant ce chiffre de 56 % du PIB, qui sous-entend donc qu’il n’y aurait que 44 % de dépense privée [[ si maigrement laissé par l’ogre public alors que la voracité abusive est privée…sinon pas de néolibéralisme, n’est-ce pas ?]]. Pouvez-vous éclaircir ce point ? Ce chiffre est totalement faux [[ la dépense privée, notamment des sociétés financière est tellement Supérieure à celle de l’état (genre 4 à 5 PIB…entier ]] ; aucune comparaison…Ce pourquoi c’est à l’état de les taxer…et non l’inverse !]]. Les économistes libéraux qui pointent souvent la supposée inculture économique de nos concitoyens, véhiculent eux même ce chiffre, ce qui est la marque de leur propre inculture. La dépense publique s’élève à 1300 milliards d’euros, montant qui équivaut bien à 56 % du PIB (qui est de 2300 milliards d’euros). Mais ce n’est pas…une part. C’est tout simple à démontrer : si l’on calcule la dépense privée comme on calcule la dépense publique, on est à plus de…200 % du PIB, rien qu’avec la dépense des ménages et des entreprises, sans même prendre en compte la dépense des sociétés financières, laquelle ferait encore plus exploser le compteur ! Cela n’a donc aucun sens [[ sauf celui de s’exhiber inhumain et de refuser toutes les vraies solutions !]]. On n’entend fort heureusement jamais dans les débats publics, « la dépense privée est de 200 % du PIB [[et 500 % pour l’argent spéculatif]] ». Pour en revenir à la dépense publique, il est important, pour s’y retrouver, de noter l’existence de deux grands volets. Il y a un premier volet qui sert à payer les services publics [[ c’est dans la Constitution que les impôts ce n’est pas pour l’oligarchie mais destinés aux services pour tous ! ]] : les agents publics, partout dans le monde – c’est une convention de l’ONU qui édicte les règles pour les comptes nationaux – sont considérés comme productifs. Ils contribuent au PIB, ce ne sont pas des improductifs qu’il faudrait financer par l’impôt. Ils augmentent le PIB de 375 milliards d’€ [[ l’apport des fonctionnaires « prétendus à charge » prouve donc qu’ils ne sont pas…à charge…seulement les hauts fonctionnaires parisiens et les parasites du privé que l’argent public …enrichit sans contrôle !]] en France en 2017. Cela représente 16 % du PIB et ici nous pouvons raisonner en termes de part du PIB. Soulignons que c’est un chiffre stable depuis le début des années 1980. On peut juger qu’on pourrait l’augmenter compte tenu des besoins dans le domaine hospitalier, l’éducation primaire, l’université ou encore la police, puisque nous nous sommes largement sous dotés sur la plupart de ces postes en France par rapport à d’autres autres pays de l’OCDE [[ le néolibéralisme ne répand que la misère…]]. Passer de 16 % à 20 %, cela ne constituerait pas une révolution en soi, mais la France ne s’en porterait pas plus mal [[ c’est le poids parasitaire du CAC 40 et de la finance spéculative qui donc…sous-dote les services essentiel à) a population !]].
Cependant la majorité de la dépense publique, est représentée par le deuxième volet : les prestations et transferts. Il y a une part de ces transferts qui bénéficie aux entreprises [[ alors que le trop mauvaise foi néolibérale fait croire que…le pognon de dingue c’est juste les modestes…le Cice est profondément…inégalitaire…les grosses entreprises qui n’en ont…pas besoin ont la plus grosse part (qu’elles versent, d’ailleurs, aux actionnaires au lieu…d’investir)…et pas les PME qui en ont…vraiment besoin (et nous des PME). Dissymétrie qui enlève toute Rationalité au macronisme…]], le CICE notamment (mais aussi le crédit d’impôt recherche). Alors qu’il se traduit le plus souvent par de moindres recettes en impôt sur les sociétés [[exactement : le problème n’est pas du tout la Dépense publique mais bien les Recettes publiques vu l’antirépublicanisme factieux des riches qui fuient leurs…devoirs fiscaux…et donc créent les…déficits par leurs abstentions…délinquantes :!]] le CICE est intégralement comptabilisé en…dépense publique, dans la mesure où il donne, parfois, lieu à un chèque du Trésor public (pour les entreprises dont le bénéfice est moindre). Mais l’essentiel des prestations et transferts sont à destination des ménages, avec deux grands postes : les prestations sociales en espèce (principalement les retraites, mais également les allocations familiales, les allocations chômage, le RSA, etc.) qui représentent plus de 450 milliards ; et les transferts sociaux de produits non marchands, constitués de remboursements de médicaments, des consultations de médecine libérale, des allocations logement. Ces deux volets représentent près de 600 milliards d’euros, ce qui est colossal. Ce ne sont pas des sommes qui font vivre des fonctionnaires. Elles sont prélevées mais sont immédiatement reversées aux ménages, ce qui soutient largement leur consommation privée et donc les débouchés et l’activité des entreprises [[ ces prétendues Dépenses sont donc en fait…des apports à la demande, de vrais investissements sociaux sur l’avenir collectif…Et…80 % des entrées des entreprises viennent des salaires des salariés et des apports de ces dits transferts…il n’y a donc aucune Dépense A PERTE mais bien une machine économique qui fonctionne…grâce à la sphère publique ! Les seules…pertes c’est ce trop d’argent donné sans contrôle aux riches qui n’en ont…pas besoin. Cela est bien une perte pour la collectivité…]]. Nous vivons dans une économie mixte, avec à la fois un pôle public et un pôle privé, en sachant que les deux sont étroitement interdépendants. L’activité des entreprises privées dépend de manière importante de la dépense publique [[ ce que les néolibéraux fanatiques ne veulent pas admettre : tout ce qui n’est pas profit pour eux est une…dépense…improductive. par contre, leurs profits eux…ne peuvent entrer dans une dépense publique (même lorsque ces banques reçoivent des…1000 milliards d’€. Clair que ce sont des…Recettes pour les états, cela les enrichit de tant donner au privé : évident !)…Le monologue néolibéral n’assène plus que des contre-vérités des illogismes, des aberrations mentales sans justifications aucunes…et dire que la dépense c’est des…déficits appartient donc bien une Incompréhension totale de l’économie. Lorsque ce sont des députes ou des ministres qui le disent alors là cela …devient très grave… ]]. En France, la consommation globale représente 80 % des débouchés, les 20 % restants étant de l’investissement. Et bien la moitié de la consommation globale est soutenue, directement ou indirectement par la dépense publique [[ donc la Dépense publique qui est abondement du circuit collectif ne peut être…un déficit (ce qui ne signale qu’un mépris inhumain envers les pauvres puisque – le fond des choses de l’avarice hideuse des trop riches c’est qu’uniquement l’argent légalement (la République c’est la répartition) destiné aux pauvres qui est…déficit (pas la part trop abusive pour les riches qui, elle, n’est surtout pas…déficit !). Tout comme il ne peut y avoir 56 % de …prélèvements puisque une bonne partie sont juste des…transferts (pas des prélèvements) et que les Recettes fiscales restent désastreusement (à cause de l’incivisme violent des riches) en dessous des Dépenses (avec 7 milliards de moins de prévues de Recettes pour 2019…ce sont donc bien les Recettes qui doivent être…étoffées. Pourquoi les médias d’argent (complices et receleurs des fraudeurs fiscaux) mentent tant sur…l’économie ?]]. C’est pour cela qu’une réduction de la dépense publique (en plus que d’être inhumaine) est totalement contre-productive [[ puisque c’est réduire le plus stupidement du monde…les entrées concrètes des entreprises ]]. Il importe bien sûr que la dépense publique soit bien gérée. Mais le pays au monde qui a été le plus loin ces dix dernières années dans la réduction de la dépense publique préconisée par les libéraux [[ ces désastreux idéologues se situant hors de toute réalité ]], c’est la Grèce, et cela s’est traduit par …un effondrement du PIB. La Grèce a fait une cure d’austérité brutale. Elle a réduit le nombre de fonctionnaires, réduit leurs salaires, baissé les retraites, le SMIC, etc. Le résultat a été catastrophique. Au final, le PIB s’est effondré et si l’on regarde la dépense publique comparée à celui-ci, elle n’a quasiment… pas bougé. En réduisant le numérateur (la dépense publique), cela a influencé le dénominateur négativement (le PIB), de sorte que le ratio dépense publique/PIB n’a quasiment pas bougé [[ mais que…l’économie réelle a vu la misère galoper partout…ce qui est tout de même la pire des aberrations (alors que le macronisme fou furieux peut conduire la France au…même désastre que la Grèce !)…et qu’aucun des conseillers maudits, dont le FMI, de la Grèce n’a dû…rembourser !]].
Ces mesures d’austérités ont pour objectif, indépendamment des conséquences sociales, de réduire les déficits [[ ce que l’on sait désormais être une incompréhension des réalités : un faux mot !]] et l’on constate, qu’au final, c’est un… échec économique en plus d’engendrer des catastrophes sociales. Ce qui a existé en Grèce, on le voit en plus petit en France. On a eu une croissance de 2,2% en France, en 2017. Cela a créé, tout de même, 350 000 emplois. Pour créer de l’emploi, il faut de la croissance. Dès que l’activité reprend, on a des créations d’emplois. Comment expliquer que l’on a eu cette croissance bien supérieure à ce qui avait été anticipé ? La lecture keynésienne que l’on peut en faire est qu’à la fin de son mandat, François Hollande a relâché, un peu, l’austérité. Sans faire du keynésianisme fou, il a augmenté certaines prestations, le point de la Fonction publique, le nombre d’emplois aidés, [[ que l’incompétence macroniste a…supprimé ]] etc. Résultat : la croissance obtenue a été supérieure à celle qui était prévue. Quand Macron arrive au pouvoir, que fait la Cour des comptes, qui est un temple du néo-libéralisme ? Elle dit : « le budget voté sous François Hollande était insincère et les dépenses publiques en 2017 vont augmenter ce qui va accroître le déficit [[ c’est donc faux !]]. Il faut donc faire une cure d’austérité [[ non, il faut que les riches paient la part des Recettes publiques qui comble et très vite, sans désordres…plus que ces prétendus déficits qui… viennent juste du fait que les riches ne…paient plus LEUR PART depuis trop longtemps. Pas de déficits, pas de part de Pib…juste pas assez d’entrées fiscales…c’est pourtant facile à comprendre même pour les arriérés de l’ENA]] ». Voilà ce qui se passe quand la catastrophe Macron arrive au pouvoir. Que fait le gouvernement [[ ce qu’il ne fallait surtout pas faire afin de maintenir la pente vertueuse…]] ? Un tour de vis austéritaire : réduction des emplois jeunes et des APL de 5 € notamment. Or contrairement à ce qu’avait annoncé la Cour des comptes [[ S’est-elle amendée ? A-t-elle modifiée sa pensée entêtée qui parait parfaitement…irréaliste ? A-t-elle suggéré au macronisme de ne plus être…néolibéral ? Non – le danger extrême avec ces personnages qui pensent que le néolibéralisme est une pensée divine c’est leur inhumanité brutale et leur refus psychorigide de seulement réfléchir à leur trop…anormale théorie !]] la croissance a été plus soutenue et avec elle les déficits publics se sont réduits, car ces derniers se réduisent dès lors qu’il y a de la croissance. Qui dit croissance, dit plus de recettes et puis surtout on retrouve l’effet dénominateur évoqué précédemment (le déficit étant aussi rapporté au PIB, lorsque ce dernier augmente le ratio déficit/ PIB baisse) [[ donc la « bonne » dépense publique Réduit les déficits…ne les crée pas – il faut être aussi extraterrestre qu’un néolibéral pour ne pas …s’en apercevoir !]]. Le gouvernement a écouté [[ pour une fois qu’il écoute ce n’était pas les voix de sagesse !]] la Cour des comptes, il a appliqué des mesures d’austérité mais vraiment trop poussées [[ tout toujours dans la brutalité…]]. Résultat : en 2018, la croissance… chute. On n’est pas en récession, mais en raison de ce nouveau tournant vers l’austérité, la croissance se réduit. On a créé environ 100 000 emplois en 2018 contre 350 000 en 2017. On voit là le résultat des politiques d’austérités, lesquelles creusent les inégalités, le chômage, mais aussi finalement les déficits [[ donc ce sont les austérités qui créent les déficits puisqu’elles empêchent…la prétendue Dépense publique de pouvoir alimenter le circuit qui finit…dans les entreprises !]].
……….……..............*************************************************************
>>> -- La trop diffamée dépense publique et réPublique ? Oui, pour faire image, les déficits ce sont les néolibéraux qui ne comprennent jamais Rien (ce sont les trop riches qui…déconnent et pas les pauvres !). Le problème de l’intervention publique, même si elle est créatrice de richesses, est que le seul indicateur que l’on a, est la dépense publique [[ vue uniquement en négatif surtout par les si mauvaises volontés des faux…dominants ! ]]. Est-ce qu’il n’y aurait pas d’autres indicateurs qui permettraient d’analyser réellement l’intervention publique ? Il faut arrêter avec ce chiffre de faussaires de 56 % du PIB. Ce chiffre n’est pas faux en soi mais il faut s’enlever de la tête que c’est une part ! Quand on dit que la dette publique correspond à 100 % du PIB, j’espère que les gens n’ont pas en tête qu’on consacre 100 % du PIB… à rembourser la dette. Cela n’aurait pas de sens et les japonais seraient obligés de se faire hara-kiri. La dépense publique n’est pas une part du PIB [[ c’est un processus salubre et que l’égoïsme entêté du privé–tout-pour-moi n’assumera jamais ! Encore plus simple : qui se cache derrière les chiffres est un…fainéant affectif qui ne peut que nuire aux autres…]]. Mais nous partons de loin, car même certains organismes comme l’INSEE ou l’OCDE évoquent fréquemment la dépense publique comme une part du PIB.
Le néolibéralisme prétend que la dépense publique crée du déficit, donc de la dette, alors que vous…vantez l’intérêt de la dépense publique depuis tout à l’heure. Faisons de l’histoire longue, après la seconde guerre mondiale, la dette publique est très élevée, notamment parce que le PIB s’est effondré. Les dettes publiques représentent entre 150 et 300 % du PIB en Europe, environ 120 % aux USA. Qu’avons-nous fait ? Non pas de l’austérité, au contraire, c’est l’âge d’or de l’Etat social. On a augmenté la dépense publique, développé la protection sociale, notamment pour des questions d’égalité. Ainsi, la dépense publique, en volume, a augmenté énormément chaque année. Pourtant, quand vous regardez en pourcentage du PIB, elle n’a quasiment pas augmenté. Pourquoi ? Parce qu’il y ce fameux effet multiplicateur dont je vous parle. La dépense publique augmente, les salaires augmentent, un cercle vertueux de la demande se met en place et ainsi le PIB augmente. Résultat des courses, la dépense publique, rapporté au PIB, augmente relativement peu. Fin 1970, début des années 1980, nous assistons au tournant néolibéral [[ cette catastrophe…mondiale !]]. On applique l’austérité salariale dans le but d’augmenter les profits, supposés…relancer l’investissement [[…ce que trop de dividendes…empêche très lisiblement ! Mais non ces évaporés vont délirer trop de dépenses sociales…qui enlèveraient du profit (or le profit c’est collectif…tous y participent mais l’aliénation du trop riche c’est de croire que c’est lui…seul. Oui, oui sur un nuage…Un dessin l‘aiderait sans doute à se…décontaminer !). A part être plus qu’inhumain cela ne traduit qu’une méconnaissance crasse du circuit économique complet. Être si mal dirigés par des têtes folles qui pensent que l’économie n’existe que pour eux uniquement et pas les autres. Que tout n’est là que pour qu’ils…fassent des profits (et après cela ils ne se prendraient pas fanatiquement pour les…centres du monde ?). Tout en réduisant la majorité à …l’austérité à vie…est un telle monstruosité qu’il va falloir Interdire à tous les néolibéraux de faire de la politique en vue de seulement se faire élire…ce sont des hyper destructeurs sans jamais rien de…créatif au bout !]] et on l’accompagne d’austérité budgétaire. La dépense publique en volume augmente encore, mais moins rapidement qu’avant. La conséquence de cette double austérité [[ le dirigeants européens sont vraiment…détraqués !]] ? Le PIB augmente beaucoup moins vite qu’avant. Vous avez donc une dépense publique qui augmente moins vite en volume, mais qui augmente plus vite en % du PIB [[ donc un crétin irresponsable trop content d’être plus con que tout va bramer..56 % du Pib !]], puisque la croissance de celui-ci se contracte [[ donc en ne mirant que ce ratio on va déguiser les faits en profilant que la dépense publique…augmente alors que, concrètement, elle …diminue (austérité imbécile). Beau désastre que celui de l’idéologie psychorigide !]]. Même chose pour les déficits et dettes publics : c’est depuis les années 1980 qu’ils se creusent [[donc il peut être solennellement affirmé que ce sont les arrogants néolibéraux qui ont…apporté les déficits et la dette ?]].
Avant le… mauvais tournant néolibéral, la dette publique représentait, entre 20 % et 30 % du PIB (25 % en France au début des années 1980). Cette dette a pris l’équivalent de 30 points de PIB au… début des années 1990 avec la hausse des taux d’intérêts liés à la finance libéralisé [[ tu la laisses faire ce qu’elle veut…elle …déconne toujours donc a fond…sans doute que le macronisme égaré devrait se référer à de tels grands déconneurs pour les soumettre enfin…à des conditions rationnelles, à des contrôles, bref à des régulations…pour eux clair que dérégulations = dérèglements ! Pas de règle cela dérègle tout en économie…]] puis à nouveau 30 points suite à la crise de 2008 [[ le néolibéralisme c’est la Dette – cela le place dans un délire intoxiqué proprement régressif…]]. Bref, le néolibéralisme est non seulement responsable du creusement des inégalités, du chômage, mais aussi de l’explosion des dettes privées et des dettes publiques [[ ce qui est tout de même un bilan tellement négatif qu’il doit se voir…régulé d’urgence. AVANT lui cela allait tout de même…bien mieux. C’est qui l’INTRUS qui casse tout ? Mais que font les CRS contre ces dangers…publics ?]]. En économie, il ne faut jamais oublier l’effet dénominateur. On rapporte toujours les ratios de dépenses publiques, de déficits, de dette, au PIB. Ainsi, si le dénominateur se contracte, le ratio global se dégrade. Par ailleurs, il ne faut pas oublier non plus l’effet cagnotte : quand il y a une relance de l’activité, vous avez des rentrées supplémentaires de recettes fiscales et de cotisations sociales. Et les comptes publics, ce ne sont pas simplement des dépenses, mais aussi des recettes [[ que les escrocs néolibéraux passent toujours sous silence…mais que fait la police ? Les voleurs partent toujours avec la caisse…mais parce qu’ils sont déguisés en costards cravates, la police laisse passer !]]. Dès que vous avez une reprise, regardez 2017, le déficit a été beaucoup plus faible que ce qui était attendu par Hollande, la Cour des comptes, etc. Pourquoi ? Car la reprise a entraîné plus de rentrées fiscales (la TVA typiquement dépend de la consommation) et de cotisations sociales (qui augmentent avec l’emploi)… Vous ne pensez pas que, dans un contexte d’économie mondialisée et d’Union Européenne, c’est difficile de mettre en place une politique de relance : d’une part d’un point de vue législatif et d’autre part puisque cela risque d’augmenter la croissance des autres pays plus que la nôtre ? Bien sûr que si. L’instrument qu’a utilisé [[ mais si mal ]] le néo-libéralisme est la mondialisation. Cela rejoint ce que je disais tout à l’heure entre le fondement de l’Etat social et la République. Le fondement de l’Etat social est… la démocratie [[ lorsque le macronisme veut comme abolir la démocratie…]]. C’est pour cela que l’Etat social est national. Les quatre piliers de l’Etat social existent partout dans le monde, mais les retraites, par exemple, dépendent de configurations nationales extrêmement fortes. On dit parfois que le système Français est un système plutôt Bismarckien comme le système Allemand. Ce n’est pas faux vu de loin, mais dans les faits les systèmes sont très différents. La vie politique et les compromis sociaux se gèrent à l’échelle nationale. La souveraineté du peuple s’exerce à l’échelle nationale. La citoyenneté est nationale. J’entends parfois certains dire : « je suis citoyen du monde ». Selon moi, ce sont des zozos. La citoyenneté n’est pas un sentiment ou alors elle est peu de chose. Pour être citoyen, il faut vivre en République, c’est la République qui institue les citoyens [[ et les gilets sont infiniment plus citoyens que le gouvernement qui est en net…déficit de citoyenneté !]]. Les Etats-Nations ne sont pas dépassés au niveau politique, ni au niveau économique.
Pour en revenir à la question, les néolibéraux ont utilisé la mondialisation pour servir… l’intérêt de quelques puissants [[ ce qui devient le contraire d’une mondialisation mais bien un retour au plouc, oui à la plouctocratie, la plus nulle des régressions ! Vraiment les absurdes néolibéraux font tout foirer...]] puisqu’à l’échelle mondiale, il n’y a pas de… pouvoir du peuple [[ des lâches absolus nous vous l’avons assez dit…]] on . Le peuple ne peut exercer son pouvoir à ce niveau, il est démuni. La mondialisation remet en cause-casse l’Etat-Nation [[ donc est cette « association de malfaiteurs qui…veulent détruire les institutions ! »]] pour mieux remettre en cause le pouvoir du peuple, il ne faut jamais perdre de vue cela. Pour ces raisons, je pense qu’il convient de remettre en cause la mondialisation [[ parce que c’est une « fausse » mondialisation sans les peuples, sans pouvoirs intermédiaires et avec une pensée uniquement…unique où il n’est guère possible de dire l’inverse (voir Karl Popper)…donc le fonctionnement de la Secte (le néolibéralisme se comporte exactement comme une secte – mais que fait la police ?) ]]. On ne peut pas prôner l’Etat social sans remettre en cause la mondialisation. Cela ne signifie pas que l’on va revenir à l’autarcie, mais cela signifie qu’il faut remettre en cause le « faux » libre-échange qui est « forcé et non libre » et partant le dumping social et environnemental. Il convient simultanément de s’opposer à la finance libéralisée [[ de la placer sous haute régulation en ne faisant que…nasser ses principaux centres de décisions ]], la clé de voûte du néolibéralisme, en revenant à des mesures de « répressions financières » qui ont très bien marché pendant les 30 Glorieuses [[ tout de même une sacrée référence où…la politique ne se faisait pas à la corbeille…on vu les résultats…explosions des dysfonctionnements sociaux, déficits et dettes…sûr que la dérégulation complètement folle de la finance est LE PROBLEME !]]. Durant cette période, il n’y a eu aucune bulle et aucun krach majeurs. Ensuite, il faut revoir l’Europe et cesser de penser l’Europe comme une arme de démantèlement de l’Etat social, ce qu’elle est de fait depuis l’Acte unique de 1986, et ce qui conduit à détruire sa légitimité. Ce qui fait nos économies mixtes, c’est notamment la protection sociale et les services publics. On ne peut pas transférer cela à l’échelle européenne, c’est totalement stupide [[ donc il n’y aurait strictement transferts que lors de suppressions sournoises comme tout ce que fait le néolibéralisme…il se déguise en ce qu’il n’est surtout pas, fait l’inverse de ce qu’il dit allant même jusqu’à se faire passer pour …antisystème alors que c’est Lui le système…]]. Le budget européen, je suis pour l’augmenter. Je n’ai donc pas de leçons à recevoir des européistes béats. Je suis pour le doubler en le passant de 1 % à 2 % du PIB européen, mais au-delà ce n’est pas possible. On ne va pas faire des infirmières européennes, des instituteurs européens, etc. Lorsqu’on regarde les fonctions précises de l’Etat social susceptibles d’être transférées à l’échelle européenne, on se rend compte qu’il y en a très peu. Pour sauver l’Europe, il faut que celle-ci soit au service des Etats sociaux nationaux. Voilà me semble-t-il une bonne boussole.
>>>>******* Et donc ce sont LES BANQUES le verrou qui empêche de revenir à la Raison et à la santé mentale…Voyons voir…«[[ Face aux crack ]] Qu’est-ce que devaient faire les Etats ? Ils devaient bien sûr sauver les banques ! Ce qu’il faut leur reprocher, ce n’est pas d’avoir sauvé les banques, mais plutôt de ne pas en avoir profité pour en reprendre le contrôle… »
Néanmoins avec la crise des subprimes, quand les États ont renfloué les banques, nous avions vraiment l’impression qu’il y avait une part de l’activité de l’Etat qui, au lieu de contrôler ces dérives, socialisait les pertes pour que les profits restent privés. D’accord mais, au préalable, essayons d’aller à la racine. Quand on est un économiste Keynésien, comme moi, c’est tellement important la banque et la finance, qu’il faut contrôler drastiquement tout ça [[ ce pourquoi les néolibéraux sont des escrocs qui méritent le prison !]]. Cela ne veut pas dire qu’il faut qu’il n’y ait qu’une seule banque publique. Je suis favorable au fait qu’il existe des banques publiques, des banques régionales et des banques coopératives. Mais il s’agit d’une activité tellement importante, que l’idée de se passer de banques proprement capitalistes est quelque chose qui ne me dérange pas [[ abolir la Bourse oui cela sera un vrai… Progrès !]]. Mais il ne faut pas qu’il n’y ait qu’une seule banque, il faut de la fragmentation bancaire – Lordon lorsqu’il travaille là-dessus est pertinent – pour qu’il y ait de la concurrence. Ainsi, si jamais vous avez besoin d’un crédit, si un guichet vous dit qu’il vous le refuse, vous pouvez aller voir un autre guichet. Ce n’est quand même pas rien pour les ménages et pour les entreprises. La banque et la finance, c’est très important. On a libéralisé [[ n’importe comment avec des incultes qui croient que l’habit fait le moine ]] ce secteur dans les années 1980. Cela a conduit de catastrophes en catastrophes. [[ et les néolibéraux ne veulent pas admettre que c’est leur pensée qui a… provoqué la grave crise de 2008…c’est eux le Bordel !]]. Qu’est-ce que devaient faire les Etats ? Ils devaient bien sûr sauver les banques ! Ce qu’il faut leur reprocher, ce n’est pas d’avoir sauvé les banques, mais plutôt de ne pas en avoir profité pour en reprendre le contrôle. C’est cela qu’il faut leur reprocher. Quand je dis qu’aujourd’hui « on vit avec un Etat social », cela n’empêche aucunement de dire que sur certains domaines l’intervention publique est trop embryonnaire, timide, incomplète [[ surtout tout ce qui permet de dompter les riches, de les empêcher de nuire…depuis 1989 tous les problèmes mondiaux, mais tous, c’est uniquement EUX…il faut les «pousser» et les pousser encore jusqu’à les repousser …là où ils vont devoir assumer toutes « leurs »…catastrophes depuis 1989 !]]. Le projet d’ensemble du néolibéralisme est de remettre en cause les quatre piliers de l’Etat social [[ et il va devoir remballer cela vite fat !]]. Il n’a pas réussi à réaliser complètement son projet : la protection sociale est toujours là, les services publics sont toujours là, le droit du travail a été écorné mais globalement il est toujours là [[ pourtant ses prédations s’accélèrent en France dès ce début 2019.]] Là où le néolibéralisme a vraiment été le plus loin, là où il changé la donne, c’est surtout sur certains volets de la politique économique. Avec la finance libéralisée, c’est la clé de voûte. Mais aussi avec le libre-échange [[ pour nous un échange « forcé » non libre, car unilatéral , donc sans contrat et sans…traité véridique… ]], l’austérité salariale, la contre révolution fiscale (les riches ont vu leur taux d’imposition baisser…beaucoup trop…d’où les…déficits !) et puis la privatisation des entreprises publiques [[ ce qui se nomme Foutre le Bordel complet…ce sont eux et en tout les Casseurs…nous exigeons donc réparations et de tout avec…effets rétroactifs !]]. Là, vraiment, autour de ces cinq volets la donne a été changée. Mais ça nous conduit de catastrophes en catastrophes.
Il faut remettre en cause et avec détermination le néolibéralisme (l’actuelle peste ). Cela suppose de remettre en cause de façon cohérente et résolue ces cinq volets, en même temps. On ne pourra pas toucher à l’un sans toucher à l’autre. Vous ne pouvez pas remettre en cause l’austérité salariale, et c’est la même chose pour la contre-révolution fiscale, si vous ne remettez pas en cause le non-libre-échange [[plutôt l’échange forcé unilatéral !]], parce qu’après il y a des effets de compétitivité qui jouent, mais aussi la finance libéralisée [[ à placer sous haute surveillance !]]. Il convient de réintroduire des règles. Par exemple, la taxation des GAFA et au-delà de toutes les firmes multinationales. On a en France, depuis des années, des dirigeants à la tête de l’Etat, Présidents, ministres, qui nous disent : « ça serait bien de le faire, mais si l’Europe ne le fait pas, on ne peut pas ». Bien entendu, en Europe il y en a toujours qui disent : « ça serait bien de le faire, mais si le monde entier ne le fait pas… ». Résultats des courses : on ne fait rien [[ l’inertie abrutie cela a été la seule politique depuis la haute trahison de Mitterrand en…1983 !]]. Il faut savoir qu’en matière de taxation des GAFA, l’Italie les taxe déjà, l’Espagne compte les taxer cette année. Le Royaume Uni de Thérèsa May, un gouvernement conservateur, a lui-même décidé de taxer de manière nationale les GAFA, sur le thème : « bien sûr que ça serait mieux à l’échelle européenne, mais puisque l’Europe ça traine, on taxe à l’échelle nationale ». Bruno Le Maire, après avoir dit pendant des années que ce n’était pas possible, vient de se rallier à cette taxation nationale. Il suffit de réfléchir deux secondes pour comprendre qu’en fait, il est très facile de taxer les GAFA à l’échelle nationale [[ tout comme de stopper les Déserteurs fiscaux …vous vous rendez compter 1 fois et demi le montant actuel, oui bien plus, des Recettes Publiques qui sont là et qui éviterait d’éborgner de blesser gravement et de ne semer partout que des injustices et des mensonges…oui l’argent est là…]]. Il n’y a pas de souci technique, au contraire. La traçabilité l’informatique nous donne des instruments pour pouvoir taxer aisément ce type d’entreprise [[ et de fuyards fiscaux…]] Quand je dis les GAFa, cela vaut pour les autres grandes firmes et les hauts revenus qui pratiquent l’évasion fiscale [[ donc les possibilités de plus du tout de Dette et plus de déficits sont là – donc plus d’austérité du tout…seul le si Déloyal néolibéralisme traîne, fait de l’inertie, sabote tout, fait le casseur…et ne veut pas que le rationnel soit appliqué…il n’est plus qu’une religion qui se racornit au sectaire !]]
………………………............********************************************
Dans le contexte actuel, avec le mouvement des gilets jaunes notamment, ne croyez-vous pas qu’il y a un effritement de la croyance dans les valeurs démocratiques, et dans le consentement à l’impôt qui risque de déstabiliser l’Etat Social ? Sur les valeurs démocratiques, non je ne pense pas. Ce qui est reproché par le mouvement des gilets jaunes est le fait que l’on a une démocratie qui fonctionne mal, avec des représentants qui n’écoutent guère le peuple, [[ et qui persistent si stupidement…]] mais personne ne remet en cause la démocratie. On chante la Marseillaise sur les ronds-points et l’on défile avec le drapeau bleu, blanc, rouge, donc ce sont bien les valeurs républicaines qui sont portées [[valeurs reniées violemment par des dirigeants qui, apparemment, veulent vraiment détruire la République…la démocratie non-représentative n’est qu’un vernis derrière lequel ils ne veulent qu’installer le sigle unique de leur dictature quelle que soit sa forme !]]. Il y a eu un soutien populaire similaire mais dans une forme non-contestataire, au mois de juillet au moment de la victoire de l’Equipe de France de football qui avait un sens politique très profond à mon avis. J’avais alors écrit un papier en ce sens qui se terminait ainsi : « Macron, prends garde à la fraternité ! »…Dans notre société il y a un accord très profond autour des valeurs de la République [[ donc de l’égalité…ce qui rend la France très anti-anglosaxonne…pas d’oligarchie chez nous ! Elle doit toujours se cacher…]]. Là où il y a un problème, c’est le sentiment qu’une sphère – celle de l’économie – échappe à ce socle d’accord [[ d’où la Constitution qui demeure républicaine – donc très anti néolibérale, très anti macroniste, veut…réintroduire l’économie dans la sphère de contrôle du peuple…et avec tant de raison, vu les dérives délirantes des étasuniens qui …abandonnent carrément leur peuple dans la rue… ce qui veut dire que ce sont de faux dirigeants sans NATION…]]. Le mouvement des gilets jaunes exprime cela. C’est un mouvement profondément égalitaire [[ et le macronisme si inculte profondément…inégalitaire (donc anti-progressiste) – ce qui fait exploser la société, démontrent toutes les études sérieuses. Donc, dans ce contexte les Casseurs ce sont bien les …macronistes !]]. Il est né d’une révolte fiscale qui est tout à fait Légitime, avec le sentiment que cette taxe sur le carburant allait accabler un peu plus les moins aisés qui n’ont pas le choix de renoncer à leur voiture pour aller travailler. Additionnée à la réforme de l’ISF, de la flat tax, etc…La révolution française est née de cela. Avant la révolution, le peuple du Tiers État était appelé les « ignobles », c’est-à-dire ceux qui ne sont pas nobles, les nobles ayant le très douteux privilège de ne pas payer d’impôt. L’une des racines de la révolution française est donc ce sentiment d’injustice fiscale. Pour le keynésien que je suis, il est évident que les gilets jaunes réclament plus de service public (en matière de santé, etc.) donc je ne pense pas qu’il s’agisse d’un mouvement ultralibéral [[ à ce point ? le malentendu vient de n’avoir pas été sur place : un soulèvement d’injustice fiscale ne vient pas d’un…refus de payer l’impôt mais que TOUS les paient en Proportion exacte de ses vrais revenus…les trop riches sont des délinquants fiscaux (déserteurs, fuyards, dissimulateurs, fraudeurs, exonérés abusifs, nicheur fainéants, etc.)…Donc un soulèvement fiscal n’est pas…antifiscal mais bien anti inégalité – les impunis voyous trop riches leur sortent par les trous de nez…le système des inégalités anglosaxonnes doit être bouté hors de France…
>>> ---- …. Ce modèle républicain s’appuie sur deux volets : un volet libéral, puisqu’il n’y a pas de démocratie sans liberté de penser, de se réunir, de s’associer [[ le macronisme n’aime pas trop ces volets, il cherchera à les tordre et réduire au possible ]], etc., un autre volet qui n’est pas libéral, celui du suffrage universel, de la loi votée en son nom – laquelle s’applique à tous –, des institutions pour en déployer les effets [[ ceci est un idéal toujours plus bafoué…Julia Cagé a prouvé que les voix électorales sont achetées et les élections truquées…qui se paient les médias vaut des 100 000 voix ou plus !]]. Quand la loi est en délibération (et même ensuite), on peut manifester, montrer son mécontentement, mais on ne fait pas sécession [[ les riches font sécession par Désertions fiscales ou pires…]], on ne prend pas les armes. On fait passer ses convictions propres après son appartenance à la société, ce qui est un bel antidote à l’individualisme forcené [[ encore un malentendu ce n’est pas le peuple qui est individualiste forcené mais bien les antisociaux néolibéraux…ils sont devenus des…monstres d’égoïsmes !]]. Il y a un clivage « monstrueux » qu’il faut dépasser entre d’un côté une posture anti-libérale rejetant l’initiative privée et, de l’autre, des libéraux antisociaux qui disent : « l’Etat social il faut le démanteler », « la dépense publique est mauvaise » [[ cela fait bien longtemps que nous n’entendons plus que le tintamarre non argumenté de ce seul pôle en monopôle…que la Commission européenne devrait accuser…]], etc.
L’Etat social – dit aussi Etat Providence – est une véritable révolution : à y bien réfléchir nous ne vivons pas dans des « économies de marchés ». Nous vivons dans des économies mixtes. [[mais avec la monomanie néolibérale toujours moins…mixte…or, plus les faits contredisent cette idéologie - qui n’a donc rien de rationnel (mais obéit aux critères de Karl Popper qui concluent que moins une entité mentale est « réfutable » moins elle est scientifique (cela semble très bien en vase clos ; mais dès qu’il y a contradiction ou mouvement d’opposition fort tout…s’effrite dans le n’importe quoi ! – Oui pire l’idéologie néolibérale peut devenir dictatoriale !]]. Il y a du marché, du capital – les deux sont différents puisque le capital n’aime pas la concurrence –, mais aussi de l’intervention publique laquelle joue un rôle majeur. Ce rôle est plus ou moins marqué-masqué suivant les pays, mais nous vivons partout dans des économies mixtes. Raisonner ainsi permet de penser la principale révolution qu’ont connue nos sociétés d’un point de vue économique et social. Cela permet aussi de voir la cohérence d’ensemble du l’ennemi de l’Humanité qu’est le néolibéralisme. Son projet consiste justement à remettre mais violemment en cause les quatre piliers de l’Etat social : tentative de privatisation de la protection sociale (la retraite aux fonds de pension, la santé aux assureurs privés…), des services publics, flexibilisation du droit du travail et réorientation des politiques économiques dans un sens libéral.[[ Or ? La preuve par es faits ]]…Les services publics et la protection sociale, confiés au privé, deviennent généralement plus inégalitaires et plus coûteux [[ donc le privé gère… moins bien que le public…c’est lui qui doit Copier le public et non l’inverse. La RGPP scélérate doit être abolie avec fracas !]] Ce n’est ni juste, ni efficace. Attention, encore faut-il que le public soit bien géré. Je suis toujours pour partir du principe que lorsque le discours de vos adversaires porte, c’est qu’ils mettent le doigt sur de vraies questions. Certains services publics méritent d’être remobilisés. Mais ce n’est pas ce que fait le gouvernement. On ne remobilise pas du personnel en stigmatisant le fondement même de leur activité. Quand j’entends des chefs d’Etats, des ministres dire : « il faut réduire la dépense publique, la dépense publique ce n’est pas bien, il y a une addiction à la dépense publique, etc.». Ce vocabulaire est irresponsable. Les gouvernants ont en charge la bonne gestion des institutions publiques [[ pas leurs…destructions !]]. Cela suppose en premier lieu de les légitimer auprès des citoyens. Il s’agit d’un travail pédagogique qui consiste à dire en substance aux citoyens [[ surtout aux voyous riches oui vous savez ces Déserteurs fiscaux dont les prédations coûtent des éborgnés et des maltraité.e.s par une police vraiment à côté de la plaque…parce que ce sont ces casseurs fiscaux la cause principale de la sur-répression des Gilets jaunes…qui ont raison !]]: « il est très important de payer des impôts, il est très important de payer des cotisations sociales, parce que sinon vous n’auriez pas de retraite, vous n’auriez pas de santé, vous n’auriez pas de service publics et si tout cela était géré par le privé en fait les prélèvements obligatoires seraient plus faibles mais les prélèvements privés seraient beaucoup plus importants pour les fonds de pension, les compagnies d’assurance, etc. »…Pour nous, les seul qui refusent d’apprendre à vivre ce sont…les trop riches : voici donc un discours à la portée de ces arriérés doublés de ces graves fainéants du coeur ! Nous, nous achevons par les preuves que les privatisations c’est uniquement le fait de celles/ceux qui…déconnent !
............………………………**************************************
Maîtriser-enfin-la-bestialité-finance
« Dix ans après la faillite de Lehman Brothers, les grandes banques internationales sont-elles plus sûres ? On ne peut répondre de manière tranchée à cette question. Les nouvelles régulations mises en oeuvre ces dernières années les ont indéniablement forcées à se financer avec plus de capital, ce qui permet d’éponger les pertes en cas de problème. Leur liquidité est également mieux encadrée : elles doivent détenir plus de titres financiers sûrs qu’elles pourraient vendre en cas de soucis et elles doivent disposer de davantage de ressources de long terme, moins volatiles. Les régulateurs ont aussi travaillé sur leur "résolution", c’est-à-dire sur l’organisation ordonnée d’une réponse aux crises bancaires pouvant aller jusqu’à un arrêt d’activités en cas de besoin. « Macron poursuit en fait le travail de ses prédécesseurs, qui à la suite de la vague de nationalisations de 1982, n’ont cessé de brader une par une les entreprises publiques. Il y a d’abord eu la première grande salve des années 1986-1988, qui concernait essentiellement des géants de l’industrie ou de la finance : Saint-Gobain, CGE (qui devint Alcatel), Matra ou encore Suez pour l’industrie ; Paribas, CCF (aujourd’hui racheté par HSBC) ou Société générale pour le secteur de la banque ; et encore TF1 ou Havas pour la communication… La pêche fut donc excellente pour des investisseurs privés qui récoltent encore aujourd’hui les fruits des profits de ces géants français [[ et le peuple est surtaxé parce que ces profits « nationaux » sont monopolisés dans d’autres mains et que les graves erreurs des politiciens ce n’est jamais eux qui les paient…ce pourquoi ils doivent être « encadrés » et contrôlés par des indépendants qui ne soient surtout pas de leur milieu . Le prix A PAYER est trop lourd et ce ne sont jamais eux qui le…l’endurent !]]…Autant de bénéfices qui auraient pu être redistribués à l’ensemble des Français si l’État avait conservé ces entreprises ! Après un moment de pause édicté par François Mitterrand pour son second septennat, les privatisations reprirent dès 1993, avec des cessions partielles ou totales d’entreprises dont nous avons souvent oublié qu’elles étaient publiques [[pas nous, en tout cas…]] il fut un temps : celles de BNP, d’Elf, de Rhône-Poulenc, de la Seita, des AGF, de Pechiney, d’Usinor-Sacilor, de Renault ou encore de Bull, mises en œuvre par le gouvernement d’Alain Juppé…
Si ces premières vagues furent orchestrées principalement par des gouvernements de droite, la gauche a finalement décidé elle aussi de se lancer dans cette vente aux enchères de nos biens communs. Lionel Jospin a par exemple ouvert le capital d’Air France ou encore de France Télécom, qui peut pourtant être considérée comme une entreprise assumant des missions de service public [[ alors qu’il prouvé que ce privé gère bien moins bien les services publics que ceux-ci…ces hors réel politiciens, et contre toujours l’avis de la majorité de la population, continuent à…foutre le bordel !]]. Puis, le chantier de la scandaleuse privatisation des autoroutes [[scandaleux puisque ses peu légitimes possesseurs actuels n’arrêtent pas de brailler « leurs » profits…tout en surtaxant les français comme si c’étaient des…ennemis ! Oui les privatisations sont des SCANDALES !]] fut lancé, même s’il fut ensuite véritablement finalisé par le gouvernement Villepin. Cette démission de déménagement du territoire fut ainsi déléguée à des sociétés privées [[ qui gèrent moins bien , etc.]]… Mais surtout, ces sociétés ont été abandonnées au privé au moment précis où elles devenaient rentables, [[ donc En Même Temps que les français étaient « punis » d’austérités…clairement évitables…des si peu méritants récoltaient (et récoltent) tous les fruits des…efforts collectifs. Remboursez- nous tous nos Efforts…faut pas pousser hein !]] ce qui a constitué un jackpot Déloyal pour des entreprises comme Vinci, qui se sont permis d’augmenter le prix des péages et de baisser les investissements [[ doubles délits, non ?]] au détriment de tous les usagers. Les dépenses d’investissement avaient donc été assumées par la collectivité pour la construction de ces autoroutes, mais les profits sont maintenant privatisés [[ comme disait un cynique qui n’a plus que l’air con : « tout ce qui coûte c’est le Public et ce qui rapporte pour le bébé privé », le sur-assisté, sur-dépendant de tout…ce qui prouve que le public est au moins DEUX FOIS supérieur au minable privé qui vole…les ruissellements des autres …qui ne sont jamais des 1ers de cordées mais se font passer pour, etc.]]. Jean-Pierre Raffarin a poursuivi cette entreprise collective de destruction du Pays avec de nouvelles cessions de compagnies d’autoroutes, mais aussi de la société Thomson ou encore du Crédit lyonnais. De moins en moins d’entreprises restant à privatiser, Dominique de Villepin a poursuivi le bradage des autoroutes et engagé la privatisation d’autres services publics : ceux du gaz et de l’électricité, avec l’ouverture du capital de GDF puis d’EDF. La crise financière semble avoir empêché Nicolas Sarkozy de se lancer dans de nouvelles privatisations, mais le PLUS QUE mal était déjà fait : la part de l’emploi public par rapport à l’emploi salarié est passé de 10,5 % à 3,4 % entre 1985 et 2011 et sur la même période le nombre d’entreprises publiques a diminué de moitié [[ et au lieu de placer sous surveillance et contrôle ces bradeurs fous ce sont…les chômeurs qu’ils ont entièrement créés qui sont…punis parce que ces politicards sont trop…inexcusablement nuls !]]. Apparemment insuffisant aux yeux de François Hollande, ce …pillage de l’État a été poursuivi par le président «socialiste(sic)», aidé pour cela par un ministre de l’Économie répondant au nom d’Emmanuel Macron. »…qui n’a qu’un avantage. Oui ? Il discrédite et à 100% tout ce qu’il prétend défendre : néolibéralisme, oligarchie, inégalités financières, désertions fiscales, non- concurrence vraie partout (par exemple la Culture monopôle « unique » mafieux), corruptions générales dans sa sphère (gouvernement de …millionnaires qui ne travaillent que pour des milliardaires, médias plus que déchus, etc.)…tout échoue piteusement en France…Vraiment le sillage de cette idéologie est plus que…négatif. Une catastrophe généralisée pour son propre camp !
………………….........***************************************************
Quant à nous, notre vaste périple économique se termine avec…un succès fou (nous détestions l’économie comme théorie et façon en général de ne …pas penser – mais, vu l’inculture globale, nous avons, avec tristesse au départ, décidé de prendre en main ce thème si…menti et si corrompu !). Et ? Pour nous, le capitalisme anglosaxon est définitivement fini, il ne nuira plus, devenu incapable à jamais de trouver un seul gouvernement …Dès les années 1970 sa théorie n’était déjà plus qu’un vaste mensonge mais là tout lui…échappe (même l’eau pourtant…courante). Et ? Pour la France ? L’idéologie macroniste qui reste une vieillerie extrême…au mieux 19 ème siècle et couramment fin de l’Ancien Régime oui pré-1789 (nous n’avons pu trouver un milligramme de 21 ème dans ces radotages laborieux d’une idéologie qui n’a, manifestement, rien compris ni à l’Histoire, ni aux sciences sociales (dont l’économie, ni à la philosophie, ni à la vie en général…
………..et surtout pas aux humain.e.s.
……………………………………Une Valeur si hors de sa portée !
…………………………(à suivre)
…………………………….%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
………Que la si joyeuse émancipation commune nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 000 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Encore un gigantesque mensonge : plus le pouvoir d’achat …baisse plus il est matraqué qu’il augmente…
La dépense publique ne crée pas du déficit…cette phrase signe la corruption c’est l’état vu par des commerçants et leur maladie profit (ou « profuit », le profuit étant toujours une fuite du réel)…l’état grâce à la dépense publique réalimente les …demandes donc tous les circuits vertueux consommation du raisonnable (fin du consumérisme – maladie mentale), projets individuels, planification de ces projets, l’ensemble de l’économie qui profite de ces initiatives en cascades, donc investissements sensés partout, etc. Or le macronisme, cette idéologie qui ne peut que devenir tyrannique n’écoute rien, n’entend rien…et bloque tout…en volant le maximum de pauvres pour immobiliser - trop bêtement - cet argent désormais…mort et le…donner (oui sans contrepartie, sans exigences de résultats, sans la oindre condition ce qui en …vrai droit administratif est illégal…les associations à buts non lucratifs en savent quelque chose…si elles ont le malheur d’avoir demandé une minuscule subvention elles vont recevoir pleins de contrôles…superflus qui évite d’aller mettre leurs nez là où c’est utile au pays… dans les grandes entreprises spéculatrices !)…
Quelques idées reçues sur la dépense publique - Les économistes atterrés
La dictature invisible et silencieuse dans laquelle nous vivons (+ solutions)
Dette publique française : que de la faute au libéralisme [Christian Chavagneux]
Christophe Ramaux…1-- Qu'en est-il de l'Etat social (Les 4 piliers de l'Etat social)
Laurence Scialom, Le risque de certaines banques systémiques n'est pas maîtrisé
Comment la dette a imposé son ordre social et politique, par Benjamin Lemoine 4/5
Christophe Ramaux….Ne jamais de jamais…diminuer la dépense publique. Car ? La consommation plus les cotisations sociales transférés et salaires dépensés ça fait 80 % des débouchés des entreprises privées