Ne plus questionner les bonnes réponses

Publié le par imagiter.over-blog.com

Ne plus questionner les bonnes réponses

Ce qui n’aboutit qu’à elles seules tournées en…boucle truquée. Aucune véritable réponse donc, que des portes qui claquent au nez. Une seule question et plus de propagandes possibles ? En fait, oui. L’étymologie de responsable est «qui doit respondre (respons) ». Or, que voyons-nous à la place ? Ces faux responsables ne trônent que dans les non-réponses, dans les refus aliénés de répondre, de rendre des comptes, d’assumer, qui se font passer pour la réalité même. Plus d’issues saines. Il faut sortir le monde de leur cœurs, de leurs têtes...Mieux (lors…alors) de conserver l’insolence de tout questionner, jamais aucuns tabous. Oui sortir du si nocif égarement bourgeois ! Bourgeois les bougeoirs vieux ! Ils ne nous ramènent que dans le pire du passé (car ils/elles n’ont absolument aucun futur ! Leur boucle les boucle, enfermés dans l’enfer de leur…égoïsmes monstrueux…)… Chaque question (l’avenir avenue venue) « mérite », pourtant, le plus grand périple pour la  « meilleure » réponse :

SOIT qui inclut toutes les options existantes et qui se montre toujours capable d’en faire la synthèse – synthèse qui garde, en elle ouverts, l’inconnu, l’imprévisible, l’indéterminé… Finies les propagandes des pouvoirs. Si le pouvoir « peut », il peut répondre de tout aussi…ses fuites perpétuelles n’ont plus court.

SOIT qui respecte chaque choix et n’impose jamais celui d’une minorité qui n’agit que bassement, étale des ultras cupidités de fond et – malgré tout ceci et plus – se prétend « supérieure » (seulement supérieure en bassesses, alors ?)

ENCORE**** Allers aux « bous » des tabous ? Tiens donc…le plus insurpassable des luxes (que jamais un bourgeois ne pourra se payer puisqu’il se vit hors tout argent et monnaie !) : se poser les questions c’est… s’offrir les réponses, vraiment débordé de présents, de rutilances gratuites et d’offrandes offertes ! Tel ce vieillard jeune, calme et beau trônant dans un luxe inouï, in-Ouï…pas inhabité,  inoccupé, in-non-matérialisé non non…inOuï, en plein dans le son, en plein dans l’écoute au milieu plein de la diction du dictionnaire qui s’éprouve par l’écoute (ce calme jeune et beau). Et se prouve dans le luxe inouï de tout articuler en y incluant ses « articulations », oui mon cher on fait membre avec ses membres, on est de la « même membre », membrures comprises. Nous sommes de nos membres et toutes les remembrances sont à nous. Pas aux vains exilés néolibéraux (que de rôts…). Être membre de soi-même quoi de plus uni et unifiant ? Vérifions…

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La-tyrannie-des-questions-?

 « Devant l’empire de la question, que faire ? Se replier et se taire ? Continuer à poser des questions [[ et surtout SE poser des questions à soi-même !]] ? Dans ce dernier cas, il faut savoir que toutes et tous ne sont pas égaux devant l’impératif questionneur. Certaines ou certains sont timides et réservés, d’autres rêvent pendant l’exposé. D’aucunes et d’aucuns, comblés, se contentent de ce qu’ils ont entendu, ou en sont pleinement satisfaits [[ toutes les réactions sont déjà dans l’apprentissage du sociable – que le social soit, désormais, mieux traité que l’avidité, ce droit à piétiner autrui, que les faux profits qui demeurent les plus grands irrespects aux autres soient désignés comme tels, etc.]] . D’autres pensent qu’interroger le conférencier est incongru, et serait – comme jadis en Orient – une impolitesse. L’aspect clos d’une conférence, icône parfaite, objet rond et singulier, en séduit beaucoup, sans que soit imposé l’appendice des questions. Certaines et certains sont angoissés (parfois c’est peu dire) à la perspective de devoir poser une question dont ils n’ont nulle idée. D’autres même passent l’entière conférence à chercher, dans une grande anxiété, la question qu’ils pourront poser… au point finalement de ne plus écouter l’intervenant [[ c’est un désordre social par le haut qui impose cette dévalorisation de soi-même : parvenir à croire que dans toutes les situations (ou quasiment) nous serions dévalorisés, c’est de l’intimidation. Mais aussi une étrangeté de l’époque : porter infiniment plus d’attentions à la mise en scène de la parole qu’à son véritable Contenu c’est se placer d’emblée, du côté du mensonge et de la manipulation !]].

Maulini-/-questionner.pdf « Questionner pour enseigner et pour apprendre » d’Olivier Maulini. Oui le livre entier…

 

…Il est donc temps de prendre au sérieux la question, qui renvoie tant au savoir qu’à autrui (pertinente, la question ?), tant au désir d’apprendre qu’à la compétence (ou comment poser une bonne question), tant à l’apprentissage (comment maîtriser l’interrogation, tant sa forme et son contenu ?) qu’à l’ambition individuelle (que va m’apporter de poser des questions ?). Dans un monde occidental où un discours – en général scientifique – débité devant un public, étroit ou large, est interrogé en retour, il est socialement primordial de posséder l’art de poser de bonnes questions [[faux – manques de vécus et de ressentis – l’essentiel c’est avant la question – l’état intérieur – la synthèse de tout- le terrain fertile où se trouvent les Racines (donc radicales…et c’est « là » la question !) de tout…Savoir être avant avant dénoue tous les…faux problèmes !]]. Toute question suppose un rapport de pouvoir, car qu’est-ce que poser une question sinon se soumettre au locuteur dominant – le conférencier par exemple – et par là assumer sa sujétion ? Aussi peut-il s’avérer utile de connaître les tenants et les aboutissants de ce rituel [[ de ne pas le considérer comme un rituel ramène déjà la santé mentale là où elle manque…]]. Bref, poser habilement, voire avec perversité, des questions, ne serait-ce pas déjà s’indigner et se révolter ? Entrer dans le système pour mieux le détruire. L’air est connu. Le siffler sera-t-il un acte révolutionnaire ? »…La problématique est (ou était ?) que beaucoup trop se situent toujours à… côté de la plaque. Il s’agit de 2 choses basiques… 1)*** Recadrer les manipulateurs soit Reformuler leurs présentations des faits et des théories ! 2) *** Proposer le radical nouveau qui ne peut entrer dans aucune de leurs catégories par trop restrictives…Et le tout en peu de temps…Eux - Des heures et des heures, et tous les jours et chaque nuit, ils détricotent le rationnel des évènements et insinuent la corruption mentale partout – nous avons, au mieux, quelques minutes - plus usuellement, un paquet de secondes, afin de Contrer le flot de leurs défigurations…La simple déformation de ce qui se passe avec les Gilets jaunes met sur la brèche. La problématique n’est pas de parler du fond des revendications mais bien du fait que par des barrages lassants il soit même empêché de pouvoir les…envisager (par exemple, hier nous avons démontré que le RiC c’est tout a fait sérieux, qu’il y a de solides références mondiales…et que ce n’est pas sérieux du tout la manière du gouvernement de le refuser infantilement – avant même tout examen). Ensuite – les mêmes hypocrisies des pouvoirs (faire semblant de s’indigner sur un détail extrait d’un contexte qui le décrit tout autre afin d’embrouiller, de mettre la confusion dans tout le reste) …avec les mêmes trémolos sur les personnels admirables (ici de santé)…Or s’ils sont si admirraaaables pourquoi ne jamais les écouter, les rémunérer décemment et leur offrir des conditions de labeur qui soient moins inhumaines ? Oui pourquoi : ne sont-ils pas admirables ?…Se trémoler et se très mollo à la fois – non cela ne fonctionne plus !…Nous avons détecté que, ce 1er Mai, il y a déploiements de vidéos de terrains (comme jamais avant) - vidéos qui prouvent l’importance de la participation réelle, des faits, etc. et sont donc des témoignages, de la vraie justice des réquisitoires loyaux, la présence de la Vérité et de l’exhaustivité des événements lorsque les pouvoirs s’enlisent dans la gadoue de généralités et de contrevérités. Faut tout reprendre en main : c’est fait. Enfin, pour résumer, ils ne se leurrent plus qu’eux-mêmes ; passer en boucle le black bloc (présent seulement 2 FOIS sur les 24) comme le Fabrice de Waterloo…c’est seulement se mentir qu’à soi (voir l’information que appartient désormais au mouvement) et croire Berner les humains avec ces grossièretés. C’est (aussi) prendre un lambeau tronqué de phrase (ah la décrépitude de réduire la politique à de…petites phrases c’est le propre de la grave corruption bourgeoise) en faisant passer les mots trompés, trompeurs et de tromperies comme plus …essentiels (et décisifs ?) que de vraies blessures de guerres infligées par la classe entrée désormais dans Toutes les illégalités (les voyous bourgeois – voyous de la pire espèce sans code d’honneur !)… Oui zoom après zoom nous sommes en pleine cible !   

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Nous avons été très loin dans l’exigence de questionner…les questions…qui que quoi qu’est-ce où quand mais encore. Nous en avons trouvé un concept extrêmement pénétrant…Soit ? L’origine Étymologique de Question qui vient de l’écriture pré-Richelieu des mots (soit au 17 ème déjà, les pouvoirs ont décrété que les mots contenant es- seraient défigurés en ê-. Ce qui a été fait mais très mal, très brouillon, plein de mensonges qui dépassent de partout…Ainsi il y eut tempête mais…merde intempestif, hôpital mais flûte…hospitalisé (oui comme hospitalité ) etc…pour questions c’est queste…défigurée en quête…et donc la Question est une exigence, une merveille, un miracle, une initiation, un long voyage – tout à le fois et plus…voici qui nous change de socle collectif. La Questionnement Ouvre les portes qui, avant, restaient fermées…A ce point ? Oui et pire encore…L’heure de s’émanciper du cœur pourri des bourgeois est venue…Voir ce qui en est dit parmi les quelques en …questes…en questions… D’aucuns vont traquer la très mauvaise manière de poser les questions : nous y gaspillons (disent-ils) au moins 85 % des possibilités des questions pour ne  nous limiter qu’au si linéaire de l’information immédiate (donc châtrée de 85 % de sa réalité même : ils/elles veulent savoir mais leur lourdeur les prive de 85 %  de cette possibilité même de savoir !). Or la question est le plus…grand et gigantesque cercle possible puisque – avant que Richelieu et la naissante Académie ose supprimer les… es- pour remplacer par « ê » -…nous avions la visibilité immédiate entre question et queste (quête …si mal rafistolée alors)…Donc question est queste (s)ont le même sens !

Autrement…dit… « Couper la parole, c'est la grand calamité qui empêche la France de sortir de sa course à l'abîme. Qui sommes-nous pour couper la parole à tout va aux uns et aux autres en permanence? Dans le débat des idées privé et public très souvent on coupe la parole soit à : 1) Un grand esprit. C'est-à-dire, quelqu'un qui parle des idées 2) Soit plus rarement à un moyen esprit. Quelqu'un qui parle des évènements. 3) Soit presque jamais à un petit esprit. Qui parle des gens. 4) Mais toujours à ceux qui proposent une solution. Sommes nous un grand, moyen ou petit esprit, pour croire savoir tout mieux que quelq'un qui apporte une solution (donc qui y a donné beaucoup de temps alors que nous c’est seulement une seconde, celle de lui couper la chique, et ce n’est pas un don – la comparaison est en notre grande défaveur. Nous ne pouvons pas connaître avant de connâitre, être informés avant que l’information parvienne…et agir ainsi c’est comme si nous nous pensions omniscients, sachant Tout dès la naissance, n’ayant jamais besoin d’apprendre et…d’écouter !) ? Posons-nous désormais la question, avant de couper la parole à quelqu'un, si nous voulons vraiment sortir la France de sa course à l'abîme. »…Voici qui ne nous avait jamais été dit. Nul-le ne nous avait présenté les phénomènes et évènements sous cet angle. Voici donc venir les temps…nouveaux. Où Tout sera dit…

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« Et beaucoup s’interrogent, à juste titre, sur les lacunes dans la formation des hauts fonctionnaires [[ disons que les déformations et distorsions l’emportent : au final ils ne PEUVENT PAS savoir ! ]]. Leur cécité sur les modes de vie des gens ordinaires serait due, dit-on, à leur origine sociale [[ leur éducation ratée …oui ratée c’est qu’ils ne savent plus…écouter ni voir en face !]]. Sans doute la plupart des hauts fonctionnaires sont-ils des « héritiers » issus des classes supérieures de la société. Mais diversifier les origines des candidats à ces formations d’élite ne suffira sans doute pas à les doter d’une vision plus réaliste [[ aveu époustouflant…les faux dirigeants PLANENT seulement dans l’irrationnel et les rêvasseries…malsaines !]] de la société et du monde. Leur permettre en revanche d’ouvrir les yeux [[ donc, actuellement, fermés…]] sur le quotidien des autres est en revanche une voie à envisager. Comment faire ? On pourrait par exemple introduire dans ces cursus une enquête de terrain, où les élèves devraient s’immerger dans un milieu éloigné de leurs relations sociales habituelles [[ à force d’être enfermé dans une bulle et de ne rien savoir d’autre…ils pensent que cette Bulle est le monde…regardez bien c’est cela le plouc et la plouCtocratie c’est tous ces ploucs à la fois …]]. Observation participante. La cause semble entendue et rallier tous les suffrages si l’on entend par là un stage de quelques jours dans une mairie, auprès d’un organisme public situé en province [[ province n’existe pas , seulement…Régions et il n’y en pas …qu’une !]] ou dans une lointaine [[sic !]] banlieue. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit.

Et-si-l'on-s'inspirait-de-l'ethnologie-pour-changer-la-formation-des-élites-?

 

Il faudrait plutôt s’inspirer des enquêtes pratiquées par les ethnologues. Pour connaître la société qu’ils étudient, ceux-ci ont mis au point des méthodes fondées sur le temps long et une grande proximité avec la population [[ où l’arrogance ne sert qu’à ne…jamais savoir !]]. S’agit-il de transformer les énarques en ethnologues ? Non pas mais, plus modestement, de réinvestir les acquis de cette discipline et de fournir un enseignement portant sur les thèmes à aborder. L’enquête doit être de longue durée [[ donc de très grand respect…la fausse élite ce ne sont des voyous dans leurs cœurs et des faussaires das la tête !]] : on se contentera ici de quelques semaines, d’un mois (ce qui est déjà beaucoup dans un cursus universitaire), quand des ethnologues patentés consacrent de nombreuses années à l’étude d’une société. Il convient alors de vivre avec et comme les autres [[ inflexibles là-dessus : tout pareil…toute les vrais élites sont immensément heureuses de le vivre…seuls les médiocres ne tiennent jamais la route…]] : pas question de rentrer le soir à la sous-préfecture locale ou, si l’on fait son enquête à l’étranger, au consulat le plus proche où des pairs bienveillants apaiseront les tourments ressentis. « À Rome, fais comme les Romains », dit le dicton qui est devenu un principe de l’enquête anthropologique. Les maîtres mots de cette démarche sont « l’observation participante » : observer directement, et non pas construire son savoir d’après des sources secondaires, participer dans la mesure de ses compétences et en accord avec la population [[ et c’est là que cela se corse : la fausse élite qui pourrit la vie de tout le monde est Incapable de se mettre…à la place des autres (d’où leurs…inhumanités…)…là, en ethnologie, ils y sont…obligés !]]. Cette relation vécue à un terrain, où l’on procède par écoute, par entretiens souples et non-directifs, et non par des questionnaires auxquels bien des interviewés répondent par ce qu’ils pensent qu’il faut penser [[ la fausse autorité qui fait de…l’ombre au lieu…d’éclairer !]] plutôt que par leurs convictions propres. Expérience fondatrice.

Il s’agit, par cette méthode empathique, d’arriver à vivre et à penser comme si nous en étions, de parvenir à se représenter [[ pour un représentant représentatif c’est le…minimum !]] ce que l’autre peut ressentir. Pour dire les choses autrement, reprenons les termes de l’anthropologue Dan Sperber ; selon celui-ci le chercheur tente d’accorder « ce qu’il pense que les gens pensent avec ce qu’il pense que lui-même penserait s’il était vraiment l’un d’eux ». De la proximité [[ toutes les Séparations refusées…]] donc mais aussi de la distance pour s’étonner de ce qui semble aller de soi. [[ le néolibéralisme est un fanatisme qui impose ce qui lui semble …aller de soi. Une seule Question et il…s’écroule !]] Enquêter dans sa propre société, y compris dans des milieux éloignés [[ soi seul est…éloigné…dans la réalité aucun milieu n’est éloigné ! Par rapport à quoi, sinon ?]], est d’autant plus difficile que nous sommes plus ou moins familiers des pratiques et des codes. Le dépaysement total qu’éprouve l’ethnologue sur un terrain lointain fait ici défaut. Clyde Kluckhohn, un anthropologue célèbre, écrivait à juste titre que « le poisson est mal placé pour découvrir l’existence de l’eau » et le grand philosophe Ludwig Wittgenstein rappelait tout aussi justement qu’« on est incapable de remarquer quelque chose parce que ce quelque chose est toujours devant nos yeux » [[ de vivre et d’éprouver intensément ceci fait que vous n’êtes plus un…puceau de la pensée. Malheureusement, à la REM ils le sont tous…]]. L’étonnement, la distance doivent donc se conjuguer à la proximité et à la participation. Formerions-nous ainsi des hauts fonctionnaires répondant mieux à leur mission ? Sans aucun doute et en tous cas des citoyens plus sensibles [[ car insensibles = insensé.e.s…le cas actuel !]] au quotidien de leurs contemporains. Quelle que soit la carrière de ces étudiants, cette enquête de terrain demeurera, en tous cas, une épreuve fondatrice, fortement inscrite dans la mémoire, une référence quand il s’agira d’envisager une réforme ou de répondre à des revendications… »…Comme toute la fausse élite aura raté son éducation, rien fait pour la méliorer, l’amender, en stopper le dessèchement ahumain…Tout est de leur faute…ils /elles ne se sont jamais posé de …QUESTIONS…n’ont jamais entrepris la queste anthropologique qui donne le droit…d’un peu…décider pour les autres

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Oui plus lent comme taleeeeeent…plus somptueux comme opuleeeent (ce luxe in-Ouï qui n’a rien à voir avec l’argent)…plus lente c’est

………………Excelleeent et elle excelle lente main…

 ………………..des vrais lendemains !

Ne plus questionner les bonnes réponses ? A la racine oui tous les problèmes actuels ne viennent que de la Fuite perpétuelle des fausses élites devant les vraies Questions…

 Pour eux/elles questionner c’est juste donner, à l’avance, les bonnes réponses (enfin celles qu’ils osent telles)…

……………………..avant oui avant d’avoir posé la moindre question !

 

………..………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

             Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Ne plus questionner les bonnes réponses
Jacques Berlioz - Se poser les bonnes questions…Soit parvenir à la synthèse de/dans la dialectique de…savoir Vivre !

Jacques Berlioz - Se poser les bonnes questions…Soit parvenir à la synthèse de/dans la dialectique de…savoir Vivre !

Ne plus questionner les bonnes réponses
Pour une approche décentralisée de l’intelligence…oui là aussi !

Pour une approche décentralisée de l’intelligence…oui là aussi !

Olivier Maulini – l’un des rares théoriciens de notre sujet – « la quest ion monte la garde, en permanence. Elle anticipe, elle prévoit, elle surveille. » Ne serait-elle pas le propre de l’homme ? Un individu peut se questionner lui-même. Dans un dialogue, poser une question à l’autre fait partie d’un processus de mutuelle connaissance.

Olivier Maulini – l’un des rares théoriciens de notre sujet – « la quest ion monte la garde, en permanence. Elle anticipe, elle prévoit, elle surveille. » Ne serait-elle pas le propre de l’homme ? Un individu peut se questionner lui-même. Dans un dialogue, poser une question à l’autre fait partie d’un processus de mutuelle connaissance.

Inspiré du livre « L’événement Anthropocène », le documentaire de Jean-Robert Viallet « L’homme a mangé la Terre » - 1 h 38 - remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit.

Inspiré du livre « L’événement Anthropocène », le documentaire de Jean-Robert Viallet « L’homme a mangé la Terre » - 1 h 38 - remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit.

Les cours de l’ENA aurait dû être remplacé par l’ethnologie et l’apprentissage de l’immersion dans l’inconnu ?

Les cours de l’ENA aurait dû être remplacé par l’ethnologie et l’apprentissage de l’immersion dans l’inconnu ?

Ne plus questionner les bonnes réponses
de Riley Diary...imiter l'Image avec de pauvres moyens c'est...l'imploser...

de Riley Diary...imiter l'Image avec de pauvres moyens c'est...l'imploser...

Ne plus questionner les bonnes réponses

Couper la parole, c'est la grand calamité qui empêche la France de sortir sa course à l'abîme. Qui sommes-nous pour couper la parole à tout va aux uns et aux autres en permanance? Dans le débat des idées privé et public très souvent on coupe la parole soit à : 1) Un grand esprit. C'est-à-dire, quelqu'un qui parle des idées 2) Soit plus rarement à un moyen esprit. Quelqu'un qui parle des évènements. 3) Soit presque jamais à un petit esprit. Qui parle des gens. 4) Mais toujours à ceux qui proposent une solution Sommes nous un grand, moyen ou petit esprit, voir quelq'un qui apporte une solution ? Posons-nous désormais la question, avant de couper la parole à quelqu'un, si nous voulons vraiment sortir la France de sa course à l'abîme.

Pour le pédagogue genevois Olivier Maulini – l’un des rares théoriciens de notre sujet – « la question monte la garde, en permanence. Elle anticipe, elle prévoit, elle surveille. » Ne serait-elle pas le propre de l’homme ?

Gilles Geneviève – Oui il est possible de philosopher avec les enfants !

Premier Bilan du 1er Mai avec Gérard Filoche et Philippe Nadji Bouriachi. La CGT a, elle, revendiqué 310 000 manifestants à travers le pays, dont 80 000 à Paris. Le cabinet Occurrence a, lui, compté 40 000 manifestants dans la capitale…Les vidéos portent un témoignage…Juste et justifié !

Asselineau : la REMe est un parti vraiment d'extrême droite ! Car (savoir historique certifié) il manipule en grand l’information, il ment donc sur absolument tout et vole la démocratie (d’où un Castaner qui ose un le 1er mai « volé » par les black blocs – 2 fois sur …24 c’est vraiment mal…compter !). Aussi de réduire le gouvernement à de l’ultra répression (mondialement considérée comme illégale) d’un état policier ce n’est…pas assez. Asseliuneau a raison…et l’Histoire nous dit que l’extrême droite il faut la ramener de force dans sa tanière. Ce gouvernement a défintivement tort, il s’est acoquiné avec la mauvais côté de l’Histoire…et il en perd toute crédibilité !

Manifestation du 1er mai 2019 à Bordeaux. Ambiance dans le cortège

France en colère : les vidéos désormais des témoignages forts pour la justice…la vraie justice passe par eux…les médias d’argent c’est partout faux…témoignages, donc insultes à magistrats et irrespects scandaleux envers la Jutice…Chaque jour, ils sont plus déshonorés !

Forte mobilisation dans les Régions pour la Fête de la liberté

La très mauvaise manière de poser les questions …existe : nous y gaspillons au moins 85 % des possiblités des questions pour nous limiter au si linéaire de l’information immédiate (donc chatrée de 85 % de sa réalité même). Or la question est le plus…grand cercle possible puisque – avant que Richelieu et la naissante Académie ose supprimer les… es- pour remplacer par « ê » -…nous avions la visibilité immédiate entre question et queste (quête …si mal rafistolée alors)…Donc question est queste (s)ont le même sens !

Au sujet de…Arnaud Upinsky …Pour redevenir Français, il faut penser "français". Merci - nous avons commencé dès l’enfance et l’instinct…mine de rien, nous avons pris sacrément de l’avance !

Sortie du capitalisme : Pour un anarchisme (pro)féministe ? - avec Francis-Dupuis Déri

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