La santé maltraitée va guérir le pays de l’idéologie ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La santé maltraitée va guérir le pays de l’idéologie ?

Il est, désormais, impossible au système d’être sur tous ses fronts à la fois : consumérismes, propagandes, détournements des impôts de tous, lobbyings, profits par destructions de la vie et de la nature, etc. Les points les plus faibles feront reculer l’ensemble…Ses imprévoyances absurdes par rapport  la santé (pour de stupides cupidités !) font partie de ce qui peut accélérer la déconfiture des vendus à l’oligarchie. C’est l’oubli étourdi de ce qui est le plus sacré pour les immenses majorités silencieuses. Et lorsque va se répandre massivement la prise de conscience que ces adeptes de l’argent…malade n’en ont rien à faire de leur santé – la société va vraiment trembler sur ces bases. Ce qui, ajouté au basculement des consumérismes devant les fortes répulsions majoritaires de ces aliénations inexcusables dessine (en plus des gilets jaunes) une configuration vraiment très prometteuse. La santé bafouée va guérir le pays de l’idéologie ? Étant compris que la seule idéologie pernicieuse de l’époque soit le macronisme. Nous ne disons jamais pour dire, nous démontrons…Ainsi fait.

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De-quoi-le-management-est-il-le-nom-?

Le management du social et de la santé : « La logique l’illogique marchande est jugée par les détenteurs de pouvoirs économiques et politiques comme la plus pertinente pour gérer la société tout en leur permettant de maintenir leurs positions dominantes [[sauf que ce n’est qu’un point de vue très peu pertinent : ce n’est pas parce que cela les enrichit que cela va bien pour les autres. Il s’agit de s‘autocontrôler et de ne pas devenir un encombrement massif, ce que les néolibéraux ne peuvent s’empêcher de faire. Paraissant juste des prédateurs de la vie d’autrui. Et lorsqu’il s’agit de la santé, l’alibi de départ de mieux gérer les démasque trop en juste prendre le maximum partout mais que dans un but ultra égoïste indéfendable : l’abus de leur position dominante. Ce qui, effectivement, retourne tout le monde contre eux. Les conflits actuels ne viennent que de leurs visions si bornées : non, ce n’est pas une prouesse que de vivre en empêchant de vivre les autres ]] t. À ce titre, elle est introduite dans un nombre croissant de champs sociaux et professionnels qui lui échappaient jusqu’ici. Après les transports, l’énergie et la protection sociale, après les communications et la sécurité, c’est la santé et le travail social au sens large, qui sont offerts en pâture à la privatisation, aux entrepreneurs et aux financiers [[ le choix du vocable « en pâture » c’est comme si c’était des monstres qui ne vivent que pour leurs cupidités et leurs élans irrationnels : rien de sérieux ne réside en ces avachissements moraux : il n’y pas à leur céder ce n’est pas une raison dominante – il n’y a derrière qu’une idéologie qui ne tient pas debout. Et que les faits foutent K.O. Qui sont que la part du privé est devenue beaucoup trop grande dans la société. Ce n’est pas le public qui nous coûte cher c’est le parasitisme de ce privé qu’il masque par une incessant propagande …payée avec l’argent qu’ils nous volent (afin de prétendre qu’ils nous…libèrent- pas d’eux en tout cas). Leur minable propagande nous dit que la part de l’état serait de 40 % ce qui décèle que la leur est de… 60 %. Sauf que ne payant pas d’impôts (afin de faire fonctionner les services publics) et se volant les services publics qui seraient mieux ‘gérés » (sic – volés oui) par eux…mais plus pour le bien de tous…cette part est devenu envahissante (… presque…80 % ?)…le macronisme envahit nos vies et ce n’est pas pour le bien de tous mais que d’une minorité qui ne le mérite surtout pas. Elle s’en fout de la santé – donc elle a dépassé les bornes !]]. La loi, procédant à la façon d’une hache, ouvre les secteurs de la solidarité et du soin à la concurrence  : triste paradoxe. Les marchés gagnent du terrain, et de nouveaux aspects de la vie humaine tendent à devenir des marchandises sous le règne du capitalisme [[ ce qui est une chute, une régression, le contraire d’un progrès, en plus qu’une nuisance massive pour les humains : le scandale capitaliste vient de signer là son arrêt de mort. Ses empiètements irresponsables ne passeront plus !]]. Pour le social et la santé, la « chalandisation »  s’accentue, comme dit le sociologue Michel Chauvière [[ chalandise qui vient de « chaland » le vieux mot pour possible acheteur, client, surgit de la vision des grands commerces – et n’a donc rien à voir avec la santé, l’éducation , ou l’information – c’est une ingérence insupportable…Non ils se trompent complètement. Vendre des produits ne fait pas acquérir une omniscience sur les humains…au contraire, cela fait rater tous rapports normaux avec eux !]]. À partir de la période de reconstruction du pays après la Seconde guerre mondiale, s’est développé un « État-Providence » qui concevait notamment le travail social et la santé comme des interventions de la société sur ses propres dysfonctionnements [[ ce qui est adulte et sensé !]]. Au prix d’une mise en œuvre autoritaire et bureaucratique (en un mot : technocratique), l’État déployait sa générosité, et gérait ces secteurs selon des logiques de solidarité sociale, donc des logiques d’inconditionnalité et de gratuité [[ ce qui répond aux besoins effectifs de tout le monde !]]. Ce qui témoigne désormais de l’infection, par les illogiques [[ illogiques jamais logiques – arrêter de relayer les mots de leurs propagandes : rien n’est logique dans vouloir tromper et spolier les autres. Le commerce a ses limites qui sont, selon Fernand Braudel, que jamais il ne doive vouloir diriger la société ! Et que dans son isolement mental (parler des autres comme s’ils étaient des objets, oui des…marchandises emballées…cela ne prouve rien d’autre que cela ne va pas du tout dans… leurs têtes. La santé mentale retrouvée c’est de détruire tout de suite et désormais leurs propagandes. Chaque jour elle se dépouille comme vraiment…nulle !]] marchandes et concurrentielles, du social et de la santé, ce n’est pas seulement les diminutions budgétaires qui les frappent. C’est également et surtout l’introduction de dispositifs managériaux et entrepreneuriaux qui deviennent les outils privilégiés et les symptômes de cette infection capitaliste [[ excellent mot… infections…pandémies…la vision capitaliste est folle et ne peut répondre de rien de sérieux devant personne – vouloir s’enrichir sans limites contre le autres admet que ces autres ne vont pas se laisser faire – et cette folie ne crée qu’une ultra violence que la société ne peut admettre – au point que les violences policières se dénaturent en ne matraquant plus que pour défendre des droits…indéfendables. Vraiment ils cognent que pour nous…faire les poches. Ce système est arrivé à son ultime souffle…il bégaie toujours plus ses conneries ! Et se ridiculise à fond…]]. Se faisant, l’État réoriente les buts et fonctions du social et de la santé, engendrant de fait, un recul de la solidarité [[ non, l’état ainsi « occupé » trahit la Constitution et fait le coup d’…état permanent d’en modifier, par la violence et l’illégalité, son contenu. Il ne représente que 10 à 20 % grand maximum de la population. L’affaire est pliée : cet antiétat qui se prétend état a tort et est…dans ses torts. Il ne peut plus que céder !]]. Les intérêts marchands se confondent chaque jour un peu plus avec les intérêts de l’État [[ trop abstrait ; disons que les voyous qui se sont introduits dans l’état avec des buts qui ne sont pas ceux de l’intérêt général ne sont que des esprits commerçants qui se prouvent si…indignes de diriger le pays !]]s, et nos secteurs professionnels sont à leur entière merci [[ faux – les auto-prédictions ne sont pas scientifiques !]].

 

En effet, tant que l’État est leur principal financeur, le travail social et la santé procurent des bénéfices en termes d’image. La population rechigne moins à payer l’impôt, à voter et à respecter la loi et les représentants de l’État, car ce dernier a l’air de défendre l’intérêt général [[ et il le fait…façon Conseil National de la Résistance ]]. Dès que les bénéfices politiques sont insuffisants ou que leurs coûts sont trop élevés, la défense des intérêts de l’État se traduit par des réductions budgétaires souvent destructrices [[ c’est là entrer dans leurs alibis…qui sont irrecevables car ne suintant que de convoitises …privées]], et par la quête de bénéfices économiques et matériels [[ sauf que la santé et l’éducation ne doivent générer de…bénéfices pour personne. C’est tellement facile à comprendre qu’il faut être un barbare incivilisé pour s’enferrer à tout souiller de ne pas le saisir. La société obtient le droit d’expulser ces humains malsains de la santé et de l’éducation. « Arrêtez de pourrir les autres (leur dit-elle) vous ne leur arrivez pas à la cheville !]]. Baisser les budgets du social et de la santé, c’est faire du profit à investir ailleurs pour l’État [[ sauf que l’état n’a pas à investir…rien…jamais...mais bien gérer le tout sans …n’oublier personne !]]. Le travail social et la santé pouvaient jusqu’ici être vus comme des conquêtes populaires et sociales [[ et elles le sont et le restent – et ce n’est certainement pas pour s’effondrer dans  l’enrichissement vautré de bourgeois antisociaux et inhumains !]]; elles étaient financées et dirigées par l’État [[ faux par les impôts de tous (que ne paient plus les graves traîtres fiscaux de trop riches) et que ces impôts…salarient des politiciens qui sont les employés de ces impôts afin de légiférer l’intérêt…général (jamais particulier)]], mais en usant du prétexte de la « crise économique »[[ créée faussement par ceux qui prétendent nous en sortir…non mais allez jouer ailleurs les…démasqués !]], celui-ci impose [[ ceci n’impose rien…cette vision de rentabilité c’est de la corruption et de l’immoralisation de la vie publique !]] une quête [[ hého on n’est pas à la messe !]] de rentabilité politique et financière. Dès lors, on retrouve dans ces champs professionnels une logique [[ illogique puisque illogique elle devient lorsque des humains non marchandises (et ne le seront jamais eux ou des parties de leurs vies) seraient traités comme des objets rendus marchands ! Marchandise étant le mot déchu qui signifie « pour vendre » » donc t’entends ta santé c’est pour …la vendre et tu vois les choses bien en face. Et t’as le droit de pas apprécier que ce soient des voyous qui veulent poser leurs sales pattes sur toi…oui marchandise c’est cela que ce mot…avoue ! Ces faux dirigeants ont surtout commis  de très graves erreurs…de mots !]] entrepreneuriale de quête de profits, notamment à travers l’injonction à la maîtrise des coûts [[ maîtrise qui devrait commencer par ce qu’ils le doivent s’injoncter eux-mêmes d’avoir des revenus…plus bas que leurs prétendus subordonnés. Alors qu’eux se nomment à vue de mot …auxiliaires !]], qui est au final aussi courante en entreprise marchande que dans le travail social et la santé, sous la forme des réductions budgétaires [[ au lieu de réduction de la …part technocratique dans les gestions…]]. Depuis les Contrats Pluriannuels d’Objectifs et de Moyens (CPOM) ou les « appels à projet » que l’État signe directement avec les « opérateurs » (c’est-à-dire les associations et services de terrain), en passant par la diversité des réglementations et modes de pression des appareils d’État, les schémas départementaux, projets de territoire, projets d’établissement, chartes et autres gadgets administratifs, jusqu’aux projets de service et « démarches qualité », des objectifs sont fixés [[ à vos rangs, fixe !]] aux équipes et aux salariés, ainsi que les méthodes gestionnaires d’évaluation du travail qui portent majoritairement sur ces mêmes objectifs imposés d’en haut. Les salariés subissent une forme de contrôle de leur travail [[ alors que ce sont les trop hauts revenus et salaires qui doivent être contrôlés pour…faire baisser ces salaires et revenus dans les normes de la raison…ceci est l’impératif et l’injonction ! Contrôler les ex-contrôleurs…]], qui s’exerce également par la pression budgétaire et le travail en « flux tendu », comme on dit à l’usine, ou « dans l’urgence », comme on dit dans le social et la santé [[ la vidéo CGT courte nous dénude le regard qu’il n’y pas de quoi se sentir supérieur pour avoir juste importé les mots et les gestes…du travail à la chaîne Toyota sur la…santé. Faut pas être doué pour cela, justement ils ne sont pas doués ! Et l’inhumanité qui ne se cache plus doit être mise à sa place…soit celle des …cancres !]]. Plus fondamentalement, les critères utilisés par les « taris tarificateurs » et leurs experts pour lire l’action de terrain sont de plus en plus simples et limités [[ c’est bien de le formuler ainsi…]], parfois statistiques et comptables seulement. Les objectifs fixés et les méthodes imposées [[ qui ne peuvent plus être imposées, elles ne poursuivent qu’un but…répréhensible ]] pour évaluer [[ évaluer ou …évacuer ?]] l’activité sont en décalage avec le sens et la réalité du travail quotidien. Les professionnels de terrain qui veulent prendre du recul sur le travail, en rendre compte, en façonner le sens, sont finalement « bâillonnés »  par les indicateurs gestionnaires et les multiples pressions économiques et institutionnelles [[bien, s’ils se sentent ainsi qu’ils arrachent le bâillon et hurlent en choeur…arrêtez les conneries !]].

Le travail consiste globalement à respecter les directives hiérarchiques [[ sauf si elles deviennent insensées - auquel cas c’est un DEVOIR de ne plus les suivre ]], les critères et règlementations promulgués par les différents services et strates de l’État. Il n’est pas nécessaire que ces réglementations et évaluations aient le moindre rapport avec une réalité de terrain, il faut simplement respecter les normes et alimenter les indicateurs de manière rationnelle [[ l’aveu est cinglant : les minables technocrates ne suivent l’absurdité capitaliste que parce que c’est plus joli sur leurs papiers…sauf que dès qu’ils sont dans la rue ils voient bien que ça...dysfonctionne de partout. Et de leur faute. Ces technocrates ont quitté la rationalité première ! Leurs pratiques déconnent à fond…]]. Alors, pour ne pas devenir des « imposteurs » [[ bien dit…]]] sidérés par les cyclones de normes opérationnelles qui balaient le sens du travail, beaucoup de collègues du social et de la santé doivent apprendre à mener continuellement de front deux métiers : d’un côté, travailler en respectant toutes les réglementations et prescriptions des appareils d’État tout en rendant compte du travail selon les langages gestionnaires de ces derniers ; d’un autre côté, s’occuper réellement des personnes, familles ou groupes qui sollicitent une aide [[ on sert rapidement la folie indéfendable et on passe aux réelles activités des adultes. Et cela pourquoi ? L’anti-état « occupé » par de sinistres idiots couplés d’incompétents n’a vraiment Aucune idée solide en tête !]]. D’un côté, travailler pour l’État l’anti-état, de l’autre, pour le bien des congénères [[ ce que ne fait plus l’anti-état…et pour cause, ce privé-là est trop Incapable de le faire !]]. La tension entre ces deux activités produit une souffrance au travail [[ peu de le citer ]]. Mais beaucoup de collègues ne perçoivent pas la distinction entre ces deux travaux : les appareils d’État finançant le social et la santé sont encore vaguement perçus comme une puissance tentant d’agir dans l’intérêt général [[ depuis les gigantesques maladresses macroniennes il n’est plus possible de se…tromper : Cet anti-état est anti intérêt général…et ne peut donc plus des prétendre…État !]]. Il en découle souvent des confusions et incertitudes sur le sens du travail. De plus en plus pèse sur les professionnels l’injonction à être avant tout des exécutants des réglementations et des politiques publiques anti-publiques, tandis que les hiérarchies de terrain deviennent des courroies de transmission de celles-ci [[ soit de « l’occupation » illégale par l’anti-état !]]. Certaines directions prônent donc l’adaptation aux nouvelles normes gestionnaires [[ la santé mentale est de refuser ces normes de a à z ! Elles se prouvent…antigestionnaires…]], ou prêchent une forme de pragmatisme désenchanté et calculateur pour tenter d’assurer la survie de leur établissement. L’adaptation doit se réaliser, quitte à faire taire les « lanceurs d’alerte » ou les militants [[ c’est donc une…inadaptation – l’idéologie n’étant surtout pas la…réalité !]]. L’exercice de beaucoup de managers et équipes de direction est au service de cet irréalisme comptable qui asphyxie les valeurs et l’éthique du travail social et la déontologie des personnels soignants.

La gestion entrepreneuriale importée par le néo-management [[ le lean à la con !]] dans le social et la santé peut ainsi générer des retournements du sens et des effets du travail : à l’hôpital et dans le médico-social, elle peut mettre en danger physique et psychique les soignants [[ nous en sommes arrivés là – et ce gouvernement sera le dernier à l’admettre. Nous devons donc tout reprendre en main d’une façon ou d’une autre !]]. Le personnel est sous pression,[[ idiote car tu vires la technostructure…parasitaire et tout de suite revient la santé !]] et doit également affronter la transformation de l’hôpital en structure quasi-entrepreneuriale, avec parfois un sentiment de « travail à la chaîne ». Dans certains hôpitaux, l’administration demande aux aides-soignantes de chronométrer le temps qu’elles passent à effectuer une toilette [[ cela provient de la folie des fainéants technocrates que seul ce qui se mesure serait intelligent or l’intelligence qui est une Qualité en fait ne se mesure pas. Le QI sans le QE (Quotient émotionnel) c’est de l’analphabétisme (vous avez un bon scolaire abstrait qui de trouve être un incompétent social, incapable d’écouter, etc. bref, un…attardé…émotionnel. C’est le total qui fait la qualité…la mesure sèche empêche…de voir !)…non l’intelligence se « reconnait » à ses pratiques : ce qu’elle fait, ce qu’elle en fait…là, il est clair que de mesurer un temps de soin c’est ne pas donner tout son soin aux soins…c’est le financier qu’il faut contrôler et pas du tout les soignant.e.s. Que ce financier propose sa vision des choses mais que celle-ci ne Prévale surtout pas sur les autres. Dans l’ordre des Qualités, le comptable n’est pas du tout le premier, très loin même. L’ère indigne de la technocratie néolibérale vient de nous le prouver. Les macronistes sont…indignes face aux dévouements des soignants. Eux/elles aiment le pays et le servent – eux/elles le détestent et le desservent. Qui des deux méritent le plus de…contrôles de la société ?]]. Dans le social cette illogique peut amener à exclure des dispositifs les bénéficiaires qui n’entrent pas dans les cases [[ les humains ne sont pas des cases – seule l’inadmissible fainéante de cœur peut avancer une tel horreur !]]. On observe de manière flagrante ce phénomène dans le domaine de l’insertion, qui est le « cheval de Troie » par lequel les politiques libérales se sont introduites dans les secteurs du travail social historiquement les moins concernés par les logiques marchandes [[ on peut dire que ce fut le début de leurs échecs…cuisants !]]. À la Mission Locale ou à Pôle Emploi, les conseillers et conseillères sont indirectement incités à concentrer leurs efforts sur les bénéficiaires dont la situation peut le plus facilement être réglée – ceux qui ont le moins de problèmes – de sorte à pouvoir améliorer les statistiques de réussite [[ donc le bandit néolibéral prêche de tout truquer…l’image faussée sera brandie aux médias…et alors, facile à prévoir que les grands médias Trahissant leur rôle…d’autres le reprendraient et là…c’est des flagrants délits partout !]]. Il en résulte que les personnes qui auraient le plus… besoin de ces dispositifs en sont écartées puisqu’elles risquent d’en pourrir les résultats [[ c’est exactement ce que disent les urgentistes – donc tous ces trucages irrationnels, dus à une stature morale a moins 100, avoue l’incompétence radicale de ces faux gestionnaires à Diriger les Hôpitaux et aux néolibéraux à Diriger les pays…]]. Au fur et à mesure que progresse dans le social et la santé, la logique de défense des seuls intérêts de l’État l’anti-état et de la compétitivité économique, les rares réglementations imposées par les luttes sociales pour protéger les salariés et les qualifications professionnelles apparaissent trop rigides, trop coûteuses. Dans la quête de fluidité et de profit des illogiques entrepreneuriales [[ il n’y a nulle fluidité sinon, que ces profits-coûts-pour-les-autres arrivent plus vite dans votre poche et ce sans contrôle…ces illogiques entrepreneuriales doivent être virées de la cour des grands !]], les métiers pensés pour réaliser ces activités sociales, sanitaires, humaines, deviennent bien trop encombrants avec leur éthique, leurs approches artisanales et cliniques, leur quête de sens. Ils deviennent des morceaux d’une culture obsolète. »…Voilà, le texte-bilan se poursuit avec les marchandages idéologiques infligés aux soignant.e.s par ce délires de management. Mais nous avons plongé le plus direct dans l’horreur des Faits flagrants afin de prouver que des solutions immédiates sont possibles dès ce jour. La première aide à offrir à la Santé c’est de la décrasser de l’ignoble idéologie dégoulinante d’avidités qui veut en faire un profit. Grâce aux précipitations insensées des macronistes  c’est très possible. La santé c’est sacré – la preuve ça démasque partout l’idéologie. Cela offre l’esquivive (nouvelle faculté mentale et affective) qui – contrairement aux disciplines sociales qui…(sans s’en rendre compte) semblent faire l’éloge de l’existant donc de sa propagande en la citant trop (comme s’il n’y avait place que pour elle !)…et sans distance critique (par le simple humour simple…)…Nous, nous plongeons chaque dire dans les faits et chaque fait dans leurs…dires. C’est dire !

Oui que, sans nous, et nos méthodes innovantes en tout, ce travail demeurerait terne et terni d’être trop enclavé dans le langage dominant. D’ainsi, activer partout les ferments cachés du texte…d’en fulgurer les potentiels, et d’en sertir en perles ses trouvailles nous le rendons enfin direct branché vie. Il devient action, il est toute actions …Et c’est faire perdre du temps précieux à tout le monde de ne pas reconnaître à quel point nous sommes des généralistes du réel – et des spécialistes de son changement. En fait, nous pratiquons la thérapie par le changement social. Et ce n’est pas moins que de guérir la société entière notre mission. Il se trouve que nous frétillons assez doué.e.s. dans ces domaines !

Revue-du-Maus.pdf     Marchandiser les soins nuit gravement à la santé !

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Le-capitalisme-médical-a-intérêt-à-ce-que-les-médecins-aient-peur-!

 

Le capitalisme intrus ne se maintient qu’en FAISANT PEUR. Oui ? « Médecin militant féministe, Martin Winckler est également romancier et essayiste. Installé au Canada depuis 2008, où il a été chercheur invité au Centre de recherche en éthique de l’Université de Montréal jusqu’en 2011, il est de passage en France à l’occasion de la sortie de son nouveau roman, « L’École des soignantes », en mars 2019. Le Vent Se Lève l’a interrogé sur les rapports entre médecins et patients, les conflits d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques et l’aliénation qui résulte de ces rapports de force »…N’ayant pas encore assez œuvré nous offrons, toutefois, ce lien pour le pressé.e.s d’avoir toujours l’essentiel…Nous voulons, maintenant, voir les liens explicites publicités et santé. L’idée folle que donc la santé c’est on te trompe, on te vend de la merde  et ont t’incite à devenir l’ennemi de ton corps…juste bon à être bourré de n’importe quoi. Et comment niquer ces niqueurs…Assez de grands médecins, sans doute écœurés des pressions indignes des profiteurs, ont éclairci ceci : guérir n’intéresse pas les laboratoires. Le retour à la santé est une très mauvaise nouvelle pour eux…voilà qui fait froid dans le dos. Et légitime à fond notre démarche.

Les médicaments ne sont que publicitaires (se disent-ils). Le ressentir comme friandises. Faire acheter les hors ordonnances comme du consumérisme pour cons : on écrit « bien-être » » dessus, et, magiquement ça fait vendre…vendre du vent…Or, outre tous les assauts dont Chasseurs de pubs, etc, qui ont éveillé les consciences -* la pub suscite toujours plus de méfiances (ils l’ont bien cherché). La santé trop précieuse doit échapper à ces personnages qui ne lui accordent que si… peu de prix (juste celui de remplir leurs viles bourses)…Soit ? Tous les bénéfices pour le mal et tout le mal pour les malades…donc non soignés. Mentalité hideuse dès que dénudée. Fait.

Cibler-les-comportements-sans-changer-le-système-est-risible-!

 

« Cibler les comportements des gens sans changer le système, c'est risible »…En effet – outre d’être monstrueusement monstrueux le consumérisme est devenu le comble du ridicule. Des ridicules. C’est que toute part, il est voulu que l’arriération capitalisme cesse tout de suite le vain consumérisme va servir à quelque chose pour une fois… « Usbek & Rica : L’urgence des crises écologiques a-t-elle provoqué une montée inédite de ce que vous appelez la « consommation engagée » ? Sophie Dubuisson-Quellier : Depuis que le consommation existe, il y a toujours eu des tentatives de mobilisation des consommateurs. Concernant une thématique contemporaine comme l’environnement, on la voit émerger dans les années 2000, suivie de mobilisations pour la cause animale dans les années 2010. Mais il est vrai que la crise environnementale majeure que nous vivons aujourd’hui a légitimé des discours de changements profonds, qui appellent à des évolutions majeures [[ ce pourquoi nous devons toujours rester à la Hauteur de ce qui est devenu inaccessible aux…gouvernements !]]. Et ça prend avec une ampleur assez inédite. U.  S : Cela fait des dizaines d’années que les scientifiques nous alertent sur les dangers de la dégradation de notre environnement et de nos conditions de subsistance. Pourquoi cette prise de conscience intervient-elle maintenant ? –S.D.Q. :-Il n’y a pas une conscience innée des consommateurs. Toute cette consommation politisée est très largement le fruit du travail de la société civile, notamment des ONG, qui ont mobilisé les consommateurs en leur montrant l’impact de leur consommation et les enjeux et objectifs politiques qu’elle recouvrait, puis en leur proposant des solutions alternatives [[ donc nous avons des ex-consommateurs qui ont appris et des politiciens (proches ex-) qui n’ont toujours rien  appris !]], des labels, des certifications d’entreprises et une série d’outils de mobilisation, comme les appels au boycott, ou le « naming and shaming » des mauvaises pratiques…Ce qui fait la particularité des mobilisations environnementales actuelles des consommateurs, c’est leur très grande visibilité sociale. C’est le résultat de la combinaison de quatre mécanismes. D’abord, l’utilisation des objets numériques permet de diffuser très rapidement à un public très large beaucoup d’informations. Ensuite, l’emploi de modes de contestation très particuliers, comme les vidéos de L214 montrant la souffrance animale dans les abattoirs, très largement diffusées. Il y a un intérêt très fort des médias qui rend ces actions très visibles dans l’espace social, même quand le nombre de personnes touchées est initialement modeste.

 

Troisième facteur : la réaction des acteurs privés, qui voient dans ces contestations une façon de différencier leurs produits et d’étendre leurs gammes [[ afin de des faire plus de thunes ils se désolidarisent, et, sur le fond, font reculer tout le trop envahissant commerce – bien joué, les ruses de l’histoire !]]. C’est le « marketing du sans » : sans huile de palme, sans produits animaux, etc. Enfin, le rôle des pouvoirs publics est important, par la nature des messages publics diffusés aux consommateurs dans le contexte d’un agenda environnemental très présent [[ juste pour gagner du temps…car l’écologie décentralisée c’est leur…perte lourde à eux !]] : autour, par exemple, de l’alimentation locale, des fruits et légumes ou de la limitation de la consommation de viandes, même si des intérêts privés les rendent très prudents sur ce dernier point. « Nos sociétés ne sont pas conçues pour SORTIR de la consommation …mais bien, pour y demeurer immobilisées… jusqu’à en crever !»…U.S. : Vous évoquez le rôle des médias. N’y a-t-il pas un risque de surévaluer l’ampleur de cette consommation engagée, d’être confronté à un effet de loupe de part l’intérêt médiatique et du débat public pour des phénomènes finalement très loin d’être majoritaires ? –S.D.Q. :- Oui, l’effet de loupe existe. Il est provoqué par les médias mais aussi par l’offre commerciale, qui met en avant les produits vegan ou les rayons vegan dans les supermarchés par exemple. De même, il n'y a plus une journée sans un documentaire ou un reportage sur le sujet. Ça accélère un peu le processus.

Pensez-vous que ces nouveaux modes de consommation puissent être les signaux faibles annonciateurs d’une nouvelle ère, de la fin de la société de consommation, de l’entrée dans une « société de déconsommation » ou de post-croissance ? –S.D.Q. :- Je ne crois pas. Nos sociétés de sont pas du tout conçues pour sortir de la consommation. Le discours anticonsumériste a certes beaucoup gagné en visibilité mais, d’un point de vue extrêmement concret, nous en sommes très loin. Il faudrait complètement réinventer un modèle économique [[ ce qui est fait et va être mis sur rails par toute la grande mouvance gilets jaunes…au niveau le plus local…donc écologiquement possible !]]. La croissance, et la consommation qui lui est nécessaire, constituent le moteur de nos sociétés. D’ailleurs, les alternatives qui émergent apportent des réponses par la consommation [[ pas faux – voir la puissance de la permaculture et de tout ce à quoi elle a ouvert e chemin…nous pouvons vivre Sans consommation de l’inutile, des images, des fausses stars qui ne sont là que pour donner des…Ordres de consommer, etc. - juste en direct et en…décisions directes : Basta et à la porte tout ce qui ne veut pas ouvrir les yeux…]]. On propose des vêtements éthiques plutôt que moins de vêtements. Le discours sur la déconsommation existe, mais il est très différent de celui sur la mode éthique. À ma connaissance, on est très loin d’avoir trouvé un modèle viable alternatif [[ faux]], mais on ne s’en donne pas non plus les moyens [[ apparemment vous – vous n’allez pas chercher là où ça pense et où ça ressent ! Que de moyens que vous ne vous/nous donnez pas…]]. Une réflexion de fond [[ faux elle commence et ne dit pas faut attendre toujours attendre la…perfection d’avoir tout en main…on fait « avec » et ça bouge…cela a toujours été ainsi…les anticonformistes droit devant, font, en gros le boulot…et de vrais médiocres arrivent derrière pour reformuler et très mal leurs mots de feu !]] suppose de revoir les modèles en matière d’emploi, de toute la chaine logistique internationale, etc. Demander aux gens de changer de comportement sans changer le système, c’est risible. C’est le petit bout de la lorgnette. Il y a peu de chance que les gens suivent, et même s’ils le faisaient, ce serait un changement bien artificiel sans modifier tout le reste [[ ce pourquoi dans le bordel semé par le haut, ils se débattent et commencent à entrevoir qu’un tunnel ça a un bout !]]. « Il y a une injonction à changer les comportements… sans changer l’organisation du système » Vouloir changer les comportements individuels est vain, alors ? –S.D.Q. :- Non, ça reste utile, ça rend visible une problématique, mais on ne pourra pas tout résoudre comme ça. Les gens sont très agacés par cette façon de renvoyer les décisions collectives, publiques et privées, aux individus [[ c’est parce qu’ils ont déjà…perdu ; tout système qui culpabilise c’est parce qu’il concentre toutes…les culpabilités !]]. On pointe souvent les contradictions des gens qui veulent plus d’écologie tout en continuant à vouloir consommer plus. Mais ces contradictions sont structurelles. Sur la question de l’aménagement du territoire ou de la mobilité, par exemple, il y a une injonction à changer les comportements sans changer l’organisation du système. C’est une façon pour les pouvoirs publics de se dédouaner. Ça coûte moins cher de cibler les comportements. » ….

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Sauf que là, désolé mais c’est de la déconfiture…qui leur colle à la figure.

Santé, éducation sont les faces émergées et les 9/10 ème…

….immergés sont en tain de leur péter à la face…

…………………………..Nous transférerons le Récit à temps !

 

 

…….………………(à suivre)

 

………………….……….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

       Que la vaste détermination collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

       tous ces textes quotidiens sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

COUV Thaêtre.com

COUV Thaêtre.com

Santé : évolution de l’ONDAM de 1997 à 2017. © FIPECO

Santé : évolution de l’ONDAM de 1997 à 2017. © FIPECO

Sophie Dubuisson-Quellier La consommation engagée,

Sophie Dubuisson-Quellier La consommation engagée,

La santé maltraitée va guérir le pays de l’idéologie ?
« La santé, c’est avant tout une affaire personnelle. Et s’il y a bien un matraquage publicitaire dont il faut se méfier, c’est celui dont se servent ceux qui ont besoin de votre vote pour gagner une élection »... Dès qu’ils gouvernent (par contre), ou font semblant, tout est démasqué !

« La santé, c’est avant tout une affaire personnelle. Et s’il y a bien un matraquage publicitaire dont il faut se méfier, c’est celui dont se servent ceux qui ont besoin de votre vote pour gagner une élection »... Dès qu’ils gouvernent (par contre), ou font semblant, tout est démasqué !

Oui ils en sont…là (et plus la grande majorité du peuple !)… »Plutôt que de nous faire acheter comme par magie davantage de produits, la publicité nous influence plutôt sur le choix du produit : « Nous le savons parce que les dépenses publicitaires n’ont que peu ou pas de rapport avec la taille du marché pour des catégories particulières de produits, alors que les campagnes publicitaires réussies augmentent souvent la part de marché d’une entreprise spécifique » [[ et, en parallèle, de fausses mesures pour la sécurité ah de ces chers consommateurs…sauf que…]]. Ainsi hypocrites, il est d’une part fort probable que ces mesures n’améliorent surtout pas la santé des consommateurs de sucre ; et il est d’autre part certain qu’elles ne font que les infantiliser. C’est malheureusement le chemin qui est emprunté actuellement. »…Incorrigibles dirigeants qui ont vraiment tout à apprendre – ce sont vraiment eux qu’il faut engueuler et personne d’autre, en particulier !

Oui ils en sont…là (et plus la grande majorité du peuple !)… »Plutôt que de nous faire acheter comme par magie davantage de produits, la publicité nous influence plutôt sur le choix du produit : « Nous le savons parce que les dépenses publicitaires n’ont que peu ou pas de rapport avec la taille du marché pour des catégories particulières de produits, alors que les campagnes publicitaires réussies augmentent souvent la part de marché d’une entreprise spécifique » [[ et, en parallèle, de fausses mesures pour la sécurité ah de ces chers consommateurs…sauf que…]]. Ainsi hypocrites, il est d’une part fort probable que ces mesures n’améliorent surtout pas la santé des consommateurs de sucre ; et il est d’autre part certain qu’elles ne font que les infantiliser. C’est malheureusement le chemin qui est emprunté actuellement. »…Incorrigibles dirigeants qui ont vraiment tout à apprendre – ce sont vraiment eux qu’il faut engueuler et personne d’autre, en particulier !

La santé maltraitée va guérir le pays de l’idéologie ?
Santé : la publicité et le législateur au panier !

Santé : la publicité et le législateur au panier !

La santé maltraitée va guérir le pays de l’idéologie ?
Master Management du social et de la santé...vous croyez !

Master Management du social et de la santé...vous croyez !

À partir des «dix commandements» inquiétants qui sont au principe de la morale néolibérale aujourd'hui dominante, il analyse les ébranlements que celle-ci provoque dans tous les domaines : le rapport de chacun à soi et à l'autre, à l'école, au politique, à l'économie et à l'entreprise, au savoir, à la langue, à la Loi, à l'art, à l'inconscient, etc. Une véritable révolution culturelle est en cours. Jusqu’où nous mènera-t-elle?

À partir des «dix commandements» inquiétants qui sont au principe de la morale néolibérale aujourd'hui dominante, il analyse les ébranlements que celle-ci provoque dans tous les domaines : le rapport de chacun à soi et à l'autre, à l'école, au politique, à l'économie et à l'entreprise, au savoir, à la langue, à la Loi, à l'art, à l'inconscient, etc. Une véritable révolution culturelle est en cours. Jusqu’où nous mènera-t-elle?

Une économie morale

Le lean management ou comment transformer l’humain en machine…

Sabrina Ali Benali : « Si on ne fait rien, on va faire face à une crise sanitaire cet été »

Theodor ADORNO, Max HORKHEIMER, La dialectique de la raison

Santé : Vous avez dit management ? Oui pour faire gagner de l’argent…à n’importe quel prix – Mais pas pour les malades qui entrent dans… les irrespects les plus complets !

Conférence gesticulée de Mathieu Dalmais sur les écoles d'ingénieurs, où une idéologie de la "neutralité de la technique" conduit à une croyance non critique dans le progrès, qui, associée à une sélection sociale du recrutement fabrique les agents dociles d'une technocratie vraiment antidémocratique.

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