Pourquoi les solutions c’est par l’intelligence collective ? (2)

Publié le par imagiter.over-blog.com

Pourquoi les solutions c’est par l’intelligence collective ? (2)

Les prétendus dirigeants n’ayant de solutions que pour un minuscule groupe (aux autres ils mentent)…seule l’intelligence collective peut nous sortir de l’ornière. Et, elle, c’est tout le monde, elle, n’oublie personne. Celle dont ne parlent jamais les médias vendus : voyons-la agir ! Lorsque nous sommes dans les foules qui bougent. Ou dans notre inconscient (inconscients que c’est l’inconscient !)…ou, encore, dans le refus entêté, et si contraire à nos vrais intérêts, de changer de…style de vie. Oui nous allons vibrer dans ces 3 chansons différentes, à la fois, de la si méconnue intelligence collective !

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On-ne-peut-pas-laisser-s'installer-des-récits-pourris

« Albert Moukheiber est Docteur en neurosciences cognitives, psychologue clinicien et co-fondateur du collectif Chiasma. Dans son livre Votre cerveau vous joue des tours (2019), il nous permet la compréhension de ce que sont nos biais cognitifs, ces déviations de notre pensée qui peuvent nous entraver en tant qu’individus, et nous scléroser en tant que société [[ Surtout celle qui pratique la bêtise insigne des…censures censitaires ! Et nous prive de ces humains qui savent les prendre en compte et les contrecarrer tout net…ce qu’évitent (en masse) de faire les prétendus sommets actuels de la société…et ça se voit, ça se voit…]]. Usbek & Rica : Vous évoquez la « sagesse des foules », cette intelligence collective très performante qui semble indispensable face aux enjeux de l’époque [[voir notre n°1]]. Comment la stimuler ? - Albert Moukheiber : C’est très compliqué parce que le récit qu’on se raconte n’est pas un récit collectif. [[ pas exact – les Vrais écrivains, entre autres, savent le faire !]]. Quand j’entends : « Les humains sont des moutons, c’est navrant… », j’aime répondre que je suis fier d’être un mouton. J’ai envie d’appartenir à un troupeau. On a besoin d’accepter notre fonctionnement moutonnier parce que nous sommes des animaux sociaux qui ne peuvent pas s’en sortir seul [[ nous parlons là de participant.e.s à l’associé-té. Parce, qu’individuellement, certains humains s’en sortent très bien seuls !]]. Mais il faut se raconter l’histoire d’un troupeau plus cool, et arrêter avec la stigmatisation systématique de «l’autre» [[ ce à quoi s’adonnent mais en pilonnages anormaux ceux qui se décrètent élites. Mais sans jamais avoir de comportements d’élites, au contraire. Tout juste s’ils savent ce que c’est des comportements meilleurs…il n’est que de mirer (mais de loin…) leurs déplorables médias…le moutonnier y tourne à la haine aigre et aux préjugés tous plus faux les uns que les autres ! Et pas un qui en réchappe..]]. On est dans un récit de l’individu. L’individu contre le reste du monde. Le salut ne peut venir qu’en se refaisant confiance en tant que groupe [[ il semble bien que les gilets jaunes y aient réussi…ainsi que tous ceux et celles qui les ont précédé et permis en quelque sorte. Le symptomatique demeure tous les dénis du réel à leur égard. La société tournée vers le neuf – les placerait plus en son centre. Son autoenfermement…aliéné tend à prouver que quelque chose s’est effondré en elle. Et que nous devions remettre de la santé mentale et de la salubrité publique dans ses rouages !]], parce qu’on n’a pas le temps pour que chacun soit expert sur tous les sujets.

Vous rappelez qu’une fake news se propage six fois plus vite qu’un article fondé. Comment faire pour endiguer la propagation ? - Albert Moukheiber : - Albert Moukheiber : On commence par soi-même. Les fake news sont propagées par des personnes de bonne foi. On a besoin d’éducation, clairement, mais en attendant, il y a des astuces : d’abord, toujours se méfier [[ par méthode mais non par principe…et ce au début uniquement ]]  des articles qui vont dans mon sens. Si je suis anti-OGM et que je vois passer un article anti-OGM, c’est là que les voyants doivent s’allumer, et qu’il faut varier les sources d’information [[ cela est évident…mais c’est aux politocards et aux médias devenus fous qu’il faut le dire et sans cesse le dire…beaucoup moins à la prétendue plèbe, allons allons !]]. Le raisonnement critique n’était pas nécessaire avant Internet parce qu’on n’avait pas à se positionner sur des sujets hyper complexes. La libération de l’accès à l’information est une bonne chose autant qu’un défi. Et il est souhaitable d’admettre qu’on n’est pas obligé d’avoir une opinion sur tout [[ cela ce sont les toxiques conformistes, qui veulent asperger tous leurs entourages des derniers ordres de la voix de leurs maîtres, qui l’ont…insufflé. Il faut obéir partout et sur tout et sans réfléchir. D’où par défense primaire : tout le monde, en son intérieur, s’est mis à sécréter des refus plutôt vaseux. Sauf à vraiment approfondir !]].

Comprendre la formation des opinions, c’est ce que vous faites avec le collectif de neuroscientifiques que vous avez co-fondé, Chiasma. Quelle est l’ambition exacte de cet organisme ? - Albert Moukheiber : Le but, c’est de promouvoir la flexibilité mentale, c’est-à-dire comment on change d’avis [[ but pas très clair…il s’agit de rendre rationnelles ses pensées, d’accepter les vérifications par les faits, de douter aussi…pas de devenir des girouettes manipulables à merci…]]. On organise des événements gratuits en public. Ça prend la forme d’une petite conférence sur un sujet qu’on trouve intéressant, suivie d’un débat dans lequel le but n’est pas d’avoir raison mais de comprendre pourquoi [[ comment c’est mieux !]] on a une certaine opinion [[ ce qui est mieux mais ne semble pas encore satisfaisant ]]. Les débatteurs ne sont pas des experts mais des gens du public, et on utilise ces débats comme un outil pédagogique qui permet d’identifier quels sont les arguments qui sous-tendent une opinion. Souvent, dans les faux débats télévisés, il n’y a pas d’arguments mais des illustrations, des exemples [[ disons, plus concrètement, des idéologies et des propagandes – c’est plus parlant. Avec jamais de jamais la présentation de tous les points de vue et de leurs…arguments sur le thème…ce qui, effectivement, permet de se forger honnêtement une opinion. D’où nos textes qui tentent de réparer cela mais peuvent paraître plus longs. Puisque de nombreux concepts, qui devraient circuler librement, sont à réintroduire donc à un peu expliquer. Et surtout leur essentialité pour la globalité. Dans le sens que les vraies solutions surgissent de réflexions qui englobent tout le réel…et pas que le secteur de la secte (vouée au secteur !)]]. Avec Chiasma, on tâche de mettre en évidence les bons et les faux arguments. L’objectif est d’être plus conscient de ce mécanisme qui nous conduit à avoir une opinion, plutôt que d’avoir une opinion et de chercher à tout prix à la défendre. On travaille aussi sur l’éducation, les enjeux sociétaux, l’écologie [[ cela c’est mieux !]]. L’idée, c’est de créer un espace d’échange qui stimule l’intelligence collective [[ ce que pourchassent avec acharnement les dévoyés médias d’argent…voulant s’octroyer le rôle de supériorité (qu’ils ne peuvent avoir vu leurs effondrements moraux) oui de celle qui aboie…des ordres ! Dans ce dispositif si malsain il ne peut être parlé d’intelligence collective. Ce pourquoi, la radicale nouveauté des gilets jaunes c’est d’avoir réintroduit puissamment l’intelligence collective - ce que n’avaient jamais fait les extrêmes gauches et autres officines de hiérarchies des sources… que ce soulèvement à mis tant à nu. Et ce sont les anticonformistes qui s’en sortent intacts. Jamais ils/elles  n’ont diffusé de la propagande des sommets comme l’extrême gauche, etc. l’ont fait, en en ayant pleine conscience ou non.]]

Vous défendez dans votre livre les vertus trop ignorées du doute. Faut-il douter en permanence ? - Albert Moukheiber : Douter de soi, oui, mais arrêter de douter des autres [[ pour le moment dans la vile société bourgeoise c’est toujours l’inverse]]. Aujourd’hui, on promeut le doute des autres, des experts, des journalistes, des politiques [[ puisque leur survie de personnes si peu qualifiées et avec tant de mauvaises fois ne peut exister qu’en …dénigrant systématiquement les autres. Il y a une volonté mauvaise derrière ! Ce sont donc d’eux que nous devons nous…méfier !]], et en face il y a tout un courant de développement personnel de l’intuition : « Fais toi confiance, fais confiance à ton intuition, à tes sensations» [[l’intuition c’est trop superficiel, c’est de l’instinct dont il s’agit !]]. Ça c’est un cocktail Molotov pour une démocratie ! Donc oui, je suis pour le doute de soi mais ça ne signifie pas ne pas avoir confiance en soi. Au contraire. C’est quand on se construit intérieurement qu’on n’a plus peur de dire : « Je t’ai écouté, tu as raison, je me range à ton opinion »[[ comme de dire « je ne sais pas » lorsque, sur le moment, on ne sait pas…sans donc chercher à tricher !]]. Si un homme politique fait ça face à un interlocuteur, on considère que c’est un suicide politique. Et pourtant c’est de ça dont on a besoin ! »…C’est très bien de le dire…mais il faut, alors, se donner tous les moyens afin de renverser cette situation si corrompue. Manquer d’exigences c’est desservir ses pensées ! Il ne faut jamais faillir…

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Usbek & Rica : On comprend en vous lisant que nos biais cognitifs sont le fruit d’une histoire qui remonte à la naissance de l’humanité [[ ce pourquoi l’original, qui revit l’origine, peut tant nous apprendre et nous ne…le voulons pas ! Pourquooooiii]]. C’est le cas d’une réaction comme le stress, par exemple. Peut-on éliminer le stress ? - Albert Moukheiber : Il faut du temps. On oublie que notre monde moderne - disons depuis d’invention de l’écriture – n’est qu’une fraction de l’existence de notre espèce [[ très infime d’où vivre son instinct, et surtout vivre des expériences qui l’augmente, c’est si important…les originaux ont vécu l’origine : c’est cela que les autres ne veulent pas admettre. Le langage, lui, ne laisse jamais rien dans l’ombre !]]. Notre cerveau ne peut pas renoncer à une réaction comme le stress, qui a permis pendant des millénaires à l’humain de survivre, sous prétexte que le contexte a changé dernièrement [[ ce pourquoi nous préférons mille fois le réConfort au confort…qui nous semble si…glacé. Ôter de soi tout ce qui fait que le si corrompu consumérisme puisse vous agripper… soulage vraiment votre vie. Nous rend si légers…Ne plus porter le fardeau indigne de la bourgeoisie « absolutiste » ça c’est une vie de progressistes !]]. Le cerveau ne peut pas s’adapter si vite, mais on peut se désolidariser de ses réactions. Si je suis dans un embouteillage, je peux connaître un stress. Je suis alors en situation de survie : mes muscles se contractent, j’ai une boule au ventre, je me prépare à donner ou recevoir un coup… Je peux apprendre à déceler le caractère inadapté de ma réaction et trouver une solution. Ça commence par détendre son corps, respirer profondément, envoyer des signaux au cerveau pour lui prouver qu’il n’y a pas d’enjeu de survie [[ disons que va encore plus loin l’utilisation intentionnelle des neurones miroirs…lorsque simuler (au départ) peut nous faire tout vivre intérieurement. Et que – mieux encore –, pour notre corps, que ce soit réel ou imaginaire lui il s’en fout, ce sont l’apport de sensations et d’émotions qui comptent. De lui offrir cela en tête à tête augmentent sa confiance lorsque nous lui insufflons « ne crois pas toujours ta tête, bonhomme ! », etc. Le traité de savoir faire pour les émancipé-e-s en dit plus !]].

Vous établissez clairement qu’il est vain de chercher à combattre les biais cognitifs, qu’il faut seulement essayer de les comprendre. Cela suffit-il à ne plus en subir les effets ? - Albert Moukheiber : Les biais sont juste une grille de lecture du monde [[ exactement, ce n’est pas la réalité ]]. Par exemple, si je suis jaloux, que j’appelle ma copine et qu’elle ne répond pas, mon cerveau va utiliser un biais de disponibilité, produire l’hypothèse la plus disponible pour lui : elle ne répond pas parce qu’elle me trompe. Si je suis jaloux, je ne peux pas ne pas me dire ça, je ne peux pas l’empêcher. Mais je peux décider de me désolidariser de cette hypothèse, et donc d’avoir une posture correctrice en faisant d’autres hypothèses. Au bout d’une longue période, mon cerveau peut abandonner cette hypothèse, et alors je cesserai d’être jaloux. [[ pas exactement, je cesserai d’avoir confiance dans cette jalousie et ce qu’elle délire…quant à abandonner complètement c’est plus long…il en faut plus d’un essai !]] « Notre cerveau nous raconte des histoires qui nous aident à naviguer dans le monde », écrivez-vous. Mais ces histoires qu’il nous raconte ne sont-elles pas le fruit de fables plus grandes encore, comme la société de consommation ou le patriarcat ? - Albert Moukheiber : Si. On s’est laissé raconter, par exemple [[ sauf les si sains anticonformistes…]], que les matières scientifiques étaient pour les hommes et les matières littéraires pour femmes. Pour une étude scientifique, on a donné un exercice de math à des adolescents : le groupe des garçons a mieux réussi que le groupe des filles. Puis on a donné le même exercice à deux autres groupes, mais en précisant cette fois que l’exercice avait été développé pour que les filles le réussissent [[ c’est le principe de « l’injonction paradoxale » de l’école de Palo Alto…qui a si peu été diffusé…notamment en France qui aime remâcher ses erreurs sans passer à du…meilleur !]]. Les filles ont alors eu le même taux de réussite que les garçons. Cela confirme que nos histoires conditionnent notre accès à nos capacités [[d’où notre lutte incessante contre les propagandes car ce sont les mentalités qui changent les comportements…et non l’inverse !]]. Dans l’histoire collective qu’on se raconte, un homme a besoin d’avoir beaucoup moins confiance en ses capacités pour postuler à un poste qu’une femme. Donc on se retrouve avec beaucoup d’hommes qui sont moins compétents que les femmes, mais qui sont leurs supérieurs hiérarchiques.

Le numérique, expliquez-vous, a atomisé un socle commun de réalité, il a favorisé la polarisation de la société. Est-il indispensable de s’éloigner des écrans pour retrouver ce socle ? - Albert Moukheiber : Non. Ça c’est le mythe de l’ermite. Il faut au contraire occuper les espaces : on ne peut pas laisser s’installer des récits pourris [[ c’est ce que nous faisons …combattre frontalement les difficultés, s’installer et, à terme, pouvoir évacuer les fausses élites partout…préparer le terrain des suivants, etc. Cela peut paraitre moins reluisant mais nous, qui avons bien vécu (expérience…d’expérimenter), savons une chose simple ! Que tous ceux/celles qui nous sont agités comme des success stories (dans les médias vendus et leurs conformistes qui viennent encombrer internet de ces salades)…eh bien quasiment toutes…leurs vies sont ratées !...oui..ratées. Elles ne valent pas les nôtres. Nous le savons nous avons croisés quelques uns !]]. On a besoin d’investir par l’entrisme, etc. les réseaux sociaux, les entreprises, le CAC40 et les usines avec de nouveaux récits, qui ne sont pas forcément plus positifs mais disons plus complexes, parce que c’est ça qui nous rend intéressants. »…Le dire n’est pas suffisant, il faut le faire et le faire partout !

Le-cerveau-automatismes-vidéo/

 

>>>>-- *** « C’est en effet notre inconscient, au fonctionnement encore mystérieux, qui guide nos actions et pas la raison consciente, comme on voudrait bien le croire [[ sauf que l’on peut rendre cet inconscient bien plus conscient… en développant son instinct comme nous venons de l’expliquer. Par l’usage massif des neurones-miroirs et d’autres techniques dont nous parlons dans nos textes. Les chiffres radotés du on n’utilise que 10 % de notre conscient omettent de dire que des pionniers ont fait reculer jusqu’ à 40 %. Disons que l’anti-société bourgeoise ne veut pas notre bonheur…sinon nous n’achetons plus. D’où elle nous masque ou dilue toutes les fantastiques infos. Nous les restituons bien serties !]].  Selon les auteurs du documentaire, 90 % de notre activité est inconsciente [[ pas exact…il y a de vrais progressistes qui ne le diront jamais à la télé mais le prouvent chaque jour, eux/elles]] et moins de 300 millisecondes sont nécessaires pour prendre une décision. L’inconscient a toujours le dessus sur la raison. Tel est le constat que tirent Francesca d’Amicis, Petra Höfer et Freddie Röckenhaus, après un tour du monde des laboratoires de neurosciences, de l’Australie à l’Allemagne, en passant par les États-Unis et la Suède. Dommage que soit négligée la France, qui compte pourtant des spécialistes reconnus [[ faut dire que l’oligarchie a tout fait pour que l’aura culturelle de la France diminue, ils veulent la dépouiller en douce de ses trésors incroyables. Et c’est mieux dans l’ombre. Nous faisons tout pour que brillent les feux de la culture de ce pays. Disons que nous réussissons un peu !]].

Conscience ou inconscience ont, toutes deux, leur siège dans le cerveau, mais obéissent à des processus forts différents. Si nous devions sans cesse réfléchir à comment marcher, respirer ou prendre une décision, notre métabolisme deviendrait fou, consommant trop d’énergie. A partir de ce constat, les auteurs nous invitent à découvrir ce qu’ils appellent le cerveau « automatique », c’est-à-dire toutes ces choses qui se passent dans nos neurones à notre insu : estimation du danger, reconnaissance des visages, élaboration d’une opinion rapide sur les gens, gestes sportifs ou coup de foudre [[ la vidéo jointe le fait bien…]]…Et, qu’un fois que nous avons conscience de ce cerveau…automatique, nous pouvons étendre, agrandir notre conscient. Disons que sans technologie – ce n’est pas être technophobe que de dire qu’il ne faut pas en être envahi et que, pour le futur collectif, c’est mieux que de n’en conserver qu’un minimum !) c’est le conscient qu’il faut…amplifier. Pas ce qui rend inhumain et ose se nommer transhumanisme. Oui sans aucun humanisme...

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Coup-de-gueule-des-rails-on-lâche-rien-!

« C’est un curieux phénomène qui consiste à toujours se comporter grosso-modo comme… la veille en dépit des nouvelles informations reçues. On peut recevoir des milliards d’informations qui nous intiment de faire autre chose que ce que l’on fait, mais il se trouve que nous sommes inarrêtables [[ c’est le triomphe apparent de la routine qui tue, des biais cognitifs qui ont tort et des préJugés qui jugent sans savoir…disons que ces personnages n’ont aucun INSTINCT qui leur permettrait de résister et bien !]]. C’est la notion de rails en fait. L’être humain est le seul être vivant à évoluer sur des rails. Toutes les autres espèces savent… bifurquer en fonction du danger [[ bravo !]]. Pas nous [[ pas bravo !]]. Nous, nous sommes gouvernés par des rails [[ jusqu’à rupture du corail !]]. Ce petit texte constitue une nouvelle information pour quelques êtres humains, une brève information va les traverser, mais elle ne pourra jamais avoir d’incidence sur leurs rails [[ sauf de les avoir – déjà – quitté]]. Qu’il est magistral dictatorial notre non-mode de vie ! Qu’il est vraiment incroyable ! Maison ou appart, 8412 objets inutiles, bagnole, travail à la con, voyages, loisirs, les enfants à l’école et surtout ne pas cultiver la terre ou bien deux pieds de tomates achetés chez Botanic [[ oui au lieu de s’en éloigner à tire-d’ailes, nous pouvons insister pour s’y embourber…à mort !]].

On ferait bien un compost mais les voisins ne veulent pas. Oui, car, une autre composante majeure de ce mode de vie, c’est de vivre les uns sur les autres. Si tu te tires dans la lande, tu peux faire un compost tranquille, mais tu préfères rester en ville entouré de voisins et dire : « mes voisins ne veulent pas qu’on fasse de compost » (idem pour les toilettes sèches et tout un tas d’autres choses). [[ que tu ne les apprivoisins appris voisins apprivoisés ! Voisin c’est voir…différemment…]] . Ha la Ville !!! Qu’est-ce qu’on la kiffe ! Et le cinéma ! Et les restos ! Tout ça, tout ça ! Ha cette sensation d’être avec les autres, d’en être ! Sensation qu’on ne veut pas lâcher ! Pour rien au monde ! On sait bien que toute notre vie n’est qu’une illusion et qu’on fait n’importe quoi ! Mais encore une fois ce qui prime, ce sont nos rails [[rails… murailles…qu’il faut effectivement démonter !]]. Je n’ai pas mangé d’ortie pendant 30 ans et les autres n’en mangent pas autour de moi d’une part mais d’autre part, j’apprends que ça se mange, que c’est gratuit et que c’est le meilleur légume du monde !

Oh, cette deuxième part n’a pas de poids, aucun. Je vais continuer à ne pas manger d’ortie, puisque je n’en mangeais pas hier [[ quelle mauvaise tête n’est-ce pas. Ne pas EXPÉRIMENTER c’est ne…pas vivre ! Aussi simple que cela : la preuve ? Alors que notre époque est pleine de tant de possibles…se contenter de si…peu, non ce n’est pas normal. Car ce que n’est pas ce qui nous achetions qui nous fait vibrer mais bien ce que nous…Ressentons (émotions, sentiments et sensations oui le tout en même temps mais pas en ce en même temps qui n’est…qu’exclusions. Ici qu’unions absolues…et c’est gratuit…). La routine des habits… tués non merci…c’est pire que l‘ennui ! Et aucun achat n’interrompt la routine. Plutôt de ne…pas acheter. ]]. Hier, j’ai acheté des épinards au supermarché, eh bien « donc » aujourd’hui, demain et les autres jours qui viennent je recommencerai {[[  se si maltraiter non pourquoi rester si masochistes ?]]. Après tout, j’ai de l’argent pour acheter des épinards, pourquoi est-ce que je mangerais des orties qui piquent ? Pour la Vie sur terre qui se meurt ? Ça, d’accord, je comprends, mais je n’arrive pas à faire sans mes rails ! Et puis, en plus, si je me mets à faire différemment, ça va jeter un regard violent sur tout mon passé et ça je ne veux pas : je préfère continuer, continuer, continuer, continuer [[  beaucoup- beaucoup trop –en sont encore là ?]].

Bon… Je crois que je peux toujours courir. Je crois que je peux me brosser avec une brosse en laiton… Les gens ne veulent pas prendre soin de la terre [[ il semblerait…en paroles seulement, …en vrai d’agir ça s’est sacrément réduit…comme pour ND de Paris où seulement 9 % des promesses de dons se sont réveillées !]]. C’est vain. Il y a une certaine façon de…NE PAS vivre qui s’est définitivement installée, on appelle ça un mode de non-vie et c’est lui qui l’emporte dans tous les cas. Aucun pour une vraie bifurcation [[ donc des humains seraient plus bêtes que des…animaux ? Où trône l’anomalie ?]]. Oh bien-sûr, on le dit, on fait… comme si, comme si on voulait… d’une autre façon de vivre, et c’est le règne absolu…

….. de l’hypocrisie qui est une composante majeure de ce mode de non-vie. »

Or se mentir à soi-même c’est ne pouvoir jamais être heureux sur l’heure !

Puisque le secret du bonheur – si peu offert car il est si…gratuit - c’est…

…………………précisément de ne jamais se Mentir à soi-*même !

 

…..…..…..........……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

          Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

couverture L’arbre de Karl Koch ...ici :  pixabay…

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Pourquoi les solutions c’est par l’intelligence collective ? (2)
www.franckypedia.com

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Albert Moukheiber « On ne peut pas laisser s'installer des récits pourris »

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leiloushine.wordpress.com

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Les 2 peuvent se renforcer… pourquoi toujours faire porter le maximum de fardeaux aux forces du mieux ? Et de trop faciliter par des avantages si déloyaux les forces du pire ?

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Et si le cheval de Troie c’était pour les forces du mieux ?

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desideratum

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De Hans Bellmer…

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Portraits inconscients de Marie Vermunt

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Ponyo sur la falaise…

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Oscar Dominguez

Oscar Dominguez

A la découverte de notre cerveau | Albert Moukheiber | TEDxLaRochelle

C’est en effet notre inconscient, au fonctionnement encore mystérieux, qui guide nos actions et pas la raison consciente, comme on voudrait bien le croire.

2 : 16 un prof de philo qui...déraille...!

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