Tout doit commencer…sinon tout…finira !

Publié le par imagiter.over-blog.com

Tout doit commencer…sinon tout…finira !

Ceci vient de…penser complexe ce n’est pas penser compliqué - mais penser complet ! Nous allons le démontrer ou le tenter. Le complexe pas compliqué - c’est le penser à tout le monde…à la fois. Et toute politique excluante (le macronisme en est une des pires) ne peut se faire passer pour une pensée complète, dite complexe. Seulement celle qui provoque des… complications permanentes en tout, des imbroglios dans l’ex-vie collective, des sacs de nœuds de mensonges et d’approximations – dont de grands esprits peuvent trancher les nœuds Gordiens de tels enfantillages (lorsqu’une pensée n’est pas incarnée…elle ne peut devenir qu’une succession terne… d’impostures).

Qui ont une pensée…linéaire et discursive ne s’en sortiront jamais ! C’est quoi ça ? Nous avons tout fait afin de le prouver. Puisque le 20 Juin c’était par le texte «L’égal traitement de tous par la loi ?» - en sachant, à l’avance qu’il serait peu lu…à cause du titre qui parait…béat et niais…clair que la réponse est non : il ne l’est surtout pas. Uniquement en linéaire…en… non linéaire c’est tout autre chose. Ainsi, la Commission européenne (qui cause tant de dommages) pour les privatisations  retient surtout…si si cet… «égal traitement de tous par la loi ». Et donc qui sont les niais.e.s., les béats loufoques ? Il suffirait qu’un grand nombre connaissent l’argumentaire antiEurope sans les peuples pour que – juridiquement – toutes les privatisations deviennent… impossibles (nous avons offert la trame de cet argumentaire « dans » le texte. Et donc ? Ne pas lire le texte…à cause du…titre…en se croyant malin…c’est se priver d’une aide précieuse pour ses frères humains afin de stopper net les privatisations !)…Espérons que, la prochaine fois, ils…n’inféreront pas un titre à un…contenu inconnaissable à l’avance. Oui inférer comme …interfèrer, ou…défèrer, ce n’est jamais…positif ! Mais encore ? Le vrai réel est Intriqué…soit non linéaire. Soit ? Bon le réel juste une corde (ou une ligne) est linéaire…et pas toutes les lignes en même temps et à la…fois – juste une seule…ou le 1er pas serait suivi du second, etc. Et enchaînement longitudinal (tout procède de ce qui précède – et non, rien  ne peut s’ouvrir…aux abondances de faits concomitants, aux multi-solutions, aux isotropies multiplicatrices, aux rencontres de tous les potentiels au même…moment. Un réel intriqué (le vrai) où tout reste mêlé (il n’y a pas l’économie et, à côté et imperméables, la société, la culture, la médecine, mais tout est imbriqué, mêlé, tramé et métissé. Et cela va tant dans tous les sens en mêmes temps, les directions complètes, les 360 ° du réel…intégral. Et pas dans le 1 ° du linéaire (et pas dans le 0,10 % de l’oligarchie SANS …les autres)...

Or ? Les solutions sont toujours précédées de tas de sacs de noeuds, donc d’enchevêtrements multiples, d’insolubilités apparentes à dénouer…Et ? Le linéaire péremptoire (et arrogant…comme ceux/celles qui ne savent pas) c’est il n’y Qu’UNE phrase et elle n’a Qu’un sens…ici le littéral l’égal traitement de tous par la loi ! Or celle phrase interrogative (mais pourquoi est-elle posée ? Ce blog si perspicace voit-il, soudain, tout en rose et en bisounours ? Il doit y avoir un truc derrière, etc). Mais aussi ? Chaque fois nous sommes au désespoir pour placer un titre puisque nous savons la linéarité…possible des lectures superficielles, pressées, voraces et donc…perdantes (en se supposant…omniscientes, divines – ces non-lectures de moi je vois le titre …je n’ai pas…besoin de lire plus, je sais …tout déjà !)…Or c’est sans cesse raté lorsque denses sont les textes ! Nous sommes souvent affublé.e.s d’un… expert.e.s du réel, et nous le savons si intriqué, multifactoriel, pluridimensionnel et donc…impossible à rétrécir en linéaire-une-seule-chose-à-la-fois…un point et un mot. Un feu rouge, un vert. Un oui un non. Un 0 et un 100. Un tout blanc et tout noir…et jamais rien entre eux, un dualisme dément genre l’étasunien « nous sommes les gentils, vous êtes les méchants et areuuuhhêuuuhj ou gagaâââgagaga’ !  

Titre qui « se trouve » (oui si nous cherchons il se…trouve, sinon il va demeurer dans les limbes des non naissances) dans l’ensemble de tous les possibles. Non pas dans un seul qui ferme les portes à tout le reste… et (les stats l’ont prouvé) moins (-) 45 % de lectures en moins genre je ne vais pas lire «ça »…ces béatitudes évaporées. Or le titre est hyper critique et traverse à quel point d’éviter certaines recherches et curiosités peuvent rendre plus grandes nos restrictions de libertés (…à la fin du texte nous sommes…plus libres – qui a refusé (préjugés) de le lire vraiment…moins eu sen,s d’émancipé.e.s ! Soit libérés de leurs propagandes…)… Se priver des rebondissements dialectiques…et Discursive, de discours, c’est quoi ? Alors que la diction du dictionnaire c’est chaque mot reçoit l’aide de tous les mots, les re-verbère (verbère c’est le son, réverbère la lumière) – donc la lecture y reste lictueuse et délictueuse. Sensuellement très recommandée : le sens le plus…sensé qui soit (celui qui admet tous les sens des sens de chair en même temps que les sens des invisibles). Nous sortons de tas d’insolubilités PAR les articulations du corps Et du vocal. Oui lorsque le «je me prononce» (pour signifier je dis le fond de mon vécu de mes ressentis et de mes convictions en parvenant aux faîtes de la diction !) – c’est je me dis, dressé, tout tendu de tout mon corps, un et uni dans mon ardeur. J’articule mes arguments, je les prononce distinctement et je Me prononce comme de l’airain…et ensuite  Ceux qui ne savent pas, n’expérimentent pas, ne vivent pas, ne vérifient pas IMPOSENT aux autres donc « cela » aux expérimentés, ayant de profonds vécus, des ressentis abondants et une pensée infiniment riche. Monde à l’envers. Le lendemain  nous avons affiché « Et tu niais les niais »…

>>> --- ** Faisant cliqueter la rencontre des paradoxes. Genres ? Le niais serait qui nieraient les niais ? Ou  bien se montrer niais c’est…toujours nier et renier ? Ou bien les 2 à la fois ? Ce qui redouble que de nier les niais …c’est (peut-être) se dévoiler plus niais qu’eux/elles. Qui, eux, ne s’en rendent pas compte ! Et tout cela vaut le coup de frotter l’allumette sur ce soufre fertile. De nier, sans vérifier, que un court questionnement sur l’égal traitement de tous par la loi puisse se démontrer si fécond…c’est comme de nier les niais. Chaque jour et chaque jour de nouveaux méfaits  contre les faits (c’est en voyant et ressentant tout différemment que nous pouvons ouvrir le début du…changement de la société. Sinon comment, oui comment Svp?). Nous sommes en plein  dans le complexe. Le…complet…Qui est ? Non linéaire et non discursif à la fois. Cela ne se lit pas de gauche à droite ou de droite à gauche, ni de haut en bas mais dans toutes les directions à la fois. Balayages rétiniens. Ne PAS le savoir n’est pas une faute ou une erreur si nous n’imposons pas ces non-savoirs aux autres. De même …le non-linéaire demeure dans le « aucune phase ne peut Tout dire » sauf de le tenter encore et encore tout de même. C’est le contexte qui dit le texte, c’est la traversée qui nous fait passer à travers. Et d’avoir – a priori, sans examen, par seul préjugé – EXCLU les vrais écrivain.e.s sûr que cela empêche…et chaque jour et chaque minute… d’avoir oui Chaque jour …à portée de la main, des yeux, du coeur tous les modes d’emplois. Une langue est incarnée ou n’est pas. Et qui de mieux que de vrais écrivain.e.s la portent et la transportent partout ? Toujours déplaçants et jamais déplacés. Toujours à déplacer la défiguration de dire « c’est déplacé » en suggérant « par qui ? Par qui déplacé ? Qui se transfigurent de métaphores ? Qui sont les titans qui soulèvent l’époque ? » Oui là tout de suite…ceux/celles qui ne savent pas et ne ressentent rien ont clos…l’âge d’or…

…………………… Écartons-les et retrouvons-le…vite…Comme ceci…

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La-pollution-de-l'air-n'affecte-pas-que-nos-poumons-mais-tous-nos-organes-même-la-tète-!

« Plus de 90 % de la population mondiale respire un air toxique et ce taux devrait encore augmenter [[ donc 120 ou 140 % ?]] avec la part de citadins dans les prochaines décennies. Or, une nouvelle étude démontre l’effet néfaste de la pollution de l’air sur notre santé : non pas seulement pour nos poumons ou notre cœur mais pour tous nos organes, cerveau compris [[il est tout à fait compréhensible que les pollutions de l’air affecte tout le corps puisque tout le corps respire !]]. De la tête aux pieds, la pollution de l'air affecte/ infecte tous nos organes et pas seulement nos poumons, selon une étude publiée par des chercheurs étasuniens du Forum of International Respiratory Societies (FIRS) dans la revue médicale Chest. En cause, les nanoparticules, mesurant moins de 2,5 micromètres [[rien que de l’annoncer implique un effet généralisé, puisqu’elles peuvent s’infiltrer partout !]]. Elles se déplacent à travers le système sanguin et s’attaquent au foie, à la peau, aux os...  "La pollution de l’air peut endommager intensément comme de façon chronique, en affectant potentiellement tous les organes du corps", écrivent les scientifiques du FIRS. "Les particules ultrafines passent à travers [la barrière pulmonaire], sont facilement capturées par les cellules et transportées par le sang, pour exposer ensuite toutes les cellules du corps", ajoutent-ils [[seule la superficialité pouvait penser le contraire !]].

Plus de 70 000 articles à charge : Ces microparticules proviennent du chauffage au bois, des moteurs diesel et de l’industrie. Elles seraient ainsi responsables de plus de quatre millions de décès dans le monde selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) [[ par an – oui c’est énorme : plus que l’alcool ou le tabac. Mais comme il ne peut l’être imputé directement aux individus, les lâchement culpabiliser eux seuls, ces faits massifs sont peu cités et sont mis sous le tapis ! C‘est la faute globale du système de vie complètement dément imposé à tout le monde. Et sont affectés durement aussi qui désirent tant changer de mode de…mort destructrice : le remettre frontalement en cause appartient donc bien à la santé mentale.]]. Et pourraient être la cause de diabète, démence, problèmes hépatiques, cancer de la vessie, fragilisation de la peau et des os, baisse de la fertilité… Il y aurait même un lien avec Parkinson et l'autisme. "Cela vient s’ajouter aux preuves très lourdes que nous avons déjà [[ la simple réflexion – un avion = 1000 cigarettes , les véhicules des  dizaines…or « fumer tue »…et les fumeurs passifs (ceux/celles qui reçoivent la fumée des autres) sont tout autant décimés. La super tabagie des transports a des effets nettement supérieurs à la tabagie des individus et aucunes mesures concrètes ne sont prises contre cette tabagie la plus des néfastes…Au point qu’il faudrait veiller à ne plus « fumer de véhicules » dans les rues !]]. Plus de 70 000 articles scientifiques démontrent que la pollution de l'air affecte notre santé. Pour les problèmes tels que la maladie de Parkinson ou l'autisme, pour lesquels il existe des preuves, mais peut-être pas de liens très forts, les preuves solides sont en train d’émerger”, a déclaré le Dr Maria Neira, directrice de la santé publique et de l'environnement à l’OMS. »…Comme si la quantité y changeait quelque chose : les fuites devant le réel font semblant d’exiger plus de preuves…mais lorsqu’elles sont là, elles ne modifient rien. Sans doute que le 70 001 ème article va tout changer ? Non, c’est l’état intérieur qui compte…la pensée complexe qui pense à tout le monde en agissant. Et englobe les problématiques et les solutions. Un exemple ? Nous n’avons jamais pu quitter ceci : depuis l’enfance, et spontanément, sans que ce soit une attitude fabriquée, nous nous préoccupons de nos impacts sur les autres. Et nous nous surprenons à les penser quotidiennement. Et même à …veiller à les diminuer à chaque fois que nous pensons (penser complexe, celle qui inclut tout le monde). C’en est devenu notre…première nature (pourquoi dire seconde dans ce cas) et avions passé du temps à trouver des solutions globales en cette simplicité de formulation…l’air tué nous…tue. L’air tué par les pollutions nous affecte. Et ce qui (en pleine mer) parait fantastique (respirer à pleins poumons) parait moins approprié dans les villes…où même un…début de modification des manières de ne…plus tant nuire aux autres n’est toujours pas… envisagé. Nous nous sentons abandonné.e.s avec nos attentions permanentes aux autres : pourquoi nous et pas les autres ? D’ailleurs, il sera plus hurlé après qui apportent des solutions complexes que de… les mettre en activations concrètes (toujours…attendre et NE RIEN faire…). Cela se décrit très bien comme tout Compliquer (et compilations de…complications) afin qu’aucune solution…ne commence. Le complexe – donc complet – c’est de faire commencer !   

Philippe-Bihouix-:-start-up-nation-?-non_-low-tech-nation-!_

« Et, compte-tenu de la concentration humaine que nous avons atteinte, personne ne recommande de débrancher les ordinateurs ou les dispositifs de contrôle des grands systèmes de production d’eau potable et d’assainissement, sans parler du secteur médical [[ en effet – il y a une attention aux autres mais qui demeure en…arrière fond, en sourdine et qui n’est pas mise en complet avant …comme amplifications de prises de consciences globales !]]. Sans qu’il y ait matière à s’en réjouir, le temps devrait jouer en faveur des low-tech [[ nous l’entendons ainsi : nous limiter aux stricts nécessaires et maintenir l’humain comme prédominant et dominant partout et non pas de la technologie au…rabais, sans qualités, comme bradant l’excellence ! Et ne respectant donc pas les humains…]], et les faire apparaître de plus en plus comme une impérieuse nécessité, au fur et à mesure que les promesses technologiques ne seront pas tenues [[ elle ne le sont pas puisqu’une société où…explosent les inégalités (surtout financières – les tellement faciles à…rectifier) est une société qui ne peut que mentir sur tout, promettre sans tenir et …dévier vers le toujours Pire…Là, ce ne sont 70 000 textes qui existent mais des centaines de…millions…qui, tous, affirment que le Pire de tous les modèles sociaux sont les plus…inégalitaires. Pourtant facile à comprendre, pas compliqué. Penser complexe c’est juste de centrer ses comportements (donc ses intimes pensées) vers revenir à l’égalité comme santé collective !]], que les prétendus nouveaux modèles économiques resteront marginaux, que les négociations internationales piétineront, que l’état de la planète et des ressources continuera de se dégrader [[ puisque tout dépend d’un état intérieur premier qui se doit d’être très insistant lorsque l’on a…un impact énorme sur autrui du fait d’être… Trop riches (d’être juste riches devrait suffire mais pas Trop à ce point… extrême !). Et tout découle de cet évènement premier. Tant qu’il n’est pas…installé rien ne…commence…Vive la pensée complexe qui Inclut tout ceci et tant d’autres élans positifs !]] . Les faits sont accablants [[ et il n’y en pas Un qui aille dans le sens des délires destructeurs des dirigeants. Théoriquement, ils ont tort à 100 %. Théoriquement, ils ont perdu et devraient donc adopter les comportements de modifications qui entérinent ces…faits !]]. Malgré l’impressionnante croissance des énergies renouvelables, on ne parvient pas ne serait-ce qu’à accompagner la croissance de la demande électrique : sur les 600 TWh supplémentaires produits en 2017 par rapport à 2016, 300 TWh l’ont été avec du solaire et de l’éolien, et 300 TWh avec… du charbon essentiellement. Il n’y a par ailleurs eu aucune dématérialisation de l’économie [[ toujours les mots pour ne pas…faire ; pour ne pas commencer à faire…lorsque l’on bute sans cesse sur un fait central…ce sont nos manières de vivre qui sont INADAPTÉES et seuls leurs changements substantiels conduisent aux…solutions…sinon c’est mêmes causes = mêmes effets !]]  – bien au contraire : sur les quinze dernières années, l’extraction minière de presque tous les métaux a progressé plus vite que le produit intérieur brut [[ ce qui ne parait pas du tout raisonnable…au point où ces…graves inadapté.e.s antisociaux considèrent comme non…raisonnables ceux/celles qui refusent ce délire de ne pas vivre raisonnablement ! Tout doit commencer…sinon tout…finira !]]. L’extractivisme s’accélère et il n’y a, à date, « transition » que dans les discours officiels sirupeux… et dans nos rêves [[ facile à saisir…la transition reste …transitoire, très courte, et ils…veulent en faire un état permanent…que jamais aucune solution complète (donc complexe) ne… commence.

 

Une révolution par le bas : Imaginons un instant ce qui serait faisable grâce à un réel engagement politique aux différentes échelles [[ la …décentralisation la plus complète est cet état de concrétisation. Et les gilets jaunes ont réussi ce coup magistral d’unir tout le pays (exceptionnel dans l’Histoire)…mais ils n’ont pas les moyens matériels d’y mettre le maximum de contenus. Ces moyens matériels…pris en otages, oui séquestrés par des incapables et des irresponsables qui…se prétendent tout l‘inverse. Mais comme il vient d’être vu les faits sont… accablants et ils sont tous contre eux…]]. On pourrait ouvrir dans chaque agglomération, chaque commune voire chaque quartier, des lieux de…réparation citoyenne, à l’image des repair cafés, des « recycleries – ressourceries » pour développer le réemploi des objets, la récupération et le recyclage des matériaux, des « maisons du bricolage partagé », où les riverains mutualiseraient les outils, échangeraient des fournitures et des conseils...[[ en effet et cela irait plus…vite dans une société ayant refusé les explosions d’inégalités ; une société de raison, donc décentralisée - soit là où sont possibles les apports concrets (prés de chez vous) de chacune et chacun qui peuvent enfin s’y déployer !]] On pourrait lancer des initiatives zéro déchet et d’économie (en ressources) dans toutes les administrations, les écoles et les entreprises publiques, en surfant sur l’engouement d’une partie grandissante de la population… citoyennes, citoyens, à vos composts de combat [[oui une société dite d’abondances (mais plus de liens sociaux et collectifs que de richesses matérielles personnelles (dont le attraits s’amenuiseraient même)…là où le collectif collecte si bien pour le répartir donc…partir !]] ! D’une manière générale, les dépenses publiques pourraient être réorientées afin de favoriser le travail humain et l’économie locale plutôt que la consommation bestiale d’énergie et de matières premières [[ aussitôt capté aussitôt impulsé dans …la décentralisation la plus effective. La bêtise centraliste c’est d’avoir en stock des idées et de se les…garder à pourrir donc dans le centre…d’inutilisations répétées !]]. Plutôt que de subventionner les industries high-tech et les projets numériques, le soutien irait en priorité à des initiatives concrètes, sources d'activités et d’emplois pérennes, de développement local, de lien social, d'amélioration de la qualité de vie, d’écosystèmes revigorés [[ il y en tant et piétinés par des personnages inadaptés qui ne savent pas…vivre !]] : ateliers de production à petite échelle (savons, produits d’entretien, cosmétiques, couture, produits alimentaires transformés…), services à la personne, activités culturelles et artistiques, entrepreneurs de l’économie (presque) circulaire…[[ que de bonnes idées et en…abondances…d’inutilisées et que de…blocages par de faux dirigeants qui ne dirigent rien puisque, avec eux, rien ne doit…commencer ! Toute la routine des siècles passés doit se poursuivre aveuglément dans le pire des Anciens Régimes de tous les temps ! Arriérés et inadaptés cela se nomme…jamais dirigeants...]].

La France, première low-tech nation : La France serait à la pointe de l’innovation. Mais une innovation différente, courageuse, incroyable, détonante, pas une innovation consistant à sucer la roue de la Silicon Valley et ses services numériques et interstitiels, ou à se pavaner une fois par an au Consumer Electronics Show de Las Vegas [[ en effet, toutes ces devantures politocardes qui encombrent des médias vraiment en…dessous de tout !]]. Une France low-tech nation plus que start-up nation [[la pire des absurdités du siècle – l’irréalisable qui ne fait que brailler !]], championne mondiale du zéro déchet et du recyclage ; une France décidant de son avenir commun et non serrant les fesses dans la compétition internationale et la jungle des avantages comparatifs de David Ricardo [[ dont l’inexistence autre… qu’idéologique est prouvée !]] ; une France sachant s’habiller, s’équiper, s’outiller et s’amuser sans réduire en esclavage des populations entières à l’autre bout de la planète [[ en effet - la pensée complexe c’est surtout ne rien compliquer !]].  Une transition [[ appelée à durer très peu dès que tout sera…commencé !]] à base de sobriété et de low-tech aurait en outre l’avantage de contribuer à apaiser les tensions internationales, actuelles ou à venir, sur les matières premières (cobalt ou tantale en République démocratique du Congo, lithium du triangle Chili-Bolivie-Argentine, terres rares chinoises, platinoïdes de Russie et d’Afrique du Sud…).

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Philippe Bihouix nous livre ici une réflexion à… contre-courant [[ donc souvent dans le vrai sens du courant – vérifions !]]. II vient par ailleurs de publier un nouvel ouvrage intitulé « Le bonheur était pour demain, les rêveries d'un ingénieur solitaire ».  Peut-être aurait-il mieux fallu remettre au goût du jour les outils conviviaux [[ et vivent les convives qui ne peuvent donc qu’être invités à tout…commencer ensembles et ensemblables !]] d’Ivan Illich, les technologies « appropriées » (intermediate technologies) de l’économiste Ernst Friedrich Schumacher, les techniques autonomes d’André Gorz, ou du moins éviter l’anglicisme et parler de technologies sobres, agiles, durables, résilientes [[ tellement plus sensuels dans la bouche que leurs piteux chewing gums ...insipides !]]… Quant à définir les low-tech précisément, accrochez-vous ! Le vélo, avec ses mille pièces élémentaires, est évidemment un objet bien plus durable, sobre, facile à utiliser et simple à réparer qu’une voiture bardée d’électronique et de métaux high-tech. Mais pour fabriquer le dérailleur et les câbles de frein, vulcaniser les pneus et les chambres à air, il faut des usines d’une haute technicité [[eh oui, la qualité n’est pas là où il y a frimes, poudres aux yeux, mais juste simplicités de caractères !]]… de même que les unités de production du simple bicarbonate de soude, à la base de nombreux produits ménagers à préparer soi-même dans une louable démarche écologique et zéro déchet.

Changer radicalement de modèle : Dimension systémique d’abord [[ commencer vraiment…c’est quitter aussi le vieux …modèle – celui que des faux dirigeants nous fourguent depuis des décennies. Pas compliqué à comprendre !]], car les trois mots d’ordre d’une démarche low tech – sobriété et économie à la source ; conception basée sur des techniques durables et réparables, les plus simples et les moins dépendantes possible des ressources non renouvelables ; conditions de production basées sur le savoir et un travail humain digne – s’appliquent autant et même plus au niveau collectif qu’au niveau individuel [[ c’est cela l’essentiel…le bourgeois méprisant et sans empathie déverse des tombereaux d’insultes et de calomnies sur les individus qui feraient tout mal et qui – seuls - devraient changer…et – puisque la société existe bien (encore une folie du néolibéralisme que de délirer l’inverse) – les changements massifs c’est elle…la pensée complète…dite complexe lui…rappelle sans cesse ! Ce n’est pas l’ascenseur c’est la société qui est…arrêtée depuis 30 à 40 ans. Clair ? ]], et visent d’abord à remettre en cause les modèles économiques et sociaux actuels [[ serait temps et aussi d’en…sortir concrètement – nous, fait, et vous ?]], avant même de s’attaquer à la « question technique ». (Re)mettre en place des circuits de distribution plus courts, avec moins d’emballages, de gâchis, de déchets, n’est pas une question technologique [[ en effet – tout fourguer à la technologie alors qu’elle vient…Après l’humain c’est ne jamais…commencer !]] : on sait depuis longtemps consigner et nettoyer une bouteille. Mais il faut s’organiser pour cela [[ en effet : s’o-r-g-a-n-i-s-e-r mais pas pour…des chefs pour… tout le monde…sans chefs particuliers sinon des organisateurs temporaires et des penseurs transitoires – pas compliqué à comprendre !- Ce pourquoi  le libéral libertaire à 2 fois immensément tort : comme libertaire c’est un Faux libertaire qui ne veut pas…la liberté des autres, de tout le monde…que la sienne minable…comme libéral il ne libère pas les libéralités…ces décisions d’empathies !]], avec un modèle qui fonctionne entre producteurs, transporteurs, distributeurs et consommateurs. On peut effectivement peiner à transcrire en actes concrets des idées radicales ou, au contraire, être très radical dans ses affects, ses choix de vie, ses modes de revendication, tout en théorisant très peu [[ trop…peu !]] ! Mais une stricte séparation du ­savoir et du faire semble artificielle, tant un combat ­radical est un faire savoir autant qu’un savoir-faire [[ et un …savoir-vivre…toujours le trop…omis ! Par exemple ? Le bourgeois si arriéré, si incapable d’être jamais progressiste (la définition macronienne c’est tout faussaire) a tout à…apprendre. Clair qu’il ne sait pas vivre…puisque sa pseudo vie c’est d’empêcher les autres de…vivre normalement !]]. C’est du moins la position du philosophe Cornelius Castoriadis : « La théorie […] émerge constamment de l’activité elle-même. Éluci­dation et transformation du réel progressent […] dans un conditionnement réciproque. »…et l’auto-élucidation permanente de  société par elle –même (oui elle existe) c’est le retour de la…santé mentale collective…que nous avions protégée vous savez…Donc le retour de la Libre circulation des idées …soit la fin désirée par tous des…censures censitaires. Lorsque l’argent qui ne sait Rien empêche la Libre circulation des idées ! et donc ? tout…commence !

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Dix-principes-pour-penser-dans-un-monde-complexe-

Comme ceci aussi !... « Penser dans un monde complexe [[ pas complexe…mais complet !]]… L’affaire n’est pas simple, et pourtant nécessaire pour tout décideur. En effet, la quatrième révolution industrielle apporte son lot d’incertitudes et de défis : économiquement, l’adoption rapide de nouvelles technologies (Internet sur mobile, intelligence artificielle, big data et cloud) conduit à repenser les modèles d’affaires et les formes de l’emploi [[ toujours les imprécisions extrême de répéter des mots tout faits qui empêchent de penser…en actes concrets ! – voir le texte précédent !]] ; socialement, l’évolution du travail et le développement rapide des réseaux sociaux d’information conduisent à repenser [[ pas vraiment dans ces conformismes qui refusent de…commencer à vivre pour DE VRAI !]] nos leurs modèles politiques et sociaux [[prouvés absolument faux et obsolètes…]] ; écologiquement, l’urgence climatique implique une métamorphose des modes de production…

Penser dans un tel contexte nécessite donc quelques beaucoup de changements indispensables. « Pour manager dans la complexité [[ il faut…arrêter de manager et passer à…autre chose !]], il faut modifier nos leurs schémas mentaux », expliquait par exemple Dominique Genelot, auteur du célèbre « Manager dans (et avec) la complexité ».[[ que nous ne soutenons pas car complexe c’est complettout le monde…et là cela n’inclut…personne que le trônant manager…donc échecs partout pétaradant !]]. Pour mener à bien ce changement, nous vous proposons dix principes essentiels tirés de l’œuvre riche du sociologue et philosophe français Edgar Morin, « l’Apollo de la complexité ». [[ disons que nous gardons les conseils mais refusons le désordre social actuel entièrement causé par les Casseurs qui s’autoproclament dirigeants mais ne le sont surtout pas…mais que de dangereux fauteurs de troubles !]]

1. Changez de paradigme

Tout commence et se termine par un changement de paradigme. Il s’agit de remonter très en amont, dans l’antre de « l’arrière-pensée » de toutes nos pensées, pour opérer un changement radical : celui du passage d’une pensée simplifiante à une pensée complexe. Ce nouveau paradigme, dont les neuf principes suivants participeront à en définir les modalités, repose sur une règle fondamentale qu’il convient de méditer. « Distinguer sans disjoindre et associer sans identifier ou réduire », écrit Edgar Morin dans « Introduction à la pensée complexe ».

2. Reliez

Prêt à changer de paradigme ? Alors commençons par le mot clé de la complexité, le verbe qui résume tout : relier. Étymologiquement, complexité renvoie au terme latin complexus qui signifie « ce qui est tissé ensemble » [[ tiens comme …solidarité…si solide solidaire !]]. Dès lors, pour « penser complexe », il faut s’astreindre à un travail de tisserand en reliant les points de vue, les disciplines, les niveaux d’analyse [[ les textes textiles des vrais écrivains sont aussi là pour ça !]]. Un tel travail de « reliance » implique un double mouvement. Le premier est physique : il faut sortir de ses silos, se déplacer vers l’Autre, aller voir ailleurs (vous y êtes sûrement) [[ et les connaissances existent pour…faire connaissance. Sinon pourquoi Svp ?]]. Le second mouvement est psychologique : il s’agit de faire preuve d’empathie, de compassion pour entrer dans le monde de l’Autre [[ et nous passions avec nos passions, dont compassions !]], le comprendre et parvenir à multiplier les points de vue. Ainsi, relier nécessite de se relier (mais ça c’est un autre sujet)…

3. Appliquez le principe d’irréductibilité

Relier ne suffit pas ! L’explication d’un phénomène complexe peut vite nous conduire à la quête de quelques facteurs pour simplifier… Mais il ne faut pas céder ! Ne réduire le phénomène à aucune des dimensions identifiées, suspendre le jugement, ne pas prononcer de verdict final, laisser place au mystère… C’est là le principe fondamental de la pensée complexe que Morin nomme « principe d’irréductibilité » [[disons laisser la place au futur pour que le futur puisse…être, être entièrement !]]. Pour comprendre l’Autre, ce principe peut s’avérer d’une grande utilité car il invite à ne pas réduire l’autre à quelques actions ou discours. Il renvoie à la définition que le philosophe Hegel donnait de la « pensée abstraite » : « Voilà donc ce qu’est la pensée abstraite : ne voir dans le meurtrier que cette abstraction d’être un meurtrier, et, à l’aide de cette qualité simple, anéantir tout autre caractère humain. »..Ne pas diviser mais bien…multiplier

4. Face à la contradiction, pensez dialogique

Relier sans réduire : que faire de ce principe face aux paradoxes, face à ce qui semble contradictoire et irréconciliable ? Que faire face aux contradictions objectives qui complexifient les organisations ? Si l’on s’en tient au principe de la dialectique hégélienne [[ pas la bonne…]], la contradiction trouve une solution dans la synthèse. Pour Morin, nul besoin de synthétiser ! Certes, il faut considérer les complémentarités mais sans chercher à effacer les contradictions. Ainsi, il faut adopter une double logique (d’où dialogique [[ ou pluri-logiques !]]) : penser simultanément les contradictions et les complémentarités [[ et laisse en son coeur infuser les solutions !]].

5. Dépassez la controverse agent/structure par l’hologrammatique

Avez-vous déjà entendu parler de la « controverse individu/société » ou « agent/structure » qui peut se résumer par cette interrogation : est-ce l’individu qui fait la société ou la société qui fait l’individu ? Reformulons la question en termes complexes : comment relier l’individu à la société ? Pour y répondre, Edgar Morin propose le principe « hologrammatique ». Dans un hologramme physique, chaque point de l’image comporte la totalité de l’image [[ dans le langage c’est PAREIL !]]. Ainsi, le Tout (l’image globale) est dans chaque partie et les parties sont dans le Tout. La société est donc dans chaque individu (par le langage, la culture…) tout comme chaque individu est dans la société (par son existence en son sein). Ainsi, le principe « hologrammatique » implique une vision dialogique : l’individu et la société, bien qu’antagonistes, sont complémentaires car compris l’un dans l’autre [[ l’un PAR l’autre !]].

6. Cherchez la récursivité en toute causalité

On peut alors se demander comment la société se retrouve dans l’individu, et vice et versa ? C’est là qu’un nouveau rapport à la causalité devient nécessaire ; un passage d’une causalité linéaire (qui obligerait à trancher entre l’un des propositions) à une causalité récursive qui pourrait se résumer ainsi : l’individu produit la société qui le produit.[[ et Moëbius das l’œil ]]. Ce principe de récursivité consiste à envisager tout produit comme un producteur [[ voir le texte…nous sommes produits, etc. ]] ou, en d’autres termes, toute cause comme une conséquence [[séquences..]]. On trouve une application intéressante du principe de récursivité dans la célèbre « théorie de la structuration » du sociologue britannique Anthony Giddens selon laquelle les actions individuelles produisent (et reproduisent) les structures sociales qui les produisent.

7. N’ayez pas peur du désordre

Nous voilà embarqués dans un mode de pensée qui peut vite laisser place au désordre… et donc accroître la complexité. [[ préJugé qui n’appartient qu’a ceux qui n’ont pas de vécu !]] Toutefois, ne cédons pas à la crainte : selon le deuxième principe de la thermodynamique, tout système tend vers le désordre (on parle d’« entropie »). Ainsi, penser la complexité implique de penser le désordre et non de le fuir. Ce désordre peut se révéler, comme lors d’une crise, la source d’un nouvel ordre.

8. Devenez stratèges

Les différents principes précédents soulignent bien la nature d’intelligence que nécessite la complexité. Ainsi, dans un monde complexe, il faut penser en stratège [[et ressentir aussi en primitif ]]. Se préparer à l’inattendu et développer une intelligence stratégique pour saisir les opportunités et faire face aux aléas néfastes. Comme l’explique Morin dans « Introduction à la pensée complexe » : « Le mot stratégie ne désigne pas un programme prédéterminé qu’il suffit d’appliquer ne variatur (sans possibilité de changement) dans le temps. La stratégie permet, à partir [[ répartir c’est…partir et tout faire partir…]] d’une décision initiale, d’envisager un certain nombre de scénarios pour l’action, scénarios qui pourront être modifiés selon les informations qui vont arriver en cours d’action et selon les aléas qui vont survenir et perturber l’action ».

9. Toute action est aussi un pari

Bien que « la complexité [ appelle la stratégie », l’action demeure un problème pour la complexité car l’action simplifie, tranche, réduit, exclut des possibilités par rapport à d’autres. Dès lors, on peut envisager le passage à l’action comme un « pari » éclairé par la pensée complexe [[ complète donc –  et AVEC ressentis…]. Cette notion de « pari » est essentielle pour se remémorer la dimension incertaine que comporte toute action et le parti pris qu’engage toute décision. Dès lors, comme l’a démontré le philosophe Laurent Bibard, il devient difficile de parler de bonne ou mauvaise décision ; seule compte le processus de prise de décision. Les actes valent par leurs intentions.

10. L’autocritique est une hygiène quotidienne

Dernier principe (et non des moindres) : plutôt que la critique, privilégier l’autocritique. Comme l’écrit Morin dans le sixième tome de « La méthode », consacré à l’éthique : « On ne peut vivre sans être partiellement bouché, bête, aveugle, pétrifié. Mais c’est à la clôture, à l’aveuglement, à la pétrification que l’esprit doit, intellectuellement, éthiquement, résister. L’autocritique devient ainsi une culture psychique quotidienne plus nécessaire que la culture physique, une hygiène essentielle qui entretient une conscience veilleuse permanente ».

La pensée complexe-complète est une véritable aide à la décision : « La pensée complexe ne résout pas d’elle-même les problèmes, mais elle constitue une aide à la stratégie qui peut les résoudre. Elle nous dit : « Aide-toi, la pensée complexe t’aidera »…Traverse et …à travers tout tu passeras… Un ressenti encore ?

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Projet-de-société-AVEC-nous-:

Notre peur la plus profonde
n'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur,

Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toutes limites.

C'est notre propre lumière et non notre obscurité qui nous effraie le plus.

Nous nous posons la question...
Qui suis-je, moi, pour être brillant,
radieux, talentueux et merveilleux ?

En fait, qui êtes-vous pour ne pas l'être ?
Vous restreindre, vivre petit,
ne rend pas service au monde.

L'illumination n'est pas de vous rétrécir
pour éviter d'insécuriser les autres.

Nous sommes tous appelés à briller, comme les enfants le font.
 
Nous sommes nés pour nous rendre manifeste
Et, au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière,
nous donnons inconsciemment aux autres
la permission de faire de même.

En nous libérant de notre propre peur,
notre puissance libère automatiquement les autres….

Marianne Williamson

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Le complexe ce n’est pas compliqué - c’est penser à tout le monde…à la fois. En tâchant de n’oublier personne. Bon pour le plexus…si nous vivions dès le plus jeune âge dans un bain de débats permanents, l’auto-élucidation de la société par elle-même, oui ce tissu de conversations multipliées, plus personne n’aurait de …complexes. Le vrai complexe pas compliqué aurait triomphé !

S’en remettre à la technologie pour …tout régler ne nous parait pas sain…Seul l’humain peut aider l’humain en ce qui concerne tout l’invisible des mécaniques des sentiments et des besoins psychologiques. Pour nous - la pensée complète (dite, par erreur, la pensée complexe) c’est celle du...cœur. Non celle de l’avidité monétaire toujours plus inacceptable puisque…une anti-pensée. La part scientifique de la pensée complexe est connue et nous n’en avons parlé qu’incidemment ici. Seulement la part humaine et sociale - que ce gouvernement… si incomplet en tout (que les mêmes clones non représentatifs) aura…tant expulsée –

…………………………………représente désormais TOUT le futur !

 

………(à suivre)

…………………………….%%%%%%%%%%%%%%

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

                    Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

les arbres ont déjà vraiment...commencé !

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Tout doit commencer…sinon tout…finira !
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Tout doit commencer…sinon tout…finira !
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une compilation de complications...

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Tout est dans tout...

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Philippe Bihouix…un penseur plus complet…

Comment prévenir d’une prévention ? Quand la pub fait de l'humour noir !

Introduction à la pensée complexe, avec Laurent Bibard. Trop compliqué ?

Les universités font des recherches sur tout sauf sur elles-mêmes …..François Taddei

Jean-Marc Jancovici et Philippe Bihouix : la rencontre de 2 penseurs plus complets…

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