C’est ce que nous disons…

Invincibles dès qu’on se dira nous ? Oui, le plus naturellement du monde se sentir collectif, un nous qui noue tout…sans forcer, sans même faire exprès. Lorsque le Je disparaît, se floute, s’évanouit sans traces et que le Nous devient tout solaire… une mutation vient de s’ébranler parce que nous le valons mieux et mieux nous valons et plus nous dévalons. Les extrêmes se rejoignent. Les contradictions, corporellement, savent toutes les dictions. Plus rien ne s’emmêle, ne pagaie bégaie. Tout dire droit lorsque chaque mot, mais mot, chaque ouvre une porte…et, derrière, du jamais vu, jamais entendu, jamais su, jamais dit non plus…Plus de non que des oui. En somme, Nous c’est oui à tout et partout c’est tout.

Invincibles-dès-qu-on-se-dira-nous

Et si nous nous sentons dans le «le soulèvement de la jeunesse» appartenant à l’idée du… « prolétariat externiste (le prolétariat déserte de plus en plus une classe ouvrière toujours plus intégrée et se concentre chez les jeunes et tous ceux qui se vivent comme étrangers à cette non-société)

A-la-rencontre-de-Marc-'O

Le secret des affaires, c’est que tout marché est double : il y en a un pour les caves qui achètent à plein tarif, et un autre pour ceux qui font le marché et où tout se négocie pour une bouchée de pain, en comparaison [[ l’argent gratuit pour ceux qui n’en ont absolument pas besoin – et l’argent trop cher pour les nécessiteux, dont les nécessités démantibulent tous les édifices de fausses raisons…le macronisme est un extrémisme malsain ! Sa violente cruauté antisociale ne passe plus du tout désormais !]]. Le secret de la culture, c’est qu’elle est elle aussi double : il y a la production pour la masse, les succès et les flops, la célébrité et ses ratés, et puis il y a le lieu obscur où les techniques, les formes et les figures s’inventent [[fausse description – ces lieux, pas ce lieux sont illuminés de lumière solaire …ils sont seulement obscurcis par des pitres qui haïssent tout le monde. En commençant par elles/eux-mêmes !]]. Il est du plus grand intérêt pour ceux qui prospèrent dans le trafic de marchandises culturelles [[ exactement…trafic comme trafic de drogues, de faussetés et d’éloges des seuls faussaires…]] que l’existence de cette sphère dite « d’avant-garde » soit réduite à l’état de vague rumeur, et de légende à destination des « connaisseurs » [[ sauf que la réaction est POSSIBLE : tout un.e chacun.e peut faire des photocopies en abondance, peut les offrir à chacune de ses sorties, peut en laisser dans certains endroits, peut contrer tous les dégâts de ces obscurcissements…peut en diffuser les liens sur internet…peut tellement plus que le misérable et si étroit immobilisme que la plupart s’octroient ou…s’enterrent dedans. Nous le faisons sans attendre aucune autorisation et jamais ne nous cachons derrière un…mais les autres ne le font pas. Entre les vils trafiquants de la culture, si paternalistes et Crs dans leurs comportements, qu’ils/elles privent de culture tous les autres et… les fantastiques passeurs de merveilles, nous n’avons pas hésité une demie seconde. Ils méritent tant de respects. Nous savions notre attitude minoritaire (puisque exigeant un léger…effort !), elle le devient toujours moins…nous n’avons pas (et ne le voulons pas) faire la morale aux autres …Mais, sur le fond, clair qu’il y a trop de personnages qui «aident» (le sachant ou ne le sachant pas) les flics de la pensée, qui balancent trop dans les injustices des censures par l’argent, qui ne font pas grand chose afin de rendre la vue plus belle à tout le monde, tiens pour ces inconnus, à ces prétendus étrangers qui ne le sont pas du tout…Bref, qui sont du pire côté des côtes. Oui ? Eh bien ces hyènes qui se vêtent en moutons ratent Tout en fait, l’essentiel, la beauté et ce qui nous élève et nous soulève. Leurs actes ne valent juste rien même s’ils nuisent !]]’, . Que le lieu où tout s’engendre soit tenu socialement à la marge, il faut reconnaître à Marc’O qu’il a réussi à se tenir avec constance [[ voir les vidéos ]], pendant plusieurs décennies, au plus près de la source ; si bien qu’il peut faussement sembler qu’il a presque « tout inventé » dans l’art et la politique de la deuxième moitié du vingtième siècle.

Manifeste-du-soulèvement-de-la-jeunesse.pdf      Le soulèvement de la jeunesse

C’est une affaire entendue : nous ne sommes que des lieux [[ oui mais des lieux sans lesquels Rien ne peut avoir lieu…si tu ne te sillonnes pas, jamais un sillon ne deviendra fécond. Nous sommes pour nous toute l’immensité des inconnus, aucun étranger (faussement dénommé ainsi) ne nous est plus étranger que nous-mêmes tant que n’avançons pas mieux, tant que l’aventure de vivre à fond Avec nous n’est pas née en nous !!]]. Nous sommes les enfants de nos inventions, et non l’inverse. Une création qui se produit, c’est un lieu qui se contracte. Un être se retire, advient une « œuvre ». Tout procède du vide que l’on aura su faire [[très justement parce que œuvre vient de…ouvrir, que d’ouvrir son meilleur en soi, de conjuguer le verbe « ouvrier » à… vous l’ouvriez est à la portée de tous les cœurs intrépides et que le jeu de rendre tout le monde libre vaut qu’on y mettre le maximum de jeu. Plus nous créons d’émancipé.e.s par rapport à tous les vains pouvoirs plus la vie devient intensément ardente…]]. N’importe quel kabbaliste sait cela. Mais la question demeure : s’il n’y a pas de sujet d’aucune création, si ce n’est pas là une surabondance intérieure qui s’extravase, si toute expression naît d’un état de disponibilité à ce qui se produit ici, maintenant, et non de quelque intention préalable de mise en forme venant s’imposer au monde, alors qu’est-ce qui fait que certains, tout au long de leur vie, se trouvent systématiquement au plus près de la source, au plus près des sources successives où l’époque s’engendre et se rend sensible à elle-même - elle dont l’aveuglement forme la plus constante signature [[c’est parce que de préférer ressentir que l’étranger ne l’est que tant que nous ne l’abordons pas, que l’inconnu ne l’est plus si nous avons la reconnaissance qui précède la naissance et que donc nous basculions dans l’expérience par soi-même. Nous devenons (de ce fait) toujours plus expérimenté.e.s. Ce qui se dit ayant le plus de ressentis, accumulant le plus de vécus. Pourquoi faut pas ? Eh bien, nous ferons quand même !]]. Et quel intérêt y aurait-il d’aller à la rencontre de ce qu’il reste du lieu où s’opérèrent plusieurs de ces rencontres fortuites, mais décisives  [[ disons l’honneur puisqu’il y tant de faux dirigeants (et dans tous les domaines) sans honneur? Redisons le panache puisque l’élégance du cœur reste la seule mode non indigne à suivre…ce qui croise, par exemple, que pas un humain n’ait une vulgarité de cœur si crasseuse qu’un bourgeois-voyou qui te dégaine le politiquement correct alors que lui demeure  plus qu’Incorrect mais dans tous et tous les domaines. Ne sachant pas une seule fois vivre ! ]] N’est-ce que fétichisme [[ chacun.e se termine ou commence dans le choix de ses mots. Celui de l’enfilade de tous ses mots…la liberté d’expression débute, d’ailleurs, par foutre le maximum de libertés dans ton expression. Refourguer les regards de matons ne fait pas partie de ces libertés à …offrir !]] ? Converser avec l’un de ceux que l’on associe à des productions qui nous ont accouchés à nous-mêmes [[ très bien dit, dommage d’avoir encerclé par des préjugés mal jugés !]], est-ce quelque chose comme se branler dans une culotte de Marilyn Monroe ?

Et ceux que l’âge et le trop peu de vitalité restante accule à jouer les sujets de leur propre biographie, à devenir l’anecdote de trop dans un tissu d’anecdotes mal mises en scène, y a-t-il un sens à les écouter [[ c’est tout stalinien : on aligne des assertions et on les déverse sur le refus des dialogues…on peut avancer en âge et avoir très réussi une vie SANS biographie (elle échappe à tout flicage, impossible de ;la caser, de la cerner, de lui apposer une…étiquette, oui ducon ça existe !) ; on peut demeurer toujours plus jeune que les autoproclamés plus jeunes…L’asservissement commun reste de séparer tout le monde de tout le monde, de foutre dans des stalles de séparations (femmes-hommes, vieux-jeunes et autres puérilités). Jamais, même dans les moments de fatigue, nous n’avons séparé personne de ses potentiels, devenir le tueur sournois des autres même à mots mouchetés, non cela fait partie du sordide à éviter. Eh bien ? Nous maintenons même si nous n’étions qu’un dernier Nous parmi tous les Je  indivis duels qui se noieraient en leurs minableries de trop de trahisons !]] ? Le processus réel du vieillissement n’est peut-être que cela : une perte de mobilité intérieure due à l’encombrement progressif de l’être par l’ensemble des faits dont il voudrait se croire le créateur, ou au moins le sujet [[ à peu près n’importe quoi – le vieillissement est de chasser la liberté indomptable et inenfermable, oui toute la liberté, de soi…et nous avons croisé des vieux de 15 ans, morts à eux-mêmes à jamais ; et nous croisons des enfants de la spontanéité et de la générosité de vivre toujours joyeux…de 80 ans. Que les indignes bourgeois nomment « donner des perles aux cochons ». Signifiant que (se vautrant comme des pourceaux) juste qu’ils veulent le monopole illégal de ces perles leur revienne. Eux qui en restent plus qu’indignes ! C’est d’ailleurs ce qui se passe dans la vraie culture : sans la COMPLICITÉ active des foules, les censures ne fonctionneraient pas du tout. Et point barre. Avoir l’honneur de vivre…restera toujours hors de portée des Trop riches qui s’éteignent dans leurs aigres amertumes d’incroyables jalousies envers ces…pauvres artistes, ces si censurés êtres. Y’a vraiment pas de quoi être jaloux de ces traînes famines ? Pour eux oui, ces grands (sic) bourgeois, ils crèvent de ne Pas vivre comme ces libres cœurs et donc opèrent par censures censitaires : que personne ne les connaissent et que tout le monde n’ait que nos tristes figures afin de désespérer sa propre vie. Tout ceci est évitable nous le redisons…tout le monde peut se foutre à diffuser ce qui est …empêché de diffusion…à la portée de toutes les vies !

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L'histoire-de-Jerome-Laronze-montre-que-la-disparition-des-paysans-est-un-choix-politique

Cette histoire vous sert plus largement à poser les problèmes du monde paysan. En quoi n’est-elle pas qu’un fait divers ? Guillaume Cayet - Cette histoire montre que la disparition des petits paysans est un choix politique, donc que ce choix politique est évitable [[ que tant de douleurs et de drames semés par les indignes costards-cravates n’auraient jamais dus se passer !]]. L’histoire de Jérôme raconte quelqu’un qui dit non à un système qui veut l’engloutir, comment, dans ce système de plus en plus néolibéral [[et si ce système méritait vraiment de durer, il ne deviendrait surtout pas aussi paranoïaque dès que quelqu’un lui dit non. Les politocards à courte vue n’arrivent pas à capter (tellement ils sont à l’arrière de la vraie population, à la traîne, en retard. Ils ne sont donc plus…avant, devant, à guider)… oui ils n’entendent plus qu’user à outrance de la police et des injustices c’est détruire le système que l’on défend, lui donner tort, le coincer dans la mauvaise image. Pas de pire contre- publicité. Si des ennemis du néolibéralisme voulaient discréditer à fond le néolibéralisme eh bien, ils agiraient comme les…macroniens !]], on est obligé de répondre à des normes de plus en plus strictes parce qu’elles sont faites pour de gros groupes, pour l’agrobusiness [[ sauf que ces normes sont à sens unique – où sont les normes contre les poseurs de normes ? Pas de normes afin de limiter ces dangereux factieux qui Cassent tout par le haut !]]. C’est la première chose.

La deuxième est qu’elle permet de faire le lien entre les consommateurs et consommatrices et les producteurs et productrices, et de montrer que l’on est beaucoup plus responsables que ce qu’on imagine de ce que l’on met dans nos assiettes [[ à tel point qu’il devient Facile de comprendre que de niquer tous les intermédiaires va refoutre de la pleine Santé dans les assiettes : plus que des rapports directs cultivateurs-humains qui mangent, producteurs-consommateurs, moins les indignes hyènes qui ne pensent qu’à leurs indéfendables intérêts (souillés de tant de cupidités) pourront crucifier des normes. C’est à la portée de tout le monde. Ainsi, nous sommes depuis toujours. Nous n’attendons personne. Mais, tout de même, que les humains sont longs à la détente. Quitte le système et (à la seconde) le système te quitte. Et ne pourra plus jamais te mettre la main  dessus. Quel plus gigantesque avenir commun que de s’émanciper tous ensembles ? Ah bon, t’avais mieux et tu ne le disais pas…donc t’as pas mieux…Émancipons nous et l’alimentation deviendra enfin Sacrée. Nul-le ne pourra plus la salir par des profits anti intérêt général. Simple, non ?]]. Cette histoire dit en miroir aux consommateurs et aux consommatrices : « Si vous voulez payer votre assiette moins cher, regardez les conséquences. »[[ Payons directo les paysans - sûr que ce sera…avec la note totale – vraiment moins cher !]]

Seule en scène, une comédienne joue la soeur du paysan décédé. Un côté très intime et quotidien de la vie paysanne est aussi mis en scène. Pourquoi ? G.C. :  Une phrase ponctue le texte : « Entre le paysan et son oreiller, il y a… » et finit par « entre le paysan et son oreiller, il y a un meurtre commis par le sommeil sur les rêves» [[ eh oui, les artistes cela SERT vraiment…éloigner un moment le cuisant de la douleur y placer des mots justes qui dénouent tout ce que le fait de se faire molester chacun –e dans son coin par un système de minables qui tirent tout vers le bas c’est devenir simples Vainqueurs. Brecht, malgré les censures, a vraiment…triomphé ]] . C’est cela qui m’intéressait, comment l’intime, le privé, est politique. Et puis la pièce ne veut pas faire une hagiographie de Jérôme Laronze, dire qu’il était un saint. Elle raconte la vie d’un paysan avec, aussi, ses travers. L’intime permet de complexifier. Quelles ont été les réactions du public aux premières lectures avant la tournée ? G.C. : L’histoire est tellement sidérante que les gens sont bouleversés. Ils sont étonnés de ne pas en avoir entendu parler. Mine de rien, comme pour Rémi Fraisse, le fait que cela se soit produit sur un corps blanc et pas un corps racisé change beaucoup de choses. D’un coup, la violence policière est partout, plus personne n’est à l’abri. [[ c’est cela même…]] (…)

G.C. : Enfin, il y a un retour comique concernant l’avocat du gendarme. Il a réagi dans les médias et je l’ai introduit dans la pièce. Comme le titre est Neuf Mouvements, il a dû penser que c’était une comédie musicale, ou un ballet [[toujours tout utiliser afin de niquer le système…puisque (sur la distance) les attaques frontales, exhibitionnistes et trop narcissiques…n’apportent rien !]]. Donc il a dit que l’on n’avait pas à faire un barnum de cette affaire, que, bien sûr, il y avait une victime, mais qu’il y en avait d’autres, le gendarme et sa famille, et que pour ces gens, on ne pouvait pas se permettre de raconter l’histoire alors que l’affaire est encore en cours. Ce qui est intéressant et militant dans la pièce est justement de prendre parti sur une affaire en cours [[ sans que cela ne paraisse ]]. Et la réaction de l’avocat est, finalement, très valorisante car elle signifie que l’adversaire croit plus à la puissance du théâtre que nous [[ ce pourquoi les censures nous paraissent si Ridicules…elles foutent de la magie immédiate là où il n’y a qu’un parcours…naturel très long. Pour nous, les censeurs sont des Inadaptés qui n’ont jamais rien vécu…]].

Que vous a apporté l’histoire de Jérôme Laronze dans votre travail sur les violences policières ? G.C. : Mon travail sur les violences policières a beaucoup découlé de pensées théoriques, notamment de celle de la sociologue Elsa Dorlin. Cette dernière dit que quand un corps essaye de se défendre, il est rendu indéfendable [[ toujours aller derrière les apparences ]] C’est vraiment l’histoire de Jérôme, mais aussi celle d’Adama Traoré, de Lamine Dieng, où à chaque fois on a voulu criminaliser la victime [[ ce qui, à l’évidence pue l’infantilisme ]] et la rendre indéfendable. C’est horrible de constater que la théorie et la pratique entrent totalement en adéquation. Cela montre que l’État, et sa violence [[devenue illégitime comme le futur va le prouver !]] légitime, produisent des rapports similaires sur les corps qu’il veut dominer [[ ce qui est surtout…une maladie mentale …]]. Tout cela relève d’une même logique d’écrasement des classes laborieuses. Cela rejoint également ma réflexion sur la métropolisation et l’urbanisation à outrance, qui ne créent que des principes sécuritaires, qui eux-mêmes créent une police de plus en plus répressive, donc de plus en plus violente [[ c’est eux le cercle vicieux – le cercle vertueux est donc de ne jamais penser comme eux !]].

Comme le sujet en est très politique, la pièce est-elle difficile à diffuser ? G.C. : Cependant, je trouve que le théâtre a aujourd’hui un problème : souvent, il se veut politique, montre des conflits sur le plateau, mais, à la fin, les réconcilie [[ tout est truqué, ça fait trop truc machin…]]. Tout cela va dans le sens d’un effacement des classes sociales [[ sauf qu’elles surgissent avec une barbarie hors du commun dans les violences policières et les injustices pires que tout…qui rejaillissent sur les classements…Depuis Macron la France a nettement régressé…ce que les vrais progressistes ne commettraient jamais !]]. En sortant du spectacle, les gens se sentent contents et vont boire un verre. Cela va avec le problème qui est que le théâtre, aujourd’hui, s’adresse à une élite blanche plutôt vieillissante [[ ne jamais ôter de sa tête 2 petites choses…1) – la base sociologique des médias dominants c’est que…11 % de la population …et 2)** – les médias centralistes étaient formatés pour vanter les 30 glorieuses, le…consumérisme fou, la montée des classes moyennes avec la « distinction » (copier la « culture du haut »). Et alors que nous avions changé d’époque, que n’ayant RIEN  changé dans leurs présentations, cela a été de mettre de …huile sur le feu qui a allumé…les gilets jaunes (vous voulez dire que Sans l’oubli méthodologique des médias endormis, il n’y aurait pas eu de gilets jaunes ? Il y a de ça, un autre mouvement moins virulent, moins ancré dans ses certitudes existentielles, ayant une  base arrière plus réduite qui aurait fait qu’il n’aurait pas pu durer. Là à vue de nez ils en ont pour la décennie ou plus : quoi ils vont enterrer le macronisme et autres et nous Reforger une nouvelle France ]]. Très peu d’ouvriers et de racisés [[ soit « de la bonne race »]] vont au théâtre, et les agriculteurs, n’en parlons pas ! Le théâtre que l’on revendique n’est pas du tout cela ! On ne veut pas mettre les gens d’accord [[ surtout pas…les dissensus fécondent l’avenir. L’avenir n’est surtout pas un…passé reproduit à l’identique…seuls les plus que fous de bourgeois (la preuve ils continuent à s’auto-ligoter dans les si anti-fonctionnels costards cravates…l’uniforme ridicule d’un clergé toujours plus rejeté !) s’y enlisent encore.

Ledésordredeschoses/9-mouvements-pour-une-cavale

« Fervent défenseur d’une agriculture privilégiant la défense du vivant et militant contre le puçage et la traçabilité des animaux, Jérôme était depuis quelques années dans le collimateur de la D.D.P.P (Direction Départementale de la Protection des Populations). Le 11 mai 2017, Jérôme prend la fuite à la suite d’un contrôle sanitaire, sans qu’aucune violence n’ait été commise, avant d’être abattu neuf jours plus tard par trois balles de la gendarmerie, au volant de sa Toyota [[ ce que rien ne justifiait et sans que, depuis, rien n’a pu justifier ]]. L’affaire ne retient pas l’attention des médias »…Ce qui fait perdre toute…justification à la poursuite de tels médias qui ne sont plus qu’une Nuisance anti-humaine et antisociale.

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La-France-au-plus-bas-du-classement-pour-sa-Justice

La France au plus bas du classement justice : les drames humains que recouvre ce constat [[ et ce n’est qu’un tout début : une vague de fond est en train de pointer dans le pays. Les françaises et les français ont plus que HONTE de l’injustice dominante qui défigure tant la Justice que tous méritent tant. Notons que ceci était décrit dans les livres du site que nous défendons…et en accès gratuit car ils appartiennent…à la bibliothèque du futur…celle qui va vous accoucher de vous-mêmes !

« Ils ont le droit de démolir des familles, de détruire des existences, mener à la ruine des entreprises, briser des carrières, conduire au suicide des concitoyens sans crainte d’avoir un jour, à en rendre compte, à payer pour leurs fautes » 

ils se nomment les magistrats, et leurs exactions sont légions [[ imbattus, partout où est la Loi, nous ne les trouvons plus. Sauf au bout des prochaines saisines ?]]. Bien sûr, la légende au classement accablant qui vient de tomber présente les choses de façon aseptisée : petits budgets, manque d'effectifs, etc. Il n'y aura jamais de reconnaissance officielle de ce terrorisme d'état  « ignominieusement » couvert par la classe politique, seulement des incohérences flagrantes propres à toute propagande d'état. Pour que naisse une prise de conscience, voici des cas concrets de drames humains sur lesquels se bâtissent les carrières de sociopathes assermentés. Ils sont extraits du rapport dit Jean Lassalle à l'origine de la défunte proposition n° 3676 pour la création d'une commission d'enquête. N'attendons pas le traficotage de la loi 1881 voulue par la macroniste pur-sang Nicole Belloubet pour nous réveiller ! »…Exactement…Les non-médias délaient que le gazage des écologistes soit signalé… « scandaleux » par les ex-socialistes et les si peu-écologistes alors que jamais de jamais ils ne s’étaient scandalisés pour les vraies violences policières qui mutilent en vrai les gilets jaunes ! Alors des gazages non mais, un peu de tenue ! 

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Poutine-la-philosophie-libérale-a-échoué/

« À vrai dire, a-t-il affirmé, l’un des problèmes majeurs aux États-Unis, mais aussi en Europe, est que « les apparatchiks au pouvoir se sont détachés de la population. » [[l’anachronisme des formulations nous parle…]]. Que l’on soit ou non d’accord avec l’idée de Trump, d’édifier un mur le long de la frontière avec le Mexique, « il cherche au moins des solutions, » a dit Poutine, alors que les défenseurs des fameuses valeurs libérales « ne font rien, » [[ quelle insolence dans la vision des choses ; mais quelle justesse dans les descriptions !]] et assurent que tout va bien, bien qu’un nombre sans précédent de migrants arrivent en franchissant leurs frontières. De ce fait, la philosophie libérale est devenue obsolète [[ le macronisme c’est un  vieux machin tout rouillé, inutilisable…surtout pas un monde nouveau…tout est ancien et périmé dans cette non-philosophie qui s’est trop vite avouée dans ses si…évitables ultras violences policières !]]. Elle est entrée en conflit avec les intérêts de l’écrasante majorité de la population [[ oui les marginaux antisociaux du macronisme ne représentent plus personne. C’est ce que disent les…vrais sondages !]].

Constatant que la même chose se passait en Europe, le président russe a confié que les autres dirigeants avec qui il s’était entretenu, disaient que rien ne pouvait être fait, à cause des lois. « Eh bien, changez les lois ! » leur avait-il fait remarquer [[ en effet – sauf que la plus que stupide oligarchie européenne ne les change pas mais…les rende pires encore…le toujours plus du même qui rate toujours…utilisé uniquement par qui a tort et ne commet que des torts !]]. Cela ne signifie pas que les idées libérales – ou toute autre – devraient être proscrites ou censurées, a conclu Poutine. Même la philosophie libérale ratée, a-t-il reconnu, « a le droit d’exister et devrait même être soutenue dans certains cas. Mais vous ne devriez pas penser qu’elle a le droit d’être le facteur dominant absolu. C’est le problème [[ la bourgeoisie absolutiste, pire que les royautés, se trompe d’époque. Le problème dramatique devient que tous les talents existants du pays s’éloignent à tire d’ailes de ces graves incompétents…et que le pays réduit aux médiocres ne peut plus…fonctionner !]]. » « Diverses philosophies et opinions devraient avoir la chance d’exister et de se manifester, » tout en gardant à l’esprit les intérêts du grand public. « Ensuite, me semble-t-il, nous pourrions… éviter les bouleversements politiques majeurs. » »…Assez incroyable non ? Si de telles paroles n’existaient pas, il faudrait les …inventer. Sauf que…

--- ** Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Oui ? Ceci sont Nos victoires avérées, celle du blog – tous  ces préJugés que nous avons vaincu, ces travers que nous mis en chemins de traverses, etc. Et donc ? Interpellant, tout de même, que Poutine rejoigne de telles analyses (nous n’avons rien à voir  avec Poutine) mais, en fait, le dise moins…bien que nous…

……………………..Sans doute est-ce dû à la traduction !

…..……..……………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

         Que l’immense détermination collective nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

       tous ces textes quotidiens sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu