Quoi quoi que que quoique
Quel qu’un serait quelqu’un, à l’unité près ? Que un, que une…Personne n’est quelqu’un, un, mais quelqu’un reste une personne, avec une personnalité, une particule particulière, une individualité renforcée ? Quoique quoi ? Que découvrons-nous là ? Oui rester coi coince quoi ? Encore que ! Le quoi comme coincé en quelle conque ? Car quoi de moins pratique que de ne pas avoir de carquois. Car quoi ? Pour toutes les flèches lancées, aussi pour les flèches fléchées, les directions prises ou bien les dires aux syntaxes comprises ! Nous avons déjà parcouru un certain nombre de textes sur les pronoms, prépositions et les conjonctions pour avoir ressenti à quel point (avec les verbes) le langage s’y dénoue devant nos yeux…Le langage tel qu’en lui-même : le seul qui nous intéresse ici…C’est bien là qu’il avoue le plus jusqu’où sa structure nous mène, jusqu’où nous transporte le gigantisme de sa métaphore même. Et aveu c’est avoir…2 liens afin de vérifier mais en tant que dé-lectée lectrice ou dé-lecté lecteur (un tout de suite – et l’autre vers la fin !), vérifier toutes nos avancées ensembles !
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« Le pouvoir se fait à coup de secret, c’est pourquoi il est «tourbillon d’hilarité et d’horreur». Le sujet de l’expérience peut passer sans transition et constamment de l’une à l’autre sensation, là où en général ne règne qu’une reconduction [[recondition aussi…]] du malaise. Ça hésite en bavardant du malaise : purgatoire quotidien. Mais Sade, lui, en écrivant, trouve la formule même : «tout est paradis dans cet enfer». Il faut entendre paradis comme on dit «tragédie», «comédie» [[ des tâtonnements vers un but même pas énoncé ?]].
Le fond, eh bien le fond, le fond, le fond, que voulez-vous, le fond, le problème, c’est toujours le même, depuis que Nietzsche l’a nommé par son nom : le nihilisme. On ne peut pas ne pas constater qu’il fait rage, philosophiquement, socialement et psychanalytiquement rage, et littéralement rage, journalistiquement, radiophoniquement et téléphatiquement. Donc, il y a un délire à traverser (Artaud, Céline) un détachement à trouver (Joyce). C’est un jeu d’enfant, en cours de route, de se substituer aux substituteurs, d’imiter les imitateurs, de plagier les plagieurs, de renévroser les névroses, de psychotiser les psychoses, et surtout, de déféticher les féticheurs, de réensorceler les sorcières et les envoûteurs insconscients, bien sûr, peu importe [[ à qui veut tout réduire à néant lui offrir une abondance de raisons d’abandonner cette insensibilité…insensée !]]. Bref, il faut relire la Tempête, et autres qui scandalisent le plus et choque le plus intimement leur incroyable pudeur [[qui semble ne pas se connaître et reconnaître du tout !]]. Incroyable, parce que cette pudeur se croit affranchie alors qu’elle barbote dans une obscénité élémentaire qui va de l’obsession du cadavre à l’opaque misère de leurs organes chauffés, réchauffés, glacés en contreplaqué, avec le cortège habituel de culte en occulte, et tous ces mythes, dieu, toutes ces rêveries sur fond-mythe, éternel retour d’un phénomène qui se prendrait pour le retour éternel, lequel reste difficile, très difficile, très abrupt, très dur. Et en même temps si facile. Facile
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Cadence-musique//images/.pdf Jean-Pierre Blivet
«Il y a dans l’homme un vice fondamental ; il est indispensable de le dépasser. Essaye !» Ou encore : « dès que l’homme s’est parfaitement identifié à l’humanité, il commence à mouvoir la nature entière [[ ceci semble tellement plus gigantesque à vivre. Entrer entier dans l’Humanité c’est recevoir la Nature en main…pourquoi y aurait-il si peu d’ambitieux/ses de cette eau ?]] ». On peut d’ailleurs laisser tomber ici la nature et « l’homme », mais il est clair que lorsqu’on parle de l’« affolie » de Nietzsche disant «tous les noms de l’histoire, au fond, c’est moi», on se dérobe au sens d’une expérience qui invente à travers cette traversée des noms à la fois une autre histoire et une autre énonciation [[ quoique – mot d’objection appartient bien à ces objections qui possèdent plus d’Objectifs objectifs que ce à quoi elles rétorquent !]]. Voix derrière la voix, intervalles vides martelant la voix, voix rassemblant des voix dans les accents de leurs traces, table rase et cylindre, roue et infini du volume remis à plat, sortie du cadre, de tous les cadres-séquences, fantasmes cadrés, frontalement encadrés pour l’écran d’on ne sait quel cinéma. C’est à l’écoute [[ et ses écoutilles que nous manions en tant que directions à prendre…]] que ça va se jouer, et de plus en plus vers une quatrième oreille, la troisième se bouchant et se rebouchant entre fauteuil et divan. Tout ce qui s’écrit, se publie, relève du coup du ciseau de l’analyse, et l’inflation actuelle comme exhibition et sursaturation montre bien que l’époque le sait confusément [[ le sait qu’elle n’emprunte pas la route du vrai savoir. Le si facilement reconnaissable : il est, à la fois, sensuel ET sensé,..Il ajoute et ne retire pas. Il ne dénigre pas, il fait mieux. Il remplace les faussaires au pouvoir et se maintient…parce que le savoir a une saveur qui offre l’éternité dans la bouche ! Et que rien de marchand ne peut se hisser à cette hauteur. Prendre sournoisement les mauvais chemins, et le brailler afin que cela ne se sache pas ou peu…ce n’est que pisser sur soi-même. Au fond ! C’est que soi-même qui est floué, trompé, roulé dans la farine, perdant.e par sa seule faute …et quoi que tu fasses ce n’est pas toi !]]. Mais que l’interprétation analytique soit vraie à cent pour cent, laisse intact le problème du nihilisme, dont les trois têtes s’appellent politique, art, religion [[ trop abstrait pour correspondre…vous savez aux…respondances !]] ! Forcer l’écriture à être au-delà de ces trois impasses, et à être le sens percutant montrant ces impasses, et un sens qui ne dit pas ni oui ni non mais complètement oui dans le non, pourrait alors entamer deux mille ans d’histoire et transformer le vieux genre apocalyptique en féerie d’un rire comme il n’en a pas été ri. »…En effet, c’est nettement mieux qui la bourgeoisie qui s’achève si minablement dans son…absolutisme pire que le royaliste. Vous vous rendez compte ils pensent mériter de mutiler, d’éborgner, de détruire les vies d’humains qui les valent bien plus. Et tout cela parce que leurs absences claires d’idées (les vraies idées englobent tout et n’excluent jamais personne) serait si…supérieures. Supérieures à quoi on se le demande – eux qui ont chuté (ensembles) plus bas que presque aucun humain n’a chuté. Vous les reconnaissez, du fond de ces bassesses, ils osent dire qu’ils ont du pouvoir. Celui de lire, dans les regards, leurs condamnations universelles oui !
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« Barthes écrit cela en 1979. Pourquoi le rappeler aujourd’hui ? Parce que «les images sociales» ont la vie dure [[ elles durent plus longtemps que les crétin.e.s qui les ont semées !]]. Qui les fabriquent ? Des journalistes, des animateurs culturels, parfois des « philosophes » (des idéologues plutôt) — lecteurs pressés, approximatifs. Comment lutter contre « les images sociales » ? Par le montage d’autres images, d’autres sons, d’autres voix. En 1998, André S. Labarthe, prenant Roland Barthes (son presque homonyme) au mot, décide de faire un film sur Philippe Sollers, écrivain. Ce sera « Sollers, l’isolé absolu », réalisé pour France 3. Utiliser, à la télévision, le cinéma pour faire de l’anti-télévision serait donc possible ? Démonstration »…Pendant que certains, les mêmes, qui radotent des commentaires de découragements et d’inerties sans jamais avoir conçu une…œuvre (ils/elles ne savent même ce sont ils parlent !) tentent de tout aigrir dans le … « c’est impossible. Les maîtres du monde (où ça maître ? Dans démettre ?) sont les plus forts » et autres dénis du réel. A se demander si ces négateurs des possibles des autres n’ont pas intérêt à maintenir les arriérations actuelles ? Oui pendant que ces mêmes rabâcheurs pataugent inutilement dans leurs boues – la réalité avance, elle offre des potentiels que des esprits avertis, donc des esprits-deux, font…éclore. Oui la télé n’aura été qu’une dictature du naufrage, un si fort abus pour moins que zéro…résultat…que les retours de refoulés à son égard risquent de se prouver impitoyables…Heureusement que la majorité a quitté ce cul des sacs !
Sollers-l'isolé- Sollers, l’isolé absolu par André S. Labarthe
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Et si écouter c’est d’abord faire attention à ce que nous entendons ? Si c’est tendre entendre au maximum. Si c’est accueillir tout favorablement ce qui est dit ? La dition du dit. Si c’est recevoir, ouvrir ses bras et son cœur à cette audition du…ditionnaire (ce qui est dit ) ? Donc auditions complètes au dit, aux dits, aux dires. Audition aux dictions qui ressemblent toutes à des sacs de nœuds que nous devons dénouer sans de rien abîmer : inter-dictions, juriDictions, bénédictions et malédictions ou diction du dictionnaire…le plus près de tout ce qu’il nous reste à savoir Et à ressentir !
>>>> *** -- Mais encore ? Jonctions, positions, noms qui nomment nous tracent comme l’arpentage de l’inconnu que nous devons sillonner. Jusqu’à tracer nos personnels sillons. Conjonctions de jonctions ; position de préPosition ou de proPosition, composition, déposition, exposition, transposition, prédisposition, interposition ou supposition, etc. Toutes dispositions ainsi posées et disposées…et changer de…position, c’est quoi exactement ? Une description, STP ! Un quoi que ?
Qu'-est-ce-que-afin-d'englober-etc.où-quand.
Là le Quoi ? De quoi s’agit-il ? De quoi l’époque s’interroge? De quoi l’époque a besoin sans s’en rendre compte avoir besoin ? Quel que soit l’évènement quelconque que nous appuyons. Quelque peu il y a la route du quoique. Des rebonds, bonds et…rebondissements : ce qui nous sort de tous les pièges avant d’y être trop entrés. Qui nous offre les saltos arrière du cerveau. Ouvrir un saut, vivre un sursaut, etc. immenses restent nos panoplies…de libérations et d’émancipations. Mais ce n’est pas tout de rester à la porte…faut entrer et expérimenter de toute sa vie, de tout son corps. Bienvenus dans le complet lieu où a lieu le plus gigantesque Trésor de l’Humanité : le langage. Trésor qui se vit et se vibre avant tout…qui t’offre tellement et tellement qu’une vie n’est pas suffisante pour commencer à tout…goûter ! Disons que qui ose vivre TOUTE la langue devient le souverain de sa propre vie !: plus personne ne peut empiéter dans ce qui va dépasser et tant toutes les mauvaises intentions…Comme nous le disions ce détour n’en est pas un. Et c’est la plus haute des valeurs accessibles. Pas de plus grande richesse…à vivre. Qui attend encore ? Où seraient les quoique ? Qui encore attend ?
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Le but du futur ? Qui reste pollinisé de futur ? Les qualités requises – le futur est futé. Il le fut déjà - il le sera encore plus (questions d’habitudes, d’entraînements et de forces inertielles). Il le fut futur - Il le fut futé ce qui permet de ne point être réfuté…
….…le refus que tu fus cède la place à ce que fut le futur
………………………………. avant de se tourner univers vers…l’avenir !
………..……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : " Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste émerveillement nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est encore pire
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 100 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Raymond Devos …Quoique…Quoi ¿?
Vocalise de Jean-Pierre Blivet : or gnior gnè gni vro vrai voix !
Roland Barthes (1915-1980), le théâtre du langage
Ce monde semble bien détaché de moi-même si j’en fais partie…Peut-être n’est-il qu’en avance sur ce que nous devenons ?
Pourquoi ? Pourquoi, soit les raisons sociales ? Le but affiché d’une société ? Son structurant essentiel ?
Quoi que je fasse
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PODCAST - Vous avez déjà eu le sentiment de ne pas vous ressembler? De vous regarder dans le miroir et de ne pas être en accord avec vous-même? Cela arrive par exemple à l'adolescence: vous av...
RADIO …Soit envisager son visage d’une toute autre façon : pourquoi ne serait-il qu’un vis-à-vis, après tout ?