Comprendre c’est par l’intelligence du cœur ?
La question de fond reste que les prétendus dominants se comportent trop comme des anti-élites ! Oui soient désastreusement si médiocres. Comment les pouvoirs n’entendent plus les esprits critiques aux côtés vivifiants, régénérateurs, motivants ou réparateurs ? Tandis que les dormitifs flatteurs, viralement dégénérescents, ne les conduisent plus qu’à la sénescence ? Au repli mortel sur soi ? Démêlons ces flagrants paradoxes. Et déduisons tout ce que ces absurdités vont apporter dans nos futurs communs !
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La-pensée-critique-et-éclairée-est-dangereuse-pour-les-faux-puissants
«Worker cooperatives and revolution » où vous évoquez les coopératives de travailleurs. Dans ce livre passionnant, on remarque votre optimisme quant à la venue d’une nouvelle ère où l’humain est au centre. Vous citez l’exemple de la coopérative New Era Windows, à Chicago, D’après vous, sommes-nous dans une nouvelle ère où l’union des travailleurs sous forme de coopérative dessinera l’avenir du monde ? Dr. Chris Wright : Je pense avoir été un peu trop optimiste dans ce livre sur le potentiel des coopératives ouvrières. D’une part, Marx avait raison de dire que les coopératives « représentent dans l’ancienne forme les premiers germes de la nouvelle »[[ d’après nous, c’est la propriété collective des moyens de productions partout, en même temps – mais il faut bien commencer par des germes destinés à grandir…]]. . Il s’agit du socialisme microcosmique, puisque le socialisme n’est que le contrôle démocratique de l’activité économique par les travailleurs, ce qui est essentiellement le cas des coopératives. Même dans les grandes entreprises de Mondragon qui ont vu des conflits entre les travailleurs et la direction élue, il y a bien plus de démocratie (et un salaire plus égal) que dans une grande entreprise capitaliste typique [[ c’est un point de vue qui ne désire rester que partiel ! ]]. De plus, il y a un mouvement en expansion aux États-Unis et ailleurs pour lancer de nouvelles coopératives et promouvoir la transformation d’entreprises capitalistes existantes en coopératives (qui, soit dit en passant, sont souvent plus productives, rentables et plus durables que les entreprises conventionnelles [[ ce qui est toujours soigneusement tu – puisque l’obsession malsaine est qu’une poignée arrache des profits pour elle seule et n’apporte pas l’expansion pour le plus grand nombre. Aussi, les formes les moins…modernes d’organisations traînent partout - tandis que leurs politiciens si retardataires nomment, ridiculement, leurs si peu réformes de…modernisations. Ce qui est l’inverse : puisque c’est se précipiter dans le passé le plus éculé, le plus sénile et le moins progressiste possible !]]. D’innombrables militants s’emploient à diffuser une philosophie coopérative et à bâtir un large éventail d’institutions démocratiques et anticapitalistes, des entreprises au logement en passant par des formes politiques comme la budgétisation participative (des sites Web comme Shareable.net et Community-Wealth.org fournissent des informations sur ce mouvement) [[ il est vrai que, face à l’horreur Trump, dont s’inspire bien trop l’égaré gouvernement français, il n’y a rien de trop pour y mettre fin…]]. C’est toute cette «économie solidaire» émergente qui m’a vraiment intéressé lorsque j’ai écrit le livre, bien que je me sois concentré sur les coopératives des travailleurs. Avec le fait que leur présence entraîne les institutions à être communautaires, démocratiques et non exploitantes.
Il est vrai, cependant, qu’une nouvelle société ne peut pas émerger de la seule initiative populaire [[ toujours le même leurre des classes moyennes qui fait qu‘elles sabotent toutes les chances des peuples ! Puisque de quelles initiatives un futur commun va –t-il surgir ? Des petits bourgeois, champions de tous les conformismes ? Donc de l’immobilisme le plus complet ?]]. Une action politique à grande échelle est nécessaire, car les gouvernements nationaux disposent d’un pouvoir aussi immense [[ mais à partir de qui exactement ? Encore une pensée magique qui pense que de faire bruisser des grands concepts suffit. Avec, à la clé, le non-dit que ce sont les classes moyennes qui sont les plus aptes à transformer les initiatives en pouvoirs de changement…elles se sont tellement trompées, se faisant dévaliser par ce capitalisme qu’elles avaient idéalisé, et près duquel elles cherchaient refuge - que surgissent de sérieux doutes sur leurs désirs de transmuter l’existant. En France, les Gilets jaunes sont un anti-exemple ; mais c’est leur hétérogénéité sociologique et leur ferme refus de durcissements directionnels qui placent ce soulèvement hors des schémas anciens ! N’empêche que les ex-classes moyennes, spoliées de leur unique faute (à avoir trop mésestimé les qualités du peuple), ne doivent plus croire qu’elles puissent mener à elles seules quoi que ce soit. Ces aveuglements retardent vraiment tout…Elles doivent entrer dans ce qui est plus grand qu’elles. Par exemple, les coopératives ne doivent pas se contenter d’elles-mêmes mais doivent participer à la mise en place de la propriété collective des moyens de productions (ce qui n’implique pas la suppression de toute propriété, comme l’élucidait bien Marx, faisant demeurer, auprès de la mise en biens collectifs de la majorité des domaines humains, des possessions personnelles mais qui n’empêchent pas la Vie et la Nature d’assumer leurs besoins dans ces propriétés donc très atténuées. Loin des fanatismes bourgeois…Voir notre texte d’hier !]]. À moins de pouvoir transformer la politique de l’État de manière à faciliter la démocratisation économique, vous n’irez pas très loin. Les coopératives seules ne peuvent pas faire le travail. Il faut des partis politiques radicaux [[ non puisque c’est opter pour la persistance des politiciens de métiers – ce dont leurs claires folies séparatistes et ultra violentes nous ont dissuadé à vie…mais bien d’impulser des mouvements de transformation complète. Soit tous partis des partis, mais arrivés, entrés dans de l’organisation minimale qui se régénère par auto-organisations reconduites. Soit l’auto-élucidation permanente de la société par elle-même. Les débats définitifs érigés comme société référendaire à laquelle tout le monde doit allégeance. Soit (rien de répressif…on a déjà donné !) : non juste que nul.le ne puissent y concocter une petite bande, secte immensément sectaire, comme le macronisme d’arriérations et venir foutre son bordel contre l’avis de 80 % de la société. Eh oui, il faut bien étaler le désastre de cette non-pensée, le macronisme, ce qui ne ruisselle que de convoitises, définitivement rejeté comme…faux projet ! Voici les apports si chers payés de cette enfantillage, qui ne précède rien – mais clôt le plus indigne passé du passé (40 ans de scandaleux libéralisme si ennemi du pays ! Avec une droite omniprésente d’autant plus qu’elle s’est déguisée de faux socialisme vendu…oui le macronisme imbu nous aura – mais définitivement, pas de retour en arrière possible – dégoûté de toute cette lie. L’anti-élitisme de ces répulsifs médiocres en tout !]], des confrontations de masse avec les autorités capitalistes, toutes sortes «d’actions directes» déstabilisatrices, et tout cela prendra beaucoup, beaucoup, beaucoup de temps [[surtout si, comme avec les petits bourgeois…rien ne commence jamais !]]. Les révolutions sociales [[comme révolutions politiques !]] ( à l’échelle mondiale dont nous parlons prennent des générations, voire des siècles. Cela ne prendra probablement pas aussi longtemps que la transition européenne du féodalisme au capitalisme, mais aucun d’entre nous ne verra le «socialisme» de son vivant [[ bon, nous ne sommes pas d’accord avec ce défaitisme exagéré et cette surestimation affolante des forces réelles du néolibéralisme aux pieds d’argile – mais là est un autre débat !]].
Les marxistes [[ qui ne sont pas Marx…malheureusement !]] aiment critiquer les coopératives et l’économie solidaire parce qu’elles ne sont que des intermédiaires, quelque peu apolitiques et pas suffisamment confrontés au capitalisme, mais, comme je le dis dans le livre, cette critique est peu judicieuse [[ elle l’est à partir du moment où elle est nettement formulée ! Sans équivoque…]]. Une transformation socialiste [[ rappelons que pour les USA, d’où parle cet article, c’est un mot tout neuf, jamais mis à l’usage, qui n’a pas été si Sali par tant de traîtres !]] du pays et du monde aura lieu à plusieurs niveaux, de la base jusqu’au plus ambitieux étatiste [[réduit aux services publics et sans autre présence que matérielle – ses bâtiments et ses maillages, etc.. Terminées toutes les prises en otages par des factieux et des séditieux déguisés en costards- cravates ! ]]. Et tous les niveaux se renforceront et se compléteront mutuellement [[ redondances mais bon, agréables à lire…]]. Au fur et à mesure que le secteur coopératif se développera, de plus en plus de ressources seront disponibles pour l’action politique «étatiste» [[ faux – voir ci-dessus !]] ; et comme la politique nationale deviendra de plus en plus à gauche, la politique de l’État encouragera les prises de contrôle des entreprises par les travailleurs [[ pensée trop magique – les causes et les effets ne s’enchaînent jamais sans…frottements du réel !]]. Il y a un rôle pour chaque type de militantisme de gauche [[ le mieux de rôles c’est de quitter toute possibilité de spectacle…plus de représentativité = plus de…représentations !]].
Ne pensez-vous pas que l’affaiblissement du mouvement syndical aux USA et ailleurs dans le monde encourage davantage la voracité de l’oligarchie capitaliste qui domine le monde ? La classe ouvrière à travers le monde n’a-t-elle pas un besoin vital d’un grand mouvement syndical ? – Dr. C. W. : La classe ouvrière a désespérément besoin de syndicats redynamisés [[ pas vraiment mais de grands mouvements unitaires oui…]]. Sans syndicats forts, vous obtenez la forme la plus vorace et la plus misanthrope du capitalisme [[ c’est vrai que leur virulent séparatisme antisocial, basé sur le pire des racismes – le racisme par le haut –obtient une forte dose de…ridicule !]] que vous puissiez imaginer, comme nous l’avons vu au cours des quarante dernières années [[ oui nous avons vu…tout autre chose !]]. Les syndicats, qui peuvent être la base des partis politiques, ont toujours été le moyen de défense le plus efficace des travailleurs et des travailleuses, voire le plus offensif [[ avec des grèves qui n’ont d’autres buts, dès que commencées, que de les finir à la seconde et…à la sauvette ?]]. Aux États-Unis, ce n’est qu’après la fondation du Congrès des organisations industrielles à la fin des années 1930 qu’une importante classe moyenne [[ nous avons vu le résultat : le « de la misère du milieu des classes moyennes » s’est écrit sous nos yeux. A part se tromper sur tout et sur tout le monde…nous n’avons pas encore goûté aux vertus. Un peu chez les gilets jaunes…oui. Très bonne surprise’ !]], soutenue par des syndicats industriels comptant des millions de membres, a vu le jour dans la période d’après-guerre. Les syndicats étaient d’importants sponsors et organisateurs du mouvement américain des droits civiques, et ils ont réussi à promouvoir l’expansion de l’État providence et des règlements sur la sécurité au travail. Ils peuvent être de puissants alliés des écologistes. Il est difficile d’imaginer un avenir viable si le mouvement syndical n’est pas ressuscité et renforcé [[ c’est rêvé et c’est bien dit – mais les actions n’ont pas été infailliblement dans ces directions. Tant de faiblesses face aux pouvoirs ne permettent pas de le créditer !]].
Mais je ne pense pas qu’il puisse y avoir un retour du grand paradigme d’après-guerre de la négociation collective à l’échelle de l’industrie et de la social-démocratie nationale. Le capital est devenu trop mobile et mondialisé ; des compromis de classe [[ qu’est-ce à dire ?]] comme ceux-là ne sont plus possibles. Dans les décennies à venir, le rôle le plus ambitieux des syndicats sera plus révolutionnaire : faciliter les rachats d’entreprises par les travailleurs, la formation de partis politiques de gauche, le contrôle populaire de l’industrie, la résistance massive à l’agenda mondial de privatisation et d’austérité, l’expansion de la sphère publique, la construction d’alliances internationales des travailleurs, etc. »…[[ Oui c’est se montrer bien incapable d’envisager du nouveau. Du complètement neuf. Des transformations grandioses. Donc de rester maladivement bourgeois, derrière les apparences !]]. En fait, je pense que, contrairement aux vieilles attentes marxistes, ce n’est qu’au 21ème siècle que l’humanité entre enfin dans l’ère des grandes batailles apocalyptiques entre le monde du travail et le capitalisme. Marx n’avait pas prévu l’État-providence et le compromis keynésien de l’après-guerre. Maintenant que ces formes sociales sont en train de se détériorer, le travail organisé peut enfin prendre sa dimension révolutionnaire. Si lui et ses alliés échouent, il n’y aura plus que de la barbarie. [[ oui, cette dimension reste plus crédible…mais, pour nous, la première des préoccupations doit rester l’unitaire avant tout. Entrer dans un mouvement fédérateur et aider à toutes les fédérations. Qui n’est pas habité par l’union et l’unité massive ne nous semble pas crédible. A quoi peut servir d’avoir raison si tout n’est pas fait afin de forger le meilleur pour toutes et tous ? Le meilleur c’est l’unité…]]
Votre livre « Finding our compass : Reflections on a World in Crisis » pose une question fondamentale, à savoir vivons-nous dans une vraie démocratie ? – Dr. C. W. : Certainement pas. Aucun d’entre nous. Les États-Unis ont des structures démocratiques, mais sur le fond, c’est très antidémocratique. Même la science politique dominante le reconnaît : des études ont montré que la grande majorité de la population n’a pratiquement aucun impact sur les politiques, parce qu’elle n’a pas assez d’argent pour influencer les politiciens ou engager des lobbyistes [[ donc c’est l’argent…sans contre feux, sans contre-pouvoirs (alors que Montesquieu a prouvé que la séparation des pouvoirs c’est la…civilisation. Et que le Conseil National de la Résistance a vraiment organisé la France, et bien comme une…civilisation…Donc l’unité c’est d’empêcher l’argent de tout souiller et salir…A cette étape (temporaire : vous avez de l’argent, beaucoup – vous ne pouvez et nulle part participer à la réorganisation du pays. Vous l’avez assez désorganisé comme cela). En 2 ) - Autant fonder une civilisation nouvelle où l’argent ne pourra plus jamais nuire (retour des ex- Trop riches dans les débats)…les étapes suivantes s’enclencheront. Et nous ou d’autres en parleront très bien à ce moment…]]. Pratiquement, la seule façon pour eux de faire entendre leur voix est de perturber le bon fonctionnement des institutions, par exemple par des grèves ou la désobéissance civile [[ oui mais c’est encore coller au système…le prolonger en semblant lui accorder un peu de valeur. Au contraire, nous disons, d’un coup, il faut sauter à…l’après. Donc un déjà-là après système actuel, ce qui ne peut qu’accélérer sa fin. Et son remplacement…Par effets d’entraînements, de masses d’inerties, de contre- masses, etc. !]]. Nous l’avons vu avec les manifestations des gilets jaunes en France, et nous l’avons vu quand les contrôleurs aériens ont refusé de travailler et ont ainsi mis fin à la paralysie du gouvernement Donald Trump en janvier 2019. Nous vivons dans une oligarchie, une oligarchie mondiale, qui n’est pas beaucoup freinée par le processus normal du vote « prétendu démocratique [[ mais ne l’est surtout pas !]] »…Sauf que n’est pas explicité que lorsqu’un système (surtout ceux qui se prétendirent antisystème ) se durcit, s’auto-accule à l’hyper répression, il enclenche lui-même sa propre fin. Tant d’illégalités ne peuvent durer. Dans le temps c’est seulement impossible Et que c’est là, là exactement, que nous devons inventer le vraiment nouveau. Pas de références aliénantes et enfermantes à des formes passées…Juste des inspirations de départ. Jamais d’arrivée. C’est d’un changement de civilisation dont il s’agit. Pas d’un événement séparé des autres. Tout est inclus. Tout.
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La-malédiction-de-l'-intelligence-Vraiment-?
« Aaron Clarey nous gratifie aussi dans ce livre d'un chapitre atomique et hilarant sur l'éducation. Nous rappelant notamment que l'école n'est pas là pour enseigner l'intelligence mais le conformisme [[ clair – qui avait capté autrement est… bizarre. Et donc (seconde étape incluse das cette 1ère) pour tenter…d’écraser toutes les si sains …anticonformismes. Soit les intelligences vives et les sensibilités ouvertes. Le top en fait. Clair ? Cette non-éducation est destructions du…meilleur en chacun.e ! Il n’est que de voir les managers frigorifiés du gouvernement ! Avec toute leur si fausse éducation plus que ratée…devenir aussi anti-humains et antisociaux, à la fois, c’est rare ]] .. Et le conformisme envers quoi ? Envers la moyennité bien-sûr ! [[l’impératif de rester médiocre entraîne la …corruption partout. Les véritables élites jamais ne prennent ni ne prendront l’argent des autres, ne penseront une seconde à s’enrichir si vulgairement (pas de pires voyous que les déguisés en costards- cravates ?) sur le dos des autres, aucune avidité jamais…Donc ces vraies élites demeureront assez pauvres dans leurs vies personnelles (refus de tous privilèges qui discriminent les autres…). Dédié.e.s aux biens collectifs, ils nous installeront le règne de la prospérité de tous (rien à voir avec les vies salissantes (hyper polluantes) et stériles (rien d’important à… transmettre ) des si désastreux trop riches actuels – non une autre prospérité mais prospérité tout de même)…mais avec une incroyable richesse…sociale (donc pas d’argent) que peu ont commencé d’imaginer (nous oui !)]]
C'est là un domaine de prédilection pour l'auteur, et dont il parle plus abondamment dans différents autres de ses travaux. Il dénonce ainsi régulièrement le fait qu'aux États-Unis, des quantités astronomiques d'étudiants se retrouvent à contracter des prêts exorbitants pour payer leurs études, et que de plus, non seulement nombre de ces études sont aussi très coûteuses en temps de vie, mais ne sont de surcroît pour certaines rien de plus que de la masturbation mentale inutile qui aboutit sur des diplômes n'ayant absolument aucun intérêt et aucune valeur sur le marché du travail [[ en effet l’arnaque est immense. D’autant que ces savoirs si vieillots, évidés de tout ce qui y est pertinent, joyeux, transversal, oui sainement anti conformistes…ne sera que ça dans ces diplômes…et ce faux savoir ne servira donc à Rien (non plus) pour les vies personnelles. Double arnaque donc…]]. Il a notamment consacré tout un ouvrage à ce sujet : Worthless. L'auteur nous parlera aussi dans ce livre de l'environnement du travail et des patrons incompétents [[ obligés de l’être puisque le double impératif de médiocrité (donc son coeur ne pense jamais aux autres) et d’obligatoire corruption (donc on devient pitoyable maniaque de se sur-enrichir pour …rien !) ne lui permettent pas…d’être autre chose. Que cet échec…existentiel !]], des relations personnelles, de psychologie et de la problématique d'atteindre et de réaliser son potentiel en tant que personne anormalement intelligente dans une société limitée par des normes et une intelligence globale moyenne [[ c’est là que nous nous séparons complètement de son diagnostic : pour nous, l‘intelligence rend heureux, et plus même, car elle vient…du coeur. C’est le coeur qui est intelligent et pas la tête. Et l’intelligence n’est jamais Trop c’est la bestiale bêtise qui l’est toujours trop…anormalement… pourrie d’elle-même ! ]].
Enfin l'auteur présentera quelques solutions pratiques à tous ces problèmes, et nous invitera à prendre soin, dans ce contexte hostile sur le plan de la pensée et de la raison, de notre propre santé mentale et de notre propre bonheur, car cela au moins dépend entièrement de nous et de nos propres choix [[ fait et vous ? – bon maintenant nous parlons de quoi ?]]. Aaron Clarey dresse dans ce livre un état des lieux froid et sans appel des circonstances auxquelles sont confrontées les personnes anormalement intelligents dans notre monde [[ le descriptif qui ne tente que de décourager ne passe évidemment pas le seuil des coeurs joyeux car…simples. Qu’il aille dégoiser ailleurs !]] : Cette société n'est pas faite pour vous [[ ce qui est d’un comique étourdissant : la société n’étant pas un objet clos mais un processus toujours en cours on se demande comment elle pourrait « être faite » pour qui que ce soit…l‘intelligence étant tout à fait normale (donc à sa place) rend joyeux mais, aussi,…serein.e. Et donc tout ce qui voudrait la décourager de continuer dans cette joie (et à la place c’est quoi au fait ?) ne fait qu’aboutir à l’inverse…à augmenter la joie (de quoi de quoi il est à contre-courant et il voudrait nous mettre au…courant !]] !
Partant du simple constat des tests de QI et de leurs résultats contrastés au sein de la population, la plus simple des considérations mathématique nous fait alors rapidement comprendre que notre société est d'abord pensée et organisée pour la majorité, et pour un commun des mortels disposant d'une intelligence moyenne [[ ce pourquoi les ex-classes moyennes se font dépouiller de tout ou quasiment – 50 % de leur patrimoines envolé en 25 ans !... et qu’elles décrètent sans savoir – incorrigibles – que le peuple en sait (obligatoirement) moins qu’elles. Or elles/ils ont tellement plus…vécu, donc ressenti, donc expérimenté, donc alimenté leur coeur, donc augmenté l’intelligence réelle qui vient du coeur. Tandis que ces ex-classes moyennes, côté coeur c’est souvent la disette !]]. Cette société est faite, conçue et mise en place pour l'individu moyen. Et c'est donc précisément là que réside la première fondation d'une série de problématiques existentielles pour les personnes intellectuellement atypiques [[2 termes qui ne vont pas du tout ensembles…disons d’intelligences synthétiques, fusionnelles, globales et englobantes, et qui rendent…joyeux !]], et c'est aussi là que réside en soi « La Malédiction [[ la bonne diction est donc dans le… refus de qui, hagard, persiste en la male diction. Au lieu de la béné diction, du bien le dire !]] de l'Intelligence ». Car c'est en fait tout un univers de frustration et d'incompréhension qui guette quotidiennement ces personnes anormalement intelligentes [[ donc elles ne sont pas si intelligentes pour vivre ces prétendues…frustrations. Non, là aussi, cela se passe ailleurs…en vrai. Et il n’y pas de frustrations ! Mais tout autre chose]] du fait d'être une telle minorité [[ faux – comme tout le monde a des lueurs plus ou moins constantes d’intelligence, donc de coeur, cette majorité sociable a toute la société (que fuient les crétines fausses élites pour se croupir dans un faux confort !) afin de vivre et ressentir comment ça fait l’intelligence du…cœur. Non majorité, bonhomme :]], et que personnes n'ai pensé les choses pour eux. Il importe alors pour ces gens là d'être capable de voir et de comprendre les choses avec un maximum de réalisme afin d'être capable de s'y adapter [[ ?]] au mieux, et c'est ce que préconise cet auteur particulièrement atypique [[ ces conseils tombent à côté de la plaque - les coeurs joyeux y ayant déjà pensé tellement avant. Et mis en pratique ! Étrange de perdre du temps à ouvrir des portes qui n’ont plus de…portes. Tout est ouvert et tant y circulent déjà…sans le signaler chaque seconde !]].
Bien sûr il existe une importante nuance en être intelligent, et penser intelligemment. Entre avoir un QI élevé et agir intelligemment [[ il n’y a pas de différence lorsque faire c’est…être !]]. La sagesse et la justesse ne sont en tout état de cause pas toujours corrélés [[ évidement que si justice et justesse c’est pareil – au point que le but c’est de tout changer sans rien blesser…Donc de ne laisser aucune trace de changement !]] dans les faits à l'intelligence et au potentiel. Mais les personnes intelligentes ont en général tendance [[ justement elle n’ont pas de tendances – ce qui est tendu que tendance ! – puisqu’elles précèdent toutes les tendances :!]] à naturellement mieux comprendre les rapports de causes à effets et pouvoir plus aisément anticiper les conséquences des actions posées. Ce contraste est facilement identifiable au quotidien, mais également au niveau de notre communauté en elle-même et à un niveau plus général. »…Eh bien ce triste paragraphe (les autres s’avéraient réconfortants ) de l’enlisement, de l’emmêlement, de la se marcher sur la langue qui fourche même car… bifide…fait croc en jambe à ta seconde jambe. Etc…ne fait que renforcer le cœur qui sait (et l’inefficacité de tels assauts – tenter de justifier l’impératif (allié obligatoire à la corruption) de RESTER médiocres –
…
Et c’est avec gratitude que nous remercions un tel document quoi nous permet de…
…montrer (un petit peu) l’intelligence du coeur (la vraie)
……………………………………………… un peu en action réelle…
………….……(à suivre)
…………………………….%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
……….Que la joie lucide des vrais débats nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
When you're sick and tired of paying people $400 an hour to spare your feelings and make you feel good, and you finally decide you want to start solving your problems, it's time to contact Asshole ...
Aaron Clarey : La Malédiction de l'Intelligence.
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Escuchar historias amplía la imaginación; contarlas nos permite cruzar sobre barreras culturares, abarcar diferentes experiencias, sentir lo que otros sienten. Elif Shafak construye en esta simpl...
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Le truc qui pourrit tous les débats
« Le poisson rouge tourne dans son bocal. Il semble redécouvrir le monde à chaque tour. Les ingénieurs de Google ont réussi à calculer la durée maximale de son attention : 8 secondes. Ces mêmes ingénieurs ont évalué la durée d’attention de la génération des millenials, celle qui a grand avec les écrans connectés : 9 secondes. Nous sommes devenus des poissons rouges, enfermés dans le bocal de nos écrans, soumis au manège de nos alertes et de nos messages instantanés. Une étude du Journal of Social and Clinical Psychology évalue à 30 minutes le temps maximum d’exposition aux réseaux sociaux et aux écrans d’Internet au-delà duquel apparaît une menace pour la santé mentale. D’après cette étude, mon cas est désespéré, tant ma pratique quotidienne est celle d’une dépendance aux signaux qui encom
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Nous avons fréquemment mentionné Jonah Lehrer dans nos colonnes. Ce jeune neuroscientifique, blogueur et écrivain, a le don pour éclairer les sujets souvent complexes de la cognition de manièr...
http://www.internetactu.net/2012/03/20/au-dela-du-brainstorming/
Le meilleur espace d’argumentation possible n’est peut-être pas le débat traditionnel, mais le lieu où les rencontres les plus improbables se multiplient, comme ce bâtiment 20 du MIT dont Jonah Lehrer faisait récemment l’éloge
Interview de Marc Bouché / Bonus de "Internet ou la révolution du partage"...bien passons au partage de la révolution !
Anne Beaumanoir résister à toutes les époques et selon d’autres modalités à chaque fois…