Enfin c’est à vous de dire ce qui doit être publié
Par exemple : Ton corps de vasque claire trempa ainsi le papier à cigarette de tes frissons d’une rapide langue ? C’est à vous de dire ceci doit être imprimé…Il y a tout là, les croisements à grande vitesse de multiples métaphores qui nous accélèrent. Le futur y surgit avec la chair de poule d’une sensualité encore inconnue. Ou bien ? Le haut palmier de ton regard agitait ses fruits lourds dont la courbe gonflait de plénitude lisse l’entrejambe de ton pagne. Une nouvelle syntaxe qui hoquette des halètements qui ont tout leur temps. Pas d’interruptus que de la jouissance qui ne finit pas…Cela vaut le salut public, le salut du public. Enfin ? Bronzé de pépins tu hérissais ton dos dans l’arc de son attente. Afin de prouver que le court peut contenir une densité de présence telle que tout le monde puisse en geindre à la fois…Alors à publier ou non ?
Oui il y tant de ces œuvres que des idéologues aveugles ne savent même pas lire…pour eux, tout se réduit à ne foutre que des étiquettes (ces conneries toute issues du passé le plus éculé ne peut donc rien…reconnaître, admettre, découvrir et faire connaître du véridique nouveau !). Il te scrute ton nom (ah non faut commencer avant de commencer, être connu avant d’être connu, réussir avant de naître, etc.), ta gueule à profits. Leur pupille pillent tous les billets futurs et ne voient rien du concret et tangible. Rien ne passe devant ces…absences de lectures objectives. Jamais il n’y eu autant de feignasses effondrées qui empêchent tout accès énergique des déchiffrages…et cela dure depuis des décennies. Tu ne sens pas l’horrible odeur de renfermé qui siègent autour de ces têtes devenues folles !! Seules les fraîcheurs des chefs d’œuvres ternis sous leurs crasses peuvent nous aider à respirer, ressentir, incorporer, assimiler, partager le vivant. Clair et c’est à vous, à nous, de forcer les portes rouillées. C’est un mouvement global : tout doit se transmuter à la fois…A mesure qu’elle se déshabillait, ta verge s’habillait. Il y a des symétries qui nous font croire encore aux vertus des diapasons…Tomber en pâmoisons c’est bien plutôt y… monter. Oui, il y même tant d’autres formulations à corriger, méliorer, porter à leurs puretés intrinsèques…Trop de textes sont négligés qui ne méritent que de bondir afin d’ensemencer la zone sociale des plus hautes vertus. C’est par le bien, le mieux, le miel du mieux, le encore mieux, le meilleur que nous en sortirons. Nous venons de subir des tombereaux de dégueulasseries et de corruptions – ce n’est plus la peine d’en rajouter. Aucun talent ne réside chez eux. D’ailleurs, les véritables élites sont ailleurs, plus chez eux. Et piaffe la nouvelle civilisation qui nous fait tant venir l’eau à la bouche…
…………………............*************************************
Entrons-y sans plus attendre…Tous les minerais et le minéral, en micas irisés et fins graviers gravent, glissent sur sa peau. Elle est la piste des oiseaux. Des côtes, tous alentours, roule le sable des particules, de celles qui inventent nos particularités. Elle saute par-dessus végétaux et animaux, se minéralise : quartz diamant - dis amant... L'ondée d'acier, elle est le métal fondu de ses reflets et les éclats de pierres précieuses, quelque chose de bardé comme le chantait le barde : le métamorphisme d'un lait d'orphée caramélisant nos élans. Quelque chose s'est arrêté. La femme blanche est la seule qui empêche l'amour en s'étant tant séparé de la Nature? Le corps cadencé elle soupesait l'air du regard. Le ventre dessine l'arrondie étrave d'un vaisseau pointant l'oriflamme de sa figure de proue. La femme blanche. Ses cuisses débordent des hanches comme un pain que tu voudrais pétrir de ta salive crémeuse, les genoux remontent, sphériques, à l'huis qui t'enveloppe d'un gémissement. Les mollets se délient sous la plage humide des pieds qui viennent te ceindre les reins. Le ventre mouvant hisse ton désir d'épouser ses seins comme les deux globes vibrants qui se tendront de chaque secousse de ton soleil. Ces seins qui ne semblent point pendre mais englobés dans la course même de la poitrine. Tu t'enlaces aux épaules peignant ta bouche à la mousse des aisselles. Le cou palpite de frissons galbés. Le blanc de sa peau est ombré du reflet de ses marées. La bouche plus fine entrouvre une langue drapée de sucre agile, de douceur aérée. Ses yeux plus ronds, les pupilles vibrent sans arrêts, voulant te sertir d'un suave filet électrique, l'arc des sourcils démoulant la caresse des cheveux qui s'écoulent du creux de ses mains poreuses du vaporeux. Son front bombé la devance d'elle-même, le corps plus éparpillé, elle bat à la profondeur de ta respiration. Elle veut t'aspirer dans les volutes de son air. Elle s'enroule autour de tes sarments noués et te rend à ton ancienne beauté d'arbre...etc. Précédait les descriptions sans abstractions (le but précis du document – tout décrire qu’à partir des sensations, des émotions et des sentiments !). Ce qui contraint, effectivement, à révolutionner toute la langue. A la montrer sous un angle encore jamais perçu ni effleuré. Nous défendons ce genre de radicales nouveautés. Il s’agit de précéder l’époque non de la suivre ! Pourquoi, ce ne serait pas le plus rationnel ?
4-couleurs-de-femmes-dans-la-forêt-
…………………................*************************************
Comme nous tentons d‘aborder tous les thèmes en défendant la pensée Unitaire, pour qui n’existe aucune discipline séparée ou affaire de spécialistes. Dans la vraie vie, tout est mêlé, il n’y a pas économie dans sa stalle et, scindé ailleurs, tout le social. Tout demeure lié et relié. Et ce n’est pas une vue abstraite, tout ce blog le démontre chaque jour. Aussi, tout comme la culture générale complète nous offre les meilleurs des dirigeants, une pensée et une sensibilité globales (qui n’oublient personne !) nous font tenir, dans la même poignante poignée, le maximum du réel. Nous sommes face à un mur de personnages congelés dans des idéologies mortes, des pervers narcissiques alliés à des maniaques obsessionnels (la paire si nocive de ceux/celles qui nient et renient les réalités les plus flagrantes). Et ? Et face à cette muraille d’inhumanité, nous devons trouver les actes les plus subversifs (dans le sens que perversion c‘est, avant tout, voler ou escamoter toutes les versions afin qu’il n’en demeure qu’un !). Et les actes les plus à même de tout faire basculer commencent de nous être connus. Nous en faisons l’analyse objective et honnête à chaque fois. Et donc pour formuler l’argument final ? Tout comme il faut et il suffit de supprimer le ministère de la Justice pour résoudre d’un seul coup (oui en une fois !) tant de problématiques malsaines. La 1ère étant de faire quitter la Justice du gouvernement (tout comme pour l’information il n’a pas à dicter «sa» justice – la fausse !). Et donc, grâce au corps de magistrats, la Justice devient un service public entier, accessible à tous et pratiquant la vérité. Soit le contraire précis du si dévoyé droit…commercial étasunien où la justice oui ne fait que…s’acheter (pour nous c’est même le contraire du Droit – voir les faux et usages de faux nommés traités de non libre échange, où le si malsain droit…commercial (l’anti Droit) ne commet qu’injustices évidentes ! Et donc plus de mainmise du politique sur la justice puisque plus de ministère ! La séparation des pouvoirs de l’impeccable Montesquieu enfin mise en œuvre…répercussions énormes.
Eh bien, identiquement, reprendre l’initiative de foutre en l’air toutes les censures va atteindre ce même but dans la culture (par exemple, le show biz te bannit si tu ne profères pas le préalable : « l’argent est le dieu, je n’irai jamais contre les riches et je le soutiendrai tout le temps »…eh bien, tu peux avoir (depuis les années 1990 en gros) tout le talent du monde, tu ne passes plus). Oui c’est à nous, à vous de dire et de tracer la route de la fin effective des censures. Tout ce qui doit être connu, sera connu…Pourquoi ? Si l’époque est si difficile c’est qu’ont stagné trop de censures insensées (comment les censeurs pourraient «savoir » mieux que les créatifs ? Comme des transcendants omniscients : les faits et rien que les faits démontrent qu’ils se sont trompés sur tout…au contraire). Les vrais écrivains et les penseurs profonds savent faire émerger l’essentiel, nous offrir les formulations qui ouvrent les portes conflictuelles apparemment sans issue et plantent les ponts du futur. Les blocages sont devenus vraiment suicidaires : l’oligarchie reste dramatiquement inculte. Là, aussi, nous devons tout reprendre en main… Voilà ce qu’il en est vraiment. Nous devons devenir encore plus inventifs que l’inventivité.
................…..Tous les possibles cognent à nos portes et ils ne sont pas prêts de s’arrêter !
Le-pollen-suspendu-des-mots-1-2-
Librairie [[ du mot Libre , rappelons-le !]] : « Les dessous d’un métier en souffrance En France, c’est en moyenne 400 à 500 livres qui sortent chaque mois. Devant une telle offre, le libraire indépendant doit pouvoir prendre le temps de sélectionner les livres qui l’intéressent et qu’il souhaite défendre. Il existe deux types de contrat entre les libraires et les maisons d’édition : soit un contrat d’office, où les éditeurs envoient aux libraires les livres à vendre sans que ceux-ci les choisissent. On y retrouve donc les noms connus, les personnalités et les prix littéraires. Ventes assurées, prise de risque minimale [[ le monopole centraliste de fait qui cause tant de mal au pays entier – voir comment les si arriérés médias parisianistes n’ont strictement rien compris à la nouveauté incroyable des Gilets jaunes et nous ont gavé de leur immense…vulgarité de cœur !]]. Soit un contrat noté, où c’est au libraire de choisir les livres qu’il souhaite. Il a donc plus de travail, il prend des risques pour adapter son offre à sa clientèle [[ avec les feignasses centralistes, ils imposent (de fait) leurs caprices délirants (quasiment jamais rationnels ni raisonnables) et aux autres tout le boulot pour se dépêtrer de leurs incompétences…C’est cela qu’il faut radicalement changer]].
Combiner-deux-activités-pour-s'en-sortir-l'exemple-d'une-librairie-bistro-
Quand un libraire achète un livre à l’éditeur, il bénéficie d’un pourcentage de remise, qui lui assure sa marge. Celle-ci varie entre 29 % et 42 %.[[ ce qui est beaucoup et rogne tant sur les auteurs/trices vraiment plumés…sauf très peu !]]. Le libraire d’office est assuré d’avoir autour de 35 %. Celui qui choisit ses livres et donc peut refuser ceux que l’éditeur veut écouler, doit batailler pour obtenir ses 30 %. [[ la liberté est bien un combat du moindre détail…c’est même une tension vers la libération. Sauf que d’émanciper toute la population réussit tellement mieux que de se libérer dans son seul coin !]]. « Travailler avec des petites maisons d’édition, ça veut dire avoir des échanges de mails indépendants, faire des virements en avance, multiplier les taches et le temps passé pour aller dégoter un ou deux exemplaires de livres qu’on veut défendre. Je parle souvent avec des libraires qui n’en peuvent plus [[ alors comment faire ? La réponse réside toujours dans 1) – faire un pas de côté, ce qui libère instantanément de toute idéologie et…2) - (l’esprit enfin complètement libéré) de voir les solutions que le nez sur le guidon de la soumission abrutie…empêchait justement de voir. Et chaque jour, ce blog offre, oui offre ( à côté d’une des assos, des privés facturaient 1000 € ce que l’asso donnait gratos. Bon avec pleins de blablas et simagrées superflus, en plus, ces 1000 € le week end !), une ou plusieurs solutions à des zones…bloquées. Soit ? N’importe quel concret n’importe où (sur le front général) peut enclencher tout le changement. Cela se nomme masse critique (soit le nombre suffisant de prises de conscience pour que les corps de comportements sachent avec précision quoi faire ! Qui n’a plus rien à voir avec ce qui…se faisait !)…alors ici c’est aussi Bien que là, il n’y a que le premier pas qui crée toute la différence. A titre perso, le retour de la vraie Concurrence dans la vraie culture nous semble tellement plus vite visible qu’ailleurs. Donc économie d’énergies et de moyens. Mais c’est perso…]] »
>>> *** ----- Pour nous c’est limpide : la valeur de ce qui n’est pas publié excède ce qui est publié. Cette valeur, c’est facilement compréhensible, est Supérieure à l’existant. Le but commun reste l’auto-élucidation permanente de la société par elle-même. Le meilleur et plus fin amplificateur qui se puisse imaginer…Or, tout comme les grandes surfaces imposent, irrationnellement, les calibrages, etc. uniques défigurant tant les fruits et légumes, l’édition-aveuglée-par-le-fric («écrire c’est vendre» est le lamentable slogan !) ne veut qu’un seul et unique formatage. Et l’impose par la force et la destruction de toute réelle concurrence. Alors que la société a besoin d’un concert de voix toutes différentes…elle n’en aura qu’une seule et l’unique : celle des 11 % sociologiquement circonscrits d’être la cible centrale des médias mainstream. Et tant pis pour le reste (89 % tout de même…) qui verra, ainsi, des équivalences de violences policières par les censures bien dissimulées (ne manque pas qui l’on ne connaît pas – qui va demander des humains non diffusés – ce qui n’est pas visible n’existe pas et autres joyeusetés…). Et, alors que tout prouve qu’un certain nombre d’auteurs/trices très originaux (hors formatage unique) pourraient créer leur propre demande s’il y avait libre concurrence, aucune libre concurrence n’existe (de matériels marteaux viennent tout saccager). Le minimum est vraiment modeste : possibilité de créer sa propre demande. Avec devoir d’informations, sans commentaire d’accord, mais assez exposées pour que toute personne vigilante sache ce qu’il en retourne. Ce n‘est pas fait et c’est au détriment du pays…comme de la langue française qui a tant besoin de tous ses talents( tous hors système**). Pour nous, nombre de crises surviennent aussi de ce manque trop évident (seul le centralisme (si arriéré et régressif parisien parle pour tout le pays…soit ne parle pas en fait !) des diversités de tous les talents…Dont, oui de chez oui, le pays regorge…
** http://ladictiondudictionnaire.org/ un seul exemple parmi tant d’autres !
Aussi – et forts de grandes expériences (dont la certitude que les censures n’affectent que peu les auteurs/trices dans leurs vécus créatifs – donc si c’est pour les punir de ne pas être collabos du modèle unique et de l’argent fou qui n’est que tacite, et donc inconnaissable par qui n’est armé que de sa personnalité, c’est….raaaaaté !). Par contre, ce qui ne l’est pas c’est de PUNIR ces 89 % de ne pas pouvoir connaître (sans publicité juste de l’information) ces voix qu’ils/elles espèrent depuis toujours – et qui existent bien…mais sont censurées (sauf à se lancer dans les diffusions confidentielles jamais même une fois relayées). Censurées venant du mot « cens » (l’argent énorme qu’il fallait pour avoir le droit de voter – du temps où le vote… censitaire pouvait ne laisser passer que 300 000 voix pour tout le pays !). Donc la censure censitaire c’est l’argent qui Empêche les publications (à la source – en forçant l’édition, donc prise en otage, de publier ce qui présente toutes les qualités pour être publié mais ne plaît pas…à ces capricieux dictateurs de l’oligarchie (la bien nommée) !). Et mon tout ? La censure est vraiment dirigée Contre la population, traitée en mineure à vie. C’est un paternalisme outrageant qui choisit pour elle. Ne lui fourgue que du prêt-à-ne-pas-penser. Du privé d’analyses fortes (oui que de l’alcool désalcoolisé), de l’énucléé de synthèses fulgurantes et des styles vraiment…complètement à l’ouest. A l’est aussi d‘ailleurs.
…………….Puisque ouest ou est, nous rit l’humour…cosmique !
>>> *** -- De 2 choses l’une : soit vous vous démerdez, et nous aussi, pour faire sortir ces joyaux de leurs ombres imméritées (pas si dur- à quelques un.e.s, l’équivalent de quelques minutes par jours !)….
……………Soit nous sombrerons aux sombres héros, sombreros, etc.…
…………………***************************************
« Coupler deux activités : la clé pour s’en sortir ? [[ pareil que de toujours Coupler 2 infos au moins…]] « Moi j’arrive à respirer parce que j’ai deux poumons. Un culturel avec la librairie, et un poumon économique avec le bistro. Je fais un travail très prenant, mais je reste libre dans mes choix. Si je n’étais pas libre… à quoi ça servirait de m’épuiser ? »…En effet, si ce n’est pas à but…lucratif (ce vice dément du profit à tout prix dont les frais externalisés sont payés par… les autres !)…mais uniquement voué à équilibrer ses comptes et permettre de poursuivre, sans nuire à quiconque, au contraire - qu’il devient…agréable de vivre en associé-té. L’immense perversion si maladive et immorale du néolibéralisme doit cesser immédiatement (chacun de nos actes peut écourter le délai inéluctable !)…
….. oui il faut vraiment le bouter hors de France !
………………….. Lui faire mettre …les bouts !
………. …(à suivre)
………………...........……**********************************
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Pyramide de Chichen Itza: Sound of Bird and Snake…Une acoustique géniale des Mayas. Le passé c’était franchement trop différent de ce que la propagande aura escamoté. Alors si c’est pour le passé, le présent c’est trop pareil ?
Chichen Itza 141. Mexico. Ces dits monuments servaient à faire de la…musique d’ampleur. Musique différente selon les mois de l’année. Et les heures du jour. Le très grand luxe naturel quoi…
Equinoxe (soit…égal) à Chichen Itza…Tout ce que la propagande nous fait…rater. Imagine pour le présent alors ? C’est 80 %, plus ou moins, de la réalité qui nous est vraiment…dérobé ?
Le pollen suspendu des mots ? (1/2) - Le blog de imagiter.over-blog.com
Lorsque le butin se moissonne et lorsque tout but se prouve en le butinant - nous sommes tous les abeilles du pollen des mots...le butin se conjugue comme butine, c'est son verbe même...son plus ...
http://www.imagiter.fr/article-le-pollen-suspendu-des-mots-1-2-120151335.html
Lorsque le butin se moissonne et lorsque tout but se prouve en le butinant – nous sommes tous les abeilles du pollen des mots…le butin se conjugue comme butine, c’est son verbe même…son plus éclatant compagnonnage !!
Du vraiment nouveau (genre qui fait basculer )…A la question « est-ce que ça se dit ? » , Arnaud Hoedt Jérôme Piron répondent invariablement « oui, tu viens de le faire ». Oui ? « La faute de l’orthographe », n’est pas UNE faute d’orthographe… il n’y a aucune faute, aucune culpabilité à avoir, ce ne sont que des dogmes…A la limite une “erreur” (non culpabilisante lisante) si nous voulons garder un trésor commun…durée 38 mn