La pénombre du nombre ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La pénombre du nombre ?

Le nombre fait ombre ? Il ne provoque pas, alors, la clarté ? Perdus ou retrouvés dans le nombre pénombre ? C’est que nul-le ne veut dire le hurlement central de l’époque…La soif ouverte à la reconnaissance. Mais quelle ? Toute une chaque une et tout un chaque un participe de la demande du Droit à être reconnu. Là tout de suite, sur le champ,  pas le temps d’attendre…Le problème c’est que tous à la fois et toutes et tous en première ligne… Pffffuuut…Comme d’habitude, c’est à nous d’aller débusquer les questions que les feignasses effondrées qui s’auto-proclament classes supérieures (mais qui n’ont que des comportements inférieurs et avec une telle vulgarité, oui ma brave dame !)…et donc refailemeleumeleu….Bon, entamons, le nombre c’est quoi déjà ?

 

Ben que dalle, on sait pas trop euh…c’est à-dire ben euh…les scientifiques diront le nombre est très…nombreux. Boum bada et bada boum…Avec ça on est servi. Frais en plus… C’est quoi la base ? Le nombre est juste plus… nombreux que toi tout seul. Combien, de combien, pour combien, nul ne l’a compris encore… Et tu te disais élité, je t’en ficherais, de l’anti-élite plus sûrement. D’ailleurs se dissimuler oui se déguiser en costards cravates, ce n’est pas bon signe (se travestir en clergé c’est lorsqu’il n’a pas de véridique compétence derrière !). Et puis aucune élite vraie ne s’attiferait de ce ridicule harnachement d’arriérés, voyons, voyons…ensuite, si tu veux un jour ne plus déliter d’élite…commence par arrêter de mentir et tout de suite. Tes violences sont policières et tes manières trop peu policées…arrière, descend de là et retourne de la lie d’où tu es survenu…Mais à qui parlez-vous-tu ? Voulez-vous te taire - donc, nous parlons d’une problématique avec les où quand comment qui et tout le collier …et, en conséquences, cela va plus vite d’étriller les routines. Ce que faire nous faisons…Oui le hurlement central actuel : c’est humain, c’est normal que de vouloir être reconnu (sans être connu la plupart du temps) ! C’est encombrant aussi pour les débats cruciaux les j’ai droit de parler donc parce qu’il faut que je sois reconnu même si c’est pas le débat qu’il faut pour le dire…Des millions de fois à la...fois…mais le tout trop emberlificoté afin que beaucoup identifient l’embrouille généralisée, etc. Et si nous nous mettions au théâtre de rue, au slam participatif où tout problème survenu est dénoué sur la place nette ? C’est ainsi…

En gros, cela se résume au : la taille de la réponse adoptée-adaptée c’est qu’il faille changer complètement de civilisation. Oui il y en aune autre toute prête. La mettre en place tout de suite ne dérangera que 1 % (peut-être que 0,10%)…bien sûr les graves halluciné.e.s qui « croient » que leur vie s’arrêtera (genre stop ! stoppé stop, stoppant stop et plus rien n’avance, genre embourbé, enlisé, en rade, en panne mouillée, etc.…- mais t’inquiète, tout cela n’est que pire illusion, ils/elles s’en remettront qu’avec des bleus (et encore même pas !) des bleus à leurs orgueils trop mal placés !)… Donc nouvelle civilisation ? D’où partons-nous ?  Tomber toujours plus bas ? Oui mais jusqu’où ? Afin d’atteindre l’ampleur de la réponse - commençons par un lacanisme « En commun, à des choses qui ne regardent pas que nous [[ soit penser à toutes celles et ceux qui ne paraissent pas d’accord avec nos analyses et qui ne doivent, pourtant, pas se voir exclus du monde final !]]: « Quand les mots à la première personne lui sont ravis, le sujet est spolié de lui-même et réduit à la prescription d’un standard qui le commande. »…ce qui signifie que la pub c’est surtout pour nous voler nos Je. Et que l’assaut final (l’ultra violence macroniste) c’est pour voler tous les je d’un Nous qui se soulève. Sauf que d’avoir être tellement trop pressés, trop précipités, trop baveusement voraces et avides, aura carrément montré toute la grossièreté du filet…et l’absence…essentielle des arguments. Oui sans Je on ne peut qu’être manipulé.e.s et relégué.e.s  dans une case et un tiroir avec une étiquette à la con. Catalogué.e.s, genre pompes funèbres, et content.e.s. de l’être ! Sauf que là ils ont tout fait déraper… Donc nouvelle civilisation ? D’où partons-nous (avec gilets jaunes inclus !) ?

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Nous-ne-pouvons-pas-attendre-que-le-capitalisme-s'effondre-en-préparant-juste-l'après-

Nicolas Casaux : Dans ton livre Après le capitalisme [[ donc sa fin n’est plus un projet mais une réalité clairement enregistrée. C’est du certain, de l’annoncé et il suffit d‘aider à accélérer le mouvement. Lorsque toutes les raisons existent pour cela : disons que c’est un système qui empêche tout le monde d’être reconnu. Il souille tellement toutes les qualités humaines que, seuls, les plus minables s’adaptent à son abaissement permanent. Qui est ? De stagner dans la pénombre de leurs nombres cannibales, péNombres voraces qui volent toute humanité et toute sensibilité. Seul l’après ouvrira à tout le monde la possibilité de se faire reconnaître !]], tu affirmes que l’idée de limites externes ou écologiques au capitalisme est erronée. Je voudrais revenir là-dessus. Cela signifierait donc que le capitalisme ne serait pas… menacé par la contamination, la dégradation, la consomption, la destruction ou la perturbation croissantes de tous les milieux (biomes, biotopes, etc.) et de tous les organismes qu’il génère inexorablement ? Pierre Madelin : Ce n’est pas exactement ce que je dis dans mon souvenir. Je remarque que le capitalisme est bel et bien confronté à une limite écologique dans la mesure où il exerce une pression croissante [[ qui dépasse les limites puisque la règle, que même un de ces arriérés peut comprendre, est que SANS biodiversité il n’y aura plus de vie humaine. Et que donc leurs avidités (ces chiasses qui se peuvent contrôler tout de même !) sont un suicide accéléré imposé à tous. Et donc leur folie ils peuvent la vivre dans un parc pour enragés mais, surtout, ne pas l’imposer à toute l’Humanité. Et alors ? Les jeux sont finis, les capitalistes sont priés d’être fous dans tels créneaux horaires et dans tels lieux protégés de toutes contaminations pour les autres. Désormais, leur maladie est décidée comme trop nuisible pour les autres. Qu’ils se la gardent ! Toutes les lois sont contre eux : cela change de leurs abus-beuveries précédents. Il faudra qu’ils s’y fassent. Nous c’est déjà fait !]] sur nos milieux, dont il détruit la diversité et dont il compromet la fonctionnalité, la résilience et in fine l’habitabilité. En épuisant des ressources limitées, comme les gisements d’énergie fossile, et en exerçant sur les ressources dites «renouvelables», comme les sols, les forêts ou les cycles hydriques, une pression telle qu’elle ne leur permet justement plus de se renouveler, le capitalisme contribue à saper les conditions de sa propre reproduction [[ et pas de reproduction plus de production du tout…Faut-il demeurer un dément qui… dément tout réel pour rester encore capitaliste ? Que les moins pires quittent tout tout de suite en emportant le tableau de bord…]].

Ce que je souligne en revanche, c’est que ces limites écologiques auxquelles se heurte la reproduction du capital [[ ce qui ne ressemble pas du tout à la reproduction humaine (où il n’y a nul mur sourdingue qui limite…etc.) et ne semble pas, dès lors, une si bonne métaphore…elle égarerait plutôt…]] ne sont pas à proprement parler une «bonne nouvelle», car la fin [[ inéluctable ]] du capitalisme qu’elles laissent entrevoir coïnciderait malheureusement avec une détérioration telle des conditions de la vie sur Terre qu’elle ne permettrait guère d’imaginer l’avènement de sociétés « décentes », plus égalitaires et moins destructrices de la nature [[ il n’y aurait même pas d’après…capitalisme ?]]. Je ne crois pas trop à l’idée d’un effondrement heureux, au terme duquel, sur les ruines encore fumantes de la civilisation industrielle, nous pourrions construire des organisations collectives conviviales dans les brèches ouvertes par l’amoindrissement ou la disparition des logiques marchandes et de l’État ; les dégâts causés par la dynamique dévastatrice du capital [[ ce monstre évident qu’il est qui doit être traité en monstre…soit repoussé fermement dans sa…tanière. Le néolibéralisme représente les adorateurs fanatiques de ce monstre destructeur. Ce qui fait s’effondrer tout respect pour leur pensée de graves malades !]] et par la compulsion de croissance complètement délirante [[ pour les nouveaux arrivés : la croissance pour ces feignasses du coeur (jamais une pensée pour les autres), oui la croissance c’est un grigri, une superstition, un joujou pour immatures. Tu appuies frénétiquement dessus (de quoi dérégler tous ses fragiles mécanismes ) et plop tout est résolu. Plus rien d’autre à foutre, on attend la rente. Que de retourner à leurs vaines désertions fiscales (faudra bien qu’ils paient à un moment ) …Résolu quoi ? Que l’on te prenne par la peau du cul et que te jettes dans la rue pour que tu vois par quel…bout commencer. La vie c’est la société et la seule croissance à respecter c’est celle du …respect, respect des autres et de leurs vrais besoins et donc c’est par le…progrès social que tout peut se résoudre (tous les vrais progressistes l’ont déjà dit – rappelons que l’égarement macroniste est un anti-progressisme extrêmement éculé…). Et donc qui agite encore la …croissance doit se voir offrir un séjour en hôpital psychiatrique. Au moins ! Où ils pourront répondre au : mais votre croissance de chiottes combien cela coûte en VRAI ? Pour la Terre, la nature et les humains ? Ah bon la croissance coûte plus que la…croissance ? De quoi éviter de délirer avec, non – passons-nous en, tiens plus de politiciens professionnels ne peuvent alors exister ! Toutes leurs menteries ne reposaient donc que sur ce fake concept ? Fausse info que les médias déshonorés ont toujours…honoré !)]] qui l’animent seront trop importants…

Donc si je cite l’expression célèbre de W. Benjamin – « le capitalisme ne mourra pas de mort naturelle [[ surnaturelle c’est tellement plus sûr !]]» – c’est pour insister sur la nécessité de l’action : nous ne pouvons pas attendre que la société industrielle s’effondre en préparant «l’après», car cette société se caractérise précisément par la destruction de tout « après » possible [[ aucun apprêt pour les après !]], ou tout au moins de tout après souhaitable. Seules une insurrection mondiale, une résistance violente et non-violente systématiques – notamment face à ces organisations mafieuses et criminelles que l’on appelle des « États » privés qui ont pris en otages les états  – et une transformation profonde des rapports sociaux peuvent sauver ce qui peut encore l’être [[ rappelons que la mesure « sensible », celle qui, sensiblement, ne peut se tromper - c’est le système qui permette à tout le monde d’être reconnu.e. !]]. Et il y a malgré tout encore beaucoup à sauver ; de nombreux degrés, des millions d’espèces, la vie de milliards de frères humains et de « cousins à plumes et à fourrure », la beauté du monde loin d’avoir disparu, etc. »…

Beautés ? Dès que tout le monde pourra se faire reconnaître, à la seconde, 80 % de ces problématiques s’évaporeront…ce n’était que de…faux problèmes…Ce qui allège tant de le savoir

Dilapidation-et-prodigalite-Allege.pdf

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Le CAC 40 une affaire de mectons ? J’espère que c’est pas ton mec, ces mectons ! « Un thriller français pour comprendre le CAC 40 100% masculin [[ nuisance complètement identifiée donc…]] : Numéro Une, Tonie Marshall ! Enfin, pour ne pas perdre de vue les difficultés, les coups bas et les obstacles mis sur le chemin des femmes [[ versants antisociaux toujours soigneusement cachés : mais que font les médias mainstream ?]], Numéro Une saura vous rappeler à l’ordre. Tonie Marshall raconte la conquête du pouvoir d’Emmanuelle Blachey, ingénieure brillante, seule femme ayant intégré le comité exécutif de son entreprise, et désormais positionnée pour en prendre la tête et devenir la première femme PDG d’une entreprise du CAC 40. Ce qui, surprise, s’annonce coton. Un réseau de femmes d’influences va l’épauler pour affronter le milieu ultra sexiste [[ comme il est ultra idéologue, tous les excès lui seraient cumulés ?]] du monde des affaires [[ où pas de sentiments, disent ces benêts, trahissant ainsi leur point le plus faible. Là où il y a de la réalité (des sentiments et émotions) les affaires (donc tissées de faux semblants et de trompes l’œil) ne peuvent plus fonctionner. Hé bien c’est du propre !]] qui n’a pas franchement l’intention de lui laisser la place. A voir pour mieux comprendre le sort réservé aux femmes qui tentent leur chance pour briguer un poste de PDG, qu’il s’agisse de PME ou d'entreprises du CAC40, ces dernières étant, rappelons-le, à ce jour à 100 % dirigées par des hommes (Isabelle Kocher, patronne d’Engie, est bien directrice générale, mais pas présidente, seule Anne Lauvergeon l’a été pour Areva). A voir aussi parce que Tonie Marshall, conseillée par la journaliste Raphaëlle Bacqué et informée par de nombreux entretiens, est tout simplement l’une des premières à s’être attaquée à ce sujet en fiction. »…Disons, que tous ces éléments signalent ceci : qu’autant de se voir reconnue pour ce qu’elles sont, les femmes et toutes ont tout intérêt à aider à l’implantation de la nouvelle civilisation. Où il n’y aura plus de…faux dirigeants ! Aider encore ce système, système du Sans elles, à durer c’est bien se profiler comme sa propre ennemie !

  

>>>>> Les-possessifs                           Le JE qui prive du nous

« C’est ce sujet qui nous intéresse, non qu’il fait le discours, mais qu’il est fait par le discours, et même fait comme un rat. Jacques .Lacan. Avant d’être l’outil du formatage de la pensée [[ toujours moins…]] par toutes les ruses balourdises de la communication [[ vraiment vanter ces lourdingues c’est se tromper de registre !]], les marqueurs de la propriété de la langue française, adjectifs et pronoms possessifs, qui inscrivent le genre et le nombre de l’objet, la personne, au singulier ou au pluriel ainsi que la situation d’énonciation sont des outils grammaticaux complexes [[ comme tout ce qui inclut tout le monde. Mais complexité n’est pas compliqué – les 2 démarches ne partent pas des mêmes sources et intentions !]]. Leur complexité est à l’origine des troubles de l’apprentissage des petits et explique les divers recours pédagogiques qu’on retrouve aujourd’hui dans les énoncés infantilisants dont regorgent de multiples annonces autant écrites que sonores, informatives et/ou commerciales. Qui n’a pas été désarmé devant l’enfant montrant son ventre en articulant un «ton petit ventre» et devant la difficulté de le corriger en désignant son petit ventre tout en prononçant un « mon petit ventre » qui le laisse perplexe. Pour peu de temps, en réalité, car l’enfant saisit vite les situations d’énonciation, lui qui possède, sauf maladie rare, un allant joyeux pour la relation à l’autre et l’échange [[ l’instant complet est tout son bonheur. Aussi n’a-t-il aucun besoin de théoriser le bonheur, il le vit sans recul et sans un seul mouvement en arrière. Se reconnaissant lui-même en absolument tout, il ne s’encombre pas, non plus, du fardeau identitaire. Que ne choisit-il pas mieux que nous dans sa…spontanéité ? Comme si l’on devait faire semblant de vivre (pour du faux !) afin d’épurer l’abstraction dans les folies forcenées nommées idéologies, ces tombeaux avant l’âge ?]]. Afin de consolider son savoir et ce rapport du possessif à la situation d’énonciation et à la personne, l’école inscrira sur son cahier un « mon cahier » qui en fera un propriétaire averti et l’adjectif possessif ornera ses livres et les divers objets dont il est l’utilisateur privilégié. Le désir de s’approprier étant vif dès le plus jeune âge, l’apprentissage des possessifs est rapide et permet d’inscrire dans le langage à travers la revendication de propriété, son être au monde [[ à part que les possessifs inclut absolument tous les pronoms, donc toutes les possibilités sociales ouvertes de propriétés appropriées. Et que le scandale capitaliste, cette anti-éducation par le voyou, dans sa violence extrémiste, n’en conserve plus qu’un Seul pronom possessif : le moi moi moi moi. Et donc ? En découle l’absurdité des profits (qui coûte tellement plus aux autres que son truqué montant affiché : en effet, cette escroquerie, nommée profit, externalise tout ce qu’il coûte, donc refuse puérilement d’assumer ses propres frais…et il faudrait admirer ces chienlits avec leurs faux traités de non-libre échange et son « droit commercial » (cette antre du bordel où l’argent achète la justice) comme supérieur aux Droit Public et nationaux. Ce qu’il n’est à l’évidence pas du tout. Juste des hyper conflits d’intérêts…Cette construction infantile (que pour les mecs !), qui cause tant de malheurs humains, doit être mise bas, afin que tout le monde soit reconnu en sa valeur même !]]. Une sorte de «je désire donc je m’approprie donc je suis». Le ver est dans le fruit. La pomme ?

Et le générique [[ genre intérêt…général !]] au rencart. Car, habiles à saisir ce que la psychologie leur a enseigné, les communicants [[ ces destructeurs sournois des institutions…puisque tous les arrivismes méritent que l’on mente pour eux…Eh oui, c’est cela la fausse science de la communication. Tout truquer même le reste…]] de tous ordres ont mis à profit la relation infantile au désir d’appropriation et son exaltation du moi contenus dans l’emploi des possessifs. Jusqu’à saturation, mais non sans arrière-pensée et effets sur une société où périclitent le collectif et la considération de l’autre au profit [[le profit du au profit de avoue donc qu’il en perd sa considération pour les autres : le néolibéralisme, cette ultra délinquance, devient alors le pire des nihilismes de l’antisocialité. Un véritable ennemi du genre humain !]] d’un « je» [[ si sali de n’être plus qu’extension des avidités et des mensonges du tout ce qui est aux autres est à moi…]] en expansion qui n’est pas celui de la formule rimbaldienne ni celui du sujet lacanien. Après avoir saturé les espaces de la publicité, l’usage du possessif s’est emparé des annonces concernant le passage des trains, leur retard ou leur absence : «votre» train a remplacé « le » train pour telle ou telle destination [[ et votre…argent nous intéresse – au sens de nous avons de très mauvaises intentions dessus…dès que ces voyous disent vous, en général, c’est pour mieux nous truander !]]. Sans y voir la moindre malignité, il semble cependant que le développement de cet usage du possessif a accompagné précisément la politique de privatisation du service public des chemins de fer [[ Qui dit vous privatise, qui dit tu renationalise…La meilleure protection de ces vous, cibles des voracités illégales puisque les privatisations restent illégales en réPublique, oui la meilleure des protections c’est le…nous de la nouvelle civilisation !]]. Moins il nous appartient, plus l’énoncé nous implique dans une propriété factice [[ bien capté…Il ne faut avoir confiance ni dans la pub, ni dans le marketing, ni dans la com’ donc pas du tout dans les politiciens professionnels dont l’abolition est toujours plus demandée…]]. Sans exagérer, cet usage du «votre» qui peut signifier la déférence [[ sauf d’entendre le blasphème du se vautre sur vôtre…]] à un sujet singulier ou le collectif des voyageurs, s’est étendu à tout ce qui ne nous appartient que par la valeur d’usage, du quai qu’on piétine à la gare qu’on rénove, en passant par la sécurité ... ad nauseam. Déjà exaspérant dans son emploi et sa réitération, ce martelage du possessif insupporte par le venin qui le nourrit [[ le néolibéralisme est donc crédité de toutes les plus mauvaises intentions existantes. Mais le pire avec ce c’est il n’y pas de règles (sauf envers eux, où il y a même abus de règles !) d’un libertaire faussaire (donc prétendu contre l’état) c’est qu’ils deviennent dictatorialement étatiste dès qu’il s’agit de répandre l’ultra violence policière (oui l’ultra, une des plus renforcée)…Un peu que tout cela commence par laisser…passer le venin, du verbe venir !]]. Vous êtes le centre de tout comme la terre le fut du monde avant que certain ne s’en offusque et meure sur un bûcher à Rome. Déjà animé par une tendance inflationniste, le «moi» [[ moi à qui tout serait permis tandis qu’au Nous rien n’est permis : ni égalité ni liberté ni sororité et fraternité ! Un vrai pays ce n’est pour les égoïsmes sans issue bourgeois, tous séparés et coûtant donc une planète pour chacun…non un pays c‘est pour Nous, pour les nous qui ont fini d’être des moi (le Je lui reste là pour assumer ses propre responsabilités !)]] qu’exaltent ces énoncés risque fort d’éclater. Et de faire éclater ce qui reste d’une société de compagnonnage. Car cet usage met en place ce qui trament le néolibéralisme et l’ultra-libéralisme structurés par l’individualisme, la concurrence, la compétition. Bref, sortez les couteaux [[ l’hyper violence partout, les flics étant là afin de nous obliger à être toujours plus antisociaux, égoïstes et cruels. Bref des ennemis de l’humanité ! Admettons, alors qu’il ne faille surtout plus obéir à leur peu recommandée mentalité de Casseurs du bien général …]].

On aurait pu en rester là et l’intoxication sécréter rapidement son antidote, mais cela est passé inaperçu ou presque. En conséquence, la manoeuvre a continué et sa toxicité a augmenté [[ c’est que la corruption par les…possessifs vise nos …dépossessions complètes. «Leurs» possessifs (plus les nôtres) c’est pour nous posséder à tous les sens du terme …]]. Car de ce vous, 2e personne du singulier ou du pluriel qui interpelle un propriétaire fictif ou l’assigne à un désir prescrit [[ ce qui n’est plus un désir…]] — voir la scène de l’entrée dans un centre commercial dans Minority Report, le film de S.Spielberg — un glissement s’est opéré vers un usage de la première personne se substituant à sa position d’énonciateur et lui subtilisant sa qualité d’être dans le langage. «Je» me désigne, « mon, ma, mes » aussi [[ et ce mon ma mes ont dérobé tout le… contenu magnifique du Je…Et donc ? Qui a encore un Je ne peut que rejeter fermement tout le consumérisme…Et le si vain concept de « marchandise » ne t’atteint plus puisque tu ne le vis pas…les marchandises c’est quoi alors ? Juste ce que les marchands disent…Rien de plus : laissons-les dégoiser à part…]]. Et nul autre que moi. Si la loi punit l’emprunt de l’identité d’un autre à des fins diverses licites ou illicites [[ ce que, en tout premier, la publicité encourt (usurpations d’identités comme Facebook) en ne faisant que nous voler nos possessifs et nos identités…donc pour elle des milliards de procès (elle a trop usurpé) et assez d’argent obtenu afin de commencer la complète émancipation de l’Humanité, un nous plus fort que tous les minables je de l’escroquerie capitaliste…]], au nom de quoi laisser se répandre l’usage abusif du possessif à la première personne, de la publicité aux annonces officielles [[ plus question – chacun.e doit se faire reconnaître – la glaciation en plastique des ex-rapports humains empêche clairement ces reconnaissances humaines tellement humaines…]]? «Mon atelier» [[ non mais fous nous la paix, est-ce que nous venons te faire chier chez toi ? C’est exclusivement à Nous de désirer… limiter l’extension du domaine du moi…il a trop pris de place, il est mis à la diète. Donc toute publicité lui est interdite, elle fait trop grossir, ducon !     Te voilà privé de ton esplanade de nuire…]] chez Décathlon peut laisser imperturbable et « 300 profs rien que pour moi » dans la publicité du métro pour Wall Street English faire rigoler, mais « Dans ma peau » comme titre de l’exposition d’une grande institution a de quoi troubler. Quant à « Ma pochette de sortie » inscrit sur le livret de l’hospitalisation, sans doute associé au plan de la ministre de la santé intitulé « Ma santé 2022 », nul ne peut manquer de s’interroger sur la finalité de l’exercice linguistique [[ ce qui est fait…nous les exproprions de toute possibilité de nous exproprier de notre Nous à nous…que ces vils égoïstes aillent croupir ailleurs…]]. Et ne pas la borner à l’infantilisation par le recours à un procédé pédagogique anciennement destiné à la petite enfance. »

…………………………Et que ces escrocs avaient tenté de nous fourguer…

De quoi reprendre du poil de la bête. Et de ce tout animal redevenu, ce qui rend encore plus…humains,

………………..nous surplombons, enfin, les maigres données du système…’

…le nombre …dénombre, dé-nombre…donc nous tire complètement de l’ombre…

….et nous retire du nombre si anonyme…le nombre est… nom

………………………Et certifiée par nombril le nom !

 

…….………………(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

       Que le vaste émerveillement collectif nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

       tous ces textes quotidiens sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 200 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

lagune pénombre – collection Fix

lagune pénombre – collection Fix

La pénombre du nombre ?
La pénombre du nombre ?
La pénombre du nombre ?
En pensant à lui, sans réfléchir, est surgie cette phrase déjà toute prête : On se replie, on se replète. On se repiplette. Boum et reboum…pas moins d’un mot qui n’existe pas afin de faire surgir tous les non-dits… se repiplette ! Tout le monde n’est pas aussi prolixe…

En pensant à lui, sans réfléchir, est surgie cette phrase déjà toute prête : On se replie, on se replète. On se repiplette. Boum et reboum…pas moins d’un mot qui n’existe pas afin de faire surgir tous les non-dits… se repiplette ! Tout le monde n’est pas aussi prolixe…

La pénombre du nombre ?
Les Etats-Unis n’autoriseront plus les étiquettes qualifiant le glyphosate de cancérigène…Et nous nous n’autorisons plus leurs dires que nos pisses aillent dans leurs tronches en biais !

Les Etats-Unis n’autoriseront plus les étiquettes qualifiant le glyphosate de cancérigène…Et nous nous n’autorisons plus leurs dires que nos pisses aillent dans leurs tronches en biais !

Jamais société n'a porté l'étendard de la liberté avec autant d'ardeur et jamais pourtant elle n'avait détruit avec autant de zèle les formes concrètes de la liberté et de l'autonomie. Jamais en effet notre vie quotidienne n'avait été à ce point asservie à des structures hétéronomes ;aujourd'hui la satisfaction du moindre de nos besoins fondamentaux - l'eau , l’électricité, l'habitat, la nourriture , le chauffage... est tributaire de systèmes politiques , industriels et économiques complexes et fragiles sur lesquels nous n'exerçons aucun contrôle. De Pierre Madelin…

Jamais société n'a porté l'étendard de la liberté avec autant d'ardeur et jamais pourtant elle n'avait détruit avec autant de zèle les formes concrètes de la liberté et de l'autonomie. Jamais en effet notre vie quotidienne n'avait été à ce point asservie à des structures hétéronomes ;aujourd'hui la satisfaction du moindre de nos besoins fondamentaux - l'eau , l’électricité, l'habitat, la nourriture , le chauffage... est tributaire de systèmes politiques , industriels et économiques complexes et fragiles sur lesquels nous n'exerçons aucun contrôle. De Pierre Madelin…

La pénombre du nombre ?
Il faut désirer le grand changement…

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La pénombre du nombre ?
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Esprit critique... Ou Blasphème ? | Patrick Banon | TEDxBeauvoisine

Impunité policière : afin d’assécher l’abusif arbitraire, il suffit de supprimer le ministère de la Justice ! Voir ici… http://www.imagiter.fr/2019/08/suppression-du-ministere-de-la-justice.html

Ascenseur social bloqué…4 % seulement de pauvres…tous maltraités comme…illégitimes. Les bourgeois sont d’une violence extrême afin d’expulser tout le monde…Aucune excuse… Cf à ce propos: Marcel Gauchet: Emmanuel Macron a échoué sur tout

Une chaine d'Infos Suisse à la rencontre des Gilets Jaunes à Carpentras

Numéro Une II Rencontre avec Tonie Marshall

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