C’est comment un changement d’époque ?
Nous étions si étriqué.e.s dans le XXI ème siècle, nous bondissons dans le… Troisième millénaire. Ce qui change carrément de Dimensions. Mais aussi de buts…Collectifs, puisque 3 c’est la résolution de tous les conflits, leur résorption dans une unité bien plus grande (style qui peut tout accueillir de ce qui la précéda)…Puisque ? Tout procède de ce qui précède mais ce qui précède cède sur les nouvelles méthodes qui vont…suivre, méthodes qui co-créent ce qui suit. Et donc le Troisième millénaire c’est juste la bonne taille afin de tout résoudre…Comme de tout résOrber dans une autre orbe et de transformer (de la chrysalide au grand papillon)…tous les potentiels contenus/retenus (avant ; dans le seulement 21 ème siècle, dans des formes trop…inappropriées !)…Bref, nous allons approcher au plus près ces incroyables…résolutions (de solutions à un problème donc résolu – et de déterminations costaudes d’être absolument résolus à aller jusqu’au bout !).
Disons que la difficulté est de transmettre. Alors (Les pieds dans le plat) une vie réussie (hors du monétaire s’entend) c’est une vie qui reste dispose du disponible, ouverte, éveillée, accueillante, recevante, à qui rien n’échappe et qui – juste épicurienne soit très …économe des autres, genre ne pas les faire chier – parvient à extraire le… meilleur de l’époque. Pour pas un rond ! Mais encore : au lieu d’un stupide repli dans un bunker d’égoïsme contre soi – une vie en 1ère ligne de sa…vie. En avance sur son futur, qui capte, pige, devine…qui sculpte même l’époque (avec les célèbres vérifications par les faits - que les attardés parisiens ont salopé par le «fact checking» (c’est quoi ça, les pensées ce sont des bagnoles ? Ah ouais, va donc essuyer ta connerie ailleurs !)…Bon, en un seul paragraphe, nous avons bien avancé…après un exemple de terrain, nous nous retrouvons…
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...antipresse-un-lieu-où-l'époque-s'entrevoit-!
« Je n’ai jamais eu de téléviseur chez moi [[ comme quoi…]]. Je ne lis les gazettes que par devoir professionnel et les deux seuls périodiques dont j’aie été un abonné fidèle étaient l’Amuseur de Politika serbe (Politikin Zabavnik, hebdomadaire fourre-tout pour l’enfance et la jeunesse, voir le chapitre 5 de mes Aveux publics) et le Vanity Fair original, flashy-dandy-trendy, bref new-yorkais. Je ne connais de plus irritant cerveaulavage que les «infos» tournant en boucle sur France-Info ou Euronews [[ pourquoi se précipiter pour tant s’auto-nuire…Puisque le nous le valons bien (cette astucieuse anti-pub !) exige – clairement – de toujours s’extraire de «leurs» merdes. Le moyen le plus efface est de contourner, sans un regard, ces tas d’egos sans vie..]]. Je prends les nouvelles — comme on prend le frais ou l’apéritif, dans la syntaxe surannée des romans de Simenon — sur l’internet et dans les journaux gratuits qu’on laisse traîner à mon intention sur les banquettes des trains, et je forme ma vision du monde en rencontrant des gens et en lisant des livres [[ c’est exactement cela le Nous de nousvelles doit être incarné complètement – vécu direct en fait…Le frais des nouvelles fraîches ne peut se trouver qu’à la source : là où sont les vrais humains…Franchement : à comparer objectivement blogs et sites à la presse avariée (même si d’heureuses surprises y existent encore…) cela ne fait pas un pli : la passion et la ferveur ne se trouve que là où nous continuons d’être surpris et …ravis…et enchantés…et transportés…et tire-larigot…et…]]. Je suis un visuel. Si je m’étais écouté à l’époque où j’ai tenté de devenir cinéaste, j’aurais fait de la photographie une profession. J’ai bien fait de ne pas m’écouter, car cela m’eût sans doute dégoûté de ce bel art [[ faut être dur.e avec soi, ce critiquer plus que ne font les autres, héhé héhé, mais pas…s’auto-nuire : et donc ?]]. Je persévère néanmoins, depuis l’âge de dix-sept ans, à chroniquer ma vie par des images, que je publie parfois avec des légendes sous la rubrique « Photobiographie », ici ou dans Eléments.[[ dont le principal reste de ne pas se faire niquer par… l’Image, soit la mise sous plastique mort de tout ce qui vibre dans la vraie vie. L’Image de plastique où… plus un souffle, plus d’air du tout, zéro inspiration, plus de verve du verbe, là où rien n’est acquis que comme pierre tombale mais où… tout se vit comme le vivant…venant tout juste de commencer…Vraiment en arriver à préférer le lisse des surfaces évidées…vides (là où certain.e.s surfent oui de surface vaine surfe…)…au lieu de préférer les…aspérités du réel…et donc de faire que Chaque image, photo, dessin, etc. une critique vrillante directe du Spectacle de mort…En général (en plus) c’est toujours très drôle…]]
Tout ceci pour justifier mon étonnement lorsque, me retournant sur ma vie, je vois que j’ai toujours… frôlé le journalisme [[en 2020, les meilleurs journalistes restent les…vrais écrivains, vous savez les hyper censurés et blablas et par vous aussi car la Censure n’est que collective, pas d’un minuscule grouuupe, ah bon…]]. Quand je dis journalisme, je ne parle pas d’un registre professionnel, mais d’une vocation. Je pense à la « forme longue », aux « choses vues » (© Victor Hugo) au « témoignage humain » illustré par les Albert Londres, Malaparte, Kessel, Jean Cau ou V. S. Naipaul. Il va de soi que l’Antipresse a été créée en hommage à cette grande lignée et non pour « contrer » les partis pris des « médias de grand chemin » [[ comme ce bandit qui bondit …à côté de la plaque…en fait, bien des chemins se regroupent autour de ces très…nouveaux journalistes qui rassemblent, regroupent, englobent oui…offrent Tout ce qui fait de vraies vies….ils/elles se sont déjà bien infiltrés. Une des prochaines Vagues va nous les révéler au…Grand Jour !]]. Tout exercice de « contre-… » ou de « ré-… » consiste à se définir par rapport à ce qu’on conteste [[on se pose par rapport à ce à quoi on s’oppose…sauf que la dialectique nous fait nous placer à… manipuler (sans même le vouloir) ceux qui croient manipuler les autres – tellement ils sont englobés/gobés…et dont des flatteries (vécues hallucinées) dans …d’autres écrits leur font… se mélanger tous les pinceaux…Leur désordre n’est que le…leur. Partout, pour nous, c’est luxe calme et volupté…sachant que luxe n’est pas luxure ni luxation mais bien la merveille d’une beauté intérieure qui déplie toute ses richesses incroyables en même temps !]]. Le ciel nous en préserve ! C’est pourquoi je ressasse toujours que nous ne sommes pas un organe de « réinformation ». Nous ne sommes pas contre, mais en face, voire tout à fait ailleurs [[ d’ailleurs ailleurs c’est ici oui oui un ici maintenant maintenant si bien maintenu si tu sens ce que tu vois !]]. Si nous versons dans la « réinformation », c’est comme une montre à l’arrêt : deux fois par jour, forcément, elle donne l’heure juste.
[[ et l’endroit c’est…à l’endroit – pour les menteurs et les escrocs tout leur reste inversé, à l’envers et contre tout…auto-piégés par leur avides vides…Nous possédons le vrai spéculaire (haute magie Imagie) et à eux que les ahuries…spéculations boursières- courir après la course-bourse sans jamais la rattraper ce n’est pas une vie…mais bien une zombie vie…]]. Comme je suis resté seul rédacteur en chef, l’Antipresse a fini par refléter mes goûts, mes besoins et mes contradictions. Le rendez-vous strict du dimanche matin, 52 fois par an — jamais manqué — est originellement dû à la nécessité intérieure de structurer mon temps par une contrainte extérieure [[la Grande liberté reste aussi une…discipline…recherchée !]]. Cette cadence impose une structuration minutieuse de la technique. Je l’ai décrite dans la visite guidée du hangar (Antipresse 162, 6.1.2019). La publication électronique demeure un territoire à explorer [[ fait, le explore…le futur s’offre à qui…donne (sans décompter) et maintient le Gratuit qui (à son tour) vous offre tant de …gratitudes-attitudes !]]. L’édition de l’Antipresse a un petit goût de « retour à Gutenberg ». Je me surprends, dans cette équipée de l’Antipresse, à illustrer la caractérisation qu’avait faite de moi Michel Maffesoli dans sa gnostique préface à Despotica (qu’il m’a fallu du temps pour déchiffrer) : archaïsme et retour aux communautés premières. La simple ambition de « voir dans les choses plus que les choses » — expression empruntée à Victor Hugo — renvoie à une conception habitée [[ qui n’habite pas sa bitte n’a aucun amarrage où se la marée de rires renouvelés…par Vagues, puisqu’on te dit…]] de la réalité passablement incongrue en notre ère du plat premier degré (quand elle n’est pas carrément taxée de complotisme…Chacun.e. ayant le plot de son esclavage…ou de son infinie liberté dont aucun signe…extérieur n’est là pour la clignoter…Rien de plus crétin (donc) que de perdre une seconde avec la stupidité hébétée du vain mot complotisme…qui ne sert…à rien !! Comme si nous perdions notre temps à les dénoncer – renoncer à eux va tellement plus vite. Complotisme un mot ahuri jeté par qui exige que nous ne… pensions qu’à eux – trop d’honneur pour ces…déshonoré.e.s, non ? Non nous ne pensons pas à eux – et le mot complotiste est soudain soudé tout flétri, désuet, hé bé…).
A rebours de tout marketing efficace, nous ne sommes pas « ciblés » en direction d’une « niche-caniche ». Ni par le genre, ni par les idées, ni par les contenus. [[ jamais auto-piégé.e.s par tes propres écrits qu’on te foutraient comme une prison, ducon !]]Nous sommes à cheval entre divertissement, littérature et témoignage [[ trop court, mince, étriqué le catalogue qui…ignore (faute de le savoir) …95 % de la vraie vie…]] — comme les gazs-magazines cités plus haut qui ont alimenté ma jeunesse. Nous n’avons pas d’idéologie ni de programme, à l’exception, je crois, d’une aversion commune : l’extension du domaine de la chute, le basculement dans la régression totalitaire qui menace la société industrielle depuis ses origines — comme l’avaient vu Rousseau, Flaubert ou Ellul —, et qui ces dernières années a passé du stade de menace à celui de système malgré les avertissements hérités du siècle précédent. Le délire « transhumaniste » n’est que l’illustration contemporaine du tableau de Goya : « Le sommeil de la raison engendre des monstres ». [[ d’où la lecture du « Je ne parle plus à qui a raison » va vous plonger dans une Joie qui dure toute la vie. Avoir raison oui ce sont ces minables fausses élites qui ne SONT jamais raisonnables (jamais DANS la Raison, à nager dedans, avec, autour et en plein milieu…)…qui donc pas une seconde n’ont approché l’être Raison, cette extase permanente [[ ils osent donc parler de ce qu’ils ne connaissent surtout pas…et ne connaîtront jamais…]]. Et donc ? Ces idiots… inutiles, si limités en sont à mais j’ai PERDU la raison (mais non hangar 112, crétin), comme si la Raison fut un objet, inerte chose, que l’on peut perdre, et non le Processus…enchanté de toutes les libérations possibles…]].
Or nous voyons aujourd’hui que cette aversion est aujourd’hui devenue sinon un projet, du moins un signe de ralliement, tant entre les rédacteurs et invités de l’Antipresse qu’entre l’Antipresse et ses lecteurs. Je reviendrai plus en détail sur notre questionnaire dans le prochain numéro, mais il livre d’ores et déjà un « portrait-robot » de notre lectorat qui nous ressemble fort. Nous ne voulons, ni vous, ni nous, de la Fausse culture imbécile qui se répand comme une marée noire. Nous ne sommes pas « anti », nous sommes justement « à l’endroit ».[[ le –pro…pro, donc les POUR, sont ces humains si pleins d’avenir, avenir à venir et non advenu ou parvenu, comme tous ces crétins qui ne sont parvenus nulle part et qui osent le .brailler ‘Je suis un parvenu.e « --ah oui, parvenu.e A Quoi déjà?? !]] Nous résistons aux slogans non par d’autres slogans mais par la défense et la protection de ce que les slogans (mots réduits en massues) s’emploient à combattre : l’originalité de chacun [[ tu crois pas en toi, on s’en fout, Nous…croyons en toi, pour deux si tu veux !]], l’indépendance, la richesse de la langue, la liberté d’être ce qu’on est et de le dire. Bref, en cultivant nonchalamment [[ de …non chalands, qui n’achète jamais les cochonneries du vain Spectacle…]] l’imperfection, l’insoumission et l’incorrection qui font de nous des êtres humains…>>> Quand l’espace public devient terre hostile…
>><< *** C’est ainsi qu’en lisant vos missives, et en regardant un peu autour de nous, nous nous sommes aperçus que ce bateau de papier (électronique !) est devenu en quatre ans une arche de Noé, une belle communauté d’esprits, et pour certains un véritable refuge dans la tempête [( hébé qui pouvait s’imaginer cela …eux ils auraient noë-l perdu en mer et nous noé retrouvé en paix ?]]. Dans un ouvrage qui vient de paraître, L’innommable actuel, le pilier de culture Roberto Calasso évoque ces témoins des époques troublées, en tous lieux et toutes confessions, qui, comprenant l’incurabilité de l’espace public, ont converti toute leur énergie d’action en témoignage. / transmissions…Il les appelle les «analogistes» (car ils créent des liens et renouent ceux que l’on s’efforce de briser…ou dit autrement des « pontistes » puisqu’au lieu de pontifier, de Pontifex, de…etc. Bref, ils disent ce qui «se» passe réellement…donc font passer en vrai de tous les bords, font le lien et le lieu du lien, au lieu de gagater en ça Va se passer… « se » mais quoi où quand comment SE passer,…raconte conte…à part qu’ils ne savent rien (non plus) sur les passages les passementeries, les passe-montagnes, les passeurs, les passoires et les passerelles de tous les temps passés – mais passés…où ça Où ça passé déjà ? ).
« Ils furent les premiers à ne pas se conformer étroitement aux interdits tribaux, dont pourtant ils reconnaissaient et avaient parfois élaboré les significations. (…) Ils furent les premiers à comprendre que la pensée ne dépendait pas de la société, mais la société de la pensée. (…) Ils n’étaient jamais nombreux, mais toujours reconnaissables. (…) Ils ne parlaient pas, ne prêchaient pas, ne convertissaient pas. Mais ils parlaient et écrivaient. Ils comptaient sur le simple pouvoir de la parole, sur sa capacité à guider le cœur de n’importe qui vers un nouvel Orient [[ aussi dit donc… l’or Riant !!]]. » Roberto Calasso, L’innommable actuel (2019), p. 65…[[ voilà que de grands pas nous sont…parvenus…la société Dépend de la pensée et que des absurdes dévoraces (la hideur des Voraces) ont osé le « on ne publie pas les génies » (…vers 1980 ), voilà qui…STOPPE tout, la société est en cale…sèche. Voyons une vague de génie tous les 25 ans (en gros) 1950, 1975 et…2 000 ( ?)…ils sont où, censuré.e.s interdits, même pas comme les…dissidents où tout le monde aidait, copiait à la main, sur du PQ parfois, faisait…passer, diffusait, transmettait… ces écrits VITAUX pour le futur social…Eh oui si c’est stoppé, congelé c’est parce que trop refuse d’admettre que les génies ( jamais de jamais du côté des pouvoirs, c’est dire ! ), purée un eu que ça se…diffuse en très Grand…c’est le médicament qui fait CHANGER d’époque !]]
Nommer et décrire l’« innommable actuel » : immense tâche qui ressemble à un sacerdoce, mais qui se décompose en mille histoires, esquisses, pensées ou témoignages hors du calibrage dominant. Sortir du moule est tout ce qu’on nous demande. C’est amusant pour nous et intéressant pour ceux qui nous lisent. C’est pourquoi nos lettres « trop longues pour de l’internet » [[ conneries de…lâches !]], « trop savantes pour le lecteur ordinaire » [( quel mépris/ méprise envers les humains !]], « trop inactuelles pour les consommateurs de nouvelles » [[ beuââârk de chez beuark…]] et « trop ambiguës pour les esprits engagés [( où ça leurs…gages, ce qui les engage ? le langage…]]» rassemblent de plus en plus de lecteurs, qui en plus sont des amis »…Voici que nous avons montré tous les possibles à travers un exemple qui n’est pas Le modèle à obligatoirement suivre – mais bien la route à suivre pour toucher l’émancipation complète…et la libération de tout le monde tant qu’à faire…Autre exemple qui dé-Range les…rangements ?
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«Nos parents nous ont élevés… sans les tendances éducatives à la mode, et si nous prenions exemple sur eux? [[ il n’y a pas de parents parfaits mais chacun peut nous avoir offert (ce n’est que longtemps après que nous en prenons conscience) de vrais trésors de vie : ici, ils nous ont préservé, dans leurs cercles, de toute Pression Sociale, de tout Choix forcé, forcé à cliqueter à chaque minute devant un nouveau…produit (qui, jamais, ne SE produit…pro-Duit…)…tu Dois choisir, ah bon le 30 Février alors…Non non, l’accueil égal et le défilement paisible de toute les nouveautés – sans filtres préalables, sans a priori, sans psychorigidités (genre si c’est nouveau cela «vaut le coup» d’en prendre Au Moins connaissance…quitte à approfondir, personnellement après en cas d’intérêt et de résonances en soi. N’est-ce pas des oasis de démocraties (et de respects interindividuels) assez forts que nous avions là ? …Sans fanatismes ni idéologies ; bref la merde qui ruisselle des Faux hauts actuels…où comment s’en débarrasser avec le minimum d’efforts…]]
Arrêtez tout ! Tout ce dont vous avez besoin est là, près de vous. Ou peut-être à deux pas (en faisant attention aux Lego qui traînent). Maria Montessori a élaboré sa pédagogie en évoluant autour d’enfants de milieux défavorisés [ par qui déjà déFavorisés ?]], et aujourd’hui on nous vend des jeux estampillés Montessori à des prix parfois exorbitants. Pourtant je vous assure que lorsque l’on prend le temps de lire ses travaux (et pas Que des bouquins qui arrondissent les bords), il n’a jamais été question de dilapider l’héritage d’un enfant pour réussir à l’éveiller correctement. Parce qu’on nous a fait croire que la valeur était dans la beauté (définie par l’adulte…adulte donc adultère !!) et dans la dénomination (d’où l’exemple frappant de Montessori). Parce que le jouet n’est plus fait… pour l’enfant, mais pour l’adulte et ses adultères encore. Le jouet doit se fondre dans le monde de l’adulte [[ ainsi…confondu ! C’est un escroc, dont les crocs veulent voler la Vraie vie de l’enfant. Ce dont l’enfant à besoin c’est d’écoute véritable et d’attention…attentive…Ce n’est pas l’argent mais la gratuité des Dons qui le construit. Tuteur instituteur/ tutrice eh oui…Ce qui élève les élèves (les …élevés) est bien hors…circuit monétaire !]], et surtout ne pas détonner dans un environnement épuré, où le prisme des couleurs ne vaut pas mieux que Satan, sauf s’il est en bois (écoresponsable).[( en gros, l’enfant doit être évidé de toue enfance, privé de toute ampleur imaginative, de spontanéités de découvertes non…balisées, ôté de sa juste trajectoire d’élans vitaux et d’erreurs à essayer pour réussir (de ré-Issue)…Les viols des consciences sont sans doute les pires !]]…
Quand tout est parti “de travers”
Finalement, tout est parti de travers lorsque l’on a confondu beauté et simplicité [[ lorsque ont déboulé les pervers narcissiques, vous savez les n’aimez personne, y’a que moi moi qu’il faut aimer. Sinon ? Je fous la perversion (de s’éloigner des versions en étymologie) oui la Perversions dans toutes les saines versions, bordels, désorganisations de la société, et désordres semés par des…costards cravates l’air de en jamais y toucher ! Et…pourtant, suffit de regarder et d’écouter…sans filtre !!]]. Lorsque l’on ils s’est mis à voir l’enfant comme une… étiquette, un reflet de l’adulte que nous sommes, visible aux yeux de tous, viles…marchandises (eux pas nous…). Une existence parfaite, dans une maison parfaite, avec des enfants parfaits, jouant à des jeux parfaits [ ouais , tout ça c’est que du… monologue, vous savez de la monoloctature, la dictature d’un seule version (la perversion) ]]. Et moi, je donne des conférences sur le lâcher-prise, la charge mentale ou encore la parentalité instinctive. J’en ai vu des parents arriver avec un cabas (en coton bio) rempli de livres sur la parentalité, bons parents/mauvais parents, Montessori, Dolto and co…. combien de “Regardez on a fait comme c’est écrit là… et puis là aussi!!” [ à ce point de…ah bon ce point de à ce point ?]].
Combien de fois j’ai eu envie de leur hurler que NON leur enfant n’est pas un dessin de BD. [[ fallait le hurler – nous l’avons fait, voix de théâtre pour dompter, tu vois…car c’est cela l’Image la mort lisse et…papier glacée, retouchée et mentie Trop belle l’Image (aucun.e humain.e ne peut se comparer à une image aussi…inhumaine)…oui des enfants …éteints comme des Images glacées…non non fait hurler que NON…Laissez-les… vivre…foutez-leur la…paix, pas la guerre !]]…Qu’il ne leur dira jamais “Merci, maman, de me faire accepter la frustration et de m’aider à… grandir [[ eh oui, accepter les frustrations c’est…Grandir, ce pourquoi les bourgeois inéduqués sont si…petits dans leurs comportements du moins…]] en acceptant mes émotions”! [[ bref, d’être juste et surtout…naturels. Les bourgeois égarés c’est l’enfant n’a plus le droit ( !) d’être…naturel…D’où les flots de contre-natures chez eux…]]. À certains j’ai dit que je me suis plantée plus d’une fois, comme eux, et qu’on se plantera encore de nombreuses fois [[ une plante ne grandit harmonieusement que si elle…se plante, non ?]]. À beaucoup j’ai répondu que nous sommes humains, pas programmés pour élever des mini humains en faisant abstraction de nos émotions, de notre histoire, de nos envies [[par exemple, mais nous pouvons dire tellement mieux…le miel du mieux…]].
Et nos parents?
Si on y réfléchit bien, on a tous quelque chose à reprocher à nos parents; ils ont fait au mieux, avec ce qu’ils avaient, avec ce qu’ils pensaient bon pour nous. Il serait peut-être bon de prendre leur exemple, pour cette fois [[ oh que oui oh que oui…]]. Fermer les livres [[ un moment…ou retrouver les Bons…ou y revenir après, lorsque plus de reculs, de distances critiques, ou bien publions et vite les génies….]], regarder …ce que l’on a et faire avec. Être conscient de tous ces outils que la psychologie et les neurosciences nous apportent, c’est …progressif. Mais le but n’est pas de créer une société uniforme. Le rôle de parent est d’aider des mini-humains à devenir les meilleurs adultes possible [[ par exemple , en admettant que ces enfants, dernière étape de la vie – ont aussi à nous…apprendre. Et pas qu’un peu…]]. Mais avec chacun leur propre histoire, [( c’est cela qui Importe, respecter vraiment leurs…parcours, leurs vraies histoires secrètes, ne pas les faire couler dans aucun moule mais…leur présenter tous les choix…possibles (ne pas es masquer tous sauf un, le nôtre ou celui des dictateurs de la politique…faussée…]] faite de casseroles, de jolis souvenirs, de larmes, de chutes et de mains tendues. Je me suis toujours dit que pour que mes enfants soient bien dans leurs pompes, je devrai être bien dans les miennes…[[ donc libérés et émancipés de toute indignes Pressions antisociales - de quoi changer d’époque non ?…]] Pour preuve, lorsque j’ai mal aux pieds, je vous assure que le niveau de décibels est très (trop) élevé dans la maison! [[ ben ça alors..]]
On peut tout envoyer valser, l’heure du bain, les… trop Intrus qu’en-dira-t-on de la voisine ou de la famille, les papiers pas rendus à temps, les chaussettes dépareillées et les couettes de travers. On peut laisser la maison sens dessus dessous, s’allonger sur le canapé et lire une histoire aux enfants, ou ce que je préfère, danser au milieu du salon sur ma playlist inavouable. On peut faire ce que l’on veut avec ce que l’on a, du moment que cela nous ressemble. Puisque cela vient de nous, si ça sort des tripes, lorsque c’est l’instinct qui vous pousse, alors dîtes-vous que c’est la… meilleure réponse, là, au moment présent, celui qui compte pour vos enfants. »…Oui qui…compte – puisque les enfants c’est simple, c’est toujours la Qualité et pas la quantité qu’ils préfèrent…La Qualité expulsée de la société depuis quand déjà ? Et expulsée par qui déjà ?...Un moment de qualité restera dans leur souvenir comme une osais – et pas le vacarme…abrutissant de la consommation …inhumaine
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Il y avait donc tant de pièges dans cette époque qui finit…Et ? Tout ce qu’ils disaient afin de nous y enfoncer encore plus, nous aura (en faits !) servi de corde salvatrice pour nous sortir du puits des vérités ?
Et – ce sont eux, désormais qui sont enfermés (et enfermés c’est l’enfer !) dans les vieilleries de leurs idéologies irrespirables et de leurs…anti-sentimentalités (quelles sales mentalités !). C’est eux qui sont foutus, anéantis, saupoudrés, implosé.e.s par eux/elles–mêmes…Tout le mal qu’ils ont sciemment fait, désormais, les vénénise…et ce sans que nous n’ayons fait un seul geste, semé la moindre intention – simplement en nous concentrant sur l’Essentiel… qui est…
…// --Surtout de RIEN faire, sentir, envisager comme eux/elles…ils ont limpidement tout faux…inutile de les y suivre…
…// -- Et trouver les chemins non empruntés (toujours les plus frais, les plus neufs, non ?) qui nous permettent de…sauter (bond quantique) vers la…Suite, à l’époque qui suit. Oui nous avions changé d’époque et aux yeux de tous…Trop long (comme vos avez capté…) de tout tout expliquer…Disons la méthode de pointe aura été ;
……>> << ::: Opter pour l’optique ver qui nous aura Offert tout le spéculaire…
Oui ce spéculaire si délaissé et négligé alors que s’y trouve la bonne résolution…
……Celle qui permet de tout voir et donc prévoir…ce qui n’est pas rien
…..…..…… …(à suivre)
>> - Vu que c’est comme Cela que nous avons Changé…d’époque !!
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
« Notre intimité a t-elle disparue dans un univers panoptique ? Ce qui fait de nous des êtres vivants, des contituants d’une biosphère nous est-il volé aujourd’hui ? le vivant est-il devenu un nouvel objet de spoliation des libertés et droits fondamentaux ?"
« Depuis le 6 décembre 2015, l’Antipresse a publié 199 lettres hebdomadaires, 793 articles originaux, 114 tribunes, 1080 brèves et 220 citations d’auteurs. » Ce petit récapitulatif qui figure en tête de chaque édition de l’Antipresse mesure le chemin accompli, avec une grave légèreté, dans la bonne humeur et dans la plus joyeuse anarchie. L’Antipresse est en train d’atteindre la vocation qui était peut-être la sienne sans même que nous le sachions : le lieu où l’époque s’écrit en (bon) français.
Open Letter to Professor Sung-Chul Shin, President of KAIST
As researchers and engineers working on artificial intelligence and robotics, we are greatly concerned by the opening of a "Research Center for the Convergence of National Defense and Artificial ...
Pétition contre toute forme de robots tueurs…
Haute fidélité…d’écoute…ceci se dit, aussi « résolu » - la bonne résolution (dans le son) Résout donc toutes les fausses problématiques ?
plus c’est Faux plus ce non-art atteint des sommes folles…il n’y a plus d’artistes que des usuriers…
autres impostures…une dirigisme rigide qui nous dit quoi aimer et quoi penser. Eh oui à ce point des hauts délires– vérifier c’est refuser…
UNIVERSITÉ, RECHERCHE : LA RÉBELLION FACE AU DÉSASTRE QUI VIENT - MARCHE OU GRÈVE #25…2 h 11mn…
extrait 2 : l’espace s’espace ! 2001, l’Odyssée de l’espace
Les experts l’appellent le virus de la vérité et il est très contagieux. Évitez tout contact avec des personnes qui pensent de façon autonome et agissent de façon responsable. On soupçonne que le virus peut aussi se transmettre par la... pensée. D’après les dernières recherches, la voie exacte de transmission a maintenant été entièrement découverte. La maladie commence généralement par la lecture ou l’écoute de ce texte décodé. Le temps d’incubation n’est que de quelques millisecondes.
"Le langage n'exprime pas la pensée mais la réalise. »
Le Drone de l’antipresse text
33 mn Vers un nouvel âge d’or de la vie intellectuelle française ?...Changeons déjà d’époque pour ça !