Gemmes de femmes !
Les féministes dans l’œil de la violence ? Elles ont été amplement diffamées – et, à l’autre bout du spectre, nous trouvons des éloges lyriques. De quoi brouiller tout ce qui s‘est passé (et qui se passe) réellement. Le tout flouté de trop d’exagérations. Sûr que ce n’est pas un texte qui va ôter ces opacités, ces transparences barbouillées et autres assombrissements – mais si cela va dans le bon sens ? Allons-y !!
Mexique-féministes-prensa-amarillista-la-presse-à-scandale
«La presse à scandale, c'est la triste réalité d'un pays; celle d'une société devenue si violente qu'elle s'est accommodée du sang qui coule des unes de journaux que des pinces à linge trop vieilles servent à suspendre aux kiosques métalliques de la capitale aztèque [[ ne jamais accepter la moindre habitude surtout si c’est contre le respect dû aux humain.e.s !]]. Le Mexique est le pays le plus meurtrier – après ceux qui sont en guerre comme l'Afghanistan ou la Syrie [[ une telle «culture de la violence » se combat fermement à la racine!]]. On y dénombre plus de 35.000 assassinats en 2019. Un chiffre à peine plus élevé que ceux des années précédentes. En plus de l'insécurité, c'est surtout le conflit entre les cartels et le gouvernement, lui-même peu aidé par une police corrompue par les groupes criminels, qui alourdit le bilan à plus de 250.000 morts depuis 2006 [[le bilan est excessivement lourd et les dysfonctionnements viennent tous du haut…]]. Au Mexique, près de dix femmes sont assassinées quotidiennement [[ leur révolte se comprend alors entièrement…]]. À titre de comparaison, en France une femme est tuée tous les deux jours par son conjoint ou ex compagnon [[ soit 20 fois moins…Cependant à comparer aux 67 millions de français.e.s, en 2019 le Mexique c’est 127 318 112 habitants – 2 fois plus en gros !]]. Le meurtre d'Ingrid est une goutte d'eau dans un océan de violence et serait passé dans l'oubli sans ces publications. Maria Salguero, géophysicienne, a créé une carte sur son site feminicidios.mx. Elle a recensé 3.825 meurtres de femmes en 2019. Un chiffre en contradiction avec celui du gouvernement, qui en dénombre 1.006. «La nota roja est précieuse. Elle donne des informations que la justice ne possède pas. Les reporters sont les premiers sur les lieux. C'est une mine d'or pour ma carte: l'âge de la victime, le mobile, le lien entre l'assassin et la fille…» [[ c’est ainsi qu’il faut procéder : lorsque l’argent (qui ne veut rien savoir en délirant que, par essence, il sait tout – s’empare des médias tout n’est plus que…désinformation. Il faut alors se détourner de ces médiocres et de leurs méfaits sordides et agir très autrement…]].
Le Paseo de la Reforma, avenue principale où défilent différentes manifestations dans la capitale, s'est transformé en allégorie de cette nouvelle façon de protester. Le long de cette artère clouée de gratte-ciel se dresse aussi un anti-monument [[ voir la photo jointe !]] en souvenir des quarante-trois étudiant·es d'Ayotzinapa raflé·es par la police en 2014; plus loin, un autre a été érigé en hommage aux quarante-neuf enfants morts lors de l'incendie de leur garderie en 2009 [[ ce sont les enfants et les femmes qui pâtissent le plus de la violence des cupides néolibéraux qui ne « communiquent » que par énormes abus de pouvoirs !…]]. Il est interdit aux hommes d'intégrer le cortège féministe. C'est leur moment à elles. «Ni una mas!», clament-elles. Pas une de plus. Dans leurs mains, elles brandissent les portraits de ces femmes tuées juste parce qu'elles sont des… femmes; elles ont couvert leur visage de foulards vert ou violet; la rage se lit dans leurs yeux. L'une d'entre elles escalade un muret et se dresse sur un rebord de fenêtre. Elle tient un exemplaire de La Prensa: «La publication de ces photos est irrespectueuse. Et l'impact est purement négatif!» [[ photo jointe ]] On ne voit pas ses lèvres bouger, cachées qu'elles sont par le bandana vert qu'elle a enfilé; mais le son de sa voix est à peine étouffé. «Ces photos victimisent une nouvelle fois Ingrid [[ c’est son corps massacré qui est exhibé en 1ère page !]]! Nous exigeons que La Prensa et Pásala formulent des excuses publiques à la défunte et à sa famille...– ainsi qu'à nous toutes!», coupe une manifestante masquée.
«La presse a dépassé les limites, c'est sûr. Il n'y avait aucun intérêt journalistique à exhiber le corps d'Ingrid [[ les sales habitudes et les mentalités détraquées stoppent dès qu’il leur est fait barrage !]]», avoue Arturo Ortiz. Dans ce pays, le ministère de l'Intérieur est doté d'un organe de vigilance de la presse, qui peut convoquer les directeurs des médias afin de leur tirer les oreilles. «Mais avec parcimonie, pour ne pas tomber dans la censure, ce qui serait le pire. Il existe bien l'article 19 pour la protection des journalistes», mais il concerne leur sécurité, le Mexique étant l'endroit le plus dangereux au monde pour exercer ce métier. Et il n'existe pas de syndicat qui garantisse un code d'éthique du journalisme [[ c’est de l’autorégulation qui a assez prouvé qu’elle doit toujours être…aidée ! Par la pression de la rue, par exemple…]]. Dans ses conférences de presse matinales quotidiennes surnommées «mañaneras», le président du Mexique Andrés Manuel López Obrador (AMLO) a été questionné sur l'affaire Ingrid. Cela ne rentre pas dans les priorités d'«El Peje», élu en 2018 [[ à gauche modérée, comme Président le mieux élu du Mexique, il multiplie les programmes sociaux pour les personnes âgées et les jeunes démunis. Le salaire minimum est augmenté de 16,2 %. Et, enfin, il affirme faire de la lutte contre la corruption au Mexique son combat principal – ce qui le placerai en bonne position pour éradiquer ces violences de genres. Sauf que sa coalition ne s’en donne pas les moyens…Ce qui nous fait comprendre les pourquoi des déferlements des femmes au Mexique !]].
www.diputados.gob.mx/LeyesBiblio/pdf
Un texte existe déjà, la Loi générale d'accès aux femmes à une vie sans violence. Beaucoup de mots pour peu d'action
>>>> ----- L'affaire Ingrid Escamilla a enfin mis les projecteurs sur la corruption des polices locales [[ héritée d’avant l’élection de 2018 !]], qui vendent au média le plus…offrant les photos de ces atrocités [[ sans aucune limite, dont le respect dû à l’être humain et sa famille…]]. Une enquête interne a été ouverte, à l'encontre de six agents de police. La procureure générale de Mexico, Ernestina Godoy, a même qualifié cet acte de «délit à l'encontre de la société». Une proposition de loi pour punir la diffusion d'images de crimes par des fonctionnaires est en préparation [[ la pression de la rue incite toujours aux élans législatifs…]].Un texte existe déjà, la Loi générale d'accès aux femmes à une vie sans violence. Beaucoup de mots pour peu d'action. Pour sa part, le ministère de l'Intérieur a promis de punir les tabloïds concernés [[ c’est la distance entre les promesses et leurs concrétisations qui crit le plus !]]. Si Ingrid reste dans les mémoires, un nouveau féminicide est venu glacer le sang des Mexicain·es, ce lundi matin. Fatima, 7 ans, dont la mère est arrivée en retard à la sortie de l'école, a été retrouvée dans un sac en plastique, près d'une route en sortie de ville [[le comble de l’horreur !]]. Frappée, violée, assassinée. Heureusement, aucune photo n'a circulé dans la presse. Mais la pression sociale autour de ces féminicides est plus grande que jamais. »…Ce qui est carrément compréhensible. Et doit se voir très relayé…
…………………………..****************************************************
La-non-République-française-une-démocratie-trop-privatisée-!!
Et en France ?...« Quelques capitaines d’industrie et financiers milliardaires [[ toujours moins et toujours plus de concentration malsaine !]] ont pris le contrôle des principaux médias français, grâce auxquels ils inondent l’opinion publique d’une information orientée dans le sens de leurs choix et de leurs intérêts [[ ce qui, comme le RT russe, doit être sous-titrée « cette information n’est pas objective» !]] . Privilégiant en particulier cette Fake mondialisation heureuse conduite par des anywhere hors sol [[ ces non-résidents qui font 10 000 fois plus de mal et créent plus d’énormes dommages financiers à la France que les migrants résidents – mais, faute de le Nommer, aucune mesure n’est prise…alors que ces « hors sol » sont la cause de grandes tragédies de mœurs, dont ces médias inobjectifs filtrent par trop les faits ! D’où des ressemblances sous-jacentes avec le Mexique…]] dont les ambitions dépassent leur propre pays qu’ils n’hésitent plus à… livrer aux multinationales pour s’y faire un nom [[ ce qui paraît terriblement exagéré ! En même temps qu’indéfendable…]]. Leur pouvoir est tel qu’ils peuvent aujourd’hui sortir un inconnu de l’anonymat, et le pousser jusqu’à la Présidence de la République [[on se disait aussi…]]. Ceux-là n’ont même pas besoin d’exercer des pressions sur les rédactions pour les mobiliser au service trop désinformateur de leurs idées, la compétition néolibérale et l’instinct de conservation suffit à maintenir la plupart des ré(d)acteurs dans la ligne de leur propriétaire. »…Et comme le disait le CNR, la Résistance, il faut retirer toute l’information des mains de l’argent. Vous avez des exemples de ce que ceci donnerait ?
l'abécédaire-de-Madeleine-Pelletier
« Née en 1874, Madeleine Pelletier fait, en France, figure de pionnière du féminisme. Mais une figure encore méconnue [[ son action concrète doit être dissimulée c’est cela ?]]. Celle qui, issue d’une famille modeste, s’est instruite par ses propres moyens a conquis, en dépit des obstacles, un métier alors éminemment masculin : médecin [[parcours récurrent et si lassant à force de voir les forces liguées des injustices proférer qu’elles font tout l’inverse. Or, les faits sont là et ils sont accusateurs d’un désordre si…mal établi !]]. Première femme interne en psychiatrie et féministe « intégrale », selon son propre mot, Pelletier a ainsi revendiqué la pleine et entière émancipation des femmes [[ là où les souffrances sont intenses ]]. Tour à tour responsable socialiste, membre du Parti communiste et sympathisante anarchiste, elle n’en eut pas moins à faire face au sexisme des différentes organisations qu’elle fréquenta [[ les pieds dans le plat…]]. Auteure de plusieurs ouvrages — sur l’avortement, l’éducation ou encore la Russie soviétique —, Pelletier, abusivement internée à la fin de sa vie, est également l’une des premières à avoir élaboré ce qui deviendra le concept de «genre», faisant valoir que le «sexe psychologique» est une construction sociale et non biologique [[ parcours sans faute qui démontre que, en grande majorité, ses réflexions sur tous les thèmes brûlants n’ont pas vieillies !]].
Anarchistes : « Le gouvernement, disent les anarchistes, ne sert qu’à protéger la propriété contre les sans propriété ? Cela est vrai, en thèse générale ; mais en sociologie, il y a, à côte du grand fait général, quantité de petits faits qui ont aussi leur importance et qu’on ne saurait négliger sous peine de tomber dans l’utopie. Le gouvernement, avec son appareil législatif et policier, protège non seulement les propriétaires, mais aussi chacun contre tout le monde [[étrange formulation tout de même …]]. » (« Communisme et anarchie », L’Ouvrière, 24 avril 1924)
Bourgeoisie : « La bourgeoisie détient le pouvoir, c’est elle qui a accaparé la science et se l’est réservée à elle seule ; rien d’étonnant à ce que la science, devenue la chose d’une classe, grandisse puis décline avec cette classe. [[ l’héritage direct des bourgeois c’est bien la…crétinisation généralisée du haut de la société…et, par symétrie, l’actuelle concentration des intelligences sensibles en bas de la société….ou ce qui, idéologiquement est décrit ainsi !]] » (« La Bourgeoisie et la science », La Suffragiste, septembre – octobre 1919)
Communiste : « La révolution communiste, loin d’affaiblir l’appareil gouvernemental, ne fera que le renforcer, car elle devra lutter à l’intérieur et à l’extérieur contre un monde d’ennemis qui ne désarmeront pas du jour au lendemain. Il est désirable qu’un jour advienne où la simple administration des choses remplace le gouvernement des hommes [[ ce qui est la raison même : la libre circulation des idées doit précéder et de loin l’unique circulation des marchandises…]] ; mais auparavant, il faudra passer par une longue période de dictature du prolétariat [[ formule qui a tant vieillie qu’elle semble devenue extraterrestre !]]. » (« Communisme et anarchie », L’Ouvrière, 24 avril 1924)
Différences : « Si les femmes sont, au point de vue intellectuel, différentes des hommes, c’est surtout parce qu’on les éduque de manière différente. Si on ne donnait pas de tambours et de fusils de bois au petit garçon, il ne penserait pas à être soldat [[ il y a de cela…]]. Si on ne donnait pas de poupées à la petite fille, elle ne songerait pas à être mère de famille. Les enfants imitent les soldats et ne trouvent rien de plus enviable que de les continuer ; le fils veut être le père et la fille, la mère. Lorsqu’on a ouvert aux femmes les portes des Facultés, on a bien vu qu’elles n’étaient pas du tout inaptes à recevoir l’enseignement supérieur [[ ce qui dépare en effet dans ce simplisme si anti sociétal. Toujours la chienlit de « la foule c’est le bordel »…alors que c’est tout l’inverse – c’est là où il n’y a pas foule que les pouvoirs incapables ne sèment que leurs …immenses désordres !]]. Les étudiantes égalaient les étudiants, parfois, elles les surpassaient, parce que leur esclavage social, qui continuait encore, les obligeait à se priver de distractions. Devant toutes ces bachelières, ces licenciées, ces doctoresses, l’argument de l’infériorité de la femme aurait dû tomber. Mais les objections à la liberté du sexe féminin ne tombent pas si facilement, parce qu’au fond de l’anti-féminisme, il n’y a pas la logique, mais l’intérêt des hommes, ou plutôt ce que les hommes croient être leur intérêt [[ il y a des aliénations qui perdurent au-delà du délai raisonnable. Faut dire que les médias corrompus par l’argent font tout afin de faire durer cet état…contre nature !]]. » (« L’argument de l’infériorité », La Fronde, 21 juillet 1926)
Éducation : « La réelle infériorité de la moyenne des femmes n’est pas une infériorité essentielle, mais un manque d’information causé par une éducation qui réprime au lieu de susciter [[et voilà le nœud de la problématique : le féminisme nait de son hyper répression !]]. La preuve en est que, dès qu’en une forme quelconque de l’activité intellectuelle la prohibition cesse pour lui, l’esprit féminin s’y développe. » (« La question du vote des femmes », La Revue socialiste, septembre – octobre 1908)
Libre : « Nous revendiquons le droit de nous promener sans être embêtées et injuriées par les vieux et jeunes marcheurs, le droit de prendre un bock à la terrasse d’un café si nous avons soif, le droit d’aller au théâtre, au concert, sans être obligées, sous peine de nous exposer à toutes sortes d’avanies, de nous faire accompagner par un exemplaire de l’autre sexe, le droit d’aimer et d’enfanter sans maire et sans curé, si cela nous fait envie, le droit de nous intéresser aux affaires de la nation qui sont nos affaires et de porter aux plateaux de la balance politique, le poids de notre volonté [[et dire que ceci a été écrit il y a…110 ans. On le dirait formulé d’aujourd’hui non ?]]. En sommes, nous voulons une vie libre […]. » (« Une seule morale pour les deux sexes », La Suffragiste, septembre 1910)
Servitude : « La servitude morale du sexe féminin est plus profonde encore que celle des classes inférieures. Le serf, une fois sa besogne accomplie, vivait en dehors de son seigneur, l’ouvrier vit en dehors du patron. […] Entre la femme et l’homme, rien de pareil. L’institution de la famille rend leur vie commune : le maître cloître l’esclave dans sa maison. […] Les mauvais traitements et les humiliations lui apparaissent comme le côté désagréable d’une situation qui lui est naturelle. Malheureuse en ménage, opprimée d’une manière excessive, la femme va bien confier à ses sœurs la révolte de son cœur [[ l’aliénation est tellement prenante qu’elle perdure malgré tous les raisonnements …]] ; mais, dès que l’orage est passé, elle retourne à l’homme qu’elle admire au fond à l’égal d’un être supérieur. » (« La question du vote des femmes », La Revue socialiste, septembre – octobre 1908 )
Yeux : « Dans l’âme de son fils, le père s’efforce de susciter l’énergie et le ressort moral. Pleure-t-il parce qu’il est tombé ou s’est fait une égratignure, on lui reproche la honte de sa faiblesse : Tu n’es donc pas un homme ?, Tu pleures comme une petite fille. La fillette, elle, n’est jamais réprimandée pour des choses de cet ordre : la peur et la faiblesse sont, pensent les parents, naturelles à son sexe, et, loin de les réfréner, ils les encouragent plutôt. Aussi, comprend-elle très vite que la pusillanimité, qui fait la honte des hommes, fait au contraire le charme des femmes, et loin donc de s’en corriger, elle va jusqu’à la simuler pour se rendre intéressante aux yeux des assistants [[ les perversions des regards ont cela de désastreux que perversion = une seule version, la pervertie, les autres ont été occultées ou chassées – c’est dans le mot même !]]. » (« Les facteurs sociologiques de la psychologie féminine », La Revue socialiste, mai 1907)
Zèle : « La ploutocratie [[ pouvoir du seul argent ]] qui nous régit corrompt les plus belles choses [[en effet, il faut le répéter à foison…c’est l’argent qu’il faut réguler et surtout jamais…déréguler, soit lui permettre de tout…dérègler et le pousser à ne jamais rester réglo (déréglo…)!]]. Ces places d’inspectrices, au lieu de les donner à des institutrices, d’en faire le grade supérieur venant couronner une intelligence remarquable, de longues années de zèle données à l’enseignement, on préfère en doter soit des femmes hautement apparentées, soit celles qui, joignant à un joli visage des scrupules peu encombrants, ont su se créer des amitiés utiles. » (« Pour les institutrices », La Suffragiste, novembre 1911) »…D’autre lettres de l’alphabet sont sollicitées (elles se trouvent dans le lien) pour qui veut étendre.
** 1) …Maintenir les critiques mais très argumentées avec des raisonnements exigeants et la permanence des faits. Ce pourquoi les structures d’argumentations demeurent importantes.
**** 2) – critiquer en profondeur les fausses évidences des pouvoirs. Et sans dévier puisqu’ils ne méritent absolument pas d’avoir autant de pouvoirs si mal utilisés. Nous sommes plus égaux qu’eux. Et très légitimes pour agir ainsi. Par exemple, leur fact-checking au lieu de la «vérification par les faits», n’est pas fiable. Ni confiable. Car ce n’est pas une liste (checking) de faux contrôle technique (une vérification qu’extérieure des faits est fournie – jamais il n’est pénétré dans le moteur intérieur qui fait agir le tout et qui peut…être trafiqué !) – mais bien tout le processus qui relie tous les faits entre eux dont nous avons tous besoin. Avec le but de pouvoir produire une théorie explicative qui englobe tous les faits. Tout en demeurant congruente en elle et cohérente avec chacun des faits relevés !
Ces 2 exigences remplies (plus d’autres mais moins stratégiques) nous pouvons mener toute la réflexion globale. Avec des réactions à la hauteur des drames et problématiques – au lieu de toujours botter en touche avec des paroles creuses, comme eux/elles. Qui ne fondent jamais leur crédibilité sur l’usage d’arguments, examinant ceci car cela puis ceci-cela et encore cela sans oublier ceci (pour faire court). La prise de décision qui devrait suivre cette garantie est escamotée. Or qui veut CHANGER LES CHOSES, et pas que leurs seules apparences – sait toujours prendre des décisions…décisives.[[ que soit fini l’infini servage des femmes !]]. Pas des faux semblants qui ne peuvent jamais aboutir à aucune transformation concrète. Ces fuites en avant qui croient avoir enterré tout débat de fond, ont donc des failles très béantes ! A nous d’avoir la détermination pour les utiliser !
>> Déterminations qui ne correspondent pas du tout à ces « sachants en sachets », rétrécis à des formules simplistes mises en poudre. Et à diluer dans la société avant irresponsable diffusion. Le manque flagrant de respect pour chacun-e de nous ne peut que nous amener à tout faire afin que les savoirs ne soient plus jamais entre des mains aussi peu fiables.
………..En tout il s’agit de Démoyenniser la société – de la sortir de ses avachissements immoraux.
………………….et de trouver les forces de l’élever dans toujours plus d’exigences existentielles –
…………………………soit le respect CONCRET pour chacun.e d’entre nous !
……….........(à suivre)
……………………………...........%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Santé en Luttes (avec un grand Elles): Ep.4 Madeleine Pelletier
10 mn - Figures du féminisme: Madeleine Pelletier, première interne en psychiatrie et féministe intégrale
Osez, prenez des risques et développez vos humaines compétences | Clervie Achino
Liberté, chemins de traverse et combativités | Antoine de Maximy | TEDxMarseille 16 mn…
Maria Salguero, géophysicienne, a créé une carte sur son site feminicidios.mx. Elle a recensé 3.825 meurtres de femmes en 2019.
Au Mexique, les féministes dans la rue après un féminicide très brutal...
10 mn …7 grands discours féministes
Une performance féministe chilienne devient un hymne mondial contre les violences faites aux femmes