Comment les néologismes participent de la grande libération collective ?
Le langage a beaucoup à voir avec la conception via génétique. Les correspondances restent multiples même si peu sont diffusées - leurs fécondations utilisent quasiment les mêmes mots…Ce que nous allons vivre en entier ici – ensuite découvrir comment cet évènement peut affecter les lanceurs d’alertes. Enfin, voir comment les néologismes défendent les valeurs de la civilisation, ne serait-ce que parce que le maximum de diversité humaine peut, au mieux, nous aider à lutter contre les pandémies. Et donc les dangereux fanatismes comme la «pensée unique» et les cinglés néolibéraux peuvent à la limite, être perçus, tels des crimes contre l’Humanité……
<<>> --- Embryon d'aube, d'abord comme une végétale toile en buée de membranes arborescentes. Où lentement montent les sèves. La plante se fait ensuite animal animé. Fœtus. Le mouvement l'envahit. Au niveau du tronc, en premier lieu, se propageant vers la périphérie, dès lors - pour n'atteindre les extrémités qu'au bout. Les membranes, qui contiennent le fœtus et les eaux dans lesquelles il baigne, grandissent d'Abord plus vite que lui. Formant comme un œuf protecteur autour de lui. Le proche bébé jouit alors de ses membres et commence à remuer dans ses membranes. Tandis que la pensée débutante tout aussi bien remue, et c'est l'éternel cycle de la mue, dans les membres de ses membranes. Son univers lui semble bien immense en ce rythme aveugle et tout puissant des organes. Quand love s'y love. Les sons du monde ne lui parvenant qu'au travers des eaux - la housse rythmique - dans lesquelles il surnage et par elles modulées, transformées. Au ciel de son aquatique domaine, le tambour régulier du cœur résonne dans le diaphragme, autre révélateur. Mais écoutez vos organes : n'est-ce pas un son qui palpite la chair ? Lorsque vous êtes à l'intérieur d'un corps, croyez-moi, la palpante chair est vraiment palpitée par les sons. Tôoum. S'enfle la souple membrane sous la poussée du sang de son. Retrouve son étale, se creuse un peu. Et cela recommence. Ah oubliai-je de penser que révéler, dans ce cas, ne peut être que vêler de nouveau, cherchez vous enfin. Un autre son venait déjà de faire trembler sa charpente fibreuse. La voix maternelle au miel bourdonnant qui marque à jamais de son sceau ([ plus fort que la «langue maternelle» mais dans la même direction d’intensités, en tout cas !). Le plus proche bébé est comme tissé sur sa trame, ses humeurs, nuances, inflexions. Un son que module la chair. Il se trouve que rien ne vous permet de ne pas penser que la pensée connaisse la même marque du Sceau de cette vibrante langue maternelle. Aussi ce fruit du conçu est-il toutes ouïes en humant de toute cette peau qui ne connaît que la veloutée caresse des muqueuses. Tout lui arrive en vagues successives que sa peau entend, que la peau respire, que sa peau baigne, que sa peau. Le rire frisé de la peau. Tandis que la soufflerie des poumons - imaginez, mais imaginez donc, pscheuitt, huoum, cette rythmée, imaginez quand vous étiez en dessous de cette rythmée soufflerie où le souffle fleurit - lui dresse l'échelle à laquelle il monte comme dans un brouillard doré…Vers, sans doute, le concept que vous lui aviez tendu…
Car alors que le prochain bébé, celui de la pro-chaîne, se met à grandir plus vite que les membranes. Il lui semble qu'on l'enferme loin de l'océan sans limites. Un humide cachot où le corps touche les souples murs tous à la fois. Aussi se plie-t-il, courbe la tête, se fait petit. Par toute son étendue le dos est en total contact avec l'utérus. Pour une fois son corps est plein à craquer. Tant la prison, comme une pieuvre, étreint la pensée. La prison ? Mais comme l'enceinte, L'ENCEINTE, ce mot où vient se lover et buter la pensée semble le TERME juste. Le dernier mois de la grossesse n'étant que contractions, que tractions. Puis, s'habituant, il se met, lui, le bébé à les attendre ces contactions, comme de divertissantes caresses (….)
Oui un enfant est venu au monde, à lui tout seul il est venu au monde entier, que le monde vienne donc à lui - ou tout aussi bien revienne à lui-même…
A son esprit donc qui vivait dans les mois neufs de sa vie oui, l'accouchement de celui-ci ne peut être dit que comme ces très clairs j'ai mis au jour mais quoi ? J'ai mis au jour, à jour, d'entre les couches, les sédimentaires couches du cerveau amidonné de passé et de passé, les couches déposées, reposées, étayées, étagées, les unes sur les autres. Couches et couches dont il faut ac-coucher, parfois les mots sont physiques, viennent directement de la vie, parfois ils sont d'origine plus mentale. Il semble qu'ac-couchement soit de cet ordre… L'inter-rêt, paraît-il, est que ce qui n'est pas conçu par l'homme n'existe pas. La Naissance est un saut. Un saut vagissant. Un sauvage changement de monde, de niveau : ce dénivelé. L'enfant saute de la protection d'une poche marine dans l'espace terrestre et aérien. La Nature a, naturellement, tout mis en place pour que l'atterrissage se fasse avec légèreté. Le passage de la respiration par le cordon ombilical à celle par les poumons doit se faire comme une escalade d'escales. Le faire entrer doucement dans le monde des contraires. De nos contrariétés. Où le froid n'est pas opposé au chaud, le cuit par rapport à ce qui n'est pas cru, etc…C'est par la respiration que l'enfant entre dans le monde des opposés, cette interminable oscillation où tout n'est qu'ample respiration qui naît éternellement de son propre contraire, son reflet impossible et pourtant là. Dans ces oscillations spatiales, deux mondes se rencontrent, s'approchent l'un de l'autre, tentent de se mélanger, de se langer, le monde du dehors et celui du dedans - en une oscillation temporelle. Dans les poumons afflue le sang qui monte des profondeurs de l'océan salé et l'air qui vient d'en haut lui glisser sa main de lumière. Et l'un et l'autre s'approchent de l'unité perdue, séparés qu'ils sont par la mince cloison des alvéoles.
D'inspiration - l'air balaie pour la première fois la trachée de la pensée, déplisse les soyeuses alvéoles et les brûle. Elle le rejette brutalement battant son sang. S'arrête, surprise, enfin en prise. Le cordon, la tenant venant toujours encordée en cette difficile assomption, lui permet de, lentement, entrer dans cette nacelle fragile qui la transporte d'une rive à l'autre. Elle aspire de nouveau à l'air de le savoir. Le sang quitte alors le chemin de la mère et s'aventure dans les jeunes poumons. La respiration envahit tout le neuf bébé, le sang vient y tambouriner le son de ses marées. C'est alors qu’un orifice se ferme dans son cœur qui obstrue définitivement le chemin de la mère. Les amarres sont larguées. Mais aurait-on coupé trop précipitamment le cordon ombilical. Ce point central - privant brutalement le cerveau d'oxygène - le système d'alarme aurait, alors, alerté tout l'organisme. Et ce serait pour échapper à ce nuage rouge d'occis gènes que l'enfant se serait jeté dans la respiration, unissant à jamais angoisse (du latin, angustia, ce qui resserre) et respiration. Le balancement sectionné, tronçonné en nœuds de blocages pour toujours. Et quelle est cette angoisse dans la pensée respirante ? Quelle est-elle? L'esprit râle en la spirale. Le cordon (et ce nom brille en nombril central) aurait-il été coupé trop abruptement : la conception de toute chose pouvant être ce qui est en train de mûrir loin de tout pré-mâturé. Or hors du ventre maternel, s'entend, rien ne tient plus le dos. Verte tige du vertige. D'un corps pétri, retenu, vibrant de toute la tiède musculature de l'eau, de ses flux et reflux, n'a plus rien où "retenir" sa peau, où s'en rappeler et l'en rappeler. La colonne vertébrale tendue, pliée, pressée, tordue, voilà qu’on la lâche tout d'un coup en la tenant par les talons. Au lieu de rassembler, de réunir, de tenir ensemble tout le corps autour d'elle-même en la massant. Exactement comme nous comprimons l'atmosphère autour du plongeur trop rapidement remonté. Par des colonnes de mains, palper le dos vers la détente, l'étirement, l'allongement. Le déroulement, roulement de la colonne des os du dos et l'épanouissement de la respiration ne font qu'un. Les ondes puissantes parcourraient le dos, les flancs comme l'ombre des vagues qui ont poussé l'enfant. Et les branches des bronches pousseraient de, dans la force de la respiration, suant la sève d'oxygène. Pour la pensée, n'en croyez rien, toute inspiration s'extrait de l'expiration d'autre chose. C'est là son balancement dont tout le monde s'en balancerait ? Aussi, lui faut-il une colonne vertébrale très souple, flexible et ondoyante - secs et raides, durs et cassants sont les os de la mort, et souple est le dos de la vie. La colonne vertébrale n'est rien moins que le dosage du dos mais où est la colonne de l'Esprit? Notre corps est un et uni, l'entrejambe commence dans la nuque, ou notre corps avant se déroule jusqu'au point entre la lèvre inférieure et le menton, tandis que le corps arrière remonte notre colonne vertébrale, escalade le crâne, dévale le front et le nez et se termine dans le point entre le bout de nez et la lèvre supérieure (d'où la place royale et trônante, dans ce contexte, de la bouche et son "palais"!). Toutes traces de notre naissance restent à notre disposition, mais nous sous-développons, en général, cette possibilité. Eh bien, rejoignez la colonie de votre colonne vertébrale.
La naissance pourra alors, sans doute, respirer son essence, la naissance s'appuyant bien sur le dos et comme en palpitant ses quatre membres certains. Le passé c'est derrière. Dans le dos. Retirons en l'épine dorsale. La Dure mère (et si l'autre est la Pie Mère c'est pour ne pas choisir) exactement est la plus extérieure et plus forte des trois membranes qui entourent le cerveau, nous allons passer c'est certain.
…………………………………………Mais quels sont les membres de ses membranes.
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Linguistique-la-langue-espagnole-n'a-pas-de-mots-pour-lanceur-alerte
« L'existence ou non d'un mot dans une langue en dit beaucoup sur la société : En espagnol, par exemple, il n'y a pas de terme pour désigner un lanceur ou une lanceuse d'alerte. En Amérique latine, on ne rend pas de comptes [[chaque langue structure la réalité selon ses propres critères implicites. Ce pourquoi il reste difficile de traduire : ce n’est pas du mot à mot, d’équivalence à équivalence, mais des idiosyncrasies (très internes, très personnelles et pas toujours avec équivalences) qui s’ajoutent à des expressions idiomatiques (propres à un seul pays - donc intraduisibles, a priori,…mais parfois transposables avec plus ou moins de bonheur) !]] !. Autre terme inconnu en espagnol, mais qui s'emploie couramment en anglais : accountability, qui veut dire que l'on est «comptable» de ses actes publics, au sens où l'on en prend la responsabilité. L'expression espagnole qui y ressemble le plus est rendición de cuentas, littéralement «reddition de comptes», qui renvoie aux informations que le gouvernement et les entreprises sont tenues de déclarer. Mais c'est autre chose. En Amérique latine et en Espagne, les organismes publics rendent compte de leurs actes au sens bureaucratique et comptable du terme, mais il est rare qu'ils assument véritablement la responsabilité politique ou morale de ce qu'ils ont fait [[ une traversée de la mentalité prend du temps, tiens !]]. De plus, dans de très nombreuses situations, les gouvernements ne se sentent pas obligés de «rendre des comptes» à leurs citoyen·nes. Au contraire, l'opacité, l'obstruction, la désinformation et le mensonge sont la norme [[ norme éNorme !]].
En principe, on s'attend à ce que les régimes dont les leaders font preuve de transparence et de responsabilité aient une meilleure «gouvernabilité». Encore un mot que les hispanophones n'ont pratiquement jamais entendu. En effet, ce n'est qu'au cours des années 1990 qu'il est apparu dans le dictionnaire de l'Académie royale d'Espagne. La gobernabilidad y est définie comme la «qualité de ce qui est gouvernable» tandis que gobernanza («gouvernance») se rapporte à «l'art, ou une manière, de gouverner». [[ les mots nouveaux nés ne marchent pas très bien encore…]]
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La mauvaise gouvernance, et une piètre gouvernabilité, sont des maux qui gangrènent de nombreux pays. Fréquemment, elles résultent du continuismo («continuisme» politique) des personnes qui détiennent le pouvoir [[ faire semblant de changer mais pour que rien en change..]]. Selon le dictionnaire de l'Académie royale d'Espagne, le continuismo est une «situation où le pouvoir d'un politicien, un régime, un système, etc. se perpétue sans aucun signe de changement, ni de renouveau» [[ comme quoi rencontre quoi que du quoique !]]. On emploie souvent le terme continuismo dans le débat politique ibéro-américain pour dénoncer la manière dont certain·es leaders tentent de s'accrocher au pouvoir en changeant les lois, et même en réécrivant la Constitution. Comment dit-on continuismo en anglais? Eh bien, rien dans cette langue ne correspond à cette idée. Intéressant, n'est-ce pas?
Plus que jamais, les nations ont besoin d'une culture de… responsabilité (accountability), qui veut que l'on… honore les lanceurs et lanceuses d'alerte (whistleblowers) dont les protestations contribuent à améliorer notre gouvernabilité (governability) tout en court-circuitant le continuismo. [[ ici nettement fait…]] Le problème est qu'en Ibéro-Amérique, on n'est même pas capable d'en débattre sans employer maladroitement de multiples anglicismes. »…[[….le mot alertador (« también llamado denunciante, informante, filtrador o delator » – dénonciateur, informateur, filtreur ou délateur appartiennent trop au monde du Pénal pour correspondre à la spécificité si transversale de toute la société des alertes (les alertes remettent en cause les fondements de la société). Et même l’alerteur/ l’alertrice (alertador) demeurent trop généralistes puisqu’ils ne se connotent pas avec l’alerteur de quoi en fait ? Le whistle blower anglais qui fait sonner le « coup de sifflet » qui attire tant l’attention (le souffleur de sifflet, littéralement). Les donneurs de coups de semonces…semences !
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Le problème est qu'en Ibéro-Amérique, on n'est même pas capable d'en débattre sans employer maladroitement de multiples anglicismes. Il est grand temps de commencer à enrichir l'espagnol de termes qui rendent hommage à la décence financière et à l'honnêteté. Néologismes…
Comment-les-néologismes-permettent-d'inventer-le-futur
« Apparu en 1735, le terme « néologisme » jouit à l’origine d’une mauvaise image [[ néologique de la logique ?]]. Dans L'Encyclopédie, le grammairien Beauzée le définit comme suit : « L’affection de certaines personnes à se servir d’expressions nouvelles et éloignées de celles que l’usage autorise [[ l’usage n’autorise pas… il en use – s’il impose c’est qu’un groupe abuse de ses interventions si peu conformes…]] ». Le néologisme apparaît ainsi comme une transgression [[le préfixe trans- signale un franchissement, une traversée libératrice vers un au-delà de l’immobilisme …ce qui est le côté positif de trans – songeons à transmettre qui magnifie le mettre…]]. Puis, il ajoute que « le néologisme ne consiste pas seulement à introduire dans le langage des mots nouveaux qui y sont inutiles ; c’est le tour affecté des phrases, c’est la jonction téméraire des mots, c’est la bizarrerie des figures qui caractérisent surtout le néologisme [[ pas très recevable : en fait, soit le néologisme est réussi soit non …Nous en usons un peu mais cherchons les plus utiles …tel « l’apprivoisin » qui lie apprendre et voisinage = apprivoiser…ou l’associété qui lie associé et société dans un modèle d’unité complète que les séparatistes antisociaux riches veulent…détruire !!…Les 2 exemples, allant chercher dans la structure profonde de la langue, offrent une pédagogie non autoritaire libératrice…Notre dernier « zombidule » (afin de disqualifier l’imposture nuisible de diffamer de « complotistes » qui ne font que réfléchir rationnellement et analyser les conséquences réelles de comportements de puissants et de riches) en est un autre… « la volonté de ne rien savoir », d’ignorer toutes les réflexions, comme venant de… l’élite ne colle plus du tout !]] ». La création de nouveaux mots ne serait qu’une activité insignifiante et… anecdotique [[ eh non – c’est la forge du futur même !]]. Pourtant, nous ne cessons d’inventer et d’adopter de nouveaux mots dans notre langage courant. Cette fertilité linguistique est même une nécessité pour nommer de nouvelles réalités qui font irruption. Et, si cela ne date pas d’hier, force est de constater que la tendance s'accélère. Alors que l’édition du Larousse de 1871 répertoriait 35 000 mots, celle d’aujourd’hui en compte pas moins de 63 000. Cette augmentation révèle à quel point notre langue est vivante… et à quel point notre monde change ! [[parce que – hors des médias si désinformateurs qui ne veulent que zombifier il y a tant d’humain.e.s qui veulent réveiller…oui nous mettre tous à l’heure du …réveil tic tac tic tac…]]
Les mots révèlent notre vision du monde : Or, les mots n’accompagnent pas simplement la marche du monde, ils ont également le pouvoir de l’anticiper [[… ce que notre blog (« corps des langages » comme rubrique par exemple) fait chaque jour…]]. Il s’agit alors d’observer l’intensité avec laquelle ces néologismes voient le jour. Plus les variations sont fortes, plus l’utilisation du néologisme est grande et plus la réalité auquel il se réfère prend vie avec force. C’est ainsi que le linguiste Bernard Cerquiglini affirme que « c'est dans le vocabulaire qu'un mouvement, parfois, s'amorce ; le néologisme est alors un signe avant-coureur, le dictionnaire un sismographe [[nous sommes en plein dedans ce magma intense – et avec un petit entraînement tout le monde peut accéder à cette merveille – attitude anticonforme avec la régression néolibérale : au lieu de tout garder pingrement et avec rictus que pour soi, nous voulons surtout transmettre et… partager ! Pas utiliser le « système » afin de spolier chaque apport d’un trop de…prélèvement sur les autres…La Vie et le langage vont de pair…les 2 évoluent parallèlement. Aider la Vie c’est libérer le langage …mais à fond !]] ».
Cette leçon est essentielle car pour les contemporains d’une époque, le défi est toujours le même : comment décrire le monde qui vient ? Or justement, la création d’un mot a le pouvoir de faire advenir une nouvelle réalité [[ ce pourquoi – et même si nous n’étions pas cru.e.s nous nous en foutons - la Pire des censures c’est sur les vrais livres (ce qui dérangent vraiment) et l’usage percutant des mots…essayez vous rencontrerez d’aberrantes résistances mais plus dures que le béton et d’une virulence bien trop grande !]]. Le néologisme ouvre une nouvelle… porte sur le monde, une porte qui était jusqu’alors invisible [[ clair et net comme le clair on…]]. Tout néologisme revêt ainsi une puissance démiurgique [[ trop exact…parfois il suffit d’une léger geste genre réPublique qui ne touche à rien mais montre tout...par exemple, l’incongruité de la réPrivée que de…lobbies et leurs lubies, si dépendants toujours de l’argent public – qu’ils le harcèlent sans arrêts non ?]]. C’est ainsi qu’au tournant du XIXe siècle, alors que la monarchie vit ses dernières heures, de nouveaux mots font leur apparition : « département », « civisme » ou encore « amendement ». Aujourd’hui, entrés dans notre langage courant, ils ont permis la création d’un nouveau monde, organisé différemment et régi par de nouvelles règles [[ d’où l’extrême nuisance des médias mainstream et le monopole comme jamais sur la parole du gouvernement qui viennent…recouvrir ces nouveaux mots/concepts…c’est un hommage très inattendu que ces Trop de censures par le sournois côté de l’ombre…]]. Et c’est ainsi qu’aujourd’hui, la multiplication de néologismes aux connotations anxiogènes, voire angoissantes, ne sont pas sans conséquences.
Les mots influencent nos perceptions du monde et, par conséquent, la réalité elle-même [[ d’où l’inadapté « ce ne sont que des mots ». Comme si nous disions ce ne sont que des nuages…non les mots du pouvoir prouvent (à eux seuls) le pouvoir des mots…C’est là où, nous, nous tenons défendant la Libération compète par la diction du dictionnaire, tien s !]]. Selon les mots que nous employons, le monde qui se dresse devant nous change. La recherche montre par exemple que plus le vocabulaire maîtrisé par un individu est riche, plus sa vision du réel est fine [[ ce pourquoi nous utilisons le plus de variété de vocabulaires – seul le sens est…sensé – plus il y a de sons plus c’est…sensuel Et raisonnable (sensé tiens) !]]. Dans les années 1960, les chercheurs Sapir et Whorf vont secouer le monde de la linguistique en faisant l’hypothèse que notre langage détermine …notre façon de voir le monde [[ ce pourquoi la nov’ langue (pour nous) est un épisode dépassé - il faut… reféconder Toute la langue…et donc se prouver généreux en Bons néologismes !]]. Par exemple, en islandais, le mot Sauðljóst décrit un moment brumeux qui a lieu juste avant l'aube et que nous pourrions traduire par : « Le moment de la journée où il y a juste assez de lumière pour voir les moutons ». Mais, parce que le français ne dispose pas de ce terme, la réalité ici désignée peine à exister [[ oui existe à peine…]]. Il faudrait créer un mot équivalent, comme « brumuscule » (association de brumeux et crépuscule) [[ nous c’est les brouillards peu débrouillards !]].
Sapir et Whorf affirment également que les néologismes permettent de formuler des idées qui n’existaient pas encore [[ clair que la « bibliothèque du futur »… freethewords.org en abonde….]]. Ainsi, en embrassant cette théorie, nous avons la responsabilité d’inventer de nouveaux mots pour imaginer un monde… meilleur ! Plus nous utiliserons des néologismes mélioratifs et enthousiasmants, plus notre monde revêtira ces caractéristiques. « La création de néologismes ne doit pas concerner uniquement les poètes du futur »…[[ bien non –vu qu’en général ils sont dans la vie quotidienne, ici et maintenant et le maintenant maintenant bien tous les filons…]]. C’est pourquoi Anne-Caroline Paucot, auteure prospectiviste de plusieurs ouvrages rassemblant des néologismes, défend la nécessité d’inventer de nouveaux mots comme « se mariligner » qui consiste à organiser une cérémonie de mariage en ligne [[oui à part qu’il est plus seyant de faire tomber toutes les séparations artificielles… et de ne pas faire passer que du bourgeois mais du prolo aussi…le peuple oui qui a le don exubérant le peuple d’être peuplé, tiens !]].
La liste des termes qui ouvre cet article n’est pas une fatalité mais une invitation à imaginer [[ imagiter c’est mieux – agiter les images (ou l’enkystement des aliénations…) c’est changer le monde…directement – essayer c’est adopter et adopter c’est s’adapter…]] le meilleur avec d’autres mots ! Ainsi, créer le monde que nous souhaitons voir advenir, passe avant tout par l’invention de néologismes positifs !
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Pour-lutter-contre-les-épidémies-il-faut-préserver-la-diversité-humaine
« La suppression d’un gène peut générer un effet domino incontrôlable auprès d’autres gènes [[ l’avidité capitaliste… fait perdre la raison, les raisonnements et les arguments fondés sur du solide – la Vie ne peut exister que dans le but unique d’enrichir, comme un désastre écologique, un très petit nombre ! Qui ne fait rien, en plus, de ce trop d’accaparements…]] : « Le DPI est un tri effectué parmi les embryons produits pendant une fécondation in vitro pour détecter et éliminer ceux porteurs d’une anomalie identifiée chez ses géniteurs », explique Jacques Testart. Cette technique est déjà utilisée en France depuis plus de 20 ans : le 16 novembre 2000 naissait ainsi Valentin, le premier bébé ayant bénéficié de cette technique [[ un bref rappel historique est nécessaire…]]. Contrairement au diagnostic prénatal (DPN), effectué alors que le fœtus est dans le ventre de la mère, le diagnostic préimplantatoire (DPI) est réalisé en laboratoire, c’est à dire avant implantation dans l’utérus. Ainsi, si le DPN ne contrôle qu’un embryon, le DPI peut en contrôler de (très) nombreux.
Le problème, c’est que depuis le milieu des années 1990, ce fameux DPI ne cesse d’élargir son champ d’action [[ et sans que la réflexion collective ne l’accompagne du tout…En effet, «pour lutter contre les épidémies, il faut préserver la diversité humaine » : la régression vers une fausse race pure, la déviation de dogmes non rationnels sur le « bébé parfait », mais à modèle Unique, qui aura tué toute la diversité - donc détruit l’immunité collective due à la diversité conservée de tout le pool générique - doivent être très jugulés !]].. En 1994, date de l'adoption en France des premières lois de bioéthique, le tri des embryons se limitait à l’élimination les maladies graves portées par les géniteurs. Quelques années plus tard, le périmètre s’est élargi pour déceler plus largement les «facteurs de risque» [[ statistiquement, le « risque » est une construction économico-idéologique – ce facteur n’existe pas en lui-même !!]] : «Déjà, c’était quelque chose que les praticiens eux-mêmes avaient mis en service, et qui allait à mon avis un peu hors des limites de la loi de 1994 », commente Jacques Testart. Aujourd’hui, on envisage sérieusement de… trier les embryons non plus seulement pour des maladies ou des facteurs de risque, mais pour l'ensemble des maladies que l'on connaît. « Quand on sait que la loi ouvre par ailleurs les portes de la fécondation in vitro, on voit bien que cela peut dégager des perspectives eugénistes à grande échelle [[ ce qu’il ne faut surtout pas !]] », poursuit Jacques Testart. « L’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques - c’est à dire l’institution scientifique du Parlement - s’est même demandé pourquoi on ne trierait pas systématiquement tous les embryons sur tout ce qu’on est capable d’analyser et qui nous paraît grave [[ ce qui est « oublier » si vite… l’effet domino…]] ». Aux États-Unis, des chercheurs explorent même la possibilité d’éliminer les gènes liés aux mauvaises odeurs corporelles, lesquels sont aussi responsables du cérumen auriculaire. Parce que pourquoi pas...[[ les bourgeois sont vraiment atteint de sombres délires très irrationnels – et la société ne les remet jamais à leur place…il est grand temps !]]
<<>>**** - Demain, produira-t-on des enfants zéro-défaut ? « La question de l’enfant parfait est terriblement complexe », répond le Directeur du service de génétique médicale du CHU de Bordeaux, Didier Lacombe. « Concernant la trisomie 21 par exemple, il y a un vrai paradigme éthique : c’est une des déficiences intellectuelles les moins sévères, et une des mieux intégrées dans la société puisque les enfants atteints peuvent suivre une éducation dédiée, bénéficier d’emplois protégés et profiter d’une offre de logements adaptée. Et pourtant, on observe une chasse anténatale à la trisomie 21. ». Un bébé « parfait » est un humain vulnérable [[ c’est le point que l’argent concupiscent ne veut pas admettre !]] …Alors pourquoi pas ? Au delà du fait que si l’on continue sur cette voie, être imparfait ne sera plus permis, il y a des raisons majeures d’arrêter de jouer à Docteur Maboul avec le génome humain.
« Si demain tout le monde est sensible aux mêmes pathologies, de nouvelles maladies pourraient détruire l’ensemble de l’humanité » [[ ce que la pandémie a prouvé : les pays riches (donc à faux progrès technocrate) sont ceux dont la santé est la plus…affaiblie – faut revoir leurs inadaptées mentalités non ?]]. Pour anticiper les conséquences d’un lissage génétique humain, il suffit de se tourner vers le règne animal et d’observer ce qui se passe avec les animaux domestiques. « L’humain a fabriqué une race de vache laitière - la Frisonne Pie Noire - répandue dans monde entier, qui produit 20 000 litres de lait par an », relate Jacques Testart, « mais pour que cette vache survive, il faut la maintenir en étable avec un vétérinaire derrière, lui piquer les fesses avec des antibiotiques presque tous les jours, et elle ne supporte ni le froid, ni le chaud... Ce sont des animaux dénaturés ! ». Demain, l’humain parfait devra-t-il rester sous perfusion permanente pour survivre ?
Notre ADN est comme le charbon de la terre : non brevetable » : Pour freiner cet anti-progrès [[ ces lubies technocrates qui fragilisent l’espèce humaine !]], il faudrait donc remettre de l’éthique dans la médecine, et prévoir des garde-fous pour éviter les dérives. Un avis qui ne semble pas partagé par les politiques et membres du comité d’éthique français, attentifs à défendre leur place dans la course internationale au progrès [[ toujours le côté le plus infantile de la réflexion intelligente – non il n’y a pas course et non ce n’est pas internationale !]], à en croire Jacques Testart : « Il fallait interdire la recherche sur la manipulation du génome comme on l’a fait sur le clonage, car une fois qu’elle est lancée, ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle devienne réalité. Mais au lieu de ça, on encourage la recherche [[ oui uniquement celle qui court follement après l’argent – ce qui fait avec la quinine chloroquine est trop patent, mentir ainsi à la Terre entière…Au niveau intelligence pratique c’est descendre plusieurs étages à la fois ]] : il y a une faculté d’oubli, et une fascination pour la technologie qui sont dangereuses. Je suis pour la science et la technologie lentes [[ principes de précautions qui agissent ailleurs : par exemple, afin de remettre en question leurs statuts, leurs fonctions et leurs pouvoirs, les politiciens, sont si lents que tout recule en fait toujours…la santé Publique est plus importante que leurs carrières au frais des contribuables !]]. Maîtriser une technique, ce n’est pas simplement être capable de faire quelque chose de nouveau et spectaculaire, c’est être capable d’en supporter les conséquences, de les mesurer et d’installer les garde-fous adéquats [[ c’est dominer en adultes le domaine – ce que les technocrates glacés et inhumains ne font pas du tout…]] ». La France sait aussi fixer des limites. Il y a plusieurs années, une poignée de généticiens ont ainsi lutté contre la mainmise de société américaine Myriad Genetics [[ toujours les mêmes, toujours ces incorrigibles souillons qui foutent leurs bordels partout !]] sur les brevets des tests génétiques du cancer du sein. « Suite à ça, l’Institut fédéral des brevets de l’Amérique du Nord a pris la parole », raconte Didier Lacombe. « Il ont admis que notre ADN est comme le charbon de la terre : non brevetable, il appartient à l’humanité »….le Privé est disqualifié dans un certain nombre de domaines : son manque de morale impérative et ses excès de cupidités l’écartent de nombres de décisions publiques. La corruption néolibérale c’est de permettre ce banditisme mental qui nuit tant à tout le monde (même à ses auteurs oui ) !! Ce qui nous aura permis de voir les liens conceptions-langages-naissances et immunités du futur…
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**** Le langage conserve immensément, en lui, tout le potentiel du futur. Tout ce qui n’a pas encore été fait ni même pensé. Il reste possible, dès aujourd’hui, d’accéder à ce potentiel du futur. Avec quelques efforts et des techniques nouvelles. Ce qui permet aux mots de redevenir juste eux-mêmes. Soit, pour nous, des sources intarissables de savoirs. Qui nous précèdent toujours. Aussi, sans aller jusqu’à des exercices acrobatiques - des “mises en situations” inconnues de mots vont faire émerger des usages inédits et fertiles du vocable. « Un entraînement qui entraîne les traîneurs comme moi », précise un des commentaires…Tout se tient !. et nous tenons à tout...Oui tout reste lié et relié. Et tout tend à se lier... All to gather together. Le “voloper” du mot développer c’est la graine qui contient déjà tout l’arbre ! Tout se tient !. et nous tenons à tout. Et tout cela…tient parfaitement !...Dans ce contexte du retour du sérieux,
……………………..le langage demeure, et de loin, la meilleure illustration active de ces paroles de sagesse.
…………………………………………Il « s’expérimente » même en direct dès que nous le désirons.
………..Et, comme tout ce qui se rapporte à “l’écologie de l’esprit”, il ne coûte pas un centime à la Nature.
………………………….Au contraire, il ne lui est que grands bénéfices !
……………………………………………Le néologisme néonatal ?
……..………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le sens et la sensualité nous …revienne de droit, nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 300 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
« Le texte de loi initial était beaucoup plus ambitieux [[ à la loi Défenseur des droits du 9 décembre 2016, votée en complément de la loi Sapin II]] », commente Xavier Sauvignet, qui a étudié de près son élaboration. « Il prévoyait la possibilité, pour le salarié, de rendre immédiatement publique l’alerte. Mais le sénat a fait barrage au texte et obtenu que le signalement en interne constitue la première étape obligatoire de la procédure d’alerte. Cela explique en grande partie le fait que les organisations patronales aient bien accueilli le texte. Avec cette procédure, les entreprises gardent le contrôle de la situation. »
« Le mot vient du latin barra qui désigne une barre, objet visant à séparer. Il a donné barre et barrière. La barre est placée assez haut par le gouvernement. Quant à la barrière par des réflexes simples d’hygiène, elle a pour objet de stopper la propagation du coronavirus. Cette barrière est d’ailleurs accompagnée d’un passage à niveau: le niveau 3. Faute d’avoir barre sur ce terrible virus, les autorités tentent d’ériger une frontière… symbolique. Le geste barrière est le premier stade de cette politique, le deuxième consistant à demander à la population de se barricader [[ se mettre derrière des barres, des barrières !]]. Ces mesures suscitent une question: est-on bien ou mal barré? Y répondre, c’est prendre le risque de se faire rembarrer. Tout le monde espère le succès de cette stratégie de gestes barrières et de confinement. C’est simple: si elle se révélait insuffisante, elle se transformerait alors en une barrière de rochers sur laquelle la vie quotidienne du pays se fracasserait. »
Barrière [ba-ri-è-r'] n. f. Garde-fou et signe de sagesse
LE MOT DU JOUR - Les autorités politiques et sanitaires rappellent l'importance de mesures dites gestes barrières. Le mot vient du latin barra qui désigne une barre, objet visant à séparer. Il...
Le philosophe a pu par le passé chasser le poète de la Cité pour administrer celle-ci selon les règles de la raison et pour en faire le lieu de la rationalité triomphante. Un rapport conflictuel qui se nourrit de l’opposition entre une philosophie de rigueur qui lutte contre la versatilité des mots pour leur imposer un usage fixe et une poésie qui semble jouer avec eux par le pouvoir de l’imagination. Sur le terrain de la vérité, quel dialogue et quels rapports entretiennent l’art poétique et l’activité philosophique ?
PROTECTION DES LANCEURS D'ALERTE - RÉACTION EN SORTIE DE COMMISSION DES LOIS
Costa Rica : une ville reconnaît la citoyenneté des pollinisateurs et végétaux
En pratique, toutes ces espèces de la faune et de la flore sont considérées comme des infrastructures ou des agents produisant des services écosystémiques essentiels pour le bien de la communa...
Curridabat, une petite ville du Costa Rica, vient d’octroyer la citoyenneté aux insectes pollinisateurs, aux arbres et aux plantes indigènes, un statut juridique qui leur permet maintenant d’être défendus devant des institutions judiciaires. Cette démarche s’inscrit dans un projet plus large de reconnaissance de la nature comme d’une entité morale, de reboisement et de création d’un réseau national de corridors biologiques. que 0,03 % du territoire mondial ; et pourtant, ses 51 100 kilomètres carrés abritent plus de 6 % de la biodiversité connue de notre planète.
Une Maison des Lanceurs d'Alerte
L'idiosyncrasie du corps de Nietzsche
Anglicismes & Néologismes du Marketing Phygital | Marketing Buzz Words
Les "exercices d'absurdités" ? - Le blog de imagiter.over-blog.com
Les "exercices d'absurdités" c'est, très clairement, de détecter, dans tous les médias et conversations autour de nous, tout ce qui déraille. Et de ramasser, en une formule foudroyante, tous l...
http://www.imagiter.fr/article-les-exercices-d-absurdites-117372022.html