La cultérieure ? (2)
Danser ? N’importe où même sans musique, nous l’avons à l’intérieur. La Fête n’a nul besoin d’aide extérieure, elle est déjà en nous**. Et ainsi nous revoyons les idées toute faites qu’on nous avait vissées dans la mentalité. C’est que le but reste de devenir indépendant.e.s ensembles. D’autogérer, au final, toute la société. Oui, c’est très possible, nous n’arrêtons pas de l’alimenter !!
** ‘Le Fête c’est dans la tête
Tu peux pas faire semblant » (Gun Giant)…ce qui signifie bien que les joies libres sont spontanées, impossible de les imiter. Si nous sommes heureux, cela ne s’invente pas, ne se force pas, mais se laisse épanouir. Les difficultés existentielles actuelles ont leurs solutions aussi en nous-mêmes !…
Alors pourquoi la culture ? Eh bien, si la culture n’aide pas puissamment aux transformations des mentalités, nous nous demandons quoi alors peut la remplacer en cela. Sûr que cela dépend Quelle culture, mais la configuration énergétique demeure la même. Nous allons visiter un maximum de faits jusqu’à aboutir dans du clair Inconnu…Commençons par un «audit de négativités» : la culture spontanée n’a que peu d’existence (apparente) que parce que des forces sordides, comme l’argent malsain, lui ont fabriqué pléthores de barrages…que demande-t-elle ? Si peu. Aucun privilège non, mais aucun injuste obstacle …illégal Et déloyal. Aucun piston, ni faveurs si désagréables, mais aucune censure non plus : La Constitution honnit les Privilèges et s’il y en a ce sont le fait de factieux (tiens des factuels !) trop ennemis de la réPublique. L’argent y corrompt politocards et médias tics…Alors la culture laissée à ces vandales en costards cravates, je te laisse imaginer. Non, tout est simple, comme disent Einstein, Raoult et…Gun Giant…et commence par la très LIBRE circulation des idées. Donc ?
-- ** Chaque auteur/trice (qui sait le faire) invente le chemin vers sa propre Offre. Nous, par exemple, nous «savons» que nos livres sont attendus par un petit paquet d’humain.e.s. Et que ce paquet mettra le paquet pour agrandir «leur» communauté neuve. L’offre fera boule de neige. Et s’installera sans ne déranger que les inégalitaristes…Les moins dégourdis (change de gourde, pardi !) pourront encore se la jouer papa/maman édition, ou (mieux) entrer dans tous Collectifs de production/diffusion qui vont fleurir au pic de l’été !!
-- ** Que, pour la période intermédiaire (écouter Music is not a show) du passage envers le tout Coopératif (« production et diffusion où donc plus Jamais de censures censitaires, censures par l’argent (genre hyper centralisme-vampire + le gang des producteurs-stars de télé (avant internet) pour notre cas «d’école»)…Tout en co-Opération ! Ensuite, la règle sera : l’écrivain.e «sait» infiniment mieux que tout éditeur «ce qu’il y a à écrire». Ne seront donc plus admise aucune intervention genre « écrire c’est vendre » (quelle trahison hein ?) ou bien nous avons le « logiciel de succès » (ce qui se « vendit » le mieux…avant-hier, se diffuserait demain !! eh bien non…) qui auront été les pires des flops du siècle passé (preuve, ils n’ont repéré Aucun des talents existants malgré eux, etc.) : comme audit négatif, difficile de faire pire non ? Bon, nous amenons d’autres regards et nous retrouvons ensuite ?
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Si tu n’as pas le feu de l’univers qui brûle en toi QU’EST-CE QUI TE PERMET de donner des conseils à qui que ce soit ?
C’est
Le mot se disperse dans l’obscur, et il ne nous reste plus que des
à jeter au monde pour
rêves et hurlements. Nous nous
autour de textes qui s’agitent et se révoltent, s’altèrent en
s’échouent
Nous fabriquons de la
et trafiquons parfois du
, nous prenons note d’une
dont le verbe tente de se raconter au-devant du réel. Il bruit. Nous sommes
https://abrupt.ch/pier-lampas/lart-des-dilutions/
L’antilivre : 0 €
Pour l’antilivre statique
Pour l’antilivre dynamique
son dépôt git
« Intermittents, vous n’aviez encore rien vu : Les intermittents, ce n’est pas seulement Jean-Paul Rouve qui se met au chômage entre deux films, c’est plus d’un million de documentalistes, d’éclairagistes, de perchmans, de coiffeurs/maquilleurs, de petites gens. Qui permettent aux œuvres d’exister [[ difficile de faire ressentir ce qu’est tout ce véridique prolétariat de la culture…comme leurs apparitions sont « sur leur 31 » tout resterait également ainsi tout le temps…Nous avons eu beau décrire des centaines de scènes où, afin « de tenir », il faille aller, par exemple, chercher dans la nature (ou certains coins des villes) de la nourriture fraîche. Bon, c’est sûr, talents + jugeotes, la « cuisine » est très réussie (et chuuuutt , nous nous régalons), mais c’est tout de même très dur à vivre ! Avec ça, jamais un vêtement neuf, tout pour le matos, etc.]].
Le statut des intermittents, de fait, est très exigeant [[ tout le boulot c’est que pour eux – paperasses envahissantes…]] Seuls ceux qui travaillent assez pour réunir un nombre d’heures improbable ont droit à ce chômage. Et pour cela ils payent le prix fort en taxes et retenues [[ toujours la même dissymétrie malsaine en toutes activités ; les fruits des petits se font aspirer et les plus gros restent exonérés, subventionnés et bien pire…Grandit le fossé suicidaire (pour la continuation de la société) entre trop pour ceux qui ont déjà trop et pas assez pour ceux qui ont tant besoin. Les fractures se creusent…tiens en aparté, ce que nous devons déclarer (résultat zéro impôt mais si non envoyé c’est amende dure !) est vraiment…inférieur à 2014…et comme dit l’autre «tout augmente» oui, seulement, dans la partie antisociale de la société qui considère que sa vie sur Terre c’est de monopoliser beaucoup trop… et toujours plus et que ceci serait « l’ordre des choses »…Non seulement les désordres des technocrates devenus inhumains !]] . Les indemnités journalières sont de moins en moins… élevées [[ plus prélevé Et moins reversé – se mettre à l’autogestion généralisée serait donc un évident Gain substantiel (puisque incluant aussi la fin des pertes…) de vie pour bien 80 % des populations, et ce n’est que par vastes économies sur les…intermédiaires que ceci se concrétiserait…Simple : si tout le monde ( immense partie spoliée de la société) reçoit toujours moins que ses prélèvements la minorité empoche (donc) la différence – ce qui ne se fera plus…le système s’est vu entièrement dénudé durant le confinement…Voir nos posts (sur cette période) et les…censures indirectes sur ce type de textes si précis et argumenté le plus simplement possible..]]. Le statut de l’intermittence est rogné depuis des années. Sarkozy, déjà, avait placé la barre très haut et poussé beaucoup à renoncer [[ difficile de comprendre comment l’aura d’un pays peut se maintenir si sont stupidement exclu.e.s celles et ceux qui peuvent maintenir la flamme…Le culture surpasse l’argent et, à son égard, toutes les impostures de l’argent, se prouvent d’une mesquinerie inégalable…preuve de son intrusion néfaste dans ce qui ne le concerne pas du tout !]]. Les annonces de Macron soulageront les plus à l’aise parmi eux [[ tout comme le peu d’organisation du confinement avait si omis (…oublié !) la grande majorité qui l’a vécu dans de non bonnes conditions…]]. Ceux qui ont eu la chance de beaucoup travailler avant le déconfinement. Les autres n’auront que leurs yeux pour pleurer [[ sauf à songer à s’organiser en coopératives de productions et de distributions partout comme des cœurs lucides l’ont formulé…le modèle que fut un James Brown pour ses concerts où son public assumait l’organisation complète des concerts est probant. Disons que c’était le leader d’une communauté soudée et que ce genre de liens ne se trouvent pas partout – simplement que cela a vraiment fonctionné dans son cas…et reformulé ou utilisé d’une autre façon cela peut encore fonctionner…Le fait est que nous avons beaucoup plus de graines que le business, jamais très inventif lui…]]. Certes, c’est déjà mieux que rien. Pour les musiciens qui ne sont pas des forçats du live et font moins de trois cent concerts déclarés par an (ce qui est de plus en plus rare), pour les écrivains et journalistes/pigistes, pour les dessinateurs, pas de changement : c’est toujours rien. Aucun chômage. Vous êtes rentier, vous gagnez par votre art le minimum vital ou c’est le RSA. Point barre. Et l’AGESSA qu’on nous impose…. revient (depuis 40 ans !) à cotiser pour une organisation qui ne reverse rien, et n’est même pas reconnue pour la retraite. Un racket [[ la pyramide Sacem y ressemble aussi, celles/ceux qui ne recevraient pas assez alimentent un sommet de pyramide qui se cumule ces trop petites sommes…devenues soudain rondelettes , n‘est-ce pas ? Avoir transmuté le tout en co-Opérative éviterait de tes crève-cœurs !]].
Artiste ou technicien, c’est censé être une vocation, il est vrai. Hors le succès populaire, peu de salut. D’accord ! On connait le message et la morale depuis le système des “vignettes”, l’ancêtre des heures à justifier, en vigueur dans les années 60. Depuis, cela n’a fait que s’aggraver et l’Art, lentement, de se diriger vers le… bénévolat et l’amateurisme obligé [[ que de gentillesses pas assez reconnues…Changer de système de perception (tiens un regard qui… conduit bien alors…il devient percepteur aussi !) c’est bien transformer son système de réception . Qui peut prouver l’inverse pour voir ?]]. Mais en refusant la notion d’exception culturelle [[ l’exception c’est de renverser la pyramide…le non hiérarchique est bien plus fertile que le hiérarchique…]], on pousse à l’amateurisme généralisé. La plupart des musiciens de rock ou de jazz, la plupart des écrivains “travaillent » à côté puisqu’il est devenu impossible de vivre son art. Et cet amateurisme si vanté (ah ! ces reportages sur la 2 ou BFM TV avec joyeux drilles emperruqués disco massacrant à 20 heures “On va s’aimer” façon fête de la musique !) est… un piège [[ l’Image, en général, n’est qu’un piège jusque ce que…les rôles n’enrôlent plus du tout…]]. L’Art, pour être libre et puissant, ne peut être un violon d’Ingres. »…Oui, n’empêche que co-Opération commence par co- soit plusieurs participant.e.s à la fois. Pourquoi, ce serait si impossible ? Pas pour nous, dans tous les cas !
Covid-19-malheureusement-pour-le-moment-les-concerts-sont-morts
« Ils s’autoproduisent. Autrement dit, ils sont indépendants. La musique passe du côté online de la…force. Une tendance durable ? On a posé la question à Denis Ladegaillerie, co-fondateur et PDG de Believe, qui prospère depuis 15 ans dans le domaine de la distribution numérique de la musique [[ nouvelle approche du soyons plus proches…]]. Usbek & Rica : Le secteur de la culture est en proie aujourd'hui à de grosses difficultés. Avec la fermeture des théâtres, des salles de concert et des magasins, l’industrie musicale n’échappe pas aux interrogations quant à son futur. Pourtant chez Believe, qui évolue depuis ses débuts en ligne, vous semblez moins alarmiste. Pourquoi ?
Denis Ladegaillerie : En étant confinés, on se pose davantage de questions sur le futur [[comme pour la réalité qui n’est jamais linéaire…avoir plusieurs niveaux, pas qu’une corde à son arc, pas qu’une manière de voir, plusieurs groupes dans son groupe…permet de tout mieux affronter. Est-ce si possible /?]]. Ma première analyse est qu’au-delà, bien sûr, du drame humain et économique qu'on va vivre dans les années qui viennent, il est fascinant de voir – et l'industrie musicale a eu à le traverser très tôt – ce formidable accélérateur de la transformation digitale qui traverse tous les secteurs. Pour la musique, pour nous aussi chez Believe, cette accélération nous fera gagner trois à quatre ans dans l’adoption du numérique. Et on le voit déjà : historiquement, les gros marchés de la musique étaient situés aux États-Unis, au Japon et en Europe [[ allier l’analyse historique peut faire évacuer «le monde vu à travers l’entassement des préjugés » qui est en train de nous faire perdre des …décennies, peut-être un siècle – pas question pour un millénaire non ?]] . L’industrie musicale existait à peine dans les pays émergents qui recouraient beaucoup au piratage. Or, depuis quelques années, on voit que l'innovation digitale dans la musique vient désormais de ces pays [[ l’idée farfelue que tout ne peut qu’être figé – celle de la fausse élite occidentale devenue déconnectée entièrement «des» réalités – empêche clairement de voir ce qui «se» passe. Donc n’aboutit qu’à rater les véridiques…évènements. Ceux que nul.le ne peut construire, artificiliaser…Seulement faire germer, le circuit doit rester naturel. Domaine où nous nous y connaissons un peu tiens donc !]] !. En Inde et en Chine, l’industrie l’artisanat musical se déploie en ligne. En Chine, le livestream est très répandu et monétisé, ainsi que ce qu’on appelle les digital goods (biens numériques) : un fan reçoit en échange de son soutien des «gratifications» digitales sur son téléphone [[ ce qui n’est pas vraiment à favoriser – après tout, il est plus sain que les écrans ne durent pas trop longtemps – cela confine bien trop et le but reste de vivre dans une civilisation libérée de ses oppressions de certains esprits malades… Centralismes et verticalismes sont leurs 2 béquilles indispensables…vous les leur enlevez, déjà que ce qu’ils /elles disaient ne tenait pas debout…là ce sont eux qui en perdent l’équilibre…]].
En France, on est encore loin de cette dynamique-là...[[ pas d’accord, tout dépend de la façon dont nous regardons- et dans quelles directions…quittons les trop obsolètes centralismes et verticalismes – tant de trésors en jachères y demeurent…l’inconnu surpasse le connu, surtout si celui-ci n’est qu’artificiel et fabriqué…la diversité se conquiert et…l’uniformité commence par l’abandon de la cure (celle qui nous maintient comme curieux, gens de cure tiens)…]]. Oui, c’est en transition. En France, actuellement, il y a deux… marchés de la musique. Il y a le terrain occupé par les artistes plus âgés, qui disposent d’une audience âgée, qui écoute la radio, regarde la télévision et achète ses CD au supermarché le week-end. Jusqu’à l’année dernière, ce marché plus traditionnel représentait encore 50 % du marché [[ un acquis qui ne se requit plus en somme…]]. Mais à côté se développe un marché d’artistes plus jeunes, comme Jul, avec qui on travaille depuis six ans. Il est numéro un des ventes, est l’artiste le plus streamé et très présent sur les réseaux sociaux. C’est aussi très largement l’artiste le plus productif de ces dernières années. Son audience est plus jeune, elle écoute peu la radio, regarde peu la télévision, mais elle est en masse sur les réseaux sociaux [[ déplacements des lieux oui – sauf que rien ne surpasse, pour le moment, l’art des dérives…pourquoi choisir les choix…prédéterminés pour nous (pas pour notre vrai bien sûrement ! ), faut se garder global, ne rien choisir de fermé et d’enfermant mais se laisser choisir par les attentions flottantes (pas que les nôtres , en fait !) !]] . Il a aujourd’hui la chaîne Youtube la plus suivie (parmi les autres musiciens en France,) et possède sur Instagram l’un des comptes les plus suivis, également.
Le secteur de la musique est en transition, et cette transition s’accélère. Si on regarde le top 10 des artistes qui ont le plus vendu dans la décennie, on s’aperçoit de cette dualité-là. Johnny Hallyday occupe la première place, et le deuxième c’est Jul. Les artistes très populaires, plus âgés, avaient tendance à gagner plus d’argent avec le… live [[ la scène !]] qu'ils n'en gagnaient avec de la musique enregistrée. Ce qui fait qu’aujourd’hui, ce sont des artistes qui n'ont pas vécu la transformation digitale et qui ne s'y sont pas engagés parce qu'ils n'en avaient pas besoin [[ à l’époque …]]. Jul, Francis Cabrel ou Johnny Halliday sont des artistes à la notoriété très importante, ils sont ceux qui s’en sortent le mieux. Observez-vous cette transition vers le numérique y compris chez les musiciens émergents ou faisant partie de ce qu'on pourrait appeler la « classe moyenne » des artistes ? Oui, parce qu’ils ont déjà tout compris. Historiquement, le gros du marché de la musique - à savoir les majors du disque (Sony, Universal, Warner) - s'est concentré sur les artistes populaires. Les maisons de disques se sont structurées pour être capables de les accompagner [[ monde du fini qui finit avec son fini…incapable de voir autrement…]]. Chez Believe, on accompagne plutôt des artistes en développement pour les faire évoluer vers la classe moyenne, puis vers le top. Je reprends encore l’exemple de Jul mais, dans son cas, quand on a commencé à travailler sur sa distribution, il ne vendait pas du tout ce qu’il vend aujourd’hui. Et depuis, nous l’accompagnons non seulement sur sa distribution, mais aussi son marketing, son merchandising et ses concerts [[ cette évolution ne peut pas qu’être prévisible, routinière, bêtement rentière - si elle se permet diverses bifurcations, embranchements, liens, cela peut devenir très co-Opératif . Pourquoi n’agir que pour soi et ne pas penser à de effets boules de neiges, de regroupements naturels – plus il y aura du nombre avançant (pour un but bien déterminé dès le départ) plus ce but sera entièrement atteint…Avoir du succès «séparé», à part, qui n’unit pas ou pas assez, ce n’est pas vraiment le top…Y parvenir le plus nombreux c’est tellement mieux…et tout cela comme comprend toujours co- comme co-Opération !]]…]].
Ces cinq dernières semaines, sur Tunecore (plateforme destinée aux artistes émergents), on a vu nos chiffres de nouveaux artistes doubler [[ pendant que les confiné.e.s n’étaient pas au courant…]]. C'est frappant. Depuis sept semaines, les majors - autrement dit, à travers elles, les plus gros artistes - sortent très peu d’albums. Ils ont… repoussé les sorties. Les artistes en développement ont compris qu’il fallait sortir leurs productions maintenant [[ ne plus jamais penser «en images» (pour le futur s’entend !) mais en flux de possibles donc sans «son» image perso qui masque trop les déroulements…]]. Et ils ont du temps pour créer. On a observé une explosion de la création et de la distribution. Ces nouveaux artistes sont des digital natives, la moyenne d'âge se situe entre 18 et 34 ans. Ils ont une intelligence quasi intuitive de comment on utilise Tiktok, Spotify ou Youtube. On leur conseille de sortir leur musique [[ avant le trop plein, le trop en même temps, le gavage de surplus…]]. Les troisième et quatrième trimestres, ça va être un bain de sang. Toutes les majors qui avaient arrêté leurs sorties vont… sortir les albums d’artistes internationaux [[…rien de co-Opératif en somme…que du stagnant immobile répétitif…]]. Et sur les services de streaming, on sait que ce qui compte, ce n'est pas le nombre de streams qu’un artiste va faire, mais le nombre de streams qu’il fera sur un total de streams.
« Aujourd’hui, un Jul, Covid-19 ou pas, peut sortir son album…. quand ils en a envie, contrairement à une Lady Gaga » : Si on revient sur l’évolution des artistes, qu'il s'agisse de Jul, PNL, Lomepal ou Angèle, ils ont tous un point commun, au-delà de leur large audience : ce sont tous des « artistes-entrepreneurs ». Est-ce que l’heure de l’artiste-entrepreneur a sonné ? Oui, je n’ai aucun doute là-dessus. Plus que l’ère de l’artiste-entrepreneur, c’est l’ère des artistes… indépendants. Et l’Europe est en train de montrer le chemin [[ il faut bien qu’elle brille quelque part…]]. En France, l’année dernière, c’est Jul qui a été le plus streamé. En Italie, il s’agit d’Ultimo, qu’on accompagne aussi, qui a eu 3 albums dans le top 10 des meilleures ventes d’albums de l’année. En Allemagne, c’était la première fois qu’un nouvel artiste parvenait dès son premier titre et son premier album à la première place. On parle là d'artistes indépendants qui maîtrisent complètement leur destin. En faisant le choix d’être dans une maison de disques, elle a fait sciemment le choix d’être… dépendante. Elle a abandonné une partie de sa liberté [[ en effet, vu comme cela !]]. Aujourd’hui, un Jul ou un Mero, Covid-19 ou pas, contrairement à une Lady Gaga, peuvent sortir leur album quand ils en… ont envie. On en discutera avec eux mais notre relation relève du partenariat. On conseille. À la fin, c’est l’artiste indépendant qui… décide. » Voici qui nous centre aussi, sur tous ces multiples choix, ces possibles buissonnants (tout ce que la propagande nous veut faire croire …barré, inaccessible !)…Or la simple réflexion que plus nous serons indépendants…ensembles - oui en pleines co-Opérations – plus nous parviendrons à notre but : toute la société en co-gestions puis…Autogestion…Plus jamais de pouvoirs ni de dérives tyranniques possibles…
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Déconfinement-nuit-et-fête-ont-beaucoup-à-dire-au-jour
…« On pourrait laisser des temps d’occupation de certains espaces à la fête. Ce n’est pas très compliqué de fermer une rue ? ».
(Une vidéo incluse… facebook.com/watch/?v=274593757061749 ) [[ plus nous avons d’inventivités plus nous pourrons devenir indépendant.e.s ensembles. Les idées fausses sur le détournement, le limitant aux mots et images plates, c’est qu’il peut aussi offrir de nouveaux buts, des pratiques neuves à l’existant. Tout s’y peut utiliser d’autres façons et les résultats parviennent à tout autre chose ]]…Pour le géographe Luc Gwiazdzinski [[ ayant participé au mouvement Motivé.e.s – voir «Le troisième tour» accessible ici…!]] la question, c’est comment « on désature la fête dans la ville. Peut-être en l’hybridant, à moitié in vivo et en ligne. Ou bien en agissant sur sa taille : on pourrait adopter un archipel de la fête en réseaux ».[[ oui nous somme d’ avis un peu différent et voyons la Fête avant tout sociale, la jubilation du sociable et puis, nous avons œuvré, pendant des années, pour la nuit…actuellement, nous préférons vivre le jour, sous le soleil exactement – mais il faut élargir au maximum tous les horizons, pour un réel renouveau des mentalités (donc des comportements). Oui il faut écouter ce que la nuit a à dire au jour !]]. La fête partagerait des espaces avec d’autres acteurs. Un vœu pieux ? « Encore faut-il que ce soit autorisé. Pour l’instant, l’ambiance est plutôt à la répression. On exile la fête du centre vers la périphérie sous le prétexte qu’on fait du bruit. Alors tous à l’extérieur… » [[ toujours ces tonnes de préjugés, ces préjugements qui ne savent rien mais jugent pesamment, viennent étouffer les potentiels – or, pas de moyen plus simple de savoir que d’expérimenter soi-même, d’aller voir directement…Nous l’avons toujours fait et c’est si réjouissant à chaque fois : pas de rester cloitrés dans le placard jamais aéré des idées fausses !]], partage Mélissa Mercander du collectif Myst (qui organise des fêtes alliant performance et techno).
« La nuit est l’une des grandes oubliées du confinement et du déconfinement », tempête Luc Gwiazdzinski, géographe et auteur de plusieurs ouvrages sur les visages de la nuit. « La ville d’Amsterdam a déjà annoncé qu’il n’y aurait pas de reprise pour le monde de la nuit et de la fête avant la fin de l’année. C’est dramatique, des clubs ne pourront pas rouvrir [[ l’ancien existant ne peut, peut-être, pas ouvrir - les nouvelles idées, se centrant sur l’essentiel, les relations humaines et interhumaines, bref l’or du social qui fait briller les yeux peuvent, elles, s’ouvrir sans beaucoup de moyens, ou quasiment pas : ce sont les Rencontres qui comptent, et pas leurs…décors. Voir d’hier « Si tu es sociable, deviens indissociable » pour démontrer combien le Social demeure l’immense source méconnue du devenir indépendant.e.s ensembles »]], abonde Mirik Milan, ancien « maire de la nuit » [[ à côté du Maire connu il y a un officiel maire de la nuit qui se charge de toute la logistique et gestion qui va avec !]] de la capitale hollandaise. « Et quand bien même, bien des clubs ne pourront ou ne voudront pas être à 30 % de leur capacité », ne serait-ce que pour des raisons financières [[ il s‘agit de voir les faits d’un tout autre point de vue : 1)—qu’est-ce je veux le plus ?...2) **** qu’est-ce que je puis laisser tomber pour ce vœu le plus ardent ? ---3)… comment utiliser la situation inédite pour inventer du vrai nouveau ? C’est si aisé à ressentir…nous sommes toutes et tous dans notre plus grande nudité sur les rivages d’une situation que nous ne connaissons pas. A laquelle rien ne nous avait préparé…eh bien innnovons à fond…Créons un nouveau train qui puisse embarquer le maximum, voir toutes, d’initiatives jamais vues !]].
En France, pas de date officielle de reprise annoncée, mais le glas a déjà sonné pour les festivals de l’été 2020. « Ce matin, raconte la DJ Maud Geffray, « moitié » de Scratch Massive, je lisais la décision de fermer les bars et clubs de Séoul, accusés d'être la raison d’un retour du Covid-19. J’ai peur que cette stigmatisation s’ancre, que la fête comme exutoire soit réprimée ». En pleine crise sanitaire, la culture n’est pas prioritaire et la fête n’échappe pas à ce constat [[ ce qui est tout à fait …révisable si les vécus, les ressentis et les mentalités tournent les faits sous leur facette la plus omise…]]. « Au lieu de ‘réinventer’ des choses, regardons ce qui existe, souffle Jonathan Debrouwer, membre du collectif (La)Horde et co-directeur du Ballet national de Marseille [[pas d’accord – nous pouvons parfaitement faire les 2 ensembles à la fois…et, après avoir vu l’existant, en partir pour imaginer, imagiter du vraiment neuf ! C’est trop évident pour qui n’ont jamais eu la mauvaise idée de n’avoir…que des habitudes ! Des routines et donc des impossibilités à…recevoir le vrai nouveau !]]. Les rassemblements dans les hangars existent déjà. Des évènements tels que Burning Man se sont développés avec des gens qui portent masques et lunettes à cause des conditions météo. La question est effectivement davantage dans ce qui est autorisé ou pas par le politique » [[ les précédents précèdent et ouvrent des portes que nous croyons à tort fermées !]].
Un problème d’image, selon Mirik Milan. Ce dernier a été le premier maire de la nuit de la ville d’Amsterdam. Son job était de faire le pont entre le conseil municipal, les citoyens et le secteur de la nuit. Aujourd’hui il poursuit son travail et fédère une cinquantaine de maires de la nuit : « Les lieux de la fête souffrent d’un grave problème d’image. Pour beaucoup, on est bruyants, bondés, et on ferait "beaucoup" d’argent » [[ les images surgissent des préjugés qui immobilisent tout par méconnaissances entêtées de ce qui existe (et donc pourrait évoluer si nous connaissions ce vrai réel..)…C’est éviter les images afin de retrouver le flux constant du vivant en nous qui n’apporte que du nouveau, même à celles/celles qui ne veulent jamais rien…savoir donc ressentir. Eh bien, ils avaient tort et ils ont toujours tort ; tu quittes leurs images rien n’existe plus de leurs superficialités…La vraie vie, qui fonde tout, n’est que toujours plus profonde !]]. Mi-mars, à Berlin, la scène électro a dû fermer les portes de ses clubs. Quelques jours plus tard [[ vitesse de réaction…]], Unitedwestream naissait. Derrière les platines, dans des clubs sans public, des DJ ont fait danser des milliers de gens par écran interposé. Des sets en « livestream », captés en direct, permettant au spectateur de danser depuis son salon comme s'il était au Tresor, au Watergate ou à Wilde Renate. »…Tout reste possible dès que nous nous rendons nous-mêmes possibles…aussi simple que cela – pourquoi, cela devrait être plus compliqué ? Bonjour chez vous !
……….Plus nous serons indépendants…ensembles –
………………………………………………………..oui en pleines co-Opérations –
- plus nous parviendrons à notre but : toute la société en co-gestions puis…Autogestion généralisée…
………..Plus jamais de pouvoirs oppresseurs ni de dérives tyranniques possibles…
…..…..…… …(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste offrande au monde entier nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savaient plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration, ce qui est tellement pire.
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 5 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Les 3 chocs culturels du Covid 19 : Ce que nous appelons la crise sanitaire, qui aura frappé d’effroi la plupart des sociétés mondiales, ne peut manquer d’interroger les spécialistes de politiques culturelles que nous sommes.
Par Nicolas Dutent Publié le 14/05/2020 Francis Combes, poète, président de l'association l'Autre Livre et éditeur qui a fait grandir la maison d'édition française Le Temps des Cerises, revie...
Parler des livres dans le texte suivant
Keystone-France via Getty Images …Abandonné dans les années 1950 par son autrice, un roman inédit de Simone de Beauvoir [[ Les inséparables, raconte une histoire d’amitié “passionnelle et tragique”, celle que l’écrivaine a entretenue avec Élisabeth Lacoin, dite “Zaza”, décédée d’une inflammation de l’encéphale à l’âge de 21 ans. Une mort qui a dévasté la romancière ]] doit paraître en France cet automne, comme l’a révélé la fille adoptive de cette dernière dans un article du New York Times, publié ce mardi 28 avril.
Qui est Saul Kripke ?..18 mn…La logique des noms propres…. 1982 Règles et langage privé. Introduction au paradoxe de Wittgenstein 1995
Binoche : la culture en état d'urgence / Faut-il faire un procès à l’État ? - – ARTE 40 mn…
Très fragilisés par la crise du Covid-19 qui a mis à l’arrêt le secteur culturel, TV07 a rencontré ce lundi 11 mai, John Wawapapi du Groupe Manbouss pour fait le point sur la… situation des intermittents du spectacle en France.
Intermittent du spectacle - Comment ça marche ?...14 mn
Quel AVENIR pour les DJ'S après la CRISE du COVID ?...13 mn…
Fréko 🤖 Freestyle confiné n°3
On s’étonnera peut-être qu’il ait fallu attendre 50 ans pour que les enregistrements des cours de « l’auteur en sciences humaines le plus cité au monde » - hier encore réservés aux amis du Collège de France - soient enfin restaurés - « Naissance de la bio-politique ». Dans ce cours, dispensé entre 1978 et 1979, Michel Foucault analysait « la manière dont on a essayé, depuis le XVIIIe siècle, de rationaliser les problèmes posés à la pratique gouvernementale par les phénomènes propres à un ensemble de vivants constitués en population : santé, hygiène, natalité, longévité, races… »
Dyvan le terrible - L’artiste inconnu...la peinture est de Picajo...